Ce sujet a été résolu
il y a 17 jours
Fondée en 1915, 890 milliards d'eurodollars de valeur monétaire, 600 000 membres. Et toi?
il y a 17 jours
La gueule du yeux jaune
Merci con de @chouette https://vocaroo.com/170GevOlsKxh
il y a 17 jours
Mais bordel faut le ligoter sur un brancard faire le test VIH de force, quelle justice de merde
Commettre un viol devrait de facto enlever ses droits citoyens
Commettre un viol devrait de facto enlever ses droits citoyens
IRL(s) Annecy et alentours : GO MP
il y a 17 jours
il prendra du sursis et un rappel à la loi + des cours d'education sexuelle financé par par le contribuable
il y a 17 jours
QulbutoKhey
17j
Mais bordel faut le ligoter sur un brancard faire le test VIH de force, quelle justice de merde
Commettre un viol devrait de facto enlever ses droits citoyens
Commettre un viol devrait de facto enlever ses droits citoyens
Exactement
il y a 17 jours
"Monstre"
C'est juste un nègre
C'est juste un nègre
https://www.youtube.com/w[...]p;ab_channel=MrMuseLyrics
il y a 17 jours
il y a 17 jours
Solidoupas
17j
Yen a un autre qui a violé une gamine de 15 ans aussi
il y a 17 jours
Scipion_SPQR
17j
Rien que la tête bordel comment on peut se dire que ça va bien spasser
Ils ont tué Turlupin, comment leur pardonner?
Soutien à un Orteil un des clé les plus créatifs du RoomFou
il y a 17 jours
Pour une fois je vais prendre le parti des femmes mais pour moi tous les viols déclarés sont qu'une petite couche de la réalité, elles le déclarent pas ou par honte ne préfèrent pas en parler.
edit et là c'est un homme mais je suis sur que c'est encore pire pour nous de le dire
edit et là c'est un homme mais je suis sur que c'est encore pire pour nous de le dire
Ils ont tué Turlupin, comment leur pardonner?
Soutien à un Orteil un des clé les plus créatifs du RoomFou
il y a 17 jours
Pour une fois je vais prendre le parti des femmes mais pour moi tous les viols déclarés sont qu'une petite couche de la réalité, elles le déclarent pas ou par honte ne préfèrent pas en parler.
edit et là c'est un homme mais je suis sur que c'est encore pire pour nous de le dire
edit et là c'est un homme mais je suis sur que c'est encore pire pour nous de le dire
Et oui j'ai relu et effectivement c'était un garçon, pour ça le conducteur la pas pris au sérieux il a du écouté la moitié et voir c'était un gars il a du croire il était en plein délire.
Mais oui clairement nous ont a l'info dès cas connu doit avoir une multitude d'autre cas
Mais oui clairement nous ont a l'info dès cas connu doit avoir une multitude d'autre cas
il y a 17 jours
Ça devrait être le combat principal des féministes ce laxisme.
Mais non, elles préfèrent être de gauche et prendre le parti des nègres.
Mais non, elles préfèrent être de gauche et prendre le parti des nègres.
il y a 17 jours
3 OQTF
Le régime français toujours pas inquiété
Le régime français toujours pas inquiété
Cylindric le Germain ------ Authentique white trash de Lorraine
il y a 17 jours
Cylindric
17j
3 OQTF
Le régime français toujours pas inquiété
Le régime français toujours pas inquiété
La "justice" démocratique est consubstantiellement hostile à l’homme Blanc.
Flics et juges n’ont pas pour fonction de protéger la population autochtone, mais de protéger la classe dirigeante de tout soulèvement généralisé
Les Etats démocratiques occidentaux sont des anarcho-tyrannies : anarchistes pour les allogènes, tyranniques pour les indigène.
Si les Blancs veulent une justice, ils devront la faire par leurs propres moyens
Flics et juges n’ont pas pour fonction de protéger la population autochtone, mais de protéger la classe dirigeante de tout soulèvement généralisé
Les Etats démocratiques occidentaux sont des anarcho-tyrannies : anarchistes pour les allogènes, tyranniques pour les indigène.
Si les Blancs veulent une justice, ils devront la faire par leurs propres moyens
A chaque problème sa solution
il y a 17 jours
Le premier jour du procès de Jordy Goukara, hier à Paris, a été éprouvant pour ses deux victimes. Attaquées à 45 minutes d’intervalle dans l’ouest de la capitale samedi 11 novembre 2023, en pleine après-midi, Mathilde et Claire Geronimi ont pensé qu’elles allaient mourir.
Jordy Goukara, 27 ans, armé d’un couteau, les a contraintes à des fellations, des viols digitaux, les menaçant de mort si elles criaient ou luttaient.
Claire Geronimi a subi l’ostracisme des féministes.
Jordy Goukara s’obstine, entend la « baiser » puis, curieusement, lâche un « je t’aime ». « Son érection peu vigoureuse », selon les mots du chef enquêteur, le décontenance. Il opte pour la fellation. « Les mouvements de son bassin sont très violents sur les images », rapporte-t-il. Et, au terme de huit minutes infernales, c’est fini.
J’ai entendu tais-toi, sinon je te tue ». L’attaque est en tous points similaire. Mais le supplice s’éternise : « 20 minutes, c’est très long. J’ai vraiment eu l’impression que j’allais mourir. »
Il lui demande si elle est vierge, elle répond « oui », pensant que cela peut l’épargner. « Je vais te baiser mais avant, tu vas me sucer. » Étranglements, menaces. Le président : « Les vulgarités et les violences vont crescendo. » Claire évoque les fellations, les pénétrations digitales, sa volonté de « se débattre », le renoncement. « Oui, vous aviez des bleus partout », précise M. Zientara qui conduit l’audience avec tact. Mêmes coups de boutoir, et le sang qui s’écoule des plaies de Claire dénudée, allongée sur la bouteille achetée pour le dîner, brisée.
Les hématomes et un tendon sectionné ne sont rien au regard de la vision d’horreur infligée à sa mère. Christine, toujours sous le choc : « Sa bouche et ses lèvres étaient tuméfiées, elle pouvait à peine parler. Elle était inerte. Elle n’était pas dans son corps. J’aurais pu perdre ma fille… »
Il refuse de soigner sa propension à la violence, son addiction au sexe, lui qui a « fréquenté 20 à 30 prostituées » quand il était mineur. Il assure « ne pas avoir besoin de violer des femmes » ! « J’ai du succès depuis mon jeune âge. Je suis sûr de mon charisme, de mon aura ».
Les condamnations commencent à pleuvoir : vol avec violence (pour acheter de la drogue), usage de stupéfiants, rébellion, menaces de mort, violences avec arme… Au total, 13 mentions et plusieurs peines de prison ferme.
Il agresse ses codétenus, mais aussi le personnel féminin. À une directrice pénitentiaire vue à la télévision, il explique s’être « branlé » en la regardant. Une autre fois, il tente d’agresser sexuellement une surveillante qui a eu le malheur d’entrer dans sa cellule au moment où, précisément, il se « branlait ». « Je voulais la baiser dans la cellule, j’aime ça, si c’était à refaire, je le referai en mieux », se vante l’intéressé à l’époque. Cela lui vaut trois ans de prison, dont deux ferme. Il avoue se masturber « au moins dix fois par jour », estime n’avoir aucun problème avec les femmes et n’aperçoit aucune nécessité à soigner sa violence ou l’intensité de ses besoins sexuels.
la fille de sa famille d’accueil a révélé à ses parents qu’il l’avait agressée régulièrement la nuit, en lui imposant de se déshabiller et de subir les pénétrations digitales. L’accusé parle quant à lui d’une histoire d’amour et évoque de longues heures à s’embrasser. Elle n’avait que 13 ans, il en avait 16.
Jordy Goukara, 27 ans, armé d’un couteau, les a contraintes à des fellations, des viols digitaux, les menaçant de mort si elles criaient ou luttaient.
Claire Geronimi a subi l’ostracisme des féministes.
Jordy Goukara s’obstine, entend la « baiser » puis, curieusement, lâche un « je t’aime ». « Son érection peu vigoureuse », selon les mots du chef enquêteur, le décontenance. Il opte pour la fellation. « Les mouvements de son bassin sont très violents sur les images », rapporte-t-il. Et, au terme de huit minutes infernales, c’est fini.
J’ai entendu tais-toi, sinon je te tue ». L’attaque est en tous points similaire. Mais le supplice s’éternise : « 20 minutes, c’est très long. J’ai vraiment eu l’impression que j’allais mourir. »
Il lui demande si elle est vierge, elle répond « oui », pensant que cela peut l’épargner. « Je vais te baiser mais avant, tu vas me sucer. » Étranglements, menaces. Le président : « Les vulgarités et les violences vont crescendo. » Claire évoque les fellations, les pénétrations digitales, sa volonté de « se débattre », le renoncement. « Oui, vous aviez des bleus partout », précise M. Zientara qui conduit l’audience avec tact. Mêmes coups de boutoir, et le sang qui s’écoule des plaies de Claire dénudée, allongée sur la bouteille achetée pour le dîner, brisée.
Les hématomes et un tendon sectionné ne sont rien au regard de la vision d’horreur infligée à sa mère. Christine, toujours sous le choc : « Sa bouche et ses lèvres étaient tuméfiées, elle pouvait à peine parler. Elle était inerte. Elle n’était pas dans son corps. J’aurais pu perdre ma fille… »
Il refuse de soigner sa propension à la violence, son addiction au sexe, lui qui a « fréquenté 20 à 30 prostituées » quand il était mineur. Il assure « ne pas avoir besoin de violer des femmes » ! « J’ai du succès depuis mon jeune âge. Je suis sûr de mon charisme, de mon aura ».
Les condamnations commencent à pleuvoir : vol avec violence (pour acheter de la drogue), usage de stupéfiants, rébellion, menaces de mort, violences avec arme… Au total, 13 mentions et plusieurs peines de prison ferme.
Il agresse ses codétenus, mais aussi le personnel féminin. À une directrice pénitentiaire vue à la télévision, il explique s’être « branlé » en la regardant. Une autre fois, il tente d’agresser sexuellement une surveillante qui a eu le malheur d’entrer dans sa cellule au moment où, précisément, il se « branlait ». « Je voulais la baiser dans la cellule, j’aime ça, si c’était à refaire, je le referai en mieux », se vante l’intéressé à l’époque. Cela lui vaut trois ans de prison, dont deux ferme. Il avoue se masturber « au moins dix fois par jour », estime n’avoir aucun problème avec les femmes et n’aperçoit aucune nécessité à soigner sa violence ou l’intensité de ses besoins sexuels.
la fille de sa famille d’accueil a révélé à ses parents qu’il l’avait agressée régulièrement la nuit, en lui imposant de se déshabiller et de subir les pénétrations digitales. L’accusé parle quant à lui d’une histoire d’amour et évoque de longues heures à s’embrasser. Elle n’avait que 13 ans, il en avait 16.
A chaque problème sa solution
il y a 16 jours