C'est évident qu'un famas ce n' est pas fait pour neutraliser quelqu'un dans un lieu public...
C'est évident qu'un famas ce n' est pas fait pour neutraliser quelqu'un dans un lieu public...
Cette arme n’a été conçu que pour les grands espaces en extérieur
Tous les low qui s’expriment dans ce fil sur la non-intervention des militaires démontrent une absence totale de connaissance du sujet.
Si les militaires de l'OPINT Vigipirate ne sont pas intervenu, c’est parce qu’ils n’en ont pas reçu l’autorisation de leur hiérarchie, malgré leur volonté — et à raison.
Les militaires affectés à l’opération Vigipirate avant 2015 n’étaient absolument ni formés ni équipés pour faire face à ce type de menace (Pas de boucliers balistiques, des gilets et casques datant de la guerre du Kosovo, un seul chargeur par soldat, pas de grenades assourdissantes ou flashbang, pas de matériel d’effraction, ni de matériel de franchissement, etc.)
Autant dire qu’ils auraient été exposés à un massacre inutile ou auraient risqué de provoquer un carnage parmi les otages.
Une opération de contre-terrorisme avec des otages en milieu urbain, ce n’est pas un combat en forêt ou dans le désert contre des mecs djellaba/babouches/kalachnikov, avec le soutien de l’artillerie et de l’aviation.
C’est une menace spécifique pour laquelle des unités dédiées S'ENTRAINENT QUOTIDIENEMENT dans le seul but d’être efficaces sur CE TYPE DE SCÉNARIO BIEN PRÉCIS (BRI, RAID, GIGN, etc.).
Ce n’est pas un hasard si c’est la BRI qui est intervenue au Bataclan pour gérer la prise d’otages, avec un bilan très positif (aucun mort, un policier blessé).
Même les deux policiers de la BAC primo-intervenants ont dû se replier. Ils ont eu la « chance » de tomber directement sur un terroriste et de l’abattre au 9 mm en le prenant par surprise, mais ils ont dû battre en retraite dès la première rafale de kalachnikov.
La doctrine concernant la mission Sentinelle (Anciennement vigipirate) à évoluésuite aux attentats de 2015, désormais, les miloufs qui y partent sont formés pour répondre à des menaces terroristes "simples", à avoir les bon réflexes sur de l'explosif potentiel, repérer les comportement suspects, tenter de concentrer des tirs sur eux plutôt que sur des civils etc. Mais ils ne se substitueront jamais à des unités dédiées bien plus aptes à répondre à ces menaces.
Je ne répondrai pas aux messages des débilus maximus qui ne manqueront pas de réagir à mon commentaire en ressortant des inepties mal informées sur ces sujets. Ce serait peine perdue. Écoutez plutôt les professionnels qui interviennent dans ce genre de situations avant de donner votre avis de demi-habiles sur des sujets complexes que vous ne maîtrisez pas.
Si les militaires de l'OPINT Vigipirate ne sont pas intervenu, c’est parce qu’ils n’en ont pas reçu l’autorisation de leur hiérarchie, malgré leur volonté — et à raison.
Les militaires affectés à l’opération Vigipirate avant 2015 n’étaient absolument ni formés ni équipés pour faire face à ce type de menace (Pas de boucliers balistiques, des gilets et casques datant de la guerre du Kosovo, un seul chargeur par soldat, pas de grenades assourdissantes ou flashbang, pas de matériel d’effraction, ni de matériel de franchissement, etc.)
Autant dire qu’ils auraient été exposés à un massacre inutile ou auraient risqué de provoquer un carnage parmi les otages.
Une opération de contre-terrorisme avec des otages en milieu urbain, ce n’est pas un combat en forêt ou dans le désert contre des mecs djellaba/babouches/kalachnikov, avec le soutien de l’artillerie et de l’aviation.
C’est une menace spécifique pour laquelle des unités dédiées S'ENTRAINENT QUOTIDIENEMENT dans le seul but d’être efficaces sur CE TYPE DE SCÉNARIO BIEN PRÉCIS (BRI, RAID, GIGN, etc.).
Ce n’est pas un hasard si c’est la BRI qui est intervenue au Bataclan pour gérer la prise d’otages, avec un bilan très positif (aucun mort, un policier blessé).
Même les deux policiers de la BAC primo-intervenants ont dû se replier. Ils ont eu la « chance » de tomber directement sur un terroriste et de l’abattre au 9 mm en le prenant par surprise, mais ils ont dû battre en retraite dès la première rafale de kalachnikov.
La doctrine concernant la mission Sentinelle (Anciennement vigipirate) à évoluésuite aux attentats de 2015, désormais, les miloufs qui y partent sont formés pour répondre à des menaces terroristes "simples", à avoir les bon réflexes sur de l'explosif potentiel, repérer les comportement suspects, tenter de concentrer des tirs sur eux plutôt que sur des civils etc. Mais ils ne se substitueront jamais à des unités dédiées bien plus aptes à répondre à ces menaces.
Je ne répondrai pas aux messages des débilus maximus qui ne manqueront pas de réagir à mon commentaire en ressortant des inepties mal informées sur ces sujets. Ce serait peine perdue. Écoutez plutôt les professionnels qui interviennent dans ce genre de situations avant de donner votre avis de demi-habiles sur des sujets complexes que vous ne maîtrisez pas.