"Le fait d’envoyer des nudes, des dick pic ou autres photos à caractère sexuel non sollicitées s’appelle le cyberflashing. Au Royaume-Uni, le gouvernement a adopté une législation visant à punir cet acte. Autrement dit, l’envoi de dick pic sans consentement est passible de deux ans de prison.
En France, les termes de cyberflashing ou dick pic n’apparaissent pas tels quels dans la loi. Pour autant, l’article R.624-2 du code pénal peut s’appliquer dans ce cas. Cet article dispose que l’envoi non sollicité de « message contraires à la décence est puni de l'amende prévue pour les contraventions de la 4e classe » à savoir 750 € maximum et jusqu'à 1 500 € si l’image est envoyée à un mineur de moins de 15 ans.
Si les envois sont répétés, ils tombent sous le coup du cyberharcèlement dont les peines sont plus lourdes : 2 ans de prison et 30 000 € d’amende ou 3 ans d’emprisonnement et 45 000 € d’amende si la victime est âgée de moins de 15 ans.
Malheureusement en ligne, il est parfois difficile de faire respecter la loi et les victimes signalent de moins en moins les auteurs de dick pic. 50% des adolescents ayant reçu des images sexuellement explicites sans consentement ne les ont pas signalées selon une étude menée auprès de 480 Britanniques âgés de 12 à 18 ans.
Pour autant, si vous êtes victime de l'envoi d'une dick pic (de manière répétée ou non), n'hésitez pas à signaler l'auteur sur le réseau social en question. Vous avez aussi la possibilité de porter plainte en gendarmerie ou à la police, ou d'effectuer une pré-plainte en ligne. Conservez des captures d'écran de la conversation pourrait être utile.
En revanche, ne diffusez jamais à votre tour la dick pic en mode public, en mentionnant l'auteur par exemple. Vous pourriez être poursuivie pour revenge porn puni par le code pénal à l'article 226-2-1 qui consiste à diffuser sans le consentement de la personne « tout enregistrement ou tout document portant sur des paroles ou des images présentant un caractère sexuel, obtenu, avec le consentement exprès ou présumé de la personne ou par elle-même ». Ces faits sont punis de 2 ans d'emprisonnement et jusqu'à 60 000 € d'amende."
En France, les termes de cyberflashing ou dick pic n’apparaissent pas tels quels dans la loi. Pour autant, l’article R.624-2 du code pénal peut s’appliquer dans ce cas. Cet article dispose que l’envoi non sollicité de « message contraires à la décence est puni de l'amende prévue pour les contraventions de la 4e classe » à savoir 750 € maximum et jusqu'à 1 500 € si l’image est envoyée à un mineur de moins de 15 ans.
Si les envois sont répétés, ils tombent sous le coup du cyberharcèlement dont les peines sont plus lourdes : 2 ans de prison et 30 000 € d’amende ou 3 ans d’emprisonnement et 45 000 € d’amende si la victime est âgée de moins de 15 ans.
Malheureusement en ligne, il est parfois difficile de faire respecter la loi et les victimes signalent de moins en moins les auteurs de dick pic. 50% des adolescents ayant reçu des images sexuellement explicites sans consentement ne les ont pas signalées selon une étude menée auprès de 480 Britanniques âgés de 12 à 18 ans.
Pour autant, si vous êtes victime de l'envoi d'une dick pic (de manière répétée ou non), n'hésitez pas à signaler l'auteur sur le réseau social en question. Vous avez aussi la possibilité de porter plainte en gendarmerie ou à la police, ou d'effectuer une pré-plainte en ligne. Conservez des captures d'écran de la conversation pourrait être utile.
En revanche, ne diffusez jamais à votre tour la dick pic en mode public, en mentionnant l'auteur par exemple. Vous pourriez être poursuivie pour revenge porn puni par le code pénal à l'article 226-2-1 qui consiste à diffuser sans le consentement de la personne « tout enregistrement ou tout document portant sur des paroles ou des images présentant un caractère sexuel, obtenu, avec le consentement exprès ou présumé de la personne ou par elle-même ». Ces faits sont punis de 2 ans d'emprisonnement et jusqu'à 60 000 € d'amende."
Aya il va y avoir beaucoup de kheys en zonz
des lézardes sur le firmament
Murmurer dénudé avec TismeySurey sur le voilier, le vent emportant les murmures au large...
Murmurer dénudé...
Murmurer dénudé...
Lourd le son
des lézardes sur le firmament
POURQUOI?!
Feur
des lézardes sur le firmament
Lourd le son
Tu découvres Chopin
Quoubeh
des lézardes sur le firmament
Lourd le son
Le son pour murmurer dénudé au large, avec TismeySucrey
Le voilier prenant le large, dans un moment de franche camaraderie
Jeunes et insouciants, postant du matin jusqu'au soir
La dure réalité de la vie ne nous ayant pas encore rattrapé.... MURMURER D2NUD2 (format TKL)
Le voilier prenant le large, dans un moment de franche camaraderie
Jeunes et insouciants, postant du matin jusqu'au soir
La dure réalité de la vie ne nous ayant pas encore rattrapé.... MURMURER D2NUD2 (format TKL)
On it again
Tu découvres Chopin
Je passe de jul à chopine je te raconte pas le chokbar de fou malade blé
C'est tendu nofake
C'est tendu nofake
Feur
Bon je mets le volume à 80% ça me permettras de plus t'entendre là où t'es (à 60cm de hauteur du sol
)
"Le fait d’envoyer des nudes, des dick pic ou autres photos à caractère sexuel non sollicitées s’appelle le cyberflashing. Au Royaume-Uni, le gouvernement a adopté une législation visant à punir cet acte. Autrement dit, l’envoi de dick pic sans consentement est passible de deux ans de prison.
En France, les termes de cyberflashing ou dick pic n’apparaissent pas tels quels dans la loi. Pour autant, l’article R.624-2 du code pénal peut s’appliquer dans ce cas. Cet article dispose que l’envoi non sollicité de « message contraires à la décence est puni de l'amende prévue pour les contraventions de la 4e classe » à savoir 750 € maximum et jusqu'à 1 500 € si l’image est envoyée à un mineur de moins de 15 ans.
Si les envois sont répétés, ils tombent sous le coup du cyberharcèlement dont les peines sont plus lourdes : 2 ans de prison et 30 000 € d’amende ou 3 ans d’emprisonnement et 45 000 € d’amende si la victime est âgée de moins de 15 ans.
Malheureusement en ligne, il est parfois difficile de faire respecter la loi et les victimes signalent de moins en moins les auteurs de dick pic. 50% des adolescents ayant reçu des images sexuellement explicites sans consentement ne les ont pas signalées selon une étude menée auprès de 480 Britanniques âgés de 12 à 18 ans.
Pour autant, si vous êtes victime de l'envoi d'une dick pic (de manière répétée ou non), n'hésitez pas à signaler l'auteur sur le réseau social en question. Vous avez aussi la possibilité de porter plainte en gendarmerie ou à la police, ou d'effectuer une pré-plainte en ligne. Conservez des captures d'écran de la conversation pourrait être utile.
En revanche, ne diffusez jamais à votre tour la dick pic en mode public, en mentionnant l'auteur par exemple. Vous pourriez être poursuivie pour revenge porn puni par le code pénal à l'article 226-2-1 qui consiste à diffuser sans le consentement de la personne « tout enregistrement ou tout document portant sur des paroles ou des images présentant un caractère sexuel, obtenu, avec le consentement exprès ou présumé de la personne ou par elle-même ». Ces faits sont punis de 2 ans d'emprisonnement et jusqu'à 60 000 € d'amende."
En France, les termes de cyberflashing ou dick pic n’apparaissent pas tels quels dans la loi. Pour autant, l’article R.624-2 du code pénal peut s’appliquer dans ce cas. Cet article dispose que l’envoi non sollicité de « message contraires à la décence est puni de l'amende prévue pour les contraventions de la 4e classe » à savoir 750 € maximum et jusqu'à 1 500 € si l’image est envoyée à un mineur de moins de 15 ans.
Si les envois sont répétés, ils tombent sous le coup du cyberharcèlement dont les peines sont plus lourdes : 2 ans de prison et 30 000 € d’amende ou 3 ans d’emprisonnement et 45 000 € d’amende si la victime est âgée de moins de 15 ans.
Malheureusement en ligne, il est parfois difficile de faire respecter la loi et les victimes signalent de moins en moins les auteurs de dick pic. 50% des adolescents ayant reçu des images sexuellement explicites sans consentement ne les ont pas signalées selon une étude menée auprès de 480 Britanniques âgés de 12 à 18 ans.
Pour autant, si vous êtes victime de l'envoi d'une dick pic (de manière répétée ou non), n'hésitez pas à signaler l'auteur sur le réseau social en question. Vous avez aussi la possibilité de porter plainte en gendarmerie ou à la police, ou d'effectuer une pré-plainte en ligne. Conservez des captures d'écran de la conversation pourrait être utile.
En revanche, ne diffusez jamais à votre tour la dick pic en mode public, en mentionnant l'auteur par exemple. Vous pourriez être poursuivie pour revenge porn puni par le code pénal à l'article 226-2-1 qui consiste à diffuser sans le consentement de la personne « tout enregistrement ou tout document portant sur des paroles ou des images présentant un caractère sexuel, obtenu, avec le consentement exprès ou présumé de la personne ou par elle-même ». Ces faits sont punis de 2 ans d'emprisonnement et jusqu'à 60 000 € d'amende."
J’envoie l’article de loi à chaque fois que j’en reçois une
Y’en a qui rampent après ça, c’est bien drôle
Y’en a qui rampent après ça, c’est bien drôle
Forgot that inside the icon there's still a young girl from
Du coup je dirais le 7 octobre 2348
Des secondaires niveau 2, ça ne vas pas t’aider
Forgot that inside the icon there's still a young girl from
Tous les néo-zélandais le font peut importe le sport, mais la connerie de Rousseau n'a aucune limite
Moi je screen pour mon dossier et je les rattache à leur taite
des lézardes sur le firmament
Du coup je dirais le 7 octobre 2348
ce pays 
On it again
Moi je screen pour mon dossier et je les rattache à leur taite
Avant j’avais un dossier aussi et j’en envoyais une plus grosse
Ou une avec de l’herpès
Ou une avec de l’herpès
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Moi je screen pour mon dossier et je les rattache à leur taite
du coup t'as tout de moi nn ?
On it again