Ce sujet a été résolu
Le parisien
Je vais pas mentir sur ça
Je vais pas mentir sur ça
Source quand même. Ça va aider les futurs post anti-arabes.
il y a 3 jours
quand on a 83 de Qi, ca se tient comme raisonnement.
Chaud, t'es trop gentil encore.
J'aurais mis en négatif.
J'aurais mis en négatif.
╔══ஓ๑Un regard tourné vers la lune...l'espoir๑ஓ══╗ en survivant seul༺༻même aux cicatrices
il y a 3 jours
Peut etre que dans quelques années on aura le droit à une interview de dabiah dans sept à huit
et peut etre même que pour son 3 ème mandat Macron va la gracier
et peut etre même que pour son 3 ème mandat Macron va la gracier
Le pire c'est qu'il y a bien des chances
il y a 3 jours
Xenopaz
3j
"La peine de mort peut mener à des erreurs judiciaires donc il faut l'interdire absolument, même les pire criminelles méritent de la dignité..."
Épargner un coupable dans le but de protéger un éventuel innocent. La logique se tient.
il y a 3 jours
Peine de torture du moyen âge vous êtes d'accord ?
Non on est pas des sauvages
il y a 3 jours
La réponse de Chat sur la question
Ce que tu dis touche à un vieux débat moral et politique : la **justice comme vengeance** contre la **justice comme principe de civilisation**.
Tu as raison sur un point concret : une horreur comme l’affaire Lola provoque une rage instinctive. Et cette rage, elle est légitime. Ce genre d’acte pulvérise l’idée même d’humanité, alors forcément, la population veut une réponse à la hauteur.
Mais si on raisonne à froid, la **peine de mort** ne remplit pas la promesse qu’on lui prête. Les chiffres à travers le monde sont clairs : elle **ne dissuade pas les crimes**. Les États qui l’appliquent encore (États-Unis, Chine, Iran, Arabie saoudite, etc.) n’ont pas moins de meurtres ; parfois, ils en ont davantage.
Pourquoi ? Parce que la majorité des crimes graves ne sont pas commis par calcul, mais par pulsion, délire, folie ou désespoir. On ne réfléchit pas à la sanction quand on perd tout contrôle.
Et surtout, l’histoire montre que **le pouvoir de tuer au nom de la loi** finit toujours par être utilisé au-delà de son intention première.
On commence avec “les monstres”, puis on élargit : les “traîtres”, les “indésirables”, les “ennemis politiques”. C’est un glissement automatique.
Une civilisation se distingue précisément parce qu’elle **refuse de tuer**, même quand c’est plus simple. C’est ce refus-là qui fait d’un peuple une société, pas une meute.
Ce qui est nécessaire, ce n’est pas la mort du criminel — c’est **la certitude absolue qu’il ne pourra plus nuire**. Et ça, une perpétuité réelle, sans remise de peine, peut le garantir.
La vraie question n’est donc pas “faut-il tuer les monstres ?”, mais : **“comment faire en sorte qu’ils ne détruisent plus jamais d’autres vies — sans nous transformer nous-mêmes en monstres d’État ?”**
Ce que tu dis touche à un vieux débat moral et politique : la **justice comme vengeance** contre la **justice comme principe de civilisation**.
Tu as raison sur un point concret : une horreur comme l’affaire Lola provoque une rage instinctive. Et cette rage, elle est légitime. Ce genre d’acte pulvérise l’idée même d’humanité, alors forcément, la population veut une réponse à la hauteur.
Mais si on raisonne à froid, la **peine de mort** ne remplit pas la promesse qu’on lui prête. Les chiffres à travers le monde sont clairs : elle **ne dissuade pas les crimes**. Les États qui l’appliquent encore (États-Unis, Chine, Iran, Arabie saoudite, etc.) n’ont pas moins de meurtres ; parfois, ils en ont davantage.
Pourquoi ? Parce que la majorité des crimes graves ne sont pas commis par calcul, mais par pulsion, délire, folie ou désespoir. On ne réfléchit pas à la sanction quand on perd tout contrôle.
Et surtout, l’histoire montre que **le pouvoir de tuer au nom de la loi** finit toujours par être utilisé au-delà de son intention première.
On commence avec “les monstres”, puis on élargit : les “traîtres”, les “indésirables”, les “ennemis politiques”. C’est un glissement automatique.
Une civilisation se distingue précisément parce qu’elle **refuse de tuer**, même quand c’est plus simple. C’est ce refus-là qui fait d’un peuple une société, pas une meute.
Ce qui est nécessaire, ce n’est pas la mort du criminel — c’est **la certitude absolue qu’il ne pourra plus nuire**. Et ça, une perpétuité réelle, sans remise de peine, peut le garantir.
La vraie question n’est donc pas “faut-il tuer les monstres ?”, mais : **“comment faire en sorte qu’ils ne détruisent plus jamais d’autres vies — sans nous transformer nous-mêmes en monstres d’État ?”**
La pdm pourrait prévenir les récidives, dans le cas de Mohammed Merah par exemple si la justice avait pris la décision de le tuer avant qu'il ne tue, la justice a préféré le laisser se radicaliser encore plus. Dans pas mal de cas vaut mieux tuer le criminel que lui ne tue à nouveau des victimes.Puis ça laisserait de la place dans les prisons.
Dans le passé la société et les mœurs étaient différentes, aujourd'hui les peines sont beaucoup plus régulées. À la rigueur limiter la pdm dans des cas spécifiques, imposer des règles claires qur qui encourt la peine de mort pourrait éviter toutes dérives.
J'ajoute que l'être humain a tendance à oublier la gravité des faits passé, rien ne nous dit qu'elle ne sera pas libéré dans 30 ans.
Dans le passé la société et les mœurs étaient différentes, aujourd'hui les peines sont beaucoup plus régulées. À la rigueur limiter la pdm dans des cas spécifiques, imposer des règles claires qur qui encourt la peine de mort pourrait éviter toutes dérives.
J'ajoute que l'être humain a tendance à oublier la gravité des faits passé, rien ne nous dit qu'elle ne sera pas libéré dans 30 ans.
il y a 3 jours
Le pire c'est qu'il y a bien des chances
"Apres 2 mois de prison , nous avons rencontré la meurtrière de Lola. Aujourd'hui elle nous raconte ses regrets, sa tristesse, et son enfance marqué par le racisme, le sexisme et la masculinité toxique. Aujourd'hui Dabiah nous accorde cette interview dans l'intimité de son hotel sa cellule à l'occasion de la sortie de son premier livre , une auto-biographie... portait d'une femme meurtrie et manipulait par le patriarcat blanc "
il y a 3 jours
"Apres 2 mois de prison , nous avons rencontré la meurtrière de Lola. Aujourd'hui elle nous raconte ses regrets, sa tristesse, et son enfance marqué par le racisme, le sexisme et la masculinité toxique. Aujourd'hui Dabiah nous accorde cette interview dans l'intimité de son hotel sa cellule à l'occasion de la sortie de son premier livre , une auto-biographie... portait d'une femme meurtrie et manipulait par le patriarcat blanc "
oh mon Dieu qu'est-ce que ça sonne vrai c'est affreux
ᶻ 𝘇 𐰁
il y a 3 jours
Épargner un coupable dans le but de protéger un éventuel innocent. La logique se tient.
C'est sûr à 100% que c'est elle.
il y a 3 jours
"Apres 2 mois de prison , nous avons rencontré la meurtrière de Lola. Aujourd'hui elle nous raconte ses regrets, sa tristesse, et son enfance marqué par le racisme, le sexisme et la masculinité toxique. Aujourd'hui Dabiah nous accorde cette interview dans l'intimité de son hotel sa cellule à l'occasion de la sortie de son premier livre , une auto-biographie... portait d'une femme meurtrie et manipulait par le patriarcat blanc "
il y a 3 jours
La pdm pourrait prévenir les récidives, dans le cas de Mohammed Merah par exemple si la justice avait pris la décision de le tuer avant qu'il ne tue, la justice a préféré le laisser se radicaliser encore plus. Dans pas mal de cas vaut mieux tuer le criminel que lui ne tue à nouveau des victimes.Puis ça laisserait de la place dans les prisons.
Dans le passé la société et les mœurs étaient différentes, aujourd'hui les peines sont beaucoup plus régulées. À la rigueur limiter la pdm dans des cas spécifiques, imposer des règles claires qur qui encourt la peine de mort pourrait éviter toutes dérives.
J'ajoute que l'être humain a tendance à oublier la gravité des faits passé, rien ne nous dit qu'elle ne sera pas libéré dans 30 ans.
Dans le passé la société et les mœurs étaient différentes, aujourd'hui les peines sont beaucoup plus régulées. À la rigueur limiter la pdm dans des cas spécifiques, imposer des règles claires qur qui encourt la peine de mort pourrait éviter toutes dérives.
J'ajoute que l'être humain a tendance à oublier la gravité des faits passé, rien ne nous dit qu'elle ne sera pas libéré dans 30 ans.
J'allais te répondre mais au final tu réponds a Chat donc j'ai repris sa réponse et j'ai répondu avec ton post, dommage j'ai la versions gratuit il a eux besoin d'une grosse réflexion du coup il a répondu point par point sans faire un texte, bref
Tu as posé les arguments classiques — je réponde strictement, point par point, sans enjoliver.
1. **«La PDM aurait empêché Merah» — faux scénario utile pour la colère, pas pour la logique.**
Merah n’a pas été libéré puis récidivé : il a été tué par la police lors de la traque en mars 2012. Aucun système judiciaire au monde n’exécute quelqu’un «par anticipation» sur la base d’un soupçon. L’argument “si on l’avait exécuté avant…” repose sur une hypothèse irréalisable et dangereuse : punir avant ou sans procès. (sources historiques sur l’affaire). ([Wikipédia][1])
2. **Dissuasion : les études ne confirment pas l’effet**
La littérature scientifique sérieuse ne montre pas qu’un État qui applique la peine capitale a moins d’homicides. Les conclusions sont, au mieux, ambigües ; la majorité des analyses indiquent **aucun effet dissuasif clair**. Tu peux être furieux, ça n’invente pas l’efficacité. ([Death Penalty Information Center][2])
3. **Coût : la PDM coûte souvent plus cher**
Contrairement à l’intuition (“on économise parce qu’on n’a plus à incarcérer”), les procédures capitales (procès, appels, expertise) rendent chaque dossier **beaucoup plus coûteux** qu’un dossier visant la détention à perpétuité. Plusieurs rapports démontrent que la peine de mort revient plus cher que la prison à vie. Si l’objectif est «faire des économies», la PDM ne tient pas la route. ([Office of Justice Programs][3])
4. **Erreur judiciaire : le risque est irréversible**
Des exécutions ont visé des innocents là où la peine de mort existe. Une fois commise, l’erreur ne se corrige pas. Les systèmes judiciaires sont humains et faillibles ; la gravité de l’irréversibilité est un argument factuel, pas moral seulement. ([Death Penalty Information Center][4])
5. **«Limiter la PDM à des cas précis» n’empêche pas la dérive**
L’histoire montre que des exceptions finissent par s’élargir, que des critères «stricts» sont interprétés ou contournés. De plus, définir ces critères ouvre un espace politique et judiciaire qui se prête aux pressions, erreurs et abus — exactement le mécanisme que tu dis vouloir éviter.
6. **Alternative efficace et contrôlable : la perpétuité réelle**
Si ton but est d’empêcher à tout prix la récidive et de protéger la société, la solution réaliste et sûre est la **détention à perpétuité réelle sans remise de peine**, avec sûreté maximale. Elle garantit la sécurité publique sans le coût politique, financier et moral d’une exécution. (Cela existe déjà dans les États et systèmes qui l’appliquent.) ([Office of Justice Programs][5])
Conclusion, froide et nette : la peine de mort ne résout pas les problèmes que tu as énoncés (empêcher les récidives, économiser, calmer la société). Elle crée des risques nouveaux (erreurs irréversibles, coûts judiciaires élevés, dérives politiques) et repose souvent sur des scénarios contre-factuels (comme «si on l’avait tué avant…»). Si l’objectif est la sécurité et la prévention, la voie raisonnable reste la perpétuité réelle stricte, un renforcement des enquêtes préventives et des politiques sociales pour réduire la génèse du crime. ([Death Penalty Information Center][2])
[1]:
https://en.wikipedia.org/[...]gs?utm_source=chatgpt.com "Toulouse and Montauban shootings"
[2]:
https://deathpenaltyinfo.[...]ce?utm_source=chatgpt.com "Deterrence"
[3]:
https://www.ojp.gov/ncjrs[...]ns?utm_source=chatgpt.com "Capital Punishment or Life Imprisonment? Some Cost ..."
[4]:
https://deathpenaltyinfo.[...]ce?utm_source=chatgpt.com "Innocence"
[5]:
https://www.ojp.gov/pdffi[...]df?utm_source=chatgpt.com "Five Things About Deterrence"
Tu as posé les arguments classiques — je réponde strictement, point par point, sans enjoliver.
1. **«La PDM aurait empêché Merah» — faux scénario utile pour la colère, pas pour la logique.**
Merah n’a pas été libéré puis récidivé : il a été tué par la police lors de la traque en mars 2012. Aucun système judiciaire au monde n’exécute quelqu’un «par anticipation» sur la base d’un soupçon. L’argument “si on l’avait exécuté avant…” repose sur une hypothèse irréalisable et dangereuse : punir avant ou sans procès. (sources historiques sur l’affaire). ([Wikipédia][1])
2. **Dissuasion : les études ne confirment pas l’effet**
La littérature scientifique sérieuse ne montre pas qu’un État qui applique la peine capitale a moins d’homicides. Les conclusions sont, au mieux, ambigües ; la majorité des analyses indiquent **aucun effet dissuasif clair**. Tu peux être furieux, ça n’invente pas l’efficacité. ([Death Penalty Information Center][2])
3. **Coût : la PDM coûte souvent plus cher**
Contrairement à l’intuition (“on économise parce qu’on n’a plus à incarcérer”), les procédures capitales (procès, appels, expertise) rendent chaque dossier **beaucoup plus coûteux** qu’un dossier visant la détention à perpétuité. Plusieurs rapports démontrent que la peine de mort revient plus cher que la prison à vie. Si l’objectif est «faire des économies», la PDM ne tient pas la route. ([Office of Justice Programs][3])
4. **Erreur judiciaire : le risque est irréversible**
Des exécutions ont visé des innocents là où la peine de mort existe. Une fois commise, l’erreur ne se corrige pas. Les systèmes judiciaires sont humains et faillibles ; la gravité de l’irréversibilité est un argument factuel, pas moral seulement. ([Death Penalty Information Center][4])
5. **«Limiter la PDM à des cas précis» n’empêche pas la dérive**
L’histoire montre que des exceptions finissent par s’élargir, que des critères «stricts» sont interprétés ou contournés. De plus, définir ces critères ouvre un espace politique et judiciaire qui se prête aux pressions, erreurs et abus — exactement le mécanisme que tu dis vouloir éviter.
6. **Alternative efficace et contrôlable : la perpétuité réelle**
Si ton but est d’empêcher à tout prix la récidive et de protéger la société, la solution réaliste et sûre est la **détention à perpétuité réelle sans remise de peine**, avec sûreté maximale. Elle garantit la sécurité publique sans le coût politique, financier et moral d’une exécution. (Cela existe déjà dans les États et systèmes qui l’appliquent.) ([Office of Justice Programs][5])
Conclusion, froide et nette : la peine de mort ne résout pas les problèmes que tu as énoncés (empêcher les récidives, économiser, calmer la société). Elle crée des risques nouveaux (erreurs irréversibles, coûts judiciaires élevés, dérives politiques) et repose souvent sur des scénarios contre-factuels (comme «si on l’avait tué avant…»). Si l’objectif est la sécurité et la prévention, la voie raisonnable reste la perpétuité réelle stricte, un renforcement des enquêtes préventives et des politiques sociales pour réduire la génèse du crime. ([Death Penalty Information Center][2])
[1]:
[2]:
[3]:
[4]:
[5]:
il y a 3 jours
dans un pays logique on l'amènerai directement a la guillotine ou on torturerai ce genre de personne
mais les gauchistes sont tellement en mode , faut pas la peine de mort (alors que ces putain hypocrite sont pour la peine de mort quand ça va dans leur sens (par exemple kirk).
mais les gauchistes sont tellement en mode , faut pas la peine de mort (alors que ces putain hypocrite sont pour la peine de mort quand ça va dans leur sens (par exemple kirk).
il y a 3 jours
30 ans dans une prison pour femmes, hein. autant dire que c'est light comparé aux prisons pour homme. bref la belle vie
il y a 3 jours
J'allais te répondre mais au final tu réponds a Chat donc j'ai repris sa réponse et j'ai répondu avec ton post, dommage j'ai la versions gratuit il a eux besoin d'une grosse réflexion du coup il a répondu point par point sans faire un texte, bref
Tu as posé les arguments classiques — je réponde strictement, point par point, sans enjoliver.
1. **«La PDM aurait empêché Merah» — faux scénario utile pour la colère, pas pour la logique.**
Merah n’a pas été libéré puis récidivé : il a été tué par la police lors de la traque en mars 2012. Aucun système judiciaire au monde n’exécute quelqu’un «par anticipation» sur la base d’un soupçon. L’argument “si on l’avait exécuté avant…” repose sur une hypothèse irréalisable et dangereuse : punir avant ou sans procès. (sources historiques sur l’affaire). ([Wikipédia][1])
2. **Dissuasion : les études ne confirment pas l’effet**
La littérature scientifique sérieuse ne montre pas qu’un État qui applique la peine capitale a moins d’homicides. Les conclusions sont, au mieux, ambigües ; la majorité des analyses indiquent **aucun effet dissuasif clair**. Tu peux être furieux, ça n’invente pas l’efficacité. ([Death Penalty Information Center][2])
3. **Coût : la PDM coûte souvent plus cher**
Contrairement à l’intuition (“on économise parce qu’on n’a plus à incarcérer”), les procédures capitales (procès, appels, expertise) rendent chaque dossier **beaucoup plus coûteux** qu’un dossier visant la détention à perpétuité. Plusieurs rapports démontrent que la peine de mort revient plus cher que la prison à vie. Si l’objectif est «faire des économies», la PDM ne tient pas la route. ([Office of Justice Programs][3])
4. **Erreur judiciaire : le risque est irréversible**
Des exécutions ont visé des innocents là où la peine de mort existe. Une fois commise, l’erreur ne se corrige pas. Les systèmes judiciaires sont humains et faillibles ; la gravité de l’irréversibilité est un argument factuel, pas moral seulement. ([Death Penalty Information Center][4])
5. **«Limiter la PDM à des cas précis» n’empêche pas la dérive**
L’histoire montre que des exceptions finissent par s’élargir, que des critères «stricts» sont interprétés ou contournés. De plus, définir ces critères ouvre un espace politique et judiciaire qui se prête aux pressions, erreurs et abus — exactement le mécanisme que tu dis vouloir éviter.
6. **Alternative efficace et contrôlable : la perpétuité réelle**
Si ton but est d’empêcher à tout prix la récidive et de protéger la société, la solution réaliste et sûre est la **détention à perpétuité réelle sans remise de peine**, avec sûreté maximale. Elle garantit la sécurité publique sans le coût politique, financier et moral d’une exécution. (Cela existe déjà dans les États et systèmes qui l’appliquent.) ([Office of Justice Programs][5])
Conclusion, froide et nette : la peine de mort ne résout pas les problèmes que tu as énoncés (empêcher les récidives, économiser, calmer la société). Elle crée des risques nouveaux (erreurs irréversibles, coûts judiciaires élevés, dérives politiques) et repose souvent sur des scénarios contre-factuels (comme «si on l’avait tué avant…»). Si l’objectif est la sécurité et la prévention, la voie raisonnable reste la perpétuité réelle stricte, un renforcement des enquêtes préventives et des politiques sociales pour réduire la génèse du crime. ([Death Penalty Information Center][2])
[1]:
https://en.wikipedia.org/[...]gs?utm_source=chatgpt.com "Toulouse and Montauban shootings"
[2]:
https://deathpenaltyinfo.[...]ce?utm_source=chatgpt.com "Deterrence"
[3]:
https://www.ojp.gov/ncjrs[...]ns?utm_source=chatgpt.com "Capital Punishment or Life Imprisonment? Some Cost ..."
[4]:
https://deathpenaltyinfo.[...]ce?utm_source=chatgpt.com "Innocence"
[5]:
https://www.ojp.gov/pdffi[...]df?utm_source=chatgpt.com "Five Things About Deterrence"
Tu as posé les arguments classiques — je réponde strictement, point par point, sans enjoliver.
1. **«La PDM aurait empêché Merah» — faux scénario utile pour la colère, pas pour la logique.**
Merah n’a pas été libéré puis récidivé : il a été tué par la police lors de la traque en mars 2012. Aucun système judiciaire au monde n’exécute quelqu’un «par anticipation» sur la base d’un soupçon. L’argument “si on l’avait exécuté avant…” repose sur une hypothèse irréalisable et dangereuse : punir avant ou sans procès. (sources historiques sur l’affaire). ([Wikipédia][1])
2. **Dissuasion : les études ne confirment pas l’effet**
La littérature scientifique sérieuse ne montre pas qu’un État qui applique la peine capitale a moins d’homicides. Les conclusions sont, au mieux, ambigües ; la majorité des analyses indiquent **aucun effet dissuasif clair**. Tu peux être furieux, ça n’invente pas l’efficacité. ([Death Penalty Information Center][2])
3. **Coût : la PDM coûte souvent plus cher**
Contrairement à l’intuition (“on économise parce qu’on n’a plus à incarcérer”), les procédures capitales (procès, appels, expertise) rendent chaque dossier **beaucoup plus coûteux** qu’un dossier visant la détention à perpétuité. Plusieurs rapports démontrent que la peine de mort revient plus cher que la prison à vie. Si l’objectif est «faire des économies», la PDM ne tient pas la route. ([Office of Justice Programs][3])
4. **Erreur judiciaire : le risque est irréversible**
Des exécutions ont visé des innocents là où la peine de mort existe. Une fois commise, l’erreur ne se corrige pas. Les systèmes judiciaires sont humains et faillibles ; la gravité de l’irréversibilité est un argument factuel, pas moral seulement. ([Death Penalty Information Center][4])
5. **«Limiter la PDM à des cas précis» n’empêche pas la dérive**
L’histoire montre que des exceptions finissent par s’élargir, que des critères «stricts» sont interprétés ou contournés. De plus, définir ces critères ouvre un espace politique et judiciaire qui se prête aux pressions, erreurs et abus — exactement le mécanisme que tu dis vouloir éviter.
6. **Alternative efficace et contrôlable : la perpétuité réelle**
Si ton but est d’empêcher à tout prix la récidive et de protéger la société, la solution réaliste et sûre est la **détention à perpétuité réelle sans remise de peine**, avec sûreté maximale. Elle garantit la sécurité publique sans le coût politique, financier et moral d’une exécution. (Cela existe déjà dans les États et systèmes qui l’appliquent.) ([Office of Justice Programs][5])
Conclusion, froide et nette : la peine de mort ne résout pas les problèmes que tu as énoncés (empêcher les récidives, économiser, calmer la société). Elle crée des risques nouveaux (erreurs irréversibles, coûts judiciaires élevés, dérives politiques) et repose souvent sur des scénarios contre-factuels (comme «si on l’avait tué avant…»). Si l’objectif est la sécurité et la prévention, la voie raisonnable reste la perpétuité réelle stricte, un renforcement des enquêtes préventives et des politiques sociales pour réduire la génèse du crime. ([Death Penalty Information Center][2])
[1]:
[2]:
[3]:
[4]:
[5]:
Il y a une étude qui montrait que ce qui dissuade les criminels c'est pas le fait de savoir qu'ils risque la mort, mais plutôt le fait d'être sûr de se faire arrêter (mais j'arrive pas à la retrouver). Cela dit la pdm permet d'éviter les cas de récidives. Selon des statistiques de l'insee, en 2019, 7% des condamnés pour homicides et 5 % des condamnés pour viols sont récidivistes.
https://www.insee.fr/fr/s[...]s,pour%20viol%20(5%20%25).
On peut aussi mentionner l'exemple de Michel Fourniret, tueur en série condamné à de multiple reprises. Ou des tueurs/violeurs/teros qui ont un risque élevé de recidive, Marc dutroux, Salah Abdeslam... pour les plus connus.
Certains profils sont dangereux et devraient être neutralisés. T'as plus de risque qu'il soient remis en liberté et recomencent leurs crimes que de te tromper lors de la condamnation.
Puis il y a des cas où le fait de maintenir un criminelle en vie dans des conditions humaines peut couter bien plus cher que d'y mettre fin.
Par exemple le cas de Anders Breivik coute 11000000 de dollars à l'État norvégien. Et un coût du maintien de Breivik à cet endroit à 7 à 10 millions de couronnes par an (1,2 à 1,7 million de dollars). Hors techniquement il est reconnu coupable. Y a aucune raison de le maintenir en vie à part des considérations "humanistes".
L'argument que la peine de mort est plus chère que la perpétuité, cet argument il est basé sur des études américaines, basées sur le système carceral américain où le délai moyen entre la condamnation à mort et l'exécution est d'environ 20 ans. Les coûts incluent le coût de l'incarceration.
Puis si on y réfléchit bien n'est-ce pas plutôt que la justice américaine est trop lente car saturée ?
Sources :
https://www.newsinenglish[...]ks-attacks-cost-billions/
https://www.cbsnews.com/n[...]tions-for-anders-breivik/
Puis bon garder un violeur, un tueur, un pédophile en vie, c'est garder un monstre qui sera nourri et logé au frais du contribuable. Ça veut dire payer des impôts pour nourrir un violeur. C'est qui est encore pire dans un sens.
Une simple question. Pour un terroriste qui a assassiné un certain nombre de personnes Vaut-il mieux le flinguer sur le champ ? Ou lui payer la prison, les sorties, la nourriture, les soins et la télé pendant le restant de ses jours ?
C'est juste moralement inacceptable.
On peut aussi mentionner l'exemple de Michel Fourniret, tueur en série condamné à de multiple reprises. Ou des tueurs/violeurs/teros qui ont un risque élevé de recidive, Marc dutroux, Salah Abdeslam... pour les plus connus.
Certains profils sont dangereux et devraient être neutralisés. T'as plus de risque qu'il soient remis en liberté et recomencent leurs crimes que de te tromper lors de la condamnation.
Puis il y a des cas où le fait de maintenir un criminelle en vie dans des conditions humaines peut couter bien plus cher que d'y mettre fin.
Par exemple le cas de Anders Breivik coute 11000000 de dollars à l'État norvégien. Et un coût du maintien de Breivik à cet endroit à 7 à 10 millions de couronnes par an (1,2 à 1,7 million de dollars). Hors techniquement il est reconnu coupable. Y a aucune raison de le maintenir en vie à part des considérations "humanistes".
L'argument que la peine de mort est plus chère que la perpétuité, cet argument il est basé sur des études américaines, basées sur le système carceral américain où le délai moyen entre la condamnation à mort et l'exécution est d'environ 20 ans. Les coûts incluent le coût de l'incarceration.
Puis si on y réfléchit bien n'est-ce pas plutôt que la justice américaine est trop lente car saturée ?
Sources :
Puis bon garder un violeur, un tueur, un pédophile en vie, c'est garder un monstre qui sera nourri et logé au frais du contribuable. Ça veut dire payer des impôts pour nourrir un violeur. C'est qui est encore pire dans un sens.
Une simple question. Pour un terroriste qui a assassiné un certain nombre de personnes Vaut-il mieux le flinguer sur le champ ? Ou lui payer la prison, les sorties, la nourriture, les soins et la télé pendant le restant de ses jours ?
C'est juste moralement inacceptable.
il y a 2 jours
Source ?
Toujours pas favorable à la peine de mort pour son cas , la crasse ?
il y a 2 jours
Xenopaz
3j
"La peine de mort peut mener à des erreurs judiciaires donc il faut l'interdire absolument, même les pire criminelles méritent de la dignité..."
"Y’a déjà eu assez de victimes
"
il y a 2 jours
Toujours pas favorable à la peine de mort pour son cas , la crasse ?
Chiale le cuck.
il y a 2 jours

































