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Tu conseilles d'aller s'avorter au cintre avec les risques que ça encourt et tu parles de justification de tuer ?
:crazyhead:


Oui, en mon sens c'est justifié, faut avoir un grain pour élever son enfant issu d'un viol et les femmes violées sont hyper instables mentalement après coup
D'où la possibilité de placer à l'adoption
:chat-mirroir:
Nous sommes la jeunesse, nous sommes la vie, Rex doit vaincre c'est pourquoi Rex vaincra
:chakss:
il y a 4 jours
D'où la possibilité de placer à l'adoption
:chat-mirroir:
Et si personne adopte ?
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il y a 4 jours
On est tous d'accord que l'avortement est une merde anti vie pour l'immense majorité des cas
:chat-fume:


Pour les viol/ bebé handicapé, ça se débat, mais de toute manière ça représente 2-3% max,
:Risitas-doigt:
il y a 4 jours
Contre l'IVG mais pour l'IMG et les cas de type viols/incestes.
:cafe:
:Blason_Monte_Cristo:
il y a 4 jours
On est tous d'accord que l'avortement est une merde anti vie pour l'immense majorité des cas
:chat-fume:


Pour les viol/ bebé handicapé, ça se débat, mais de toute manière ça représente 2-3% max,
:Risitas-doigt:
Tous ces bébés qui verront le jour au lieu d'être avorté, va falloir les placer quelques part

Actuellement y'a plus de demandes d'adoptions que de bébé à adopter, mais si on interdit l'avortement la tendance va s'inverser

Quid des bébés en trop ?
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il y a 4 jours
Tous ces bébés qui verront le jour au lieu d'être avorté, va falloir les placer quelques part

Actuellement y'a plus de demandes d'adoptions que de bébé à adopter, mais si on interdit l'avortement la tendance va s'inverser

Quid des bébés en trop ?
Va pas falloir nécessairement les placer hein. Tu crois qu'avant ils finissaient tous en orphelinat ou battu par leurs parents ? Non ça forçait juste les gens à fonder une famille et s'en occuper.
:Blason_Monte_Cristo:
il y a 4 jours
Va pas falloir nécessairement les placer hein. Tu crois qu'avant ils finissaient tous en orphelinat ou battu par leurs parents ? Non ça forçait juste les gens à fonder une famille et s'en occuper.
Avant c'est quand ? A l'époque ou 50% des enfants crevaient ?
:crazyhead:


Car actuellement c'est surtout des jeunes femmes qui avortent, qui ont même pas les moyens de subvenir à leur propre besoins, alors un enfant
:crazyhead:
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il y a 4 jours
Avant c'est quand ? A l'époque ou 50% des enfants crevaient ?
:crazyhead:


Car actuellement c'est surtout des jeunes femmes qui avortent, qui ont même pas les moyens de subvenir à leur propre besoins, alors un enfant
:crazyhead:
Rien qu'à l'époque de nos grands parents.
:FatigueZoom:
:Blason_Monte_Cristo:
il y a 4 jours
Rien qu'à l'époque de nos grands parents.
:FatigueZoom:
L'époque de nos grands parents ou tu pouvais fonder une famille sur un salaire et acheter une maison a 30 000 balles ?
:FatigueZoom:
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il y a 4 jours
Ça m'a rappelé un souvenir quand j'étais jeune j'avais creampy une black et elle m'avait pas dit qu'elle prenait pas la pillule un jour elle m'appelle et me dit je suis a l'hôpital j'arrive pas a rentré pour me faire avorter du coups je suis allé pour quel le fasses surtout que je la voyais plus depuis quelque mois, et tu voix pas la salope de bomboula d'infirmière qui essaye de nous convaincre de la gardé j'avais dû sortir des arguments pour quel lâche l'affaire
il y a 4 jours
breviairedecombat.wordpress.com https://breviairedecombat[...]wordpress.com/avortement/

Grégor Puppinck, Discours au Parlement Européen (5 juillet 2022)
« L’affirmation selon laquelle l’avortement est un droit repose sur le mensonge. Il y a d’abord le mensonge suivant lequel l’avortement serait un « soin de santé », qu’il serait « sans risque », que sa légalisation réduirait la mortalité maternelle, ou encore que les femmes seraient victimes de « grossesses forcées », comme si la grossesse était une fatalité. Il y a aussi le mensonge suivant lequel il serait impossible de prévenir ni de réduire le recours à l’avortement, ou que l’avortement serait une condition de l’égalité entre les hommes et les femmes. Tous ces mensonges peuvent être aisément dénoncés.
Mais le plus gros mensonge sur l’avortement consiste à dénier jusqu’à l’existence de l’enfant victime de l’avortement. C’est sur ce mensonge que repose le prétendu droit à l’avortement. C’est l’ignorance de l’enfant qui permet de présenter l’avortement comme un droit de la femme sur son propre corps ; c’est ce que fit la Cour suprême des États Unis en 1973, et c’était faux, hier comme aujourd’hui. C’est un mensonge grossier car l’avortement est évidemment pratiqué sur un enfant ! C’est lui qui est avorté et non sa mère.
Ce mensonge va même plus loin puisque les promoteurs de l’avortement prennent toujours soin d’éviter d’en parler ouvertement : ils utilisent des périphrases telles que « procédure », « droit reproductif » ou « IVG » pour ne pas dire « avortement ». Ils n’assument pas la réalité sanglante de ce qu’ils promeuvent. Ce déni de l’enfant est une condition du droit à l’avortement.
C’est sur ce déni mensonger que reposait l’arrêt Roe v Wade ; et c’est ce mensonge que la Cour suprême a enfin rejeté dans son récent jugement Dobbs. Il faut le reconnaître, elle a suivi en cela la Cour européenne des droits de l’homme qui avait déjà déclaré que la grossesse et l’avortement ne concernent pas seulement la vie privée de la mère, mais aussi « l’enfant à naître » qu’elle porte, ainsi que le « père potentiel » de l’enfant, et la société (affaires Brüggemann et Boso). C’est parce que l’enfant existe, même s’il n’est qualifié que « d’être humain potentiel », que la grossesse et l’avortement dépassent le cadre de la vie privée de la mère.
Plus encore, dans plusieurs affaires importantes, la Cour européenne a fait application de la Convention européenne à l’enfant dès avant sa naissance, en matière de droit à la vie, de respect de la vie privée, et même d’interdiction de la torture concernant la souffrance subie par le fœtus durant l’avortement. Dans plusieurs affaires la CEDH a jugé que la protection accordée par l’État au fœtus est justifiée par égard pour les « droits et libertés d’autrui » (affaires Costa et Pavan et Parrillo c Italie). Il en résulte, comme le souligne justement le Juge Pinto de Albuquerque, que « l’embryon est un “autrui”, un sujet doté d’un statut juridique ».
C’est cela la raison fondamentale pour laquelle l’avortement ne pourra jamais être un “droit” subjectif : car nul ne peut avoir de droit arbitraire sur l’existence d’autrui. C’est aussi ce que déclare la Cour suprême des Etats Unis lorsqu’elle affirme que, « l’avortement est différent d’autres pratiques parce qu’il détruit ce que Roe appelle une “vie potentielle” et ce que la loi du Mississippi appelle un « être humain à naître » « .
Il en résulte, comme la Cour européenne l’a dit clairement à plusieurs reprises, que le droit au respect de la vie privée « ne saurait s’interpréter comme consacrant un droit à l’avortement » (affaires A, B et C c. Irlande et P. et S. c. Pologne). D’ailleurs, au fil de sa jurisprudence, la Cour européenne a précisé que la Convention ne garantit aucun droit à subir un avortement, ni de le pratiquer, ni même de concourir impunément à sa réalisation à l’étranger. Elle a aussi jugé que l’interdiction de l’avortement ne viole pas, en soi, la Convention européenne. (affaires Silva Monteiro Martins Ribeiro c. Portugal, Jean-Jacques Amy c. Belgique, Jerzy Tokarczyk c. Pologne, A, B et C c. Irlande)
Ainsi, il n’existe pas de droit à l’avortement au titre de la Convention européenne des droits de l’homme. Cela est certain. D’ailleurs, les nombreux engagements internationaux pris par les États de réduire et de prévenir le recours à l’avortement prouvent que l’avortement n’est pas un droit, car s’il était réellement un droit fondamental, il serait absurde et injuste d’en prévenir l’usage. Déguiser l’avortement en droit ne change rien à la nature de l’acte.
Il faut comprendre que les droits de l’homme ne sont pas créés par les juges et les parlements : ils préexistent. Les peuples les proclament, les déclarent et les reconnaissent, mais ne les créent pas. Qu’est-ce qu’un droit de l’homme ? C’est la garantie offerte par l’État à chaque personne de respecter sa faculté d’accomplir les potentialités de la nature humaine : penser, s’instruire, s’exprimer, prier, s’associer, fonder une famille. Les droits de l’homme ne garantissent pas n’importe quoi, mais protègent l’exercice des facultés humaines par lesquelles nous nous accomplissons en tant qu’êtres humains. Les droits de l’homme sont déduits de la nature humaine et la protègent.
Mais peut-on dire qu’une femme s’accomplit et s’humanise en avortant l’enfant qu’elle porte ? Certainement pas, les souffrances causées par l’avortement sont là pour le démontrer. Si l’avortement était un droit, il ne ferait pas souffrir. Entre un droit fondamental et l’avortement, la différence de nature est patente. L’avortement ne pourra jamais être un “droit fondamental”, car son objet premier, directe, est un mal : la destruction d’une vie humaine innocente, quelle que soit l’intention ou les raisons de cette destruction. Il ne sert à rien de hurler que l’avortement est un droit pour en faire un droit, ni même de l’inscrire dans la Constitution ou dans la Charte des droits fondamentaux. Cela ne change rien à la réalité de l’acte.
Plutôt que de prétendre en faire une « liberté fondamentale », le Gouvernement ferait mieux de s’engager dans une politique de prévention. De nombreux pays sont parvenus à en réduire le recours par des politiques de prévention. C’est le cas notamment de la Hongrie ou de l’Italie où le nombre d’avortements a chuté de 60 % depuis 1982, atteignant 100 000, soit moitié moins qu’en France pour une population à peine moindre. En Allemagne, le nombre d’IVG est aussi passé sous la barre des 100.000. Les exemples sont nombreux, alors que chaque année, en France, près de 215 000 femmes mettent un terme à leur grossesse ; plus de 8 millions d’avortements ont été pratiqués depuis 1975 ce qui représente un quart des naissances. Le taux d’avortement en France est l’un des plus élevés d’Europe et augmente en particulier chez les jeunes.
L’avortement a des conséquences indéniables, culturelles, démographiques, économiques et sociales considérables. 42 % des femmes ayant avorté avant l’âge de 25 ans vivent une dépression. La moitié des femmes mineures ayant avorté souffrent d’idées suicidaires. Les femmes qui avortent ont trois fois plus de risques de subir des violences physiques, mentales ou sexuelles que les femmes qui ont mené à terme leur grossesse.
Selon un sondage IFOP, 89 % des Françaises reconnaissent que « l’avortement laisse des traces psychologiques difficiles à vivre pour les femmes » et 72 % d’entre elles estiment que « la société devrait davantage aider les femmes à éviter le recours à l’IVG ».
Réduire le recours à l’avortement n’est pas seulement un devoir pour le bien des femmes, des enfants et de toute la société, c’est également une obligation contractée par la France en droit international. La France s’est en effet engagée à soutenir la famille, la maternité et les enfants « avant comme après la naissance » (Convention relative aux droits de l’enfant), à « réduire le recours à l’avortement » et à « prendre des mesures appropriées pour aider les femmes à éviter l’avortement » (Conférence du Caire, 1994).
Promouvoir l’avortement comme un droit constitutionnel est une manœuvre politicienne qui aggrave le problème de l’avortement, plus qu’il ne le résout. »
il y a 4 jours
ça peut arriver un accident de contraception
are you threatening me
il y a 4 jours
On est tous d'accord que l'avortement est une merde anti vie pour l'immense majorité des cas
:chat-fume:


Pour les viol/ bebé handicapé, ça se débat, mais de toute manière ça représente 2-3% max,
:Risitas-doigt:
Depuis quand le handicap interdit la vie ?
:chat-mirroir:
Nous sommes la jeunesse, nous sommes la vie, Rex doit vaincre c'est pourquoi Rex vaincra
:chakss:
il y a 3 jours
ça peut arriver un accident de contraception
Fallait pas être un animal
:chat-mirroir:
Nous sommes la jeunesse, nous sommes la vie, Rex doit vaincre c'est pourquoi Rex vaincra
:chakss:
il y a 3 jours
Et si personne adopte ?
C'est quoi cet argument d'attardé
:SingeR:
Nous sommes la jeunesse, nous sommes la vie, Rex doit vaincre c'est pourquoi Rex vaincra
:chakss:
il y a 3 jours
T'es un putain de malade mental
Les religieux sont tarax. Vivement que ça n'existe plus.
il y a 3 jours
voilà bordel
Calmez vous les arabes mentaux
il y a 3 jours
breviairedecombat.wordpress.com https://breviairedecombat[...]wordpress.com/avortement/

Grégor Puppinck, Discours au Parlement Européen (5 juillet 2022)
« L’affirmation selon laquelle l’avortement est un droit repose sur le mensonge. Il y a d’abord le mensonge suivant lequel l’avortement serait un « soin de santé », qu’il serait « sans risque », que sa légalisation réduirait la mortalité maternelle, ou encore que les femmes seraient victimes de « grossesses forcées », comme si la grossesse était une fatalité. Il y a aussi le mensonge suivant lequel il serait impossible de prévenir ni de réduire le recours à l’avortement, ou que l’avortement serait une condition de l’égalité entre les hommes et les femmes. Tous ces mensonges peuvent être aisément dénoncés.
Mais le plus gros mensonge sur l’avortement consiste à dénier jusqu’à l’existence de l’enfant victime de l’avortement. C’est sur ce mensonge que repose le prétendu droit à l’avortement. C’est l’ignorance de l’enfant qui permet de présenter l’avortement comme un droit de la femme sur son propre corps ; c’est ce que fit la Cour suprême des États Unis en 1973, et c’était faux, hier comme aujourd’hui. C’est un mensonge grossier car l’avortement est évidemment pratiqué sur un enfant ! C’est lui qui est avorté et non sa mère.
Ce mensonge va même plus loin puisque les promoteurs de l’avortement prennent toujours soin d’éviter d’en parler ouvertement : ils utilisent des périphrases telles que « procédure », « droit reproductif » ou « IVG » pour ne pas dire « avortement ». Ils n’assument pas la réalité sanglante de ce qu’ils promeuvent. Ce déni de l’enfant est une condition du droit à l’avortement.
C’est sur ce déni mensonger que reposait l’arrêt Roe v Wade ; et c’est ce mensonge que la Cour suprême a enfin rejeté dans son récent jugement Dobbs. Il faut le reconnaître, elle a suivi en cela la Cour européenne des droits de l’homme qui avait déjà déclaré que la grossesse et l’avortement ne concernent pas seulement la vie privée de la mère, mais aussi « l’enfant à naître » qu’elle porte, ainsi que le « père potentiel » de l’enfant, et la société (affaires Brüggemann et Boso). C’est parce que l’enfant existe, même s’il n’est qualifié que « d’être humain potentiel », que la grossesse et l’avortement dépassent le cadre de la vie privée de la mère.
Plus encore, dans plusieurs affaires importantes, la Cour européenne a fait application de la Convention européenne à l’enfant dès avant sa naissance, en matière de droit à la vie, de respect de la vie privée, et même d’interdiction de la torture concernant la souffrance subie par le fœtus durant l’avortement. Dans plusieurs affaires la CEDH a jugé que la protection accordée par l’État au fœtus est justifiée par égard pour les « droits et libertés d’autrui » (affaires Costa et Pavan et Parrillo c Italie). Il en résulte, comme le souligne justement le Juge Pinto de Albuquerque, que « l’embryon est un “autrui”, un sujet doté d’un statut juridique ».
C’est cela la raison fondamentale pour laquelle l’avortement ne pourra jamais être un “droit” subjectif : car nul ne peut avoir de droit arbitraire sur l’existence d’autrui. C’est aussi ce que déclare la Cour suprême des Etats Unis lorsqu’elle affirme que, « l’avortement est différent d’autres pratiques parce qu’il détruit ce que Roe appelle une “vie potentielle” et ce que la loi du Mississippi appelle un « être humain à naître » « .
Il en résulte, comme la Cour européenne l’a dit clairement à plusieurs reprises, que le droit au respect de la vie privée « ne saurait s’interpréter comme consacrant un droit à l’avortement » (affaires A, B et C c. Irlande et P. et S. c. Pologne). D’ailleurs, au fil de sa jurisprudence, la Cour européenne a précisé que la Convention ne garantit aucun droit à subir un avortement, ni de le pratiquer, ni même de concourir impunément à sa réalisation à l’étranger. Elle a aussi jugé que l’interdiction de l’avortement ne viole pas, en soi, la Convention européenne. (affaires Silva Monteiro Martins Ribeiro c. Portugal, Jean-Jacques Amy c. Belgique, Jerzy Tokarczyk c. Pologne, A, B et C c. Irlande)
Ainsi, il n’existe pas de droit à l’avortement au titre de la Convention européenne des droits de l’homme. Cela est certain. D’ailleurs, les nombreux engagements internationaux pris par les États de réduire et de prévenir le recours à l’avortement prouvent que l’avortement n’est pas un droit, car s’il était réellement un droit fondamental, il serait absurde et injuste d’en prévenir l’usage. Déguiser l’avortement en droit ne change rien à la nature de l’acte.
Il faut comprendre que les droits de l’homme ne sont pas créés par les juges et les parlements : ils préexistent. Les peuples les proclament, les déclarent et les reconnaissent, mais ne les créent pas. Qu’est-ce qu’un droit de l’homme ? C’est la garantie offerte par l’État à chaque personne de respecter sa faculté d’accomplir les potentialités de la nature humaine : penser, s’instruire, s’exprimer, prier, s’associer, fonder une famille. Les droits de l’homme ne garantissent pas n’importe quoi, mais protègent l’exercice des facultés humaines par lesquelles nous nous accomplissons en tant qu’êtres humains. Les droits de l’homme sont déduits de la nature humaine et la protègent.
Mais peut-on dire qu’une femme s’accomplit et s’humanise en avortant l’enfant qu’elle porte ? Certainement pas, les souffrances causées par l’avortement sont là pour le démontrer. Si l’avortement était un droit, il ne ferait pas souffrir. Entre un droit fondamental et l’avortement, la différence de nature est patente. L’avortement ne pourra jamais être un “droit fondamental”, car son objet premier, directe, est un mal : la destruction d’une vie humaine innocente, quelle que soit l’intention ou les raisons de cette destruction. Il ne sert à rien de hurler que l’avortement est un droit pour en faire un droit, ni même de l’inscrire dans la Constitution ou dans la Charte des droits fondamentaux. Cela ne change rien à la réalité de l’acte.
Plutôt que de prétendre en faire une « liberté fondamentale », le Gouvernement ferait mieux de s’engager dans une politique de prévention. De nombreux pays sont parvenus à en réduire le recours par des politiques de prévention. C’est le cas notamment de la Hongrie ou de l’Italie où le nombre d’avortements a chuté de 60 % depuis 1982, atteignant 100 000, soit moitié moins qu’en France pour une population à peine moindre. En Allemagne, le nombre d’IVG est aussi passé sous la barre des 100.000. Les exemples sont nombreux, alors que chaque année, en France, près de 215 000 femmes mettent un terme à leur grossesse ; plus de 8 millions d’avortements ont été pratiqués depuis 1975 ce qui représente un quart des naissances. Le taux d’avortement en France est l’un des plus élevés d’Europe et augmente en particulier chez les jeunes.
L’avortement a des conséquences indéniables, culturelles, démographiques, économiques et sociales considérables. 42 % des femmes ayant avorté avant l’âge de 25 ans vivent une dépression. La moitié des femmes mineures ayant avorté souffrent d’idées suicidaires. Les femmes qui avortent ont trois fois plus de risques de subir des violences physiques, mentales ou sexuelles que les femmes qui ont mené à terme leur grossesse.
Selon un sondage IFOP, 89 % des Françaises reconnaissent que « l’avortement laisse des traces psychologiques difficiles à vivre pour les femmes » et 72 % d’entre elles estiment que « la société devrait davantage aider les femmes à éviter le recours à l’IVG ».
Réduire le recours à l’avortement n’est pas seulement un devoir pour le bien des femmes, des enfants et de toute la société, c’est également une obligation contractée par la France en droit international. La France s’est en effet engagée à soutenir la famille, la maternité et les enfants « avant comme après la naissance » (Convention relative aux droits de l’enfant), à « réduire le recours à l’avortement » et à « prendre des mesures appropriées pour aider les femmes à éviter l’avortement » (Conférence du Caire, 1994).
Promouvoir l’avortement comme un droit constitutionnel est une manœuvre politicienne qui aggrave le problème de l’avortement, plus qu’il ne le résout. »
Nonobstant le pavé, l’avortement est effectivement un « droit » en France et ailleurs, et supprimer ce droit est dorénavant une modification constitutionnelle, bien plus directe à obtenir

Je maintiens que si on filait 2k par mois à une mère enceinte ou au foyer, y aurait beaucoup moins d’avortements
il y a 3 jours
Si y'a pas viol ou danger médical => C'est non
:SalazarPT:


Ça leur apprendra aux femelles de se faire bomber la ruche sans conséquence et on aussi à apprendre la chasteté
:SalazarPT:


Pas vrai ?
:nounours4:
Le viol ou le danger médical c'est pas un avortement de confort
:Zebi:
il y a 3 jours
C'est quoi cet argument d'attardé
:SingeR:
C'est quoi cette réponse d'attardé

Si t'interdit l'avortement, les bébés qui ont besoin d'adoptions vont être beaucoup plus nombreux et dépasser la demande, donc on fait quoi des bébés qui sont pas adoptés ?
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il y a 3 jours