Ce sujet a été résolu
Versali
2 ans
J'imagine que ça faire jaser les middle iq du forom mais il faut rétablir la vérité
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
" - Aucune école (qui fait vraiment apprendre) "
Au XIème siècle, il y avait déjà des écoles actives à Paris dans l'île de la Cité notamment, dans les maisons des chanoines qui étaient construites autour de la cathédrale. Et les maîtres étaient en général chanoines. Au début du XIIème siècle. C'est à partir du XIIème siècle qu'on assiste à un essor. La venue et le succès d'Abélard fut une des causes et aussi un signe. C'est avec lui que le transfert d'une partie des écoles sur la rive gauche de la Seine s'est effectué. Car il lui fallait pour échapper à la censure lancée par l'achidiacre de Notre Dame, aller enseigner sur la montagne Sainte Genevière, territoire d'exemption relevant de la seule autorité de l'abbé de Sainte Genevière. D'autres écoles monastiques de la rive gauche ont connu un grand succès au début du XIIème siècle et notamment les chanoines de Saint Victor. Les déboires d'Abélard et son départ n'ont rien changé à l'essor des écoles parisiennes. Les témoignages qui ont été laissé par Jean de Salisbury ont permis de voir ce qu'était leur activité au milieu du XIIème siècle. On voyait des étudiants venir de presque partout. Avec des Anglais mais aussi des Scandinaves, des Italiens et des Allemands. Le cloître de Notre Dame était le lieu de l'enseignement de la théologie. Nombre de manuels utilisés durant le Moyen Age ont été rédigé par ces maîtres qui avaient enseigné à Paris durant le XIIème siècle. Notamment Pierre Lombard et son Libri Sententiarum. Ou encore Pierre le Mangeur et son Historia scolastica.
Au XIème siècle, il y avait déjà des écoles actives à Paris dans l'île de la Cité notamment, dans les maisons des chanoines qui étaient construites autour de la cathédrale. Et les maîtres étaient en général chanoines. Au début du XIIème siècle. C'est à partir du XIIème siècle qu'on assiste à un essor. La venue et le succès d'Abélard fut une des causes et aussi un signe. C'est avec lui que le transfert d'une partie des écoles sur la rive gauche de la Seine s'est effectué. Car il lui fallait pour échapper à la censure lancée par l'achidiacre de Notre Dame, aller enseigner sur la montagne Sainte Genevière, territoire d'exemption relevant de la seule autorité de l'abbé de Sainte Genevière. D'autres écoles monastiques de la rive gauche ont connu un grand succès au début du XIIème siècle et notamment les chanoines de Saint Victor. Les déboires d'Abélard et son départ n'ont rien changé à l'essor des écoles parisiennes. Les témoignages qui ont été laissé par Jean de Salisbury ont permis de voir ce qu'était leur activité au milieu du XIIème siècle. On voyait des étudiants venir de presque partout. Avec des Anglais mais aussi des Scandinaves, des Italiens et des Allemands. Le cloître de Notre Dame était le lieu de l'enseignement de la théologie. Nombre de manuels utilisés durant le Moyen Age ont été rédigé par ces maîtres qui avaient enseigné à Paris durant le XIIème siècle. Notamment Pierre Lombard et son Libri Sententiarum. Ou encore Pierre le Mangeur et son Historia scolastica.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Versali
2 ans
J'imagine que ça faire jaser les middle iq du forom mais il faut rétablir la vérité
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
" - Aucune école (qui fait vraiment apprendre) "
De plus, des écoles de droit et de médecine s'étaient formé à Paris sous la direction de maîtres formés pour beaucoup en Italie. Aussi des écoles de droits. Et ce malgré une certaine défiance de l'Eglise les trouvant profanes. Ces disciplines ont connu un grand succès étant donné qu'elles préparaient à des carrières lucratives non seulement dans l'administration royale mais également dans le clergé. Pour comprendre les universités, il faut souvent se fier aux textes officiels qui étaient des privilèges royaux, ou alors aux bulles oontificales qui devaient confirmer les droits et franchises de tel université. Ces textes sont cependant imprécis chronologiquement en plus de ne pas permettre de suivre de l'intérieur l'action des gens des écoles. On peut tout de même voir deux choses qui se dégagent. D'abord, un caractère ecclésiastique de l'université. le XIIème siècle avait connu d'abord la laicisation des écoles avec des maîtres libres agréés par le chancelier ainsi que leurs élèves qui ne dépendaient pas directement de l'Eglise. Le plupart n'avaient que les ordres mineurs voire une simple tonsure. Et ils se sentaient plus proches des autres travailleurs urbains que des milieux ecclésiastiques traditionnels. Mais cette laicisation a entraîné des conflits et s'est heurtée à des résistances. Notamment de la part de l'Eglise qui ne voulait pas abandonner son monopole scolaire. Le IIIème concile de Latran a réaffirmé cela. Ensuite, le milieu des écoles ne s'intégrait pas parfaitement au reste de la société urbaine. Son recrutement restait particulier par rapport aux autres métiers. Cela avait pour effet des tensions entre bourgeois et écoliers.
De plus, des écoles de droit et de médecine s'étaient formé à Paris sous la direction de maîtres formés pour beaucoup en Italie. Aussi des écoles de droits. Et ce malgré une certaine défiance de l'Eglise les trouvant profanes. Ces disciplines ont connu un grand succès étant donné qu'elles préparaient à des carrières lucratives non seulement dans l'administration royale mais également dans le clergé. Pour comprendre les universités, il faut souvent se fier aux textes officiels qui étaient des privilèges royaux, ou alors aux bulles oontificales qui devaient confirmer les droits et franchises de tel université. Ces textes sont cependant imprécis chronologiquement en plus de ne pas permettre de suivre de l'intérieur l'action des gens des écoles. On peut tout de même voir deux choses qui se dégagent. D'abord, un caractère ecclésiastique de l'université. le XIIème siècle avait connu d'abord la laicisation des écoles avec des maîtres libres agréés par le chancelier ainsi que leurs élèves qui ne dépendaient pas directement de l'Eglise. Le plupart n'avaient que les ordres mineurs voire une simple tonsure. Et ils se sentaient plus proches des autres travailleurs urbains que des milieux ecclésiastiques traditionnels. Mais cette laicisation a entraîné des conflits et s'est heurtée à des résistances. Notamment de la part de l'Eglise qui ne voulait pas abandonner son monopole scolaire. Le IIIème concile de Latran a réaffirmé cela. Ensuite, le milieu des écoles ne s'intégrait pas parfaitement au reste de la société urbaine. Son recrutement restait particulier par rapport aux autres métiers. Cela avait pour effet des tensions entre bourgeois et écoliers.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Versali
2 ans
J'imagine que ça faire jaser les middle iq du forom mais il faut rétablir la vérité
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- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
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" - Aucune école (qui fait vraiment apprendre) "
A la longue, les maîtres et les écoliers ont compris qu'il fallait mieux rester dans le giron de l'Eglise pour ne pas avoir affaire à la police et à la justice du roi. La monarchie des capétiens a favorisé cette tendance lui permettant de laisser la responsabilité de la discipline interne des écoles parisiennes à l'Eglise, histoire de calmer les foyers d'agitation qui s'y trouvaient. Malgré un relatif manque d'autonomie, ils avaient gagné la sécurité personnelle qui était garantie par la justice ecclésiastique en plus de la sécurité matérielle étant donné qu'ils gardaient le droit de prétendre à des bénéfices ecclésiastiques. Cette appartenance au clergé semblait d'autant mois gênante qu'elle ne faisait pas obstacle à cette tendance à s'organiser face aux autorités locales, en une corporation autonome. On peut se demander la manière dont les maîtres parisiens s'étaient débrouillés pour avoir leur autonomie. Le développement de la corporation universitaire a été spontané probablement. Globalement parfois les papes allaient dans le sens des universités mais les obligeaient parfois à s'incliner avec des coups d'arrêt. Par exemple, en 1225, le cardinal de Saint Ange, qui était légal pontifical, avait fait brisé le grand sceau que l'université s'était donné et qu'elle ne récupérera qu'en 1246. Et lorsque le recours à l'arbitrage du Saint Siège ne suffisait pas face aux résistances locales, les maîtres utilisaient la grèce des cours voire la dispersion, des moyens approuvés par la papauté même.
A la longue, les maîtres et les écoliers ont compris qu'il fallait mieux rester dans le giron de l'Eglise pour ne pas avoir affaire à la police et à la justice du roi. La monarchie des capétiens a favorisé cette tendance lui permettant de laisser la responsabilité de la discipline interne des écoles parisiennes à l'Eglise, histoire de calmer les foyers d'agitation qui s'y trouvaient. Malgré un relatif manque d'autonomie, ils avaient gagné la sécurité personnelle qui était garantie par la justice ecclésiastique en plus de la sécurité matérielle étant donné qu'ils gardaient le droit de prétendre à des bénéfices ecclésiastiques. Cette appartenance au clergé semblait d'autant mois gênante qu'elle ne faisait pas obstacle à cette tendance à s'organiser face aux autorités locales, en une corporation autonome. On peut se demander la manière dont les maîtres parisiens s'étaient débrouillés pour avoir leur autonomie. Le développement de la corporation universitaire a été spontané probablement. Globalement parfois les papes allaient dans le sens des universités mais les obligeaient parfois à s'incliner avec des coups d'arrêt. Par exemple, en 1225, le cardinal de Saint Ange, qui était légal pontifical, avait fait brisé le grand sceau que l'université s'était donné et qu'elle ne récupérera qu'en 1246. Et lorsque le recours à l'arbitrage du Saint Siège ne suffisait pas face aux résistances locales, les maîtres utilisaient la grèce des cours voire la dispersion, des moyens approuvés par la papauté même.
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il y a 2 ans
ça m'extermine de savoir que tu m'as donné 210 notifications pour me sortir des C/C sans aucun argument, juste de la paraphrase de ton auteur préféré
Apprend à lire et tu verras tous les arguments.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Versali
2 ans
J'imagine que ça faire jaser les middle iq du forom mais il faut rétablir la vérité
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- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
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- 90% de la population ne savait pas lire
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- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
" - Aucune école (qui fait vraiment apprendre) "
Il faut parler de certains aspects de la vie des universités au XIIIème siècle. On a vu que le phénomène universitaire a présenté une unité remarquable à travers l'Europe due à l'action de la papauté notamment, cela ne signifie pas pour autant que chaque studium n'avait pas de personnalité propre. Et surtout, il faut voir ces différences en termes d'adaptation de ces institutions aux contextes politiques et sociales plus qu'à des filiations, influences, etc.... Ensuite, les universités étaient encore en développement à ce moment là. On parlait des universités comme des universitas ou des stadium. Ou plutôt universitas magistrorum et scolarium ou universitas studii. Studium signifiait établissement d'enseignement supérieur tandis qu'universitas voulait dire organisation corporative faisant fonctionner le stadium en garantissant son autonomie. L'universitas était donc dans la vie du studium la réalité fondamentale première. Elle regroupait donc ceux dont l'activité était liée à celle du studium. Mais elle les contrôlait tous. A Paris, les maîtres et les étudiants composaient l'université. Mais l'initiative appartenaient avant tout aux maîtres tandis que les étudiants étaient des suppôts des universités. A Bologne en revanche, les étudiants formaient l'université tandis que les docteurs en étaient exclus. Ce qui veut dire qu'en plus du fait que les étudiants assuraient eux même le fonctionnement de l'université, ils recrutaient les professeurs et exerçaient un contrôlant constant sur la valeur et la régularité de leur enseignement et même sur leur vie privée.
Il faut parler de certains aspects de la vie des universités au XIIIème siècle. On a vu que le phénomène universitaire a présenté une unité remarquable à travers l'Europe due à l'action de la papauté notamment, cela ne signifie pas pour autant que chaque studium n'avait pas de personnalité propre. Et surtout, il faut voir ces différences en termes d'adaptation de ces institutions aux contextes politiques et sociales plus qu'à des filiations, influences, etc.... Ensuite, les universités étaient encore en développement à ce moment là. On parlait des universités comme des universitas ou des stadium. Ou plutôt universitas magistrorum et scolarium ou universitas studii. Studium signifiait établissement d'enseignement supérieur tandis qu'universitas voulait dire organisation corporative faisant fonctionner le stadium en garantissant son autonomie. L'universitas était donc dans la vie du studium la réalité fondamentale première. Elle regroupait donc ceux dont l'activité était liée à celle du studium. Mais elle les contrôlait tous. A Paris, les maîtres et les étudiants composaient l'université. Mais l'initiative appartenaient avant tout aux maîtres tandis que les étudiants étaient des suppôts des universités. A Bologne en revanche, les étudiants formaient l'université tandis que les docteurs en étaient exclus. Ce qui veut dire qu'en plus du fait que les étudiants assuraient eux même le fonctionnement de l'université, ils recrutaient les professeurs et exerçaient un contrôlant constant sur la valeur et la régularité de leur enseignement et même sur leur vie privée.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
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J'imagine que ça faire jaser les middle iq du forom mais il faut rétablir la vérité
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
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Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
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On s'en blc
Propriétaire prolo
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2 ans
J'imagine que ça faire jaser les middle iq du forom mais il faut rétablir la vérité
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
" - Aucune école (qui fait vraiment apprendre) "
Cependant, les deux types d'universités n'étaient pas si opposés que cela. Car à Bologne, la sujétion apparente n'a pas nui à la liberté individuelle ou encore à la richesse et à la puissance des docteurs en droit. Ugolino Gosia disait en parlant des étudiants : " Je leur commande et je leur obéis ". Cette situation où les honneurs n'empâchaient pas une surveillance étroite, était en accord avec les pratiques habituelles des Communes italiennes du XIIIème siècle. C'était celle des magistrats municipaux, particulièrement des podestats. Des docteurs en droit étaient alternativement podestats et professeurs. Surtout pour ce qui était des maîtres à Paris, les maîters des arts étaient prépondérants, qui avaient l'âge des étudiants de Bologne. Le recteur de la faculté des arts était le chef de l'université et les docteurs en théologie, médecine et droit avaient un rôle secondaire. Ensuite, il y avait des types mixtes au sein de certaines universités comme l'université de Toulouse où le recteur était pris parmi les docteurs. Mais où les étudiants comme les maîtres siégeaient dans les assemblées et les conseils de l'université ensemble. Ensuite, nombre de gens de métier travaillant pour l'université étaient contrôlés par elle et les universités assuraient leur protection en échange ainsi que la plupart des privilèges universitaires comme les libraires, les copistes, barbiers, apothicaires, bedeaux, etc.... Il y a eu au cours du XIIIème siècle une subdivision entre les facultés et les nations.
Cependant, les deux types d'universités n'étaient pas si opposés que cela. Car à Bologne, la sujétion apparente n'a pas nui à la liberté individuelle ou encore à la richesse et à la puissance des docteurs en droit. Ugolino Gosia disait en parlant des étudiants : " Je leur commande et je leur obéis ". Cette situation où les honneurs n'empâchaient pas une surveillance étroite, était en accord avec les pratiques habituelles des Communes italiennes du XIIIème siècle. C'était celle des magistrats municipaux, particulièrement des podestats. Des docteurs en droit étaient alternativement podestats et professeurs. Surtout pour ce qui était des maîtres à Paris, les maîters des arts étaient prépondérants, qui avaient l'âge des étudiants de Bologne. Le recteur de la faculté des arts était le chef de l'université et les docteurs en théologie, médecine et droit avaient un rôle secondaire. Ensuite, il y avait des types mixtes au sein de certaines universités comme l'université de Toulouse où le recteur était pris parmi les docteurs. Mais où les étudiants comme les maîtres siégeaient dans les assemblées et les conseils de l'université ensemble. Ensuite, nombre de gens de métier travaillant pour l'université étaient contrôlés par elle et les universités assuraient leur protection en échange ainsi que la plupart des privilèges universitaires comme les libraires, les copistes, barbiers, apothicaires, bedeaux, etc.... Il y a eu au cours du XIIIème siècle une subdivision entre les facultés et les nations.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Versali
2 ans
J'imagine que ça faire jaser les middle iq du forom mais il faut rétablir la vérité
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
" - Aucune école (qui fait vraiment apprendre) "
C'est à dire que Il y avait quatre facultés qui étaient ordonnées entre plusieurs branches du savoir selon leur hiérarchie en dignité. Il y avait d'un côté les trois facultés supérieures de théologie, de droit canonique et civil, ainsi que la faculté de droit. Ensuite, il y avait la faculté préparatoire des arts au sein de laquelle les arts libéraux étaient enseignés. En fait, nombre d'universités du XIIIème siècle n'avaient qu'entre 2 et 3 facultés. Et les papes ne voulaient pas qu'il y ait trop de facultés de théologie notamment jusqu'à la fin du XIVème siècle car les papes voulaient que Paris conserve un certain prestige et monopole. C'est pour cette raison que Toulouse n'a pas eu de faculté de théologie avant l'an 1362 tandis que Bologne a eu une 2 ans plus tard en 1364. Pour ce qui est de Montpellier, il faut attendre 1421. Pour ce qui est de Paris, les facultés se sont individualisés au cours des années 1200 1220. A la tête de ces facultés, l'assemblée des maîtres en exercice, els actu regentes, rpésidrée par un doyen élu, réglait différents aspects de la vie de la faculté notamment pour ce qui est de l'enseignement lui même, donc l'organisation des disputes ou disputales, des examens et des leçons. L'autre subdivision importante des universités étaient les nations, pas au sens où on l'entend maintenant. C'est des institutions qui se rattachaient plus directement que les facultés à l'aspect proprement corporatif des universités en ce qu'elles étaient en principe des organisations de défense mutuelle et d'entraide pour les étudiants comme pour les maîtres.
C'est à dire que Il y avait quatre facultés qui étaient ordonnées entre plusieurs branches du savoir selon leur hiérarchie en dignité. Il y avait d'un côté les trois facultés supérieures de théologie, de droit canonique et civil, ainsi que la faculté de droit. Ensuite, il y avait la faculté préparatoire des arts au sein de laquelle les arts libéraux étaient enseignés. En fait, nombre d'universités du XIIIème siècle n'avaient qu'entre 2 et 3 facultés. Et les papes ne voulaient pas qu'il y ait trop de facultés de théologie notamment jusqu'à la fin du XIVème siècle car les papes voulaient que Paris conserve un certain prestige et monopole. C'est pour cette raison que Toulouse n'a pas eu de faculté de théologie avant l'an 1362 tandis que Bologne a eu une 2 ans plus tard en 1364. Pour ce qui est de Montpellier, il faut attendre 1421. Pour ce qui est de Paris, les facultés se sont individualisés au cours des années 1200 1220. A la tête de ces facultés, l'assemblée des maîtres en exercice, els actu regentes, rpésidrée par un doyen élu, réglait différents aspects de la vie de la faculté notamment pour ce qui est de l'enseignement lui même, donc l'organisation des disputes ou disputales, des examens et des leçons. L'autre subdivision importante des universités étaient les nations, pas au sens où on l'entend maintenant. C'est des institutions qui se rattachaient plus directement que les facultés à l'aspect proprement corporatif des universités en ce qu'elles étaient en principe des organisations de défense mutuelle et d'entraide pour les étudiants comme pour les maîtres.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Versali
2 ans
J'imagine que ça faire jaser les middle iq du forom mais il faut rétablir la vérité
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
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" - Aucune école (qui fait vraiment apprendre) "
Cependant il n'y avait pas de subdivisions en nations dans toutes les universités. Ainsi à Paris il y avait 4 nations. D'abord la nation française qui accueillait en plus des étudiants de la France au sens médiéval du terme, ceux qui venaient de Midi, d'Espagne ou d'Italie. A Bologne, il y avait 14 nations dans l'université ultramontaine. Sachant que la nation germanique était la plus importante. Du côté de l'université citramontaine, il y en avait seulement 3 par comparaison. Les nations jouaient une place importante dans l'encadrement corporatif des étudiants et des maîtres. A Paris, la faculté des arts n'avait pas de réalité en dehors des 4 nations la composant tandis qu'à Bologne, l'inscription obligatoire dans une nation tenait lieu d'immatriculation à l'université pour les nouveaux venus. Les officiers des nations qu'ils soient procureurs à Paris ou conseillers à Bologne, étaient les principaux adjoints des recteurs. Pour analyser les status universitaires et voir la manière dont étaient organisés les gouvernements des universités, il y a deux sources différentes. D'abord les modèles offerts par les autres organisations corporatives de l'époque, les communes urbaines, les guildes professionnelles, etc.. Ensuite, les principes du droit antique. Pour ce qui était du pouvoir, celui ci était partagé entre les assemblées générales de l'université et les officiers élus. Les principales charges électives sont dans des endroits comme Paris, Oxford ou Bologne apparus au cours du XIIIème siècle.
Cependant il n'y avait pas de subdivisions en nations dans toutes les universités. Ainsi à Paris il y avait 4 nations. D'abord la nation française qui accueillait en plus des étudiants de la France au sens médiéval du terme, ceux qui venaient de Midi, d'Espagne ou d'Italie. A Bologne, il y avait 14 nations dans l'université ultramontaine. Sachant que la nation germanique était la plus importante. Du côté de l'université citramontaine, il y en avait seulement 3 par comparaison. Les nations jouaient une place importante dans l'encadrement corporatif des étudiants et des maîtres. A Paris, la faculté des arts n'avait pas de réalité en dehors des 4 nations la composant tandis qu'à Bologne, l'inscription obligatoire dans une nation tenait lieu d'immatriculation à l'université pour les nouveaux venus. Les officiers des nations qu'ils soient procureurs à Paris ou conseillers à Bologne, étaient les principaux adjoints des recteurs. Pour analyser les status universitaires et voir la manière dont étaient organisés les gouvernements des universités, il y a deux sources différentes. D'abord les modèles offerts par les autres organisations corporatives de l'époque, les communes urbaines, les guildes professionnelles, etc.. Ensuite, les principes du droit antique. Pour ce qui était du pouvoir, celui ci était partagé entre les assemblées générales de l'université et les officiers élus. Les principales charges électives sont dans des endroits comme Paris, Oxford ou Bologne apparus au cours du XIIIème siècle.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Versali
2 ans
J'imagine que ça faire jaser les middle iq du forom mais il faut rétablir la vérité
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
" - Aucune école (qui fait vraiment apprendre) "
Bien évidemment on ne peut pas parler des universités au Moyen Age sans parler de l'enseignement étant donné que c'était leurs fonctions principales après tout. Il faut commencer par ce que l'enseignement contenait Et les programmes consistaient principalement en des textes et en leurs lectures. Et la lecture des textes dits de base constituaient la base de l'enseignement et de la connaissance. En plus des ouvrages fondamentaux il y avait le lecture des commentaires les plus autorisés qu'ils soient anciens ou modernes qui en facilitaient la compréhension. Durant la XIIIème siècle, les gloses et sommes de professeurs sont venus compléter la liste de livres étudiés. Selon les universités, les programmes sont plus ou moins bien connus. Dans le domaine du droit, les textes de " Corpus juris canonici " ainsi que ceux du " Corpus juris civilis " étaient parmi les plus étudiés de leurs temps. Notamment dans les cours dits " ordinaires " des docteurs. Décret et Décrétales pour ce qui est du droit canonique. Concernant le droit civil c'était les 9 premiers livres du Code ainsi que le " Digeste vieux ". A Bologne, les textes étaient ceux de " l'Infortiatum ", du " Digeste neuf ", des " Institutes ", les derniers livres du " Code ", le " Liber feudorum" ou encore les " Authentica Clémentines ". Ca c'était pour le droit civil car en droit canonique on étudiait les textes des " Clémentines " et des " Authentica ". François Accurse avait au milieu du XIIIème siècle fait la synthèse des 96 000 gloses antérieures en les regroupant dans sa " Glose ordinaire ". Ainsi, des gloses furent également composées par les docteurs comme les docteurs d'Orléans et notamment Jacques de Révigny à la fin du XIIIème siècle.
Pour ce qui était de la théologie, il y a avait 2 livres particulièrement importants. D'une part la Bible, logiquement, et d'autre part le " Livre des Sentences " écrit et publié par Pierre Lombard. Ce deuxième livre était considéré comme étant important car vu comme un traité complet de dogmatique chrétienne. Les commentaires de certains théologiens modernes ainsi que les Pères sont venus s'y ajouter. Des textes plus philosophiques étaient aussi utilisés, des textes qui étaient normalement faits pour la faculté des arts. Saint Thomas ainsi que d'autres théologiens parisiens de la deuxième partie du XIIIème siècle avaient utilisé des commentateurs arabes mais aussi des oeuvres d'Aristote. Ce sont les programmes des facultés des arts qui sont moins connus. Mais avant cela, il y avait les facultés de médecine, pour lesquelles les textes fondamentaux étaient moins nombreux mais existaient quand même. Notamment des auteurs comme Constantin l'Africain, Galien ou encore Hippocrate. D'autres traités arabes complétaient le tout, ainsi que le Canon d'Avicenne. Cependant, il faut attendre le XIVème siècle pour qu'à Montpellier et des universités italiennes, les premières dissections aient lieu. Pour revenir aux facultés d'art, qui sont les moins connus.
A Paris, la grammaire continuait à décliner tandis qu'à Bologne, on étudiant les traités réthoriques de Cicéron. Sachant que les ouvrages anciens de Priscien et Donat étaient souvent remplacés par des grammaires récentes. En l'occurrence celles d'Eberhard de Béthune et d'Alexandre de Villedieu. Dans les facultés d'Oxford, de Bologne et de Padoue, on voyait la présence du quadrivium. Des traducteurs anglais travaillant en Espagne aux XIIèem et au XIIIème siècles avaient apporté nombre de traités scientifiques arabes et grecs. Robert Grosseteste, professeur et chancelier d'Oxford puis évêque de Lincoln, ainsi que le franciscain Roger Bacon avaient illustré cette école scientifique, par leurs travaux notamment sur la lumière, d'où toute préoccupation métaphysique n'était pas absente. On étudiait par contre toujours beaucoup la dialectique à Paris avec les oeuvres de Gilbert de La Porrée ou encore " l'Organon " d'Aristote. En bref, la faculté d'art s'est transformée et est passée du stade de simpel faculté préparant aux études supérieures de théologie et de droit à un état de faculté autonome. Avec un accent mis sur les études de problèmes philosophiques et les études de livres. Même si cela se fait dans une perspective différence des facultés de théologie.
Il y avait deux types d'exercice typiques dans les facultés. C'est à dire qu'il y avait d'abord la leçon, c'est à dire lectio. Ensuite il y avait la dispute, soit la disputatio. Dans le premier cas il s'agissait de faire savoir les références que l'étudiant devait connaître.et pour que l'étudiant maîtrise la discipline étudiée. Pour ce qui est de la seconde. il s'agissait d'abord pour le professeur d'approfondir des questions de manière plus libres dans le cadre d'un commentaire de texte. Et bien sûr pour l'étudiant c'était le moment de montrer ses capacités en dialectique et sa capacité de raisonnement. Pour ce qui était des leçons, il y avait une distinction entre les leçons ordinaires et extraordinaires. Les leçons ordinaires étaient faites par les maîtres sur les livres parmi les plus importants du programme en début de matinée. Ensuite, en fin de matinée, il y avait les leçons dites extraordinaires effectuées par les bacheliers. Ou alors durant l'après midi. Il s'agissait pour le professeur de lire le texte à expliquer. Durant sa lecture, il s'interrompait parfois pour faire un commentaire explicatif. Pendant ce temps, les étudiants prenaient des notes ou suivaient sur leur propre exemplaire. Les disputes constituaient des exercices originaux et s'apparentant plus à la méthode scolastique. Les meilleurs professeurs se sont souvent consacrés aux disputes aux lieu des cours qu'ils laissent aux bacheliers. Ce n'est pas pour rien que Saint Thomas avait organisé 518 séjours, ce qui veut dire 2 par semaine environ.
Bien évidemment on ne peut pas parler des universités au Moyen Age sans parler de l'enseignement étant donné que c'était leurs fonctions principales après tout. Il faut commencer par ce que l'enseignement contenait Et les programmes consistaient principalement en des textes et en leurs lectures. Et la lecture des textes dits de base constituaient la base de l'enseignement et de la connaissance. En plus des ouvrages fondamentaux il y avait le lecture des commentaires les plus autorisés qu'ils soient anciens ou modernes qui en facilitaient la compréhension. Durant la XIIIème siècle, les gloses et sommes de professeurs sont venus compléter la liste de livres étudiés. Selon les universités, les programmes sont plus ou moins bien connus. Dans le domaine du droit, les textes de " Corpus juris canonici " ainsi que ceux du " Corpus juris civilis " étaient parmi les plus étudiés de leurs temps. Notamment dans les cours dits " ordinaires " des docteurs. Décret et Décrétales pour ce qui est du droit canonique. Concernant le droit civil c'était les 9 premiers livres du Code ainsi que le " Digeste vieux ". A Bologne, les textes étaient ceux de " l'Infortiatum ", du " Digeste neuf ", des " Institutes ", les derniers livres du " Code ", le " Liber feudorum" ou encore les " Authentica Clémentines ". Ca c'était pour le droit civil car en droit canonique on étudiait les textes des " Clémentines " et des " Authentica ". François Accurse avait au milieu du XIIIème siècle fait la synthèse des 96 000 gloses antérieures en les regroupant dans sa " Glose ordinaire ". Ainsi, des gloses furent également composées par les docteurs comme les docteurs d'Orléans et notamment Jacques de Révigny à la fin du XIIIème siècle.
Pour ce qui était de la théologie, il y a avait 2 livres particulièrement importants. D'une part la Bible, logiquement, et d'autre part le " Livre des Sentences " écrit et publié par Pierre Lombard. Ce deuxième livre était considéré comme étant important car vu comme un traité complet de dogmatique chrétienne. Les commentaires de certains théologiens modernes ainsi que les Pères sont venus s'y ajouter. Des textes plus philosophiques étaient aussi utilisés, des textes qui étaient normalement faits pour la faculté des arts. Saint Thomas ainsi que d'autres théologiens parisiens de la deuxième partie du XIIIème siècle avaient utilisé des commentateurs arabes mais aussi des oeuvres d'Aristote. Ce sont les programmes des facultés des arts qui sont moins connus. Mais avant cela, il y avait les facultés de médecine, pour lesquelles les textes fondamentaux étaient moins nombreux mais existaient quand même. Notamment des auteurs comme Constantin l'Africain, Galien ou encore Hippocrate. D'autres traités arabes complétaient le tout, ainsi que le Canon d'Avicenne. Cependant, il faut attendre le XIVème siècle pour qu'à Montpellier et des universités italiennes, les premières dissections aient lieu. Pour revenir aux facultés d'art, qui sont les moins connus.
A Paris, la grammaire continuait à décliner tandis qu'à Bologne, on étudiant les traités réthoriques de Cicéron. Sachant que les ouvrages anciens de Priscien et Donat étaient souvent remplacés par des grammaires récentes. En l'occurrence celles d'Eberhard de Béthune et d'Alexandre de Villedieu. Dans les facultés d'Oxford, de Bologne et de Padoue, on voyait la présence du quadrivium. Des traducteurs anglais travaillant en Espagne aux XIIèem et au XIIIème siècles avaient apporté nombre de traités scientifiques arabes et grecs. Robert Grosseteste, professeur et chancelier d'Oxford puis évêque de Lincoln, ainsi que le franciscain Roger Bacon avaient illustré cette école scientifique, par leurs travaux notamment sur la lumière, d'où toute préoccupation métaphysique n'était pas absente. On étudiait par contre toujours beaucoup la dialectique à Paris avec les oeuvres de Gilbert de La Porrée ou encore " l'Organon " d'Aristote. En bref, la faculté d'art s'est transformée et est passée du stade de simpel faculté préparant aux études supérieures de théologie et de droit à un état de faculté autonome. Avec un accent mis sur les études de problèmes philosophiques et les études de livres. Même si cela se fait dans une perspective différence des facultés de théologie.
Il y avait deux types d'exercice typiques dans les facultés. C'est à dire qu'il y avait d'abord la leçon, c'est à dire lectio. Ensuite il y avait la dispute, soit la disputatio. Dans le premier cas il s'agissait de faire savoir les références que l'étudiant devait connaître.et pour que l'étudiant maîtrise la discipline étudiée. Pour ce qui est de la seconde. il s'agissait d'abord pour le professeur d'approfondir des questions de manière plus libres dans le cadre d'un commentaire de texte. Et bien sûr pour l'étudiant c'était le moment de montrer ses capacités en dialectique et sa capacité de raisonnement. Pour ce qui était des leçons, il y avait une distinction entre les leçons ordinaires et extraordinaires. Les leçons ordinaires étaient faites par les maîtres sur les livres parmi les plus importants du programme en début de matinée. Ensuite, en fin de matinée, il y avait les leçons dites extraordinaires effectuées par les bacheliers. Ou alors durant l'après midi. Il s'agissait pour le professeur de lire le texte à expliquer. Durant sa lecture, il s'interrompait parfois pour faire un commentaire explicatif. Pendant ce temps, les étudiants prenaient des notes ou suivaient sur leur propre exemplaire. Les disputes constituaient des exercices originaux et s'apparentant plus à la méthode scolastique. Les meilleurs professeurs se sont souvent consacrés aux disputes aux lieu des cours qu'ils laissent aux bacheliers. Ce n'est pas pour rien que Saint Thomas avait organisé 518 séjours, ce qui veut dire 2 par semaine environ.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Versali
2 ans
J'imagine que ça faire jaser les middle iq du forom mais il faut rétablir la vérité
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
"La France au Moyen Age du Vème au XVème siècle. Claude Gauvard.
La dynastie des Valois s'impose.
Charles V est fils aîné de Jean le Bon et de Bonne de Luxembourg laquelle meurt dès 1349. Il est le premier des futurs rois de France à prendre le titre de dauphin ou de dauphin de Viennois exactement. Il le doit à la donation du Dauphiné que fait Humbert II en 1349 qui règne entre 1333 et 1349 et qui n'a pas d'héritier. La vie de Charles V est connue par le récit de Christine de Pizan notamment qui écrit au début du XVème siècle une sorte de panégyrique où elle mêle ses souvenirs personnels et description du gouvernement d'un prince idéal. "Le livre des faits et bonnes moeurs du sage roi Charles le Quint ". Malgré son enthousiasme elle admet qu'en sa jeunesse, Charles a commis des erreurs propres à cet âge de folie. Notamment en 1356 le dauphin alors duc de Normandie prête une oreille trop complaisante aux vues poursuivis par Charles de Navarre aux dépends de sa fidélité au roi Jeanle Bon. Avec les circonstances suivant la bataille de Poitiers, la dauphin entre en première ligne de la vie politique.
Christine de Pizan décrit le roi ainsi : " De corps, il était haut et bien formé, droit et large par les épaules et étroit par les flancs. Il avait de gros bras et de beaux membres, aussi correspondant au corps qu'il convenait; le visage de beau tour, un peu longuet. Il avait le front haut et de larges sourcils en archets, les yeux de belle forme, bien assis, châtelains en couleur et arrêtés en regard, haut nez assez et bouche non trop petite et lèvres ténues. Il était assez barbu et avait les os des joues un peu haut, le poil ni blond ni noir, la carnation brun clair. Il avait le visage très pâle et je crois que cela, et aussi le fait qu'il était très maigre, lui était venu par accident de maladie et non par sa propre condition. " Elle accrédite l'idée d'un roi aux traits tempérés, dont le physique prédispose à la sagesse et une certaine fragilité. mais à une période où l'apparence révèle l'intérieur d'un être et donne à voir au premier coup d'oeil la condition sociale de l'individu, cette fragilité ne convient pas à un roi. Elle ne peut qu'être accidentelle. Quelles maladies donc? De la goutte peut être. Charles V n'aime pas manier l'épée. Il préfère utiliser ses qualités oratoires et son goût de la procédure. De Pizan parle de la belle parure du roi. Charles V a surtout le sens du devoir. Il change d'habits une fois arrivé au pouvoir ce qui a un sens car au XVème siècle on reconnait aussi l'individu à son vêtement. Il délaisse l'habit court des chevaliers pour prendre la robe longue des clercs et officiers experts en droit, comme s'il voulait montrer qu'il embrassait la sagesse, sagesse qu'il tient de sa propre culture et des conseils qu'il demande aux " prud'hommes qui l'entourent et notamment des clercs. Il est porté dans les discussions politiques à l'image du fait qu'il interroge Pétrarque, grand poète italien sur la fortune.
La fortune est elle une roue décidant aveuglément du sort des hommes ou bien peut elle être tempérée par la vertu? Que révèlent les astres des événements politiques? Charles V s'intéresse aussi à l'astrologie. Il fait venir Thomas de Pizan, le père de Christine pour cela. Charles V fait traduire en français " la politique " d'Aristote, " La cité de Dieu " de saint Augustin et le " Policraticus " de Jean de Salisbury. Cette sagesse qui emprunte aux modèles antiques est aussi chrétienne. Charles V est d'ailleurs le premier roi de France à être appelé " très chrétien " par ses contemporains même si cette référence n'entre pas dans la littérature officielle du roi de France avant le règne de Louis XI. Sa journée se divise entre messe, prières et décisions politiques. A sa salle du conseil il va à la chapelle. Il prie pour que son royaume soit préservé du péché. Lors de grandes fêtes liturgiques il confère des grâces royales ou parfois le vendredi, jour rappelant la mort du Christ. On voit là que l'exercice du pouvoir royal est devenu religieux jusque dans son exercice quotidien. Impossible d'opposer dans cet Etat ce qui relève du domaine laic et religieux. Cela veut au roi le soutien des clercs notamment des prélats lui devant en partie leur promotion car le roi est en collaboration avec les papes d'Avignon, ce qui ne signifie pas que l'Eglise a un droit de regard sur la politique du roi même si à ce moment là l'Etat se développe dans le giron de l'Eglise. Charles V prenait souvent conseil quand il était jeune auprès de son oncle maternel qui était l'empereur Charles IV de Luxembourg. De plus Charles V gouvernait aussi avec ses frères, Louis Ier, duc d'Anjou, Philippe le Hardi, duc de Bourgogne, Jean, duc de Barry et Louis II, son beau frère, duc de Bourbon, lesquels se disent princes du sang. La reconquête du royaume est en cours avec l'Anjou, la Maine, la Touraine et le Loudunois pour Louis; le Berry puis l'Auvergne et le Poitou pour Jean.
En 1364, Philippe le Hardi reçoit le duché de Bourgogne et en 1369 on y ajoute la promesse du compte de Flandre, de l'Artois, de Rethel et de la Franche Compté car Philippe malgré les prétentions anglaises a réussit à épouser Marguerite de Flandre, unique héritière du comte de Flandre, Louis de Male. Point de contradiction entre force reconnue à la couronne et l'apanage, l'apanage étant un don qui augmente l'amour entre les frères obligeant celui qui reçoit à une fidélité renforcée envers celui qui le donne. Or celui qui donne est le détenteur de la couronne si le prince apanagé n'a pas d'héritage mâle. A noter que les princes du sang n'ont pas de charges dans le gouvernement central mais doivent administrer la périphérie du royaume et reviennent souvent siéger au Conseil du roi à Paris où ils entretiennent de somptueux hôtels. Au delà des princes de sang et du clergé, le roi peut compter sur la noblesse. Contrairement à une idée reçue, Charles V ne gouverne pas avec les bourgeois. L'expérience de 1356 1358 lui ayant servi de leçon il s'entoure de nobles voire de clercs souvent d'origine noble. Parfois le roi appelle des non nobles lesquels sont anoblis. Les réformateurs modérés choisissant de quitter Paris pour soutenir le dauphin sont les porte paroles des intérêts nobiliaires et ils obtiennent en 1360 la création d'une monnaie stable et ce sont eux qui en 1363 imposent à l'assemblée d'Amiens une nouvelle fiscalité pour payer la rançon du roi. Un impôt dont ils sont exemptés désormais. Une fois au pouvoir, Charles V continue de gouverner avec ces réformateurs fidèles aux Valois, notamment Guillaume de Melun, l'archevêque de Reims. A cela s'ajoute Louis d'Etampes, l'archevêque Jean de Craon, prince d'Eglise et d'Empire, des grands nobles que sont Olivier de Clisson, Jean de Vienne, Enguerrand de Coucy, des chevaliers comme Bureau de La Rivière, Bertrand Du Guesclin, ou encore Philippe de Mézières qui donne le souffle d'un idéal de croisade à la noblesse.
La dynastie des Valois s'impose.
Charles V est fils aîné de Jean le Bon et de Bonne de Luxembourg laquelle meurt dès 1349. Il est le premier des futurs rois de France à prendre le titre de dauphin ou de dauphin de Viennois exactement. Il le doit à la donation du Dauphiné que fait Humbert II en 1349 qui règne entre 1333 et 1349 et qui n'a pas d'héritier. La vie de Charles V est connue par le récit de Christine de Pizan notamment qui écrit au début du XVème siècle une sorte de panégyrique où elle mêle ses souvenirs personnels et description du gouvernement d'un prince idéal. "Le livre des faits et bonnes moeurs du sage roi Charles le Quint ". Malgré son enthousiasme elle admet qu'en sa jeunesse, Charles a commis des erreurs propres à cet âge de folie. Notamment en 1356 le dauphin alors duc de Normandie prête une oreille trop complaisante aux vues poursuivis par Charles de Navarre aux dépends de sa fidélité au roi Jeanle Bon. Avec les circonstances suivant la bataille de Poitiers, la dauphin entre en première ligne de la vie politique.
Christine de Pizan décrit le roi ainsi : " De corps, il était haut et bien formé, droit et large par les épaules et étroit par les flancs. Il avait de gros bras et de beaux membres, aussi correspondant au corps qu'il convenait; le visage de beau tour, un peu longuet. Il avait le front haut et de larges sourcils en archets, les yeux de belle forme, bien assis, châtelains en couleur et arrêtés en regard, haut nez assez et bouche non trop petite et lèvres ténues. Il était assez barbu et avait les os des joues un peu haut, le poil ni blond ni noir, la carnation brun clair. Il avait le visage très pâle et je crois que cela, et aussi le fait qu'il était très maigre, lui était venu par accident de maladie et non par sa propre condition. " Elle accrédite l'idée d'un roi aux traits tempérés, dont le physique prédispose à la sagesse et une certaine fragilité. mais à une période où l'apparence révèle l'intérieur d'un être et donne à voir au premier coup d'oeil la condition sociale de l'individu, cette fragilité ne convient pas à un roi. Elle ne peut qu'être accidentelle. Quelles maladies donc? De la goutte peut être. Charles V n'aime pas manier l'épée. Il préfère utiliser ses qualités oratoires et son goût de la procédure. De Pizan parle de la belle parure du roi. Charles V a surtout le sens du devoir. Il change d'habits une fois arrivé au pouvoir ce qui a un sens car au XVème siècle on reconnait aussi l'individu à son vêtement. Il délaisse l'habit court des chevaliers pour prendre la robe longue des clercs et officiers experts en droit, comme s'il voulait montrer qu'il embrassait la sagesse, sagesse qu'il tient de sa propre culture et des conseils qu'il demande aux " prud'hommes qui l'entourent et notamment des clercs. Il est porté dans les discussions politiques à l'image du fait qu'il interroge Pétrarque, grand poète italien sur la fortune.
La fortune est elle une roue décidant aveuglément du sort des hommes ou bien peut elle être tempérée par la vertu? Que révèlent les astres des événements politiques? Charles V s'intéresse aussi à l'astrologie. Il fait venir Thomas de Pizan, le père de Christine pour cela. Charles V fait traduire en français " la politique " d'Aristote, " La cité de Dieu " de saint Augustin et le " Policraticus " de Jean de Salisbury. Cette sagesse qui emprunte aux modèles antiques est aussi chrétienne. Charles V est d'ailleurs le premier roi de France à être appelé " très chrétien " par ses contemporains même si cette référence n'entre pas dans la littérature officielle du roi de France avant le règne de Louis XI. Sa journée se divise entre messe, prières et décisions politiques. A sa salle du conseil il va à la chapelle. Il prie pour que son royaume soit préservé du péché. Lors de grandes fêtes liturgiques il confère des grâces royales ou parfois le vendredi, jour rappelant la mort du Christ. On voit là que l'exercice du pouvoir royal est devenu religieux jusque dans son exercice quotidien. Impossible d'opposer dans cet Etat ce qui relève du domaine laic et religieux. Cela veut au roi le soutien des clercs notamment des prélats lui devant en partie leur promotion car le roi est en collaboration avec les papes d'Avignon, ce qui ne signifie pas que l'Eglise a un droit de regard sur la politique du roi même si à ce moment là l'Etat se développe dans le giron de l'Eglise. Charles V prenait souvent conseil quand il était jeune auprès de son oncle maternel qui était l'empereur Charles IV de Luxembourg. De plus Charles V gouvernait aussi avec ses frères, Louis Ier, duc d'Anjou, Philippe le Hardi, duc de Bourgogne, Jean, duc de Barry et Louis II, son beau frère, duc de Bourbon, lesquels se disent princes du sang. La reconquête du royaume est en cours avec l'Anjou, la Maine, la Touraine et le Loudunois pour Louis; le Berry puis l'Auvergne et le Poitou pour Jean.
En 1364, Philippe le Hardi reçoit le duché de Bourgogne et en 1369 on y ajoute la promesse du compte de Flandre, de l'Artois, de Rethel et de la Franche Compté car Philippe malgré les prétentions anglaises a réussit à épouser Marguerite de Flandre, unique héritière du comte de Flandre, Louis de Male. Point de contradiction entre force reconnue à la couronne et l'apanage, l'apanage étant un don qui augmente l'amour entre les frères obligeant celui qui reçoit à une fidélité renforcée envers celui qui le donne. Or celui qui donne est le détenteur de la couronne si le prince apanagé n'a pas d'héritage mâle. A noter que les princes du sang n'ont pas de charges dans le gouvernement central mais doivent administrer la périphérie du royaume et reviennent souvent siéger au Conseil du roi à Paris où ils entretiennent de somptueux hôtels. Au delà des princes de sang et du clergé, le roi peut compter sur la noblesse. Contrairement à une idée reçue, Charles V ne gouverne pas avec les bourgeois. L'expérience de 1356 1358 lui ayant servi de leçon il s'entoure de nobles voire de clercs souvent d'origine noble. Parfois le roi appelle des non nobles lesquels sont anoblis. Les réformateurs modérés choisissant de quitter Paris pour soutenir le dauphin sont les porte paroles des intérêts nobiliaires et ils obtiennent en 1360 la création d'une monnaie stable et ce sont eux qui en 1363 imposent à l'assemblée d'Amiens une nouvelle fiscalité pour payer la rançon du roi. Un impôt dont ils sont exemptés désormais. Une fois au pouvoir, Charles V continue de gouverner avec ces réformateurs fidèles aux Valois, notamment Guillaume de Melun, l'archevêque de Reims. A cela s'ajoute Louis d'Etampes, l'archevêque Jean de Craon, prince d'Eglise et d'Empire, des grands nobles que sont Olivier de Clisson, Jean de Vienne, Enguerrand de Coucy, des chevaliers comme Bureau de La Rivière, Bertrand Du Guesclin, ou encore Philippe de Mézières qui donne le souffle d'un idéal de croisade à la noblesse.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Versali
2 ans
J'imagine que ça faire jaser les middle iq du forom mais il faut rétablir la vérité
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
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Les opérations militaires ne se terminent pas lors de la mort de Charles V en 1380. C'est une guerre longue où il n'y a pas de batailles décisives mais plus des escarmouches. La guerre défensive prend le pas et le roi travaille dans son cabinet de travail, étudiant l'art de la guerre des Anciens notamment l'oeuvre de Végèce. Il sait quelle place accorder au commandement, comment pratiquer la guerre de siège, etc... Le roi veut éviter, d'expérience, la bataille. Pour gagner la guerre, il sait qu'il a besoin d'alliances diplomatiques, de chefs militaires dévoués et compétents, une meilleure organisation de son armée ainsi qu'une mise en défense de son royaume. Pour ce qui est des alliances, Charles V s'allie avec la Castille et l'Ecosse tout en obtenant la neutralité de la Flandre en cédant les châtelleries annexés par Philippe le Bel. Le mariage entre Philippe le Hardi avec Marguerite de Flandre crée pour la suite, un appui sûr. Pour ce qui est des chefs de guerre, une place non négligeable est donné à certains de ses frères, à savoir Jean de Berry et Louis d'Anjou. En 1370 il demande à Bertrand Du Guesclin d'accepter l'épée de connétable lequel allie popularité et compétence. Du Guesclin est quelqu'un qui aime l'aventure et qui s'y connait en guerre, un peu comme les routiers avec quelques différences. Il aime les exploits chevaleresques. En Bretagne, son deuxième mariage l'unit à Jeanne de Laval. Bertrand Du Guesclin meurt le 13 juillet 1380 et Charles V demande à ce que son corps soit inhumé dans la nécropole royale de l'abbaye de Saint Denis. Olivier de Clisson, un grand noble breton ayant quitté le service des anglais pour celui de Charles V, vient conforter Du Guesclin qu'il remplace à sa mort comme connétable. Sur la mer, c'est l'amiral Jean de Vienne qui commande la flotte. Au total plus de 40 capitaines qui entre 1369 et 1380 jouent un rôle régulier. Ils sont tous nobles et la plupart sont chevaliers.
Puis il y a la mise en défense avec des murailles pour protéger villes et châteaux et les habitants peuvent être requis pour faire le guet ou monter la garde. On assiste quasiment à une économie de guerre finalement. Cela rend les chevauchées anglaises sans trop de conséquences. Les habitants en cas de situation extrême, pratiquent même la technique de la terre brûlée. Enfin pour ce qui est de l'armée, elle comporte un noyau permanent avec 2 400 hommes d'armes, 600 arbalétriers à cheval et 400 arbalétriers à pied soit 3 400 hommes. Ces troupes permanentes peuvent atteindre 5 400 hommes en ajoutant des retenues supplémentaires lors des campagnes. Soit à peu près autant que les anglais. Cette armée est régulièrement payée et depuis 1363, les impôts rentrent sans avoir recours à des assemblées d'états. Impôts qui avaient été justifiés par la rançon pour la libération de Jean le Bon. En 1370, une chevauchée anglaise s'épuise et se termine dans la Maine à Pontvillain où Du Guesclin vainc. Le Prince Noir mène une autre chevauchée jusqu'à Limoges mais le rend impopulaire. En septembre 1372, les Castillans remportent une victoire navale devant la Rochelle ce qui lui permet de rallier la noblesse de Poitou. Les coups de main se succèdent sur des fronts qui se multiplient. Jean IV de Bretagne entre en guerre pour soutenir les anglais ce qui fait qu'il perd pour un temps son duché en 1373. Le roi d'Angleterre n'a en 1374 plus que Bayonne, Bordeaux et Calais. La trêve poussée par le pape Grégoire XI ne débouche pas sur la paix. Pas question pour le roi de France d'abandonner sa souveraineté, ce qui fait que la guerre reprend en 1377. A ce moment là le royaume d'Angleterre est affaibli par les décès successifs du Prince Noir en 1376 ainsi que d'Edouard III en 1377. Edouard II l'hériter est seulement mineur et les ambitions de Charles de Navarre n'arrangent rien. En 1378, celui ci est défait et perd ses possession territoriales.
Le roi veut en finir avec la Bretagne en la rattachant au domaine royal. Du Guesclin, sans doute attaché à u ne certaine forme d'indépendance du duché de Bretagne, est réticent. Il préfère s'éloigner et sur la route il lutte contre des routiers, mettant le siège à Château Randon, où il meurt. Les Bretons non nobles et nobles se soulèvent, au point que Jean IV de Montfort retrouve son titre qui lui est officiellement reconnu au deuxième traité de Guérande en 1381. Les Anglais de Guyenne résistent et au printemps 1380, Charles V propose aux anglais de leur céder toute la Guyenne au sud de Dordogne et de marier sa fille Catherine de France avec Richard II. Le conseil royal d'Angleterre refuse e préfère une nouvelle chevauchée qui n'aboutit pas. Quand Charles V meurt le 16 septembre 1380, le travail reste à finir. Durant son règne, Charles V avait fait commenté la Loi salique pour exclure les femmes de la couronne et en 1374 il publie 2 ordonnances qui règlent la succession royale. La loi salique est la loi des Francs saliens. De base il n'y a pas de mention claire sur la dévotion des biens mais précise seulement en son article 62 que la terre des ancêtres ou terra salica doit échoir obligatoirement à un héritier de sexe masculin. Malgré cela dans les faits les filles ont hérité et eu des terres notamment si les fils venaient à manquer. En 1328 quand Philippe VI de Valois devient roi au détriment d'Edouard III et de Charles de Navarre, héritiers directs en ligne féminine, la Loi salique n'est pas invoqué comme argument. Au milieu du XIVème siècle, succès de leurs actions militaires et propagande remet en cause la légitimité de la dynastie des Valois. Un manuscrit conservé dans la bibliothèque de l'abbaye de Saint Denis contient le texte de la loi des Francs saliens : il est exhumé et commenté à l'aide de généalogies royales qui se font succéder les rois de France en ligne masculine depuis les Mérovingiens. C'est un texte fondateur.
Il suffit de confondre terre des ancêtres avec le royaume et d'utiliser les références passées. Les 2 ordonnances de 1374 d'août et octobre ont pour objectif de régler la succession royale. Jusque là le pouvoir royal n'était pas forcément détenu par le fils aîné après la mort de son père dans l'immédiat. C'est depuis le XIIème siècle que cette idée se développe, consistant à dire que le roi est détenteur d'un double corps, à savoir un corps naturel soumis aux contingences de la mort et un corps mystique incarnant l'Etat et ne mourant jamais. Charles V comme solution abaisse l'âge de la majorité des rois de France, cette dernière étant désormais fixée à 14 ans. A 14 ans, le dauphin doit devenir roi et il peut choisir lui même la date de son sacre. La pensée de Charles V est à la fois imprégnée par celle d'Aristote et par le droit romain, le premier étant porté aux influences démocratiques et l'autre au dirigisme. Le premier courant est incarné par Nicole Oresme, principal traducteur d'Aristote dont les textes sont connus en latin depuis le XIIIème siècle. Il était théologien et avant cela ancien élève et grand maître du Collège de Navarre en 1356 avant de finir sa vie comme évêque de Lisieux. Il passe d'un soutien à Charles de Navarre dont il attend des réformes, au soutien des Valois vers 1360. Oresme insiste sur l'importance de la communauté des sujets dans le gouvernement du royaume. Charles V s'inspire de son " Traité sur la monnaie " rédigé en 1355 ou 1356 pour arrêter les dévaluations et tente de conserver une monnaie stable. Le deuxième courant est d'inspiration juridique et représenté par Evrard de Trémaugnon qui est docteur en droit civil et en droit canon qui a fait ses études de droit à Bologne probablement. Il enseignait à la faculté de Paris, la faculté de droit canon.
Il devient évêque de Dol après avoir été maitre des requêtes de l'hôtel du roi. Il est l'auteur de " Songe du vergier " résumant la pensée politique du règne de Charles V, lequel a été rédigé en latin en 1376 avant d'être traduit en français en 1378. Aussi, Charles V est un mécène reprenant à son compte et développant la tradition des mécénats des Valois. Il accumule des manuscrits transférés au Louvres sous la garde de Filles Malet, un spécialiste. Cette librairie du Louvres avait plus de 1 000 manuscrits. La bibliothèque pontificale avait 2 000 volumes. La bibliothèque royale reste l'égale des grandes bibliothèques monastiques et universitaires parisiennes comme celle du collège de Sorbonne ou celle de l'abbaye de Saint Victor. Charles V est également un roi bâtisseur ayant fait construire à Paris une nouvelle enceinte sur la rive droite. Il a embellit l'hôtel Saint Pol à proximité de l'hôtel de Sens et le Louvre et ce sont désormais des résidences privées séparées désormais du siège du gouvernement restant au Palais de la CIté. Des châteaux aux alentours de Paris sont soit bâtis soit agrandis, notamment ceux de Vincennes, de Saint Germain en Laye, de Montereau, de Melun, de Creil ou de Beauté sur Marne. le roi protège des fondations religieuses comme celles des célestins dont l'ordre, introduit en France par Philippe le Bel, appuie la royauté. La plupart de ces édifices ont été détruits de même que les sculptures à part des gisants montrant l'influence flamande de Jean de Liège. Ce mécénat a aussi un but politique pour faire connaître et célébrer l'image du roi et son action. L'art est un moyen d'accroître le prestige royal, de même que la cour d'ailleurs, par sa tenue. Cette dernière est fréquentée par nombre de lettrés et d'artistes. Dans " Songe du Vergier " on voit qu'il y a de longs échanges. L'Ars Nova est un concept diffusée grandement par l'oeuvre de Guillaume de Machaut dans le domaine musical.
Ce nouvel art musical élaboré et hermétique est prisé par des nobles. A la cour du roi s'applique un protocole au service de la majesté royale.
Les opérations militaires ne se terminent pas lors de la mort de Charles V en 1380. C'est une guerre longue où il n'y a pas de batailles décisives mais plus des escarmouches. La guerre défensive prend le pas et le roi travaille dans son cabinet de travail, étudiant l'art de la guerre des Anciens notamment l'oeuvre de Végèce. Il sait quelle place accorder au commandement, comment pratiquer la guerre de siège, etc... Le roi veut éviter, d'expérience, la bataille. Pour gagner la guerre, il sait qu'il a besoin d'alliances diplomatiques, de chefs militaires dévoués et compétents, une meilleure organisation de son armée ainsi qu'une mise en défense de son royaume. Pour ce qui est des alliances, Charles V s'allie avec la Castille et l'Ecosse tout en obtenant la neutralité de la Flandre en cédant les châtelleries annexés par Philippe le Bel. Le mariage entre Philippe le Hardi avec Marguerite de Flandre crée pour la suite, un appui sûr. Pour ce qui est des chefs de guerre, une place non négligeable est donné à certains de ses frères, à savoir Jean de Berry et Louis d'Anjou. En 1370 il demande à Bertrand Du Guesclin d'accepter l'épée de connétable lequel allie popularité et compétence. Du Guesclin est quelqu'un qui aime l'aventure et qui s'y connait en guerre, un peu comme les routiers avec quelques différences. Il aime les exploits chevaleresques. En Bretagne, son deuxième mariage l'unit à Jeanne de Laval. Bertrand Du Guesclin meurt le 13 juillet 1380 et Charles V demande à ce que son corps soit inhumé dans la nécropole royale de l'abbaye de Saint Denis. Olivier de Clisson, un grand noble breton ayant quitté le service des anglais pour celui de Charles V, vient conforter Du Guesclin qu'il remplace à sa mort comme connétable. Sur la mer, c'est l'amiral Jean de Vienne qui commande la flotte. Au total plus de 40 capitaines qui entre 1369 et 1380 jouent un rôle régulier. Ils sont tous nobles et la plupart sont chevaliers.
Puis il y a la mise en défense avec des murailles pour protéger villes et châteaux et les habitants peuvent être requis pour faire le guet ou monter la garde. On assiste quasiment à une économie de guerre finalement. Cela rend les chevauchées anglaises sans trop de conséquences. Les habitants en cas de situation extrême, pratiquent même la technique de la terre brûlée. Enfin pour ce qui est de l'armée, elle comporte un noyau permanent avec 2 400 hommes d'armes, 600 arbalétriers à cheval et 400 arbalétriers à pied soit 3 400 hommes. Ces troupes permanentes peuvent atteindre 5 400 hommes en ajoutant des retenues supplémentaires lors des campagnes. Soit à peu près autant que les anglais. Cette armée est régulièrement payée et depuis 1363, les impôts rentrent sans avoir recours à des assemblées d'états. Impôts qui avaient été justifiés par la rançon pour la libération de Jean le Bon. En 1370, une chevauchée anglaise s'épuise et se termine dans la Maine à Pontvillain où Du Guesclin vainc. Le Prince Noir mène une autre chevauchée jusqu'à Limoges mais le rend impopulaire. En septembre 1372, les Castillans remportent une victoire navale devant la Rochelle ce qui lui permet de rallier la noblesse de Poitou. Les coups de main se succèdent sur des fronts qui se multiplient. Jean IV de Bretagne entre en guerre pour soutenir les anglais ce qui fait qu'il perd pour un temps son duché en 1373. Le roi d'Angleterre n'a en 1374 plus que Bayonne, Bordeaux et Calais. La trêve poussée par le pape Grégoire XI ne débouche pas sur la paix. Pas question pour le roi de France d'abandonner sa souveraineté, ce qui fait que la guerre reprend en 1377. A ce moment là le royaume d'Angleterre est affaibli par les décès successifs du Prince Noir en 1376 ainsi que d'Edouard III en 1377. Edouard II l'hériter est seulement mineur et les ambitions de Charles de Navarre n'arrangent rien. En 1378, celui ci est défait et perd ses possession territoriales.
Le roi veut en finir avec la Bretagne en la rattachant au domaine royal. Du Guesclin, sans doute attaché à u ne certaine forme d'indépendance du duché de Bretagne, est réticent. Il préfère s'éloigner et sur la route il lutte contre des routiers, mettant le siège à Château Randon, où il meurt. Les Bretons non nobles et nobles se soulèvent, au point que Jean IV de Montfort retrouve son titre qui lui est officiellement reconnu au deuxième traité de Guérande en 1381. Les Anglais de Guyenne résistent et au printemps 1380, Charles V propose aux anglais de leur céder toute la Guyenne au sud de Dordogne et de marier sa fille Catherine de France avec Richard II. Le conseil royal d'Angleterre refuse e préfère une nouvelle chevauchée qui n'aboutit pas. Quand Charles V meurt le 16 septembre 1380, le travail reste à finir. Durant son règne, Charles V avait fait commenté la Loi salique pour exclure les femmes de la couronne et en 1374 il publie 2 ordonnances qui règlent la succession royale. La loi salique est la loi des Francs saliens. De base il n'y a pas de mention claire sur la dévotion des biens mais précise seulement en son article 62 que la terre des ancêtres ou terra salica doit échoir obligatoirement à un héritier de sexe masculin. Malgré cela dans les faits les filles ont hérité et eu des terres notamment si les fils venaient à manquer. En 1328 quand Philippe VI de Valois devient roi au détriment d'Edouard III et de Charles de Navarre, héritiers directs en ligne féminine, la Loi salique n'est pas invoqué comme argument. Au milieu du XIVème siècle, succès de leurs actions militaires et propagande remet en cause la légitimité de la dynastie des Valois. Un manuscrit conservé dans la bibliothèque de l'abbaye de Saint Denis contient le texte de la loi des Francs saliens : il est exhumé et commenté à l'aide de généalogies royales qui se font succéder les rois de France en ligne masculine depuis les Mérovingiens. C'est un texte fondateur.
Il suffit de confondre terre des ancêtres avec le royaume et d'utiliser les références passées. Les 2 ordonnances de 1374 d'août et octobre ont pour objectif de régler la succession royale. Jusque là le pouvoir royal n'était pas forcément détenu par le fils aîné après la mort de son père dans l'immédiat. C'est depuis le XIIème siècle que cette idée se développe, consistant à dire que le roi est détenteur d'un double corps, à savoir un corps naturel soumis aux contingences de la mort et un corps mystique incarnant l'Etat et ne mourant jamais. Charles V comme solution abaisse l'âge de la majorité des rois de France, cette dernière étant désormais fixée à 14 ans. A 14 ans, le dauphin doit devenir roi et il peut choisir lui même la date de son sacre. La pensée de Charles V est à la fois imprégnée par celle d'Aristote et par le droit romain, le premier étant porté aux influences démocratiques et l'autre au dirigisme. Le premier courant est incarné par Nicole Oresme, principal traducteur d'Aristote dont les textes sont connus en latin depuis le XIIIème siècle. Il était théologien et avant cela ancien élève et grand maître du Collège de Navarre en 1356 avant de finir sa vie comme évêque de Lisieux. Il passe d'un soutien à Charles de Navarre dont il attend des réformes, au soutien des Valois vers 1360. Oresme insiste sur l'importance de la communauté des sujets dans le gouvernement du royaume. Charles V s'inspire de son " Traité sur la monnaie " rédigé en 1355 ou 1356 pour arrêter les dévaluations et tente de conserver une monnaie stable. Le deuxième courant est d'inspiration juridique et représenté par Evrard de Trémaugnon qui est docteur en droit civil et en droit canon qui a fait ses études de droit à Bologne probablement. Il enseignait à la faculté de Paris, la faculté de droit canon.
Il devient évêque de Dol après avoir été maitre des requêtes de l'hôtel du roi. Il est l'auteur de " Songe du vergier " résumant la pensée politique du règne de Charles V, lequel a été rédigé en latin en 1376 avant d'être traduit en français en 1378. Aussi, Charles V est un mécène reprenant à son compte et développant la tradition des mécénats des Valois. Il accumule des manuscrits transférés au Louvres sous la garde de Filles Malet, un spécialiste. Cette librairie du Louvres avait plus de 1 000 manuscrits. La bibliothèque pontificale avait 2 000 volumes. La bibliothèque royale reste l'égale des grandes bibliothèques monastiques et universitaires parisiennes comme celle du collège de Sorbonne ou celle de l'abbaye de Saint Victor. Charles V est également un roi bâtisseur ayant fait construire à Paris une nouvelle enceinte sur la rive droite. Il a embellit l'hôtel Saint Pol à proximité de l'hôtel de Sens et le Louvre et ce sont désormais des résidences privées séparées désormais du siège du gouvernement restant au Palais de la CIté. Des châteaux aux alentours de Paris sont soit bâtis soit agrandis, notamment ceux de Vincennes, de Saint Germain en Laye, de Montereau, de Melun, de Creil ou de Beauté sur Marne. le roi protège des fondations religieuses comme celles des célestins dont l'ordre, introduit en France par Philippe le Bel, appuie la royauté. La plupart de ces édifices ont été détruits de même que les sculptures à part des gisants montrant l'influence flamande de Jean de Liège. Ce mécénat a aussi un but politique pour faire connaître et célébrer l'image du roi et son action. L'art est un moyen d'accroître le prestige royal, de même que la cour d'ailleurs, par sa tenue. Cette dernière est fréquentée par nombre de lettrés et d'artistes. Dans " Songe du Vergier " on voit qu'il y a de longs échanges. L'Ars Nova est un concept diffusée grandement par l'oeuvre de Guillaume de Machaut dans le domaine musical.
Ce nouvel art musical élaboré et hermétique est prisé par des nobles. A la cour du roi s'applique un protocole au service de la majesté royale.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Versali
2 ans
J'imagine que ça faire jaser les middle iq du forom mais il faut rétablir la vérité
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
" -Dans son Histoire de France, Michelet donne le nom de Marmousets à l'équipe de conseillers entourant le roi Charles VI quand il décide en novembre 1388 de renvoyer ses oncles et de prendre l'initiative du gouvernement. Marmouset désignant une figure grotesque, un surnom repris par l'historiographie. Le roi décide ensuite de se séparer de ses oncles du duc Philippe de Bougogne et du duc Jean Berry. Depuis 1385 par la volonté du duc de Bourgogne qui y trouvait son intérêt pour défendre sa présence sur les terres d'Empire, il est marié à Isabeau de Bavière, une Wittelsback. En 1388 la paix intérieure du royaume est troublée et en dépit de signes de la reprise économique, les impôts rétablis depuis les émeutes sont mal acceptés et la peste noire est toujours là. Le gouvernement de Charles VI est de plus en plus impopulaire. Charles VI change alors de politique en renvoyant ses oncles qui rejoignent leurs principautés avec Jean de Berry restant lieutenant du roi en Languedoc tandis que Philippe le Hardi gouverne ses terres de Bourgogne agrandies de la Flandre qu'il a acquise depuis la mort de Louis le Male, son beau père, en 1384. Le principal chroniqueur du règne de Charles VI, le Religieux de Saint Denis, le précise néanmoins, que les oncles sont " malcontents ". Au moins le roi a le soutien de son frère Louis, 4 ans plus jeune que lui et qui est à ce moment là duc de Touraine et marié récemment à Valentine Visconti. Fr Autrant décrit cette pouvoir comme un " coup de théâtre ". Le changement ne provoque pas de rupture. Certains Marmousets sont membres du Conseil de Charles VI et comme Bureau de la Rivière, ils ont l'oreille du roi. Certains ont opéré sous Charles V comme Olivier de Clisson, de Bureau de La Rivière, de Jean Le Mercier ou encore du précepteur du roi, Philippe mésières. Sans oublier des hommes d'Eglise comme l'évêque de Paris Gérard de Montaigu et le cardinal Jean de la Grange, lesquels servent et le roi ET le pape d'Avignon, Clément VII.
Les Marmousets sont donc d'une sorte de réseau politique. Leurs membres servent la royauté et la papauté d'Avignon. Les 2 milieux politiques étant de toute façon intimement liés. Ils portent souvent le titre de chambellans et ce sont des hommes de l'hôtel du roi tenant leur force politique du contact qu'ils ont chaque jour avec lui. C'est le cas du grand maître de l'hôtel ru doi, Jean de Montaigu. Les Marmousets ne se contentent pas de servir le roi mais ils s'entraident. Ces membres sont unis par des stratégies de mariage, par des liens de parenté spirituelle qui les font entrer en parrainage via des promesses d'amitiés et d'alliance. Des liens sont créés ainsi que des pactes d'amitié avec un réseau de fidèles autour d'eux dont les membres sont au parlement de Paris, à la Chancellerie et au clergé. Ils ont une grande influence sur l'ensemble de l'administration centrale. Arnaud de Corbie va à la CHancellerie, Gauillaume de Sens au parlement et Jean de Montaigu va dans les finances royales. A cela s'ajoute Jean de Folleville qui prend la direction de la Prévôté de Paris et Jean Jouvenal celle de la Prévôté des marchants qui avait été abolie depuis l'émeute des Maillotins. Ils veulent servir le roi et à travers lui construire l'Etat. Leur devise se résume à : réformer et obéir. Ils veulent un Etat fondé sur la justice et sur des finances saines, fonctionnant grâce à un corps d'officiers. Des ordonnances de réformes prennent place pour améliorer l'administration centrale et en 1390 les Marmousets créent la Cour des aides et la Cour du Trésor. Ils réforment les abus les plus criants en faisant des enquêtes locales. L'élection des officiers devient une règle de recrutement étendue à de nombreuses charges. Les critères de compétence sont de nouveau affirmés. Les officiers du roi ont une sorte de statut de la fonction publique avec des privilèges non pas rattachés aux personnes mais à leur charge. S'attaquer à leur fonction revient donc à attaquer le corps du roi.
MOYEN AGE
LA GAULE MEROVINGIENNE
Au début du VIIème siècle, la fusion entre les Francs barbares et les Gallos romains semble achevée. La monarchie franque s'était imposée en conservant l'héritage romain à plusieurs territoires. Les moines viennent relayer les évêques dans une optique de christianisation menée par l'Eglise se trouvant sous l'égide de Grégoire le Grand entre 590 et 604. L'apogée de la dynastie Mérovingienne date probablement des règnes de Clotaire II et de Dagobert Ier, ayant respectivement régné entre 584 et 629 pour le premier, et entre 629 et 639 pour le second. Avant une éventuelle crise avec l'ascension des maires du palais d'Australie, à savoir les Pippinides, qui sont les ancêtres des Carolingiens. Pourtant, malgré cela, on voit durant le VIIème de signes d'essor économique, notamment concernant les régions du Nord, là où le Sud, en revanche, est frappé de plein fouet par la peste. Sans oublier les offensives musulmanes. Les rois Mérovingiens accroissaient leur prestige de différentes manières, que ce soit en temps de guerre par des victoires au combat ou en temps de paix via l'existence d'un trésor qui gèle en partie les richesses qu'ils accumulent. Il ne doit pas le dépenser entièrement étant donné que la valeur de ce trésor est un facteur de puissance pour le détenteur, en l'occurrence le roi. Mais il ne doit pas se contenter de thésauriser non plus. Il doit savoir faire preuve de générosité. De plus, les dons créent des liens entre des obligés et le roi. Au leudes, c'est à dire les membres de l'aristocratie, le roi leur impose fidélité et obéissance via des récompenses qu'il peut distribuer. Parmi les hommes libres, les antrustions, donc les hommes constituant la truste ou la garde militaire pour être précis, possèdent le wergeld, qui est le prix de sang le plus élevé parmi ces hommes libres justement. Il y a aussi les convives ou les nourris du roi.
Concernant le palais, il est un lieu essentiel de l'exercice du pouvoir. Le roi possède en plus de cela plusieurs bâtiments, souvent situés près de forêts giboyeuses, et qui sont des centres de grands domaines. Que ce soit en Neustrie ( Paris, Ecouen, Argenteuil, Clichy ) ou en Austrasie ( Metz, Dompierre, Andelot ). Ce sont ces domaines qui garantissent le train de vie du roi, qui sont des anciens fiscs romains avant de passer entre les mains du roi. Pour ce qui est des revenus, ou plutôt des recettes royales, ce sont les revenus du domaine qui en rapportent la majorité, même si les impôts directs comme indirectes ne sont pas à négliger. Ces derniers sont souvent des impôts hérités de l'Empire romain par ailleurs. Vu que c'est fait de manière assez autoritaire, cela entraîne parfois des raidissements voire des révoltes. Les trésors de guerres peuvent être aussi considérables par moments. Or la richesse est le garant du pouvoir du roi s'il veut entretenir son entourage mais aussi s'il veut conserver ses fidélités. Les institutions peuvent être de précieux instruments pour la gouvernance également. Concernant les officiers du palais, ceux ci remplissent des fonctions administratives. Par exemple, le maréchal s'occupe du tribunal et de la table, tandis que le connétable s'occupe de l'écurie. Le chapelain joue un rôle de contrôle des officiers laics de la cour mais à la différence du maire, il n'apparait qu'au VIIème siècle. Et justement, le maire contrôle les officiers laics de la cour dans leur ensemble tout en dirigeant les intendants mettant en valeur les domaines du roi.
Quant au compte, il occupe un pouvoir local, lui qui est recruté parmi les leudes. La cité ou la civitas, constitue le territoire que contrôle le compte. Certes, le compte détient les pouvoirs militaires, financiers, administratifs et judiciaires, mais il détient tous ces pouvoirs au nom du roi et il doit rendre des comptes devant lui. De plus, c'est à travers lui que les hommes libres prêtent serment de fidélité au roi. A partir du VIIème siècle vers 640-650 environ, les choses semblent moins bien fonctionner. En effet, un référendaire à la cour royale est censé envoyer les ordres du roi qui sont mis par écrit selon des modèles de législations hérités de l'Antiquité. Nombre de brefs ont été envoyés par les rois mérovingiens, que ce soit sur papyrus ou par la suite sur parchemin, même s'ils ont été perdus depuis. Les pouvoirs détenus par le foi sont à la fois de nature judiciaire mais aussi législatif. Pour ce qui est du pouvoir judiciaire, cela se traduit concrètement par un pouvoir de vie ou de mort. Le juge n'a qu'un rôle de lecture des preuves. Concrètement, la justice de l'époque se caractérisait souvent par les ordalies par le feu ou par l'eau, qui étaient censés prouvés ou non l'innocence d'une personne. Malgré cela, ces pratiques étaient plus rares qu'on ne le pensait. Il n'est utilisé que pour certains cas particuliers, notamment en cas de trahison ou d'adultère. En réalité, les différends sont le plus souvent réglés via des transactions. Cela n'empêche pas de voir un certain climat de violence s'installer étant donner la présence de vengeances dus à des conflits, qui sont notamment le fait des hommes dit libres. Tout cela fait que l'aristocratie est relativement puissante durant le VIIème siècle. Parmi l'aristocratie, les comtes sont des membres privilégies. Tout comme les évêques, qui, similairement au compte, sont nommés par le roi. Des revenus rattachés à la charge ou honor qui leur est confié peuvent être acquis.
Les Marmousets sont donc d'une sorte de réseau politique. Leurs membres servent la royauté et la papauté d'Avignon. Les 2 milieux politiques étant de toute façon intimement liés. Ils portent souvent le titre de chambellans et ce sont des hommes de l'hôtel du roi tenant leur force politique du contact qu'ils ont chaque jour avec lui. C'est le cas du grand maître de l'hôtel ru doi, Jean de Montaigu. Les Marmousets ne se contentent pas de servir le roi mais ils s'entraident. Ces membres sont unis par des stratégies de mariage, par des liens de parenté spirituelle qui les font entrer en parrainage via des promesses d'amitiés et d'alliance. Des liens sont créés ainsi que des pactes d'amitié avec un réseau de fidèles autour d'eux dont les membres sont au parlement de Paris, à la Chancellerie et au clergé. Ils ont une grande influence sur l'ensemble de l'administration centrale. Arnaud de Corbie va à la CHancellerie, Gauillaume de Sens au parlement et Jean de Montaigu va dans les finances royales. A cela s'ajoute Jean de Folleville qui prend la direction de la Prévôté de Paris et Jean Jouvenal celle de la Prévôté des marchants qui avait été abolie depuis l'émeute des Maillotins. Ils veulent servir le roi et à travers lui construire l'Etat. Leur devise se résume à : réformer et obéir. Ils veulent un Etat fondé sur la justice et sur des finances saines, fonctionnant grâce à un corps d'officiers. Des ordonnances de réformes prennent place pour améliorer l'administration centrale et en 1390 les Marmousets créent la Cour des aides et la Cour du Trésor. Ils réforment les abus les plus criants en faisant des enquêtes locales. L'élection des officiers devient une règle de recrutement étendue à de nombreuses charges. Les critères de compétence sont de nouveau affirmés. Les officiers du roi ont une sorte de statut de la fonction publique avec des privilèges non pas rattachés aux personnes mais à leur charge. S'attaquer à leur fonction revient donc à attaquer le corps du roi.
MOYEN AGE
LA GAULE MEROVINGIENNE
Au début du VIIème siècle, la fusion entre les Francs barbares et les Gallos romains semble achevée. La monarchie franque s'était imposée en conservant l'héritage romain à plusieurs territoires. Les moines viennent relayer les évêques dans une optique de christianisation menée par l'Eglise se trouvant sous l'égide de Grégoire le Grand entre 590 et 604. L'apogée de la dynastie Mérovingienne date probablement des règnes de Clotaire II et de Dagobert Ier, ayant respectivement régné entre 584 et 629 pour le premier, et entre 629 et 639 pour le second. Avant une éventuelle crise avec l'ascension des maires du palais d'Australie, à savoir les Pippinides, qui sont les ancêtres des Carolingiens. Pourtant, malgré cela, on voit durant le VIIème de signes d'essor économique, notamment concernant les régions du Nord, là où le Sud, en revanche, est frappé de plein fouet par la peste. Sans oublier les offensives musulmanes. Les rois Mérovingiens accroissaient leur prestige de différentes manières, que ce soit en temps de guerre par des victoires au combat ou en temps de paix via l'existence d'un trésor qui gèle en partie les richesses qu'ils accumulent. Il ne doit pas le dépenser entièrement étant donné que la valeur de ce trésor est un facteur de puissance pour le détenteur, en l'occurrence le roi. Mais il ne doit pas se contenter de thésauriser non plus. Il doit savoir faire preuve de générosité. De plus, les dons créent des liens entre des obligés et le roi. Au leudes, c'est à dire les membres de l'aristocratie, le roi leur impose fidélité et obéissance via des récompenses qu'il peut distribuer. Parmi les hommes libres, les antrustions, donc les hommes constituant la truste ou la garde militaire pour être précis, possèdent le wergeld, qui est le prix de sang le plus élevé parmi ces hommes libres justement. Il y a aussi les convives ou les nourris du roi.
Concernant le palais, il est un lieu essentiel de l'exercice du pouvoir. Le roi possède en plus de cela plusieurs bâtiments, souvent situés près de forêts giboyeuses, et qui sont des centres de grands domaines. Que ce soit en Neustrie ( Paris, Ecouen, Argenteuil, Clichy ) ou en Austrasie ( Metz, Dompierre, Andelot ). Ce sont ces domaines qui garantissent le train de vie du roi, qui sont des anciens fiscs romains avant de passer entre les mains du roi. Pour ce qui est des revenus, ou plutôt des recettes royales, ce sont les revenus du domaine qui en rapportent la majorité, même si les impôts directs comme indirectes ne sont pas à négliger. Ces derniers sont souvent des impôts hérités de l'Empire romain par ailleurs. Vu que c'est fait de manière assez autoritaire, cela entraîne parfois des raidissements voire des révoltes. Les trésors de guerres peuvent être aussi considérables par moments. Or la richesse est le garant du pouvoir du roi s'il veut entretenir son entourage mais aussi s'il veut conserver ses fidélités. Les institutions peuvent être de précieux instruments pour la gouvernance également. Concernant les officiers du palais, ceux ci remplissent des fonctions administratives. Par exemple, le maréchal s'occupe du tribunal et de la table, tandis que le connétable s'occupe de l'écurie. Le chapelain joue un rôle de contrôle des officiers laics de la cour mais à la différence du maire, il n'apparait qu'au VIIème siècle. Et justement, le maire contrôle les officiers laics de la cour dans leur ensemble tout en dirigeant les intendants mettant en valeur les domaines du roi.
Quant au compte, il occupe un pouvoir local, lui qui est recruté parmi les leudes. La cité ou la civitas, constitue le territoire que contrôle le compte. Certes, le compte détient les pouvoirs militaires, financiers, administratifs et judiciaires, mais il détient tous ces pouvoirs au nom du roi et il doit rendre des comptes devant lui. De plus, c'est à travers lui que les hommes libres prêtent serment de fidélité au roi. A partir du VIIème siècle vers 640-650 environ, les choses semblent moins bien fonctionner. En effet, un référendaire à la cour royale est censé envoyer les ordres du roi qui sont mis par écrit selon des modèles de législations hérités de l'Antiquité. Nombre de brefs ont été envoyés par les rois mérovingiens, que ce soit sur papyrus ou par la suite sur parchemin, même s'ils ont été perdus depuis. Les pouvoirs détenus par le foi sont à la fois de nature judiciaire mais aussi législatif. Pour ce qui est du pouvoir judiciaire, cela se traduit concrètement par un pouvoir de vie ou de mort. Le juge n'a qu'un rôle de lecture des preuves. Concrètement, la justice de l'époque se caractérisait souvent par les ordalies par le feu ou par l'eau, qui étaient censés prouvés ou non l'innocence d'une personne. Malgré cela, ces pratiques étaient plus rares qu'on ne le pensait. Il n'est utilisé que pour certains cas particuliers, notamment en cas de trahison ou d'adultère. En réalité, les différends sont le plus souvent réglés via des transactions. Cela n'empêche pas de voir un certain climat de violence s'installer étant donner la présence de vengeances dus à des conflits, qui sont notamment le fait des hommes dit libres. Tout cela fait que l'aristocratie est relativement puissante durant le VIIème siècle. Parmi l'aristocratie, les comtes sont des membres privilégies. Tout comme les évêques, qui, similairement au compte, sont nommés par le roi. Des revenus rattachés à la charge ou honor qui leur est confié peuvent être acquis.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Versali
2 ans
J'imagine que ça faire jaser les middle iq du forom mais il faut rétablir la vérité
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
" - Aucune école (qui fait vraiment apprendre) "
Il s'agissait le plus souvent de disputes ordinaires. Le maître choisissait le thème, c'est à dire le quaestio en latin. Il changeait un de ses bacheliers de présenter la question et de répondre aux objections des auditeurs, même s'il faut l'aider ou le reprendre s'il le faut. C'est le lendemain de la dispute que le maître déterminait la synthèse de la discussion et exposait sa propre thèse. En plus de cela, une dispute de quolibet devait être organisé entre une et deux fois par an. Tous les membres de la faculté y assistaient. Cela ressemblait presque à une conférence de presse moderne. Durant le XIIIème siècle, des quolibets avaient porté sur des questions ecclésiologiques ou encore des politiques d'actualité avant que l'exercice ne deviennent davantage de la virtuosité formelle. Tout comme dans une dispute ordinaire, un des bacheliers et le maîtres répondaient aux questions des auditeurs et tentaient de défendre leurs thèses contre toute objection du public. Ensuite, encore le lendemain, le maître donnait de cette discussion libre une determinatio cohérence. Les exercices étaient justement ceux qui étaient effectué au sein de la faculté de théologie de Paris. Même les facultés d'arts en usaient. Ou plutôt des variantes à base de répétitions orales et écrites, histoire de vérifier que l'étudiant a bien assimilé ses connaissances. En bref, en pédagogie scolastique, la dispute était quelque chose d'important. Il faut aussi savoir que tous les arguments avancés lors des disputes devaient s'appuyer sur les références textuelles dont les leçons avaient donné la maîtrise suffisante. Et l'affrontement dialectique des arguments permettait d'aborder les aspects du thème théologique et philosophique. Au delà de l'aspect oral de la formation universitaire, le livre s'était beaucoup développé entre temps et notamment tout au long du XIIIème siècle.
En plus des enseignements effectués, il y avait des grades que les étudiants pouvaient obtenir. D'abord les grades étaient de nature corporative. C'est à dire que concrètement à l'intérieur des universités, ils permettaient aux étudiants d'enseigner à leur tour. En pratique cependant, il y avait peu de gradués qui devenaient professeurs. Et même quand ils le devenaient, dans la plupart des cas, cela ne durait que quelques années. Ces grades servaient avant tout à avoir plus de facilités dans leurs futures carrières dans des domaines autres que l'enseignement en particulier. Car parmi les étudiants en droit suisses de l'université de Bologne, étudiés S. Stelling Michaud, seulement 3 sont devenus professeurs. Les autres sont revenus chez eux pour faire carrière au sein des administrations princières et épiscopales. De plus, il faut savoir que durant le XIIIème siècle, le système des grades en université et les examens qui vont avec se sont formés. D'abord, il y a le grade le plus ancien qui était de base le seul. Ce grade c'était la licence, ou licencia docendi. Pour faire simple, une fois qu'il a été attesté que le candidat concerné remplissait les conditions de scolarité requises, il y avait un jury re maîtres l'écoutait faire une leçon et répondre à ses questions. S'ils le jugeaient aptes, les maîtres présentaient le candidat au chancelier, lequel conférait la licence de manière automatique. Ensuite, on a assisté à l'émergence des grades ne relevant que de l'université.
C'est à ce moment là que c'est mis en place une hiérarchie interne avec les étudiants, les bacheliers et les docteurs. Une hiérarchie somme toute assez similaire à celle des corps de métier avec les apprentis, les valets et les maîtres. Le baccalauréat s'est lentement fixé. Il se déroulait généralement en deux temps lors de l'Avent et lors du Carême. Une fois que l'étudiant a prouvé en répondant aux question d'un docteur, qu'il possédait les principaux textes de son programme, le candidat devait montrer face à un jury constitué de 4 maîtres, qu'il était capable d'argumenter mais aussi de faire un cours. Après la licence, il y avait le doctorat ou la mapitrise. Le tout ressemblait à une cérémonie solennelle de réception. Une fois que les deux disputes ont été passé avec succès avec des bacheliers puis avec ses futurs pairs, le nouveau docteur, avec la présence de toute la faculté, recevait du chancelier les insignes de son grade que ce soit une barrette, un livre ou un anneau d'or. Puis à tous ses assistants, il offrir un banquet somptueux, lequel était accompagné de divertissements et de cadeau, ce qui lui revenait cher et l'obligeait dans la plupart des cas à s'endetter. Et justement, pour cela, beaucoup d'étudiants renonçaient au doctorat et se contentaient de la licence qui était moins coûteuse. Ainsi, les droits d'examen à Bologne pour la licence étaient de 60 livres bolonaises.
Quant au doctorat, cela faisait 500 livres plus les frais annexes. Pour devenir maître des arts en bref, il fallait avoir 21 ans. Normalement on ne passe à la faculté supérieure qu'après être passé par la faculté des arts. Pour être licencié, il fallait que ce soit en médecine, en arts ou en droit entre 6 et 8 années d'études. Pour ce qui est de la théologie, il en fallait 15. De tel sorte qu'il fallait avoir 35 ans pour devenir docteur en théologie. De plus, après avoir été 7 ans étudiants, le bachelier de théologie devait lire 2 années durant des livres de la Bible en tant que bachelier biblique. Ensuite durant deux années, il devait lire les " Sentences " de Pierre Lombard en tant que bachelier sententiaire cette fois. Enfin, en tant que bachelier formé, participer aux disputes. Le tout avant de pouvoir se présenter à la licence. Cela peut surprendre sachant que l'espérance de vie était à l'époque bien plus courte qu'ajourd'hui. La lenteur est due d'une part à l'accent mis sur le sérieux de l'enseignement, et d'autre part sur la grande place gardée par l'oral dans l'enseignement.
Il s'agissait le plus souvent de disputes ordinaires. Le maître choisissait le thème, c'est à dire le quaestio en latin. Il changeait un de ses bacheliers de présenter la question et de répondre aux objections des auditeurs, même s'il faut l'aider ou le reprendre s'il le faut. C'est le lendemain de la dispute que le maître déterminait la synthèse de la discussion et exposait sa propre thèse. En plus de cela, une dispute de quolibet devait être organisé entre une et deux fois par an. Tous les membres de la faculté y assistaient. Cela ressemblait presque à une conférence de presse moderne. Durant le XIIIème siècle, des quolibets avaient porté sur des questions ecclésiologiques ou encore des politiques d'actualité avant que l'exercice ne deviennent davantage de la virtuosité formelle. Tout comme dans une dispute ordinaire, un des bacheliers et le maîtres répondaient aux questions des auditeurs et tentaient de défendre leurs thèses contre toute objection du public. Ensuite, encore le lendemain, le maître donnait de cette discussion libre une determinatio cohérence. Les exercices étaient justement ceux qui étaient effectué au sein de la faculté de théologie de Paris. Même les facultés d'arts en usaient. Ou plutôt des variantes à base de répétitions orales et écrites, histoire de vérifier que l'étudiant a bien assimilé ses connaissances. En bref, en pédagogie scolastique, la dispute était quelque chose d'important. Il faut aussi savoir que tous les arguments avancés lors des disputes devaient s'appuyer sur les références textuelles dont les leçons avaient donné la maîtrise suffisante. Et l'affrontement dialectique des arguments permettait d'aborder les aspects du thème théologique et philosophique. Au delà de l'aspect oral de la formation universitaire, le livre s'était beaucoup développé entre temps et notamment tout au long du XIIIème siècle.
En plus des enseignements effectués, il y avait des grades que les étudiants pouvaient obtenir. D'abord les grades étaient de nature corporative. C'est à dire que concrètement à l'intérieur des universités, ils permettaient aux étudiants d'enseigner à leur tour. En pratique cependant, il y avait peu de gradués qui devenaient professeurs. Et même quand ils le devenaient, dans la plupart des cas, cela ne durait que quelques années. Ces grades servaient avant tout à avoir plus de facilités dans leurs futures carrières dans des domaines autres que l'enseignement en particulier. Car parmi les étudiants en droit suisses de l'université de Bologne, étudiés S. Stelling Michaud, seulement 3 sont devenus professeurs. Les autres sont revenus chez eux pour faire carrière au sein des administrations princières et épiscopales. De plus, il faut savoir que durant le XIIIème siècle, le système des grades en université et les examens qui vont avec se sont formés. D'abord, il y a le grade le plus ancien qui était de base le seul. Ce grade c'était la licence, ou licencia docendi. Pour faire simple, une fois qu'il a été attesté que le candidat concerné remplissait les conditions de scolarité requises, il y avait un jury re maîtres l'écoutait faire une leçon et répondre à ses questions. S'ils le jugeaient aptes, les maîtres présentaient le candidat au chancelier, lequel conférait la licence de manière automatique. Ensuite, on a assisté à l'émergence des grades ne relevant que de l'université.
C'est à ce moment là que c'est mis en place une hiérarchie interne avec les étudiants, les bacheliers et les docteurs. Une hiérarchie somme toute assez similaire à celle des corps de métier avec les apprentis, les valets et les maîtres. Le baccalauréat s'est lentement fixé. Il se déroulait généralement en deux temps lors de l'Avent et lors du Carême. Une fois que l'étudiant a prouvé en répondant aux question d'un docteur, qu'il possédait les principaux textes de son programme, le candidat devait montrer face à un jury constitué de 4 maîtres, qu'il était capable d'argumenter mais aussi de faire un cours. Après la licence, il y avait le doctorat ou la mapitrise. Le tout ressemblait à une cérémonie solennelle de réception. Une fois que les deux disputes ont été passé avec succès avec des bacheliers puis avec ses futurs pairs, le nouveau docteur, avec la présence de toute la faculté, recevait du chancelier les insignes de son grade que ce soit une barrette, un livre ou un anneau d'or. Puis à tous ses assistants, il offrir un banquet somptueux, lequel était accompagné de divertissements et de cadeau, ce qui lui revenait cher et l'obligeait dans la plupart des cas à s'endetter. Et justement, pour cela, beaucoup d'étudiants renonçaient au doctorat et se contentaient de la licence qui était moins coûteuse. Ainsi, les droits d'examen à Bologne pour la licence étaient de 60 livres bolonaises.
Quant au doctorat, cela faisait 500 livres plus les frais annexes. Pour devenir maître des arts en bref, il fallait avoir 21 ans. Normalement on ne passe à la faculté supérieure qu'après être passé par la faculté des arts. Pour être licencié, il fallait que ce soit en médecine, en arts ou en droit entre 6 et 8 années d'études. Pour ce qui est de la théologie, il en fallait 15. De tel sorte qu'il fallait avoir 35 ans pour devenir docteur en théologie. De plus, après avoir été 7 ans étudiants, le bachelier de théologie devait lire 2 années durant des livres de la Bible en tant que bachelier biblique. Ensuite durant deux années, il devait lire les " Sentences " de Pierre Lombard en tant que bachelier sententiaire cette fois. Enfin, en tant que bachelier formé, participer aux disputes. Le tout avant de pouvoir se présenter à la licence. Cela peut surprendre sachant que l'espérance de vie était à l'époque bien plus courte qu'ajourd'hui. La lenteur est due d'une part à l'accent mis sur le sérieux de l'enseignement, et d'autre part sur la grande place gardée par l'oral dans l'enseignement.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Versali
2 ans
J'imagine que ça faire jaser les middle iq du forom mais il faut rétablir la vérité
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
" -
C'est le souverain qui est le garant de l'existence de l'aristocratie. Mais le fait est que l'aristocratie peut se soustraire en partie aux exigences normalement dues à cette fidélité au roi étant donné qu'elle possède des biens et titre privées et qu'elle constitue puis entretient des relations et des réseaux qui imitent le modèle royal. Ceux ci se traduisent par la parenté et la vassalité. Pour ce qui est de la parenté, les membres de l'aristocratie se marient entre eux et constituent des réseaux, des cellules familiales et conjugales. Il faut avoir un nombre de parents suffisants pour être assisté à l'occasion des mariages, des vengeances ou encore des cérémonies de fidélités. Pour ce qui est de la vassalité, de grands domaines sont possédés par les aristocrates. Ce sont des colons voire des esclaves qui cultivent ces domaines.
Les aristocrates constituent un groupe de gens constituant l'élite de la société. Cependant, il existe une différence entre aristocratie et noble en ce sens que les nobles font automatiquement partie de l'aristocratie étant donné qu'ils transmettent leur état et leur statut par le sang. Or tous les aristocrates ne sont pas nécessairement des nobles, loin de là. Dans la Loi salique d'ailleurs, le mot noble n'est pas utilisé. L'aristocratie se caractérise davantage par sa fortune et son train de vie qu'autre chose. La noblesse, en plus de cela, se caractérise par la transmission d'un sang noble suivi d'une conscience d'appartenir à une généalogie prestigieuse. Ces généalogies royales apparaissent pour la première fois sous Clotaire II. Par la suite, les familles comtales suivent ce modèle. En plus de cela, la christianisation accentue leur particularité puisque les tombeaux dans lesquelles sont enterrés les nobles sont à l'abri d'une chapelle et les nobles peuvent bénéficier en effet d'un service funéraire particulier.
Malgré ce que l'on peut croire, le paganisme ne s'est pas totalement effondré ni n'a complètement disparu à partir du sacre de Clovis. En réalité, le paganisme s'exprime encore en Gaule mérovingienne à travers des croyances à l'au delà ou de l'existence maléfique des démons. La transformation des cultes paiens est ce qui a grandement permis la christianisation. Ainsi au VIIème siècle, nombre de régions situées en Gaule ne sont que peu christianisées, notamment au nord et à l'est particulièrement. Le clergé occupe encore une place très importante, malgré le développement de l'Eglise catholique et des fidèles.
L'expansion du christianisme en Europe se traduit par la conversion du roi wisigoth Reccared au catholicisme en 589. Mais il reste encore l'arianisme, porté par les Lombards, ainsi que le paganisme, porté par les Anglo Saxons. Sans oublier la conversion des paysans qui ne s'est pas totalement faite. En 597, le prieiiur de Saint André Mont Caelius, Augustin, envoyé par le pape Grégoire le Grand, parvient à obtenir la conversion du roi de Kent, à savoir, Ethelbert. Durant la même période, le paiement d'un lourd tribut permet d'écarter pour un temps la menace des Lombards.
Les moines sont assez rarement considérés, mais ils ont joué un rôle important durant l'époque mérovingienne. Pour comprendre le contexte il faut savoir que le monachisme s'est développé en Orient et précisément en Egypte, puis en Palestine et en Syrie au cours du IIIème siècle. Les ermites et les anachorètes sont les premiers moines orientaux. L'ascèse et la mortification font partie des pratiques des ermites. Ils s'enferment souvent dans des cages, des tombeaux ou de sgrottes. Siméon le Stylie, en Syrie, lui, fait le choix de rester sur une colonne. La contemplation de Dieu fait que le moine participe à la circulation du souffle divin, à savoir, le pneuma. Ceci étant dit, une fois entrée en Occident, notamment en Gaule, le monachisme a eu tendance à changer de sens. Ainsi, petit à petit, les mortifications corporelles sont préférées de plus en plus par les moines d'Occident. On constate des traces d'apparitions du premier foyer monastique en Gaule à la fin du VIème siècle seulement. Le royonnement du monachisme en Gaule provient surtout en l'occurrence de l'impulsion donnée par les moines irlandais.
Ainsi, les monastères sont considérés comme étant des centres d'évangélisation étant donné que leur implantation se poursuit de missions, malgré l'absence de règles cohérentes. Il existe toujours un débat à l'époque quant à savoir si le moine doit se contenter de se fixer en un lieu, dans un monastère où il mettrait sa vie au service de la communauté et des populations l'entourant ou alors doit il être un ascète, comparable aux ermites et aux reclus qui fuient le monde?
Malgré un règne relativement court de 10 ans, le roi Dagobert est resté dans notre mémoire collective, notamment par rapport à une chanson créée au XVIIIème siècle. A comparé avec les 45 ans de règne de son prédécesseur, Clotaire II, qui a régné 45 années durant. Avant la prise du pouvoir par Dagobert en 629, son père l'avait nommé roi de l'Austrasie orientale en 623. Parmi les critiques récurrentes, il y a le fait que Dagobert ait pillé les biens des Eglises et des grands de la société. A cela s'ajoute les critiques quant à ses multiples concubines et épouses. A noter qu'il s'est tout de même montré généreux à l'égard de l'abbaye Saint Denis près de Paris et qu'il s'y est fait enterré là bas, devenant ainsi le premier roi de France à s'y être fait enterré. Les moines, en échange, lui ont consacré des prières qui font office de louange. Pas de changement notable est à noter en ce qui concerne le nature du pouvoir royal à l'issue de son règle. Cependant, le royaume connait une crise après sa mort. 3 raisons peuvent être évoqués. A savoir les groupes aristocraties, les maires du palais ainsi que les particularismes régionaux. AInsi, les réseaux de parenté et de vassalité de l'aristocratie lui permettent de renforcer sa puissance, en partie au détriment du roi. Dans le même temps, les maires de palais ont tendance à agir pour le groupe aristocratique qui le soutient, alors qu'il est censé agir en principa au nom du regnum Francorum, autrement dit au nom du royaume Franc. Enfin, l'Austrasie connait un conflit ouvert avec la Neustrie Burgondie.
Livres à lire sur les Mérovingiens.
"Les Racines chrétiennes de l'Europe. Converstion et liberté dans les royaumes barbares Vè VIIIè siècle" Ecrit par Bruno Dumézil
"Dagobert" Ecrit par Theis Laurent
" Eglise et société en Occndent, du début du VIIème au milieu du XIème siècle. " Ecrit par Armand Coling.
"Education et culture dans l'Occident barbare ( VIème VIIIème siècle ) " Ecrit par Pierre Riché.
"Pouvoirs et institutions dans la France médiévale " Ecrit par Guillot Olivier, Riguadière ALbert et Sassier Yves.
" The Dark Queens: A gripping tale of power, ambition and murderous rivalry in early medieval "
" Germanic Tribes: A Captivating Guide to the History of the Franks and Lombards (Barbarian Tribes) "
" Clovis, King of the Franks "
" Clotaire II: Père de Dagobert Ier, 584 - 629 " Ecrit par Ivan Gobry
" Dagobert - Roi des Francs " Ecrit par Maurice Bouvier-Ajam
C'est le souverain qui est le garant de l'existence de l'aristocratie. Mais le fait est que l'aristocratie peut se soustraire en partie aux exigences normalement dues à cette fidélité au roi étant donné qu'elle possède des biens et titre privées et qu'elle constitue puis entretient des relations et des réseaux qui imitent le modèle royal. Ceux ci se traduisent par la parenté et la vassalité. Pour ce qui est de la parenté, les membres de l'aristocratie se marient entre eux et constituent des réseaux, des cellules familiales et conjugales. Il faut avoir un nombre de parents suffisants pour être assisté à l'occasion des mariages, des vengeances ou encore des cérémonies de fidélités. Pour ce qui est de la vassalité, de grands domaines sont possédés par les aristocrates. Ce sont des colons voire des esclaves qui cultivent ces domaines.
Les aristocrates constituent un groupe de gens constituant l'élite de la société. Cependant, il existe une différence entre aristocratie et noble en ce sens que les nobles font automatiquement partie de l'aristocratie étant donné qu'ils transmettent leur état et leur statut par le sang. Or tous les aristocrates ne sont pas nécessairement des nobles, loin de là. Dans la Loi salique d'ailleurs, le mot noble n'est pas utilisé. L'aristocratie se caractérise davantage par sa fortune et son train de vie qu'autre chose. La noblesse, en plus de cela, se caractérise par la transmission d'un sang noble suivi d'une conscience d'appartenir à une généalogie prestigieuse. Ces généalogies royales apparaissent pour la première fois sous Clotaire II. Par la suite, les familles comtales suivent ce modèle. En plus de cela, la christianisation accentue leur particularité puisque les tombeaux dans lesquelles sont enterrés les nobles sont à l'abri d'une chapelle et les nobles peuvent bénéficier en effet d'un service funéraire particulier.
Malgré ce que l'on peut croire, le paganisme ne s'est pas totalement effondré ni n'a complètement disparu à partir du sacre de Clovis. En réalité, le paganisme s'exprime encore en Gaule mérovingienne à travers des croyances à l'au delà ou de l'existence maléfique des démons. La transformation des cultes paiens est ce qui a grandement permis la christianisation. Ainsi au VIIème siècle, nombre de régions situées en Gaule ne sont que peu christianisées, notamment au nord et à l'est particulièrement. Le clergé occupe encore une place très importante, malgré le développement de l'Eglise catholique et des fidèles.
L'expansion du christianisme en Europe se traduit par la conversion du roi wisigoth Reccared au catholicisme en 589. Mais il reste encore l'arianisme, porté par les Lombards, ainsi que le paganisme, porté par les Anglo Saxons. Sans oublier la conversion des paysans qui ne s'est pas totalement faite. En 597, le prieiiur de Saint André Mont Caelius, Augustin, envoyé par le pape Grégoire le Grand, parvient à obtenir la conversion du roi de Kent, à savoir, Ethelbert. Durant la même période, le paiement d'un lourd tribut permet d'écarter pour un temps la menace des Lombards.
Les moines sont assez rarement considérés, mais ils ont joué un rôle important durant l'époque mérovingienne. Pour comprendre le contexte il faut savoir que le monachisme s'est développé en Orient et précisément en Egypte, puis en Palestine et en Syrie au cours du IIIème siècle. Les ermites et les anachorètes sont les premiers moines orientaux. L'ascèse et la mortification font partie des pratiques des ermites. Ils s'enferment souvent dans des cages, des tombeaux ou de sgrottes. Siméon le Stylie, en Syrie, lui, fait le choix de rester sur une colonne. La contemplation de Dieu fait que le moine participe à la circulation du souffle divin, à savoir, le pneuma. Ceci étant dit, une fois entrée en Occident, notamment en Gaule, le monachisme a eu tendance à changer de sens. Ainsi, petit à petit, les mortifications corporelles sont préférées de plus en plus par les moines d'Occident. On constate des traces d'apparitions du premier foyer monastique en Gaule à la fin du VIème siècle seulement. Le royonnement du monachisme en Gaule provient surtout en l'occurrence de l'impulsion donnée par les moines irlandais.
Ainsi, les monastères sont considérés comme étant des centres d'évangélisation étant donné que leur implantation se poursuit de missions, malgré l'absence de règles cohérentes. Il existe toujours un débat à l'époque quant à savoir si le moine doit se contenter de se fixer en un lieu, dans un monastère où il mettrait sa vie au service de la communauté et des populations l'entourant ou alors doit il être un ascète, comparable aux ermites et aux reclus qui fuient le monde?
Malgré un règne relativement court de 10 ans, le roi Dagobert est resté dans notre mémoire collective, notamment par rapport à une chanson créée au XVIIIème siècle. A comparé avec les 45 ans de règne de son prédécesseur, Clotaire II, qui a régné 45 années durant. Avant la prise du pouvoir par Dagobert en 629, son père l'avait nommé roi de l'Austrasie orientale en 623. Parmi les critiques récurrentes, il y a le fait que Dagobert ait pillé les biens des Eglises et des grands de la société. A cela s'ajoute les critiques quant à ses multiples concubines et épouses. A noter qu'il s'est tout de même montré généreux à l'égard de l'abbaye Saint Denis près de Paris et qu'il s'y est fait enterré là bas, devenant ainsi le premier roi de France à s'y être fait enterré. Les moines, en échange, lui ont consacré des prières qui font office de louange. Pas de changement notable est à noter en ce qui concerne le nature du pouvoir royal à l'issue de son règle. Cependant, le royaume connait une crise après sa mort. 3 raisons peuvent être évoqués. A savoir les groupes aristocraties, les maires du palais ainsi que les particularismes régionaux. AInsi, les réseaux de parenté et de vassalité de l'aristocratie lui permettent de renforcer sa puissance, en partie au détriment du roi. Dans le même temps, les maires de palais ont tendance à agir pour le groupe aristocratique qui le soutient, alors qu'il est censé agir en principa au nom du regnum Francorum, autrement dit au nom du royaume Franc. Enfin, l'Austrasie connait un conflit ouvert avec la Neustrie Burgondie.
Livres à lire sur les Mérovingiens.
"Les Racines chrétiennes de l'Europe. Converstion et liberté dans les royaumes barbares Vè VIIIè siècle" Ecrit par Bruno Dumézil
"Dagobert" Ecrit par Theis Laurent
" Eglise et société en Occndent, du début du VIIème au milieu du XIème siècle. " Ecrit par Armand Coling.
"Education et culture dans l'Occident barbare ( VIème VIIIème siècle ) " Ecrit par Pierre Riché.
"Pouvoirs et institutions dans la France médiévale " Ecrit par Guillot Olivier, Riguadière ALbert et Sassier Yves.
" The Dark Queens: A gripping tale of power, ambition and murderous rivalry in early medieval "
" Germanic Tribes: A Captivating Guide to the History of the Franks and Lombards (Barbarian Tribes) "
" Clovis, King of the Franks "
" Clotaire II: Père de Dagobert Ier, 584 - 629 " Ecrit par Ivan Gobry
" Dagobert - Roi des Francs " Ecrit par Maurice Bouvier-Ajam
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Versali
2 ans
J'imagine que ça faire jaser les middle iq du forom mais il faut rétablir la vérité
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
L'EMPIRE DES CAROLINGIENS
En 751, Pépin, fils de Charles Martel, est fait sacré roi par l'évêque Boniface. Ensuite, en 754, Etienne II renouvelle le sacre de Pépin tout en y associant ses fils, à savoir Charles et Carloman. La royauté connait à partir de ce moment là un nouveau statut. De magique, elle devient sacrée. Ces événements marquent la naissance de la monarchie française telle qu'on l'entend habituellement. La Gaule fait partie de l'Empire Carolingien. En 843, le traité de Verdun fait que cet empire est partagé en 3 royaumes. Parmi ces 3 royaumes, la Francie occidentale. La fidélité de l'aristocratie franque au roi est la seule gage du peu de cohésion territorial qui existe alors. Charles Martel meurt en 741. Entre 741 et 751, Pépin, surnommé le Bref en raison de sa petite taille notamment est maire du palais de Neustrie. Au même moment, Carloman, son frère, est maire du palais d'Austrasie. Pépin devient maire de l'ensemble du royaume lorsque Carloman fait le choix de devenir moine en 747. Politiquement il existait une opposition forte à Pépin le Bref, celle de l'aristocratie franque, qui restait attachée aux pouvoirs magiques des rois chevelus mérovingiens. Tout cela se traduit par une révolte mené par des princes aquitains et germains en 743 qui tentent de rétablir un prince mérovingien sur le trône. Or, les bienfaits distribués par Pépin grâce au système vassalique mis en place par Charles Martel auparavant lui permet de calmer le jeu, en partie seulement. Tout comme avec les mérovingiens, les succès militaires assuraient un grand prestige au roi, vu alors comme un grand chef victorieux. Or c'est ce qui se passe avec les conquêtes territoriales effectuées via des expéditions à travers l'Aquitaine, la Bavière mais aussi l'Alémanie par Pépin et son frère Carloman. La réforme religieuse est tout aussi présente, la preuve en est avec Ainsi, en accord avec les maires du palais, le pape Boniface enclenche une réforme religieuse.
Cette réforme religieuse avait déjà débutée à l'époque de Charles Martel mais elle s'achève véritablement sous Pépin le Bref. Les milieux monastiques sont à l'origine de cette réforme religieuse. Les biens de l'Eglise ainsi que la manière dont est doit être organisé le clergé sont les 2 sujets traités par la réforme. Les écrits de Saint Augustin, notamment " La Cité de Dieu", inspirent grandement cette réforme du clergé. Il s'agit pour la cité terrestre en effet, de calquer son organisation sur celui de la cité céleste. En d'autres termes l'ordre doit régner sur terre tout autant que dans le ciel. Des décisions religieuses sont prises en accord avec le pape Zacharie ainsi qu'avec celui des conciles. Cela consiste pour les clercs, à respecter un code de vie strict, à savoir mener une vie sans concubinage, sans guerre vu qu'ils ne doivent pas porter des armes et aller combattre, ou même pour aller chasser. De même les habits spécifiques sont proscrits et l'accent est mis sur la nécessité de mener une vie digne sur le plan moral. Les églises épiscopales ainsi que les monastères sont les lieux dans lesquels résideront les clercs. Ainsi, des réunions de conciles que ce soit en Neustrie ou en Austrasie sont organisés sous la bénédiction de Pépin et de Carloman. Ces derniers encouragent la lutte contre la paganisme ainsi que l'uniformisation de la discipline chrétienne. Mais, certains évêques, notamment en Neustrie, résistent à ces nouvelles réformes. Plutôt que de soumettre leur nomination à des règles hiérarchiques considérées comme étant trop strictes, ces évêques, tout comme nombre d'autres membres de l'aristocratie franque préfèrent la conservation de liens personnels avec le pouvoir politique et donc le pouvoir royal.
Nombre de clercs proches de Pépin pensent qu'afin que le royaume puisse connaître une organisation hiérarchique similaire à le leur, il faut que le pouvoir soit dévolu à un seul homme. De plus, selon ces clercs, le pouvoir vient de Dieu. Il n'est donc plus de caractère magique puisqu'il est désormais sacré, à l'image de la royauté des Wisigoths, qui ont inspiré ces clercs réformateurs. De plus, Isodore de Séville durant le VIIème siècle avait accumulé nombre de théories retranscrites dans son ouvrage intitulé : " les Etymologies". Concernant les obstacles existant face au sacre de Pépin, le seul qui puisse encore prétendre au trôle est un roi mérovingien, à savoir Childéric III. Le pape Zacharie est convaincu par Fulrad de soutenir le changement de dynastie. Malgré cela, il reste l'aristocratie de Neustrie, toujours favorables aux mérovingiens. Par la suite, c'est à Soissons en 751 qu'il est élu par une assemblée nommé assemblée " de tous les Francs ". Boniface est instigateur, lui qui est à ce moment là l'archevêque de Mayence. Cela entraîne l'enfermement de Childéric III dans un monastère. L'huile sainte, qui n'était alors réservée qu'aux évêques voire aux prêtres, est utilisé lors du sacre. Ce genre de cérémonies se répétera encore 1 000 ans en France. A Saint Denis en 754, Pépin est sacré une seconde fois à l'instigation du pape Etienne II. L'onction royale est utilisé pour les 2 fils du pape, qui sont Charlemagne et Carloman. L'union entre le politique et le religieux se fait de manière encore plus claire. Le titre de Patrice des Romains et également attribué au Carolingiens. Ils se doivent alors de protéger la papauté en tout circonstances puisque l'aide de Pépin a déjà été sollicité par le pape Etienne II afin de lutter contre la menace que représentaient les Lombards, dirigés par Aisolf, qui avaient menacé Rome après avoir arraché Ravenne des mains des Byzantins.
Pépin, si on en croit le Livre pontifical, chronique officielle de la papauté, promet de reprendre l'exarchat de Ravenne. Par la suite, les révoltes en Aquitaine; terre où les traditions gallo romaines étaient encore restés largement présentes, sont domptées à travers des expéditions militaires effectuées entre 760 et 768. Le prince de Bavière, Tassilon, prête à Pépin un serment de fidélité. La soumission des Saxons est également assurée. Dans le domaine monétaire, il se trouve que le roi avait perdu le monopole de l'émission de la monnaie et de la frappe de la monnaie plus précisément. De plus, l'or avait disparu de la Gaulle à partir du milieu du VIIème siècle. En ce qui concerne l'argent, il ne sert d'échanges à ce moment là que dans le nord ouest de l'Europe. Les premiers deniers d'argent avaient été institués par le roi mérovingien Childéric II en 673. Cela n'empêchait aucunement la répartition de la frappe monétaire entre différents évêques, comtes voire abbayes. Ce n'est qu'en 755 d'une règle monétaire est vraiment édictée, faisant de Pépin le premier roi de France à agir ainsi. Ce dernier décide que le denier doit avoir un poids uniforme de 1,22 gramme d'argent. Ces deniers d'argent ont circulé jusqu'au sud du royaume. Tout comme au nord, où le roi contrôle l'atelier de Dorestad, qui auparavant frappait les monnaies d'argent frisonnes, à savoir les sceattas. Il s'agit donc de monométallisme argent.
Malgré le partage temporaire du royaume entre Charles et Carloman, les 2 fils de Pépin le Bref, mort en 768, la mort rapide de Carloman en 771 fait de Charlemagne le seul et unique souverain d'un royaume à nouveau réunifié. C'est aussi à partir de Charlemagne qu'on trouvera des documentations historiques conséquentes. Parmi ces documents, on trouve la biographie de Charlemagne, la Vita Caroli, autrement dit, la vie Vie de Charlemagne, raconté par Eginhard et rédigé à la demande de Louis le Pieux aux environs de 830. Alors que quelques annales seulement existent concernant l'ensemble des rois mérovingiens, il existe pas moins de 80 manuscrits qui ont été conservés. D'autres ont rédigé des poèmes historiques, à l'image d'Alcuin, d'Angilbert ou encore de Théodulfe. On connait l'administration du palais et, de façon plus élargie, du royaume grâce à un traité nommé : De ordine palatii. Enfin, il existe nombre de documents ecclésiastiques ainsi que des dizaines de décrets et capitulaires sans oublier les diplômes authentiques qui sont toutes aussi enrichissantes d'informations les unes que les autres. Ce que l'on sait de lui, c'est qu'il a eux plusieurs concubines et plusieurs épouses, même si seule Hildegarde lui donne des héritiers royaux. Il apprécie particulièrement la lecture de récits antiques. Il est également probable qu'il savait écrire. D'un point de vue militaire, Charlemagne a montré qu'il était un très grand stratège et meneur d'hommes capable de mener son armée jusqu'à la victoire. C'est au mois de mai, la plupart du printemps qu'il convoque la plupart des hommes libres pour constituer son armée à l'occasion des campagnes militaires, appelées également, l'ost. Au total il dispose de plus de 50 000 cavaliers sans oublier les milliers de guerriers à pied. Ces cavaliers sont pour la plupart des vassaux que le roi a casé sur des bénéfices. Ils sont donc des fidèles du roi.
En 751, Pépin, fils de Charles Martel, est fait sacré roi par l'évêque Boniface. Ensuite, en 754, Etienne II renouvelle le sacre de Pépin tout en y associant ses fils, à savoir Charles et Carloman. La royauté connait à partir de ce moment là un nouveau statut. De magique, elle devient sacrée. Ces événements marquent la naissance de la monarchie française telle qu'on l'entend habituellement. La Gaule fait partie de l'Empire Carolingien. En 843, le traité de Verdun fait que cet empire est partagé en 3 royaumes. Parmi ces 3 royaumes, la Francie occidentale. La fidélité de l'aristocratie franque au roi est la seule gage du peu de cohésion territorial qui existe alors. Charles Martel meurt en 741. Entre 741 et 751, Pépin, surnommé le Bref en raison de sa petite taille notamment est maire du palais de Neustrie. Au même moment, Carloman, son frère, est maire du palais d'Austrasie. Pépin devient maire de l'ensemble du royaume lorsque Carloman fait le choix de devenir moine en 747. Politiquement il existait une opposition forte à Pépin le Bref, celle de l'aristocratie franque, qui restait attachée aux pouvoirs magiques des rois chevelus mérovingiens. Tout cela se traduit par une révolte mené par des princes aquitains et germains en 743 qui tentent de rétablir un prince mérovingien sur le trône. Or, les bienfaits distribués par Pépin grâce au système vassalique mis en place par Charles Martel auparavant lui permet de calmer le jeu, en partie seulement. Tout comme avec les mérovingiens, les succès militaires assuraient un grand prestige au roi, vu alors comme un grand chef victorieux. Or c'est ce qui se passe avec les conquêtes territoriales effectuées via des expéditions à travers l'Aquitaine, la Bavière mais aussi l'Alémanie par Pépin et son frère Carloman. La réforme religieuse est tout aussi présente, la preuve en est avec Ainsi, en accord avec les maires du palais, le pape Boniface enclenche une réforme religieuse.
Cette réforme religieuse avait déjà débutée à l'époque de Charles Martel mais elle s'achève véritablement sous Pépin le Bref. Les milieux monastiques sont à l'origine de cette réforme religieuse. Les biens de l'Eglise ainsi que la manière dont est doit être organisé le clergé sont les 2 sujets traités par la réforme. Les écrits de Saint Augustin, notamment " La Cité de Dieu", inspirent grandement cette réforme du clergé. Il s'agit pour la cité terrestre en effet, de calquer son organisation sur celui de la cité céleste. En d'autres termes l'ordre doit régner sur terre tout autant que dans le ciel. Des décisions religieuses sont prises en accord avec le pape Zacharie ainsi qu'avec celui des conciles. Cela consiste pour les clercs, à respecter un code de vie strict, à savoir mener une vie sans concubinage, sans guerre vu qu'ils ne doivent pas porter des armes et aller combattre, ou même pour aller chasser. De même les habits spécifiques sont proscrits et l'accent est mis sur la nécessité de mener une vie digne sur le plan moral. Les églises épiscopales ainsi que les monastères sont les lieux dans lesquels résideront les clercs. Ainsi, des réunions de conciles que ce soit en Neustrie ou en Austrasie sont organisés sous la bénédiction de Pépin et de Carloman. Ces derniers encouragent la lutte contre la paganisme ainsi que l'uniformisation de la discipline chrétienne. Mais, certains évêques, notamment en Neustrie, résistent à ces nouvelles réformes. Plutôt que de soumettre leur nomination à des règles hiérarchiques considérées comme étant trop strictes, ces évêques, tout comme nombre d'autres membres de l'aristocratie franque préfèrent la conservation de liens personnels avec le pouvoir politique et donc le pouvoir royal.
Nombre de clercs proches de Pépin pensent qu'afin que le royaume puisse connaître une organisation hiérarchique similaire à le leur, il faut que le pouvoir soit dévolu à un seul homme. De plus, selon ces clercs, le pouvoir vient de Dieu. Il n'est donc plus de caractère magique puisqu'il est désormais sacré, à l'image de la royauté des Wisigoths, qui ont inspiré ces clercs réformateurs. De plus, Isodore de Séville durant le VIIème siècle avait accumulé nombre de théories retranscrites dans son ouvrage intitulé : " les Etymologies". Concernant les obstacles existant face au sacre de Pépin, le seul qui puisse encore prétendre au trôle est un roi mérovingien, à savoir Childéric III. Le pape Zacharie est convaincu par Fulrad de soutenir le changement de dynastie. Malgré cela, il reste l'aristocratie de Neustrie, toujours favorables aux mérovingiens. Par la suite, c'est à Soissons en 751 qu'il est élu par une assemblée nommé assemblée " de tous les Francs ". Boniface est instigateur, lui qui est à ce moment là l'archevêque de Mayence. Cela entraîne l'enfermement de Childéric III dans un monastère. L'huile sainte, qui n'était alors réservée qu'aux évêques voire aux prêtres, est utilisé lors du sacre. Ce genre de cérémonies se répétera encore 1 000 ans en France. A Saint Denis en 754, Pépin est sacré une seconde fois à l'instigation du pape Etienne II. L'onction royale est utilisé pour les 2 fils du pape, qui sont Charlemagne et Carloman. L'union entre le politique et le religieux se fait de manière encore plus claire. Le titre de Patrice des Romains et également attribué au Carolingiens. Ils se doivent alors de protéger la papauté en tout circonstances puisque l'aide de Pépin a déjà été sollicité par le pape Etienne II afin de lutter contre la menace que représentaient les Lombards, dirigés par Aisolf, qui avaient menacé Rome après avoir arraché Ravenne des mains des Byzantins.
Pépin, si on en croit le Livre pontifical, chronique officielle de la papauté, promet de reprendre l'exarchat de Ravenne. Par la suite, les révoltes en Aquitaine; terre où les traditions gallo romaines étaient encore restés largement présentes, sont domptées à travers des expéditions militaires effectuées entre 760 et 768. Le prince de Bavière, Tassilon, prête à Pépin un serment de fidélité. La soumission des Saxons est également assurée. Dans le domaine monétaire, il se trouve que le roi avait perdu le monopole de l'émission de la monnaie et de la frappe de la monnaie plus précisément. De plus, l'or avait disparu de la Gaulle à partir du milieu du VIIème siècle. En ce qui concerne l'argent, il ne sert d'échanges à ce moment là que dans le nord ouest de l'Europe. Les premiers deniers d'argent avaient été institués par le roi mérovingien Childéric II en 673. Cela n'empêchait aucunement la répartition de la frappe monétaire entre différents évêques, comtes voire abbayes. Ce n'est qu'en 755 d'une règle monétaire est vraiment édictée, faisant de Pépin le premier roi de France à agir ainsi. Ce dernier décide que le denier doit avoir un poids uniforme de 1,22 gramme d'argent. Ces deniers d'argent ont circulé jusqu'au sud du royaume. Tout comme au nord, où le roi contrôle l'atelier de Dorestad, qui auparavant frappait les monnaies d'argent frisonnes, à savoir les sceattas. Il s'agit donc de monométallisme argent.
Malgré le partage temporaire du royaume entre Charles et Carloman, les 2 fils de Pépin le Bref, mort en 768, la mort rapide de Carloman en 771 fait de Charlemagne le seul et unique souverain d'un royaume à nouveau réunifié. C'est aussi à partir de Charlemagne qu'on trouvera des documentations historiques conséquentes. Parmi ces documents, on trouve la biographie de Charlemagne, la Vita Caroli, autrement dit, la vie Vie de Charlemagne, raconté par Eginhard et rédigé à la demande de Louis le Pieux aux environs de 830. Alors que quelques annales seulement existent concernant l'ensemble des rois mérovingiens, il existe pas moins de 80 manuscrits qui ont été conservés. D'autres ont rédigé des poèmes historiques, à l'image d'Alcuin, d'Angilbert ou encore de Théodulfe. On connait l'administration du palais et, de façon plus élargie, du royaume grâce à un traité nommé : De ordine palatii. Enfin, il existe nombre de documents ecclésiastiques ainsi que des dizaines de décrets et capitulaires sans oublier les diplômes authentiques qui sont toutes aussi enrichissantes d'informations les unes que les autres. Ce que l'on sait de lui, c'est qu'il a eux plusieurs concubines et plusieurs épouses, même si seule Hildegarde lui donne des héritiers royaux. Il apprécie particulièrement la lecture de récits antiques. Il est également probable qu'il savait écrire. D'un point de vue militaire, Charlemagne a montré qu'il était un très grand stratège et meneur d'hommes capable de mener son armée jusqu'à la victoire. C'est au mois de mai, la plupart du printemps qu'il convoque la plupart des hommes libres pour constituer son armée à l'occasion des campagnes militaires, appelées également, l'ost. Au total il dispose de plus de 50 000 cavaliers sans oublier les milliers de guerriers à pied. Ces cavaliers sont pour la plupart des vassaux que le roi a casé sur des bénéfices. Ils sont donc des fidèles du roi.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Versali
2 ans
J'imagine que ça faire jaser les middle iq du forom mais il faut rétablir la vérité
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
- L'obscurantisme religieux a considérablement freiné la recherche scientifique, pire encore car les Ecritures étaient en duel avec la science étant donné que chaque nouveauté scientifique devaient être approuvé par des instances catholiques, c'était très courant qu'un scientifique soit considéré comme magiciens avec ses thèses car trop en désaccord avec l'Eglise, comme Roger Bacon qui ira en prison pendant 13 ans sur ordre de l'Eglise, comme Galilé qui a prouvé l'éliocentrisme , ou comme Vésale qui fonda l'anatomie et qui sera puni de mort par l'Inquisition
- Le Moyen-Âge du bas moyen âge au haut Moyen-Âge (~400- ~1500) aura connu très peu d'avancées scientifiques, justement c'est à partir du moment où la recherche scientifique bondi qu'on arrête le moyen-Âge pour passer à la Renaissance
- La révolution scientifique : elle commence en Italie dans des cités marchandes où le règne de l'argent et de la culture a depuis plusieurs siècles remplacé celui de l'Eglise (j'exagère légèrement mais vous avez compris), le peuple italien est le plus hérétique de l'occident à partir de la renaissance, Léonard de Vinci, René Descartes, Francis Bacon, Galileo Galile, Pascal étaient hérétiques
- Le dogme catholique promouvait l'ignorance contre le savoir, le savoir était une façon de comprendre Dieu et la nature qu'il a créée
ce qui est un pêché et ça dans tous les domaines, anatomie, mathématique, astronomie et surtout astronomie, topographie " l'ignorance de la topographie fait plaisir au seigneur " , tout le savoir (notamment d'Aristote) était stocké mais jamais étudié et tout ce qui s'écartait des écritures était banni
+ Pour finir :
- 90% de la population ne savait pas lire
- Aucune école (qui fait vraiment apprendre)
- Esclavage encore bien présent jusqu'en 900
- Révolution Mécanique qui commença réellement dans les années 1300
Je précise que je me base sur le livre " le génie de l'occident " de Louis Rougier
Malgré certains échecs, dans l'ensemble, ses campagnes militaires ont été victorieuses et lui ont permis de se doter d'un territoire agrandi. Il parvient également à accumuler des richesses conséquentes. Ainsi parmi ses campagnes victorieuses figurent celle contre l'Aquitaine à partir de 768. A cela s'ajoute sa victoire contre les Lombards suite à l'appel du pape d'alors, un certain Hadrien Ie, qui a été pape du 772 à 795. Didier, roi est Lombards, est vaincu et doit céder sa capitale à Charlemagne. De plus, il se fait couronner roi des Lombards en 774. Dans le nord ouest de la Germanie, en revanche, les Saxons mènent une résistance acharnée, de telle sorte qu'il faudra plusieurs années et plus de 20 expéditions militaires pour les vaincre totalement. Le Germanie tombe également sous le joug de Charlemagne suite à l'annexion de la Bavière par Charlemagne. La loi des saxons forment les coutumes juridiques du pays. Cependant, malgré l'intégration des Saxons et également des Frisons au royaume, ceux ci conservent un droit spécifique et privé. Par la suite, les Avars à l'est de la Saxe et de la Bavière, les musulmans qui se sont installés au sud des Pyrénées en Espagne, ainsi que les Bretons à l'ouest deviennent rapidement source d'inquiétude pour Charlemagne.
LES PREMIERS ROIS CAPETIENS
Les premiers rois capétiens sont Hugues Capet, Robert II, Henri Ier et Philippe Ier, pour ne citer que les 4 premiers. Les contemporains de l'époque ne voient pas l'élection d'Hugues Capet le 3 juillet 987 comme un événement si majeur que l'on ne le perçoit aujourd'hui. Et cela se comprend facilement. En effet, les Robertiens et les Carolingiens ont toujours vu leurs représentants s'alterner sur le trône. Mais la tentative de Charles de Lorraine, un héritier des Carolingiens, de s'emparer du pouvoir en prenant Laon et Reims échoue en grande partie grâce à l'évêque de Laon, à savoir Adalbéron. Il en meurt en 992. Au moment du sacre d'Hugues Capet, le royaume est constitué de la Francie occidentale. Cette dernière a vu d'ailleurs ses frontières définis à l'occasion du traité de Verdun de 843. Le Rhône,, la Meuse, l'Escat et le Saône séparent la Francie Occidentale de l'Empire.
Les premiers capétiens se donnent le nom de roi des Francs, titre conservé jusqu'à Philippe le Bel qui a régné de 1 285 à 1 314. La titulature se change alors en " roi de France ", soit, rex Francie en latin. Les rois du XIème et XIIème siècles ont donc le sentiment non pas d'être les maitres absolus d'un territoire mais d'être maîtres d'un peuple, à savoir celui des Francs. Les Francs, dont l'identité se réduit au début principalement à l'aristocratie franque. Comme sous les Carolingiens, le pouvoir royal s'appuie sur un système vassalique qui se traduit par une relation personnelle entre le roi et l'aristocratie. Malgré cela, ces liens se s'appuient pas forcément sur une quelconque présence physique, en témoigne le fait par exemple qu'après le voyage de Robert le Pieux dans les pays méridionaux durant les années 1 019 1 020, le sud de la Loire n'est plus franchie par les Capétiens durant plus d'un siècle. Le pagus constituait l'ancienne division administrative du royaume. Et les principautés territoriales pouvaient regrouper plusieurs comptés. Malgré le fait que les comptes soient à l'écart du pouvoir royal central, George Duby avait étudié le cas particulier de Mâcon vu que le roi n'intervenait plus et ne nommait plus de compte de puis le milieu du Xème siècle et que le pouvoir se comtal se transmettait de génération en génération. La différence entre les propriétaires fonciers et le compte ne concerne pas tant le niveau des richesses mais surtout le pouvoir et la nature du pouvoir exercé. Ainsi le comte peut exercer le ban, qui possède un aspect judiciaire mais aussi militaire. Ce dernier aspect permet au comte de convoquer et diriger le contingent militaire du comté choisi parmi les hommes dit libres qui sont en capacité de s'équiper. L'aspect judiciaire, par contre, permet de présider un tribunal public comme il est appelé, mallus publicus.
En principe, le droit d'ériger une forteresse est un droit régalien exercé par le souverain et ses délégués, donc les princes territoriaux ou les comtes. Malgré cela, les châteaux ne semblaient pas si nombreux que ça aux alentours de l'an 1 000. En effet, il y a plus de 50 60 ans, on pensait que la France s'était doté d'énormément de forteresses et châteaux pour se défendre des invasions sarrasines, hongroises ou normandes. Les puissants locaux auraient alors creusé des fossés, elevés des tours en bois et des mottes, puis seraient devenus autonomes. Cette idée est en grande partie réfutée désormais. Car nombre d'études locales tendent à montrer en effet le faible nombre des châteaux locaux autour de l'an 1 000. De plus, la quasi totalité de leurs détenteurs ont reçu leurs pouvoirs des princes territoriaux. Ce sont donc eux qui ont ordonné la construction de ces forteresse. De plus, au delà la volonté de faire face à un adversaire potentiel, il faut aussi tenir compte des guerres privés qui accroissent l'insécurité. Ces guerres privées sont souvent le fait des membres de l'aristocratie. Les détenteurs des forteresses restent également fidèles aux comptes. Malgré une certaine forme d'indépendance par certains châtelains, dues notamment à des conflits dans le domaine royal, il n'y a pas d'anarchie à proprement parler. Le pouvoir reste entre les mains de l'Etat carolingien. De plus, les seigneurs sont dépeints par l'Eglise comme des brigands durant le XIème siècle dans leur description étant donné que ces seigneurs tendent à s'accaparer de biens ecclésiastiques.
Certains princes à partir du milieu du XIème siècle deviennent maitres de leurs principautés. C'est du à l'évolution des principautés et de la résurgence du pouvoir des princes en Normandie, CAtalogne ou encore en Flandre. Le cas de Guillaume le Conquérant qui devient duc de Normandie est intéressant. En effet, l'anarchie ayant suivi la mort de Robert le Libéral en Orient, est défaite lors de la bataille de Val ès Dunes qui se déroule en 1 047.
La possession d'un château est à la fois un privilège sur le plan social mais aussi sur le plan politique. En effet, d'un point de vue social, il faut avoir acquis la richesse nécessaire à la construction puis à l'entretien du château en question. Mais cela ne suffit pas en général. Car le privilège politique suppose s'être emparé, peu importe les moyens, des pouvoirs politiques de commandement contenus dans le droit de ban. En bref ce n'est pas donné à tout le monde. La preuve, la seule catégorie de personnes pouvant se permettre d'édifier un château durant cette période de l'histoire en France, c'est l'élite aristocratique. Ceux ci sont nommés ou les barons ou les sires. D'autres termes les désignent également comme le terme de proceres ( les plus éminents ) ou optimales ( les plus grands ). Ensuite, le château est un centre de commandement important car ces pouvoirs de commandements viennent du droit de ban, autrement dit, ordonner, punir et contraindre. La seigneurie châtelaine en est le parfait exemple. Le droit de ban exercée par le château ou plus précisément le châtelain s'exerce sur les personnes habitant dans la zone d'influence du château en question. Cette zone d'influence se nomme la châtellerie. Mais au delà de ces facteurs, il y a l'enjeu militaire. Les grandes exploitations agricoles parfois, en l'occurrence les villae, avaient été mises en défense, sous forme de fossés et de palissades, autrement dit une défense légère. L'émergence des châteaux permet de solidifier le système militaire défensif.
Concernant la vie au sein du château, il est à noter que le coeur du château contient notamment la chambre conjugale du châtelain et de la châtelaine ( la domina ). Leurs enfants constituent la lignée. Cette transmission verticale du pouvoir puise sa racine dans l'exemple des princes territoriaux qui privilégiaient ce mode de transmission aux modes de transmissions horizontales entre égaux ou alliés. C'est ce qui était privilégie notamment au Xième siècle. A partir de la décennie 1 030, un siècle après les princes territoriaux, c'est l'aristocratie châtelaine qui suit cette voie de la continuité du lignage se transmettant par le sang.
LES PREMIERS ROIS CAPETIENS
Les premiers rois capétiens sont Hugues Capet, Robert II, Henri Ier et Philippe Ier, pour ne citer que les 4 premiers. Les contemporains de l'époque ne voient pas l'élection d'Hugues Capet le 3 juillet 987 comme un événement si majeur que l'on ne le perçoit aujourd'hui. Et cela se comprend facilement. En effet, les Robertiens et les Carolingiens ont toujours vu leurs représentants s'alterner sur le trône. Mais la tentative de Charles de Lorraine, un héritier des Carolingiens, de s'emparer du pouvoir en prenant Laon et Reims échoue en grande partie grâce à l'évêque de Laon, à savoir Adalbéron. Il en meurt en 992. Au moment du sacre d'Hugues Capet, le royaume est constitué de la Francie occidentale. Cette dernière a vu d'ailleurs ses frontières définis à l'occasion du traité de Verdun de 843. Le Rhône,, la Meuse, l'Escat et le Saône séparent la Francie Occidentale de l'Empire.
Les premiers capétiens se donnent le nom de roi des Francs, titre conservé jusqu'à Philippe le Bel qui a régné de 1 285 à 1 314. La titulature se change alors en " roi de France ", soit, rex Francie en latin. Les rois du XIème et XIIème siècles ont donc le sentiment non pas d'être les maitres absolus d'un territoire mais d'être maîtres d'un peuple, à savoir celui des Francs. Les Francs, dont l'identité se réduit au début principalement à l'aristocratie franque. Comme sous les Carolingiens, le pouvoir royal s'appuie sur un système vassalique qui se traduit par une relation personnelle entre le roi et l'aristocratie. Malgré cela, ces liens se s'appuient pas forcément sur une quelconque présence physique, en témoigne le fait par exemple qu'après le voyage de Robert le Pieux dans les pays méridionaux durant les années 1 019 1 020, le sud de la Loire n'est plus franchie par les Capétiens durant plus d'un siècle. Le pagus constituait l'ancienne division administrative du royaume. Et les principautés territoriales pouvaient regrouper plusieurs comptés. Malgré le fait que les comptes soient à l'écart du pouvoir royal central, George Duby avait étudié le cas particulier de Mâcon vu que le roi n'intervenait plus et ne nommait plus de compte de puis le milieu du Xème siècle et que le pouvoir se comtal se transmettait de génération en génération. La différence entre les propriétaires fonciers et le compte ne concerne pas tant le niveau des richesses mais surtout le pouvoir et la nature du pouvoir exercé. Ainsi le comte peut exercer le ban, qui possède un aspect judiciaire mais aussi militaire. Ce dernier aspect permet au comte de convoquer et diriger le contingent militaire du comté choisi parmi les hommes dit libres qui sont en capacité de s'équiper. L'aspect judiciaire, par contre, permet de présider un tribunal public comme il est appelé, mallus publicus.
En principe, le droit d'ériger une forteresse est un droit régalien exercé par le souverain et ses délégués, donc les princes territoriaux ou les comtes. Malgré cela, les châteaux ne semblaient pas si nombreux que ça aux alentours de l'an 1 000. En effet, il y a plus de 50 60 ans, on pensait que la France s'était doté d'énormément de forteresses et châteaux pour se défendre des invasions sarrasines, hongroises ou normandes. Les puissants locaux auraient alors creusé des fossés, elevés des tours en bois et des mottes, puis seraient devenus autonomes. Cette idée est en grande partie réfutée désormais. Car nombre d'études locales tendent à montrer en effet le faible nombre des châteaux locaux autour de l'an 1 000. De plus, la quasi totalité de leurs détenteurs ont reçu leurs pouvoirs des princes territoriaux. Ce sont donc eux qui ont ordonné la construction de ces forteresse. De plus, au delà la volonté de faire face à un adversaire potentiel, il faut aussi tenir compte des guerres privés qui accroissent l'insécurité. Ces guerres privées sont souvent le fait des membres de l'aristocratie. Les détenteurs des forteresses restent également fidèles aux comptes. Malgré une certaine forme d'indépendance par certains châtelains, dues notamment à des conflits dans le domaine royal, il n'y a pas d'anarchie à proprement parler. Le pouvoir reste entre les mains de l'Etat carolingien. De plus, les seigneurs sont dépeints par l'Eglise comme des brigands durant le XIème siècle dans leur description étant donné que ces seigneurs tendent à s'accaparer de biens ecclésiastiques.
Certains princes à partir du milieu du XIème siècle deviennent maitres de leurs principautés. C'est du à l'évolution des principautés et de la résurgence du pouvoir des princes en Normandie, CAtalogne ou encore en Flandre. Le cas de Guillaume le Conquérant qui devient duc de Normandie est intéressant. En effet, l'anarchie ayant suivi la mort de Robert le Libéral en Orient, est défaite lors de la bataille de Val ès Dunes qui se déroule en 1 047.
La possession d'un château est à la fois un privilège sur le plan social mais aussi sur le plan politique. En effet, d'un point de vue social, il faut avoir acquis la richesse nécessaire à la construction puis à l'entretien du château en question. Mais cela ne suffit pas en général. Car le privilège politique suppose s'être emparé, peu importe les moyens, des pouvoirs politiques de commandement contenus dans le droit de ban. En bref ce n'est pas donné à tout le monde. La preuve, la seule catégorie de personnes pouvant se permettre d'édifier un château durant cette période de l'histoire en France, c'est l'élite aristocratique. Ceux ci sont nommés ou les barons ou les sires. D'autres termes les désignent également comme le terme de proceres ( les plus éminents ) ou optimales ( les plus grands ). Ensuite, le château est un centre de commandement important car ces pouvoirs de commandements viennent du droit de ban, autrement dit, ordonner, punir et contraindre. La seigneurie châtelaine en est le parfait exemple. Le droit de ban exercée par le château ou plus précisément le châtelain s'exerce sur les personnes habitant dans la zone d'influence du château en question. Cette zone d'influence se nomme la châtellerie. Mais au delà de ces facteurs, il y a l'enjeu militaire. Les grandes exploitations agricoles parfois, en l'occurrence les villae, avaient été mises en défense, sous forme de fossés et de palissades, autrement dit une défense légère. L'émergence des châteaux permet de solidifier le système militaire défensif.
Concernant la vie au sein du château, il est à noter que le coeur du château contient notamment la chambre conjugale du châtelain et de la châtelaine ( la domina ). Leurs enfants constituent la lignée. Cette transmission verticale du pouvoir puise sa racine dans l'exemple des princes territoriaux qui privilégiaient ce mode de transmission aux modes de transmissions horizontales entre égaux ou alliés. C'est ce qui était privilégie notamment au Xième siècle. A partir de la décennie 1 030, un siècle après les princes territoriaux, c'est l'aristocratie châtelaine qui suit cette voie de la continuité du lignage se transmettant par le sang.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Vu que l'armement coûte cher, il est évident que seule l'élite de la société peut se permettre ce mode de vie. Ainsi, un bon cheval ou une bonne cotte représentent 5 ou 6 vaches en terme d'équivalent financier, voire d'une petite tenure paysanne. De plus, la force physique, la bravoure et l'adresse sont des qualités obligatoires pour devenir chevalier. Sans oublier que l'adoubement est nécessaire pour devenir chevalier. Autrement dit il faut avoir accompli un certain nombre de rites. La colée, un coup sur la nuque, est porté sur le futur chevalier par un chevalier aîné. Comme un symbole pour la transmission de la force virile et physique sans doute. Ajoutons à cela les éperons, les armes en général et bien évidemment le cheval, indispensable. Les petites sociétés militaires dominent le royaume à travers celle des châtelains, aux même dominés par la haute aristocratie.
Peu de paysans échappent à la seigneurie banale. Le fait que le nombre de paysans dépendant d'aucun seigneur foncier diminue. On appelle ces derniers les paysans alleutiers. Rien qu'en Catalogne, 80% des actes sont passés par des alleutiers aux alentour de l'an 1 000. A la fin du XIème siècle, ce chiffre est passé à 25% après être passé par 55% au milieu du XIème siècle. Au milieu du XIIème siècle c'est 10%. Pour ce qui est du servage médiéval, le problème est de savoir si les serfs médiévaux sont des descendants de non libres tels que les polyptyques carolingiens en parlent. A moins que ce servage médiéval soit en fait né au XIème siècle. La confusion du vocabulaire n'arrange rien lorsqu'il s'agit de donner des conclusions claires. En effet, le terme latin servus peut se traduit ou par serf, ou par esclave. Malgré la non disparition des non libres, il est probable si on en croit l'ouvrage de George Duby sur le cas Mâconnais qu'il s'agit à ce moment là d'une classe résiduelle. Or, les non libre sont à l'époque carolingienne, des gens dont on a dénié leur liberté malgré l'autorisation qu'ils ont d'avoir une tenure autonome pour se caser. A partir de la seconde moitié du XIème siècle, on remarque que les termes anciens désignant habituellement la servitude sont très rarement employés à ce moment là et que le peu de fois qu'ils le sont, c'est pour désigner des tenanciers dont les charges ne se sont pas différenciés. En bref, on voit un effacement de la distinction libre non libre à partir des premiers rois Capétiens en France. Il existe plusieurs degrés selon l'attachement du paysan au seigneur ou le nombre de charges qui leur sont dévolus. Certains paysans, pour échapper aux menaces des seigneurs voisins, ou à cause de la pauvreté, peut par exemple se donner à une église, ou à un seigneur. Ce sont les sainteurs.
On se doute bien que tout ne se passait pas forcément bien. Ainsi, on a recensé des révoltes paysannes s'étant traduit par des meurtres de seigneurs, bien que ce soit des cas rares et peu nombreux. De plus, suivant des mouvements animés par des clercs, certains paysans ou paysans citadins s'engagent des des hérésies, qui sont les premières hérésies. Mais il ne faut pas oublier que le châtelain a un devoir de protection à l'égard du paysan. De plus, les détenteurs du droit de ban ont tendance à dans la grande majorité, favoriser les transactions entre les parties au lieu d'avoir recours aux peines corporelles ou aux ordalies, à l'exception des cas les plus graves comme à l'occasion de crimes de moeurs.
Les rois sans visages désignent couramment les 4 premiers roi Capétiens dont on ne sait rien ou presque. Les seuls informations sur leur apparence physique proviennent des portraits dressés par des chroniqueurs, sachant que les considérations morales font que certains rois possèdent un portrait flatteur, plus que d'autres. C'est notamment le cas de Robert le Pieux, dont Helgaud de Fleury a décrit et tracé de manière flatteur et élogieux étant donné le fait que le roi se soit converti en pénitent pour racheter un grave pêché en fin de vie. Tout le monde n'a pas eu la même chance. En l'occurrence, Philippe Ier a été décrit, à cause de ses moeurs matrimoniales, comme étant impie et cupide. Ainsi, il a répudié Berthe de Frise après l'avoir marié. Par la suite, c'est avec Bertrade de Montfort qu'il se marie. Or, Bertrade de Montfort était l'épouse du comte d'Anjou, qui était son vassal. Cela aboutit à l'excommunication de la part du pape de l'époque, Urbain II, connu pour avoir prêché la croisade juste après. Il ne reste donc que des souscriptions ou des signatures situés au bas de leurs actes. Ces actes sont ce qu'on appelle les diplômes royaux.
L'une des forces majeure des Capétiens réside. Il faut savoir que du temps de rois Mérovingiens, le sacre était utilisé par les Carolingiens à leur époque et ce depuis le sacre de Pépin le Bref en 751. Il n'y a pas de caractère magique qui caractérisait l'époque des roi Mérovingiens. En revanche, le roi devient sacré. Et cet au cours de ce sacre que le roi prête serment de protection, que ce soit à l'égard des pauvres, du clergé ou do royaume. L'appuie fourni par l'Eglise en échange de la fondation d'églises ou de l'accord de privilège au clergé est un facteur à ne pas oublier. De plus, le roi est unit à l'Eglise. C'est une union entre le pouvoir politique et le pouvoir religieux. Cela se traduit par le fait que le roi devient quasi prêtre. De plus, il faut évoquer le début du rite des écrouelles, qui est une maladie des glandes du cou. Or les Capétiens sont censés guérir cette maladie en touchant les malades. Ce sont des rois thaumaturges, ce qui les différencie des roi Mérovingiens puis Carolingiens. On parle de miracle royal. On en parle pour la première fois sous Philippe Ier. On pensait auparavant à l'image de Marc Bloch que la guérison des écrouelles était censé venir des vertus et des pouvoirs conférées par le sacre. En réalité, il est plus probable que cela ait une origine populaire qu'autre chose. Origine venant du coeur de la puissance capétienne dans le royaume entre Reims, Soissons et Laon. Enfin, il faudrait parler des Capétiens en tant que dynastie, puisqu'ils ont réussi à faire du trône et de l'office royal, d'abord élective, une fonction transmise par le droit du sang, de père en fils aîné. Et ce malgré une hostilité relative d'une grande partie du clergé qui préféraient une monarchie de type élective, à l'image à leur expérience passé pour accéder à leurs fonctions d'abbés ou d'évêques. Malgré le fait que les cadets soient lésés, le roi accorde en compensation des terres et un patrimoine conséquent.
Peu de paysans échappent à la seigneurie banale. Le fait que le nombre de paysans dépendant d'aucun seigneur foncier diminue. On appelle ces derniers les paysans alleutiers. Rien qu'en Catalogne, 80% des actes sont passés par des alleutiers aux alentour de l'an 1 000. A la fin du XIème siècle, ce chiffre est passé à 25% après être passé par 55% au milieu du XIème siècle. Au milieu du XIIème siècle c'est 10%. Pour ce qui est du servage médiéval, le problème est de savoir si les serfs médiévaux sont des descendants de non libres tels que les polyptyques carolingiens en parlent. A moins que ce servage médiéval soit en fait né au XIème siècle. La confusion du vocabulaire n'arrange rien lorsqu'il s'agit de donner des conclusions claires. En effet, le terme latin servus peut se traduit ou par serf, ou par esclave. Malgré la non disparition des non libres, il est probable si on en croit l'ouvrage de George Duby sur le cas Mâconnais qu'il s'agit à ce moment là d'une classe résiduelle. Or, les non libre sont à l'époque carolingienne, des gens dont on a dénié leur liberté malgré l'autorisation qu'ils ont d'avoir une tenure autonome pour se caser. A partir de la seconde moitié du XIème siècle, on remarque que les termes anciens désignant habituellement la servitude sont très rarement employés à ce moment là et que le peu de fois qu'ils le sont, c'est pour désigner des tenanciers dont les charges ne se sont pas différenciés. En bref, on voit un effacement de la distinction libre non libre à partir des premiers rois Capétiens en France. Il existe plusieurs degrés selon l'attachement du paysan au seigneur ou le nombre de charges qui leur sont dévolus. Certains paysans, pour échapper aux menaces des seigneurs voisins, ou à cause de la pauvreté, peut par exemple se donner à une église, ou à un seigneur. Ce sont les sainteurs.
On se doute bien que tout ne se passait pas forcément bien. Ainsi, on a recensé des révoltes paysannes s'étant traduit par des meurtres de seigneurs, bien que ce soit des cas rares et peu nombreux. De plus, suivant des mouvements animés par des clercs, certains paysans ou paysans citadins s'engagent des des hérésies, qui sont les premières hérésies. Mais il ne faut pas oublier que le châtelain a un devoir de protection à l'égard du paysan. De plus, les détenteurs du droit de ban ont tendance à dans la grande majorité, favoriser les transactions entre les parties au lieu d'avoir recours aux peines corporelles ou aux ordalies, à l'exception des cas les plus graves comme à l'occasion de crimes de moeurs.
Les rois sans visages désignent couramment les 4 premiers roi Capétiens dont on ne sait rien ou presque. Les seuls informations sur leur apparence physique proviennent des portraits dressés par des chroniqueurs, sachant que les considérations morales font que certains rois possèdent un portrait flatteur, plus que d'autres. C'est notamment le cas de Robert le Pieux, dont Helgaud de Fleury a décrit et tracé de manière flatteur et élogieux étant donné le fait que le roi se soit converti en pénitent pour racheter un grave pêché en fin de vie. Tout le monde n'a pas eu la même chance. En l'occurrence, Philippe Ier a été décrit, à cause de ses moeurs matrimoniales, comme étant impie et cupide. Ainsi, il a répudié Berthe de Frise après l'avoir marié. Par la suite, c'est avec Bertrade de Montfort qu'il se marie. Or, Bertrade de Montfort était l'épouse du comte d'Anjou, qui était son vassal. Cela aboutit à l'excommunication de la part du pape de l'époque, Urbain II, connu pour avoir prêché la croisade juste après. Il ne reste donc que des souscriptions ou des signatures situés au bas de leurs actes. Ces actes sont ce qu'on appelle les diplômes royaux.
L'une des forces majeure des Capétiens réside. Il faut savoir que du temps de rois Mérovingiens, le sacre était utilisé par les Carolingiens à leur époque et ce depuis le sacre de Pépin le Bref en 751. Il n'y a pas de caractère magique qui caractérisait l'époque des roi Mérovingiens. En revanche, le roi devient sacré. Et cet au cours de ce sacre que le roi prête serment de protection, que ce soit à l'égard des pauvres, du clergé ou do royaume. L'appuie fourni par l'Eglise en échange de la fondation d'églises ou de l'accord de privilège au clergé est un facteur à ne pas oublier. De plus, le roi est unit à l'Eglise. C'est une union entre le pouvoir politique et le pouvoir religieux. Cela se traduit par le fait que le roi devient quasi prêtre. De plus, il faut évoquer le début du rite des écrouelles, qui est une maladie des glandes du cou. Or les Capétiens sont censés guérir cette maladie en touchant les malades. Ce sont des rois thaumaturges, ce qui les différencie des roi Mérovingiens puis Carolingiens. On parle de miracle royal. On en parle pour la première fois sous Philippe Ier. On pensait auparavant à l'image de Marc Bloch que la guérison des écrouelles était censé venir des vertus et des pouvoirs conférées par le sacre. En réalité, il est plus probable que cela ait une origine populaire qu'autre chose. Origine venant du coeur de la puissance capétienne dans le royaume entre Reims, Soissons et Laon. Enfin, il faudrait parler des Capétiens en tant que dynastie, puisqu'ils ont réussi à faire du trône et de l'office royal, d'abord élective, une fonction transmise par le droit du sang, de père en fils aîné. Et ce malgré une hostilité relative d'une grande partie du clergé qui préféraient une monarchie de type élective, à l'image à leur expérience passé pour accéder à leurs fonctions d'abbés ou d'évêques. Malgré le fait que les cadets soient lésés, le roi accorde en compensation des terres et un patrimoine conséquent.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Rip l'auteur.
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il y a 2 ans
Bon, finalement, j'ai répondu.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans