Ce sujet a été résolu
Christophe
13h
Pourquoi chaîne de rire sachant que le parti pro ue est en tête
Je sais pas il y a écrit PAS
il y a 13 heures
La commission avertit d'ores et déjà qu'il y a des menaces d'ingérences sur le scrutin et les sondages
il y a 13 heures
La commission avertit d'ores et déjà qu'il y a des menaces d'ingérences sur le scrutin et les sondages
Tu sais bien que si ça ne convient pas ça va finir en roumanie BIS
il y a 13 heures
Pour rappel :
En octobre 2024 il était prévu une élection présidentielle qui a lieu tous les 4 ans là bas, et un référendum pour savoir si les Moldaves acceptaient ou non l'inscription dans la constitution moldave du fait que la Moldavie avait vocation à entrer dans l'UE. C'était illégal car il y a une loi en Moldavie interdisant d'organiser un référendum en même temps qu'une élection présidentielle. Pour qu'un candidat n'ait pas une influence particulière sur le référendum. Mais Sandu avait été élu présidente de la Moldavie en 2020. Au même moment elle militait pour un référendum dont elle avait l'initiative. A la fois jouer ce rôle de présidente et de candidate. Forcément elle avait beaucoup plus de temps de parole que l'opposition étant donné qu'en plus d'être la présidente, elle organisait le référendum.
Sandu était né en Moldavie en 1972 dans un milieu pas particulièrement politique. Elle fait ses études tranquillement et d'un seul coup, elle est repérée et obtient une bourse pour aller aux Etats Unis. Et pour aller à Harvard. Elle s'est ensuite retrouvée à la Kennedy School of Governement, 'école d'administration publique de l'Université d'Harvard. Un peu l'équivalent de l'ENA en France. Il s'agit de promouvoir des cadres supérieurs dans des pays étrangers dont les USA considèrent soit comme chasse gardée, soit des pays dans lesquels ils veulent prendre pied. Il se trouve que plusieurs présidents du Mexique ont été des anciens élèves de cette école. Le premier était Miguel de la Madrid, sous la présidence de Ronald Reagan au même moment.
Il a été décidé durant les années 1970 que cette école deviendrait une sorte de fabrique de chefs d'état étrangers, lesquels seraient bien sûr pro USA. C'est la même chose que la French American Foundation dont sont issus plusieurs politiques français dont des dirigeants. Il y a aussi la Italien American Foundation dont était issue Meloni. Puis il y a la George Town University. Miguel de la Madrid a fait adopter au Mexique des politiques ultra libérales.
L'élection suivante, il y avait le candidat officiel, Carlos Salinas de Gortari, un ancien de la Kennedy School of government. Il a été élu dans des circonstances assez incroyables. D'ailleurs Maia Sandu s'était trouvée dans des conditions similaires. Carlos Salinas a été élu avec un programme de privatisations des industries du secteur public. Son élection est controversée car le système électronique de la commission électorale tombe en panne lors de la publication des résultats alors que son adversaire de gauche, Cuauhtémoc Cardenas avait une avance confortable dans les sondages pré électoraux ou dans les sondages sortis des urnes. Quand le système informatique est relancé, Carlos Salinas se retrouve propulsé soudainement en tête. C'était impossible de faire un recomptage des voix car il y avait eu un incendie dans le sous sol du congrès où les bulletins de vote avaient été stockés. Cet incendie est officiellement accidentel, quoique très suspect.
Une fois élu, il a fait ce que les USA voulaient, à savoir privatisations massives + accords de libre échange nord américain entre le Mexique, le Canada et les USA. Les privatisations ont permis aux narcotraficants de se développer. Il y eu une crise économique après son mandat.
C'était un école de la même école que Maia Sandu. Un troisième président du Mexique issu de la même école Au Mexique pour devenir président, il faut avoir le soutien des médias financés par l'oligarchie, tout comme en France d'ailleurs. Felipe Calderon est le dernier de la liste. Il a été président du Mexique de 2006 à 2012. Il a mis en place un programme d'ultralibéralisme. Il a privatisé et bradé le patrimoine public des Mexicains, auxquels ils tenaient depuis Zapata. Il s'est ainsi soumis aux puissances d'argent. Ce même type a augmenté la dette publique mexicain de 90%. Il l'a presque doublé. Cela rappelle ce que fait Macron.
En octobre 2024 il était prévu une élection présidentielle qui a lieu tous les 4 ans là bas, et un référendum pour savoir si les Moldaves acceptaient ou non l'inscription dans la constitution moldave du fait que la Moldavie avait vocation à entrer dans l'UE. C'était illégal car il y a une loi en Moldavie interdisant d'organiser un référendum en même temps qu'une élection présidentielle. Pour qu'un candidat n'ait pas une influence particulière sur le référendum. Mais Sandu avait été élu présidente de la Moldavie en 2020. Au même moment elle militait pour un référendum dont elle avait l'initiative. A la fois jouer ce rôle de présidente et de candidate. Forcément elle avait beaucoup plus de temps de parole que l'opposition étant donné qu'en plus d'être la présidente, elle organisait le référendum.
Sandu était né en Moldavie en 1972 dans un milieu pas particulièrement politique. Elle fait ses études tranquillement et d'un seul coup, elle est repérée et obtient une bourse pour aller aux Etats Unis. Et pour aller à Harvard. Elle s'est ensuite retrouvée à la Kennedy School of Governement, 'école d'administration publique de l'Université d'Harvard. Un peu l'équivalent de l'ENA en France. Il s'agit de promouvoir des cadres supérieurs dans des pays étrangers dont les USA considèrent soit comme chasse gardée, soit des pays dans lesquels ils veulent prendre pied. Il se trouve que plusieurs présidents du Mexique ont été des anciens élèves de cette école. Le premier était Miguel de la Madrid, sous la présidence de Ronald Reagan au même moment.
Il a été décidé durant les années 1970 que cette école deviendrait une sorte de fabrique de chefs d'état étrangers, lesquels seraient bien sûr pro USA. C'est la même chose que la French American Foundation dont sont issus plusieurs politiques français dont des dirigeants. Il y a aussi la Italien American Foundation dont était issue Meloni. Puis il y a la George Town University. Miguel de la Madrid a fait adopter au Mexique des politiques ultra libérales.
L'élection suivante, il y avait le candidat officiel, Carlos Salinas de Gortari, un ancien de la Kennedy School of government. Il a été élu dans des circonstances assez incroyables. D'ailleurs Maia Sandu s'était trouvée dans des conditions similaires. Carlos Salinas a été élu avec un programme de privatisations des industries du secteur public. Son élection est controversée car le système électronique de la commission électorale tombe en panne lors de la publication des résultats alors que son adversaire de gauche, Cuauhtémoc Cardenas avait une avance confortable dans les sondages pré électoraux ou dans les sondages sortis des urnes. Quand le système informatique est relancé, Carlos Salinas se retrouve propulsé soudainement en tête. C'était impossible de faire un recomptage des voix car il y avait eu un incendie dans le sous sol du congrès où les bulletins de vote avaient été stockés. Cet incendie est officiellement accidentel, quoique très suspect.
Une fois élu, il a fait ce que les USA voulaient, à savoir privatisations massives + accords de libre échange nord américain entre le Mexique, le Canada et les USA. Les privatisations ont permis aux narcotraficants de se développer. Il y eu une crise économique après son mandat.
C'était un école de la même école que Maia Sandu. Un troisième président du Mexique issu de la même école Au Mexique pour devenir président, il faut avoir le soutien des médias financés par l'oligarchie, tout comme en France d'ailleurs. Felipe Calderon est le dernier de la liste. Il a été président du Mexique de 2006 à 2012. Il a mis en place un programme d'ultralibéralisme. Il a privatisé et bradé le patrimoine public des Mexicains, auxquels ils tenaient depuis Zapata. Il s'est ainsi soumis aux puissances d'argent. Ce même type a augmenté la dette publique mexicain de 90%. Il l'a presque doublé. Cela rappelle ce que fait Macron.
il y a 13 heures
Anthony_A3
13h
Pour rappel :
En octobre 2024 il était prévu une élection présidentielle qui a lieu tous les 4 ans là bas, et un référendum pour savoir si les Moldaves acceptaient ou non l'inscription dans la constitution moldave du fait que la Moldavie avait vocation à entrer dans l'UE. C'était illégal car il y a une loi en Moldavie interdisant d'organiser un référendum en même temps qu'une élection présidentielle. Pour qu'un candidat n'ait pas une influence particulière sur le référendum. Mais Sandu avait été élu présidente de la Moldavie en 2020. Au même moment elle militait pour un référendum dont elle avait l'initiative. A la fois jouer ce rôle de présidente et de candidate. Forcément elle avait beaucoup plus de temps de parole que l'opposition étant donné qu'en plus d'être la présidente, elle organisait le référendum.
Sandu était né en Moldavie en 1972 dans un milieu pas particulièrement politique. Elle fait ses études tranquillement et d'un seul coup, elle est repérée et obtient une bourse pour aller aux Etats Unis. Et pour aller à Harvard. Elle s'est ensuite retrouvée à la Kennedy School of Governement, 'école d'administration publique de l'Université d'Harvard. Un peu l'équivalent de l'ENA en France. Il s'agit de promouvoir des cadres supérieurs dans des pays étrangers dont les USA considèrent soit comme chasse gardée, soit des pays dans lesquels ils veulent prendre pied. Il se trouve que plusieurs présidents du Mexique ont été des anciens élèves de cette école. Le premier était Miguel de la Madrid, sous la présidence de Ronald Reagan au même moment.
Il a été décidé durant les années 1970 que cette école deviendrait une sorte de fabrique de chefs d'état étrangers, lesquels seraient bien sûr pro USA. C'est la même chose que la French American Foundation dont sont issus plusieurs politiques français dont des dirigeants. Il y a aussi la Italien American Foundation dont était issue Meloni. Puis il y a la George Town University. Miguel de la Madrid a fait adopter au Mexique des politiques ultra libérales.
L'élection suivante, il y avait le candidat officiel, Carlos Salinas de Gortari, un ancien de la Kennedy School of government. Il a été élu dans des circonstances assez incroyables. D'ailleurs Maia Sandu s'était trouvée dans des conditions similaires. Carlos Salinas a été élu avec un programme de privatisations des industries du secteur public. Son élection est controversée car le système électronique de la commission électorale tombe en panne lors de la publication des résultats alors que son adversaire de gauche, Cuauhtémoc Cardenas avait une avance confortable dans les sondages pré électoraux ou dans les sondages sortis des urnes. Quand le système informatique est relancé, Carlos Salinas se retrouve propulsé soudainement en tête. C'était impossible de faire un recomptage des voix car il y avait eu un incendie dans le sous sol du congrès où les bulletins de vote avaient été stockés. Cet incendie est officiellement accidentel, quoique très suspect.
Une fois élu, il a fait ce que les USA voulaient, à savoir privatisations massives + accords de libre échange nord américain entre le Mexique, le Canada et les USA. Les privatisations ont permis aux narcotraficants de se développer. Il y eu une crise économique après son mandat.
C'était un école de la même école que Maia Sandu. Un troisième président du Mexique issu de la même école Au Mexique pour devenir président, il faut avoir le soutien des médias financés par l'oligarchie, tout comme en France d'ailleurs. Felipe Calderon est le dernier de la liste. Il a été président du Mexique de 2006 à 2012. Il a mis en place un programme d'ultralibéralisme. Il a privatisé et bradé le patrimoine public des Mexicains, auxquels ils tenaient depuis Zapata. Il s'est ainsi soumis aux puissances d'argent. Ce même type a augmenté la dette publique mexicain de 90%. Il l'a presque doublé. Cela rappelle ce que fait Macron.
En octobre 2024 il était prévu une élection présidentielle qui a lieu tous les 4 ans là bas, et un référendum pour savoir si les Moldaves acceptaient ou non l'inscription dans la constitution moldave du fait que la Moldavie avait vocation à entrer dans l'UE. C'était illégal car il y a une loi en Moldavie interdisant d'organiser un référendum en même temps qu'une élection présidentielle. Pour qu'un candidat n'ait pas une influence particulière sur le référendum. Mais Sandu avait été élu présidente de la Moldavie en 2020. Au même moment elle militait pour un référendum dont elle avait l'initiative. A la fois jouer ce rôle de présidente et de candidate. Forcément elle avait beaucoup plus de temps de parole que l'opposition étant donné qu'en plus d'être la présidente, elle organisait le référendum.
Sandu était né en Moldavie en 1972 dans un milieu pas particulièrement politique. Elle fait ses études tranquillement et d'un seul coup, elle est repérée et obtient une bourse pour aller aux Etats Unis. Et pour aller à Harvard. Elle s'est ensuite retrouvée à la Kennedy School of Governement, 'école d'administration publique de l'Université d'Harvard. Un peu l'équivalent de l'ENA en France. Il s'agit de promouvoir des cadres supérieurs dans des pays étrangers dont les USA considèrent soit comme chasse gardée, soit des pays dans lesquels ils veulent prendre pied. Il se trouve que plusieurs présidents du Mexique ont été des anciens élèves de cette école. Le premier était Miguel de la Madrid, sous la présidence de Ronald Reagan au même moment.
Il a été décidé durant les années 1970 que cette école deviendrait une sorte de fabrique de chefs d'état étrangers, lesquels seraient bien sûr pro USA. C'est la même chose que la French American Foundation dont sont issus plusieurs politiques français dont des dirigeants. Il y a aussi la Italien American Foundation dont était issue Meloni. Puis il y a la George Town University. Miguel de la Madrid a fait adopter au Mexique des politiques ultra libérales.
L'élection suivante, il y avait le candidat officiel, Carlos Salinas de Gortari, un ancien de la Kennedy School of government. Il a été élu dans des circonstances assez incroyables. D'ailleurs Maia Sandu s'était trouvée dans des conditions similaires. Carlos Salinas a été élu avec un programme de privatisations des industries du secteur public. Son élection est controversée car le système électronique de la commission électorale tombe en panne lors de la publication des résultats alors que son adversaire de gauche, Cuauhtémoc Cardenas avait une avance confortable dans les sondages pré électoraux ou dans les sondages sortis des urnes. Quand le système informatique est relancé, Carlos Salinas se retrouve propulsé soudainement en tête. C'était impossible de faire un recomptage des voix car il y avait eu un incendie dans le sous sol du congrès où les bulletins de vote avaient été stockés. Cet incendie est officiellement accidentel, quoique très suspect.
Une fois élu, il a fait ce que les USA voulaient, à savoir privatisations massives + accords de libre échange nord américain entre le Mexique, le Canada et les USA. Les privatisations ont permis aux narcotraficants de se développer. Il y eu une crise économique après son mandat.
C'était un école de la même école que Maia Sandu. Un troisième président du Mexique issu de la même école Au Mexique pour devenir président, il faut avoir le soutien des médias financés par l'oligarchie, tout comme en France d'ailleurs. Felipe Calderon est le dernier de la liste. Il a été président du Mexique de 2006 à 2012. Il a mis en place un programme d'ultralibéralisme. Il a privatisé et bradé le patrimoine public des Mexicains, auxquels ils tenaient depuis Zapata. Il s'est ainsi soumis aux puissances d'argent. Ce même type a augmenté la dette publique mexicain de 90%. Il l'a presque doublé. Cela rappelle ce que fait Macron.
https://x.com/durov/status/1972263703149002980
About a year ago, while I was stuck in Paris, the French intelligence services reached out to me through an intermediary, asking me to help the Moldovan government censor certain Telegram channels ahead of the presidential elections in Moldova.
After reviewing the channels flagged by French (and Moldovan) authorities, we identified a few that clearly violated our rules and removed them. The intermediary then informed me that, in exchange for this cooperation, French intelligence would “say good things” about me to the judge who had ordered my arrest in August last year.
This was unacceptable on several levels. If the agency did in fact approach the judge — it constituted an attempt to interfere in the judicial process. If it did not, and merely claimed to have done so, then it was exploiting my legal situation in France to influence political developments in Eastern Europe — a pattern we have also observed in Romania 🇷🇴
Shortly thereafter, the Telegram team received a second list of so-called “problematic” Moldovan channels. Unlike the first, nearly all of these channels were legitimate and fully compliant with our rules. Their only commonality was that they voiced political positions disliked by the French and Moldovan governments.
We refused to act on this request.
Telegram is committed to freedom of speech and will not remove content for political reasons. I will continue to expose every attempt to pressure Telegram into censoring our platform. Stay tuned
il y a 13 heures
https://x.com/durov/status/1972263703149002980
About a year ago, while I was stuck in Paris, the French intelligence services reached out to me through an intermediary, asking me to help the Moldovan government censor certain Telegram channels ahead of the presidential elections in Moldova.
After reviewing the channels flagged by French (and Moldovan) authorities, we identified a few that clearly violated our rules and removed them. The intermediary then informed me that, in exchange for this cooperation, French intelligence would “say good things” about me to the judge who had ordered my arrest in August last year.
This was unacceptable on several levels. If the agency did in fact approach the judge — it constituted an attempt to interfere in the judicial process. If it did not, and merely claimed to have done so, then it was exploiting my legal situation in France to influence political developments in Eastern Europe — a pattern we have also observed in Romania 🇷🇴
Shortly thereafter, the Telegram team received a second list of so-called “problematic” Moldovan channels. Unlike the first, nearly all of these channels were legitimate and fully compliant with our rules. Their only commonality was that they voiced political positions disliked by the French and Moldovan governments.
We refused to act on this request.
Telegram is committed to freedom of speech and will not remove content for political reasons. I will continue to expose every attempt to pressure Telegram into censoring our platform. Stay tuned
" a pattern we have also observed in Romania "
C'est le cas de le dire.
C'est le cas de le dire.
il y a 13 heures
La clique internationale veut faire avec la Moldavie la même chose qu'en Roumanie.
il y a 13 heures
Peu importe qu'ils votent pro UE ou anti UE.
Qu'importe le parti en tête.
Qu'importe le parti en tête.
il y a 13 heures
Si le vote pro UE arrive en tête : " L'oligarchie, euh pardon, la démocratie a parlé. "
Si le vote anti UE arrive en tête : " ALERTE ROUGE! ON ANNULE LES RESULTATS! INGERENCE AGNEU GNEU GNEU !

Si le vote anti UE arrive en tête : " ALERTE ROUGE! ON ANNULE LES RESULTATS! INGERENCE AGNEU GNEU GNEU !

il y a 13 heures
Le Traité de Lisbonne : Refusé par référendum en 2005, le traité constitutionnel européen a été ressuscité sous forme de traité de Lisbonne, ratifié par voie parlementaire en 2008 sans consultation populaire. Sarkozy, alors président, a justifié cette manœuvre comme une “simplification institutionnelle”.
Nul doute qu'ils pourraient faire la même chose dans le futur.
Nul doute qu'ils pourraient faire la même chose dans le futur.
il y a 13 heures
Et ce n'est pas la fausse opposition qu'est LFI qui s'y opposerait n'est ce pas?
" Pour ou contre l'UE, ce n'est pas le débat " après tout.
" Pour ou contre l'UE, ce n'est pas le débat " après tout.
il y a 12 heures
Et si les golems votent mal, soit on les fera revoter, soit on va pondre un caca fumant sur leur vote.



il y a 12 heures
Ça va faire comme Gorgescu en Roumanie
¡Esta serpiente marina MATÓ a un Celestino! https://streamable.com/fmjgjb
il y a 12 heures
Anthony_A3
12h
Les bregnoules
¡Esta serpiente marina MATÓ a un Celestino! https://streamable.com/fmjgjb
il y a 12 heures