InscriptionConnexion
Les euro régions vous pensez que c'était pour quoi?
:zidane_benzemonstre:



Sans oublier d'autres trucs comme l'Union Charlemagne.


En 2003, Giscard d'Estaing a reçu le prix Charlemagne à Aix la Chappelle, lui qui était président de la convention chargée d'élaborer la future constitution européenne. En 1950, ce fut Kalergi qui reçu le prix. Alcide de Gasperi le reçut en 1952. Puis ce fut Jean MOnnet en 1953. Churchill l'a reçu en 1955 tandis que Konrad Adenauer l'a reçu en 1954. Robert Schuman l'a quant à lui reçu en 1958. Ce fut au tour de George Marschal de le recevoir en 1959, Simone Veil en 1981, Juan Carlos en 1982, Henry Kissinger en 1987. En 1988, Helmut Kohl et François Mitterrand le reçurent conjointement tandis que Jacques Delors et Tony Blair reçurent le prix Charlemagne respectivement en 1992 et en 1999. A noter que Bill Clinton a reçu ce prix en 2000. Giscard avait affirmé dans son discours après avoir reçu le prix : " Notre tâce est de rédiger, pour la première fois dans l'hsitoire de l'Europe, une constitution paneuropéenne. " Plus tard : " Vous, membres du Comité du prix Charlemagne, vous avez été particulièrement clairvoyants en attribuant, en 1950, votre premier prix au père du mouvement paneuropéen, Monsieur Coudenhove Kalergi. Si vous réalisez aujourd'hui son discours, vous serez émus comme moi par son engagement et par sa vision. C'est aujourd'hui, que nous devons réussit la construction européenne d'un continent uni. "
Il faut savoir que Richard Coudenhove Kalergi était le fils d'un diplomate austro hoingrois et d''une mère japonaise. Il était entré dans le collège le plus réputé de l'Empire austro hongrois, le Theresanium de Vienne, avant de se passionner pour la philosophie et de décrocher le titre de docteur en 1917. Après la WW1 il écrit des articles où il s'engage pour la naissance d'un nouvel ordre européen. En 1922 son projet est étudié simultanément par la Neu Freie Presse de Vienne et la Vossische Zeitung de Berlin sous le titre " Paneuropa, ein Vorschlag " Paneurope, un projet. On voit bien avec le fait que de tels journaux en parlent, l'accoitance de Kalergi avec la pression autrichienne et allemande. L'objectif de Kalergi était d'unifier l'Europe pour faire face aux grands, qui étaient à l'époque, les USA, l'URSS et l'empire britannique, tout en favorisant un rapprochement franco allemand. Cependant faire poids ne voulait pas dire s'opposer. En bon cosmopolite il voulait unifier le bloc européen, qui était un préalable à l'unification mondiale. Il fallait procéder par étapes. Il y avait les utopistes voulant unifier l'Europe sans aller plus loin, dans le respect des Etats, voeu aussi illogique que l'expression " fédération d'Etats nations ". Et il y avait les adeptes du principae ' agiter les nigauds avant de s'en servir ". Ils connaissent, eux, l'arrière fond de la boutique gérée par des pontifes se présentant en anges de lumières. Les idées de Kalergi côtoyaient les objectifs de la Fabien Society, think thank anglaise et mouvement de pensée puisant fondé en 1884 et dont l'influence est toujours présente dans la volonté d'aboutir à une gouvernance globale.

En octobre 1926 il y avait eu un premier Congrès de l'Union paneuropéenne à Vienne avec plus de 2 000 participations venant de 24 pays. L'ode à la joie de Beethoven, devenu par la suite l'hymne de l'UE, fut joué lors de ce congrès et c'est Kalergi lui même qui le propose comme hymne européen. Ensuite les idées paneuropéennes ont influencé durant l'entre deux guerres des hommes politiques comme Aristide Briand qui accepta la présidence d'honneur du mouvement paneuropéen en France. Le chancelier Gustav Stresemann fut sensible au projet défendu par Kalergi car il était lié aux milieux politiques et financiers anglo saxons. Mais l'arrivée des nationaux socialistes au pouvoir qui n'obéissaient pas à ces règles tacites en particulier celle de la fameuse répartition des rôles entre ces 2 mondes, a bouleversé les projets qui ont repris en 1945. La Fabian Society est liée au parti travailliste britannique. Ce think thank prône littéralement la gouvernance mondiale. Bien des députés britanniques en font partie. Denis Mac Shane, ancien ministre délégué aux affaires européennes, en a fait partie, tout comme Jack Strax, David Blunkett, Clare Short et Gordon Brown. Le comité français pour l'Union paneuropéenne vit le jour en 1960, plus tard nommé Paneurope France. Louis Terrenoine en était l'ancien dirigeant avec Alain Peyrefitte en secrétaire général et Georges Pompidou en trésorier. Mais à cause de zizanies étant apparues au sein de Paneurope France au début des années 1990 en raison du chemin pris par les instances européennes en faveur d'une autorité supranationale dans un cadre fédéral, ces problèmes sont apparus qui peuvent étonner. Mais cela montre que certains n'avaient pas bien lu le discours de Kalergi de 1950 qui avait pourtant déjà annoncé la couleur à Aix la Chapelle. A noter que le comité d'honneur de la Paneurope France regroupe des personnalités comme Jacques Chirac, Hélène Carrère d'Encausse, Raymond Barre, Alain Juppé, Christian Poncelet, Philippe Séguin, etc...
Jacques Chirac a tenu un discours à l'International Institute for Strategic Studies à Londres le 18 novembre 2004. Quel est le contenu entier et exact de ce discours?
Voici un extrait du discours prononcé par Jacques Chirac à l’International Institute for Strategic Studies à Londres le 18 novembre 2004 :

"Monsieur le Lord Maire, Monsieur le Président de l’Institut International d’Études Stratégiques, Monsieur le Directeur, Mesdames, Messieurs, je tiens tout d’abord à vous remercier pour votre accueil et vos aimables paroles de bienvenue. C’est pour moi un plaisir et un honneur de pouvoir m’exprimer, dans un Institut aussi prestigieux, devant vous qui contribuez par vos réflexions et vos analyses à éclairer les choix des responsables de la scène internationale.

Voici quelques jours, le peuple américain s’est exprimé. Dans quelques mois, d’autres consultations auront lieu en Europe. Les peuples européens, en France, au Royaume-Uni et dans de nombreux pays de l’Union, seront appelés à se prononcer directement sur la Constitution européenne. Comme les élections américaines, toutes ces consultations, qui sont les respirations naturelles de la démocratie, engageront, par-delà chacune de nos nations, l’évolution même du monde.

Le monde où nous vivons est un. Un monde dans lequel les choix des États-Unis, les choix de l’Europe, pèsent aujourd’hui d’un poids déterminant. Un monde complexe et mouvant, inquiétant parfois, mais de plus en plus présent dans la vie et les préoccupations de nos concitoyens alors que la mondialisation brouille chaque jour davantage la limite entre ce qui se passe à l’intérieur et au-delà de nos frontières. Un monde qui bouillonne à la recherche de nouveaux équilibres, qui hésite entre l’espoir et le chaos.
La responsabilité qui incombe aujourd’hui à l’Europe et aux États-Unis est immense. Nous avons chacun notre histoire et notre regard. Par son expérience, l’Europe porte le message de la réconciliation entre les ennemis d’hier, elle témoigne de la force du droit, de la coopération et de la solidarité. Comme les États-Unis, elle a reçu en héritage l’essentiel, c’est-à-dire l’attachement aux valeurs de la démocratie, de la liberté, des droits de l’homme, qui fondent la Charte des Nations Unies."
Ce discours aborde des sujets tels que la construction européenne, les liens entre l’Europe et les États-Unis, la mondialisation, le multilatéralisme, le règlement du conflit du Proche-Orient, la situation en Irak, la non-prolifération des armes de destruction massive, l’aide au développement et la protection de l’environnement. Jacques Chirac souligne également l’importance des choix politiques dans un monde en constante évolution.
il y a 14 jours
Pour rappel !

Image
On voit sur cette carte notamment le royaume de France, le royaume d'Espagne, le royaume du Portugal qui existe déjà. Il n'y avait pas encore d'union au Royaume Uni à ce moment là. Cela interviendra plus tard. Au passage on voit qu'il existe une république des deux nations qui comporte la Pologne et la Lituanie. Et qui va dans le nord ouest de l'actuelle Ukraine. On a ensuite plus au sud est la Crimée avec le khanat de Crimée. A l'époque un khanat musulman sous la suzeraineté de l'empire Ottoman. Au centre on a l'Allemagne actuelle qui est parsemée de plusieurs principautés, archevêchés. On avait les électeurs libres, les villes libres etc. Et ça c'était le fruit d'une volonté de la diplomatie pour empêcher l'Allemagne de s'unifier.


On sait qu'après 1870, Bismarck arrivera à unifier les Allemands après la bataille de Sedan, en proclamant le IInd Reich. Cela sera proclamé pour humilier les français dans les galeries des glaces à Versailles. Il y a un ressentiment du côté des Allemands envers la France au sujet de cette parcellisation. Les anglais quant à eux ont toujours appliqué ce principe sur le continent, en l'occurrence l'Europe continentale. Les britanniques avaient la crainte de voir le continent européen s'unifier contre elle. Elle a tenté de prévenir cela en soutenant notamment la France contre l'Allemagne et l'Allemagne contre la France selon les périodes et selon ses intérêts. Durant la guerre de succession d'Espagne se déroulant entre 1700 et 1713 se terminant par le traité d'Utrecht, les anglais en ont profité pour prendre Gibraltar. Après la Seconde Guerre mondiale, cela a été repris à son compte par les Etats Unis d'Amérique. Leurs dirigeants voulant une hégémonie planétaire, ils vont tenter d'appliquer cela un peu partout dans le monde. Deux exemples que tout le monde connait est le démembrement de la Yougoslavie entre 1991 et 2006, lorsque le Kosovo a proclamé son indépendance. Pour aboutir à cette dislocation, les néocons américains sont bien sûr intervenus par intérêt. C'est ce qu'a compris Richelieu et Mazarin et qui a permis d'avoir la France du grand siècle. Car on n'aurait peut être pas été la première puissance d'Europe voire du monde sous Louis XIV puis sous Louis XV si la France avait eu affaire à un ennemi uni. Un écrivain conseiller de François Mitterrand disait d'ailleurs qu'il préférait avoir deux Allemagnes. Ensuite, le deuxième démembrement auxquels les élites américaines ont activement participé a été le démembrement du Soudan en 2011.

Aujourd'hui, il serait judicieux de revenir sur le discours de Wesley Clark. C'est un général 4 étoiles retraité des forces des Etats Unis. Lors d'une conférence donné le 3 octobre 2007 à San Francisco. Il a expliqué que 10 jours après le 11 septembre 2001 et les attentats, l'invasion de l'Irak, de la Libye et de d'autres pays du Moyen Orient comme l'Afghanistan avaient déjà été planifié. Il a dit que des types impitoyables avaient pris la direction de la politique étrangère américaine. Ce même Wesley Clark a précisé que le plan américain après le 11 septembre, c'était d'envahir 7 pays différents. De morceler ces Etats mais surtout de les laisser dans des conflits de basse ou moyenne intensité. En gros l'idée est de ruiner les Etats, d'organiser une anarchie avec des seigneurs de la guerre. C'est ce qui s'est passé en Afghanistan, en Libye, en Irak, en Syrie. Le but est en somme d'avoir un conflit qui s'éternise comme c'est le cas en Ukraine avec l'objectif d'épuiser les forces et les ressources russes, en utilisant les Ukrainiens comme chair à canon pour cela. Le but est d'avoir un Etat qui soit en permanence en conflit avec lui même, un conflit larvé, une guerre civile larvée. Ces Etats seraient cible facile de toutes les corruptions du monde, et également témoin de trafics de circulations d'armes et autres formes de trafic.
Dans des cercles de réflexion, des associations d'anciens combattants, des think thank il existe des projets de division d'Etats. Comme celui ci. Il y a sur cette carte des pays qui sont gagnants et d'autres qui sont perdants. Parmi les pays faisant les frais de ce projet sorti dans un journal des forces armées américaines je le rappelle, il y a l'Afghanistan, l'Arabie Saoudite, l'Iran, la Syrie et la Turquie. Ca tombe bien, ces pays là font partie des pays du Moyen Orient hostiles à la politique américaine. Pourtant, ce n'est pas comme si l'Arabie Saoudite n'était pas considéré comme étant la 52ème étoile américaine, la 51ème étant Israel. Peut être les Saoudiens ont ils compris comme les Turcs les risquent qu'ils courraient avec ces projets de démantèlement.



Image
il y a 14 jours
Il existe une carte qui circulait chez les Verts Allemands notamment au parlement européen. Avec The European Free Alliance, il avaient fait cette carte et c'est fait pour soit disant défendre le droit des peuples et leurs langues. A noter qu'ils ont strictement maintenu l'Ukraine comme s'ils ne savaient pas que l'est et la majorité du sud ouest ukrainien est russophone et russophile. En revanche, la France n'est pas épargné puisqu'ils ont séparé la Bretagne du reste de la France. A noter la séparation de l'Alsace également. A noter que l'Occitanie est également séparée. Ils ont eu la précision de rattacher les Pyrénées Orientales à la Catalogne. A noter qu'il s'agit d'une revendication d'indépendantistes catalans, ces mêmes indépendantistes qui ont une antenne à 300 mètres du bâtiment de la Commission européenne à Bruxelles. La même chose arrive à l'Espagne avec la Catalogne mais aussi avec la Galicia et l'Euskal Herria. L'Italie est également concernée, du moins le nord de l'Italie ainsi que le Royaume Uni avec l'Ecosse dont une partie de la population veut devenir indépendante afin notamment de rester dans l'Union Européenne suite au Brexit. Sur cette carte enfin, des territoires russes sont désagrégées du côté des territoires russes proches de la Finlande au nord ouest. L'Allemagne est comme on peut le voir le pays qui tire son épingle du jeu. L'Autriche est également intégrée à l'Allemagne. Un petit grignotage de la République Tchèque est également visible.

Image


En parlant ce ça, il faut savoir que François Hollande avait fait un référendum en 2013 pour proposer aux Alsaciens de supprimer les départements du Bas Rhin et du Haut Rhin pour créer une région Alsace Generis comme on dit. Il fallait que les deux départements aient 25% de participation au moins chacune. Malgré que les Alsaciens aient dit non, cela a été imposé quand même par les parlementaires sous Macron, de telle sorte que si on va en Alsace, il n'y a quasiment plus de drapeau français ou presque mais avant tout des drapeaux blanc rouge de l'Alsace et des drapeaux bleus aux étoiles d'or, celui de l'Union européenne.
Chaud.
:zidane_lunettes:
il y a 14 jours
La Chine est également concernée par des programmes de démembrement. On voit notamment un projet de division avec la présence de Taiwan mais aussi et surtout celle d'un Tibet très étendu à l'ouest de la Chine auquel s'ajoute à l'extrême nord ouest, le Turkestan de l'est. Au nord, la Mongolie a sur cette carte pris des territoires à la Chine. Que ce soit Tchang Kai Tsek ou Mao Zedong, il étaient tous les deux d'accord pour unifier la Chine sous leur houlette. Ce qui est nouveau c'est que les Américains ont crée ou fait crée plutôt, un parti taiwanais indépendantiste. On parle beaucoup du Tibet également et même si on ne parle pas pour le moment de la Mongolie extérieure ou de manière résiduelle, cela va arriver bientôt certainement. Cela ne veut pas dire que la situation des Tibétains est merveilleuse. Il faut raison garder néanmoins. Et la description de génocide des Ouigours par les médias occidentaux est clairement exagéré. A noter que les seuls qui n'étaient pas astreints à la politique de l'enfant unique, ce n'était pas l'ethnie majoritaire mais bel et bien des minorités ethniques comme les Ouigours et les Tibétains. Leur pourcentage dans la population chinoise a connu une augmentation. A comparé avec le génocide des Amérindiens en Amérique et leur pourcentage dans la population américaine au fil des années qu'on puisse voir le niveau d'hypocrisie et de mensonges qu'on atteint certains médias occidentaux. Il ne faut pas oublier les financements du Dalai Lama par la CIA. La rencontre de Rebiya Kadder avec George Bush à la maison blanche est également à souligner en juillet 2008. C'était le deuxième président du World Uygour Congress. A noter que le Dalai Lama a refusé de condamner les actions de George Bush en Irak.

Image
il y a 14 jours
Pareil pour la Russie.
:zidane_lunettes:


On peut voir la manière dont la CIA anticipait la désintégration de la Russie à l'horizon de 2015. Cela n'a bien sûr pas eu lieu mais à noter tout de même la présence de Severoslavia, les slaves du nord, la République du Moscou, le République de l'Oural, la Fédération Soviétique, Cossackla, la République de Sibérie, la Fédération de Baikal et également le Caucase. Entre temps, en 2022, les projets se sont affinés. Cela a été publié en mars 2022. Ce n'est pas tout à fait la même qu'en 2015 comme on peut le constater. La carte ici représente avant tout la carte de 2015.
Image


La carte de 2022, est celle ci. Le Kyev Post n'a fait que rendre d'une réunion qui s'était déroulée. Une réunion tenue par une association qui s'appelle le Free Nations of Russia Forum. C'est le forum des nations libres de la Russie. Cette association part du principe qu'il s'agit d'un pays de 144 millions d'habitants mais d'un peuple qui n'a pas procédé à un processus d'intériorisation ou de décolonisation. Les objectifs du forum sont la reconstruction et la transformation structurelle de la Russie, du développement économique et politique des régions et des autonomies. L'objectif est soit disant de défendre le bien être des habitants et leurs libertés. Il imagine des nations post poutine avec des administrations transitions. Ils réfléchissent à la manière d'éviter un effondrement trop marqué dans les secteurs clés. Cela comprend notamment la question de la démilitarisation et de l'arsenal nucléaire. Il s'agit de bâtir une nouvelle architecture de sécurité européenne. Il s'agit également s'assurer l'existence de ces républiques qui seront issues du démembrement de la Russie avec leurs voisins. Parmi les objectifs du forum il y a la désimpérialisation et la décolonisation soit disant. A cela s'ajoute des projets de dépoutinisation, de démilitarisation et de nucluéarisation. Avec les changements économiques et sociaux qui vont avec. Le président de l'association s'appelle Andrius Almanis qui est né en URSS et qui a tenu un premier forum les 8 et 9 mai 2022 en Varsovie. Il y a un deuxième forum qui s'est tenu les 22 et 23 juillet 2022 à Prague. Le directeur général de l'association s'appelle Vadim Shtepa. Il vit en Lettonie me semble il.

Image


Ce même Vadim Shtepa est financé par la Jamestown Foundation. Cette dernière est une organisation américaine visant à la libéralisation des pays sortis du communisme à partir de l'effondrement du camp socialiste et de l'URSS. Cette organisation a partie liée avec Freedom House qui est une association américaine qui veut promouvoir des mouvements veillant au développement de la société civile, faire valoir l'intérêt de la reviviscence des traditions nationales. Derrière tout cela on trouve la National Endowment of Democracy qui est la NED qui a remplacé la CIA. La NED est lié à la CIA et se concentre sur tout ce qui est soft power, travaux d'influents. Ce sont des fonds publics américains. Ce deuxième forum les 22,23 et 24 juillet à Prague, on en a pas beaucoup parlé dans les médias français. Voire pas du tout.

Sur le site de 24 TV Ukrainien est paru un article intéressant à ce sujet d'ailleurs. C'est une des plus grandes chaînes de télévisions ukrainiennes. Et qui rend compte de ce deuxième forum et qui rend compte de la fameuse carte de 2022. Dans cet article il est écrit qu'une disparition de la Russie se prépare. Des élites et des intellectuels financés par les Etats Unis d'Amérique s'y préparent. L'événement selon l'article, a pour but de faire savoir à nos alliés occidentaux qu'il sera plus facile pour le monde de se redresser lorsque la Russie s'effondrera. l'organisateur était l'institut letton des régions de Russie. A se demander ce que fait là un membre de l'Union européenne a qui on donne d'ailleurs plusieurs millions par an, tout ça pour soutenir directement ou indirectement une organisation ayant des visées régionalistes, sachant que d'autres organisations du genre visent l'Europe de l'Ouest et du centre également, dont la France. Avec célébration des Waffen SS chaque année en Lettonie. Les représentants de l'institution selon l'article, pensent que c'est le meilleur moment pour agir activement et à changer la situation. l'institut est convaincu que les peuples de Russie ont un droit complet à leur propre Etats nationaux. Et du droit de posséder et de disposer de ses ressources naturelles et autres avantages qui sont caractéristiques de leurs républiques. Le député ukrainien du parti présidentiel Oleg Dunda faisait partie de ce forum. Il a expliqué le but de ce forum dans une liaison de Prague au site web de Channel 24 en Ukraine. Je le cite : " Nous devons faire comprendre au monde l'extrême nécessité de la disparition de la Russie en tant qu'Etat. il a donné l'importance de former dans la conscience collective de l'Occident l'attitude selon laquelle la Russie doit inévitablement disparaître de la surface de la terre.

Selon lui, le rôle de l'Ukraine dans la désintégration de la Russie devrait être de créer toutes les conditions nécessaires à la préparation de formations paramilitaires et d'agitateurs éclaireurs sur son territoire pour de nouvelles activités subversives réussies en plus de celles déjà sur le territoire russe. On apprend en lisant cet article la présence de plusieurs personnalités comme Pavlo Klilmkin, Tamila Tasheva, Paul Massaro qui lui est américain. A cela s'ajoutent Yevhen Magda qui est analyste politique ukrainien, Wojciech Pokora, acteur polonais à la retraite, Mariusz Pillis, réalisateur polonais, Andrius Almanis, le Lituanien président du forum, et Edward Lucas, un universitaire et journaliste britannique. Ce dernier s'était présenté en 2000 puis en 2004 sous l'étiquette du parti libéral au Royaume Uni. Pour rappel, Pavlo Klimkin a été ministre ukrainie des Affaires Etrangères entre 2014 et 2019 sous la présidence de Porochenko donc. Il a été ambassadeur en Allemagne et Responsable des négociations pour l'entrée de l'Ukraine dans l'Union européenne. On le voit d'ailleurs le 20 juin 2017 avec Trump et Porochenko. Tamila Tasheva elle, est né d'une famille de Tatars de Crimée déportée par Staline. Elle a participé à la révolution orange en 2014 puis organisé des manifestations en Crimée. Aujourd'hui, elle est officiellement représentante permanente du président ukrainien dans la République autonome de Crimée. Paul Massaro, quant à lui, est conseiller principale pour la Commission Américaine sur la sécurité et la coopération en Europe. Ce même Paul Massaro non seulement appelle à donner à l'Ukraine plus de Himars américains mais en plus de cela il appelle à donner davantage de missiles à longue portée et d'autoriser les frappes contre les bases militaires en Biélorussie comme en Russie.
il y a 14 jours
Concernant l'application de la charte des langues minoritaires au Royaume Uni :

Les documents germano européens évoqués ont commencé à entrer dans la législation des états européens dès les années 2000. On peut parler de la ratification de la charte de l’autonomie locale par le gouvernement français de l’époque. Ces documents s’imposent et commencent à disloquer les Etats européens au profit d’une Europe des régions. Pour se rendre compte des effets corrosifs de ces documents, il faut voir les effets et conséquences de la charte des langues régionales ou minoritaires au Royaume Uni au s’appuyant sur le rapport officiel du Conseil de l’Europe du 24 mars 2004 intitulé « Application de la charte au Royaume Uni « . Signée le 2 mars 2000 et ratifiée le 27 mars 2001, cette charte est entrée en vigueur le 1 juillet 2001.La déclaration britannique reconnaissait comme langues le gaélique écossais, l’irlandais, le gallois, l’écossais et l’écossais d’Ulster. Ensuite le Royaume Uni a présenté une déclaration le 11 mars 2003 reconnaissant le cornique, la région de Cornouailles donc, et quelques semaines plus tard le 22 avril 2003, le gaélique mannois de l’Ile de Man.
Conformément à l’article 17 de cette charte, un comité d’experts a été constitué pour vérifier sa bonne application. Cette dernière se fait en 2 temps. D’abord le gouvernement britannique a rédigé son premier rapport sur sa politique à l’égard de la protection des langues régionales remis le 1er juillet 2002 au comité d’experts. Mais c’est la deuxième étape qui constitue la grosse part car ce comité a effectué une vraie étude de terrain en liaison avec les représentants de l’Executf et du parlement écossais, du ministère des Arts et de la Culture, des organes gouvernementaux d’Irlande du Nord et de l’Assemblée du pays de Galles. Ces différents contacts renforcent aussi, commme le souligne le rapport, avec des réunions « organisées avec des représentants des différents secteurs de la vie publique, tels que l’enseignement, les médias et la recherche, et un grand nombre d’associations favorables à l’emploi de diverses langues territoriales ou dépourvues de territoires parlées au Royaume Uni…. La visite s’est achevée à Londres où le Comité d’experts a rencontré des représentants du ministère des Affaires étrangères et du ministère de la culture, des médias et des sports (…. ) Le Comité d’experts a reçu un grand nombre d’observations et d’informations complémentaires de la part d’ONG britanniques « . Dans le cas britannique il y a depui 1999 une plus large autonomie accordée au pays de Galles et à l’Ecosse. Les représentants du Scottish National Party, et du Plaid Cymru, ont fait partie du Parti Démocratique des Peuples d’Europe, Alliance Libre Européenne ( PDPE – ALE ), prônant la voie de l’indépendance et travaillent en liaison avec l’UFCE ( L’union fédéraliste des communautés ethniques européennes ) et l’ECMI ( European Center Minorities Issues ). Une émergence régionale en particulier et une politique européiste en général dans le cas britannique a valu en 1999 au Premier ministre anglais le prix Charlemagne.
Selon les textes officiels, Tony Blair a poursuivi le rapprochement de son pays à l’Union européenne. Cette régionalisation progressive du Royaume Uni est un point essentiel car désormais, comme le souligne le rapport du Conseil de l’Europe : « L’application d’un grand nombre de dispositions incluses dans la carte est de la responsabilité des administrations décentralisées d’Ecosse et du Pays de Galles. En raison de la suspension de l’Assemblée d’Irlande du Nord, l’exécutif d’Irlande du Nord, s’il conserve une identité distincte, est maintenant subordonné à des ministres désignés par le gouvernement britannique (…). La décentralisation des pouvoirs présente l’avantage de garantir que les politiques et les mesures liées à l’application de la charte sont adoptées à proximité des locuteurs des langues concernées. Un problème apparaît toutefois dans les Etats qui ont une forte tradition d’autonomie locale, dans les Etats fédéraux ou quand es pouvoirs sont attribués à des administrations décentralisées : l’État central risque de ne pas se sentir responsable de l’application de certains des engagements internationaux qu’il a pris et qui indiquent expressément le niveau de gouvernement responsable. S’il reconnaît pleinement la valeur de telles structures, le Comtié d’experts souligne néanmoins que le Royaume Uni reste responsable, au titre du droit international, de l’application des traités qu’il a ratifiés. «

A noter que l'idée d'unifier l'Europe avec une constitution est vieux. Depuis le Traité de Rome en fait, l'Europe s'était engagé vers cette voie qui a conduit au Traité de Lisbonne en 2007 malgré le refus français de 2005. Entre temps il y a eu Maastricht, Amsterdam et Nice ayant souligné la nécessité de faire une refonte complète du système européen pour permettre le fonctionnement d'une Europe élargie pour le moment à 25 Etats en 2004. Suite aux déclarations du conseil européen réuni à Laeken les 114 et 15 décembres 2001, il a été décidé d'élaborer une constitution européenne dont les travaux ont été lancés le 27 février 2002. Giscard d'Estaing avait été aidé par Giuliano Amato et Jean Luc Dehaene, et de toute une kyrielle de représentants des Etats de l'Union et des 10 pays candidats. En plus de cela il faut dire que Sir John Kerr, ancien responsable du service diplomatique britannique, chargé d'assurer la synthèse des travaux de Paesidium. Les responsabilités de ce citoyen anglais soulignait les intérêts du gouvernement britannique pour l'élaboration de la constitution. Ce n'est pas pour rien que Tony Blair avait reçu le prix Charlemagne en 1999. Sans oublier les relations privilégiées entre Grande Bretagne et Etats Unis. Il y a donc eu un " Traité instituant une constitution pour l'Europe " remis au conseil européen réuni à Thassalonique le 20 juin 2003. Ce document avait présenté un texte d'une ampleur inégalée pour ancrer l'Europe dans le courant mondialiste.
Mais une nouvelle mouture avait pris forme car ce projet de traité a servi de base aux travaux de la Conférence intergouvernementale ( CIG ) réunie à partir du 4 octobre 2003. Après discussions, le texte de la constitution avait été adoptée à l'unanimité le 18 juin 2004, par les 25 chefs d'état et de gouvernement à Bruxelles lors de la réunion du Conseil européen. Le sujet est précédé d'un préambule insistant sur l'identité des différents peuples européens, et pas sur leiur souveraineté. Il comporte 4 grandes parties dont les axes sont : une première partir traitant de l'aspect constitutionnel, une deuxième partie constituée d'une Charte des Droits fondamentaux, une troisième partie regroupant les dispositions relatives aux politiques et au fonctionnement de l'Union et enfin une quatrième partie énonçant les dispositions générales et finales. L'anxiome de " Politique d'abord " s'applique bel et bien ici. S'il y avait un seul élément à retenir rdu traité, ce serait l'article I - 7 qui en 6 mots, dit tout : " L'union a la personnalité juridique ". Cela veut dire qu'on avait assisté à une possibilité pour l'UE de signer des traités reconnus internationalement au détriment des Etats la composant. L'article met en évidence le projet d'un Etat européen dont les structures fédérales à fort relent centralisateur se précisent avec l'officialisation de la loi européenne, de la loi cadre européenne, du règlement européen, de décision européenne, des recommandations et des avis ( Article I - 33 )
. L'autorité de ce super Etat européen s'était dessiné plus nettement encore avec l'article I - 6 affirmant que " La constitution et le droit adopté par les institutions de l'Union dans l'exercice des compétences qui sont attribuées à celle ci, priment le droit des Etats membres. " A l'origine de cette affirmation fédéraliste, on la trouve dans la constitution allemande qui stipule en son article 31 que " Le droit fédéral prime le droit du Land ".. Pour parler de la partie 2 traitant des Droits fondamentaux, il y a un préambule qui le précède. Ce préambule affirme toute une série de Droits de l'article II - 61 à l'article II - 114 : droit à la vie ( article II - 62, liberté de presse, de conscience et de religion ( article II - 70, article II - 71, droit de propriété en son article II 77 et égalité femmes hommes en son article II 85, protection de santé en son article II 95 et enfin protection de l'environnement en son article II 97. J'oubliais aussi droit de pétition en son article II 104 et la liberté de circulation et de séjour en son article II 105.
il y a 14 jours
Revenons au cas de l'Europe hors Russie.
:zidane_lunettes:


L'union démocratique bretonne s'est présenté aux élections européenns de 2012 avec le drapeau breton. Et surtout, avec le soutien des vers EELV. Avec des personnalité comme Cohn Bendit d'ailleurs. Il est à noter que nombre d'organisations régionales font de plus en plus leur promotion en ne mentionnant plus la France. Sur une carte que les verts européens de l'European Free Alliance ont fait circulé, on a vu qu'ils ont fait circulé une carte représentant une Europe des régions ethniques. Avec l'Allemagne récupérant non seulement la Silésie mais également une partie de la République Tchèque. Je rappelle que l'union du duché de Bretagne avec le royaume de France s'est fait en 1532. Pour les Catalans, c'était le Traité des Pyrénées de 1659. Pour les Alsaciens, ce fut le traité de Westphalie de 1648 et le traité de Riswick de 1697. Pour les Corses, c'est la bataille de Ponte Novu de 1769. Pour les Savoyards, ce fut le traité de Turin de 1860. Alors que 450 agriculteurs se suicident chaque année et que 2000 personnes en France chaque jour passent sous le seuil de pauvreté, le fait que les gouvernements s'intéressent plus à fracturer le pays qu'autre chose est particulièrement révélateur.

Enfin, ce fut Bill Clinton qui fut élu au prix Charlemagne. Où est donc le fameux contrepoids aux américains que le PS nous vantait dans son affiche. Dans un discours effectué à l'occasion de la remise du prix Charlemagne, Bill Clinton a déclaré le 2 juin 2000 : " L'Europe est pleine de vie et résonné à nouveau au nom d'anciennes régions dont on reparle, la Catalogne, le Piémont, la Lombardie, la Silésie, la Transylvanie, etc... Non pas au nom d'un quelconque séparatisme mais dans un élan de sainte fierté et de respect de la tradition. La souveraineté régionale est enrichi de voix régionales pleines de vie qui font de l'Europe un lieux garantissant mieux l'existence de la diversité.
:zidane_lunettes:



Pour rappel, la Grèce antique était opposée aux exagérations et prônait un respect des limites à ne pas dépasser, ainsi qu'un équilibre de la pensée. La culture européenne s'est caractérisée par une condamnation de la démesure. Charles Maurice Teyllerand, prince des diplomates, disait :" La vraie force est de savoir se limiter ". Or le rapport de la commission européenne intitulé " Politique européenne de voisinage ", fait tout le contraire. Le rapport est publié le 12 mai 2004. C'est un plan détaillé pour intégrer dans les domaines politiques, éducatifs, énergétiques et économiques tous les pays situés aux voisinages orientale et sud méditerranéen de l'Union européenne. L'élargissement de l'UE depuis le 1 mai 2004 ouvre des perspectives à l'égard des pays limitrophes qui ont été rendues publiques par la Commission européenne dès mars 2003 dans un rapport intitulé : " L'Europe élargie - Voisinage : un nouveau cadre pour les relations avec nos voisins de l'est et sud. En juillet 2003 la commission a renforcé ce travail via une communication dont le titre " Jeter les bases d'un nouvel instrument de voisinage " COM 2003 393 final, 01, 07, 2003, définissait les différents plans d'action en faveur des pays de l'Europe de lest et de la région méditerranéenne. L'ensemble de ces travaux et délibérations a abouti à une politique européenne de voisinage, la PEV.

La commission européenne a admis que l'objectif de la PEV était de : " faire partager aux pays voisins les bénéfices de l'élargissement de l'UE en 2004 pour renforcer la stabilité, la sécurité et le bien être de l'ensemble des populations concernés. La PEV doit éviter la création de nouveaux clivages entre l'UE élargie et ses voisins et leur offrir la possibilité de participer à diverses activités de l'UE dans le cadre d'une coopération politique, sécuritaire, économique et culturelle renforcée. La méthode proposée consiste à définir avec les pays partenaires, un ensemble de priorités dont la réalisation les rapprochera de l'Union européenne. Ces priorités seront intégrées dans des plans d'action adoptés conjointement, couvrant un certain nombre de domaines clés qui requièrent une action spécifique : dialogue politique et réforme, commerce et mesures préparant les partenaires à une participation progressive au marché intérieur, justice et affaires intérieures, énergie, transports, société de l'information, environnement, recherche et innovation, politique sociale et contacts entre communautés. " Or cette politique ne peut se faire que si les pays entretiennent avec l'UE des valeurs communes comme le respect des droits de l"homme et des minorités, les principes de l'économie de marché, l'état de droit, etc.... Soit une imprégnation massive de normes occidentales, euro atlantistes plus précisément, pour poursuivre la politique de la PEV. A l'égard des pays sud méditérranéens qui sont musulmans sauf Israel, doivent faire des mutations pour rentrer dans le cadre.
A se demander si ce n'est pas le début d'un choc des civilisations, comme le veulent les néoconservateurs américains et européens. La commission précise: " Le concept qui se trouve ancré dans la politique européenne de voisinage est celui d'un cercle partageant les valeurs et objectifs fondamentaux de l'UE et s'engageant dans une relation de plus en plus étroite allant au delà de la coopération, c'est à dire impliquant un niveau d'intégration économique et politique important. " La PEV s'articule autour de 2 axes géographiques, à savoir les pays orientaux avec les états du Caucause, l'Ukraine, la Biélorussie, la Moldavie et la Russie. Suite au sommet de St Petersburg en mai 2003 entre l'UE et la Russie, 4 espaces communs ont été officiellement définis : un espace économique commun ( intégrant l'environnement et l'énergie et y faisant spécifiquement référence ), un espace commun de liberté, de sécurité et de justice, un espace de coopération dans le domaine de la sécurité extérieure ainsi qu'un espace de recherche et d'éducation, englobant les aspects culturels. Le dialogue UE Russie dans le domaine de l'énergie constituel'élément clef de la relation globale. " Cet accord était important car il déterminant le comportement d'état limitrophes comme le Belarus.
il y a 14 jours
Bah beaucoup de natios se sont mis à bander sur cette idée récemment donc bon ça devrait les rendre heureux
:Carlos_Ok:
il y a 14 jours
Au delà de cela il y a cette volonté de fusionner les communes. On n'arrête pas de dire que les communes françaises sont trop petites, qu'il faut les fusionner. Mais il y a une finalité derrière tout cela, tout comme la volonté de régionaliser à tout va non seulement à l'intérieur de la France mais également de créer des régions inter pays avec notamment les exemples que j'ai donné entre la France et l'Italie, la France et l'Espagne, etc.... L'objectif est d'avoir des régions de la taille des Etats Unis. La Flamande, le Wisconsin, la Bretagne, la Corse. On veut faire les Etats Unis d'Europe poussé à l'extrême. Ce n'est pas pour rien que l'article 68 de notre Constitution concernant la faute de haute trahison du président de la République a été supprimé. La loi constitutionnelle du 23 février 2007 l'a retiré numéro 2007 238 soit quelques semaines avant l'élection de Nicolas Sarkozy à la président de la République. L'incrimination de complot contre la sûreté de l'Etat avait été retiré.
:crie2:



Sur l'UFCE

Le 30 avril 2001, le chancellier Schroder proposait une application du système politique allemand à l'ensemble des pays de l'Union européenne. Il s'agit dans son esprit de faire de la Commission européenne une sorte de gouvernement avec un premier ministre ou chancelier à sa tête, de faire du Conseil des ministres une Chambre d'Etats ( Staatenkammer ), duplica du Bundesrat qui est la Chambre Haute Allemande réunissant les 16 Landers et octroyer la pleine souveraineté budgétaire au Parlement européen qui deviendrait compétent dans le domaine agricole. Ce même chancelier souhaitait " étendre la marge de maneuvre pour une politique structurelle et régionale propre aux Etats memnbres " et répartir clairement les compétences entre les instances de l'Union, des Etats et des régions. Ces déclarations vont juste dans le sens d'une Europe des régions. Rien d'étonnant là dessus donc, d'autant plus que l'Europe, avec l'élaboration de la charte des langues régionales ou minoritaires et la convention cadre pour la protection des minorités, s'est construit sur des principes ethnicistes. Sauf que le problème se posant est celui de l'existence des frontières d'Etat séparant les groupes ethniques comme les Basques ou les Catalans en 2 groupes. Le problème est moindre pour eux quand les frontières d'Etat disparaissent. Concernant l'ARFE, l'institut est avant tout allemand. Il est présenté comme étant européen et laisse donc croire qu'énormément de nationalités collaborent dans cet instutut. Par ses fondateurs, présidents et secrétaires généraux, cet institut est en réalité avant tout allemand. Wolfgang Schauble en était le président entre 1979 et 1983, lui qui était ex dauphin du chancelier Kohl. Cela permet de comprendre la déclaration du chancelier Kohl en août 1990 devant les réfugiés silésiens, prussiens orientaux et poméraniens notamment.

L'ARFE, en allemand, AGEG ( Arbeitsgemeinschaft Europaischen Grenzregionen ) stipule dans sa charte que : " L'objectif de l'action menée au sein des régions transfrontalières et le but poursuivi au travers la coopération transfrontalière sont la suppression des obstacles et facteurs de distorsion existant entre ces régions, ainsi que le dépassement de la frontière, tout au moins la réduction de son importance à une simple frontière administrative. " Les euro régions permettent cette politique. La présence d'une euro région à tel endroit aboutit à long terme à une désacralisation de la frontière d'Etat. Un autre ancien président de l'ARFE, Karl Ahrens , déclarait : " Néanmoins, notre association, qui à ses débuts, s'est concentrée plus ou moins sur l'axe du Rhin, et qui est aujourd'hui active dans toute l'Europe, s'est tout d'abord efforcée de faire évoluer la mentalité des habitants des zones frontalières et de leurs représentants locaux et régionaux. Elle a cherché à les libérer de la vision en demi cercle que leurs imposaient depuis des siècles les politiques de l'épreuve de force des Etats nations (...). Elle a contribué à la préparation de toutes les conférences des régions frontalières du Conseil de l'Europe et elle en a influencé les résultats d'une manière significative. La charte de Madrid ( ou convention cadre sur la coopération transfrontalière à sur la coopération aux frontières des Etats européens n'aurait pas, ou du moins pas encore, abouti sans la contribution de l'ARFE ".

Karl Ahrens a participé à l'élaboration de la charte des langues régionales ou minoritaires. L'article 10 de la résolution 191 de 1988 est un article qui permet l(utilisation de langues régionales dans les activités économiques, sociales, la réglementation financière et bancaire et qu'on retrouve dans l'article 13 de leur charte des langues régionales. Et bien cela a été rédigée entièrement par le directeur de l'ARFA. Theodor Veiter, juriste éminent au sein de l'UFCE, institut directement soutenu par le ministère de l'Intérieur de la République fédérale d'Allemagne, le rappelle justement. Veiter était aussi rapporteur général de la Commission permanente du Conseil de l'Europe. Cette collusion entre coopération transfrontalière et langues régionales mais aussi groupes ethniques explique pourquoi l'ARFA a choisi comme directeur pour la première fois depuis 1996 non pas un Espagnol mais un Catalan, à savoir Joan Vallvé. Ce n'est pas un hasard car Joan Vallvé était président de l'Intergroupe des langues minoritaires, du parlement européen à partir de septembre 1997. Les contacts entre défenseurs des langues régionales et groupes ethniques d'un côté et coopération transfrontalière de l'autre, se sont traduits par des politiques de concertation entre l'ARFE et l'UFCE. En novembre 1987, l'UFCE a organisé à Flebsburg un congrès entre leurs dirigeants et ceux de l'ARFA. Il y en a eu après cette date également. Mais pour ce qui est de 1987, les dirigeants invités étaient notamment Pierre Meyer, chef de mission de la région Alsace à Strasbourg à l'époque, puis Josef Moliner I florensa qui était député au parlement de Catalogne.
Florensa a su résumé au mieux la collusion des partisans de la protection des groupes ethniques et de la transformation des frontières d'Etat en frontières administratives. Soulignant la situation pénibles à ses yeux des catalans français et espagnols, il a dit : " Mon pays a été séparé de manière absurde par le Traité des Pyrénnées ( 165T9 ) et mes concitoyens appartiennent à 2 Etats ". Cette entente entre les 2 organisations est totale. Jens Gabbe, ancien secrétaire général de l'ARFA, a déclaré aux début des années 1980, qu'un document de travail a été élaboré entre les 2 instituts. " Document de travail ayant servi à l'élaboration de la Charte de l'ARFE ".
il y a 14 jours
Parmi les ambitions européennes, il y a soit disant l'épanouissement de l'Occitanie. Pour rappel, la France de l'an 1000 est né sur les bords de la Seine sous la direction des Capétiens. Par la suite au début du XIIIème siècle, le Royaume de France acquier les territoires au sud de la Loire grâce aux interventions politiques et militaires de Philippe Auguste. Lui qui a d'ailleurs profité de la révolte des Cathares pour imposer au pays des troubadours la férule des barons du Nord. Malgré cela, on pouvait encore distinguer le pays de langue d'oil au nord et le pays de langue d'oc au sud. Dans la vie rien n'est définitivement acquis. A partir de cela, pas étonnant qu'on puisse avoir des revendications venant d'outre Rhin. Il faut savoir que le CEROC, Centre de Renseignement et de Recherche d'Occitanie, a participé à un colloque prononcé en juin 2001 à la Sorbonne. iL est ressorti de ce colloque que le monde occitan avait une masse importante de population mais dépourvue d'une véritable conscience commune. Le 23 août 2000, un article de Le Monde allait d'ailleurs en ce sens. " Le drame de l'Occitanie, c'est que les Occitans ne se savent pas occitans et ne ressentent pas une communauté de destin. "
:zidane_lunettes:


www.lemonde.fr https://www.lemonde.fr/ar[...]stin_3636683_1819218.html


Mais cette vision est erronée selon ceux participant au colloque car elle suppose un bloc uni, ce qui n'est pas le cas avec l'existence de plusieurs peuples d'oc. Pour ces rhuriféraires des langues régionales, le drame réside dans l'élaboration d'une langue occitane artificielle commune étouffant les variétés linguistique de la France méridionale signifiant que sous prétexte de préserver la variété linguistique, il y aurait l'émergence d'une langue régionale unique et élaborée artificiellement. Ce serait une langue de savants n'ayant pas grand chose à voir avec ses locuteurs d'origine. Dans : " La nation occitane, ses frontières, ses régions " de 1969, François Fontan soulignait la diversité du monde occitan tout en parlant des possibilités qu'offrait la construction européenne aux partisans des identités régionales. Ce même Fontan regroupe le monde latin en 9 entités ethno linguistiques, à savoir les Français, Occitans, Espagnols, Portugais, Catalans, Italiens, Roumains, Rhètes et Sardes. L'originalité de l'Occitanie réside selon lui dans le composé racial où le sang O est plus fréquent qu'en France, Italie ou Catalogne, dans son origien du peuplemenet avec les Gaulois, Ibères, Ligures, et un faible apport Wiqigogh. Plus Ethnopsychologique. Sans oublier les aspects politiques, culturels et démographiques.



Il faut aussi parler de l'importance de la coopération transfrontalière. Elle contribue à la fois au remanieemnts des frontières étatiques et régionales mais aussi à l'effacement du critère national. En France, la frontière a une connotation éminemment politique. En Allemagne, elle a plus de signification ethno culturelle. C'est ce point de vue qui a tendance à dominer à cause de l'ARFE, qui est l'Association des Régions Frontalières Européennes dont les promoteurs, présidents et secrétaires généraux sont dans l'écrasante majorité, allemands. Grâce aux euro régions, cette organisation travaille au ramollissement des frontières nationales pour aboutir aux frontières administratives. C'est ce qui permettra par la suite de faire des politiques d'aménagement du territoire, des transports et d'un vaste marché intérieur européen lui même intégré dans le vaste marché de la globalisation. C'est la porte ouverte à l'application des " Principes directeurs pour le développement territorial durable du continent européen. " On voit l'existence d'euros régions germano polonaises, germano tchèques, germano françaises, etc.... Selon l'article 24 alinéa 1 a de la constitution allemande : " Dans la mesure où les Lander sont compétents pour l'exercice des pouvoirs étatiques et l'accomplissement des missions de l'Etat, ils peuvent avec l'approbation du gouvernement fédéral, transférer des droits de souveraineté à des institutions de voisinage frontalier. " Le projet franco allemand du 22 janvier 2003 était déjà plus clair à ce moment là. Cette coopération transfrontalière est un piège car un marchepied rendant bien des remodelages possibles en Europe, souvent au profit des mêmes intérêts anti nationaux des pays européens.
:zidane_lunettes:


Chaud, ça commençait déjà mal.
:zidane_lunettes:
il y a 14 jours
Après la chute du mûr de Berlin, un projet de remaniement de l'Europe vers une Europe des régions a vu le jour. La carte concernant l'Assemblée des Régions d'Europe vient de l'ARE et date de 2002. L'ARE c'est l'Assemblée des Régions d'Europe, qui est né en 1985 à Strasbourg à l'initiative de gens qui étaient principalement portugais, espagnols et français. Mais cela n'a pas duré très longtemps avant que les Allemands ne prennent en charge la majorité de cette organisation, ou plutôt, l'équipe gouvernemental du Land des Bade Wurtemberg. Les autorités politiques allemandes n'étaient pas intéressées à cet organisme à ses débuts, prirent le train en marche. Sous l'égide de Heinz Eirhc, les statuts de l'ARE ont été fixées en 1992 à Mannheim. Il s'agissait de donner un grand nombre de compétences à la commission 1, sous direction allemande pour promouvoir le fédéralisme et le régionalisme, les 2 allant souvent ensemble. Il y avait aussi des groupes de travail affectés à la protection des minorités et animés par des représentants basques, catalans et frioul vénitiens. C'était déjà une façon d'annoncer la fin de l'Etat nation sans le dire vraiment. Car donner une autonomie politique aux régions traitant directement avec des autorités supranationales, celles de Bruxelles en l'occurrence, met fin à l'existence étatique des Etats. Il faut aussi noter les projets d'extension de l'UE et de l'OTAN à l'est qui étaient effectives au cours des années 2000. Quelques moins après la fin du Pacte de Varsovie, James Baker, ancien Secrétaire d'Etat, à Berlin en juin 1991, déclarait : " Notre objectif est une communauté transatlantique allant de Vancouvert à VLadivostock. " Elisabeth Jones confirme ces propos par la suite après les événements du 11 septembre 2001.
Elle était chargée des relations eurasiatiques dans l'administration de Bush Junior qui confirmait que l'OTAN avait pour objectif de s'étendre en Europe de l'Est, au Caucase et en Asie centrale jusqu'aux frontières de la Chine. Une feuille de route avait été remise en octobre 2002 au gouvernement allemand par un proche de la Maison Blanche par rapport à la question de l'extension à l'est de l'UE et de l'OTAN. Selon le Financial Times Deutschland du 24 octobre 2002, l'objectif d'une Europe libre et unie " doit s'articuler selon des modalités particulières. Après que la Hongrie, République Tchèque, Slovaquie, Lituanie, Lettonie, Estonie, Chypre, Malte et Slovénie aient été intégrés à l'UE, il a été décidé par les autorités américaines que les pourparlers d'adhésion à l'Ukraine dans l'OTAN devraient commencer en 2004, suivis de ceux de la Serbie en 2005. Pour 2007, l'Albanie et la Croatie étaient censées suivre, ce qui sera bien le cas. Même la Turquie était dans les projets. Toujours selon le Financial Times Deutschland : " L'intégration complète des Balkans et de L'Ukraine dans les institutions euro atlantiques doit être achevée pour 2010. " Une extension qui rendait bien service aux intérêts des néoconservateurs américains. D'autant plus que la fragmentation des états européens en euros régions va dans le sens du diviser pour mieux régner. Mais l'Allemagne qui a une unité culturelle, resterait un bloc compact en comptant les éléments autrichiens et suisses alémanique. Ce qui n'est pas le cas de la France, Turquie et Balkans. Les anglo saxons et les allemands se disputeraient les rôles à jouer par chacun.
Washington voudrait que Berlin reste le premier vassal de Washington en Europe pour maintenir l'équilibre. Mais les anglo saxons historiquement n'ont jamais accepté qu'un état en Europe soit hégémonique que ce soit la France de Napoléon ou l'Allemagne d'Hitler. Et les dirigeants européens poussent à cette intégration globaliste. La CCRE est à l'origine de la charte de l'autonomie locale en liaison avec le Congrès des pouvoirs locaux et régionaux d'Europe, CPLRE Heinrich Hoffschulte était l'ancien vice président du CCRE, lui qui était également dans le même temps président d'un groupe de travail à l'ONU. Et Valéry Giscard d'Estaing était l'ancien président du CCRE au même moment.

Dès les élections européennes on pouvait sentir un cadre particulièrement régionaliste et supranational. A noter que la souveraineté est un combat non seulement pour la démocratie mais aussi pour la liberté. Il ne s'agit pas d'isoler la France ou de la rabaisser contrairement à ce que prétendent certains partisans du fédéralisme européen. En réalité la souveraineté n'empêche pas des coopérations avec d'autres Etats, pour des affaires liées à Ariane ou Airbus notamment qui sont des coopérations internationales et non pas des projets européens ou du moins de l'UE. Dans un discours, l'ancien président américain Bill Clinton a affirmé qu'il fallait mettre en oeuvre une politique allant dans le sens d'une disparition du fait national, de l'autorité national au profit des régions dans le cadre d'un état européen. Lorsque celui ci a réçu en juin 2000 le prix Charlemagne, il a déclaré : "L'unité de l'Europe est en train d'engendrer quelque chose de véritablement neuf sous le soleil : des institutions communes plus vastes que l'Etat nation parallèlement à la délégation de l'autorité démocratique aux échelons inférieurs. L'Ecosse et le pays de Galles ont leurs propres parlements. L'Irlande du Nord, dont ma famille tire son origine, a retrouvé son nouveau gouvernement. L'Europe est pleine de vie et résonne à nouveau des noms d'anciennes régions dont on reparle, - la Catalogne, la Piémont, la Lombardie, la Silésie, la Transylvanie, etc... - non pas au nom d'un quelconque séparatisme, mais dans un élan de saine fierté et de respect de la tradition. La souveraineté nationale est enrichie des voix régionales pleines de vie qui font de l'Europe un lieu garantissant mieux l'existence de la diversité ".
Un président américain qui voit d'un bon oeil la construction européenne, cela étonne qui? Le transfert de l'autorité politique de l'Etat au profit des régions, ces dernières traitant directmeent avec les autorités supranationales de Bruxelles voire avec les lobbies anglo saxons, conduira à satisfaire la politique américaine. D'ailleurs à noter que la commission européenne a affichée en 2002 l'ambition de recomposer le territoire de l'Union européenne. On le voit avec la fameuse carte : " les 13 programmes Interreg IIIB 2000 - 2006 ). Or cette recomposition n'est possible qu'après avoir octroyé l'autonomie politique aux régions complétée par la disparition des frontières nationales au profit des frontières administratives grâce aux eurorégions, le tout rendant possible une politique d'aménagements du territoire du Portugal jusqu'à Vladivostock.
il y a 14 jours
La décentralisation de l'Etat a commencé à s'accéléré au cours des années 2000. Raffarin avait d'ailleurs réuni ses ministres à Matignon pour annoncer le mouvement. La promotion des régions allait s'accélérer. Mais avant cela il fallait modifier la Constitution de la Vème République. Le projet consistant à transférer des ressources ou compétences de l'Etat vers les collectivités territoriales demande une adaptation de la Constitution aux normes européennes. L'Assemblée des Régions de France, l'ARF, doit aussi être évoqué. Cette organisation a été crée en 1998. Sa composition consistait en personnes venant de l'UMP et du PS de l'époque. En plus des dirigeants français, les institutions européennes jouaient leur rôle important en arrière plan. L'objectif final est l'aboutissement à un état européen fédéral et ethno régionaliste. Il ne faut pas oublier que la France est une création politique. Elle l'est dans le sens où l'Etat a précédé la nation. Et quand les régions s'émancipent politiquement, la France devient avant tout seulement une expression géographique. A l'autonomie des régions s'ajouteront la charte des langues régionales et la convention cadre pour la protection des minorités. Ce n'est pas pour rien qu'à partir de janvier 2003, la gestion des fonds structurels, incluant l'agriculture, l'aménagement du territoire et l'industrie, a été délégué à la région d'Alsace, cette dernière traitant directement avec Bruxelles.





La création de la Paneurope est due à l'action de Richard Coudenhove Kalergi. Son objectif déclaré était d'empêché les guerres de se reproduire après la WW1. Mais en réalité, ses intentions n'étaient pas aussi louables qu'il le prétendait. Il voulait unifier l'Europe pour l'intégrer dans une organisation politique mondiale unifiée. Dans son rapport, il parlait de la nécessité de créer des continents politiques. L'ensemble devait constituer une fédération de fédérations dans la pensée de l'auteur. Ses affirmations fédéralistes rejoignaient celles de la société fabienne. Kalergi organise en 1926 le premier congrès paneuropéen à Vienne sous l'égide de son président d'honneur, le président du conseil Aristide Briand. L'hymne à la joie fut choisi comme hymne européen lors de ce congrès réunissant plusieurs nationalités. A Watts, représentant anglais, étgait d'ailleurs membre du Royal Institute of International Affairs, issu du Groupe Milner in la Paneurope. Dans le cadre des principes fondamentaux,, les objectifs de la Paneurope sont affichés clairement. Seule une europe forte et unie pouvait garantie l'avenir de ses peuples et de ses identités ethniques. Après la WW2, réfugié aux USA, enseigna dans le cadre d'un séminaire, Rsearch for a postwar european federation ", favorable au fédéralisme européen à la New York University. De retour en Europe en 1946, il contribua largement à la création de l'Union parlementaire permettant par la suite la création en 1949 du Conseil de l'Europe. Source : http://www.european-socie[...]ardcoudenhovekalergi1.asp

Cette organisation européenne chapeaute des représentations nationales chargées de diffuser l'idéal de son fondateur. Source : http://www.paneuropa.org/ Fondateur qui après avoir reçu en 1950 le prix Charlemagne, plus haute distinction européiste, a passé le relais à Otto de Habsbourg en 1972 puis à Alain Terrenoire. Bien sûr il faut également évoquer l'argent qui est le nerf de la guerre. Kalergi avait des soutiens de mécènes industriels, de finacniers mais aussi du banquier Max Warburg, représentant de la banque allemande à Hambourg. Son frère Paul de la branche américaine était à la tête de la FED et du CFR. Kalergi pouvait donc coopérer avec les milieux financiers de Wall Street et de Londres. En plus de cela, Max Warburg était membre du comité directeur d'IG Farben Allemagne et son frère Paul Warburg était membre de la branche américaine d'IG Farben. A noter qu'Hitler est arrivé au pouvoir notamment grâce à des soutiens de la part d'industriels et financiers anglo saxons via leurs homologuqes allemands. Hjalmar Schcht, directeur à l'époque de la Reichsbank, était un intermédiaire de première main. Il était ministre de l'économie du IIIèm Reich entre 1934 et 1939. Le relèvement économique de l'Allemagne est en partie du à son action. Cela a permis à Hitler d'exercer sa politique de réarmement du pays. Cela aurait pu voire du le conduire à la peine de mort lors des procès de Nuremberg. Mais il fut acquitté. Cela s'explique en grande partie par le fait que Schacht était lié à l'aristocratie commerciale anglo saxonne, lui qui avait un père américain William Schacht, ayant travaillé 30 ans au sein de la filiale américaine Equitable Life Assurance de Berlin. SOn fils était donc à sa naissance dans le sérail du système mondialiste. Hjalmar Schacht était depuis 1918 au comité directeur de la Nationalbank fur Deutschland, soit la Banque Nationale d'Allemagne.



La société fabienne a vu le jour à Londres sous l'imulsion de Sydney Webb en 1884. C'était un politique anglais. Béatrice Webb, son épouse, a aussi contribué à la création. On peut ajouter George Bernard Shaw, écrivain irlandais. Robert Owen fut un transmetteru d'idées dans cette société. Il promouvait le socialisme. Il a transmit ses idées à John Ruskin, professeur à l'université d'Oxford, lequel influença Cecil Rhodes. Le choix du nom Fabien est une référence au général romaine de l'époque des guerres puniques, Fabius Cunctator. Face à Hannibal, général carthaginois, Fabius faisait la politique de la guérilla consistant à ne pas brusquer les choses pour atteindre son but. C'est cette méthode qui justement caractérisait la société gabienne. Il fallait promouvoir un principe d'une société sans classes devant conduire à la synthèse du socialisme ( l'état providence ) et du capitalisme ( les lois du marché ). Pour aboutir à une économie monopolitstique dans un cadre étatique mondial. De nombreux politiques anglais ont été membres de la société fabienne. Au début du XXIème siècle, Tony Blair et Gordon Brown faisaient partie des 200 députés britanniques appartenant à la société fabienne. Cette société a été à l'origine de la création de la London School of Economics en 1895.
il y a 14 jours
A Kazan les 11 et 12 juillet 2003, le Congrès des pouvoirs locaux et régionaux d'Europe, soit CPLRE, a organisé une conférence sur le statut constitutionnel des régions en Russie. Gionvanie Di Stasi, ancien président de la Chambre des régions du CPLRE, " La Russie est complètement intégrée dans la communauté démocratique européenne. ". Il est vrai que la parcellisation de l'Europe s'étend vers la Sibérie comme le révèle la carte de l'Assemblée des Régions d'Europe ( l'ARE ) en 2002. Mais ces projets sont anciens. Le document présenté par le Herald Tribune le 16 septembre 1974 le prouve. Qu'un journal américain renommé comme cela ait pu laissé paraitre un article parlant de régionalisation de l'Europe était déjà révélateur. Car même si le projet paraissait surréaliste durant les années 1970 à priori du moins, il s'agissait dans le cadre de la CEE, Communauté Economique Européenne, de fragmenter les 7 Etats membres, à savoir le France, la Grande Bretagne, l'Allemagne de l'Ouest, l'Italie, la Belgique, le Luxembourg et les Pays Bas.Les mesures énoncées par C. Northcore Parkinson, à l'origine dans la revue trimestrielle européenne profile, se retrouvent pour l'essentiel dans le projet de régionalisation ( recommandation 37 - 1997 du rapporteur socialiste allemand Peter Rabe dans le cadre du CPLRE, Congrès des Pouvoirs Locaux et Régionaux d'Europe ) : autonomie politiuqe, administrative, culturelle, etc... Tout cela était en fait déjà connu dans les hautes instances politiques et journalistiques américaines. Ils savaient par rapport aux projets d'éclatement de l'Europe en régions traitant directement avec Bruxelles, sachant que les lobbies y grouillent là bas, notamment les lobbies anglo saxons.

Cela permet de court circuiter l'état nation et de favoriser l'intégration de l'Europe dans un courant mondialiste sous l'égide américaine. Pas étonnant que le fédéralisme européen soit bien vu par les élites américaines. Ce n'est pas pour rien non plus que Bill Clinton a reçu le 2 juin 2000 la plus haute distinction européiste à savoir le prix Charlemagne. Une Europe fragmentée est plus facile à asservir pour les mondialistes. A noter que Jean Paul II a reçu le prix Charlemagne 1 an après étant donné que ce pape avait donné son feu vert pour l'intégration des pays d'Europe centrale à l'Union européenne dont les principes fondamentaux sont contraires au Décalogue. Bien sûr, le fait que Clinton ait pu dire que cette régionalisation n'allait pas dans le sens du séparatisme, c'est du pipeau. Le pays basque et la Catalogne avaient réclamé durant les années 2000 une libre association avec Madrid prémices à une libre séparation L'élection du président socialiste Pasqual Maragall a accéléré les choses. Ce dernier était ancien président du Comité des Régions entre 1996 et 1998, fondé à l'origine par l'ancien chancellier allemand Helmut Kohl lors du traité de Maastricht. Ce même Maragall s'appuie sur les principes germaniques d'ethno régionalisme en souhaitant qu'un état catalan émerge. Ce n'est pas pour rien qu'il s'était allié avec un parti indépendantiste nommé Essquerra Republicana de Catalunya, ERC, la Gauche républicaine. Le parti était dirigé par Josep Lluis Carod Rovira devenu Conseller en Crap, ce qui veut dire Premier ministre de Catalogne. Ce parti souhaite faire sécession avec l'Espagne. Cela a conduit J.L. Carod Rovira a entré en contact à Perpignan le 4 janvier 2004 avec les représentants de l'ETA. Mais le NI, services secrets espagnols, avaient eu vent de l'affaire. L'ABC, journal conservateur, a révélé le rapport du CNI par rapport à cela le 26 janvier 2004.
Ce journal était proche du gouvernement conservateur de José Maria Aznar, ce qui a provoqué un scandale en Espagne et conduit à la démission de Josep Lluis Carod Rovira. Il faut savoir que l'ERC est membre de PDPE - ALE ( Parti démocratique des Peuples d'Europe - Alliance Libre d'Europe ) travaillant main dans la main avec les Verts européens, notamment allemands mais aussi avec les instituts promouvant la cause identitaires régionale. Que ce soit la charte des langues régionales ou minoritaires et convention cadre pour la protection des minorités : l'UFCE ' Union Fédéraliste des Communautés Ethniques Européennes ) et l'ECMI ( l'European Center for Minorities Issues ) directement soutenus par le ministère de l'Intérieur de la République Fédérale d'Allemagne. www.diploweb.com Il regroupe des partis indépendantistes comme le Scottish National Party, SNP, le Plaid Cymru, parti indépendantiste gallois, les Corses de Unione di u Populu Corsu, le parti basque Eusko Alkartasuna. Le tout sachant que PDPE ALE apporte un poids important du fait de ses relations. Ce n'est que grâce à l'unité du peuple français et aux principes de l'indivisibilité du territoire national que pour le moment la France a pu en échappé en partie seulement. Le 16 janvier 2004, le Conseil des Communes et des Régions d'Europe ( le CCRE ) et l'Association française des Communes et Régions d'Europe ( l'AFCCRE ) ont organisé à Versailles un colloque portant sur l'autonomie locale en Europe. Parmi les intervenants il y avait Valéry Giscard d'Estaing, mais aussiHerwig van Staa qui était président du Land de Tyrol à l'époque ainsi que président du CPLRE. A noter la présence de Heinrich Hoffschulte, qui était vice président du CCRE et président du groupe de travail à l'ONU élaborant une charte mondiale de l'autonomie locale.
Selon les textes officiels : " La nécessité de développer des lois et des règlements nationaux qui précisent clairement le rôle et les responsabilités des pouvoirs locaux vis à vis des gouvernements nationaux et qui mettent en place la décentralisation effective et une véritable démocratie locale, qui s'appuie sur les principes d'autonomie, de subsidiarité et de proximité, a été également soulignée. Dans ce cadre, il a été recommandé que l'expérience acquise au cours de la mise en oeuvre de la charte européenne de l'autonomie locale. serve de base à la définition des principes clefs du cadre constitutionnel ou légal d'une charte mondiale afin d'établir des systèmes démocratiques du gouvernement local. " Mais pour arriver su stade de la gouvernance globale, la logique veuille qu'il faut créer des strates, allant de l'entité la plus petite, c'est à dire le local, pour aller à l'échelle la plus large donc le global. C'est le concept d'agir localement pour penser globalement. C'est le global. L'enjeu pour les promoteurs est d'instaurer à tous les niveaux une série de rouages permettant le fonctionnement de cette grande machine, la percellisation des états rentrant dans le cadre de cette mission.

:zidane_lunettes:
il y a 14 jours
L'élargissement de l'Union européenne à partir du 1er mai 2004 avait accompagné l'élargissement de l'OTAN vers l'Est. Le tout avait connu quelques problèmes que ce soit au niveau économique, politique, ethnique, etc.. caractérisant l'est européen. La Rand a rédigé un rapport présentant les objectifs à poursuivre et les contraintes ) prévoir de l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord. Avec comme titre " L'agenda oriental de l'OTAN pour une nouvelle ère stratégique. "L'armée de l'air américaine les avait parrainé. Le document a été publié en mai 2003. Il fait 200 pages. Il a été fait par plusieurs diplomates, géopolitologues et conseillers de la Maison Blanche. NOtamment un certain Zbigniew Brzeeinski, auteur du " Grand échiquier ". L'étude aborde la politique que doit mener les Etats Unis en Europe centrale, dans les états baltes, en Ukraine et en Russie. Bizarrement, la Biélorussie est oubliée. Il faut savoir qu'il y a eu 3 phases de la montée en puissance de l'OTAN après la fin de la guerre froide. Entre 1990 et le sommet de Madrid en juillet 1997 d'abord, la première étape consistait à poser les jalons pour étendre l'OTAN vers l'est. Le Partnership for Peace ' PfP ) et le NOrth Atlantic Cooperation Council ( NACC ).ont été crés conjointement au Permanent Joint Council ( PJC ) établissant un lien eavec la Russie tandis qu'un partenariat distinctif était offert à l'Ukraine. La Républqiue Tchèque, la Pologne et la Hongrie furent à ce moment là conviées à adhérer à l'OTAN. Ensuite la deuxième étape s'est déroulée entre 1997 et avril 199 lors du sommet de Washington. Elle a consisté en de la consolidation, notamment en pleine période de la crise du Kosovo, il s'agissait d'harmoniser les politiques de l'UE et de l'oTAN face aux problèmes du Balkan.
La troisième étape enfin a eu lieu entre 1999 et les années 2000. Durant cette période, il y a eu le Sommet de Prague de novembre 2002 au cours duquel la projet d'intégration de 7 nouveaux membres au sein de l'OTAN fut officialisé. Il a été décidé également lors de la réunion de créer une force d'intervention rapide de l'OTAN ( NATO Response Force ), pour intervenir n'importe où lors d'une crise. Pour revenir au rapport de la Rand, il y a pour ceux ayant rédigé l'étude, 2 problèmes à régler. D'abord réussir la transition démocratiques des états de l'Europe centrale et de l'Est pour réussir leur arrimage à l'Ouest au sein d'une économie de marché. La politique de la Hongrie, République Tchèque et de la Pologne étianet donc attentivement scrutées. Mais l'autre problème résidait dans l'aspect militaire. Car les nouveaux pays de l'OTAN étant économiquement relativement faibles à ce moment là au moment de leur entrée dans l'organisation, il fallait qu'il y ait une professionalisation et modernisation massive de leurs armées pour les rendre compatibles et utiles aux exigences de l'OTAN et à leurs standards qui étaient élevés. Et cette vision est fondamentalement incomptable avec une quelconque indépendance de l'Europe face aux Etats Unis d'un point de vue géopolitique. C'est là que résidait à l'époque une des difficultés du soit disant couple franco allemand, présenté comme horizon indépassable. Car le principe d'une indépendance relative de la France était encore à l'époque défendu par la France sous Chirac. De plus, l'Allemagne de part sa position géographique devait s'occuper autant de sa politique étrangère à l'est qu'à l'ouest de l'Europe. Or il fallait que l'Allemagne donne des gages aux USA pour pouvoir bénéficier politiquement et économiquement de toute quiétude de l'élargissement de l'UE et de l'OTAN à l'est.

Concernant les états baltes, il était indiqué que l'élément clef était le rôle que l'Allemagne jouerait à l'avenir dans la région baltique. Car dans ces pays, il y avait et il y a encore une population russe non négligeable. Cela a un impact sur les pays baltes et leur politique mener qui ont manifesté un atlantisme forcené pour s'éloigner le plus possible de leur voisin russe. Ceci dit la politique pro américaine de ces pays là a également été favorisé par le retour d'américano baltes dans les structures politiques dec es 3 pays. C'est notamment le cas de Valdas Adamkus qui était l'ancien président de la Lituani et avant cela fonctionnaire au sein de l'agence américaine pour l'environnement ( EPA ) à Chicago. Au départ, la présence américaine dans les pays Baltes pouvait être vu comme une manière d'avoir ce rapprochement entre la Russie et l'Union européenne car le développement économique de ces états passait en partie par une politique de mise en valeur des pays Baltes par la Russie. A noter le problème persistant de Kaliningrad car selon ce document, un groupe de travail russo UE tentait d'aplanir ce problème en améliorant les perspectives économiques de la région. Mais l'Ukraine constituait un problème bien plus grand encore pour les américains. Car tout choix européen de l'Ukraine ne pouvait qu'être entravé par sa faiblesse économique et sa corruption généralisée au sein de l'Etat. Sans oublier l'appel de Moscou. Brzezinski disait : " Si la Russie réussit à reprendre le contrôle de l'Ukraine, la Russie acquerra le potentiel lui permettant de devenir à nouveau une puissance impériale. " D'où le basculement de l'Ukraine soit du côté des forces euro alantistes, soit du côté des russes ayant un grand impact sur l'évolution du rapport de forces entre différents blocs.

A cela s'ajoute le fait que la Russie était le gros morceau du quatrième pilier américaine car 3 courants de pensée animaient les élites russes depuis l'effondrement de l'URSS. Il y avait les atlantistes comme Gorbatchev et Shevardnadze favorables à des liens très forts avec les européens et les anglo saxons. Et il y avait les néo impérialistes voulant redonner à la Russie sa puissance du temps de l'URSS de manière plus frontale. Et enfin les euro asiatiques défendant le principe d'une Russie à la fois puissance européenne, mais aussi asiatique. Dans un premier temps, Poutine a fait le choix des liens forts avec l'Ouest. Le rapport de la Rand l'a également souligné. Mais déjà on voyait à l'époque des signes que Poutine avait commencé à opter pour l'option euro asiatique car le document de la Rand avait démontré que Poutine avait porté une attention particulière sur les anciens pays de l'Asie centrale ayant appartenu à l'URSS. Et donc aux pays de la CEI, Communauté des Etats Indépendants, Tadjikistan, Turkménistan, Ouzbékistan, Kazakhstan. On l'a vu avec les rencontres bilétérales fréquentes et la formation de sous groupes au sein de la CEI pour parler de plusieurs sujets dont économiques et énergétiques. Ou peut évoquer l'ATC, Anti Terrorism Center, qui é été cré au sein de la CEI pour faire face aux mouvements terroristes. Mais malgré cela, Poutine maintenait des liens forts avec l'Europe de l'Ouest. D'ailleurs la part du commerce russe se faisant avec l'UE avait augmenté même suite à l'édhésion de l'Europe centrale à l'UE et l'OTAN, montant jusqu'à 50%, à comparer avec les 22% de la CEI. A l'époque où Vladimir Poutine n'était que premier ministre en octobre 1999 à Helsinki, lors du sommet UE Russie, il avait indiqué que l'intégration n'était pas le but poursuivi car contraire à son statut de puissance asiatique.

En plus de cela, Poutine avait suggéré que la Russie pouvait intégré l'OTAN en mars 2000 sous condition que les vues et les intérêts de la Russie étaient prises en compte en tant que partenaire égal. En mai 2002 à Rome, un Conseil OTAN Russie a été mise en place dans le cadre de la lutte contre le terrorisme.
il y a 14 jours
L'adhésion de 10 pays supplémentaires a conduit à un isolement relatif de cette enclave russe situé entre la Lituanie et la Pologne. On rappelle que ce territoire avait été allemand jusqu'en 1945 où il avait été rattaché à l'URSS suite à la victoire de l'Armée rouge sur la Wehrmacht durant la Seconde Guerre mondiale. La population allemande avait subi un nettoyage ethnique aux conséquences catastrophiques. Au début malgré la chute du rideau de fer, l'Allemagne était plutôt prudencete par rapport à ses anciens territoires perdus d'après guerre comme la Silésie, la Prusse orientale et la Poméranie. Mais par la suite on a vu des recvendications parmi les expulsés allemands qui se sont réunis au sein d'un lobby puissant, la Bund der Vertriebenen, réclamant des idemnisations, des possibiltés de recouvrir des biens perdus à cause des expulsions notamment. Ensuite la Stiftung Widdenschaft und Politif, SWP, la Fondation Sciences et Politique, avait dans un rapport de 2001, indiqué et consillé un rattachement économique étroit entre Kaliningrad et l'UE, facilitant l'accès de l'économie allemande au marché russe. Car cette influence économqiue de l'UE affaiblirait les liens entre Kaliningrad et Moscou.

Le président américain Bsuh et la chancellier allemand Shroder avait co signé le 27 février 2004 à la Maison Blanche une déclaration commune : " L'alliance germano américaine pour le XXIème siècle. "

Cette organisatione uropéenne chapeaute des représentations nationales chargées de diffuser l'idéal de son fondateur. Source : http://www.paneuropa.org/ Fondateur qui après avoir reçu en 1950 le prix Charlemagne, plus haute distinction européiste, a passé le relais à Otto de Habsbourg en 1972 puis à Alain Terrenoire. Bien sûr il faut également évoquer l'argent qui est le nerf de la guerre. Kalergi avait des soutiens de mécènes industriels, de finacniers mais aussi du banquier Max Warburg, représentant de la banque allemande à Hambourg. Son frère Paul de la branche américaine était à la tête de la FED et du CFR. Kalergi pouvait donc coopérer avec les milieux financiers de Wall Street et de Londres. En plus de cela, Max Warburg était membre du comité directeur d'IG Farben Allemagne et son frère Paul Warburg était membre de la branche américaine d'IG Farben. A noter qu'Hitler est arrivé au pouvoir notamment grâce à des soutiens de la part d'industriels et financiers anglo saxons via leurs homologuqes allemands. Hjalmar Schcht, directeur à l'époque de la Reichsbank, était un intermédiaire de première main. Il était ministre de l'économie du IIIèm Reich entre 1934 et 1939. Le relèvement économique de l'Allemagne est en partie du à son action. Cela a permis à Hitler d'exercer sa politique de réarmement du pays. Cela aurait pu voire du le conduire à la peine de mort lors des procès de NUremberg. Mais il fut acquitté. Cela s'explique en grande partie par le fait que Schacht était lié à l'aristocratie commerciale anglo saxonne, lui qui avait un père américain William Schacht, ayant travaillé 30 ansau sein de la filiale américaine Equitable Life Assurance de Berlin. SOn fils était donc à sa naissance dans le sérail du système mondialiste. Hjalmar Schacht était depui 1918 au comité directeur de la Nationalbank fur Deutschland, soit la Banque Nationale d'Allemagne.
il y a 14 jours
Cecil Rhodes
Ce grand défenseur de l'Empire britannique émigre en Afrique australe où sa personnalité et ses qualités intellectuelles l'ont aidé à accumuler de la richesse en grande quantité dans le domaine du diamant. Il contribue à la création de l'industrie diamantaire De Beers en liaison avecNathaniel Mayer Rothschild. Rhodes pose les jalons permettant à l'Etat sud africain de prendre forme quelques années après sa mort en 1910. Grâce à son influence financière et politique, il a pu contrôlé des territoires à qui il a donné son nom : la Rhodésie, qui sera plus tard divisée entre Rodhésie du Nord et Rhodésie du Sud. Ces états deviennent par la suite respectivement la Zambie et le Zimbabwe. Mais sa grande idée coloniale est de faire une grande voie de chemin de fer allant du Cap jusqu'au Caire pour mettre en valeur les richesses de l'Empire colonial britannique. De plus, Rhodes était convaincu par la supériorité de la " race anglo saxonne ". Pour assurer la domination de cette dernière, il envisageait une union de tous les pays anglo saxons, précisément instaurer un bloc qui réunirait les Etats Unis et l'Empire britannique. Cela est censé constituer le socle permettant la création ultérieure d'un état mondial dirigés par les principes de l'aristocratie commerciale algo saxonne. Pour y arriver il a tenté de recruter des personnalités au sein des universités qui seront soutenues pour occuper des postes importants dans l'armée, l'éducation, la finance et l'économie, à condition d'être animé par les mêmes idées. Cela passe par la création des bourses d'études Cecil Rhodes. ( Rhodes Scholarships ). Mais Rhodes n'a pas eu le temps de voir la consécration de son idéal de son vivant car il faut attendre 1904 pour que ses collaborateurs lancent les premières bourses d'études portant son nom à l'université d'Oxford.

Auguste Compte disait que les morts gouvernaient les vivants. Et Cecil Rhodes en est l'un des exemples les plus pertinants. Ses concepts ont faits le monde du XXème siècle et du début du XXIème siècle. Parmi ceux ayant bénéficié des bourses d'études de Cecil Rhodes on peut citer James Wosley, ancien directeur de la CIA entre 1993 et 1995, Wesley Clarke, ancien patron de l'OTAN durant les années 1990, lui qui a été je rappelle, acteur majeur de la destruction de la Yougoslavie en mars 1999, James William Fullbright ancien sénateur de l'Arkansas et figure importante de la politique américaine à l'époque. A cela on peut ajouter Bob Hawke, premier ministre australien entre 1981 et 1993 et enfin l'ancien président américain Bill Clinton, qui était de la promotion 1968. On peut aussi se référer au livre : Anglo American Etablishment " de Carroll Quigley pour voir que les collaborateurs de Rhodes se caractérisaient par le fait qu'ils occupaient des postes importants de la société britannique durant la deuxième moitié du XIXème siècle. Notamment Alfred Milner, fils spirituel et successeur de Cecil Rhodes. Lui qui avait été directeur de la London Joint Stock Ban et chef du cabinet de guerre de Lloyd George durant la guerre de 1914-1918. En novembre 1917, la déclaration Balfour, du nom Arthur James Balfour, homme politique anglais, affirmait sous l'égide du gouvernement britannique la reconnaissance d'un foyer juif en Palestine. Cette reconnaissance a été officialisée par une lettre adressée à Walther Rothschild qui était un intermédiaire avec le mouvement sioniste en Grande Bretagne. Mais Alfred Miler était le véritable rédacteur de cette déclaration Balfour et cette déclaration aurait du s'appeler " Déclaration Miler ".

En plus de cela, Philipp Kerr, devenu Lord Lothian, fut secrétaire privé de Lloyd George. Il était donc en coeur de la politique anglaise et était une courroie de transmission pour l'ensemble du groupe Milner. Puis il a été ambassadeur du Royaume Uni à Washington. Puis il y a le cas Lionel Curtis qui a participé aux travaux du traité de Versailles en plus d'être à l'origine de l'expression " Commonwealth des nations ". Son application date de 1948. Ces travaux appelant à un Commonwealth remontent à 1916. Enfin ce même Curtis avait joué un rôle important dans la création du Royal Institute of International Affairs, RIIA, appelé parfois Chatham House. La RIIA a été crée en 1919. Pour revenir à la société fabienne, parmi ceux ayant fait partie de la London School of Economics, crée en partie par la société fabienne, pas mal de personnalités formés dans cette école ont été formé dans un esprit fabien. Notamment Romano Prodin, ancien président de la Commission européenne, le président John Kennedy, l Pierre Elliot Trudeau, ancien premier ministre canadien, Richard Perle, membre de plusieurs think tanks, la reine du Danemark Margareth II, Erik Orsenna, ancien conseiller de François Mitterrand, Mike Jagger, ancien chanteur des Rolling stones, et enfin George Soros, fondateur des instituts Open Society. Donc cette école a formaté les esprits non seulement parmi des personnalités anglo saxonnes mais également à travers le monde. H. G. Wells a écrit un ouvrage connu intitulé : " La destruction créatrice. " Cet ovurage paru en 1914 conte l'histoire d'une guerre généralisée aboutissant à l'émergence d'un Etat mondial divisé en 10 blocs, ou plus précisément 10 circonscriptions selon la formule employée par H.G Wells. On retrouve l'expression de nouvel ordre mondial dans ce livre à sa page 134. " Ce fut dans une ambiance légèrement incrédule que démarra la réunion qui devait instaurer le nouvel ordre mondial. "

Il écrit ensuite un livre sorti en 1940 intitulé : " The new world order. " Ces élites anglo saxonnes ont rassemblé leurs forces au sein de d'autres clubs comme la Pilgrim Society en 1902 à Londres et à New York. La Round Table fut par la suite crée en 1910. L'institut fut crée sous l'impulsion de Lord Miler et de ses proches, en liaison avec les élites financières américaines pour assurer la prééminence du monde anglo saxon devant aboutir à la création d'un état mondial. D'autres Round Tables sont par la suite créées dans les dominions de l'Empire britannique ainsi qu'aux Etats Unis. On vit des financiers comme Sir Axe Bailey, Alfred Beit et la famille Astor entourer l'équipe de Lord Milner. D'autres groupes se sont ajoutés comme la banque Lazard, les familles Whitney et Rockefeller et J P Morgan. A noter que l'entreprise JP Morgan a été fondée parJohn Pierpont Morgan. Antony Sutton, ancien cherceur à l'institut Hoower et à l'université de Stanford, avait décrit le soutien de Wall Street à Roosevelt, Hitler et à la révolution bolchevique en Russie également. Le soutien économique de l'Occident à l'Union Société et ses affidés est également clair. On le voit dans : " Western technology and Soviet economic development 1917 - 1930 ". " Western technology and soviet economic development 1930 - 1945 '. Et enfin " Western technology and Soviet economic development 1945 to 1965 ". Pour revenir aux points précédents, ces grandes familles du mondialisme ont quand même eu des dissension malgré leur finalité commune.

Il y a les rivalités internes, entre ceux cherchant le plus de pouvoirs, richesses et influences. Un classique de l'histoire de l'aristocratie commerciale. Ensuite il y a 2 courants de pensée concernant la Round Table. Le premier promeut la constitution d'un bloc anglo saxon unifié et autour de ce socle s'agrégerait le reste du monde. Le deuxième courant estime que ce n'est pas la peine de passer par le monde anglo saxon pour servir de point d'ancrage à un monde unifié car il serait possible d'avoir un monde où aucun pays ne pourrait imposer sa loi ou philosophie politique. On pourrait donc créer une sorte de pure générale unifiant l'humanité en un seul bloc et sans distinction aucune. C'est l'opposition entre les tenants du mondialisme anglo saxon et les partisans du mondialisme planétarien. Pour parler du rôle des élites anglo américaines dans la Première Guerre mondiale, on peut évoquer Basil Zaharoff, qui fit fortune en vendant des armes aux acteurs du conflit. On peut également évoquer Olof Aschberg, un suédois qui dirigeait la banque Nya Banken de Stockholm et fut le grand financier servant d'intermédiaire entre les élites financières de la City et de Wall Street d'un côté et des dirigeants bolcheviques de l'autre. La banque d'Olof Aschberg avait une filiale à Londres, la Bank of North Commerce, dont le président Earl Grey appartenait tout simplement à l'équipe de Cecil Rhodes et de Lord Milner. Olod Aschberg était surnommé : " Le Banquier de la révolution mondiale ". Milner a joué un rôle dans l'oligarchie anglo saxonne tout autant en convainquant Lloyd Georgen, premier ministre britannique de soutenir la révolution bolchevique. Cela s'est fait suite à la visité à la fin de 1917, à Londres, de Villiam Boyce Thompson, accompagné d'un représentant de JP Morgan, Thomas W. Lamont. Ce dernier était membre du comité directeur de la Banque fédérale américaine ( la Fed ),
il y a 14 jours
Le projet mondialiste est toujours en action.


W.B Thompson était un agent au service de l'oligarchie au sein de la Croix rouge américaine qui était à Petrograd en 1917. C'est cette couverture qui lui a permis de fourni la somme d'1 million de dollars aux bolcheviques, une somme énorme à l'époque. Harry Hopkins qui est par la suite devenu l'éminence grise du président Roosevelt, était l'intermédiaire entre la Croix rouge américaine dirigée par William Boyce Thompson en 1917 et sa représentation à Washington. De retour vers New York, Miler n'arrête à Londres pour soumettre à Lloyd George un mémorandum pour lui demander de soutenir la révolution bolchevique. Milner était d'ailleurs un admirateur de Karl Marx. D'ailleurs il est vrai que sans l'action de l'oligarchie commerciale anglo américaine, la révolution bolchevique n'aurait jamais eu le même succès qu'elle a connu. Après la WW1, il y a eu le Traité de Versailles aui échoua à assurer la sécurité de la France face à une Allemagne devenue faible et dépendante des prêts anglo saxons accordés à son économie. Via les plans Dawes et Young de 1924 et 2938 respectivement, les financiers anglo saxons avaient placé l'Allemagne sous la dépendance des banques de Londres et de New York. Mais ces prêts ont été essentiels dans le renforcement de la puissance industrielle de cette même Allemagne car les grands combinats de la chimie et de l'acier virent le jour, eux qui étaient indispensables pour une guerre longue. On peut notamment citer la création de Vereinigte Stahlwerke et de IG Farben durant la décennie 1920. C'est en partie à cause de cela que la France avait perdu en 1940 : les actions des financiers anglo saxons pour le redressement technique et économique de l'Allemagne, notamment dans les domaines comme l'essence synthétique, le caoutchouc et l'acier.
Une mutation de la Roud Table fut opérer à la fin de la WW1. 2 think thank furent crées de part et d'autre des rives de l'Atlantique chargés d'être les moteurs de la politique étrangère des 2 pays. Sous l'égide de Lionel Curtis et collaborateur de Lord Milner ce fut la création en 1919 du Royal Institute of International Affairs. Clarence Streit défendait les idées de Curtis aux Etats Unis, lui qui était correspondant du New York Times auprès de la Société des Nations et qui a également été de la promotion 1920 de la Bourse d'études Cecil Rhodes. Le Council on Foreign Relations, CFR en 1921 sous l'égide du colonel Mandelle House, fut crée côté américain. House était conseiller intime du président Wilson et fut la plaque tournante entre le groupe Milner et les grandes figures de Wall Street, notamment Rockefeller, Warburg, Vanderlip, JP Mortan, etc.... On peut parler de Paul Warburg qui était à la tête de la FED dès sa craétion en 1913. Cette banque privée était indépendante du pouvoir étatique et responsable de l'émission monétaire, comme un état dans l'Etat. Le CFR fut dirigé par Warburg dès sa création. House a écrit un livre intitulé : Philip Dru, administrator " paru en 1912. Il évoquait dans son libre un coup d'état par un officier de Wet Point ( Philip Dru ) imposant une dictateur aux Etats Unis tout en supprimant la constitution du pays. Le héros de House affirme que celui ci met en place " un socialisme tel que l'aurait rêvé Karl Marx ".
Pour parler de l'oligarchie britannique en tant que telle, on peut dire que c'est la défaite française en Amérique du Nord conduisant au Traité du 10 février 1763 qui en est un si ce n'est l'acte de naissance majeure car c'est la perte de la Nouvelle France qui entraîne le fait que la Couronne britannique ait tout un continent entre ses mains, avec quasiment pas d'habitants mais des richesses in croyables. Et l'incapacité de la monarchie française à peuple ces territoires et à les intégrer dans la sphère de la civilisation gréco romaine a fait que ces territoires ont basculé sous la coupe anglo saxonne, imprégnée de protestantisme, de maçonnisme et de messianisme. Après les guerres de la Révolution et les guerres napoléoniennes conduisant à la défaite finale de ce dernier en 1815, la puissance anglo saxonne n'a plus de rival sur les mers. Le contrôle de l'Empire britannique exercé dans des territoires sur les 5 continents, la puissance de son secteur bancaire ainsi que sa technologie de pointe permettent à ces aristocraties commerciales de Londres et de New York de prospérer puis de se mettre à rêver d'une domination mondiale à travers Well Street et la City de Londres. Un idéal que Cecil Rhodes et ses disciples se sont acharnés à promouvoir par la suite.

Pour revenir sur l'UFCE

Les exigences des groupes ethniques se font de plus en plus pressantes en Europe. On a vu des réclamations pour une protection des caractéristiques propres d'une communauté dans le cadre du droit à la différence. Même si ces phénomènes ont toujours existé, la construction européenne est ce qui a permis l'ampleur qu'on a vu. Car cela a permis à des groupes ethniques d'internationaliser leurs revendications. L'intégration des personnels des écoles bretonnes diwan dans l'enseignement public par l'Assemblée nationale n'a été possible qu'en raison des pressions multiples que la France subit au sein des instances européennes, pour ratifier 2 documents clés et dynamites de l'intégrité territoriale : la charte des langues régionales ou minoritaires et la convention cadre pour la protection des minorités. L'Allemagne est à l'origine de l'élaboration de ces 2 textes ethnicistes. L'institut UFCE se présente comme européen, sous entendant qu'il y aurait énormément de nationalités travaillant ensemble d'égal à égal alors qu'en fait c'est principalement allemand dans ses soutiens comme dans ses bailleurs de fonds. L'Allemagne a soutenu activement une centaine de mouvements autonomistes européens. Rolf Gossmann avait au nom du gouvernement allemand, coordonné les réunions annuelles de l'UFCE où se retrouve tout le gratin des mouvements autonomistes d'Europe.
Suite au congrès annuel de l'UFCE du 12 au 16 mai 1999 à Haderslev, un rapport rédigé rappelant les moments forts de la revendication identitaires. Mais les participants ont présenté à la fin de ce document la liste complète des participants sur 3 colonnes. Sur celle de gauche le nom du durigeant et son adresse. Au milieu le nom du mouvement autonomiste et à droite le pays d'origine. En dehors de Rolf Gossmann il faut citer Géraldine Hocke, sa collaboratrice, tous les 2 ont été en poste au Bundesministerium des Unnern, Ref, SH7, Post fuch 170 290 D - 53108 Bonn. CE document de 18 pages énonce la participation et le soutien apportés aux Allemands de Hongrie, aux Hongrois de Slovaquie et de Roumanie, aux Tatars de Crimée, aux Croates de Vovoidine, etc.... Mais la France n'est pas exemple su soutien direct apporté par l'Allemagne à des revendications identitaires. La ligue savoisienne de Patrice Abeille et Pascal Garnier, l'Union popualre Alsace Lorraine " de Robert Joachim et de Ferdinand Moschernross, le Comité d'Action Régionale de Bretage de Jean Kegren et de Pierre Le Moine et le " Parti pour l'Organisation d'une Bretagne Libre " d'Yvon Prunennec et de Marcel Texier ont le soutien directe de l'Allemagne. C'est une ingérence étrangère de l'Allemagne pour déstabiliser un pays.
Ces mouvements autonomistes ont pris leur envol. Si la France ratifie les chartes d'autonomie locale et régionale ainsi que la charte de Madrid, les européistes allemands auront atteints leur but. L'Europe fédérales des régions à base ethnique sera là. Le groupe ethnique germanophone dominera par le nombre de minorités rivales. Les rivalités tribales ayant miné l'Afghanistan sont des reflets d'événements violents que risquent de connaître l'Europe. Ensuite la participation d'un représentant de l'OSCE ( Organisation pour la Séécurité et la Coopération en Europe ). Cette présence souligne la participation étorite de cet institut aux agissements de l'Allemagne via l'UFCE. DUrant la WW2, les Allemands soutenaients les revendications autonomistes bretonnes. La Dépêche de Brest, journal breton, actuellement Le Télégramme, était dirigé par 6 collaborateurs liés à l'Allemagne et donc un des meneurs était Monsieur Fouéré. Or l'ancien représentant de l'OSCE était un membre de cette famille. Un certain Erwan Fouéré.
il y a 14 jours
Mais si les peuples résistent, le seul super truc qu'ils vont modeler, ce sera ma merde fumante.
:Merde:



Au delà des partis indépendantistes qu'on voyait des les pays de l'UE à 15 pays, notamment l'ERC, Equerra Republican de Cataluyana de Josep Luis Carod Rovira, parti indépendantiste catalan secondant les socialisltes du président de région Pasquel Maragall durant les années 2000 et ayant réussit à avoir la gestion de la politique régionale, on peut parler des structures politiques de l'UE sans lesquelles ce genre d'actions n'auraient pas connu ce succès. Le droit européen prime sur le droit national dans de nombreux aspects. Du coup les représentants politiques régionaux ont eu tendance à se voir pousser des ailes pour leurs revendications à Bruxelles. Cela a conduit à des alliances politiques pour faire basculer les régions en leur faveur. On peut prendre l'exemple des élections de décembre 2003 en Espagne avec un parti socialiste catalan qui est arrivé au pouvoir grâce à l'éppui décisif de l'ERC. Cela a conduit Maragall de la région Catalogne à des concessions. Sur 11 millions de voix pour le PSIOE, Parti socialiste ouvrier espagnol, 1 million et demi étaient catalanes. Le gouvernement Zapatero du PSOE était obligé pour garder le pouvoir de ménager la représentation politique catalne. Mais le suffrage universel se colorant d'une vision ethnique et linguistique minant la démocratie espagnol.
Et les revendications régionales risque dans bien des pays européens de se doubler de revendications linguistiques, religieuses voire terrotoriales de la part de populations extra européennes. Josep Lluis Carod Rovira rappelait qu'ils avaient voté l'investiture de José Luis Zapatero. Et que " La PSOE a l'pportunité de montrer que le gouvernement espagnol a un projet d'Etat qui n'est pas celui de la droite. On espère qu'il sera multilingue, multiculturel, multinational et fédéral (.... ) sinon l'option indépendantiste catalane va aller croissant ". Zapatero a par la suite considéré une redéfinition de l'architecture de l'Etat espagnol nécessaire. Un des premiers effets de cela devait être la traduction de la constitution européenne en langues catalane, galicienne et basque. Cela est pour ces régionalistes, justifié. Car selon eux, si les estoniens, maltais ou danois moins nombreux qu'eux ont leurs propres versions, alors les Catalans, avec leurs plus de 6 millions d'habitants, devraient aussi avoir ce droit là.

Juan José Ibarrexte, ancien président du Pays Basque, voulait que sa région soit librement associée à l'Espagne avec une délégation nouvelle de pouvoirs administratifs, juridiques, droit à l'autodétermination, etc.. Et qu'une reconnaissance de la naitonalité basque. Selon certains il fallait que le pays Basque ait une représentation directe à tous les niveaux des instances européennes. Le gouvernement basque de 2003 - 2004 était composé du PNV ( Parti nationaliste Basque ), membre de l'Alliance Libre Européenne ), Esker Batua Izquierda Unida de la Gauce Unie et Eusko Alkartasuna, membre de l'Alliance Libre Européenne. Bien sûr cela n'aurait pas eu lieu de manière aussi vif si les instances européistes ne s'étaient pas montré aussi favorables à la cause ethno régionaliste. Le rôle de l'ALE dirigée depuis juillet 2004 par Ian Hughton membre du Scottish National Party, alliée aux Verts co présidents Monica Frassoni et Daniel Cohn Bendit, est significatif. Le PPE, parti populaire européen et PSE, parti socialiste européen sont favorables aux principes du fédéralisme et au régionalisme. En parlant des Verts/Alliance Libre Européenne, quand on compare la carte de 1997 et 2004, on voit qu'en partant d'ouest à l'est, que l'Espagne est fragmentée à 3 régions en plus à savoir les Iles baléares, l'Aragon, l'Andalousie. Avec des régions italiennes comme l'Emilie Romagne et la Vénétie également ayant adhéré à ce parti. Ces régions appartiennent déjà à la communauté de travail Alpen Adria, fille de l'institut germano europée l'ARFE ( Association des Régions Frontalières européennes ). L'Alsace Lorraine est intégrée au corps germanique, et forme une entité à part comme une sorte de terre d'Empire ( Reichsland ) d'avant 1914.

Pour la Savoie c'est l'inverse, à savoir que sur la carte de 1997, elle était rattachée à la France mais en 2004 elle en est détachée. A l'est on voit la fragmentation de la Lituanie avec sa minorité polonaise, la Moravie, la Silésie, le territoire sud le long de la Slovaquie, la Transylvanie roumaine, la Macédoine grecque et le Banat de Serbie. Tous ont rallié les Verts/ALE. L'Albanie et la Kosovo dans la carte de 2004 sont représentées avec la même couleur bleue. En dehors de l'Allemagne, dans ses frontières occidentales comme orientales, les états sont désagrégés. On peut également parler du mouvement autonomiste silésien dont les principes correspondent aux Verts/ALE. Cette représentation silésienne avait d'ailleurs une représentation et à Bruxelles logiquement à en Pologne, à Rybnik et en Allemagne à Benshieim. Sans oublier aux Etats Unis à Clearwater. On peut également évoquer le 49ème Congrès de l'UFCE ayant eu lie entre le 20 et le 22 mai 2004 en Pologne au château de Kamien Slaski. Detlev Rein, haut fonctionnaire du ministère de l'Intérieur allemand à l'époque, et successeur de Rolf Gossmann, encadrait la réunion. L'équipe dirigeant de l'UFCE est internationale avec des croates, suisses, etc... Avec un représentant britannique, précisément cornouallais avec Nigel Hicks, membre du Cornish Stannary Parliament. L'UFCE et les Verts/ALE avaient des connexions claires avec la présence du Rainbox Pary, parti macédonien de Grèce, membre de ces 2 organisations. Le 30 mai 2004 à Thassaloniques, lors du congrès du Rainbow Party et de l'ALE, Bela TOnkovic, un des vices présidents de l'UFCE, participait avec Georg Nakratzas, conseiller aux affaires balkaniques de l'Alliance Libre Européenne.

Les liens transversaux se sont multipliés avec d'autres instituts entretenant des liens avec le ministère de l'Intérieur allemand via l'UFCE. Lors de son congrès en 1998 à Prague, l'UFCE accueillait Bojan Brezigar, président du Bureau for Lesser Used Languages ( EBLUL ). Jean Luc Fauconnier, ancien vice président de l'EBLUL, avait participé à la conférence orgganisée par Eurugi Wyn, ancien député gallois du Plaid Cymru au sein de l'ALE le 13 octobre 2003 pour discuter au sujet de la création d'une Agence européenne pour la diversité linguistique. Il y avait aussi Camilo Nogueri, haut fonctionnaire de l'Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe ( OSCE ), François Grin, membre de l'équipe dirigeante de l'ECMI, John Packer, qui participe au congrès de l'UFCE à Bozan en 2003 etle dirigeant galicien du Bloque Nacionalista Galego ( BNG ) adhérent à l'Alliance Libre Européenne. L'ECMI est un institut travaillant en liaison avec le ministère de l'Intérieur allemand. A noter qu'un des fondateurs de l'ECMI est Manfred Carstens, ancien haut fonctionnaire au BMAI, ayant eu des liens étroits avec l'UFCE. Marc Weller, ancien directeur de l'ECMI, a tenu à renforcer les liens avec l'équipe dirigeante de l'UFCE. On l'a vu lors de la rencontre du 31 mars 2004 pour définir et répartir les tâches entre les 2 organisations. Le programme intitulé : " Déclaration de Pozen " le 1 mai 2004 sous l'égide de l'EURAC ( European Academie, Acédémie Européenne de Bozen ) qui a été créer en 1992 suite à l'initiative de Sud Tyrol.


Concernant la régionalisation de la Serbie.

La Yougoslavie a depuis longtemps été dans le collimateur de l'Allemagne. L'éclatement du pays a été accéléré par la reconnaissance par l'Allemagne de l'indépendance de la Croatie et de la Slovénie. Le 3 juillet 1991, le feu vert fut donné pour le lancement de ces 2 républiques par l'intermédiaire de la communauté de travail Alpen Adria. Elle rassembla les lander autrichiens de Styrie, de Salzbourg, de Haute autriche, du Curgenland, de Carinthie et la Bavière, pour l'Italie, la Lombardie, des régions du Haut Adige, d'Emilie Romagne, du Frioul Vénétie, de Vénétie, pour la SUisse, le Tessin. Et enfin la Slovénie, la Croatie et les 5 comitats hongrois, à savoir la Baranya, Kaposvar, Zala, Gyor-Moson-Sopron, Szombathely, est un des rouages de l'ARFE ( Association des Régions Frontalières Européennes, institut dominé par les Allemands siégeant à Gronau ). L'objectif est de transformer les frontières d'état en frontières administratives. Un appel fut prononcé en faveur d'un accord multilatéral de coopération interrégional et transfrontalière à Skopje les 16 et 18 novembre 2000 par le Forum des villes et régions d'Europe du Sud-Est.
il y a 14 jours
J'ai essayé de lire mais pas la force ce soir, je lirais ça demain
:ChatZoomPorte:
il y a 14 jours