Les ZIMBABWEENS ne voulaient pas expulser les BLANCS

En 2000, soit 20 ans après l'indépendance, Mugabe soumet à REFERENDUM une nouvelle constitution incorporant notamment une réforme agraire avec des expropriations sans compensation des FERMIERS BLANCS au ZIMBABWE.

Le 11 février 2000, ce projet de nouvelle constitution est REJETE par 54,7 % des votants, ce qui constitue le premier sérieux revers pour Robert Mugabe.

Le 6 avril 2000, LE PRESIDENT PASSE OUTRE ce vote pour imposer sa réforme agraire en recourant à la violence des milices de pseudo anciens combattants.

La plupart des FERMIERS BLANCS sont EXPROPRIES et plusieurs sont ASSASSINES.

À plusieurs reprises, Mugabe tient des déclarations RACISTES envers les BLANCS:

* « L'homme blanc est ici comme le second citoyen : vous êtes en numéro un. Il est numéro deux ou trois. C’est ce qui doit être enseigné à nos enfants »

* « Notre parti doit continuer de faire entrer la peur dans le cœur de l'homme blanc, notre véritable ennemi »

* « Nous disons non aux Blancs qui possèdent nos terres. Ils doivent partir. Il n’y a pas de place pour eux ici »

* « Le seul homme blanc que vous pouvez croire est l'homme blanc mort ».

En 2008, il ne restait plus qu'une poignée de fermiers blancs dont les fermes n'ont pas été saisies.

Le Zimbabwe connaît un EXODE MASSIF des Blancs vers l'étranger : leur nombre passe ainsi de 250 000 en 1980 à 40 000 en 2015, avec moins de 200 propriétaires terriens.

Alors que les Blancs assuraient 80 % du revenu national, cette politique agraire favorise la FAMINE dans l'ancien grenier à maïs de l'Afrique.

D'exportateur, le pays devient importateur.

En 2016, constatant la répercussion néfaste de ses mesures sur la production agricole, Robert Mugabe appelle au retour au pays des fermiers blancs contraints à l'exil.

En 2017, le discours inaugural du nouveau président Emmerson Mnangagwa promettait d'indemniser les fermiers blancs dont les terres avaient été saisies lors du programme de réforme agraire.

Rob Smart est devenu le premier fermier blanc dont la terre a été rendue moins d'un mois après que le président Mnangagwa a prêté serment ; il est retourné à sa ferme dans la province de Manicaland sous escorte militaire.

Lors du Forum économique mondial 2018 à Davos , Mnangagwa a également déclaré que son nouveau gouvernement estime que la réflexion sur les différences raciales dans l'agriculture et la propriété foncière est « obsolète » et devrait être une « philosophie du passé ».


Rob Smart de retour au Zimbabwe après avoir été exproprié et chassé.

Un fermier zimbabwéen blanc expulsé par des policiers armés et une foule associée au parti au pouvoir est revenu dans la peau d'un héros.

Avec une escorte militaire, Robert Smart s'est rendu jeudi dans la ferme de Lesbury à environ 200 kilomètres à l'est de la capitale, Harare, sous les acclamations et les chants de dizaines de travailleurs et de membres de la communauté.

Sur les quelque 4 500 fermiers blancs avant le début des réformes agraires en 2000, il ne reste que quelques centaines.

Des anciens combattants et des chefs traditionnels locaux se sont joints aux ouvriers agricoles et aux villageois en chantant pour accueillir la maison familiale de Smart.

"Oh, Darryn", a crié une femme, se précipitant pour embrasser le fils de Smart.

En un éclair, des dizaines la suivirent. Certains poussaient des youyous, d'autres agitaient des poings triomphants en l'air.

«Je suis ravi. Les mots ne peuvent pas décrire le sentiment », a déclaré Darryn à l'Associated Press.

À la ferme, un soldat était assis tranquillement dans une camionnette qui servait d'escorte à la famille. Ses services n'étaient pas nécessaires. Les personnes réunies à la ferme partagent des liens sociaux profonds avec la famille, loin des politiques raciales et électorales.

"Je connais ce garçon depuis le premier jour", a déclaré Sevilla Madembo, 55 ans. « Il est né ici. Je me suis occupé de lui quand il était jeune. Il est de retour pour prendre soin de moi maintenant que je suis vieux.

Elle est née à la ferme, qui abritait également ses parents et ses grands-parents.
« Nous faisons partie d'une même famille. Nous appartenons au peuple Tandi. C'est pourquoi nous allons effectuer une cérémonie africaine traditionnelle avant de commencer la production », a déclaré Darryn en traversant la ferme.

Encore une fois l'homme blanc civilisé l'animal

Oui ?

Le retournement de situation est savoureux même si j'ai une grosse pensée pour tous ces fermiers blancs lâchement assassinés

L'homme blanc qui étale encore sa supériorité

pourquoi on a vu aucune indignation de BHL, de libération, de glucksmann, pour condamner cette inquiétante montée du fascisme et de la haine ?

pourtant en france, en russie ou en tunisie ils y sont trés sensibles

Merci pour ton message

N'hésite pas à commenter et réagir.

BHL fait des reportages sur les fermiers blancs assassinés en Afrique du Sud ? Toujours pas.

Les blancs qui partent et le'pays qui redevient la fosse à purin.

Même chose en France avec les fuites de nos cerveaux et les merdes qui arrivent par paquet de 12.

cest de la propagande d'extreme droite ça non ? j'ai vu que le canada refusait les demandeurs d'asiles blancs d'afrique du sud pour cette raison, ils disent qu'ils sont pas du tout en danger et que cest des mensonges racistes

Oui mais maintenant ils les supplient de revenir et ceux qui reviennent sont accueillis en héros.

Mais ce que l'on oublie c'est qu'en 2000 le peuple avait voté contre le référendum sur cette réforme agraire qui prévoyait l'expropriation des fermiers blancs sans compensation.

Mugaba passe outre le vote du peuple, la suite on la connaît.

Même chose en Afrique du Sud

La sélection est plus que naturelle

revenir dans un pays qui voulais te buté il y a qlq années

Si c'est vrai quelle honte.

Bref, qu'ils continuent d'accueillir les terroristes et islamistes de Syrie et d'Afghanistan.

C'est chez eux depuis plusieurs générations, c'est ta terre. C'est difficile à concevoir d'un point de vue extérieur mais je les comprends.