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C'est une chaine au cou qu'il lui faut à ce franc maçon puant
:jmarie_pouce:
La TÊTE

Dans un SEAU de MERDE

Que l'on m'arrête à la SORTIE

Si ça n'est pas VRAI
:jmarie_vener:
es spukt hier
il y a un mois
Chaine de rire pour sa retraite de premier ministre et ses privilèges payés avec tes cotisations
:risitas_ahi:
il y a un mois
Blague à part, ça fait une éternité qu'il est en politique ce type.
:zidane_lunettes:




Parmi ces IFS, il faut mentionner OSEO, spécialisé sur le créneau des entreprises de taille petite et moyenne et les SDR ( sociétés de développement régionale ), banques d'affaires régionales des PME. Les modalités d'intervention sont banalisées car les prêts à taux bonifiés qui étaient le privilège de ces organismes ontdisparu. Les financements aux conditions du marché ont remplacé depuis le milieu des années 1980 les procédures administrées. Les prix offerts ne se différencient guère de ceux fournis par les banques commerciales : prêtes d'une durée de 3 à 15 ans, à taux fixe ou variable, en euros ou en devises.
Les banques de façon plus générale offrent : prêts à taux fixe aux grandes entreprises, prêts à taux participatif, crédits assimilables à des fonds propres comportant une clause de participation aux résultats de l'entreprise, accordés avec le soutien de fonds de garantie comme les SOFARIS. Des prêts bancaires aux entreprises ( PBE ) :: crédits à moyen ou long terme, destinés à toutes les catégories d'entreprises dont le coûts est indexé sur la rémunération de certains livrets d'épargne. Des prêts divers aux PME et aux artisans souvent à moyen terme et à taux indexé sur le taux de base bancaire ou celui du marché monétaire . Des crédits professionnels mutuels, distribués par les banques, cautionnés par un organisme spécialise ou avalisés par la BPI ( BPI France - Banque Publique d'Investissement à.








Les crédits aux particuliers. Il y a une grande variété de crédits adaptés aux besoins et contraintes de chacun qu'on peut différencier selon l'usage et les caractéristiques principales. On distingue généralement 3 catégories dont les 2 premières sont très proches et peuvent souvent se confondre. D'abord, les crédits de trésorerie accordés en anticipation de rentrées pécuniaires certaines et qui selon le montant ou la durée, feront ou non l'objet d'un constat de prêt; les plus connus sont la facilité de caisse, le découvert, le crédit relais et le crédit resolving. Les crédits à la consommation accordés en anticipation d'épargne avec un constat de prêt; ils se décomposent en financement des ventes à tempérament ( crédits à la consommation proprement dits à, prêts personnels et location avec promesse de ventes ( leasing ). Enfin, les crédits immobiliers accordés également an anticipation d'épargne et qui feront l'objet dans tous les cas d'un contrat de prêt et de diverses formalités supplémentaires. Ils sont nombreux. Notamment parmi les plus fréquents il y a les prêts aidés à taux 0, les prêts conventionnés, les prêts d'épargne logement et les prêts ordinaiers qui sont la forme la plus fréquente aujourd'hui. Les caractéristiques principales sont la durée, le montant, la quotité, les modalités de remboursement et les taux d'intérêt. Pour ce qui est da la durée, un prêt peut être à court terme ( inférieur à 1 ou 2 ans ), à moyen terme ( entre 2 et 6 ou 7 ans ), à long terme ( supérieur à 7 ans ). Pour ce qui est du montant, c'est la somme qu'on emprunte. Son montant est lié à la situation personnelle de l'emprunteur et à la valeur du bien à financier. Le montant non emprunté représente l'apport personnel. Pour ce qui est de la quotité, on nomme ainsi le rapport entre le montant de l'achat financé à crédit et le coût total de l'achat.
Pour ce qui est des modalités de remboursement, il faut savoir que le remboursement se décompose en 2 parties, à savoir le capital ou le principal et les intérêts. Il peut être constant ou progressif, avec ou sans différé d'amortissement ( période pendant laquelle on ne rembourse que les intérêts ). Enfin pour ce qui est du taux d'intérêt, parmi les différentes modalités de représentations, 2 sont importantes, à savoir le taux actuariel et le taux effectif globale. Le taux actuariel permet de déterminer le coût d'un emprunt. Il tient compte des modalités de remboursement ( constant ou progressif à, et de paiement des intérêts ( début ou fin de période ), de la durée du crédit et du montant du capital disponible. La formule de calcule de la charge de remboursement, dans le cas d'un prêt à remboursement constant, est la suivante : M = k i/1-(1+i) puissance -n avec M : charge périodique constante de remboursement ( principale + intérêts ) en fin de période, i : taux d'intérêt actuariel de période k : montant du capital emprunté n : nombre de périodes. Le calcul se fait généralement à l'aide d'un tableur. Depuis le 1er juillet 2003, le mode de calcul dU TEG a été modifié et rebaptisé au taux annuel effectif global ( TAEG ). Le TAEG est la référence comme obligatoire. C'est un taux annuel, équivalent au taux actuariel de période ( et non plus proportionnel comme auparavant ). Normalement le TAEG incorpore tous les frais, commissions et rémunérations de toute nature y compris les assurances quand elles sont obligatoires. Les taux d'intérêt sont fixes ou variables. Dans ce dernier cas, ils peuvent être indexés ou modifiables en fonction des variations de l'index de référence.









Au niveau macroéconomique, la banque est liée à l'offre de monnaie et est un rouage donc, du système monétaire et un instrument de sa régulation. Au niveau microéconomique, la banque quel que ce soit son statut juridique est une entreprise dont la production peut se mesurer de différentes façons et notamment par le montant des crédits octroyés. En tant que telle, elle doit gagner des parts de marché, faire des profits et assurer son financement, etc.... comme une autre entreprise. Ce comportement est modélisé sous l'appelation de théorie de la firme bancaire. Cette théorie permet de comprendre les dfondements microéconomiques de l'offre de crédits, en insistant sur 2 aspects, à savoir la maximisation du profit et la minimisation des risques. Pour simplifier la présentation, on suppose une situation de concurrence pure et parfaite entre les banquess et par rapport aux marchés de capitaux. On suppsoe aussi que la demande globale de crédits notée ( D ), et généralement de financement, de la part des différents agents économiques est une fonction strictement décroissance du taux d'intérêt. Sur le marché des fonds prêtables, l'offre totale S provenant eds marchés et des banques s'équilibre avec la demande globale D et détermine le taux du marché i0 qui s'impose aux banques sous la forme du taux débiteur offert aux meilleurs clients. En situation de concurrence pure et parfaite, le prix, ici le taux d'intérêt, n'est rien d'autre que la recette moyenne et la recette marginale de l'entreprise - la banque. La quantité de crédit distribuée par les banques est déterminée par confrontation des courbes de coûts et de recette. A l'optimum, la recette marginale est égale au coût marginal : la banque égalise donc son coût marginal, noté Cm, aux taux du marché i0 pour déterminer la quantité offerte q0 lui assurant un profit maximum. Les coûts totaux de la banque se décomposent en coûts fixes, indépendants du montant des crédits offerts, eet en coûts variables.
Ces derniers comprennent des coûts opératoires, correspondant aux coûts de fonctionnement - frais de personnel, utilisation du matériel, etc... et des coûts de refinancement qu'on peut considérer comme dépendant en partie du taux du marché monétaire. Si l'offre de fonds diminue de S à S', la hausse des taux d'intérêt qui s'en suit se traduit par une recette moyenne et marginale plus élevée pour la banque et donc un accroissement des crédits distribués passant de q0 à q1. D'une manière générale, toute hausse des taux d'intérêts débiteurs conduit à une augmentation de l'offre de crédits, sauf si les taux créditeurs - rémunération des dépôts - sont affectés simultanément. En cas de hausse des co^^uts de refinancement décidée par la Banque centrale, la courbe Cm s'élève sans modification de son orientation et devient ' m. La quantité optimale de crédit diminue et se fixe en q2. Donc logiquement toute hausse des recettes unitaires se traduit par un accroissement des crédits et toute hausse des coûts unitaires par une réduction. Et inversement.. Si une banque décide de rationaliser sa production en augmentant sa productivité, la courbe de coût marginal devient plus horizontale, permettant une offre de crédit plus élevée sans hausse du taux d'intérêt. On peut tenir le raisonnement inverse pour une banque peu productive. Ces conclusions sont à nuancer d'une part parce que la concurrence n'est pas parfaite et d'autre part à cause du risque. Pour ce qui est de la prise en compte du rique, à noter que le modèle précédent ne tient compte ni de la qualité des projets des clients de la banque, ni du risque individuel de ces clients. Le taux débiteur ainsi déterminé est celui s'appliquant aux meilleurs clients et projets : on l'appelle taux de base bancaire ( TBB ).
A ce taux s'ajoutent des points, selon un barème pénalisant les projets proportionnellement au degré de risque estimé et les clients, également en fonction du risque qu'ils représentent. Par exemple, une entreprise dont le crédit est côté de façon restrictive par la Banque de France verra le taux qui lui est appliqué majorité d'au mois 2 points par rapport au taux standard. Taux débuteur = TBB, ou alors le taux du marché monétaire + marge standard + pénalité Dans un certain nombre de cas, quand le risque est trop élevé ou mal identifié, la hausse du taux d'intérêt n'est plus une solution adaptée; le crédit est alors refusé.
il y a un mois
Pour ce qui est du risque conduisant au rationnement des mauvais dossier, c'est un comportement de type micro économique, propre à une banque et non de la politique macro économique du même nom, qu'il est préférable d'appeler encadrement du crédit. D.M. Jaffee et F. Modigliano en 1969 ont été les premiers à présenter une analyse complète du comportement de rationnement du crédit par les banques. Ils définissent rationnement comme la situation dans laquelle la demande de crédits excède l'offre de ces crédits au taux d'intérêt pratiqué par les banques. Le prix, ici le taux d'intérêt, n'équilibre pas l'offre et la demande. La sélection se fait grâce à des conditions " hors prix " - apport personnel, garanties, réductions de la durée, etc.... - sans modification du taux d'intérêt. Ceux ne pouvant pas ou ne voulant pas satisfaire ces exigences sont éliminés car ils se signalent ainsi comme clients à risque élevé. Le raisonnement n'est donc pas indifférencié. Les entreprises ou les particuliers les plus risqués sont plus touchés que d'autres.










Cette conclusion n'est plus entièrement admise aujourd'hui. Pour ce qui est du risque conduisant à un rationnement indifférencié, les théories modernes considèren que la source du rationnement du crédit ressortit plutôt au domaine du hasard moral e de la sélecion adverse, dans un contexte d'asymétrie informationnelle. Il y a un risque de hasard moral quand le taux d'inérêt ou le montant du prêt proposés par le prêteur affecte le comportement de l'emorunteur qui prend alors plus de risques. Il y a la sélection adverse quand cela fausse les critères de choix - par exemple, une hausse des taux d'intérêt fait fuir les emprunteurs de bonne qualité qui trouventt le taux trop élevé par rapport au risque qu'ils représentent, alors que les mauvais acceptent ces conditions. Ne pouvant augmenter les taux à cause de ces effets pervers, les banques n'ont pas d'autre solution que de rationner leur clientèle, de manière indifférenciée en raison de l'asymétrie informationnelle à l'origine de ces dysfonctionnements. Le modèle de ce type le plus connu est celui de Stiglitz et Weiss. Le circuit du crédi selon l'approche macro économique. On va utilsier comme référence d'une parti la théorie de la finance de Keynes, d'autre part l'approche en termes de circuit. Une livre intéressant est " La théorie monétaire de la finance : une réinterprétation " chez Keynes, J F Goux ou alors " Keynes et la finance d'entreprise " , Revue française d'économie, été 1989. A noter que les principaux représentants de langue française de l'école du circuit, proche des post keynésiens, sont : A. Barrère, M. Lavoir, A. Parguez et F. Poulon. La théorie économique néo classique ne prend en considération que le financemen de l'investissemen, conformément à une opinion clairement exprimée par J. Schupeter :

" La théorie régnante est d'accord avec nous; comme nous elle voit dans less financements ordinaires qui portent sur des marchandises rien d'essentiel pour la compréhension du crédit... Ce crédit d'exploitation, nous pouvons donc l'éliminer de nore examen.... Il ne s'agit là que d'un expérient technique de la circulation. A noter que la finance n'est pas contradictoire avec une situation d'économie de marché de capitaux, de même qu'elle n'est pas contradictoire avec le modèle de la Théori général : J F Goux " Keynes et la finance d'entreprise ", Revue française d'économie, 1989, numéro 3. La théorie du circuit et la théorie post keynésienne au contraire mettent l'accent sur ces crédits d'exploitation. Elles le font car dans leur optique, il est impossible de supposer que ce sont les recettes de la période précédene qui servent d'avance pour amorcer la production de la période suivante. C'est nécessaire de retenir un mécanisme d'avance monétaire, la finance, destinée aux entrepreneurs producteurs afin qu'ils puissent payer les salaires, les matières et l'utilisation du capital fixe. La finance est donc une avance bancaire - ouvertyre de crédit - ou des fonds offerts par des agents non bancaires consécutivement à une hausse du taux d'intérêt - déthésaurisation. Dans un souci de simplification, on retiendra souvent que le crédit bancaire et on se situe donc dans le cadre d'économie d'endettement. Le banquier joue donc un rôle fondamental car c'est lui qui valide ex ante la production et c'est à lui que revient la responsabilité dans le cadre de sa fonction de distributeur de crédits, d'autoriser la mise en oeuvre effective de la production.

L'épargne n'intervient pas à ce niveau, qu'elle soit ex ou post ante. Le financement de la production anticipe les recettes totales et non directement l'épargne. Les phases successives du processus circulatoire ainsi mis en oeuvre sont alors les suivantes : " finance " production revenu consommation épargne ( investissement ) La consommation permet l'achat de la production de biens de consommation tandis que l'investissement permet l'achat de la production de biens d'investissement. En reprenant les notations de la " Théorie Générale ", la demande de finance dépend de la production totale planifiée ou ex ante. C'est impossible de simplifier et retenir le revenu Y comme variable d'échelle, suivant en cela ce que Keynes lui même a fait. La finance apparait comme condition nécessaire au démarrage effectif de l'investissement. C'est ce que J. Robinson et J. Eatwell veulent dire quand ils écrivant : ' Il est évident qu'aucun programme d'investissement ne peut être financé par l'épargne qu'il engendre lui même... Quand le taux d'investissement est constant, le taux d'épargne correspondant est constant, mais chaque vague successive d'investissement doit être financée d'avance. " Source : " L'économique moderne " , McGraw-Hill, 1976, page 272. Keynes n'a étudié ce point de manière systématique que tardivement. Il s'y positionne de façon précise par rapport à D. Robertson et sa théorie des fonds prêtables. Ils s'opposent que le financement de l'investissement. Pour D. Robertson, S - 1 ( épargne de la période précédente ), est directement une source de financement. Si on lui ajoute la déthésaurisation ( Déth ) et les crédits nouveaux ( L ), on obtient le montant des fonds prêtables ( F ) F = S-1 + Déth + L





Le fait pour Keynes de raisonner à partir de S et non de S - 1 implique que l'épargne ne peut être qu'une étape postérieure ou concomitante à l'investissement mais qu'elle ne peut le précéder en aucun cas. Il est donc logiquement amené à introduire un système de pré financement pour anticiper le financement définitif qui ne peut provenir que de l'épargne. Le financement est fournie par la déthésaurisation ( Déth ) et surtout les crédits nouveaux ( L ). Ex post + Déth + L seront remplacés par S. C'est la phase de consolidation. A ce propose, Keynes rappelle que " la déthésaurisation et l'expansion du crédit ne constituent pas une solution de rechange pour l'accroissement de l'épargne, mais seulement sa préparation " Source : " The process of capital formation " Economic Journal, september 1939, page 572. En ce qui concerne la finance, il précise que " c'est la parent et non pas le jumeau de l'épargne " Source : Page 572 également.







Une telle conception se retrouve aussi chez les théoriciens du circuit. La finance constitue le point de dépar du circuit. C'est l'avance bancaire qui va permettre aux investisseurs de passer des commandes auprès des entrepreneurs producteurs de capital fixe et surtout de les payer. La finance ainsi transmise aux producteurs permettra à ceux ci d'effecuter les avances de salaires et de consommations intermédiaires. A la suite du processus multiplicatuer, les revenus distribués permettront de dégager une épargne suffisante. Pour ce qui est des sources de la finance enfin, il se trouve que la finance a différentes sources mais elle ne provient pas de l'épargne. Keynes dans ses premiers articles : " La ' finance ' n'a rien à avoir avec l'épargne. A l'étape ' financière ' de la procédure aucune épargne nette n'a pris place quelque part ". Source : Alternative Theories of the Rate of Interest ", Economic Journal, juin 1937. Page 247. Pour appuyer son affirmation, il rappelle que c'est de liquidités dont l'investisseur a besoin et non de promesses d'épargne. L'épargnant ex ante n'a pas de fonds. Keynes est confiant dans sa problématique issue de la " Théorie Générale ". L'investissement suscitant un flux d'épargne ex post strictement équivalent, il n'y a pas de raison de mélanger épargne et finance. Ce sont 2 étapes successives. L'épargne assure la finance permenente et non la " finance " ( temporaire '. Cela permet à Keynes de rappeller qu'il est faux de penser que la préparation de la croissance de l'investissement passe par une épargne accrue à une date antérieure. La croissance de l'épargne ne pourra que suivre celle de l'investissement, mais non l'anticiper. De ce fait, la déthésaurisation et l'expansion du crédit ( la finance ) ne peuvent être que l'étape préalable, indispensable, à l'épargne. Mais en aucun cas une solution de rechange contrairement à l'hypothèse sous jacente à la théorie des fonds pretables.
Avec la théorie de la finance, Keynes nous fournit une démonstration convaincante de l'indépendance de l'investissement par rapport à l'épargne et complète l'apport du multiplicatuer sur ce point. L'épargne n'étant pas la source de la finance, cete dernière doit s'alimener autrement. Il y a 3 catégories de source pour cela. D'abord la source directe. Parmi ces sources, la déthésaurisation mentionnée par Keynes. Le processus retenu par lui fait intervenir le taux d'intérêt. En effet si la finance demandée est supérieure à celle de la période précédente et si la préférence pour la liquidité du public reste inchangée, le taux d'intérêt va augmenter. C'est ce mécanisme que Keynes considère comme " la touche finale " ( coping stone ) de sa théorie de l'intérêt
il y a un mois
:rire:
Tu ne sais pas quoi voir comme film ?
:Sele_Chapeau:
https://onche.org/topic/9[...]9115/cinephile-voila-comm Vive @Pazchrist
il y a un mois
:Jameldebougne:
༺═════༻𓆩Image𓆪༺═════༻
il y a un mois
La TÊTE

Dans un SEAU de MERDE

Que l'on m'arrête à la SORTIE

Si ça n'est pas VRAI
:jmarie_vener:
Le regretté Chad Roger, qu'il repose en paix aux cotés de tous les enfants sacrifiés par les dégénerés cornus
:jmarie_militaire:
Les juifs ca ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait
:ventura:
il y a un mois
Le regretté Chad Roger, qu'il repose en paix aux cotés de tous les enfants sacrifiés par les dégénerés cornus
:jmarie_militaire:
Poursuivi en diffamation par la république talmudisto-satanique
:Dubitatif2:

Qu'il repose en paix au paradis, auprès des autres hommes droits
:selectionchampi:
es spukt hier
il y a un mois
Poursuivi en diffamation par la république talmudisto-satanique
:Dubitatif2:

Qu'il repose en paix au paradis, auprès des autres hommes droits
:selectionchampi:
Ca doit raconter des grosses blagues racistes avec Jean Marie la haut, que meme dieu rigole
:Tassent:
Les juifs ca ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait
:ventura:
il y a un mois