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tu te bases sur le dieu abrahamique , je sais c est très difficile de s extirper de cette croyance puisqu on nous a appris depuis l enfance ce fait essaye de voir plus loin et tu vas devenir comme Icare
Le fameux Dieu abrahamique. Allez, parle-moi d'un autre Dieu. Qu'on rigole. Il n'y a qu'un Dieu. Peu importe la référence théorique sur la question.
Pianiste fou
il y a 8 jours
Un enfant oui mais un adulte non, le problème c'est aussi les mensonges qu'on nous à toujours fait croire
:Frieren_angry:
C'est ta responsabilité de manger de bons aliments. Tant physiques que spirituelles. Même un enfant sait ça et n'hésite pas à recracher ce qu'il sait mauvais pour lui.
Pianiste fou
il y a 8 jours
Le fameux Dieu abrahamique. Allez, parle-moi d'un autre Dieu. Qu'on rigole. Il n'y a qu'un Dieu. Peu importe la référence théorique sur la question.
tu prends la mouche ca veut dire que tes croyances sont remises en causes
Il y a deux façons de se tromper : L'une est de croire ce qui n'est pas, L'autre de refuser de croire ce qui est
il y a 8 jours
C'est ta responsabilité de manger de bons aliments. Tant physiques que spirituelles. Même un enfant sait ça et n'hésite pas à recracher ce qu'il sait mauvais pour lui.
Va dire ça à un affamé
:Frieren_cute:
il y a 8 jours
Ce n'est qu'un résultat d'une technologie avancée
:KJ_AAH:


Louis XV le simplet nonobstant, tu choisis mal tes idoles. Sans parler que la première guerre pouvant être qualifiée de mondiale est la guerre de sept ans, sous Louis XV
:KJ_AAH:


Le génocide des boers, ça m'étonnerait que les types soient athées
:KJ_AAH:


Sans oublier la reconquista en Espagne, quasi un nettoyage ethnique plus que religieux
:KJ_AAH:


Et c'est marrant de citer Louis XV quand avant il y avait Louis XIV et ses guerres à répétition et Louis XIII qui démontait du protestant
:KJ_AAH:


On peut parler des guerres de religions aussi, tantôt les massscres en France ou bien la guerre de 30 ans, qui a vu la mort de millions d'européens et un tiers des allemands
:KJ_AAH:
:d)
Non ce n'est pas le résultat d'une technologie avancée. Je te parle pas des moyens. Je te parle de la volonté d'exterminer toute une population.
:d)
Je n'ai jamais dit qu'il n'y avait pas de guerre à l'époque. Les guerres de religions sont avant tout des guerres politiques. Y'a rien de religieux dedans. D'ailleurs la religion chrétienne enseigne tout le contraire..
:d)
Les génocides, cette volonté d'exterminer à tout prix tout une population, apparaissent très tardivement dans l'histoire.
:d)
Louis XV n'est pas mon idole. Aussi imparfait qu'il était, je l'ai cité pour le respect de l'ennemi qu'il enseigne à son fils, le futur Louis XVI. Aimer son ennemi est une idée complétement contre-nature et profondément chrétienne. Donc oui quand on pense comme ça, ça a un impact sur la conception et la manière de faire la guerre.
:stop_lgbt:
il y a 8 jours
tu prends la mouche ca veut dire que tes croyances sont remises en causes
Tu es rigolo toi, petit ad personam quand on te poses une vraie question pour t'extirper. Lâche et hypocrite
Pianiste fou
il y a 8 jours
Va dire ça à un affamé
:Frieren_cute:
L'eau de vie est gratuite, il suffit de demander à l'accueil
:Kona_hs:
Pianiste fou
il y a 8 jours
:d)
Non ce n'est pas le résultat d'une technologie avancée. Je te parle pas des moyens. Je te parle de la volonté d'exterminer toute une population.
:d)
Je n'ai jamais dit qu'il n'y avait pas de guerre à l'époque. Les guerres de religions sont avant tout des guerres politiques. Y'a rien de religieux dedans. D'ailleurs la religion chrétienne enseigne tout le contraire..
:d)
Les génocides, cette volonté d'exterminer à tout prix tout une population, apparaissent très tardivement dans l'histoire.
:d)
Louis XV n'est pas mon idole. Aussi imparfait qu'il était, je l'ai cité pour le respect de l'ennemi qu'il enseigne à son fils, le futur Louis XVI. Aimer son ennemi est une idée complétement contre-nature et profondément chrétienne. Donc oui quand on pense comme ça, ça a un impact sur la conception et la manière de faire la guerre.
La volonté d'exterminer ça se discute, les grands méchants disney ça n'existe pas hein
:KJ_AAH:


Je dis pas que les guerres de religion sont religieuses ou politiques, je dis bien que ça existait alors que l'europe était chrétienne. DONC même sous une europe chrétienne, des guerres terribles résultant de la mort de millions d'européens existaient déjà
:KJ_AAH:


Mais je vois qu'on avance parce que tu laisse sous entendre que tu es d'accord sur quelques points, c'est agréable un débat qui n'est pas sourd
:KJ_AAH:
:israeldrapeau:
il y a 8 jours
Tu es rigolo toi, petit ad personam quand on te poses une vraie question pour t'extirper. Lâche et hypocrite
aucun argument , ca fait mal hein la remise en question , la vraie pensée vis a vis de dieu
:Kratonche:
Il y a deux façons de se tromper : L'une est de croire ce qui n'est pas, L'autre de refuser de croire ce qui est
il y a 8 jours
aucun argument , ca fait mal hein la remise en question , la vraie pensée vis a vis de dieu
:Kratonche:
J'ai l'impression que tu te parles à toi-même parce que celui qui n'a pas parlé de Dieu, qui n'a donné aucun argument et qui cherche à diviser en invoquant son nom, c'est bien toi.

Celui qui se fait remettre en question son Dieu, c'est toi. Car ce n'est pas le Dieu de Vérité, mais "un des dieux" ce qui fait que tu es incapable d'être en communion. De plus tu as avais trop peu d'informations pour me qualifier mon Dieu d'abrahamique.

Ça devient assez facile à cerner les gens comme toi avec l'expérience. Très aveugles sur eux-mêmes et par conséquent très hypocrites.
Pianiste fou
il y a 8 jours
J'ai l'impression que tu te parles à toi-même parce que celui qui n'a pas parlé de Dieu, qui n'a donné aucun argument et qui cherche à diviser en invoquant son nom, c'est bien toi.

Celui qui se fait remettre en question son Dieu, c'est toi. Car ce n'est pas le Dieu de Vérité, mais "un des dieux" ce qui fait que tu es incapable d'être en communion. De plus tu as avais trop peu d'informations pour me qualifier mon Dieu d'abrahamique.

Ça devient assez facile à cerner les gens comme toi avec l'expérience. Très aveugles sur eux-mêmes et par conséquent très hypocrites.
t es mon metier toi cherie
:bradhopital:
mais j ai pas le droit de t arnaquer
Il y a deux façons de se tromper : L'une est de croire ce qui n'est pas, L'autre de refuser de croire ce qui est
il y a 8 jours
t es mon metier toi cherie
:bradhopital:
mais j ai pas le droit de t arnaquer
Allez, parles-nous de Dieu toi qui dit s'y bien t'y connaître
:manami:
Pianiste fou
il y a 8 jours
L'eau de vie est gratuite, il suffit de demander à l'accueil
:Kona_hs:
Ta métaphore est bien poétique seulement je ne suis pas sûr que cela colle à la réalité
:Frieren_cute:
il y a 8 jours
Allez, parles-nous de Dieu toi qui dit s'y bien t'y connaître
:manami:
je ai deja fait un post sur le neantisme , ca ete lu non
:deg:
Il y a deux façons de se tromper : L'une est de croire ce qui n'est pas, L'autre de refuser de croire ce qui est
il y a 8 jours
je ai deja fait un post sur le neantisme , ca ete lu non
:deg:
Ah parce que tu as la flemme de parler de Dieu ? Une fois c'était suffisant pour toute ta vie ?
:Rent_rapport:


Je comprends mieux, heureusement tu peux relire l'intitulé de mon topic
:Sylphynford_fun:
Pianiste fou
il y a 8 jours
La volonté d'exterminer ça se discute, les grands méchants disney ça n'existe pas hein
:KJ_AAH:


Je dis pas que les guerres de religion sont religieuses ou politiques, je dis bien que ça existait alors que l'europe était chrétienne. DONC même sous une europe chrétienne, des guerres terribles résultant de la mort de millions d'européens existaient déjà
:KJ_AAH:


Mais je vois qu'on avance parce que tu laisse sous entendre que tu es d'accord sur quelques points, c'est agréable un débat qui n'est pas sourd
:KJ_AAH:
Je n'ai jamais dit qu'une France chrétienne = une France sans guerre. La guerre n'est pas de l'ordre de la religion mais de la politique. En revanche la CONCEPTION de la guerre était très différente. Je m'explique, restons sur le cas de la France.

:d)
Sous l'Ancien Regime, la guerre était faite par des officiers majoritairement issus de la noblesse, partageant un code d'honneur commun. L'honneur du régiment, du général et du roi était primordial. L'objectif principal n'était pas l'anéantissement total de l'adversaire, mais la prise de territoires ou de places fortes pour obtenir un avantage lors des négociations de paix. Il existait des règles tacites de politesse et de respect entre les officiers ennemis. La population civile était moins systématiquement ciblée par l'armée "régulière" (bien que les pillages par des troupes non disciplinées aient toujours existé).

:d)
A partir de 1789:
La Révolution française a transformé la nature de la guerre, la faisant passer d'un conflit entre monarchies à une guerre nationale et idéologique. L'objectif est passé de la manœuvre limitée à la destruction de l'armée ennemie (l'annihilation, le déshonneur de l'ennemi) pour défendre la Patrie et les idéaux de la Révolution.

Tu vois, cette fracture idéologique marque un changement radical dans la conception et la manière de faire la guerre. C'est intrinsèquement liée à la religion, même si de fait, ça reste politique.
:d)
Ancien Régime = royaume de France catholique,
:d)
République = anti-religion, athée
:stop_lgbt:
il y a 8 jours
Ta métaphore est bien poétique seulement je ne suis pas sûr que cela colle à la réalité
:Frieren_cute:
Oh que si
:Kona_hs:


Quand tu demandes de l'eau à quelqu'un, tu lui dis pas "Wesh gros aboule la flotte ou j'te marrave". Tu lui dis "Bonjour, est-ce que vous auriez un peu d'eau s'il vous plaît ? J'ai grand soif !"
:Nomnom:


Oh oui, la pureté de l'intention change tout. Notre rapport au monde change tout. L'humilité change tout.
Pianiste fou
il y a 8 jours
Oh que si
:Kona_hs:


Quand tu demandes de l'eau à quelqu'un, tu lui dis pas "Wesh gros aboule la flotte ou j'te marrave". Tu lui dis "Bonjour, est-ce que vous auriez un peu d'eau s'il vous plaît ? J'ai grand soif !"
:Nomnom:


Oh oui, la pureté de l'intention change tout. Notre rapport au monde change tout. L'humilité change tout.
Je ne dit pas le contraire seulement il est plus dure de trouver de l'eau en plein milieu de l'Australie par rapport au plein milieu de la Suisse
:Frieren_cute:
il y a 8 jours
Je ne dit pas le contraire seulement il est plus dure de trouver de l'eau en plein milieu de l'Australie par rapport au plein milieu de la Suisse
:Frieren_cute:
C'est ton problème ça
:Sylphynford_fun:


Les gens qui veulent qu'on leur mâche tout le boulot, à un moment faut assumer son incarnation et prendre ses responsabilités, diantre ! Quand on est plus un enfant, on est plus un enfant
:Sylphynford_fun:
Pianiste fou
il y a 8 jours
Supposons que j’aie « toujours », en cas de besoin, un parapluie sur la banquette arrière
de ma voiture, et demandons-nous, en nous rendant attentif au « naturel » (imperceptible) de
notre langue, comment il conviendrait, selon son mode d’être, de nommer cet étant. Pour cela,
on commencera évidemment par préciser descriptivement l’hypothèse : d’abord, comme
beaucoup d’hommes d’aujourd’hui, je me sers plus souvent de ma voiture que de mes
jambes : ce parapluie, cet outil est en tant que tel assez archaïque, il est presque un
« souvenir » du temps où l’on « se promenait » de manière familiale, hygiénique ou
« rêveuse », en un mot vraiment quotidienne ; ensuite, sous nos latitudes, il pleut assez
rarement, et pas longtemps : nouvelle cause de « raréfaction » de l’outil en question, qui,
pourtant, ne laisse pas de demeurer familier (certains commerces, « en crise », le vendent, et
même ne vendent que lui) ; enfin, cet outil résiduel a en même temps ceci de propre — et doit
sa survie au fait — qu’il s’inscrit dans un « complexe » dont font également partie le ciel et la
terre : du coup, sa « mondialité » (Weltmässigkeit) est privilégiée, et ceci à tel point que,
marquant le « temps » (la saison) il contribue indirectement à la constitution de
l’intratemporalité, etc., etc.
On pourrait disserter longuement sur un parapluie. Tel n’est pas notre propos, mais,
encore une fois, d’en nommer le mode d’être : Vorhandenheit ou Zuhandenheit ? Ou, pour
préciser la question : à qui me presserait de « choisir », et de lui dire si ce parapluie d’usage
intermittent m’est « sous la main » ou « à portée de la main », que répondrai-je en « bon
français » ?
Eh bien, je lui dirai que je l’ai « toujours » sous la main, plutôt qu’à portée de la main.
C’est ainsi, et pas autrement, que j’exprimerai comme il faut l’être d’un « outil » qui, le plus
souvent, n’a pas son sens propre d’outil, mais « traîne » derrière moi à la façon d’un « objet »
(au sens courant) ou d’un « ustensile ». Mais, parlant ainsi, je ne le réduirai pas pour autant à
l’inertie absolue de la pierre du chemin, ou de la « chose » telle qu’objectivée par la science
physique ; non — je me bornerai à le distinguer adéquatement de cette outilité pleine dont il
est par ailleurs « en puissance » pour peu que tombe une seule goutte d’eau ; car que je doive
sortir de la voiture et que cette goutte d’eau me chatouille le nez, et voici soudain qu’il
« devient », de sous-la-main qu’il était, un étant à portée de ma main. Oui, à portée de la main
comme est, par exemple, la truelle à portée de la main du maçon au travail. Du maçon qui, si
on lui posait à propos de cette truelle notre « question-test », ne répondrait pas, je crois, quant
à lui, qu’il a « toujours sa truelle sous la main », mais bel et bien qu’il l’a « toujours à portée
de la main »... Car cette truelle, il n’en « dispose » pas « en cas de besoin », mais il en use au
sein de ce que Heidegger appelle un Umgang, un « commerce » avec l’outil. Est-ce « clair » ?
J’ai la faiblesse de le croire, sans pour autant avoir jamais affirmé que ce discernement allait
de soi, qu’il était aveuglant ou indispensable — sans jamais avoir été « péremptoire » ni
m’être mêlé de légiférer. J’avais cru bien faire en faisant profiter la traduction de Heidegger
des efforts fructueux de François Fédier, un point, c’est tout.
Cela dit, cet humble début d’« analyse » ne prétend pas non plus « commenter »
Heidegger, ni régler un problème qui, je le répète, doit aujourd’hui comme hier être tenu
ouvert. Pour ce qui est du sens proprement phénoménologique et historial de la
Vorhandenheit et de la Zuhandenheit, qu’on lise Sein und Zeit, et, à l’occasion, qu’on le cite
davantage que ne fait J.-F. Courtine. Mais nos traductions — de cela, nous sommes sûr et
certain — n’empêcheront pas une telle lecture, et c’est ce qui nous tenait à cœur. Pas plus
qu’elles n’empêcheront, au contraire, le lecteur de se demander par exemple pourquoi et
comment l’être-sous-la-main demeure en effet profondément « référé » à l’usage ; de peser la
différence qui le sépare de la thématisation et de l’objectivation scientifico-théoriques
proprement dites ; de méditer le mot de virage (Umschlag) qu’a choisi Heidegger avec le plus
grand soin pour désigner la métamorphose de l’être-à-portée-de-la-main en être-sous-lamain ; de s’émerveiller de la « nuance » et de la contiguïté — en un mot de l’affinité des deux
12
notions ; et enfin, pourquoi pas, d’essayer d’aller « plus loin » que Heidegger, en
s’interrogeant, par exemple, sur cet étrange « a-visement » qui se produit lorsque, surprenant
pour ainsi dire le sous-la-main « entre » outilité et choséité pure, je le « considère »…
c) Après ces diverses remarques, on ne s’étonnera pas que la dernière que nous avons à
faire soit pour conjecturer que l’origine de toutes ces complications, chicanes et timidités se
trouve dans une inexpérience d’Être et Temps dont notre protagoniste, assurément, n’a point
le monopole. Pas plus que je ne m’arroge moi-même, dois-je le dire, une expérience
privilégiée de cette œuvre. Simplement, j’ai tenté depuis des années d’y trouver accès, j’ai
ouvert un chemin vers elle parmi d’autres possibles, j’ai dit dans quelques textes
18 quel était
ce chemin, j’ai essayé d’« assumer » mon interprétation — et j’ai traduit voilà tout. Pour le
reste, la polémique, quelle qu’elle soit, ne me tente plus ; j’attends le polémos.
Quelle est maintenant la signification historique, au-delà du cas peu intéressant de son
« auteur », de ce travail de traduction ? Le lecteur, au seul vu du retard extravagant avec
lequel arrive Être et Temps sur sa table de travail, se doute qu’il y aurait « beaucoup à dire »
sur ce que nous avions appelé il y a quelques années un « mystère d’incurie ». Nous n’en
dirons rien cependant, parce que ce « beaucoup », lui aussi, ne présente que peu d’intérêt, et
même aucun. Universelle, la philosophie a été confisquée ; livre du siècle, Être et Temps est
resté sous le boisseau. Pourquoi ? Comment ? Quoique nous le sachions un peu, nous ne
voulons plus le savoir. Que la porte claque, qu’une page soit tournée, voilà ce qui seulement
est important. Important ? Que dis-je ! C’est, disait Heidegger, il y a presque exactement un
demi-siècle, à son premier traducteur Henry Corbin, une « bénédiction ». Comme est en soi
une bénédiction ce témoignage de l’auteur lui-même qui, mieux que nous ne saurions faire,
conclura, et cet avant-propos, et, je l’espère, toute une « préhistoire » de la véritable
confrontation de la France avec son présent, avec elle-même :
« Par la traduction, le travail de la pensée se trouve transposé dans l’esprit d’une
autre langue, et subit ainsi une transformation inévitable. Mais cette
transformation peut devenir féconde, car elle fait apparaître en une lumière
nouvelle la position fondamentale de la question ; elle fournit ainsi l’occasion de
devenir soi-même plus clairvoyant et d’en discerner plus nettement les limites.
C’est pourquoi une traduction ne consiste pas simplement à faciliter la
communication avec le monde d’une autre langue, mais elle est en soi un
défrichement de la question posée en commun. Elle sert à la compréhension
réciproque en un sens supérieur. Et chaque pas dans cette voie est une bénédiction
pour les peuples »
19
. heidegger
Il y a deux façons de se tromper : L'une est de croire ce qui n'est pas, L'autre de refuser de croire ce qui est
il y a 8 jours