Ce sujet a été résolu
C'est une région riche mais y'a pas de pays "Italie"
il y a 3 jours
L'Angleterre c'est pas mal
il y a 3 jours
En début de tour tu auras un bilan avec toutes tes statistiques. Tu auras 2 jours pour poster ce que tu fais, politique intérieure, économique, armée etc... tu peux aussi bien faire des actions en dépensant des PA (points politiques) que de l'or ou bien faire du rp (qui ne requiert aucune ressource)
Ensuite tu peux interagir avec les autres durant le tour, avec les pnj ou les joueurs
Ensuite tu peux interagir avec les autres durant le tour, avec les pnj ou les joueurs
il y a 3 jours
C'est ça
Mais tu peux aussi en sortir en créant des choses de toi-même (tant que ça ne les contredit pas)
Mais tu peux aussi en sortir en créant des choses de toi-même (tant que ça ne les contredit pas)
il y a 3 jours
C'est ça
Mais tu peux aussi en sortir en créant des choses de toi-même (tant que ça ne les contredit pas)
Mais tu peux aussi en sortir en créant des choses de toi-même (tant que ça ne les contredit pas)
Oh, d'accord. Bien je croies que je suis prêt. J'attends ta notif quand c'est mon tour ?
il y a 3 jours
Oh, d'accord. Bien je croies que je suis prêt. J'attends ta notif quand c'est mon tour ?
J'envoie les bilans ce soir pour le début du nouveau tour
il y a 3 jours
Lunarion
3j
@Armouare
Je lance une très vaste réforme gouvernementale (50PA) qui est une sorte de changement de paradigme :
Par Sa Majesté Vladisas II Jagellon, Roi de Bohême, Roi de Hongrie, Roi de Croatie.
Une ère funeste s'annonce. Une ère de terreur et de haine.
Le Souverain Pontife est resté sourd face à Nos avertissements au sujet des critiques émises à son égard par une part grandissante des Etats et des peuples allemands, ainsi que sur la nécessité de préserver la paix entre Royaumes chrétiens.
Le Souverain Pontife a déclaré une guerre sans merci à la Sérénissime République de Venise, mettant en péril l'ordre et la prospérité de ce monde.
Les Royaumes et Etats de Milan, Gênes, Castille et Aragon ont décidé, par Nous ne savons quelle aliénation, de se joindre au Pontife, au mépris de tous risques.
Soucieux de préserver Notre Royaume et le monde chrétien, Nous avons retenu la nécessité d'agir en pareille situation, avec la plus grande volonté et la plus grande parcimonie.
C'est pour cette raison que Nous initions la présente Réforme, qui portera sur la reconsidération de Notre position vis-à-vis des belligérants et notamment le Souverain Pontife.
Fait en Notre Palais, en l'an de grâce mil cinq cent treize, sous le regard de Dieu.
Cette réforme comporte plusieurs volets qui seront présentés ci-dessous.
Au sujet de Milan et Gênes :
Je n'interviendrai pas si des pirates s'attaquent à leurs navires.
Si mes soldats capturent des pirates milanais ou génois, le butin récupéré sera envoyé à Venise.
Tous les hommes de mes Royaumes qui veulent partir servir le camp de Venise et prendre leur revanche sur Milan n'en seront pas empêchés. Je parle bien d'initiatives individuelles, je n'envoie pas l'armée.
Je fais comprendre aux brigands et autres qu'ils peuvent se racheter s'ils rejoignent, toujours selon leur initiative propre, les forces de la Sérénissime République et de ses alliés.
J'arrête tous les échanges commerciaux avec ces deux pays, sauf ce qui est vital pour mon pays et ne peut pas être remplacé par une production locale ou d'un pays non agressif (a priori rien ne l'est donc je suppose que je coupe tous les échanges).
Je fais de mon mieux pour empêcher les banques de les financer. Par tous les moyens à ma disposition (selon mes pouvoirs de roi et le fonctionnement des banques à l'époque).
J'annonce que les pays neutres n'auront aucun problème et que les pays qui s'impliquent davantage contre nos ennemis seront avantagés économiquement. C'est une promesse.
Au sujet de Castille et d'Aragon ( @Laggrondeter ) :
Je conserve de bonnes relations avec eux mais je ne peux pas ignorer leur position dans ce conflit.
Je refuse autant que possible le commerce militaire avec eux.
Dans les autres formes de commerce, je privilégie les concurrents français, napolitains et vénitiens.
Et c'est tout. Pour le reste on garde des échanges commerciaux normaux et ma politique d'importation / exportation.
Concernant le Saint Empire ( @Lazuli @Zelorian ) :
J'utilise 200PA pour créer une ligue qui porte le nom de mes capitales mais qui sera plus simplement appelée ligue de Prague (si ça ne porte pas à confusion avec une autre).
Cette ligue aura pour but de réunir tous les Etats qui veulent une Réforme de l'Eglise et qui refusent payer des impôts/taxes et autres levées d'hommes par l'Empereur.
Au sujet de Rome :
Je lance la Pragmatique Sanction de Prague.
Préambule
Nous, par la grâce et la miséricorde de Dieu, Roi de Bohême, Roi de Hongrie, Roi de Croatie, considérant :
- les troubles qui agitent la chrétienté
- les abus commis par certains officiers du Saint-Siège dans Nos royaumes
- les nécessités du bon gouvernement, de la piété publique et de la défense contre les vices
- les scandales causés par l'ingérence de puissances étrangères dans les affaires religieuses de Nos Etats
avons jugé nécessaire et conforme à la Providence de restaurer les droits anciens de Nos Couronnes et d'assurer aux clergés de Nos Royaumes une direction juste, modérée et conforme aux besoins de Nos peuples.
Titre Premier - Du gouvernement ecclésiastique
Article I.
Le Roi de Bohême, de Hongrie et de Croatie est reconnu comme le seul et légitime Protecteur et Administrateur des Eglises établies dans Nos Royaumes ainsi que Défenseur de la Foi et de la Providence.
Article II.
Les sacrements et la doctrine ne changent point. La présente Sanction ne touche point aux articles de foi.
Titre Second - Du clergé et des bénéfices
Article III.
Les évêques, archevêques, abbés et chefs d'ordres réguliers seront élus librement par les chapitres et communautés et confirmés par le Roi.
Article IV.
Nul étranger ne pourra tenir bénéfice majeur sans autorisation royale.
Article V.
Les appels et procès ecclésiastiques de Nos Royaumes ne pourront être portés hors du pays, sauf permission expresse du Roi.
Titre Troisième - Des finances ecclésiastiques
Article VI.
Tous les impôts et revenus ecclésiastiques seront perçus et administrés dans Nos Royaumes, pour le bien de Nos Eglises.
Article VII.
Aucun impôt, taxe, redevance ou revenu ecclésiastique ne pourra être envoyé à l'étranger sans l'accord du Roi.
Article VIII.
Nul impôt ou revenu ecclésiastique ne pourra financer une guerre étrangère.
Titre Quatrième - De la discipline et des réformes
Article IX.
Le Roi peut ordonner la visite des monastères par ses commissaires, créer et réformer les ordres religieux, les écoles ecclésiastiques et l’instruction religieuse, supprimer les maisons inutiles et redistribuer leurs revenus aux œuvres de charité, conformément à la Providence et aux besoins de Nos peuples.
Article X.
Toute réforme de Nos Eglises ne pourra se faire que par la volonté expresse du Roi.
Titre Cinquième - De la loyauté au Roi et au Saint-Siège
Article XI.
Les Eglises de Nos Royaumes demeurent filles de l'Eglise romaine, mais gouvernées dans leurs affaires temporelles par le Roi.
Article XII.
Toute excommunication portée contre un officier royal ou un vassal sera nulle si elle n'est pas validée par le Roi.
Titre Sixième - Du monde chrétien
Article XIII.
Moscou est reconnue comme héritière de Constantinople et ville de chrétienté ( @Ordivomi ).
Titre Septième - Du Souverain Pontife
Article XIV.
La supériorité des Conciles et de la Tradition sur le Pape est reconnue.
Article XV.
Nulle critique raisonnée de la politique ou de la personnalité du pontife ne pourra être assimilée à un blasphème.
Clôture
Ainsi avons ordonné, statué et décrété valable pour tous Nos Royaumes, provinces, terres, cités, églises et dignitaires, et voulons qu'il soit gardé à perpétuité, sauf révision expresse par Nos successeurs et par un concile général de Nos Eglises.
Fait à Prague, en Notre Palais.
En l'an de grâce mil cinq cent treize.
Sous le regard de Dieu.
Vladislas II, Roi de Bohême, Roi de Hongrie et Roi de Croatie.
C'est tout pour la réforme gouvernementale.
Or :
J'envoie 1k pour rembourser ma dette.
1k pour développer les ordres religieux hospitaliers.
1k pour développer les ordres religieux critiques du Pape.
Achat de 500 cavaliers (2k) ainsi que de 4000 fantassins (10k).
@TjrsVivant43 si tu veux voir ma position
Je lance une très vaste réforme gouvernementale (50PA) qui est une sorte de changement de paradigme :
Discours de la Réforme
Par Sa Majesté Vladisas II Jagellon, Roi de Bohême, Roi de Hongrie, Roi de Croatie.
Une ère funeste s'annonce. Une ère de terreur et de haine.
Le Souverain Pontife est resté sourd face à Nos avertissements au sujet des critiques émises à son égard par une part grandissante des Etats et des peuples allemands, ainsi que sur la nécessité de préserver la paix entre Royaumes chrétiens.
Le Souverain Pontife a déclaré une guerre sans merci à la Sérénissime République de Venise, mettant en péril l'ordre et la prospérité de ce monde.
Les Royaumes et Etats de Milan, Gênes, Castille et Aragon ont décidé, par Nous ne savons quelle aliénation, de se joindre au Pontife, au mépris de tous risques.
Soucieux de préserver Notre Royaume et le monde chrétien, Nous avons retenu la nécessité d'agir en pareille situation, avec la plus grande volonté et la plus grande parcimonie.
C'est pour cette raison que Nous initions la présente Réforme, qui portera sur la reconsidération de Notre position vis-à-vis des belligérants et notamment le Souverain Pontife.
Fait en Notre Palais, en l'an de grâce mil cinq cent treize, sous le regard de Dieu.
Cette réforme comporte plusieurs volets qui seront présentés ci-dessous.
Au sujet de Milan et Gênes :
Je n'interviendrai pas si des pirates s'attaquent à leurs navires.
Si mes soldats capturent des pirates milanais ou génois, le butin récupéré sera envoyé à Venise.
Tous les hommes de mes Royaumes qui veulent partir servir le camp de Venise et prendre leur revanche sur Milan n'en seront pas empêchés. Je parle bien d'initiatives individuelles, je n'envoie pas l'armée.
Je fais comprendre aux brigands et autres qu'ils peuvent se racheter s'ils rejoignent, toujours selon leur initiative propre, les forces de la Sérénissime République et de ses alliés.
J'arrête tous les échanges commerciaux avec ces deux pays, sauf ce qui est vital pour mon pays et ne peut pas être remplacé par une production locale ou d'un pays non agressif (a priori rien ne l'est donc je suppose que je coupe tous les échanges).
Je fais de mon mieux pour empêcher les banques de les financer. Par tous les moyens à ma disposition (selon mes pouvoirs de roi et le fonctionnement des banques à l'époque).
J'annonce que les pays neutres n'auront aucun problème et que les pays qui s'impliquent davantage contre nos ennemis seront avantagés économiquement. C'est une promesse.
Au sujet de Castille et d'Aragon ( @Laggrondeter ) :
Je conserve de bonnes relations avec eux mais je ne peux pas ignorer leur position dans ce conflit.
Je refuse autant que possible le commerce militaire avec eux.
Dans les autres formes de commerce, je privilégie les concurrents français, napolitains et vénitiens.
Et c'est tout. Pour le reste on garde des échanges commerciaux normaux et ma politique d'importation / exportation.
Concernant le Saint Empire ( @Lazuli @Zelorian ) :
J'utilise 200PA pour créer une ligue qui porte le nom de mes capitales mais qui sera plus simplement appelée ligue de Prague (si ça ne porte pas à confusion avec une autre).
Cette ligue aura pour but de réunir tous les Etats qui veulent une Réforme de l'Eglise et qui refusent payer des impôts/taxes et autres levées d'hommes par l'Empereur.
Au sujet de Rome :
Je lance la Pragmatique Sanction de Prague.
Pragmatique Sanction
Préambule
Nous, par la grâce et la miséricorde de Dieu, Roi de Bohême, Roi de Hongrie, Roi de Croatie, considérant :
- les troubles qui agitent la chrétienté
- les abus commis par certains officiers du Saint-Siège dans Nos royaumes
- les nécessités du bon gouvernement, de la piété publique et de la défense contre les vices
- les scandales causés par l'ingérence de puissances étrangères dans les affaires religieuses de Nos Etats
avons jugé nécessaire et conforme à la Providence de restaurer les droits anciens de Nos Couronnes et d'assurer aux clergés de Nos Royaumes une direction juste, modérée et conforme aux besoins de Nos peuples.
Titre Premier - Du gouvernement ecclésiastique
Article I.
Le Roi de Bohême, de Hongrie et de Croatie est reconnu comme le seul et légitime Protecteur et Administrateur des Eglises établies dans Nos Royaumes ainsi que Défenseur de la Foi et de la Providence.
Article II.
Les sacrements et la doctrine ne changent point. La présente Sanction ne touche point aux articles de foi.
Titre Second - Du clergé et des bénéfices
Article III.
Les évêques, archevêques, abbés et chefs d'ordres réguliers seront élus librement par les chapitres et communautés et confirmés par le Roi.
Article IV.
Nul étranger ne pourra tenir bénéfice majeur sans autorisation royale.
Article V.
Les appels et procès ecclésiastiques de Nos Royaumes ne pourront être portés hors du pays, sauf permission expresse du Roi.
Titre Troisième - Des finances ecclésiastiques
Article VI.
Tous les impôts et revenus ecclésiastiques seront perçus et administrés dans Nos Royaumes, pour le bien de Nos Eglises.
Article VII.
Aucun impôt, taxe, redevance ou revenu ecclésiastique ne pourra être envoyé à l'étranger sans l'accord du Roi.
Article VIII.
Nul impôt ou revenu ecclésiastique ne pourra financer une guerre étrangère.
Titre Quatrième - De la discipline et des réformes
Article IX.
Le Roi peut ordonner la visite des monastères par ses commissaires, créer et réformer les ordres religieux, les écoles ecclésiastiques et l’instruction religieuse, supprimer les maisons inutiles et redistribuer leurs revenus aux œuvres de charité, conformément à la Providence et aux besoins de Nos peuples.
Article X.
Toute réforme de Nos Eglises ne pourra se faire que par la volonté expresse du Roi.
Titre Cinquième - De la loyauté au Roi et au Saint-Siège
Article XI.
Les Eglises de Nos Royaumes demeurent filles de l'Eglise romaine, mais gouvernées dans leurs affaires temporelles par le Roi.
Article XII.
Toute excommunication portée contre un officier royal ou un vassal sera nulle si elle n'est pas validée par le Roi.
Titre Sixième - Du monde chrétien
Article XIII.
Moscou est reconnue comme héritière de Constantinople et ville de chrétienté ( @Ordivomi ).
Titre Septième - Du Souverain Pontife
Article XIV.
La supériorité des Conciles et de la Tradition sur le Pape est reconnue.
Article XV.
Nulle critique raisonnée de la politique ou de la personnalité du pontife ne pourra être assimilée à un blasphème.
Clôture
Ainsi avons ordonné, statué et décrété valable pour tous Nos Royaumes, provinces, terres, cités, églises et dignitaires, et voulons qu'il soit gardé à perpétuité, sauf révision expresse par Nos successeurs et par un concile général de Nos Eglises.
Fait à Prague, en Notre Palais.
En l'an de grâce mil cinq cent treize.
Sous le regard de Dieu.
Vladislas II, Roi de Bohême, Roi de Hongrie et Roi de Croatie.
C'est tout pour la réforme gouvernementale.
Or :
J'envoie 1k pour rembourser ma dette.
1k pour développer les ordres religieux hospitaliers.
1k pour développer les ordres religieux critiques du Pape.
Achat de 500 cavaliers (2k) ainsi que de 4000 fantassins (10k).
@TjrsVivant43 si tu veux voir ma position
Je viens de lire, c'est fou le mal que tu te donnes pour rester fidèle au RP
il y a 3 jours
Quatrième guerre d'Italie : @LaggronDeter @Lazuli @TjrsVivant43 @Putaso
Le début d'année est calme en Italie, les armées se réorganisent et se repositionnent. Les espagnols partent à Naples pour épauler Jules II tandis que les milanais préparent une offensive.
Ce silence est brisé sur les mers lorsque la marine vénitienne prend l'initiative d'attaquer les côtes génoises. Les imposants et redoutables bâtiments de guerre vénitiens sont confiants et s'avancent dans les eaux de l'ouest italien. La bataille se déroule proche de la corse. La marine ennemie est déjà prête, dans une situation qui lui est favorable. En supériorité numérique, les navires coalisés font subir une défaite humiliante à Venise qui est battue sur son propre terrain en deux jours. Vaincus, ils sauvent ce qui peut encore l'être et retournent vers le pays.
Sur terre, les armées espagnoles conjointent aux armées pontificales remportent une première victoire et repoussent les hommes de Borgia. Le siège de Naples débute en mai et la situation devient difficile pour les Napolitains, épuisés par les guerres incessantes. Lorsque les pénuries commencent, un soulèvement populaire contraint César à s'enfuir et la ville tombe sous drapeau Aragonais. Peu de temps plus tard, l'ancien Roi de Naples est capturé et contraint d'abdiquer en faveur de la couronne d'Aragon.
Pendant que les armées espagnoles et pontificales remontent vers le nord, l'armée vénitienne tente une percée pour reprendre ses anciennes terres. Ils gagnant une légère victoire avant d'être repoussé devant les murs de Bergame. Les troupes milanaises essayent de reprendre l'avantage mais les lansquenets allemands, organisés dans la retraite, parviennent à les vaincre. Une sorte de statut-quo sur le front s'est imposé cette année.
Du côté français, les armées de Louis XII sont divisées en deux et l'attaque sur le Milanais est facilement balayée par les forces de Maximilien Ier. A un contre deux, l'attaque est un échec complet et les généraux français craignent une invasion du territoire par les autrichiens, ce qui n'arrive finalement pas.
La frontière entre la France et l'Espagne est aussi mouvementée par quelques affrontements au cours de l'année mais qui ne donnent rien. Les français réussissent à écarter chaque assaut sans flancher.
Quant à la Romagne, les armées pontificales et espagnoles réussissent à y pénétrer sans problème. Région peu défendue, seulement par les garnisons locales et les quelques fortifications, l'ensemble tombe en fin d'année.
Pertes :
Venise : 3 000 fantassins ; 14 navires
Espagne : 9 000 fantassins ; 6 navires
France : 8 000 fantassins ; 1 500 cavaliers
Autriche : 3 000 fantassins
Le début d'année est calme en Italie, les armées se réorganisent et se repositionnent. Les espagnols partent à Naples pour épauler Jules II tandis que les milanais préparent une offensive.
Ce silence est brisé sur les mers lorsque la marine vénitienne prend l'initiative d'attaquer les côtes génoises. Les imposants et redoutables bâtiments de guerre vénitiens sont confiants et s'avancent dans les eaux de l'ouest italien. La bataille se déroule proche de la corse. La marine ennemie est déjà prête, dans une situation qui lui est favorable. En supériorité numérique, les navires coalisés font subir une défaite humiliante à Venise qui est battue sur son propre terrain en deux jours. Vaincus, ils sauvent ce qui peut encore l'être et retournent vers le pays.
Sur terre, les armées espagnoles conjointent aux armées pontificales remportent une première victoire et repoussent les hommes de Borgia. Le siège de Naples débute en mai et la situation devient difficile pour les Napolitains, épuisés par les guerres incessantes. Lorsque les pénuries commencent, un soulèvement populaire contraint César à s'enfuir et la ville tombe sous drapeau Aragonais. Peu de temps plus tard, l'ancien Roi de Naples est capturé et contraint d'abdiquer en faveur de la couronne d'Aragon.
Pendant que les armées espagnoles et pontificales remontent vers le nord, l'armée vénitienne tente une percée pour reprendre ses anciennes terres. Ils gagnant une légère victoire avant d'être repoussé devant les murs de Bergame. Les troupes milanaises essayent de reprendre l'avantage mais les lansquenets allemands, organisés dans la retraite, parviennent à les vaincre. Une sorte de statut-quo sur le front s'est imposé cette année.
Du côté français, les armées de Louis XII sont divisées en deux et l'attaque sur le Milanais est facilement balayée par les forces de Maximilien Ier. A un contre deux, l'attaque est un échec complet et les généraux français craignent une invasion du territoire par les autrichiens, ce qui n'arrive finalement pas.
La frontière entre la France et l'Espagne est aussi mouvementée par quelques affrontements au cours de l'année mais qui ne donnent rien. Les français réussissent à écarter chaque assaut sans flancher.
Quant à la Romagne, les armées pontificales et espagnoles réussissent à y pénétrer sans problème. Région peu défendue, seulement par les garnisons locales et les quelques fortifications, l'ensemble tombe en fin d'année.
Pertes :
Venise : 3 000 fantassins ; 14 navires
Espagne : 9 000 fantassins ; 6 navires
France : 8 000 fantassins ; 1 500 cavaliers
Autriche : 3 000 fantassins
il y a 3 jours
Je viens de lire, c'est fou le mal que tu te donnes pour rester fidèle au RP
ayaa merci ça m'a pris quelques heures pour faire les recherches + environ 2h pour bien écrire
en plus j'ai pas beaucoup dormi ces 2 derniers jours
en plus j'ai pas beaucoup dormi ces 2 derniers jours
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
il y a 3 jours
Armouare
3j
Quatrième guerre d'Italie : @LaggronDeter @Lazuli @TjrsVivant43 @Putaso
Le début d'année est calme en Italie, les armées se réorganisent et se repositionnent. Les espagnols partent à Naples pour épauler Jules II tandis que les milanais préparent une offensive.
Ce silence est brisé sur les mers lorsque la marine vénitienne prend l'initiative d'attaquer les côtes génoises. Les imposants et redoutables bâtiments de guerre vénitiens sont confiants et s'avancent dans les eaux de l'ouest italien. La bataille se déroule proche de la corse. La marine ennemie est déjà prête, dans une situation qui lui est favorable. En supériorité numérique, les navires coalisés font subir une défaite humiliante à Venise qui est battue sur son propre terrain en deux jours. Vaincus, ils sauvent ce qui peut encore l'être et retournent vers le pays.
Sur terre, les armées espagnoles conjointent aux armées pontificales remportent une première victoire et repoussent les hommes de Borgia. Le siège de Naples débute en mai et la situation devient difficile pour les Napolitains, épuisés par les guerres incessantes. Lorsque les pénuries commencent, un soulèvement populaire contraint César à s'enfuir et la ville tombe sous drapeau Aragonais. Peu de temps plus tard, l'ancien Roi de Naples est capturé et contraint d'abdiquer en faveur de la couronne d'Aragon.
Pendant que les armées espagnoles et pontificales remontent vers le nord, l'armée vénitienne tente une percée pour reprendre ses anciennes terres. Ils gagnant une légère victoire avant d'être repoussé devant les murs de Bergame. Les troupes milanaises essayent de reprendre l'avantage mais les lansquenets allemands, organisés dans la retraite, parviennent à les vaincre. Une sorte de statut-quo sur le front s'est imposé cette année.
Du côté français, les armées de Louis XII sont divisées en deux et l'attaque sur le Milanais est facilement balayée par les forces de Maximilien Ier. A un contre deux, l'attaque est un échec complet et les généraux français craignent une invasion du territoire par les autrichiens, ce qui n'arrive finalement pas.
La frontière entre la France et l'Espagne est aussi mouvementée par quelques affrontements au cours de l'année mais qui ne donnent rien. Les français réussissent à écarter chaque assaut sans flancher.
Quant à la Romagne, les armées pontificales et espagnoles réussissent à y pénétrer sans problème. Région peu défendue, seulement par les garnisons locales et les quelques fortifications, l'ensemble tombe en fin d'année.
Pertes :
Venise : 3 000 fantassins ; 14 navires
Espagne : 9 000 fantassins ; 6 navires
France : 8 000 fantassins ; 1 500 cavaliers
Autriche : 3 000 fantassins
Le début d'année est calme en Italie, les armées se réorganisent et se repositionnent. Les espagnols partent à Naples pour épauler Jules II tandis que les milanais préparent une offensive.
Ce silence est brisé sur les mers lorsque la marine vénitienne prend l'initiative d'attaquer les côtes génoises. Les imposants et redoutables bâtiments de guerre vénitiens sont confiants et s'avancent dans les eaux de l'ouest italien. La bataille se déroule proche de la corse. La marine ennemie est déjà prête, dans une situation qui lui est favorable. En supériorité numérique, les navires coalisés font subir une défaite humiliante à Venise qui est battue sur son propre terrain en deux jours. Vaincus, ils sauvent ce qui peut encore l'être et retournent vers le pays.
Sur terre, les armées espagnoles conjointent aux armées pontificales remportent une première victoire et repoussent les hommes de Borgia. Le siège de Naples débute en mai et la situation devient difficile pour les Napolitains, épuisés par les guerres incessantes. Lorsque les pénuries commencent, un soulèvement populaire contraint César à s'enfuir et la ville tombe sous drapeau Aragonais. Peu de temps plus tard, l'ancien Roi de Naples est capturé et contraint d'abdiquer en faveur de la couronne d'Aragon.
Pendant que les armées espagnoles et pontificales remontent vers le nord, l'armée vénitienne tente une percée pour reprendre ses anciennes terres. Ils gagnant une légère victoire avant d'être repoussé devant les murs de Bergame. Les troupes milanaises essayent de reprendre l'avantage mais les lansquenets allemands, organisés dans la retraite, parviennent à les vaincre. Une sorte de statut-quo sur le front s'est imposé cette année.
Du côté français, les armées de Louis XII sont divisées en deux et l'attaque sur le Milanais est facilement balayée par les forces de Maximilien Ier. A un contre deux, l'attaque est un échec complet et les généraux français craignent une invasion du territoire par les autrichiens, ce qui n'arrive finalement pas.
La frontière entre la France et l'Espagne est aussi mouvementée par quelques affrontements au cours de l'année mais qui ne donnent rien. Les français réussissent à écarter chaque assaut sans flancher.
Quant à la Romagne, les armées pontificales et espagnoles réussissent à y pénétrer sans problème. Région peu défendue, seulement par les garnisons locales et les quelques fortifications, l'ensemble tombe en fin d'année.
Pertes :
Venise : 3 000 fantassins ; 14 navires
Espagne : 9 000 fantassins ; 6 navires
France : 8 000 fantassins ; 1 500 cavaliers
Autriche : 3 000 fantassins
Ça craint, je crois que c'est fini pour moi là
il y a 3 jours
Armouare
3j
Quatrième guerre d'Italie : @LaggronDeter @Lazuli @TjrsVivant43 @Putaso
Le début d'année est calme en Italie, les armées se réorganisent et se repositionnent. Les espagnols partent à Naples pour épauler Jules II tandis que les milanais préparent une offensive.
Ce silence est brisé sur les mers lorsque la marine vénitienne prend l'initiative d'attaquer les côtes génoises. Les imposants et redoutables bâtiments de guerre vénitiens sont confiants et s'avancent dans les eaux de l'ouest italien. La bataille se déroule proche de la corse. La marine ennemie est déjà prête, dans une situation qui lui est favorable. En supériorité numérique, les navires coalisés font subir une défaite humiliante à Venise qui est battue sur son propre terrain en deux jours. Vaincus, ils sauvent ce qui peut encore l'être et retournent vers le pays.
Sur terre, les armées espagnoles conjointent aux armées pontificales remportent une première victoire et repoussent les hommes de Borgia. Le siège de Naples débute en mai et la situation devient difficile pour les Napolitains, épuisés par les guerres incessantes. Lorsque les pénuries commencent, un soulèvement populaire contraint César à s'enfuir et la ville tombe sous drapeau Aragonais. Peu de temps plus tard, l'ancien Roi de Naples est capturé et contraint d'abdiquer en faveur de la couronne d'Aragon.
Pendant que les armées espagnoles et pontificales remontent vers le nord, l'armée vénitienne tente une percée pour reprendre ses anciennes terres. Ils gagnant une légère victoire avant d'être repoussé devant les murs de Bergame. Les troupes milanaises essayent de reprendre l'avantage mais les lansquenets allemands, organisés dans la retraite, parviennent à les vaincre. Une sorte de statut-quo sur le front s'est imposé cette année.
Du côté français, les armées de Louis XII sont divisées en deux et l'attaque sur le Milanais est facilement balayée par les forces de Maximilien Ier. A un contre deux, l'attaque est un échec complet et les généraux français craignent une invasion du territoire par les autrichiens, ce qui n'arrive finalement pas.
La frontière entre la France et l'Espagne est aussi mouvementée par quelques affrontements au cours de l'année mais qui ne donnent rien. Les français réussissent à écarter chaque assaut sans flancher.
Quant à la Romagne, les armées pontificales et espagnoles réussissent à y pénétrer sans problème. Région peu défendue, seulement par les garnisons locales et les quelques fortifications, l'ensemble tombe en fin d'année.
Pertes :
Venise : 3 000 fantassins ; 14 navires
Espagne : 9 000 fantassins ; 6 navires
France : 8 000 fantassins ; 1 500 cavaliers
Autriche : 3 000 fantassins
Le début d'année est calme en Italie, les armées se réorganisent et se repositionnent. Les espagnols partent à Naples pour épauler Jules II tandis que les milanais préparent une offensive.
Ce silence est brisé sur les mers lorsque la marine vénitienne prend l'initiative d'attaquer les côtes génoises. Les imposants et redoutables bâtiments de guerre vénitiens sont confiants et s'avancent dans les eaux de l'ouest italien. La bataille se déroule proche de la corse. La marine ennemie est déjà prête, dans une situation qui lui est favorable. En supériorité numérique, les navires coalisés font subir une défaite humiliante à Venise qui est battue sur son propre terrain en deux jours. Vaincus, ils sauvent ce qui peut encore l'être et retournent vers le pays.
Sur terre, les armées espagnoles conjointent aux armées pontificales remportent une première victoire et repoussent les hommes de Borgia. Le siège de Naples débute en mai et la situation devient difficile pour les Napolitains, épuisés par les guerres incessantes. Lorsque les pénuries commencent, un soulèvement populaire contraint César à s'enfuir et la ville tombe sous drapeau Aragonais. Peu de temps plus tard, l'ancien Roi de Naples est capturé et contraint d'abdiquer en faveur de la couronne d'Aragon.
Pendant que les armées espagnoles et pontificales remontent vers le nord, l'armée vénitienne tente une percée pour reprendre ses anciennes terres. Ils gagnant une légère victoire avant d'être repoussé devant les murs de Bergame. Les troupes milanaises essayent de reprendre l'avantage mais les lansquenets allemands, organisés dans la retraite, parviennent à les vaincre. Une sorte de statut-quo sur le front s'est imposé cette année.
Du côté français, les armées de Louis XII sont divisées en deux et l'attaque sur le Milanais est facilement balayée par les forces de Maximilien Ier. A un contre deux, l'attaque est un échec complet et les généraux français craignent une invasion du territoire par les autrichiens, ce qui n'arrive finalement pas.
La frontière entre la France et l'Espagne est aussi mouvementée par quelques affrontements au cours de l'année mais qui ne donnent rien. Les français réussissent à écarter chaque assaut sans flancher.
Quant à la Romagne, les armées pontificales et espagnoles réussissent à y pénétrer sans problème. Région peu défendue, seulement par les garnisons locales et les quelques fortifications, l'ensemble tombe en fin d'année.
Pertes :
Venise : 3 000 fantassins ; 14 navires
Espagne : 9 000 fantassins ; 6 navires
France : 8 000 fantassins ; 1 500 cavaliers
Autriche : 3 000 fantassins
J'ai récupéré tout Naples
J'aime le Christ Et l'argent
Moi
il y a 3 jours
Ça craint, je crois que c'est fini pour moi là
mais non
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
il y a 3 jours
Ça craint, je crois que c'est fini pour moi là
Comment ça, c'est là fin pour toi
J'aime le Christ Et l'argent
Moi
il y a 3 jours
Milan protégé, l’Empire tout entier est désormais témoin de l’Empereur que je suis.
Là où certains étaient prêts à abandonner leur confrère, à semer la division par des réformes unilatérales et des ligues de rupture, j’ai maintenu l’unité de l’Empire par le droit, l’autorité et la responsabilité impériale.
Là où certains étaient prêts à abandonner leur confrère, à semer la division par des réformes unilatérales et des ligues de rupture, j’ai maintenu l’unité de l’Empire par le droit, l’autorité et la responsabilité impériale.
il y a 3 jours
Comment ça, c'est là fin pour toi
J'ai perdu pour au moins 30k de bateaux
il y a 3 jours
Lazuli
3j
Milan protégé, l’Empire tout entier est désormais témoin de l’Empereur que je suis.
Là où certains étaient prêts à abandonner leur confrère, à semer la division par des réformes unilatérales et des ligues de rupture, j’ai maintenu l’unité de l’Empire par le droit, l’autorité et la responsabilité impériale.
Là où certains étaient prêts à abandonner leur confrère, à semer la division par des réformes unilatérales et des ligues de rupture, j’ai maintenu l’unité de l’Empire par le droit, l’autorité et la responsabilité impériale.
Bien joué, et moi j'ai récupéré tout le sud de l'Italie, contemplez la puissance de notre famille
J'aime le Christ Et l'argent
Moi
il y a 3 jours
Lazuli
3j
Milan protégé, l’Empire tout entier est désormais témoin de l’Empereur que je suis.
Là où certains étaient prêts à abandonner leur confrère, à semer la division par des réformes unilatérales et des ligues de rupture, j’ai maintenu l’unité de l’Empire par le droit, l’autorité et la responsabilité impériale.
Là où certains étaient prêts à abandonner leur confrère, à semer la division par des réformes unilatérales et des ligues de rupture, j’ai maintenu l’unité de l’Empire par le droit, l’autorité et la responsabilité impériale.
oui oui, maintenant y'a une ligue contre toi + une sécession religieuse + quasiment une guerre
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
il y a 3 jours

























