Ce sujet a été résolu
Douglas Reed, La Controverse de Sion (Pages 77-79)
Quel genre d’homme était-il ? Un paradoxe dans l’histoire de Sion est que les ecclésiastiques et théologiens chrétiens de notre génération soutiennent souvent que « Jésus était un juif », alors que les sages judaïstes refusent de permettre cela (les rabbins sionistes qui racontent occasionnellement aux publics politiques ou « inter-religieux » que Jésus était un juif ne font pas vraiment exception à la règle ; ils ne feraient pas cette déclaration parmi les juifs et cherchent à produire un effet parmi les auditeurs non-juifs, pour des raisons politiques).
Cette affirmation publique, « Jésus était un juif », est toujours utilisée à notre époque pour des raisons politiques. Elle est souvent employée pour étouffer les objections à l’influence sioniste en politique internationale ou à l’invasion sioniste de la Palestine, la suggestion étant que, comme Jésus était un juif, nul n’a le droit de s’opposer à quoi que ce soit se présentant comme étant fait au nom des juifs. L’absurdité du raisonnement est évidente, mais les foules sont touchées par de telles expressions, et le résultat paradoxal, une fois encore, est que cette déclaration, des plus offensantes pour les juifs littéraux, est le plus fréquemment faite par des hommes politiques et des ecclésiastiques non-juifs qui recherchent les faveurs des juifs.
L’abréviation anglaise, « Jew » (« juif »), est récente et ne correspond à rien qui soit dénoté par les termes « Judaïte » ou « Judéen » en araméen, grec ou romain – termes utilisés au temps de Jésus. En fait, le nom anglais « Jew » (et le français « juif » – NdT) ne peut être défini – si bien que les dictionnaires, qui sont très scrupuleux concernant tous les autres mots, en sont réduits à des absurdités aussi flagrantes que « Personne de race hébraïque » ; et l’État sioniste n’a aucune définition légale du terme (ce qui est naturel, puisque la Torah, qui est la Loi, exige une descendance judaïte pure, et on aurait du mal à trouver une personne d’un tel lignage dans le monde entier).
Si la déclaration « Jésus était un juif » a une signification, donc, elle doit s’appliquer aux conditions qui prévalaient à son époque. En ce cas, elle signifierait une de ces trois choses, ou toutes les trois : que Jésus était de la tribu de Juda (donc un Judaïte) ; qu’il demeurait en Judée (donc un Judéen) ; qu’il était religieusement parlant « un juif », si une quelconque religion dénotée par ce terme existait à son époque.
Donc, la race, le lieu de résidence et la religion.
Ce livre n’est pas le lieu pour débattre de la question de la descendance raciale de Jésus, et ce qui est surprenant, c’est que les théologiens chrétiens se permettent de faire certaines déclarations. Le lecteur devrait se former sa propre opinion, s’il désire en avoir une sur la question.
La généalogie de Marie n’est pas donnée dans le Nouveau Testament, mais trois passages sembleraient sous-entendre qu’elle était de descendance davidique ; saint Matthieu et saint Luc remontent la descendance de Joseph à David et Juda, mais Joseph n’était pas le père biologique de Jésus. Les autorités judaïstes discréditent toutes ces références de descendance, affirmant qu’elles furent insérées pour faire correspondre le récit à la prophétie.
Quant au lieu de résidence, saint Jean déclare que Jésus est né à Bethléem en Judée, par le hasard que sa mère dut y venir depuis la Galilée pour se faire enregistrer ; les autorités judaïstes, encore, maintiennent que cela fut ajouté pour que le compte rendu concorde avec la prophétie de Michée qu’ « un souverain viendrait de Bethléem ». […]
Ce Galiléen était-il, religieusement parlant, ce que l’on pourrait appeler aujourd’hui « un juif » ? Les autorités judaïstes, évidemment, le rejettent des plus vigoureusement ; cette déclaration, souvent entendue dans les tribunes et les chaires, pourrait causer une émeute à la synagogue.
Il est difficile de savoir ce que des hommes publics responsables peuvent bien signifier quand ils utilisent cette expression. Il n’y avait du temps de Jésus aucune religion « juive » (ou même judaïte, judaïste ou judéenne). Il y avait le jéhovisme, et il y avait les diverses sectes – les pharisiens, sadducéens et esséniens – qui se disputaient violemment entre eux et luttaient, autour du Temple, pour le pouvoir sur le peuple. Ils n’étaient pas seulement des sectes, mais aussi des partis politiques, et le plus puissant d’entre eux était les pharisiens avec leurs « traditions orales » de ce que Dieu avait dit à Moïse.
Si aujourd’hui les sionistes sont « les juifs » (et c’est la déclaration acceptée par toutes les grandes nations occidentales), alors le parti qui en Judée correspondait aux sionistes du temps de Jésus était celui des pharisiens. Jésus consacra toute ses forces à attaquer ces pharisiens. Il s’en prit aussi aux sadducéens et aux scribes, mais les Évangiles montrent qu’il considérait les pharisiens comme l’ennemi de Dieu et de l’homme, et qu’il s’exprimait envers eux avec un mépris particulièrement éreintant. Les choses qu’il choisit d’attaquer, chez eux et dans leur doctrine, sont les choses mêmes que les sionistes d’aujourd’hui prétendent être les traits caractéristiques des juifs, de la judaïté et du judaïsme.
Religieusement, Jésus semble à n’en pas douter avoir été l’opposé et l’adversaire de tout ce qui aujourd’hui ferait un juif littéral ou aurait fait alors un pharisien littéral. »
Quel genre d’homme était-il ? Un paradoxe dans l’histoire de Sion est que les ecclésiastiques et théologiens chrétiens de notre génération soutiennent souvent que « Jésus était un juif », alors que les sages judaïstes refusent de permettre cela (les rabbins sionistes qui racontent occasionnellement aux publics politiques ou « inter-religieux » que Jésus était un juif ne font pas vraiment exception à la règle ; ils ne feraient pas cette déclaration parmi les juifs et cherchent à produire un effet parmi les auditeurs non-juifs, pour des raisons politiques).
Cette affirmation publique, « Jésus était un juif », est toujours utilisée à notre époque pour des raisons politiques. Elle est souvent employée pour étouffer les objections à l’influence sioniste en politique internationale ou à l’invasion sioniste de la Palestine, la suggestion étant que, comme Jésus était un juif, nul n’a le droit de s’opposer à quoi que ce soit se présentant comme étant fait au nom des juifs. L’absurdité du raisonnement est évidente, mais les foules sont touchées par de telles expressions, et le résultat paradoxal, une fois encore, est que cette déclaration, des plus offensantes pour les juifs littéraux, est le plus fréquemment faite par des hommes politiques et des ecclésiastiques non-juifs qui recherchent les faveurs des juifs.
L’abréviation anglaise, « Jew » (« juif »), est récente et ne correspond à rien qui soit dénoté par les termes « Judaïte » ou « Judéen » en araméen, grec ou romain – termes utilisés au temps de Jésus. En fait, le nom anglais « Jew » (et le français « juif » – NdT) ne peut être défini – si bien que les dictionnaires, qui sont très scrupuleux concernant tous les autres mots, en sont réduits à des absurdités aussi flagrantes que « Personne de race hébraïque » ; et l’État sioniste n’a aucune définition légale du terme (ce qui est naturel, puisque la Torah, qui est la Loi, exige une descendance judaïte pure, et on aurait du mal à trouver une personne d’un tel lignage dans le monde entier).
Si la déclaration « Jésus était un juif » a une signification, donc, elle doit s’appliquer aux conditions qui prévalaient à son époque. En ce cas, elle signifierait une de ces trois choses, ou toutes les trois : que Jésus était de la tribu de Juda (donc un Judaïte) ; qu’il demeurait en Judée (donc un Judéen) ; qu’il était religieusement parlant « un juif », si une quelconque religion dénotée par ce terme existait à son époque.
Donc, la race, le lieu de résidence et la religion.
Ce livre n’est pas le lieu pour débattre de la question de la descendance raciale de Jésus, et ce qui est surprenant, c’est que les théologiens chrétiens se permettent de faire certaines déclarations. Le lecteur devrait se former sa propre opinion, s’il désire en avoir une sur la question.
La généalogie de Marie n’est pas donnée dans le Nouveau Testament, mais trois passages sembleraient sous-entendre qu’elle était de descendance davidique ; saint Matthieu et saint Luc remontent la descendance de Joseph à David et Juda, mais Joseph n’était pas le père biologique de Jésus. Les autorités judaïstes discréditent toutes ces références de descendance, affirmant qu’elles furent insérées pour faire correspondre le récit à la prophétie.
Quant au lieu de résidence, saint Jean déclare que Jésus est né à Bethléem en Judée, par le hasard que sa mère dut y venir depuis la Galilée pour se faire enregistrer ; les autorités judaïstes, encore, maintiennent que cela fut ajouté pour que le compte rendu concorde avec la prophétie de Michée qu’ « un souverain viendrait de Bethléem ». […]
Ce Galiléen était-il, religieusement parlant, ce que l’on pourrait appeler aujourd’hui « un juif » ? Les autorités judaïstes, évidemment, le rejettent des plus vigoureusement ; cette déclaration, souvent entendue dans les tribunes et les chaires, pourrait causer une émeute à la synagogue.
Il est difficile de savoir ce que des hommes publics responsables peuvent bien signifier quand ils utilisent cette expression. Il n’y avait du temps de Jésus aucune religion « juive » (ou même judaïte, judaïste ou judéenne). Il y avait le jéhovisme, et il y avait les diverses sectes – les pharisiens, sadducéens et esséniens – qui se disputaient violemment entre eux et luttaient, autour du Temple, pour le pouvoir sur le peuple. Ils n’étaient pas seulement des sectes, mais aussi des partis politiques, et le plus puissant d’entre eux était les pharisiens avec leurs « traditions orales » de ce que Dieu avait dit à Moïse.
Si aujourd’hui les sionistes sont « les juifs » (et c’est la déclaration acceptée par toutes les grandes nations occidentales), alors le parti qui en Judée correspondait aux sionistes du temps de Jésus était celui des pharisiens. Jésus consacra toute ses forces à attaquer ces pharisiens. Il s’en prit aussi aux sadducéens et aux scribes, mais les Évangiles montrent qu’il considérait les pharisiens comme l’ennemi de Dieu et de l’homme, et qu’il s’exprimait envers eux avec un mépris particulièrement éreintant. Les choses qu’il choisit d’attaquer, chez eux et dans leur doctrine, sont les choses mêmes que les sionistes d’aujourd’hui prétendent être les traits caractéristiques des juifs, de la judaïté et du judaïsme.
Religieusement, Jésus semble à n’en pas douter avoir été l’opposé et l’adversaire de tout ce qui aujourd’hui ferait un juif littéral ou aurait fait alors un pharisien littéral. »
il y a 7 heures
En réalité, c'est compliqué, le Christianisme est bien un corps étranger qui a été occidentalisé dans les faits.
Comme je l'ai déjà dit, j'ai des vues mitigées sur le christianisme, d'un côté il est indéniable que le christianisme a contribué à l'essor du monde blanc occidental par le passé.
Promotion de la famille nombreuse (blanche), respect du pays et de la tradition, etc
Celui-ci avait le but de maintenir voir d'accentuer (de faire déborder) le monde Occidental.
Aujourd'hui, les blancs se sont détrournés de la foi pour des raisons diverses et l'église ne cherche plus à sauver le monde blanc, mais à se sauver elle-même, souvent en important des populations croyantes du tiers-monde.
Et ça c'est très problématique il faut le dire...
J'ai une approche purement pragmatique, tant que l'église aide à la natalité blanche et sert le monde blanc je suis pour, mais si ce n'est pas le cas, c'est problématique.
Pour moi la foi est un moyen, pas un but en soi, ce que les croyants ont du mal à comprendre.
Mais inutile de se mettre les chrétiens à dos comme le fait BLL surtout que les blancs qui font encore 5 enfants ou plus sont des chrétiens pour l'immense majorité...
Mais le sédévacantisme est de mise en attendant que l'église reprenne ses esprits selon moi.
Comme je l'ai déjà dit, j'ai des vues mitigées sur le christianisme, d'un côté il est indéniable que le christianisme a contribué à l'essor du monde blanc occidental par le passé.
Promotion de la famille nombreuse (blanche), respect du pays et de la tradition, etc
Celui-ci avait le but de maintenir voir d'accentuer (de faire déborder) le monde Occidental.
Aujourd'hui, les blancs se sont détrournés de la foi pour des raisons diverses et l'église ne cherche plus à sauver le monde blanc, mais à se sauver elle-même, souvent en important des populations croyantes du tiers-monde.
Et ça c'est très problématique il faut le dire...
J'ai une approche purement pragmatique, tant que l'église aide à la natalité blanche et sert le monde blanc je suis pour, mais si ce n'est pas le cas, c'est problématique.
Pour moi la foi est un moyen, pas un but en soi, ce que les croyants ont du mal à comprendre.
Mais inutile de se mettre les chrétiens à dos comme le fait BLL surtout que les blancs qui font encore 5 enfants ou plus sont des chrétiens pour l'immense majorité...
Mais le sédévacantisme est de mise en attendant que l'église reprenne ses esprits selon moi.
Le simple fait d'être facho/nazi ferme les portes d'accueil des catholiques
Ils bossent pour la négraille, plus pour nous
Les bigots qui traînent ici sont des ultra marginaux qui ne représentent pas leur congrégation en terme de ligne politique
Matricule R1-07 https://cnews.bar/
Ils bossent pour la négraille, plus pour nous
Les bigots qui traînent ici sont des ultra marginaux qui ne représentent pas leur congrégation en terme de ligne politique
il y a 7 heures
Et d'ailleurs sa critique du Christianisme est la même que celle des juifs
Joseph Mérel, Fascisme et Monarchie (Page 98)
« Poppée, la capiteuse prosélyte qui ensorcelait Néron, n’avait pas son pareil pour promouvoir les intérêts de ses coreligionnaires israélites en faisant servir les troupes païennes au massacre des premiers chrétiens. Pour décréter la fausseté des prédictions de Jésus relativement à la destruction du Temple, Julien l’Apostat se fit l’allié des Juifs en leur accordant la permission de le rebâtir. Depuis vingt siècles, ce sont les mêmes alliances objectives qui se nouent. Faut-il rappeler que c’est aux Juifs que Celse, tant célébré par les néo-païens, emprunte l’essentiel de son argumentaire théologique dirigé contre les chrétiens ? »
C'est dommage, sur le domaine politique il est bon, mais il a des lacunes sur le plan religieux, on ne peut pas être bon partout c'est normal.
Joseph Mérel, Fascisme et Monarchie (Page 98)
« Poppée, la capiteuse prosélyte qui ensorcelait Néron, n’avait pas son pareil pour promouvoir les intérêts de ses coreligionnaires israélites en faisant servir les troupes païennes au massacre des premiers chrétiens. Pour décréter la fausseté des prédictions de Jésus relativement à la destruction du Temple, Julien l’Apostat se fit l’allié des Juifs en leur accordant la permission de le rebâtir. Depuis vingt siècles, ce sont les mêmes alliances objectives qui se nouent. Faut-il rappeler que c’est aux Juifs que Celse, tant célébré par les néo-païens, emprunte l’essentiel de son argumentaire théologique dirigé contre les chrétiens ? »
C'est dommage, sur le domaine politique il est bon, mais il a des lacunes sur le plan religieux, on ne peut pas être bon partout c'est normal.
il y a 7 heures
La dissonance cognitive des bigots chrétiens antijuifs reste succulente
Matricule R1-07 https://cnews.bar/
il y a 7 heures
Les fameux juifs qui ont créé le christianisme pour après condamner à mort Jésus et écrire des horreurs sur lui dans le talmud
Bordel les NPC fan de Boris Le Lay. On rappelle qu'il a commencé ultra sioniste donc niveau cohérence et maturité idéologique du type on repassera.
Si ça se trouve dans deux ans il deviendra chrétien et papiste
Bordel les NPC fan de Boris Le Lay. On rappelle qu'il a commencé ultra sioniste donc niveau cohérence et maturité idéologique du type on repassera.
Si ça se trouve dans deux ans il deviendra chrétien et papiste
des EXCELLENTS brouilleurs de piste
il y a 6 heures
mais justement
-Jesus prétend faire un mouvement qui complète celui des juifs : on doit quand même les considérer comme le peuple élu, les respecter, nous sommes judeo chrétiens (même si c'est une invention récente) bref volonté de tolérer les juifs et de les inclure même si on a crée un truc par "opposition" avec eux en fait ce n'est pas un rejet mais un prolongement, le nouveau testament complète l'ancien etc...
face à ça
-les juifs le rejettent intégrament, disent dans le talmud qu'il est en train de boullir en enfer au milieu d'excréments, passent leur temps à faire de la propagande pour se moquer de lui (de sa crucifixion, films de noël pour se foutre de sa gueule etc...) et des chrétiens, sauf quand ils ont besoin des chrétiens aux US ou sur CNEWS pour servir de protecteurs/golems dociles
on voit le même problème qu'avec les blancs et les non blancs
les blancs : empathie poussée à l'extrême, disent aux non blancs "bienvenue chez nous, on ne regarde pas la couleur, d'ailleurs il n'y a pas de pays blancs nous sommes cosmopolites etc..." vont même jusqu'à faire de la discrimination positive c'est à dire à compétences égales prendre les non blancs (ou les juifs ou les femmes) en fixant des quotas
les non blancs : gardent leur pays d'origine immaculé, une double nationalité/allégeance, se voient comme noirs arabes ou autre avec fidélité avec leur ethnie/race, vont dans les pays blancs pour recevoir plein de trucs gratuits ou faire leur carrière, tout en gardant leur pays d'origine immaculé (pas d'immigration là bas) comme pays de coeur : ils y retournent pendant les vacances, pour se faire enterrer, trouver une épouse (qui au passage obtiendra la nationalité elle aussi du pays blanc) gardent plein de liens là bas et font en sorte que ça reste nationaliste, tout en s'organisant dans les pays blancs en créant des groupes communautaires pour s'entraider, faire pression, continuer la submersion etc...quand ils recrutent (comme les indiens au canada) virent tous les blancs/prennent tous les indiens, sans se soucier de la compétence (prennent tous ceux de leur ethnie même s'ils sont nazes)
-Jesus prétend faire un mouvement qui complète celui des juifs : on doit quand même les considérer comme le peuple élu, les respecter, nous sommes judeo chrétiens (même si c'est une invention récente) bref volonté de tolérer les juifs et de les inclure même si on a crée un truc par "opposition" avec eux en fait ce n'est pas un rejet mais un prolongement, le nouveau testament complète l'ancien etc...
face à ça
-les juifs le rejettent intégrament, disent dans le talmud qu'il est en train de boullir en enfer au milieu d'excréments, passent leur temps à faire de la propagande pour se moquer de lui (de sa crucifixion, films de noël pour se foutre de sa gueule etc...) et des chrétiens, sauf quand ils ont besoin des chrétiens aux US ou sur CNEWS pour servir de protecteurs/golems dociles
"hé les chrétiens c'est nous tous contre l'islam etc..." (font bien attention au passage à mentionner l'islam et pas la race, comme ça le grand remplacement peut continuer
puisque c'est juifs et chrétiens tous ensemble contre l'islam, et tous les non blancs qui nous remplacement qui sont chrétiens ou athées ou valeurs de la république sont avec nous dans la lutte, pareil aux US)
on voit le même problème qu'avec les blancs et les non blancs
les blancs : empathie poussée à l'extrême, disent aux non blancs "bienvenue chez nous, on ne regarde pas la couleur, d'ailleurs il n'y a pas de pays blancs nous sommes cosmopolites etc..." vont même jusqu'à faire de la discrimination positive c'est à dire à compétences égales prendre les non blancs (ou les juifs ou les femmes) en fixant des quotas
les non blancs : gardent leur pays d'origine immaculé, une double nationalité/allégeance, se voient comme noirs arabes ou autre avec fidélité avec leur ethnie/race, vont dans les pays blancs pour recevoir plein de trucs gratuits ou faire leur carrière, tout en gardant leur pays d'origine immaculé (pas d'immigration là bas) comme pays de coeur : ils y retournent pendant les vacances, pour se faire enterrer, trouver une épouse (qui au passage obtiendra la nationalité elle aussi du pays blanc) gardent plein de liens là bas et font en sorte que ça reste nationaliste, tout en s'organisant dans les pays blancs en créant des groupes communautaires pour s'entraider, faire pression, continuer la submersion etc...quand ils recrutent (comme les indiens au canada) virent tous les blancs/prennent tous les indiens, sans se soucier de la compétence (prennent tous ceux de leur ethnie même s'ils sont nazes)
- IVDEA DELENDA EST - PROPTER METVM IVDAEORVM -
il y a 5 heures








