Ce sujet a été résolu
Lit
20h
Peut-être que c'est vrai, peut-être que c'est faux. J'en sais rien et Donald Trump non plus.
L'important c'est qu'on parle de ce qu'il dit
Comme le coup du prompteur à l'ONU, pourtant géré par ses propres équipes
Comme le coup du prompteur à l'ONU, pourtant géré par ses propres équipes
il y a 12 heures
mgs
20h
https://x.com/VirginiePerez15/status/1970540195754717513
c'est source ou il dit full merde ?
Bah il a raison
il y a 11 heures
Exa, encore et toujours des idiots utiles
il y a 11 heures
Cylindric
20h
Askip il a fait un très bon discours
Au début il se jette des fleurs mais la deuxième partie était top :
L’Organisation des Nations Unies a été fondée avec de nobles idéaux : promouvoir la paix, la coopération et la sécurité. Mais, trop souvent, elle s’est éloignée de sa mission. Elle est devenue une bureaucratie lourde, parfois détournée par des intérêts qui ne servent pas les peuples qu’elle prétend représenter. L’ONU doit se réformer pour redevenir un outil de coopération entre nations souveraines, et non un instrument de gouvernance mondiale qui empiète sur les droits des États.
Par exemple, l’ONU a financé des programmes qui, sous couvert d’aide humanitaire, ont soutenu des migrations illégales vers des pays comme le mien. Des millions de personnes traversent des frontières sans contrôle, déstabilisant des communautés et mettant en danger la sécurité nationale. L’ONU doit cesser de soutenir ces politiques et respecter la souveraineté des nations qui protègent leurs frontières.
Les migrations de masse, souvent encouragées par des politiques laxistes, sont une menace pour la stabilité mondiale. Aux États-Unis, nous avons renforcé notre frontière sud. Nous avons construit un mur plus solide et mis fin aux abus du système d’asile. Les résultats parlent d’eux-mêmes : moins de criminalité, moins de trafic de drogue, et des communautés plus sûres. Je dis aux dirigeants ici présents : protégez vos frontières. Vos citoyens méritent la sécurité et la dignité.
En Europe, nous voyons les conséquences de politiques migratoires ouvertes. Des villes autrefois prospères sont aujourd’hui confrontées à des défis culturels et sécuritaires. Je ne dis pas cela pour critiquer, mais pour avertir. Chaque nation doit avoir le courage de défendre son identité et ses valeurs.
Le monde est encore marqué par des conflits inutiles. Les guerres en Ukraine et au Moyen-Orient sont des tragédies qui auraient pu être évitées avec un leadership fort et clairvoyant. Les États-Unis ont montré l’exemple en mettant fin aux guerres sans fin. Nous avons ramené nos troupes à la maison tout en maintenant une force militaire inégalée. Nous croyons en la paix par la force.
Je lance un appel aux nations impliquées dans des conflits : mettez fin à la destruction. Asseyez-vous, négociez et trouvez des solutions qui respectent la souveraineté de chacun. Les États-Unis sont prêts à jouer leur rôle en tant que médiateur, mais nous ne serons jamais les gendarmes du monde.
L’agenda climatique mondial, tel qu’il est promu ici, est souvent une excuse pour imposer des restrictions économiques aux nations en développement et aux classes moyennes. Les États-Unis ne se plieront pas à des accords qui nuisent à notre économie tout en permettant à des pollueurs comme la Chine de continuer sans contraintes. Nous croyons en une énergie propre et abordable, mais pas au détriment de la prospérité de nos citoyens.
Les politiques climatiques doivent être pragmatiques, et non idéologiques. Nous avons prouvé qu’il est possible de réduire les émissions tout en augmentant la production énergétique et en créant des emplois. Suivez notre exemple, et non celui des bureaucrates qui veulent contrôler votre économie.
Mesdames et Messieurs, l’avenir n’appartient pas aux globalistes, mais aux patriotes. Il n’appartient pas à ceux qui veulent effacer les frontières, mais à ceux qui les protègent. Il n’appartient pas à ceux qui divisent, mais à ceux qui unissent leurs peuples autour de valeurs communes.
Les États-Unis sont de retour, plus forts que jamais. Nous tendons la main à toutes les nations qui partagent notre vision d’un monde de paix, de prospérité et de liberté. Ensemble, nous pouvons construire un avenir où chaque pays est maître de son destin, où chaque citoyen est respecté, et où l’ONU redevient un outil au service des nations, et non leur maître.
Merci, et que Dieu bénisse les États-Unis d’Amérique et toutes les nations représentées ici aujourd’hui.
L’Organisation des Nations Unies a été fondée avec de nobles idéaux : promouvoir la paix, la coopération et la sécurité. Mais, trop souvent, elle s’est éloignée de sa mission. Elle est devenue une bureaucratie lourde, parfois détournée par des intérêts qui ne servent pas les peuples qu’elle prétend représenter. L’ONU doit se réformer pour redevenir un outil de coopération entre nations souveraines, et non un instrument de gouvernance mondiale qui empiète sur les droits des États.
Par exemple, l’ONU a financé des programmes qui, sous couvert d’aide humanitaire, ont soutenu des migrations illégales vers des pays comme le mien. Des millions de personnes traversent des frontières sans contrôle, déstabilisant des communautés et mettant en danger la sécurité nationale. L’ONU doit cesser de soutenir ces politiques et respecter la souveraineté des nations qui protègent leurs frontières.
Les migrations de masse, souvent encouragées par des politiques laxistes, sont une menace pour la stabilité mondiale. Aux États-Unis, nous avons renforcé notre frontière sud. Nous avons construit un mur plus solide et mis fin aux abus du système d’asile. Les résultats parlent d’eux-mêmes : moins de criminalité, moins de trafic de drogue, et des communautés plus sûres. Je dis aux dirigeants ici présents : protégez vos frontières. Vos citoyens méritent la sécurité et la dignité.
En Europe, nous voyons les conséquences de politiques migratoires ouvertes. Des villes autrefois prospères sont aujourd’hui confrontées à des défis culturels et sécuritaires. Je ne dis pas cela pour critiquer, mais pour avertir. Chaque nation doit avoir le courage de défendre son identité et ses valeurs.
Le monde est encore marqué par des conflits inutiles. Les guerres en Ukraine et au Moyen-Orient sont des tragédies qui auraient pu être évitées avec un leadership fort et clairvoyant. Les États-Unis ont montré l’exemple en mettant fin aux guerres sans fin. Nous avons ramené nos troupes à la maison tout en maintenant une force militaire inégalée. Nous croyons en la paix par la force.
Je lance un appel aux nations impliquées dans des conflits : mettez fin à la destruction. Asseyez-vous, négociez et trouvez des solutions qui respectent la souveraineté de chacun. Les États-Unis sont prêts à jouer leur rôle en tant que médiateur, mais nous ne serons jamais les gendarmes du monde.
L’agenda climatique mondial, tel qu’il est promu ici, est souvent une excuse pour imposer des restrictions économiques aux nations en développement et aux classes moyennes. Les États-Unis ne se plieront pas à des accords qui nuisent à notre économie tout en permettant à des pollueurs comme la Chine de continuer sans contraintes. Nous croyons en une énergie propre et abordable, mais pas au détriment de la prospérité de nos citoyens.
Les politiques climatiques doivent être pragmatiques, et non idéologiques. Nous avons prouvé qu’il est possible de réduire les émissions tout en augmentant la production énergétique et en créant des emplois. Suivez notre exemple, et non celui des bureaucrates qui veulent contrôler votre économie.
Mesdames et Messieurs, l’avenir n’appartient pas aux globalistes, mais aux patriotes. Il n’appartient pas à ceux qui veulent effacer les frontières, mais à ceux qui les protègent. Il n’appartient pas à ceux qui divisent, mais à ceux qui unissent leurs peuples autour de valeurs communes.
Les États-Unis sont de retour, plus forts que jamais. Nous tendons la main à toutes les nations qui partagent notre vision d’un monde de paix, de prospérité et de liberté. Ensemble, nous pouvons construire un avenir où chaque pays est maître de son destin, où chaque citoyen est respecté, et où l’ONU redevient un outil au service des nations, et non leur maître.
Merci, et que Dieu bénisse les États-Unis d’Amérique et toutes les nations représentées ici aujourd’hui.
il y a 11 heures
Ca fait bizarre de l'entendre parler autre chose que des juifs et d'israel.
We were born in your world... but you will die in ours
il y a 11 heures
Au début il se jette des fleurs mais la deuxième partie était top :
L’Organisation des Nations Unies a été fondée avec de nobles idéaux : promouvoir la paix, la coopération et la sécurité. Mais, trop souvent, elle s’est éloignée de sa mission. Elle est devenue une bureaucratie lourde, parfois détournée par des intérêts qui ne servent pas les peuples qu’elle prétend représenter. L’ONU doit se réformer pour redevenir un outil de coopération entre nations souveraines, et non un instrument de gouvernance mondiale qui empiète sur les droits des États.
Par exemple, l’ONU a financé des programmes qui, sous couvert d’aide humanitaire, ont soutenu des migrations illégales vers des pays comme le mien. Des millions de personnes traversent des frontières sans contrôle, déstabilisant des communautés et mettant en danger la sécurité nationale. L’ONU doit cesser de soutenir ces politiques et respecter la souveraineté des nations qui protègent leurs frontières.
Les migrations de masse, souvent encouragées par des politiques laxistes, sont une menace pour la stabilité mondiale. Aux États-Unis, nous avons renforcé notre frontière sud. Nous avons construit un mur plus solide et mis fin aux abus du système d’asile. Les résultats parlent d’eux-mêmes : moins de criminalité, moins de trafic de drogue, et des communautés plus sûres. Je dis aux dirigeants ici présents : protégez vos frontières. Vos citoyens méritent la sécurité et la dignité.
En Europe, nous voyons les conséquences de politiques migratoires ouvertes. Des villes autrefois prospères sont aujourd’hui confrontées à des défis culturels et sécuritaires. Je ne dis pas cela pour critiquer, mais pour avertir. Chaque nation doit avoir le courage de défendre son identité et ses valeurs.
Le monde est encore marqué par des conflits inutiles. Les guerres en Ukraine et au Moyen-Orient sont des tragédies qui auraient pu être évitées avec un leadership fort et clairvoyant. Les États-Unis ont montré l’exemple en mettant fin aux guerres sans fin. Nous avons ramené nos troupes à la maison tout en maintenant une force militaire inégalée. Nous croyons en la paix par la force.
Je lance un appel aux nations impliquées dans des conflits : mettez fin à la destruction. Asseyez-vous, négociez et trouvez des solutions qui respectent la souveraineté de chacun. Les États-Unis sont prêts à jouer leur rôle en tant que médiateur, mais nous ne serons jamais les gendarmes du monde.
L’agenda climatique mondial, tel qu’il est promu ici, est souvent une excuse pour imposer des restrictions économiques aux nations en développement et aux classes moyennes. Les États-Unis ne se plieront pas à des accords qui nuisent à notre économie tout en permettant à des pollueurs comme la Chine de continuer sans contraintes. Nous croyons en une énergie propre et abordable, mais pas au détriment de la prospérité de nos citoyens.
Les politiques climatiques doivent être pragmatiques, et non idéologiques. Nous avons prouvé qu’il est possible de réduire les émissions tout en augmentant la production énergétique et en créant des emplois. Suivez notre exemple, et non celui des bureaucrates qui veulent contrôler votre économie.
Mesdames et Messieurs, l’avenir n’appartient pas aux globalistes, mais aux patriotes. Il n’appartient pas à ceux qui veulent effacer les frontières, mais à ceux qui les protègent. Il n’appartient pas à ceux qui divisent, mais à ceux qui unissent leurs peuples autour de valeurs communes.
Les États-Unis sont de retour, plus forts que jamais. Nous tendons la main à toutes les nations qui partagent notre vision d’un monde de paix, de prospérité et de liberté. Ensemble, nous pouvons construire un avenir où chaque pays est maître de son destin, où chaque citoyen est respecté, et où l’ONU redevient un outil au service des nations, et non leur maître.
Merci, et que Dieu bénisse les États-Unis d’Amérique et toutes les nations représentées ici aujourd’hui.
L’Organisation des Nations Unies a été fondée avec de nobles idéaux : promouvoir la paix, la coopération et la sécurité. Mais, trop souvent, elle s’est éloignée de sa mission. Elle est devenue une bureaucratie lourde, parfois détournée par des intérêts qui ne servent pas les peuples qu’elle prétend représenter. L’ONU doit se réformer pour redevenir un outil de coopération entre nations souveraines, et non un instrument de gouvernance mondiale qui empiète sur les droits des États.
Par exemple, l’ONU a financé des programmes qui, sous couvert d’aide humanitaire, ont soutenu des migrations illégales vers des pays comme le mien. Des millions de personnes traversent des frontières sans contrôle, déstabilisant des communautés et mettant en danger la sécurité nationale. L’ONU doit cesser de soutenir ces politiques et respecter la souveraineté des nations qui protègent leurs frontières.
Les migrations de masse, souvent encouragées par des politiques laxistes, sont une menace pour la stabilité mondiale. Aux États-Unis, nous avons renforcé notre frontière sud. Nous avons construit un mur plus solide et mis fin aux abus du système d’asile. Les résultats parlent d’eux-mêmes : moins de criminalité, moins de trafic de drogue, et des communautés plus sûres. Je dis aux dirigeants ici présents : protégez vos frontières. Vos citoyens méritent la sécurité et la dignité.
En Europe, nous voyons les conséquences de politiques migratoires ouvertes. Des villes autrefois prospères sont aujourd’hui confrontées à des défis culturels et sécuritaires. Je ne dis pas cela pour critiquer, mais pour avertir. Chaque nation doit avoir le courage de défendre son identité et ses valeurs.
Le monde est encore marqué par des conflits inutiles. Les guerres en Ukraine et au Moyen-Orient sont des tragédies qui auraient pu être évitées avec un leadership fort et clairvoyant. Les États-Unis ont montré l’exemple en mettant fin aux guerres sans fin. Nous avons ramené nos troupes à la maison tout en maintenant une force militaire inégalée. Nous croyons en la paix par la force.
Je lance un appel aux nations impliquées dans des conflits : mettez fin à la destruction. Asseyez-vous, négociez et trouvez des solutions qui respectent la souveraineté de chacun. Les États-Unis sont prêts à jouer leur rôle en tant que médiateur, mais nous ne serons jamais les gendarmes du monde.
L’agenda climatique mondial, tel qu’il est promu ici, est souvent une excuse pour imposer des restrictions économiques aux nations en développement et aux classes moyennes. Les États-Unis ne se plieront pas à des accords qui nuisent à notre économie tout en permettant à des pollueurs comme la Chine de continuer sans contraintes. Nous croyons en une énergie propre et abordable, mais pas au détriment de la prospérité de nos citoyens.
Les politiques climatiques doivent être pragmatiques, et non idéologiques. Nous avons prouvé qu’il est possible de réduire les émissions tout en augmentant la production énergétique et en créant des emplois. Suivez notre exemple, et non celui des bureaucrates qui veulent contrôler votre économie.
Mesdames et Messieurs, l’avenir n’appartient pas aux globalistes, mais aux patriotes. Il n’appartient pas à ceux qui veulent effacer les frontières, mais à ceux qui les protègent. Il n’appartient pas à ceux qui divisent, mais à ceux qui unissent leurs peuples autour de valeurs communes.
Les États-Unis sont de retour, plus forts que jamais. Nous tendons la main à toutes les nations qui partagent notre vision d’un monde de paix, de prospérité et de liberté. Ensemble, nous pouvons construire un avenir où chaque pays est maître de son destin, où chaque citoyen est respecté, et où l’ONU redevient un outil au service des nations, et non leur maître.
Merci, et que Dieu bénisse les États-Unis d’Amérique et toutes les nations représentées ici aujourd’hui.
Merci khey
Cylindric le Germain ------ Authentique white trash de Lorraine
il y a 6 heures