Le pire, c’est qu’à la base, c’est pas une mauvaise idée, c’est juste que ça a été complètement détourné pour créer cette connerie d’intersectionnalité. Du temps de la gauche « à la papa », la convergence des luttes, ça consistait à dire qu’on va commencer par dézinguer le grand capital, et qu’on discutera ensuite de l’égalité salariale hommes-femmes. Mais depuis l’avènement du wokistan, c’est devenu « Ah non, on ne pourra parler de tes petits problèmes de blanche sur les salaires que quand on aura réglé les problèmes de Fatoumata, qui est une femme trans noire ET musulmane ».
Il est devenu impossible d'être de gauche de nos jours, je sais pas comment font certains ici, c'est devenu une impasse
Désactiver les signatures : Mon profil/modifier/apparence
Je vais répondre très brièvement, parce que je n’ai pas que ça à foutre, tu m’excuseras donc si mon propos n’est pas aussi argumenté qu’il le mérite.
Oui, le genre est une construction sociale. Là où les activistes trans font une inversion de valeur, c’est dans leur compréhension de ce qu’est une construction sociale. Prenons l’exemple du nom, qui est aussi une construction sociale. Tu peux décider que tu t’appelles Abdoulaye, tes proches qui t’aiment t’appelleront peut-être Abdoulaye, mais la dame de la Sécu t’appellera Maurice comme c’est écrit sur ta carte d’identité, et ton collègue de travail qui te rencontre pour la première fois se demandera si tu te fous de sa gueule quand tu lui dis que tu t’appelles Abdoulaye en étant blanc comme un cul.
En résumé, une construction sociale n’est pas le fruit d’un choix individuel qui est imposé au reste du monde, mais le résultat d’un consensus au sein d’un groupe social donné. Si ta bande de potes a décidé que tu t’appellerais Momo, bah tu t’appelleras Momo dans ce groupe social-là, même si sur ta carte d’identité il y a écrit Maurice, et que ton cœur bat au rythme d’Abdoulaye.
Et il en va de même pour le genre. Ce n’est pas toi qui décides unilatéralement de ton genre, c’est chaque groupe social dont tu fais partie qui décide, selon ses propres critères, du genre auquel il te rattache. Et bien souvent, des considérations matérielles et factuelles comme ton sexe apparent jouent un rôle dans la détermination de ton genre par un groupe social donné. C’est comme ça, il faut s’y faire. Comme disait un célèbre philosophe, « Ouais mais c’est pas toi qui décide ! ».
Quant à l’expression de genre, on aborde un sujet différent. Là pour le coup, on touche à ce qui certainement me hérisse au plus haut point chez les trans, en particulier les activistes, à savoir qu’ils ont tellement intériorisé les stéréotypes de genre que leur seul moyen de réconcilier leur sexe biologique, leurs aspirations et leurs préjugés de genre, c’est de se prétendre comme appartenant à un autre genre. Non Jean-Charles, aimer les robes ne fait pas de toi une femme, tu es juste un homme qui aime porter des robes, et il n’y a aucun problème avec ça, fais-le autant que tu le veux. Si je te chie à la gueule, c’est parce que tu es tellement pétri de préjugés que tu ne parviens pas à accepter dans ta petite tête qu’un homme puisse aimer les robes.
Pour finir sur la question de la maladie mentale, évidemment que le « Direction HP » est une exagération à but trollesque. Il n’en reste pas moins que ces personnes vivent dans un déni de la réalité et doivent être prises en charge par des professionnels, pas validées et encouragées dans leur illusion. Une personne atteinte de dépression, tu l’envoies se faire aider par un psy, tu ne lui dis pas qu’elle a raison de se considérer comme une sombre merde et tu ne fais pas financer son suicide par la Sécu.
Oui, le genre est une construction sociale. Là où les activistes trans font une inversion de valeur, c’est dans leur compréhension de ce qu’est une construction sociale. Prenons l’exemple du nom, qui est aussi une construction sociale. Tu peux décider que tu t’appelles Abdoulaye, tes proches qui t’aiment t’appelleront peut-être Abdoulaye, mais la dame de la Sécu t’appellera Maurice comme c’est écrit sur ta carte d’identité, et ton collègue de travail qui te rencontre pour la première fois se demandera si tu te fous de sa gueule quand tu lui dis que tu t’appelles Abdoulaye en étant blanc comme un cul.
En résumé, une construction sociale n’est pas le fruit d’un choix individuel qui est imposé au reste du monde, mais le résultat d’un consensus au sein d’un groupe social donné. Si ta bande de potes a décidé que tu t’appellerais Momo, bah tu t’appelleras Momo dans ce groupe social-là, même si sur ta carte d’identité il y a écrit Maurice, et que ton cœur bat au rythme d’Abdoulaye.
Et il en va de même pour le genre. Ce n’est pas toi qui décides unilatéralement de ton genre, c’est chaque groupe social dont tu fais partie qui décide, selon ses propres critères, du genre auquel il te rattache. Et bien souvent, des considérations matérielles et factuelles comme ton sexe apparent jouent un rôle dans la détermination de ton genre par un groupe social donné. C’est comme ça, il faut s’y faire. Comme disait un célèbre philosophe, « Ouais mais c’est pas toi qui décide ! ».
Quant à l’expression de genre, on aborde un sujet différent. Là pour le coup, on touche à ce qui certainement me hérisse au plus haut point chez les trans, en particulier les activistes, à savoir qu’ils ont tellement intériorisé les stéréotypes de genre que leur seul moyen de réconcilier leur sexe biologique, leurs aspirations et leurs préjugés de genre, c’est de se prétendre comme appartenant à un autre genre. Non Jean-Charles, aimer les robes ne fait pas de toi une femme, tu es juste un homme qui aime porter des robes, et il n’y a aucun problème avec ça, fais-le autant que tu le veux. Si je te chie à la gueule, c’est parce que tu es tellement pétri de préjugés que tu ne parviens pas à accepter dans ta petite tête qu’un homme puisse aimer les robes.
Pour finir sur la question de la maladie mentale, évidemment que le « Direction HP » est une exagération à but trollesque. Il n’en reste pas moins que ces personnes vivent dans un déni de la réalité et doivent être prises en charge par des professionnels, pas validées et encouragées dans leur illusion. Une personne atteinte de dépression, tu l’envoies se faire aider par un psy, tu ne lui dis pas qu’elle a raison de se considérer comme une sombre merde et tu ne fais pas financer son suicide par la Sécu.
Il est devenu impossible d'être de gauche de nos jours, je sais pas comment font certains ici, c'est devenu une impasse
Parce que je ne suis pas câblé pour attendre patiemment la mort en voyant arriver la broyeuse…
RIP les PD
¡Esta serpiente marina MATÓ a un Celestino! https://streamable.com/fmjgjb
RIP les PD
Désactiver les signatures : Mon profil/modifier/apparence
En même temps imagine tu rencardes un beau mec costaud viril, tu t'imagines lui pomper sa grosse queue veineuse avec appétit un bon plan suce entre mecs et quand tu baisses le froc tu tombes sur une schneck avec un dickclit au mieux...
Y'a de quoi être gravement traumatisé pour quelqu'un qui préfère les champignons aux fruits de mer
Y'a de quoi être gravement traumatisé pour quelqu'un qui préfère les champignons aux fruits de mer
Je suis le donut du forum
Le pire, c’est qu’à la base, c’est pas une mauvaise idée, c’est juste que ça a été complètement détourné pour créer cette connerie d’intersectionnalité. Du temps de la gauche « à la papa », la convergence des luttes, ça consistait à dire qu’on va commencer par dézinguer le grand capital, et qu’on discutera ensuite de l’égalité salariale hommes-femmes. Mais depuis l’avènement du wokistan, c’est devenu « Ah non, on ne pourra parler de tes petits problèmes de blanche sur les salaires que quand on aura réglé les problèmes de Fatoumata, qui est une femme trans noire ET musulmane ».
Ils travaillent carrement au service des grands patrons et aussi service du capitalisme d'ailleurs en voulant intégrés tout le tiers monde.
Faire valoir ses droits au travail ou même postuler devient compliqué quand il y a 50 mamadou en conccurence avec 60 de Q.I
Faire valoir ses droits au travail ou même postuler devient compliqué quand il y a 50 mamadou en conccurence avec 60 de Q.I
bon heu moteur... moteur.... Moteeeur, moteur. Moooooteeeeeur. Aller moteur. MOOOOOOOTEEEEEUUUUR!!!!
Ils travaillent carrement au service des grands patrons et aussi service du capitalisme d'ailleurs en voulant intégrés tout le tiers monde.
Faire valoir ses droits au travail ou même postuler devient compliqué quand il y a 50 mamadou en conccurence avec 60 de Q.I
Faire valoir ses droits au travail ou même postuler devient compliqué quand il y a 50 mamadou en conccurence avec 60 de Q.I
Georges Marchais le disait déjà il y a 40 ans…