Ce sujet a été résolu
C'est ce que DABIAH B. A dit au tribunal.
Chaud.
https://www.midilibre.fr/[...]see-dahbia-b-13009796.php
Chaud.
Badge golem remis par Volute car j'ai osé médiatisé sur le forum l'affaire des iPhones 17 rayés
il y a 2 jours
TF6
2j
C'est ce que DABIAH B. A dit au tribunal.
Chaud.
https://www.midilibre.fr/[...]see-dahbia-b-13009796.php
Chaud.
Source ?
il y a 2 jours
Source ?
Le parisien
Je vais pas mentir sur ça
Je vais pas mentir sur ça
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il y a 2 jours
logique implacable
Je trouve ça complètement con
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il y a 2 jours
quand on a 83 de Qi, ca se tient comme raisonnement.
C'est horrible n'empêche d'être enfermé avec une psychopathe+ zéro issue
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il y a 2 jours
"La peine de mort peut mener à des erreurs judiciaires donc il faut l'interdire absolument, même les pire criminelles méritent de la dignité..."
il y a 2 jours
C'est horrible n'empêche d'être enfermé avec une psychopathe+ zéro issue
c'est ma situation actuelle
il y a 2 jours
On peut remercier cet enculé de Badinter de permettre à de tels monstres de respirer le même air que nous aujourd'hui


il y a 2 jours
Xenopaz
2j
"La peine de mort peut mener à des erreurs judiciaires donc il faut l'interdire absolument, même les pire criminelles méritent de la dignité..."
La réponse de Chat sur la question
Ce que tu dis touche à un vieux débat moral et politique : la **justice comme vengeance** contre la **justice comme principe de civilisation**.
Tu as raison sur un point concret : une horreur comme l’affaire Lola provoque une rage instinctive. Et cette rage, elle est légitime. Ce genre d’acte pulvérise l’idée même d’humanité, alors forcément, la population veut une réponse à la hauteur.
Mais si on raisonne à froid, la **peine de mort** ne remplit pas la promesse qu’on lui prête. Les chiffres à travers le monde sont clairs : elle **ne dissuade pas les crimes**. Les États qui l’appliquent encore (États-Unis, Chine, Iran, Arabie saoudite, etc.) n’ont pas moins de meurtres ; parfois, ils en ont davantage.
Pourquoi ? Parce que la majorité des crimes graves ne sont pas commis par calcul, mais par pulsion, délire, folie ou désespoir. On ne réfléchit pas à la sanction quand on perd tout contrôle.
Et surtout, l’histoire montre que **le pouvoir de tuer au nom de la loi** finit toujours par être utilisé au-delà de son intention première.
On commence avec “les monstres”, puis on élargit : les “traîtres”, les “indésirables”, les “ennemis politiques”. C’est un glissement automatique.
Une civilisation se distingue précisément parce qu’elle **refuse de tuer**, même quand c’est plus simple. C’est ce refus-là qui fait d’un peuple une société, pas une meute.
Ce qui est nécessaire, ce n’est pas la mort du criminel — c’est **la certitude absolue qu’il ne pourra plus nuire**. Et ça, une perpétuité réelle, sans remise de peine, peut le garantir.
La vraie question n’est donc pas “faut-il tuer les monstres ?”, mais : **“comment faire en sorte qu’ils ne détruisent plus jamais d’autres vies — sans nous transformer nous-mêmes en monstres d’État ?”**
Ce que tu dis touche à un vieux débat moral et politique : la **justice comme vengeance** contre la **justice comme principe de civilisation**.
Tu as raison sur un point concret : une horreur comme l’affaire Lola provoque une rage instinctive. Et cette rage, elle est légitime. Ce genre d’acte pulvérise l’idée même d’humanité, alors forcément, la population veut une réponse à la hauteur.
Mais si on raisonne à froid, la **peine de mort** ne remplit pas la promesse qu’on lui prête. Les chiffres à travers le monde sont clairs : elle **ne dissuade pas les crimes**. Les États qui l’appliquent encore (États-Unis, Chine, Iran, Arabie saoudite, etc.) n’ont pas moins de meurtres ; parfois, ils en ont davantage.
Pourquoi ? Parce que la majorité des crimes graves ne sont pas commis par calcul, mais par pulsion, délire, folie ou désespoir. On ne réfléchit pas à la sanction quand on perd tout contrôle.
Et surtout, l’histoire montre que **le pouvoir de tuer au nom de la loi** finit toujours par être utilisé au-delà de son intention première.
On commence avec “les monstres”, puis on élargit : les “traîtres”, les “indésirables”, les “ennemis politiques”. C’est un glissement automatique.
Une civilisation se distingue précisément parce qu’elle **refuse de tuer**, même quand c’est plus simple. C’est ce refus-là qui fait d’un peuple une société, pas une meute.
Ce qui est nécessaire, ce n’est pas la mort du criminel — c’est **la certitude absolue qu’il ne pourra plus nuire**. Et ça, une perpétuité réelle, sans remise de peine, peut le garantir.
La vraie question n’est donc pas “faut-il tuer les monstres ?”, mais : **“comment faire en sorte qu’ils ne détruisent plus jamais d’autres vies — sans nous transformer nous-mêmes en monstres d’État ?”**
il y a 2 jours
c'est ma situation actuelle
Explication
Badge golem remis par Volute car j'ai osé médiatisé sur le forum l'affaire des iPhones 17 rayés
il y a 2 jours
Peut etre que dans quelques années on aura le droit à une interview de dabiah dans sept à huit
et peut etre même que pour son 3 ème mandat Macron va la gracier
et peut etre même que pour son 3 ème mandat Macron va la gracier
il y a 2 jours
Le parisien
Je vais pas mentir sur ça
Je vais pas mentir sur ça
C'est trop compliqué de poster un lien ?
il y a 2 jours
Peut etre que dans quelques années on aura le droit à une interview de dabiah dans sept à huit
et peut etre même que pour son 3 ème mandat Macron va la gracier
et peut etre même que pour son 3 ème mandat Macron va la gracier
Tpmp *
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il y a 2 jours
La réponse de Chat sur la question
Ce que tu dis touche à un vieux débat moral et politique : la **justice comme vengeance** contre la **justice comme principe de civilisation**.
Tu as raison sur un point concret : une horreur comme l’affaire Lola provoque une rage instinctive. Et cette rage, elle est légitime. Ce genre d’acte pulvérise l’idée même d’humanité, alors forcément, la population veut une réponse à la hauteur.
Mais si on raisonne à froid, la **peine de mort** ne remplit pas la promesse qu’on lui prête. Les chiffres à travers le monde sont clairs : elle **ne dissuade pas les crimes**. Les États qui l’appliquent encore (États-Unis, Chine, Iran, Arabie saoudite, etc.) n’ont pas moins de meurtres ; parfois, ils en ont davantage.
Pourquoi ? Parce que la majorité des crimes graves ne sont pas commis par calcul, mais par pulsion, délire, folie ou désespoir. On ne réfléchit pas à la sanction quand on perd tout contrôle.
Et surtout, l’histoire montre que **le pouvoir de tuer au nom de la loi** finit toujours par être utilisé au-delà de son intention première.
On commence avec “les monstres”, puis on élargit : les “traîtres”, les “indésirables”, les “ennemis politiques”. C’est un glissement automatique.
Une civilisation se distingue précisément parce qu’elle **refuse de tuer**, même quand c’est plus simple. C’est ce refus-là qui fait d’un peuple une société, pas une meute.
Ce qui est nécessaire, ce n’est pas la mort du criminel — c’est **la certitude absolue qu’il ne pourra plus nuire**. Et ça, une perpétuité réelle, sans remise de peine, peut le garantir.
La vraie question n’est donc pas “faut-il tuer les monstres ?”, mais : **“comment faire en sorte qu’ils ne détruisent plus jamais d’autres vies — sans nous transformer nous-mêmes en monstres d’État ?”**
Ce que tu dis touche à un vieux débat moral et politique : la **justice comme vengeance** contre la **justice comme principe de civilisation**.
Tu as raison sur un point concret : une horreur comme l’affaire Lola provoque une rage instinctive. Et cette rage, elle est légitime. Ce genre d’acte pulvérise l’idée même d’humanité, alors forcément, la population veut une réponse à la hauteur.
Mais si on raisonne à froid, la **peine de mort** ne remplit pas la promesse qu’on lui prête. Les chiffres à travers le monde sont clairs : elle **ne dissuade pas les crimes**. Les États qui l’appliquent encore (États-Unis, Chine, Iran, Arabie saoudite, etc.) n’ont pas moins de meurtres ; parfois, ils en ont davantage.
Pourquoi ? Parce que la majorité des crimes graves ne sont pas commis par calcul, mais par pulsion, délire, folie ou désespoir. On ne réfléchit pas à la sanction quand on perd tout contrôle.
Et surtout, l’histoire montre que **le pouvoir de tuer au nom de la loi** finit toujours par être utilisé au-delà de son intention première.
On commence avec “les monstres”, puis on élargit : les “traîtres”, les “indésirables”, les “ennemis politiques”. C’est un glissement automatique.
Une civilisation se distingue précisément parce qu’elle **refuse de tuer**, même quand c’est plus simple. C’est ce refus-là qui fait d’un peuple une société, pas une meute.
Ce qui est nécessaire, ce n’est pas la mort du criminel — c’est **la certitude absolue qu’il ne pourra plus nuire**. Et ça, une perpétuité réelle, sans remise de peine, peut le garantir.
La vraie question n’est donc pas “faut-il tuer les monstres ?”, mais : **“comment faire en sorte qu’ils ne détruisent plus jamais d’autres vies — sans nous transformer nous-mêmes en monstres d’État ?”**
Il a pas tort, l’enfermer avec un repas par jour et 10 minutes montre en mains de soleil par jour lui fera regretter son acte.
Sans oublier les travaux manuels.
Sans oublier les travaux manuels.
il y a 2 jours
Viol, torture, meurtre sur une pauvre gamine innocente. Franchement je suis ravi de contribuer financièrement à sa détention bien au chaud avec trois repas par jours pendant 30 ans
1 badge péjoratif = 1 modo brisé
il y a 2 jours























