41 ème page de "aventure de 3 russes et de 3 anglais dans l' Afrique australe "

« Hurrah ! s’écria Joe pendant que le Victoria, grâce à sa puissance ascensionnelle, montait avec une grande rapidité.

— Il se tient bien, dit Kennedy ; un petit voyage ne lui fera pas de mal.

— Est-ce que nous allons lâcher ce nègre tout d’un coup ? demanda Joe.

— Fi donc ! répliqua le docteur ! nous le replacerons tranquillement à terre, et je crois qu’après une telle aventure, son pouvoir de magicien s’accroîtra singulièrement dans l’esprit de ses contemporains.


Le docteur based qui réémigre les allogènes

C'est qu'elle œuvre ?

Ca me termine toujours les livres du 19ème, l'écrivain est un gars incroyablement intelligent, incroyablement nuancé dans sa narration, capable de personnages qui traversent le temps, le propos est humaniste dans la méta narration, ...

mais d'un coup, tu sais pas pourquoi et sans prévenir, tu tombes sur une description physique qui SUINTE de physiognomonie avec une pointe de racisme historique, vraiment un racisme si poussé, si scientifique, si délicieusement victorien, qu'en le lisant juste un siècle et demi plus tard on ne sait même pas vraiment ce qu'il veut dire.

Des délires à la "son nez, à l'image de ceux des hongrois qui vivent dans les montagnes perdues de la Transylvanie, laissait deviner son charactère susceptible" et toi t'es là en mode "hein ? C'est quoi le rapport ? C'est quoi un pif de hongrois ? C'est péjoratif j'ai bien compris mais pourquoi ?"

Vraiment on peut critiquer la sociologie, en se demander à quoi ça sert, mais en regardant juste un peu dans le passé, tu vois bien la matrice de pensée dans laquelle les gens ont évolués et ne pensaient même pas périssable, alors qu'aujourd'hui elle est si désuette qu'elle n'est pas juste répugnée mais carrément oubliée, même les racistes d'aujourd'hui n'iraient pas mesurer des crânes pour justifier que les noirs ont physionomiquement un mauvais caractère.

Cinq semaines en ballon une pépite, c'est full comparaison des nègres avec des singes/barbares

J'avais oublié ce détail de l'histoire
Tellement mieux que vingt Milles lieu sous les mers

Quelques nègres s’étant avancés dans une barque au-dessous du ballon, Kennedy les salua d’un coup de fusil qui, sans les atteindre, les obligea à regagner la rive au plus vite.

« Bon voyage ! leur souhaita Joe ; à leur place, je ne me hasarderai pas à revenir ! j’aurais singulièrement peur d’un monstre qui lance la foudre à volonté. »

Mais voici que le docteur Fergusson saisit soudain sa lunette et la braqua vers une île couchée au milieu du fleuve.

« Quatre arbres ! s’écria-t-il ; voyez, là-bas ! »

En effet, quatre arbres isolés s’élevaient à son extrémité.

« C’est l’île de Benga ! c’est bien elle ! ajouta-t-il.

— Eh bien, après ? demanda Dick.

— C’est là que nous descendrons, s’il plaît à Dieu !

— Mais elle paraît habitée, monsieur Samuel !

— Joe a raison ; si je ne me trompe, voilà un rassemblement d’une vingtaine d’indigènes.

— Nous les mettrons en fuite ; cela ne sera pas difficile, répondit Fergusson.

— Va comme il est dit », répliqua le chasseur.

Le soleil était au zénith. Le Victoria se rapprocha de l’île.

Les nègres, appartenant à la tribu de Makado, poussèrent des cris énergiques. L’un d’eux agitait en l’air son chapeau d’écorce. Kennedy le prit pour point de mire, fit feu, et le chapeau vola en éclats.

Quand tu lis les aventures des explorateurs marins aussi, c'est toujours très drôle de voir le manque de mesure que les gens avaient à l'époque. J'avais lu ça dans un livre de Dumas qui raconte des histoires en mer, je ne me souviens plus du titre, des maori avaient bouffer un capitaine français après avoir acceuilli les français comme des princes pendant des mois, alors pour se venger les français ont foutu le feu à tout le village ,tuer tous les hommes, couler tous les navires, foutu le feu aux villages avoisinnant, et forcer le peuple en exil dans les terres en bombardant la plage

Vraiment c'est à crever de rire les livres d'époque.

Vous pouvez lire le livre en ligne ici
https://fr.wikisource.org[...]i/Cinq_Semaines_en_ballon

C'est full histoires de chads blancs qui purifient des indigènes noirâtres grâce aux bienfaits de l'armement et de la technologie occidentale

G pas lu ce livre

87 ème page

Le rauque ricanement des hyènes,qui rappelle le rire particulier des negres ivres.

Mais quel poète, on se croirait à Paris à coté d'une superette de nuit

Jules Verne, ce Chad qui pacifie, au calme, les nègres au gré de son récit

je;;; je te pardonne

t...ton corp est ...moite

non! reste