Ce sujet a été résolu
Il convient de croquer le vers à pleine dent
De défier le hasard, redistribuer les votes :
Relevons Lazare, libérons les hilotes,
Rallumons de nos coeurs le feu sacré d'Adam
De défier le hasard, redistribuer les votes :
Relevons Lazare, libérons les hilotes,
Rallumons de nos coeurs le feu sacré d'Adam
Ça y est, en voilà un ! Puissent les autres suivrent.
Grand merci Colroulin, faites sonner les cuivres
Grand merci Colroulin, faites sonner les cuivres
il y a 2 ans
MIC123
2 ans
vous enculez simplement les mouches, mais quand j'écris un poème génial vous êtes perdus
apprenez à lire bordel
Kestapacompris dans, je répète : "Sainte n'a jamais dit que seuls les alexandrins classiques étaient beaux, ni qu'il n'y avait pas de poésie en prose" ?
Mais le thème du topax c'est l'alexandrin classique
Mais le thème du topax c'est l'alexandrin classique
il y a 2 ans
Il convient de croquer le vers à pleine dent
De défier le hasard, redistribuer les votes :
Relevons Lazare, libérons les hilotes,
Rallumons de nos coeurs le feu sacré d'Adam
De défier le hasard, redistribuer les votes :
Relevons Lazare, libérons les hilotes,
Rallumons de nos coeurs le feu sacré d'Adam
m'advient de rire le der
tue consomme et rote
la bouche et le sang
rouge sonne la glotte
tue consomme et rote
la bouche et le sang
rouge sonne la glotte
il y a 2 ans
Issonche
2 ans
Pouet pouet pouet pouet pouet pouet // pouet pouet pouet pouet pouet pouet
J'aime ton approche, nofèque
Pour moi la définition de base de l'alexandrin c'est :
Ti-Ti-Ti Ta-Ta-Ta Ti-Ti-Ti Ta-Ta-Ta
Pour moi la définition de base de l'alexandrin c'est :
Ti-Ti-Ti Ta-Ta-Ta Ti-Ti-Ti Ta-Ta-Ta
il y a 2 ans
Je suis, ma foi, content de te l'entendre dire
L'un de mes objectifs est de te retenir
En ces lieux que, dis-tu, tu songes à laisser
De la foule des pyjs et des crétins lassé
Sinon des bons topaxs j'avoue que j'en crée pas non plus (j' essayerai peut-être mais j'ai pas la tête à ça en ce moment), alors je déterre ceux des autres.
L'un de mes objectifs est de te retenir
En ces lieux que, dis-tu, tu songes à laisser
De la foule des pyjs et des crétins lassé
Sinon des bons topaxs j'avoue que j'en crée pas non plus (j' essayerai peut-être mais j'ai pas la tête à ça en ce moment), alors je déterre ceux des autres.
il y a 2 ans
Je suis, ma foi, content de te l'entendre dire
L'un de mes objectifs est de te retenir
En ces lieux que, dis-tu, tu songes à laisser
De la foule des pyjs et des crétins lassé
Sinon des bons topaxs j'avoue que j'en crée pas non plus (j' essayerai peut-être mais j'ai pas la tête à ça en ce moment), alors je déterre ceux des autres.
L'un de mes objectifs est de te retenir
En ces lieux que, dis-tu, tu songes à laisser
De la foule des pyjs et des crétins lassé
Sinon des bons topaxs j'avoue que j'en crée pas non plus (j' essayerai peut-être mais j'ai pas la tête à ça en ce moment), alors je déterre ceux des autres.
Je pensais faire un topic suite de celui-ci, soit sur les octosyllabes et décasyllabes (4/6 et 5/5), soit sur la rime, lequel te paraît plus pertinent ? Le premier permettrait d'assurer de savoir les trois types de vers principaux et de bien compter les syllabes donc je pense commencer par là même si c'est moins amusant que la rime. Après j'essaierai d'enchaîner sur les différents types de strophes et les formes fixes si le prochain topic marche bien

il y a 2 ans
Je pensais faire un topic suite de celui-ci, soit sur les octosyllabes et décasyllabes (4/6 et 5/5), soit sur la rime, lequel te paraît plus pertinent ? Le premier permettrait d'assurer de savoir les trois types de vers principaux et de bien compter les syllabes donc je pense commencer par là même si c'est moins amusant que la rime. Après j'essaierai d'enchaîner sur les différents types de strophes et les formes fixes si le prochain topic marche bien

Les deux me vont très bien (moi ma période bien-aimée va de la Chanson de Roland à Villon) et je ramèrai assurément ma trogne dans le topax si je le rate pas
Je me permets un ch'ti conseil : de pas trop matraquer le lecteur (souvent jeune et pas forcément lettré) à coups de règles strictes dès le premier post. Au commencement était le rythme ... les règles tu peux les introduire au fur et à mesure du topic
Je me permets un ch'ti conseil : de pas trop matraquer le lecteur (souvent jeune et pas forcément lettré) à coups de règles strictes dès le premier post. Au commencement était le rythme ... les règles tu peux les introduire au fur et à mesure du topic
il y a 2 ans
étrange coïncidence, je venais guilleret présenter les derniers vers, persuadé de trouver des monceaux de poussière, en lieu et place les débatteurs s'étripent , écoutez plutôt cette ode à ma chérie
J'entends vos exigences, elles résonnent doucement
on redoute bien un peu, la traîtrise des rimes
qu'à notre connivence, elles répondent en suspend
et cassent notre entre-deux, tant elles nous oppriment.
En vers et à tue-tête, sans soucis du pompeux
Souhaitant cette valse, jusqu'aux rayons de l'aube
vous joindre en une fête, qui fera des envieux
un subtil face à face, au monde nous dérobe
Et jamais vous croiser, dérober seulement
votre âme et vos mystères, inestimable butin,
les enfouir en secret, gardien persévérant,
de ce lopin de terre, asile des cabotins.
Votre tour vous protège des assauts d'ici bas
Mais nous avons des ailes, qui se jouent des murailles
gardons nous de ce piège, solitaire au combat ;
un vent fort nous appelle, les jolies retrouvailles.
J'ajoute la promesse, du plus doux des papiers
pour recueillir nos larmes, épancher notre sang,
que des sourires renaissent, s'esclaffent les boucaniers,
réaffûtent leurs lames, et à deux en valent cent.
J'entends vos exigences, elles résonnent doucement
on redoute bien un peu, la traîtrise des rimes
qu'à notre connivence, elles répondent en suspend
et cassent notre entre-deux, tant elles nous oppriment.
En vers et à tue-tête, sans soucis du pompeux
Souhaitant cette valse, jusqu'aux rayons de l'aube
vous joindre en une fête, qui fera des envieux
un subtil face à face, au monde nous dérobe
Et jamais vous croiser, dérober seulement
votre âme et vos mystères, inestimable butin,
les enfouir en secret, gardien persévérant,
de ce lopin de terre, asile des cabotins.
Votre tour vous protège des assauts d'ici bas
Mais nous avons des ailes, qui se jouent des murailles
gardons nous de ce piège, solitaire au combat ;
un vent fort nous appelle, les jolies retrouvailles.
J'ajoute la promesse, du plus doux des papiers
pour recueillir nos larmes, épancher notre sang,
que des sourires renaissent, s'esclaffent les boucaniers,
réaffûtent leurs lames, et à deux en valent cent.
il y a 2 ans
SuperPine
2 ans
étrange coïncidence, je venais guilleret présenter les derniers vers, persuadé de trouver des monceaux de poussière, en lieu et place les débatteurs s'étripent , écoutez plutôt cette ode à ma chérie
J'entends vos exigences, elles résonnent doucement
on redoute bien un peu, la traîtrise des rimes
qu'à notre connivence, elles répondent en suspend
et cassent notre entre-deux, tant elles nous oppriment.
En vers et à tue-tête, sans soucis du pompeux
Souhaitant cette valse, jusqu'aux rayons de l'aube
vous joindre en une fête, qui fera des envieux
un subtil face à face, au monde nous dérobe
Et jamais vous croiser, dérober seulement
votre âme et vos mystères, inestimable butin,
les enfouir en secret, gardien persévérant,
de ce lopin de terre, asile des cabotins.
Votre tour vous protège des assauts d'ici bas
Mais nous avons des ailes, qui se jouent des murailles
gardons nous de ce piège, solitaire au combat ;
un vent fort nous appelle, les jolies retrouvailles.
J'ajoute la promesse, du plus doux des papiers
pour recueillir nos larmes, épancher notre sang,
que des sourires renaissent, s'esclaffent les boucaniers,
réaffûtent leurs lames, et à deux en valent cent.
J'entends vos exigences, elles résonnent doucement
on redoute bien un peu, la traîtrise des rimes
qu'à notre connivence, elles répondent en suspend
et cassent notre entre-deux, tant elles nous oppriment.
En vers et à tue-tête, sans soucis du pompeux
Souhaitant cette valse, jusqu'aux rayons de l'aube
vous joindre en une fête, qui fera des envieux
un subtil face à face, au monde nous dérobe
Et jamais vous croiser, dérober seulement
votre âme et vos mystères, inestimable butin,
les enfouir en secret, gardien persévérant,
de ce lopin de terre, asile des cabotins.
Votre tour vous protège des assauts d'ici bas
Mais nous avons des ailes, qui se jouent des murailles
gardons nous de ce piège, solitaire au combat ;
un vent fort nous appelle, les jolies retrouvailles.
J'ajoute la promesse, du plus doux des papiers
pour recueillir nos larmes, épancher notre sang,
que des sourires renaissent, s'esclaffent les boucaniers,
réaffûtent leurs lames, et à deux en valent cent.
Bien, j'espère qu'elle te suce
Sinon Sainte te dira que c'est pas des vers classiques, et c'est vrai, mais moi j'y vois bien des alexandrins vu que chaque vers peut être prononcé sur 12 temps. Même un truc comme
"Et cassent notre entre-deux tant elles nous oppriment"
certains te diront que ça fait 13 mais ça peut très bien se dire sur 12 en faisant "ell' nous"
Y en a qu'un qui coince pour moi :
"Votre âme et vos mystères, inestimable butin"
Je propose :
"Votre âme et vos mystères, ô précieux butin" (dire : "précis-yeux")
Sinon Sainte te dira que c'est pas des vers classiques, et c'est vrai, mais moi j'y vois bien des alexandrins vu que chaque vers peut être prononcé sur 12 temps. Même un truc comme
"Et cassent notre entre-deux tant elles nous oppriment"
certains te diront que ça fait 13 mais ça peut très bien se dire sur 12 en faisant "ell' nous"
Y en a qu'un qui coince pour moi :
"Votre âme et vos mystères, inestimable butin"
Je propose :
"Votre âme et vos mystères, ô précieux butin" (dire : "précis-yeux")
il y a 2 ans
SuperPine
2 ans
étrange coïncidence, je venais guilleret présenter les derniers vers, persuadé de trouver des monceaux de poussière, en lieu et place les débatteurs s'étripent , écoutez plutôt cette ode à ma chérie
J'entends vos exigences, elles résonnent doucement
on redoute bien un peu, la traîtrise des rimes
qu'à notre connivence, elles répondent en suspend
et cassent notre entre-deux, tant elles nous oppriment.
En vers et à tue-tête, sans soucis du pompeux
Souhaitant cette valse, jusqu'aux rayons de l'aube
vous joindre en une fête, qui fera des envieux
un subtil face à face, au monde nous dérobe
Et jamais vous croiser, dérober seulement
votre âme et vos mystères, inestimable butin,
les enfouir en secret, gardien persévérant,
de ce lopin de terre, asile des cabotins.
Votre tour vous protège des assauts d'ici bas
Mais nous avons des ailes, qui se jouent des murailles
gardons nous de ce piège, solitaire au combat ;
un vent fort nous appelle, les jolies retrouvailles.
J'ajoute la promesse, du plus doux des papiers
pour recueillir nos larmes, épancher notre sang,
que des sourires renaissent, s'esclaffent les boucaniers,
réaffûtent leurs lames, et à deux en valent cent.
J'entends vos exigences, elles résonnent doucement
on redoute bien un peu, la traîtrise des rimes
qu'à notre connivence, elles répondent en suspend
et cassent notre entre-deux, tant elles nous oppriment.
En vers et à tue-tête, sans soucis du pompeux
Souhaitant cette valse, jusqu'aux rayons de l'aube
vous joindre en une fête, qui fera des envieux
un subtil face à face, au monde nous dérobe
Et jamais vous croiser, dérober seulement
votre âme et vos mystères, inestimable butin,
les enfouir en secret, gardien persévérant,
de ce lopin de terre, asile des cabotins.
Votre tour vous protège des assauts d'ici bas
Mais nous avons des ailes, qui se jouent des murailles
gardons nous de ce piège, solitaire au combat ;
un vent fort nous appelle, les jolies retrouvailles.
J'ajoute la promesse, du plus doux des papiers
pour recueillir nos larmes, épancher notre sang,
que des sourires renaissent, s'esclaffent les boucaniers,
réaffûtent leurs lames, et à deux en valent cent.
J'ai l'impression que tu es assez inspiré par Verlaine, je suppose que tu l'as lu. La tentative de faire des sortes de rimes asynartètes fonctionne assez bien, cependant ton texte montre bien certains des défauts du vers-librisme. Tu ne respectes aucune des règles d'élision et de diction de la poésie classique, de telle façon qu'on sait difficilement quelle prononciation adopter en lisant ta poésie pour rentrer dans l'alexandrin, ce qui rend la lecture malaisée et même un peu déplaisante au lecteur habitué aux vers classiques. En toute rigueur classique tu manques aussi aux règles sur les rimes que j'ai exposées ici :
https://onche.org/topic/1[...]s-rimes-classiques/3#last
A part ça tu as de l'idée et j'ai l'impression de voir des réminiscences de poètes fameux, et même sans respect des règles on trouve au fond quelque beaux passages dans ton texte
A part ça tu as de l'idée et j'ai l'impression de voir des réminiscences de poètes fameux, et même sans respect des règles on trouve au fond quelque beaux passages dans ton texte
il y a 2 ans
J'ai l'impression que tu es assez inspiré par Verlaine, je suppose que tu l'as lu. La tentative de faire des sortes de rimes asynartètes fonctionne assez bien, cependant ton texte montre bien certains des défauts du vers-librisme. Tu ne respectes aucune des règles d'élision et de diction de la poésie classique, de telle façon qu'on sait difficilement quelle prononciation adopter en lisant ta poésie pour rentrer dans l'alexandrin, ce qui rend la lecture malaisée et même un peu déplaisante au lecteur habitué aux vers classiques. En toute rigueur classique tu manques aussi aux règles sur les rimes que j'ai exposées ici :
https://onche.org/topic/1[...]s-rimes-classiques/3#last
A part ça tu as de l'idée et j'ai l'impression de voir des réminiscences de poètes fameux, et même sans respect des règles on trouve au fond quelque beaux passages dans ton texte
A part ça tu as de l'idée et j'ai l'impression de voir des réminiscences de poètes fameux, et même sans respect des règles on trouve au fond quelque beaux passages dans ton texte
asynartètes , qu'est ce encore que ce bestiau la ?
c'est si difficile de respecter ces foutues règles, je transgresse pour respecter un verbe spontané, plutôt que de torturer un texte à faire rentrer dans les petites cases mathématiques. Je prends bien la critique nonobstant
ent
c'est si difficile de respecter ces foutues règles, je transgresse pour respecter un verbe spontané, plutôt que de torturer un texte à faire rentrer dans les petites cases mathématiques. Je prends bien la critique nonobstant
ent
il y a 2 ans
asynartètes , qu'est ce encore que ce bestiau la ?
c'est si difficile de respecter ces foutues règles, je transgresse pour respecter un verbe spontané, plutôt que de torturer un texte à faire rentrer dans les petites cases mathématiques. Je prends bien la critique nonobstant
ent
c'est si difficile de respecter ces foutues règles, je transgresse pour respecter un verbe spontané, plutôt que de torturer un texte à faire rentrer dans les petites cases mathématiques. Je prends bien la critique nonobstant
ent
Asynartète c'est le terme technique pour le vers avec une rime placée au milieu du vers en plus de celle en fin de vers
il y a 2 ans