Ce sujet a été résolu
D'ailleurs en parlant de Georgescu.
A noter que quand l'évènement s'est produit, la majorité des médias en France soit n'en parlaient pas, soit ils en parlent comme d'une information secondaire, et ils reprennent à leur compte la dépêche de la FP.
Georgescu est était candidat patriote roumain qui souhaite faire évacuer le base de l'OTAN installée en Roumanie avec des fonds importants servis notamment par les USA. Il ne veut pas que le peuple roumain dépende de Bruxelles pour gérer son avenir comme il a dépendu jadis de Moscou dans le cadre de l'URSS. En bref c'est un souverainiste authentique. + c'est un euro critique.
Et la Roumanie n'est de toute façon pas dans l'euro donc sa critique concerne surtout l'UE.
Il veut aussi faire sortir la Roumanie de l'OTAN. Georgescu était un fonctionnaire roumain qui a été diplomate ayant notamment travaillé à l'ONU. Puis il a dit que l'UE était une dictature oligarchique qui ne disait pas son nom mettant en danger la Roumanie et ses valeurs ancestrales, de ses intérêts nationaux. A partir de ce moment là, catastrophe, la mafia mondialiste s'est mise à le détester.
En novembre 2024 une élection présidentielle a eu lieu. Il devait y avoir un deuxième tour en début décembre. Le candidat donné à 1% dans les sondages a fait 22%. Le peuple roumain est un peuple très patriote et deuxièmement pendant des décennies entière ce peuple a eu l'habitude de raisonner par lui même et de défier ce qu'il entendait dans les médias.
Malheureusement, malheur..... les cercles de Soros, l'Open Society, etc... ont infiltré tout un cercle de réseau de pouvoir et de médias là bas. Heureusement, le poids des médias roumains est moins imprégnant sur le peuple roumain que le poids des médias français en France par exemple. La Cour suprême de la Roumanie a annulé le deuxième tour. Alexander Soros, fils de George Soros est venu sur place d'ailleurs pour demander à la Cour suprême de Roumanie où il compte un certain nombre d'obligés pour faire annuler les élections pour le motif qu'il y aurait eu une ingérence russe.
A noter que quand l'évènement s'est produit, la majorité des médias en France soit n'en parlaient pas, soit ils en parlent comme d'une information secondaire, et ils reprennent à leur compte la dépêche de la FP.
Georgescu est était candidat patriote roumain qui souhaite faire évacuer le base de l'OTAN installée en Roumanie avec des fonds importants servis notamment par les USA. Il ne veut pas que le peuple roumain dépende de Bruxelles pour gérer son avenir comme il a dépendu jadis de Moscou dans le cadre de l'URSS. En bref c'est un souverainiste authentique. + c'est un euro critique.
Et la Roumanie n'est de toute façon pas dans l'euro donc sa critique concerne surtout l'UE.
Il veut aussi faire sortir la Roumanie de l'OTAN. Georgescu était un fonctionnaire roumain qui a été diplomate ayant notamment travaillé à l'ONU. Puis il a dit que l'UE était une dictature oligarchique qui ne disait pas son nom mettant en danger la Roumanie et ses valeurs ancestrales, de ses intérêts nationaux. A partir de ce moment là, catastrophe, la mafia mondialiste s'est mise à le détester.
En novembre 2024 une élection présidentielle a eu lieu. Il devait y avoir un deuxième tour en début décembre. Le candidat donné à 1% dans les sondages a fait 22%. Le peuple roumain est un peuple très patriote et deuxièmement pendant des décennies entière ce peuple a eu l'habitude de raisonner par lui même et de défier ce qu'il entendait dans les médias.
Malheureusement, malheur..... les cercles de Soros, l'Open Society, etc... ont infiltré tout un cercle de réseau de pouvoir et de médias là bas. Heureusement, le poids des médias roumains est moins imprégnant sur le peuple roumain que le poids des médias français en France par exemple. La Cour suprême de la Roumanie a annulé le deuxième tour. Alexander Soros, fils de George Soros est venu sur place d'ailleurs pour demander à la Cour suprême de Roumanie où il compte un certain nombre d'obligés pour faire annuler les élections pour le motif qu'il y aurait eu une ingérence russe.
il y a 2 mois
Personne n'a jamais réussi à montrer en quoi le fait d'avoir beaucoup de vues sur tiktok influait sur le nombre et les bulletins de votes dans les urnes. Tous les candidats de l'élection pouvaient avoir accès à TikTok d'ailleurs. Par contre Georgescu était globalement banni des grands médias nationaux. Personne n'a aussi expliqué en quoi les russes auraient à eux seuls fait de Georgescu quelqu'un de populaire sur Tiktok dans tous les cas. Et Georgescu est présenté comme un candidat d'extrême droite pro russe alors qu'il n'est pas spécialement d'extrême droite.
A moins que quiconque veuille sortir son pays de la tutelle oligarchique de l'UE, de l'euro et de l'OTAN sont d'extrême droite.
Quelqu'un qui veut faire respecter la souveraineté populaire c'est assez pour être extrême apparemment.
Les autorités ont programmé une nouvelle élection pour le mois de mai. Et cette annulation a donné une popularité exceptionnelle à Georgescu avec 45% au lieu de 22%. Du coup le bureau des élections chargé du travail du Conseil Constitutionnel en France de dresser la liste des candidats a refusé la candidature. Si être populaire sur Tiktok c'est suffisant pour faire annuler une élection alors imaginez ce qui aurait du arriver à Macron en 2017 avec sa couverture médiatique insensée.
Le commissaire européen Thierry Breton a déclaré que si c'était nécessaire il ferait annuler l'élection en Allemagne tout comme ils l'ont fait en Roumanie. Macron a milité pour une candidate pro UE, Elena Lasconi. Le ministredes affaires étrangères a été dépêché avec un dossier fait par je ne sais quel officine, le cabinet de conseil de France, le dossier s'appelle Viginum et prétend qu'il y aurait des choses pas très claires concernant TikTok et qu'il y aurait eu une espèce de promotion de vidéos sur TikTok.
La France a été impliquée car l'oligarchie sait que la France a un certain prestige en Roumanie étant donné que c'est un peuple qui a une langue latine, dans un océan de pays slaves. Il y a une tradition d'intellectuels roumains francophones. Macron a utilisé les services d'Etat pour torpiller la candidature de Georgescu. La Cour suprême de Roumanie est infiltrée par les réseaux de Soros. Du coup elle ne refuse pas la décision du Bureau des élections. La Cour européenne des droits de l'homme elle même est infiltrée par les réseaux de Soros. Soit le peuple roumain se révolte soit la Roumanie devient la première dictature ouverte de l'UE.
A l'époque du printemps de Prague écrasée par l'armée soviétique en 1968, la presse française s'était indignée. Là pour les évènements en Roumanie non seulement ce n'est pas le cas mais c'est même le contraire. Et bien sûr la presse française répète toujours les mêmes idioties en boucle en espérant manipuler un maximum de gens possible. Pas beaucoup de condamnation de la part du RN d'ailleurs. Et encore moins de la part de la gauche française. Ils sont tous complices de cela.
Opposition contrôlée quand tu nous tiens.
A moins que quiconque veuille sortir son pays de la tutelle oligarchique de l'UE, de l'euro et de l'OTAN sont d'extrême droite.
Quelqu'un qui veut faire respecter la souveraineté populaire c'est assez pour être extrême apparemment.
Les autorités ont programmé une nouvelle élection pour le mois de mai. Et cette annulation a donné une popularité exceptionnelle à Georgescu avec 45% au lieu de 22%. Du coup le bureau des élections chargé du travail du Conseil Constitutionnel en France de dresser la liste des candidats a refusé la candidature. Si être populaire sur Tiktok c'est suffisant pour faire annuler une élection alors imaginez ce qui aurait du arriver à Macron en 2017 avec sa couverture médiatique insensée.

Le commissaire européen Thierry Breton a déclaré que si c'était nécessaire il ferait annuler l'élection en Allemagne tout comme ils l'ont fait en Roumanie. Macron a milité pour une candidate pro UE, Elena Lasconi. Le ministredes affaires étrangères a été dépêché avec un dossier fait par je ne sais quel officine, le cabinet de conseil de France, le dossier s'appelle Viginum et prétend qu'il y aurait des choses pas très claires concernant TikTok et qu'il y aurait eu une espèce de promotion de vidéos sur TikTok.

La France a été impliquée car l'oligarchie sait que la France a un certain prestige en Roumanie étant donné que c'est un peuple qui a une langue latine, dans un océan de pays slaves. Il y a une tradition d'intellectuels roumains francophones. Macron a utilisé les services d'Etat pour torpiller la candidature de Georgescu. La Cour suprême de Roumanie est infiltrée par les réseaux de Soros. Du coup elle ne refuse pas la décision du Bureau des élections. La Cour européenne des droits de l'homme elle même est infiltrée par les réseaux de Soros. Soit le peuple roumain se révolte soit la Roumanie devient la première dictature ouverte de l'UE.
A l'époque du printemps de Prague écrasée par l'armée soviétique en 1968, la presse française s'était indignée. Là pour les évènements en Roumanie non seulement ce n'est pas le cas mais c'est même le contraire. Et bien sûr la presse française répète toujours les mêmes idioties en boucle en espérant manipuler un maximum de gens possible. Pas beaucoup de condamnation de la part du RN d'ailleurs. Et encore moins de la part de la gauche française. Ils sont tous complices de cela.
Opposition contrôlée quand tu nous tiens.
il y a 2 mois
La question que se pose pour tous ces pays là + l'Europe dans son intégralité : Arrivera-t-on un jour à se libérer de cette mafia mondialiste? La survie de l'Europe en dépend après tout.
10 raisons pour quitter l'Union européenne - (Partie 1/4) - François Asselineau
Rétablir la démocratie. Si un état est indépendant, sa politique est plus cohérente. On sait que la probabilité d'avoir une politique cohérente au sein de l'UE est mathématiquement impossible. Vu qu'il y a cohabitation permanente, il n'y a pas de politique et le règne des lobbys s'installe. Les élections nationales dans un état particulier ne peuvent rien changer d'autant plus que les décisions prises par la Commission s'imposent. Les électeurs réalisent que voter ne sert plus à rien car cela ne change pas à la politique globale qui est majoritairement imposée par les institutions européennes. Le pourcentage des députés français au parlement européen a également diminué au fur et à mesure que plus de pays sont entrés dans l'UE. Toute possibilité de bâtir une autre Europe est vouée à l'échec car il faudrait l'accord de tous les états. La campagne du PS lors des élections européennes de 1979 c'était " Changer l'Europe, vivre au pays ". En 2009 leur campagne c'était " changer l'Europe ". Rien n'a changé. Supposons qu'il y a 15% de chance qu'un courant politique arrive au pouvoir en Europe, pour 27 états ça fait 0, 000 000 000 000 000 000 000 379 chances sur 100. 1,2 seconde tous les trillions d'années. En supposant pour être gentil que le courant de pensée écolo fasse 15%, qu'un courant de pensée communiste fasse 15% pour être gentil. Et même un courant proche du RN. Et même si on montait à 30% pour le RN ça ferait 2 ou 3 secondes toutes les trillions d'années? Hollande a été élu en disant qu'il allait négocier avec la TSCG. Il n'a rien négocié du tout.
Tommaso Padoa - Schioppa, ancien président du think thank " Notre Europe ", ancien vice président du comité directeur du FMI, ancien ministre de l'économie et des finances italien de 2006 à 208, ancien membre du directoire de la BCE. Dans l'article " les enseignements de l'aventure européenne ". Le think thank Notre Europe était créé par Jacques Delors, président fondateur, et Pascal Lamy, président d'honneur. Diplômé d'institutions américaines : MIT. Dans l'article " les enseignements de l'aventure européenne " parue dans une revue française de grande qualité s'appelant " commentaires " dans son numéro 87 de l'automne 1999. Il dit " La construction européenne est une révolution même si les révolutionnaires ne sont pas des conspirateurs blêmes et maigres, mais des employés, des fonctionnaires, des banquiers, des professeurs. " Une révolution de banquiers. Il continue en disant : " L'Europe ne procède pas d'un mouvement démocratique. Elle s'est faite en suivant une méthode que l'on pourrait définir du terme de despotisme éclairé. " On voit déjà que l'article 1 bis du traité sur l'Union européenne disant que l'Union est fondé sur le respect de la liberté, de la démocratie, etc.... c'est un mensonge. En 2012 un sondage Ifop montre que si les français avaient été réinterrogés sur Maastricht, ils seraient 64% à dire non. A l'époque de l'URSS, quand les déconvenues s'accumulaient, on disait que ce n'était pas la faute du socialisme soviétique mais parce qu'il était soit mal appliqué, soit qu'il y en avait pas assez et que donc il fallait accélérer. Pour les partisans de l'UE, c'est souvent pareil. C'est un phénomène de fuite en avant. Le traité de Maastricht donne des conséquences catastrophiques et on dit que les français ont voté pour. Sauf que 20 ans, 30 ans après, ce n'est plus la même chose. Avec cette logique, on aurait élu Giscard président à vie pendant plusieurs décennies.
Deuxième raison: il faut casser l'accroissement exponentielle de l'endettement public. Avant 1973 et depuis Napoléon Ier, la France monétisait une partie de son déficit budgétaire par l'intermédiaire de la Banque de France. La Banque de France créait par exemple 1 milliards de francs à partir de rien et sans intérêt puisque la Banque de France appartient à l'Etat. Certes il y avait quelques inconvénients et c'était potentiellement inflationniste par nature. Quand vous offrez à un souverain la possibilité de faire de la monnaie, il a tendance à faire de la monnaie et plus vous publiez trop de billets, moins vos billets valent. Mais il faut aussi comprendre que banquiers et rentiers voyaient d'un mauvais oeil que l'Etat ait le contrôle sur l'économie du pays et sur les taux d'intérêt et ce d'autant plus qu'il y avait un strict contrôle des mouvements de capitaux. Les rentiers étaient piégés dans leur pays respectif. Certains ont parlé à l'époque d'euthanasie des rentiers. Quelqu'un qui avait une petite fortune qui lui était tombée du ciel car il faisait un bel héritage ne pouvait pas sortir cet argent de France. Pareil pour d'autres pays comme l'Espagne ou la Grèce. Sans autorisation. Mais les autorisations étaient rarement données surtout à des particuliers. Donc il était obligé de placer ces fonds dans le papys d'origine, dans le pays où il vivait. S'il plaçait ses fonds par exemple dans une caisse d'épargne avec des taux d'intérêt administrés du style 3 ou 4% par an et si au même moment l'inflation faisait du 10 ou 15% comme on l'a vu à la fin des années 1960 et au début des années 1970, ils étaient piégés car ils gagnaient disons 5% à la caisse d'épargne et perdaient 10% par an avec la dépréciation monétaire. Donc il y avait un intérêt des classes dominantes et possédantes à modifier ce système.
Une campagne de presse et un lobbying permanent sur les responsables politiques mirent en avant que ce système était anachronique et inflationniste par nature car l'Etat ne devant pas payer pour ses déficits publics pouvait être tenté de créer de la masse monétaire de façon excessive ce qui pouvait être le cas. Ce n'est pas tout à fait vrai car on était sous l'emprise des accords de Bretton Woods qui faisait que les monnaies devaient être convertibles en or. En 1971 Nixon fait voler en éclat les accords en supprimant la convertibilité du dollar en or. Donc ce n'est pas illogique d'un point de vue historique que la France ait pris cette loi de 1973. Mais dans l'ensemble du monde occidentale des lois identiques ont été prises pour éviter que la fin des accords de Bretton Woods ne donne libre cours à une espèce d'envolée inflationniste généralisée puisque tous les Etats pourraient à ce moment là imprimer, sortir autant d'argent qu'ils le voulaient. C'est ce qui a donné naissance à la loi 73 - 7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France que certains polémiste appellent loi Rothschild ou loi Pompidou Giscard car à ce moment là Pompidou était président de la République et Giscard ministre des finances. Et que Pompidou avait été banquier chez Rothschild à un moment donné. Cette loi a modifié l'organisation de la Banque de France. Elle a affaibli les droits du Trésor Public par rapport à celle ci. Donc normalement dans son article 25 elle précise que " Le Trésor Public ne peut plus être le présentateur de ses propres effets à l'escompte de la Banque de France. " A partir de là on a eu une loi qui était une espèce d'endettement volontaire de la France. et tous tous les autres états. On s'est dit qu'il fallait être sage sinon l'inflation sera énorme. Comme il n'y a plus la contrainte de l'étalon or, il va falloir que l'Etat fasse comme un particulier, c'est à dire qu'il s'endette sur les marchés financiers.
Donc en payant des intérêts ça va nous coûter de l'argent. Du coup il va être sage et donc il ne va pas pas s'endetter ad vitam aeternam. Une sagesse imposée par la réalité. C'est comme ça que ça avait été présenté. Mais avec cette loi l'Etat français s'est volontairement privé du droit régalien de créer de la monnaie gratuitement. Du coup les banques privés et les marchés financiers en ont profité pour s'enrichir aux dépens de l'Etat. Et ce qui auparavant été prêté gratuitement mais avec un risque d'inflation a désormais été prêté contre intérêts sonnants et trébuchants avec un risque moindre d'inflation ce qui reste d'ailleurs à démontrer puisque certains expliquent qu'en fait l'inflation n'a pas spécialement diminué. Je pense quand même qu'on peut dire par là qu'elle a u n peu régressé. Mais c'est vrai qu'on a quand même connu ensuite des périodes d'inflation. En tout cas c'est une décision historique considérable puisque c'était depuis toute éternité que le souverain c'est à dire soit le peuple soit le monarque, c'était le souverain qui avait le privilège des questions monétaires. Dans " La divine comédie " le poète florentin Dante Alighieri qui vit au début du XIIIème siècle. Dans ce texte, Dante place le roi de France en enfer. L'argument du poème c'est qu'on se promène entre l'enfer, le paradis et le purgatoire. En enfer on découvre le roi de France Philippe Le Bel. Dante le place en enfer car il fait de la dépréciation monétaire. A l'époque les pièces en argent ou en or étaient rognées. C'est pourquoi si vous êtes numismate c'est dur de trouver des pièces en or de l'époque médiévale françaises ou d'autres pays qui soient en parfait état. Elles sont rognées car on grattait de l'or, récupérait quelques grammes. Si vous enlevez 0,1 gramme sur 40 pièces vous refaites une pièce de 4 grammes. Presque à l'identique mais de mauvais aloi. Si avec 40 pièces vous en faites une nouvelle ça représente une dépréciation monétaire de 2,5%.
Rétablir la démocratie. Si un état est indépendant, sa politique est plus cohérente. On sait que la probabilité d'avoir une politique cohérente au sein de l'UE est mathématiquement impossible. Vu qu'il y a cohabitation permanente, il n'y a pas de politique et le règne des lobbys s'installe. Les élections nationales dans un état particulier ne peuvent rien changer d'autant plus que les décisions prises par la Commission s'imposent. Les électeurs réalisent que voter ne sert plus à rien car cela ne change pas à la politique globale qui est majoritairement imposée par les institutions européennes. Le pourcentage des députés français au parlement européen a également diminué au fur et à mesure que plus de pays sont entrés dans l'UE. Toute possibilité de bâtir une autre Europe est vouée à l'échec car il faudrait l'accord de tous les états. La campagne du PS lors des élections européennes de 1979 c'était " Changer l'Europe, vivre au pays ". En 2009 leur campagne c'était " changer l'Europe ". Rien n'a changé. Supposons qu'il y a 15% de chance qu'un courant politique arrive au pouvoir en Europe, pour 27 états ça fait 0, 000 000 000 000 000 000 000 379 chances sur 100. 1,2 seconde tous les trillions d'années. En supposant pour être gentil que le courant de pensée écolo fasse 15%, qu'un courant de pensée communiste fasse 15% pour être gentil. Et même un courant proche du RN. Et même si on montait à 30% pour le RN ça ferait 2 ou 3 secondes toutes les trillions d'années? Hollande a été élu en disant qu'il allait négocier avec la TSCG. Il n'a rien négocié du tout.
Tommaso Padoa - Schioppa, ancien président du think thank " Notre Europe ", ancien vice président du comité directeur du FMI, ancien ministre de l'économie et des finances italien de 2006 à 208, ancien membre du directoire de la BCE. Dans l'article " les enseignements de l'aventure européenne ". Le think thank Notre Europe était créé par Jacques Delors, président fondateur, et Pascal Lamy, président d'honneur. Diplômé d'institutions américaines : MIT. Dans l'article " les enseignements de l'aventure européenne " parue dans une revue française de grande qualité s'appelant " commentaires " dans son numéro 87 de l'automne 1999. Il dit " La construction européenne est une révolution même si les révolutionnaires ne sont pas des conspirateurs blêmes et maigres, mais des employés, des fonctionnaires, des banquiers, des professeurs. " Une révolution de banquiers. Il continue en disant : " L'Europe ne procède pas d'un mouvement démocratique. Elle s'est faite en suivant une méthode que l'on pourrait définir du terme de despotisme éclairé. " On voit déjà que l'article 1 bis du traité sur l'Union européenne disant que l'Union est fondé sur le respect de la liberté, de la démocratie, etc.... c'est un mensonge. En 2012 un sondage Ifop montre que si les français avaient été réinterrogés sur Maastricht, ils seraient 64% à dire non. A l'époque de l'URSS, quand les déconvenues s'accumulaient, on disait que ce n'était pas la faute du socialisme soviétique mais parce qu'il était soit mal appliqué, soit qu'il y en avait pas assez et que donc il fallait accélérer. Pour les partisans de l'UE, c'est souvent pareil. C'est un phénomène de fuite en avant. Le traité de Maastricht donne des conséquences catastrophiques et on dit que les français ont voté pour. Sauf que 20 ans, 30 ans après, ce n'est plus la même chose. Avec cette logique, on aurait élu Giscard président à vie pendant plusieurs décennies.
Deuxième raison: il faut casser l'accroissement exponentielle de l'endettement public. Avant 1973 et depuis Napoléon Ier, la France monétisait une partie de son déficit budgétaire par l'intermédiaire de la Banque de France. La Banque de France créait par exemple 1 milliards de francs à partir de rien et sans intérêt puisque la Banque de France appartient à l'Etat. Certes il y avait quelques inconvénients et c'était potentiellement inflationniste par nature. Quand vous offrez à un souverain la possibilité de faire de la monnaie, il a tendance à faire de la monnaie et plus vous publiez trop de billets, moins vos billets valent. Mais il faut aussi comprendre que banquiers et rentiers voyaient d'un mauvais oeil que l'Etat ait le contrôle sur l'économie du pays et sur les taux d'intérêt et ce d'autant plus qu'il y avait un strict contrôle des mouvements de capitaux. Les rentiers étaient piégés dans leur pays respectif. Certains ont parlé à l'époque d'euthanasie des rentiers. Quelqu'un qui avait une petite fortune qui lui était tombée du ciel car il faisait un bel héritage ne pouvait pas sortir cet argent de France. Pareil pour d'autres pays comme l'Espagne ou la Grèce. Sans autorisation. Mais les autorisations étaient rarement données surtout à des particuliers. Donc il était obligé de placer ces fonds dans le papys d'origine, dans le pays où il vivait. S'il plaçait ses fonds par exemple dans une caisse d'épargne avec des taux d'intérêt administrés du style 3 ou 4% par an et si au même moment l'inflation faisait du 10 ou 15% comme on l'a vu à la fin des années 1960 et au début des années 1970, ils étaient piégés car ils gagnaient disons 5% à la caisse d'épargne et perdaient 10% par an avec la dépréciation monétaire. Donc il y avait un intérêt des classes dominantes et possédantes à modifier ce système.
Une campagne de presse et un lobbying permanent sur les responsables politiques mirent en avant que ce système était anachronique et inflationniste par nature car l'Etat ne devant pas payer pour ses déficits publics pouvait être tenté de créer de la masse monétaire de façon excessive ce qui pouvait être le cas. Ce n'est pas tout à fait vrai car on était sous l'emprise des accords de Bretton Woods qui faisait que les monnaies devaient être convertibles en or. En 1971 Nixon fait voler en éclat les accords en supprimant la convertibilité du dollar en or. Donc ce n'est pas illogique d'un point de vue historique que la France ait pris cette loi de 1973. Mais dans l'ensemble du monde occidentale des lois identiques ont été prises pour éviter que la fin des accords de Bretton Woods ne donne libre cours à une espèce d'envolée inflationniste généralisée puisque tous les Etats pourraient à ce moment là imprimer, sortir autant d'argent qu'ils le voulaient. C'est ce qui a donné naissance à la loi 73 - 7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France que certains polémiste appellent loi Rothschild ou loi Pompidou Giscard car à ce moment là Pompidou était président de la République et Giscard ministre des finances. Et que Pompidou avait été banquier chez Rothschild à un moment donné. Cette loi a modifié l'organisation de la Banque de France. Elle a affaibli les droits du Trésor Public par rapport à celle ci. Donc normalement dans son article 25 elle précise que " Le Trésor Public ne peut plus être le présentateur de ses propres effets à l'escompte de la Banque de France. " A partir de là on a eu une loi qui était une espèce d'endettement volontaire de la France. et tous tous les autres états. On s'est dit qu'il fallait être sage sinon l'inflation sera énorme. Comme il n'y a plus la contrainte de l'étalon or, il va falloir que l'Etat fasse comme un particulier, c'est à dire qu'il s'endette sur les marchés financiers.
Donc en payant des intérêts ça va nous coûter de l'argent. Du coup il va être sage et donc il ne va pas pas s'endetter ad vitam aeternam. Une sagesse imposée par la réalité. C'est comme ça que ça avait été présenté. Mais avec cette loi l'Etat français s'est volontairement privé du droit régalien de créer de la monnaie gratuitement. Du coup les banques privés et les marchés financiers en ont profité pour s'enrichir aux dépens de l'Etat. Et ce qui auparavant été prêté gratuitement mais avec un risque d'inflation a désormais été prêté contre intérêts sonnants et trébuchants avec un risque moindre d'inflation ce qui reste d'ailleurs à démontrer puisque certains expliquent qu'en fait l'inflation n'a pas spécialement diminué. Je pense quand même qu'on peut dire par là qu'elle a u n peu régressé. Mais c'est vrai qu'on a quand même connu ensuite des périodes d'inflation. En tout cas c'est une décision historique considérable puisque c'était depuis toute éternité que le souverain c'est à dire soit le peuple soit le monarque, c'était le souverain qui avait le privilège des questions monétaires. Dans " La divine comédie " le poète florentin Dante Alighieri qui vit au début du XIIIème siècle. Dans ce texte, Dante place le roi de France en enfer. L'argument du poème c'est qu'on se promène entre l'enfer, le paradis et le purgatoire. En enfer on découvre le roi de France Philippe Le Bel. Dante le place en enfer car il fait de la dépréciation monétaire. A l'époque les pièces en argent ou en or étaient rognées. C'est pourquoi si vous êtes numismate c'est dur de trouver des pièces en or de l'époque médiévale françaises ou d'autres pays qui soient en parfait état. Elles sont rognées car on grattait de l'or, récupérait quelques grammes. Si vous enlevez 0,1 gramme sur 40 pièces vous refaites une pièce de 4 grammes. Presque à l'identique mais de mauvais aloi. Si avec 40 pièces vous en faites une nouvelle ça représente une dépréciation monétaire de 2,5%.
il y a 2 mois
Élection annulé du coup, c'est pas le "bon" parti qui a gagné
(ma phrase qui sonne comme si on vivait en URSS ...)
(ma phrase qui sonne comme si on vivait en URSS ...)
Mon propos est imaginaire et fictif, il n'implique donc aucun fait ou élément réel et toute ressemblance serait fortuite
il y a 2 mois
Élection annulé du coup, c'est pas le "bon" parti qui a gagné
(ma phrase qui sonne comme si on vivait en URSS ...)
(ma phrase qui sonne comme si on vivait en URSS ...)
Ce système a été rendu obligatoire dans toute l'UE par les traités européens notamment par l'article 123 du TFUE, aka le traité sur le fonctionnement de l'Union européenne qui interdit à la BCE et aux banques centrales des états membres de monétiser les déficits publics. Tout cela donne une espèce de cancer financer qui se développe en Europe qui fait que la dette publique ne fait que croître. Sarkozy avait été élu pour diminuer la dette mais il l'a augmenté exponentiellement. Il y a eu la crise financière pais prétendument au lieu de laisser les banques faire faillite, on est allé les sauver et ceci a débouché sur des déficits budgétaires faramineux de la France. On est monté jusqu'à 8,5% du PIB. Et donc puisqu'on ne créé pas de monnaie, il a fallu financer ça par appels sur les marchés financiers, ce qui a fait augmenter la dette publique de tant. La RGPP ce sont les économies réalisées par la révision générale des politiques publiques lancées par Sarkozy, enfourchant le dada des médias dont on sait par qui ils sont tenus. Il a été décidé qu'un fonctionnaire sur 2 serait remplacé, il a été décidé de fermer des plateformes hospitalières pour centraliser des hôpitaux à des niveaux régionaux ce qui pose des problèmes de transfert ce qui pose des problèmes d'investissement par ailleurs. Il a été décidé de fermer des écoles, des commissariats de police, de fermer des casernes de sapeurs pompiers, etc... pour faire des économies. Les économies réalisée par la RGPP : non remplacement d'un fonctionnaire sur 2, " rationalisation " des administrations, fermeture de services publics, pour des économies réalisées entre 2008 et 2011 de 11,9 milliards d'euros. Ca ne vaut rien par rapport à la dette publique qui a au même moment augmenté de 600 milliards d'euros entre 2007 et 2011.
Et pourtant en vrai de vrai, hormis l'absence de goulag en UE, il y a pas mal de similitudes frappantes entre l'UE et l'URSS.
https://miscellanees.me/2[...]utur-et-ca-na-pas-marche/
" Il est étonnant qu’après avoir enterré un monstre, l’URSS, on en construise un tout autre semblable, l’Union Européenne. Qu’est-ce, au juste, que l’Union Européenne ? Nous le saurons peut-être en examinant sa version soviétique.
L’URSS était gouvernée par quinze personnes non-élues qui se cooptaient mutuellement et n’avaient à répondre à personne. L’Union Européenne est gouvernée par deux douzaines de gens cooptés qui se réunissent à huis clos, ne répondent à personne et ne sont pas limogeables. On pourrait dire que l’UE a un parlement élu.
L’URSS aussi avait une espèce de parlement, le Soviet Suprême. Nous avalisions sans discussion les décisions du Politburo, tout comme le Parlement Européen, où le temps de parole de chaque groupe est rationné et souvent se limite à une minute par intervention. À l’UE, il y a des centaines de milliers d’eurocrates, avec leurs émoluments énormes, leur personnel, leurs larbins, leurs bonus, leurs privilèges, leur immunité judiciaire à vie, simplement transférés d’un poste à un autre, quoi qu’ils fassent, bien ou mal. N’est-ce pas l’URSS tout crachée ?
L’URSS fut créée par la contrainte, très souvent avec occupation armée. On est en train de créer l’UE, pas par la force armée, non, mais par la contrainte et la terreur économique. Pour continuer d’exister, l’URSS s’est étendue toujours plus loin. Dès qu’elle a cessé de s’étendre, elle a commencé à s’écrouler. Je soupçonne qu’il en sera de même pour l’UE.
On nous avait dit que le but de l’URSS était de créer une nouvelle entité historique, le Peuple Soviétique. Il fallait oublier nos nationalités, nos traditions et nos coutumes. Même chose avec l’UE, semble-t-il. Ils ne veulent pas que vous soyez anglais ou français, ils veulent faire de vous tous une nouvelle entité, des européens, réprimer vos sentiments nationaux, vous forcer à vivre en communauté multinationale. 73 ans de ce système en URSS se sont soldés par plus de conflits ethniques que nulle part ailleurs au monde.
Un des buts grandioses de l’URSS était de détruire les états-nations. C’est exactement ce que nous voyons en Europe aujourd’hui. Bruxelles a l’intention de phagocyter les états-nations pour qu’ils cessent d’exister.
Le système soviétique était corrompu du haut jusqu’en bas. C’est la même chose pour l’UE. Les activités antidémocratiques que nous voyions en URSS, fleurissent en Union Européenne. Ceux qui s’y opposent ou les dénoncent sont bâillonnés ou punis.
Rien n’a changé.
En URSS nous avions le goulag. Je crois qu’on l’a aussi dans l’UE. Un goulag intellectuel, nommé « politiquement correct ». Essayez de dire ce que vous pensez sur des questions de race ou de sexualité, et si vos opinions ne sont pas bonnes, vous serez ostracisés. C’est le commencement du goulag. C’est le commencement de la perte de votre liberté.
En URSS, on pensait que seul un état fédéral éviterait la guerre. On vous raconte exactement la même chose dans l’UE.
Bref, c’est la même idéologie dans les deux systèmes. L’UE est le vieux modèle soviétique habillé à l’occidentale. Mais, comme l’URSS, l’Union Européenne porte en elle les germes de sa propre perte. Hélas, quand elle s’écroulera, car elle s’écroulera, elle laissera derrière elle une immense destruction et de gigantesques problèmes économiques et ethniques. l’ancien système soviétique était irréformable. De même, l’Union Européenne.
Mais il y a une alternative à être gouvernés par deux douzaines de ronds-de-cuir à Bruxelles. L’indépendance. Vous n’êtes pas forcés d’accepter ce qu’ils vous réservent. On ne vous a jamais demandé si vous vouliez vous joindre à eux. "
Et pourtant en vrai de vrai, hormis l'absence de goulag en UE, il y a pas mal de similitudes frappantes entre l'UE et l'URSS.
" Il est étonnant qu’après avoir enterré un monstre, l’URSS, on en construise un tout autre semblable, l’Union Européenne. Qu’est-ce, au juste, que l’Union Européenne ? Nous le saurons peut-être en examinant sa version soviétique.
L’URSS était gouvernée par quinze personnes non-élues qui se cooptaient mutuellement et n’avaient à répondre à personne. L’Union Européenne est gouvernée par deux douzaines de gens cooptés qui se réunissent à huis clos, ne répondent à personne et ne sont pas limogeables. On pourrait dire que l’UE a un parlement élu.
L’URSS aussi avait une espèce de parlement, le Soviet Suprême. Nous avalisions sans discussion les décisions du Politburo, tout comme le Parlement Européen, où le temps de parole de chaque groupe est rationné et souvent se limite à une minute par intervention. À l’UE, il y a des centaines de milliers d’eurocrates, avec leurs émoluments énormes, leur personnel, leurs larbins, leurs bonus, leurs privilèges, leur immunité judiciaire à vie, simplement transférés d’un poste à un autre, quoi qu’ils fassent, bien ou mal. N’est-ce pas l’URSS tout crachée ?
L’URSS fut créée par la contrainte, très souvent avec occupation armée. On est en train de créer l’UE, pas par la force armée, non, mais par la contrainte et la terreur économique. Pour continuer d’exister, l’URSS s’est étendue toujours plus loin. Dès qu’elle a cessé de s’étendre, elle a commencé à s’écrouler. Je soupçonne qu’il en sera de même pour l’UE.
On nous avait dit que le but de l’URSS était de créer une nouvelle entité historique, le Peuple Soviétique. Il fallait oublier nos nationalités, nos traditions et nos coutumes. Même chose avec l’UE, semble-t-il. Ils ne veulent pas que vous soyez anglais ou français, ils veulent faire de vous tous une nouvelle entité, des européens, réprimer vos sentiments nationaux, vous forcer à vivre en communauté multinationale. 73 ans de ce système en URSS se sont soldés par plus de conflits ethniques que nulle part ailleurs au monde.
Un des buts grandioses de l’URSS était de détruire les états-nations. C’est exactement ce que nous voyons en Europe aujourd’hui. Bruxelles a l’intention de phagocyter les états-nations pour qu’ils cessent d’exister.
Le système soviétique était corrompu du haut jusqu’en bas. C’est la même chose pour l’UE. Les activités antidémocratiques que nous voyions en URSS, fleurissent en Union Européenne. Ceux qui s’y opposent ou les dénoncent sont bâillonnés ou punis.
Rien n’a changé.
En URSS nous avions le goulag. Je crois qu’on l’a aussi dans l’UE. Un goulag intellectuel, nommé « politiquement correct ». Essayez de dire ce que vous pensez sur des questions de race ou de sexualité, et si vos opinions ne sont pas bonnes, vous serez ostracisés. C’est le commencement du goulag. C’est le commencement de la perte de votre liberté.
En URSS, on pensait que seul un état fédéral éviterait la guerre. On vous raconte exactement la même chose dans l’UE.
Bref, c’est la même idéologie dans les deux systèmes. L’UE est le vieux modèle soviétique habillé à l’occidentale. Mais, comme l’URSS, l’Union Européenne porte en elle les germes de sa propre perte. Hélas, quand elle s’écroulera, car elle s’écroulera, elle laissera derrière elle une immense destruction et de gigantesques problèmes économiques et ethniques. l’ancien système soviétique était irréformable. De même, l’Union Européenne.
Mais il y a une alternative à être gouvernés par deux douzaines de ronds-de-cuir à Bruxelles. L’indépendance. Vous n’êtes pas forcés d’accepter ce qu’ils vous réservent. On ne vous a jamais demandé si vous vouliez vous joindre à eux. "
il y a 2 mois
il y a 2 mois
Tu sais bien que si ça ne convient pas ça va finir en roumanie BIS
Ah bah forcément, mais je trouve ça déjà incroyable cette façon de préempter le vote et de légitimer à l'avance toute intervention contraire au principe de choix du peuple, en pointant du doigt une ingérence
Enfin c'est trop gros là, tout le monde voit bien l'entourloupe... Non ?
Enfin c'est trop gros là, tout le monde voit bien l'entourloupe... Non ?
il y a 2 mois
Anthony_A3
2 mois
La question que se pose pour tous ces pays là + l'Europe dans son intégralité : Arrivera-t-on un jour à se libérer de cette mafia mondialiste? La survie de l'Europe en dépend après tout.
10 raisons pour quitter l'Union européenne - (Partie 1/4) - François Asselineau
Rétablir la démocratie. Si un état est indépendant, sa politique est plus cohérente. On sait que la probabilité d'avoir une politique cohérente au sein de l'UE est mathématiquement impossible. Vu qu'il y a cohabitation permanente, il n'y a pas de politique et le règne des lobbys s'installe. Les élections nationales dans un état particulier ne peuvent rien changer d'autant plus que les décisions prises par la Commission s'imposent. Les électeurs réalisent que voter ne sert plus à rien car cela ne change pas à la politique globale qui est majoritairement imposée par les institutions européennes. Le pourcentage des députés français au parlement européen a également diminué au fur et à mesure que plus de pays sont entrés dans l'UE. Toute possibilité de bâtir une autre Europe est vouée à l'échec car il faudrait l'accord de tous les états. La campagne du PS lors des élections européennes de 1979 c'était " Changer l'Europe, vivre au pays ". En 2009 leur campagne c'était " changer l'Europe ". Rien n'a changé. Supposons qu'il y a 15% de chance qu'un courant politique arrive au pouvoir en Europe, pour 27 états ça fait 0, 000 000 000 000 000 000 000 379 chances sur 100. 1,2 seconde tous les trillions d'années. En supposant pour être gentil que le courant de pensée écolo fasse 15%, qu'un courant de pensée communiste fasse 15% pour être gentil. Et même un courant proche du RN. Et même si on montait à 30% pour le RN ça ferait 2 ou 3 secondes toutes les trillions d'années? Hollande a été élu en disant qu'il allait négocier avec la TSCG. Il n'a rien négocié du tout.
Tommaso Padoa - Schioppa, ancien président du think thank " Notre Europe ", ancien vice président du comité directeur du FMI, ancien ministre de l'économie et des finances italien de 2006 à 208, ancien membre du directoire de la BCE. Dans l'article " les enseignements de l'aventure européenne ". Le think thank Notre Europe était créé par Jacques Delors, président fondateur, et Pascal Lamy, président d'honneur. Diplômé d'institutions américaines : MIT. Dans l'article " les enseignements de l'aventure européenne " parue dans une revue française de grande qualité s'appelant " commentaires " dans son numéro 87 de l'automne 1999. Il dit " La construction européenne est une révolution même si les révolutionnaires ne sont pas des conspirateurs blêmes et maigres, mais des employés, des fonctionnaires, des banquiers, des professeurs. " Une révolution de banquiers. Il continue en disant : " L'Europe ne procède pas d'un mouvement démocratique. Elle s'est faite en suivant une méthode que l'on pourrait définir du terme de despotisme éclairé. " On voit déjà que l'article 1 bis du traité sur l'Union européenne disant que l'Union est fondé sur le respect de la liberté, de la démocratie, etc.... c'est un mensonge. En 2012 un sondage Ifop montre que si les français avaient été réinterrogés sur Maastricht, ils seraient 64% à dire non. A l'époque de l'URSS, quand les déconvenues s'accumulaient, on disait que ce n'était pas la faute du socialisme soviétique mais parce qu'il était soit mal appliqué, soit qu'il y en avait pas assez et que donc il fallait accélérer. Pour les partisans de l'UE, c'est souvent pareil. C'est un phénomène de fuite en avant. Le traité de Maastricht donne des conséquences catastrophiques et on dit que les français ont voté pour. Sauf que 20 ans, 30 ans après, ce n'est plus la même chose. Avec cette logique, on aurait élu Giscard président à vie pendant plusieurs décennies.
Deuxième raison: il faut casser l'accroissement exponentielle de l'endettement public. Avant 1973 et depuis Napoléon Ier, la France monétisait une partie de son déficit budgétaire par l'intermédiaire de la Banque de France. La Banque de France créait par exemple 1 milliards de francs à partir de rien et sans intérêt puisque la Banque de France appartient à l'Etat. Certes il y avait quelques inconvénients et c'était potentiellement inflationniste par nature. Quand vous offrez à un souverain la possibilité de faire de la monnaie, il a tendance à faire de la monnaie et plus vous publiez trop de billets, moins vos billets valent. Mais il faut aussi comprendre que banquiers et rentiers voyaient d'un mauvais oeil que l'Etat ait le contrôle sur l'économie du pays et sur les taux d'intérêt et ce d'autant plus qu'il y avait un strict contrôle des mouvements de capitaux. Les rentiers étaient piégés dans leur pays respectif. Certains ont parlé à l'époque d'euthanasie des rentiers. Quelqu'un qui avait une petite fortune qui lui était tombée du ciel car il faisait un bel héritage ne pouvait pas sortir cet argent de France. Pareil pour d'autres pays comme l'Espagne ou la Grèce. Sans autorisation. Mais les autorisations étaient rarement données surtout à des particuliers. Donc il était obligé de placer ces fonds dans le papys d'origine, dans le pays où il vivait. S'il plaçait ses fonds par exemple dans une caisse d'épargne avec des taux d'intérêt administrés du style 3 ou 4% par an et si au même moment l'inflation faisait du 10 ou 15% comme on l'a vu à la fin des années 1960 et au début des années 1970, ils étaient piégés car ils gagnaient disons 5% à la caisse d'épargne et perdaient 10% par an avec la dépréciation monétaire. Donc il y avait un intérêt des classes dominantes et possédantes à modifier ce système.
Une campagne de presse et un lobbying permanent sur les responsables politiques mirent en avant que ce système était anachronique et inflationniste par nature car l'Etat ne devant pas payer pour ses déficits publics pouvait être tenté de créer de la masse monétaire de façon excessive ce qui pouvait être le cas. Ce n'est pas tout à fait vrai car on était sous l'emprise des accords de Bretton Woods qui faisait que les monnaies devaient être convertibles en or. En 1971 Nixon fait voler en éclat les accords en supprimant la convertibilité du dollar en or. Donc ce n'est pas illogique d'un point de vue historique que la France ait pris cette loi de 1973. Mais dans l'ensemble du monde occidentale des lois identiques ont été prises pour éviter que la fin des accords de Bretton Woods ne donne libre cours à une espèce d'envolée inflationniste généralisée puisque tous les Etats pourraient à ce moment là imprimer, sortir autant d'argent qu'ils le voulaient. C'est ce qui a donné naissance à la loi 73 - 7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France que certains polémiste appellent loi Rothschild ou loi Pompidou Giscard car à ce moment là Pompidou était président de la République et Giscard ministre des finances. Et que Pompidou avait été banquier chez Rothschild à un moment donné. Cette loi a modifié l'organisation de la Banque de France. Elle a affaibli les droits du Trésor Public par rapport à celle ci. Donc normalement dans son article 25 elle précise que " Le Trésor Public ne peut plus être le présentateur de ses propres effets à l'escompte de la Banque de France. " A partir de là on a eu une loi qui était une espèce d'endettement volontaire de la France. et tous tous les autres états. On s'est dit qu'il fallait être sage sinon l'inflation sera énorme. Comme il n'y a plus la contrainte de l'étalon or, il va falloir que l'Etat fasse comme un particulier, c'est à dire qu'il s'endette sur les marchés financiers.
Donc en payant des intérêts ça va nous coûter de l'argent. Du coup il va être sage et donc il ne va pas pas s'endetter ad vitam aeternam. Une sagesse imposée par la réalité. C'est comme ça que ça avait été présenté. Mais avec cette loi l'Etat français s'est volontairement privé du droit régalien de créer de la monnaie gratuitement. Du coup les banques privés et les marchés financiers en ont profité pour s'enrichir aux dépens de l'Etat. Et ce qui auparavant été prêté gratuitement mais avec un risque d'inflation a désormais été prêté contre intérêts sonnants et trébuchants avec un risque moindre d'inflation ce qui reste d'ailleurs à démontrer puisque certains expliquent qu'en fait l'inflation n'a pas spécialement diminué. Je pense quand même qu'on peut dire par là qu'elle a u n peu régressé. Mais c'est vrai qu'on a quand même connu ensuite des périodes d'inflation. En tout cas c'est une décision historique considérable puisque c'était depuis toute éternité que le souverain c'est à dire soit le peuple soit le monarque, c'était le souverain qui avait le privilège des questions monétaires. Dans " La divine comédie " le poète florentin Dante Alighieri qui vit au début du XIIIème siècle. Dans ce texte, Dante place le roi de France en enfer. L'argument du poème c'est qu'on se promène entre l'enfer, le paradis et le purgatoire. En enfer on découvre le roi de France Philippe Le Bel. Dante le place en enfer car il fait de la dépréciation monétaire. A l'époque les pièces en argent ou en or étaient rognées. C'est pourquoi si vous êtes numismate c'est dur de trouver des pièces en or de l'époque médiévale françaises ou d'autres pays qui soient en parfait état. Elles sont rognées car on grattait de l'or, récupérait quelques grammes. Si vous enlevez 0,1 gramme sur 40 pièces vous refaites une pièce de 4 grammes. Presque à l'identique mais de mauvais aloi. Si avec 40 pièces vous en faites une nouvelle ça représente une dépréciation monétaire de 2,5%.
Rétablir la démocratie. Si un état est indépendant, sa politique est plus cohérente. On sait que la probabilité d'avoir une politique cohérente au sein de l'UE est mathématiquement impossible. Vu qu'il y a cohabitation permanente, il n'y a pas de politique et le règne des lobbys s'installe. Les élections nationales dans un état particulier ne peuvent rien changer d'autant plus que les décisions prises par la Commission s'imposent. Les électeurs réalisent que voter ne sert plus à rien car cela ne change pas à la politique globale qui est majoritairement imposée par les institutions européennes. Le pourcentage des députés français au parlement européen a également diminué au fur et à mesure que plus de pays sont entrés dans l'UE. Toute possibilité de bâtir une autre Europe est vouée à l'échec car il faudrait l'accord de tous les états. La campagne du PS lors des élections européennes de 1979 c'était " Changer l'Europe, vivre au pays ". En 2009 leur campagne c'était " changer l'Europe ". Rien n'a changé. Supposons qu'il y a 15% de chance qu'un courant politique arrive au pouvoir en Europe, pour 27 états ça fait 0, 000 000 000 000 000 000 000 379 chances sur 100. 1,2 seconde tous les trillions d'années. En supposant pour être gentil que le courant de pensée écolo fasse 15%, qu'un courant de pensée communiste fasse 15% pour être gentil. Et même un courant proche du RN. Et même si on montait à 30% pour le RN ça ferait 2 ou 3 secondes toutes les trillions d'années? Hollande a été élu en disant qu'il allait négocier avec la TSCG. Il n'a rien négocié du tout.
Tommaso Padoa - Schioppa, ancien président du think thank " Notre Europe ", ancien vice président du comité directeur du FMI, ancien ministre de l'économie et des finances italien de 2006 à 208, ancien membre du directoire de la BCE. Dans l'article " les enseignements de l'aventure européenne ". Le think thank Notre Europe était créé par Jacques Delors, président fondateur, et Pascal Lamy, président d'honneur. Diplômé d'institutions américaines : MIT. Dans l'article " les enseignements de l'aventure européenne " parue dans une revue française de grande qualité s'appelant " commentaires " dans son numéro 87 de l'automne 1999. Il dit " La construction européenne est une révolution même si les révolutionnaires ne sont pas des conspirateurs blêmes et maigres, mais des employés, des fonctionnaires, des banquiers, des professeurs. " Une révolution de banquiers. Il continue en disant : " L'Europe ne procède pas d'un mouvement démocratique. Elle s'est faite en suivant une méthode que l'on pourrait définir du terme de despotisme éclairé. " On voit déjà que l'article 1 bis du traité sur l'Union européenne disant que l'Union est fondé sur le respect de la liberté, de la démocratie, etc.... c'est un mensonge. En 2012 un sondage Ifop montre que si les français avaient été réinterrogés sur Maastricht, ils seraient 64% à dire non. A l'époque de l'URSS, quand les déconvenues s'accumulaient, on disait que ce n'était pas la faute du socialisme soviétique mais parce qu'il était soit mal appliqué, soit qu'il y en avait pas assez et que donc il fallait accélérer. Pour les partisans de l'UE, c'est souvent pareil. C'est un phénomène de fuite en avant. Le traité de Maastricht donne des conséquences catastrophiques et on dit que les français ont voté pour. Sauf que 20 ans, 30 ans après, ce n'est plus la même chose. Avec cette logique, on aurait élu Giscard président à vie pendant plusieurs décennies.
Deuxième raison: il faut casser l'accroissement exponentielle de l'endettement public. Avant 1973 et depuis Napoléon Ier, la France monétisait une partie de son déficit budgétaire par l'intermédiaire de la Banque de France. La Banque de France créait par exemple 1 milliards de francs à partir de rien et sans intérêt puisque la Banque de France appartient à l'Etat. Certes il y avait quelques inconvénients et c'était potentiellement inflationniste par nature. Quand vous offrez à un souverain la possibilité de faire de la monnaie, il a tendance à faire de la monnaie et plus vous publiez trop de billets, moins vos billets valent. Mais il faut aussi comprendre que banquiers et rentiers voyaient d'un mauvais oeil que l'Etat ait le contrôle sur l'économie du pays et sur les taux d'intérêt et ce d'autant plus qu'il y avait un strict contrôle des mouvements de capitaux. Les rentiers étaient piégés dans leur pays respectif. Certains ont parlé à l'époque d'euthanasie des rentiers. Quelqu'un qui avait une petite fortune qui lui était tombée du ciel car il faisait un bel héritage ne pouvait pas sortir cet argent de France. Pareil pour d'autres pays comme l'Espagne ou la Grèce. Sans autorisation. Mais les autorisations étaient rarement données surtout à des particuliers. Donc il était obligé de placer ces fonds dans le papys d'origine, dans le pays où il vivait. S'il plaçait ses fonds par exemple dans une caisse d'épargne avec des taux d'intérêt administrés du style 3 ou 4% par an et si au même moment l'inflation faisait du 10 ou 15% comme on l'a vu à la fin des années 1960 et au début des années 1970, ils étaient piégés car ils gagnaient disons 5% à la caisse d'épargne et perdaient 10% par an avec la dépréciation monétaire. Donc il y avait un intérêt des classes dominantes et possédantes à modifier ce système.
Une campagne de presse et un lobbying permanent sur les responsables politiques mirent en avant que ce système était anachronique et inflationniste par nature car l'Etat ne devant pas payer pour ses déficits publics pouvait être tenté de créer de la masse monétaire de façon excessive ce qui pouvait être le cas. Ce n'est pas tout à fait vrai car on était sous l'emprise des accords de Bretton Woods qui faisait que les monnaies devaient être convertibles en or. En 1971 Nixon fait voler en éclat les accords en supprimant la convertibilité du dollar en or. Donc ce n'est pas illogique d'un point de vue historique que la France ait pris cette loi de 1973. Mais dans l'ensemble du monde occidentale des lois identiques ont été prises pour éviter que la fin des accords de Bretton Woods ne donne libre cours à une espèce d'envolée inflationniste généralisée puisque tous les Etats pourraient à ce moment là imprimer, sortir autant d'argent qu'ils le voulaient. C'est ce qui a donné naissance à la loi 73 - 7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France que certains polémiste appellent loi Rothschild ou loi Pompidou Giscard car à ce moment là Pompidou était président de la République et Giscard ministre des finances. Et que Pompidou avait été banquier chez Rothschild à un moment donné. Cette loi a modifié l'organisation de la Banque de France. Elle a affaibli les droits du Trésor Public par rapport à celle ci. Donc normalement dans son article 25 elle précise que " Le Trésor Public ne peut plus être le présentateur de ses propres effets à l'escompte de la Banque de France. " A partir de là on a eu une loi qui était une espèce d'endettement volontaire de la France. et tous tous les autres états. On s'est dit qu'il fallait être sage sinon l'inflation sera énorme. Comme il n'y a plus la contrainte de l'étalon or, il va falloir que l'Etat fasse comme un particulier, c'est à dire qu'il s'endette sur les marchés financiers.
Donc en payant des intérêts ça va nous coûter de l'argent. Du coup il va être sage et donc il ne va pas pas s'endetter ad vitam aeternam. Une sagesse imposée par la réalité. C'est comme ça que ça avait été présenté. Mais avec cette loi l'Etat français s'est volontairement privé du droit régalien de créer de la monnaie gratuitement. Du coup les banques privés et les marchés financiers en ont profité pour s'enrichir aux dépens de l'Etat. Et ce qui auparavant été prêté gratuitement mais avec un risque d'inflation a désormais été prêté contre intérêts sonnants et trébuchants avec un risque moindre d'inflation ce qui reste d'ailleurs à démontrer puisque certains expliquent qu'en fait l'inflation n'a pas spécialement diminué. Je pense quand même qu'on peut dire par là qu'elle a u n peu régressé. Mais c'est vrai qu'on a quand même connu ensuite des périodes d'inflation. En tout cas c'est une décision historique considérable puisque c'était depuis toute éternité que le souverain c'est à dire soit le peuple soit le monarque, c'était le souverain qui avait le privilège des questions monétaires. Dans " La divine comédie " le poète florentin Dante Alighieri qui vit au début du XIIIème siècle. Dans ce texte, Dante place le roi de France en enfer. L'argument du poème c'est qu'on se promène entre l'enfer, le paradis et le purgatoire. En enfer on découvre le roi de France Philippe Le Bel. Dante le place en enfer car il fait de la dépréciation monétaire. A l'époque les pièces en argent ou en or étaient rognées. C'est pourquoi si vous êtes numismate c'est dur de trouver des pièces en or de l'époque médiévale françaises ou d'autres pays qui soient en parfait état. Elles sont rognées car on grattait de l'or, récupérait quelques grammes. Si vous enlevez 0,1 gramme sur 40 pièces vous refaites une pièce de 4 grammes. Presque à l'identique mais de mauvais aloi. Si avec 40 pièces vous en faites une nouvelle ça représente une dépréciation monétaire de 2,5%.
Ouais enfin la Moldavie c'est vraiment un confetti d'empire dependant de la Russie pour son énergie et dont le niveau de vie est exceptionnellement bas, donc nul ne peut lui prédire un grand avenir
Si ce machin entre dans l'UE, ça va puer la merde pour les salaires de tout le monde
et comme l'UE a comme seul mérite que de collectiviser les faiblesses de pays et de peuples qui n'ont pas d'horizon commun, on va finir par atteindre le niveau de la Moldavie
Les migrants en plus sans doute
Si ce machin entre dans l'UE, ça va puer la merde pour les salaires de tout le monde
Les migrants en plus sans doute
il y a 2 mois



















