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Un autre jour un autre bide
On le sait tous : le logement reste le premier poste de dépense pour la majorité des ménages. Pourtant, une autre voie existe pour réduire ces coûts et gagner en autonomie : les tiny houses. Ces micro-maisons, souvent mobiles, offrent un espace réduit mais optimisé, et permettent de repenser totalement notre rapport au logement et à la propriété.
Un exemple :
https://www.amazon.fr/Pet[...]B0FNRNTG1J/ref=mp_s_a_1_1 à 10k€
Soit au SMIC chez vos parents, vous en achetez une en 10 mois
I) Les principaux modèles
Tiny houses sur roues : facilement déplaçables, elles ressemblent à des caravanes améliorées mais avec une isolation et un aménagement beaucoup plus qualitatifs.
Tiny houses fixes : posées sur des fondations légères, elles s’apparentent davantage à de petites maisons traditionnelles.
Modules préfabriqués : certaines marques proposent des kits en bois ou en métal livrés en panneaux à assembler soi-même. On en trouve même quelques modèles d’abris habitables directement commandables sur Amazon (plutôt basiques, souvent présentés comme chalets de jardin, mais qui peuvent servir de base pour un projet d’aménagement).
Ce qui est envisageable
À court terme, la tiny house peut être utilisée comme résidence secondaire, logement étudiant, ou solution d’autonomie (énergie solaire, récupération d’eau, toilettes sèches). Certaines communautés se structurent déjà autour de petits villages de tiny houses.
II) La reglementation
C’est là que ça se complique :
En France, une tiny house sur roues est assimilée juridiquement à une résidence mobile de loisirs. On peut l’installer sur un terrain constructible, mais pas n’importe où.
Les tiny houses fixes doivent respecter les règles d’urbanisme (PLU) et peuvent nécessiter un permis de construire si la surface dépasse 20 m².
Enfin, les normes énergétiques (RE2020), les règles d’assainissement et la taxe foncière s’appliquent dès lors qu’on sort du statut “mobile”.
En résumé : les tiny houses, les yourtes, mais aussi les conteneurs sont la meilleure alternative crédible et de plus en plus populaire, mais qui demande de bien se renseigner sur la réglementation locale avant de se lancer.
On le sait tous : le logement reste le premier poste de dépense pour la majorité des ménages. Pourtant, une autre voie existe pour réduire ces coûts et gagner en autonomie : les tiny houses. Ces micro-maisons, souvent mobiles, offrent un espace réduit mais optimisé, et permettent de repenser totalement notre rapport au logement et à la propriété.
Un exemple :
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I) Les principaux modèles
Tiny houses sur roues : facilement déplaçables, elles ressemblent à des caravanes améliorées mais avec une isolation et un aménagement beaucoup plus qualitatifs.
Tiny houses fixes : posées sur des fondations légères, elles s’apparentent davantage à de petites maisons traditionnelles.
Modules préfabriqués : certaines marques proposent des kits en bois ou en métal livrés en panneaux à assembler soi-même. On en trouve même quelques modèles d’abris habitables directement commandables sur Amazon (plutôt basiques, souvent présentés comme chalets de jardin, mais qui peuvent servir de base pour un projet d’aménagement).
Ce qui est envisageable
À court terme, la tiny house peut être utilisée comme résidence secondaire, logement étudiant, ou solution d’autonomie (énergie solaire, récupération d’eau, toilettes sèches). Certaines communautés se structurent déjà autour de petits villages de tiny houses.
II) La reglementation
C’est là que ça se complique :
En France, une tiny house sur roues est assimilée juridiquement à une résidence mobile de loisirs. On peut l’installer sur un terrain constructible, mais pas n’importe où.
Les tiny houses fixes doivent respecter les règles d’urbanisme (PLU) et peuvent nécessiter un permis de construire si la surface dépasse 20 m².
Enfin, les normes énergétiques (RE2020), les règles d’assainissement et la taxe foncière s’appliquent dès lors qu’on sort du statut “mobile”.
En résumé : les tiny houses, les yourtes, mais aussi les conteneurs sont la meilleure alternative crédible et de plus en plus populaire, mais qui demande de bien se renseigner sur la réglementation locale avant de se lancer.
il y a 2 jours
Quid de la qualité et de la tenue dans le temps ?
Faire un don https://ko-fi.com/kandira/
il y a 2 jours
Quid de la qualité et de la tenue dans le temps ?
Comme c'est d'inspiration américaine, il s'agit bien évidemment de maisons avec des murs en papier mâché.
Mais même si ça dure 15 ans ça te met bien. Les maisons semi enterees type cul de sac ça a l'air d'etre top aussi
Durées de vie typiques des habitats :
Tiny house (ossature bois mobile) : 15 à 30 ans
Yourte moderne (structure bois + toile) : 15 à 25 ans (toile à remplacer tous les 10-15 ans)
Container aménagé : 25 à 40 ans (selon corrosion et isolation)
Dôme géodésique (toile) : 20 à 40 ans
Dôme géodésique (panneaux rigides) : 50 ans et plus
Maison en bois massif / CLT : 50 à 100 ans
Maison classique (béton, brique) : 70 à 100 ans et plus
Maison en terre crue (pisé, adobe, cob) : 80 à 200 ans (si bien entretenue)
Maison semi-enterrée / troglodyte : 100 ans et plusa
Mais même si ça dure 15 ans ça te met bien. Les maisons semi enterees type cul de sac ça a l'air d'etre top aussi
Durées de vie typiques des habitats :
Tiny house (ossature bois mobile) : 15 à 30 ans
Yourte moderne (structure bois + toile) : 15 à 25 ans (toile à remplacer tous les 10-15 ans)
Container aménagé : 25 à 40 ans (selon corrosion et isolation)
Dôme géodésique (toile) : 20 à 40 ans
Dôme géodésique (panneaux rigides) : 50 ans et plus
Maison en bois massif / CLT : 50 à 100 ans
Maison classique (béton, brique) : 70 à 100 ans et plus
Maison en terre crue (pisé, adobe, cob) : 80 à 200 ans (si bien entretenue)
Maison semi-enterrée / troglodyte : 100 ans et plusa
il y a un jour