Ce sujet a été résolu
Ses photos avaient flouté les formes, sans doute prises avant une rupture amoureuse, un confinement, ou cinq ans en arrière…
En face de moi, elle était imposante, corpulente, une présence presque oppressante. Je ressentis un léger mouvement de recul, et faillis même faire demi-tour
Pas un rejet conscient, mais une hésitation passagère, un flottement qui m’a traversé l’esprit avant de m’asseoir. Pourtant, je m’assis, par politesse d’abord, ou peut-être par simple habitude, et nous avons entamé la conversation.
Elle me parla de son travail dans la comptabilité, de ses collègues exaspérants, de sa passion pour la cuisine, pour les films de science-fiction… et de son chien aussi.
Au fil de la conversation, je me rendis compte que son physique ne me rebutait presque plus, qu’il s’effaçait derrière sa personnalité. Elle était drôle, dotée de ce sens de l’autodérision qui rend immédiatement sympathique
Au bout d’une heure, je m’amusais même. Contre toute attente, je me surpris à sourire, à me détendre, à oublier tout le reste.
La soirée continua agréablement. Nous sommes allés au restaurant ; une odeur de viande grillée flottait dans l’air, mêlée à celle, plus subtile, d’un bon vin.
Nous avons pris place, et elle parcourut le menu avec une avidité palpable, les yeux brillants à la promesse de mets savoureux.
À chaque plat qu’elle ajoutait à sa commande, je sentais une légère tension monter en moi.
Entrées, plats principaux, desserts… elle ne se contentait pas de picorer ; son appétit était féroce, presque insatiable, comme si chaque bouchée représentait une petite victoire.
Sweet ?
En face de moi, elle était imposante, corpulente, une présence presque oppressante. Je ressentis un léger mouvement de recul, et faillis même faire demi-tour
Pas un rejet conscient, mais une hésitation passagère, un flottement qui m’a traversé l’esprit avant de m’asseoir. Pourtant, je m’assis, par politesse d’abord, ou peut-être par simple habitude, et nous avons entamé la conversation.
Elle me parla de son travail dans la comptabilité, de ses collègues exaspérants, de sa passion pour la cuisine, pour les films de science-fiction… et de son chien aussi.
Au fil de la conversation, je me rendis compte que son physique ne me rebutait presque plus, qu’il s’effaçait derrière sa personnalité. Elle était drôle, dotée de ce sens de l’autodérision qui rend immédiatement sympathique
Au bout d’une heure, je m’amusais même. Contre toute attente, je me surpris à sourire, à me détendre, à oublier tout le reste.
La soirée continua agréablement. Nous sommes allés au restaurant ; une odeur de viande grillée flottait dans l’air, mêlée à celle, plus subtile, d’un bon vin.
Nous avons pris place, et elle parcourut le menu avec une avidité palpable, les yeux brillants à la promesse de mets savoureux.
À chaque plat qu’elle ajoutait à sa commande, je sentais une légère tension monter en moi.
Entrées, plats principaux, desserts… elle ne se contentait pas de picorer ; son appétit était féroce, presque insatiable, comme si chaque bouchée représentait une petite victoire.
Sweet ?

Ôi chúa của tôi, mon Capitaine, il a cassé, n'a pas payé.
il y a 8 jours
Histoire vraie ou pas ?
J'en dirai plus si les kheys sont intéressés par la suite

Ôi chúa của tôi, mon Capitaine, il a cassé, n'a pas payé.
il y a 8 jours
DeLattre
8j
Ses photos avaient flouté les formes, sans doute prises avant une rupture amoureuse, un confinement, ou cinq ans en arrière…
En face de moi, elle était imposante, corpulente, une présence presque oppressante. Je ressentis un léger mouvement de recul, et faillis même faire demi-tour
Pas un rejet conscient, mais une hésitation passagère, un flottement qui m’a traversé l’esprit avant de m’asseoir. Pourtant, je m’assis, par politesse d’abord, ou peut-être par simple habitude, et nous avons entamé la conversation.
Elle me parla de son travail dans la comptabilité, de ses collègues exaspérants, de sa passion pour la cuisine, pour les films de science-fiction… et de son chien aussi.
Au fil de la conversation, je me rendis compte que son physique ne me rebutait presque plus, qu’il s’effaçait derrière sa personnalité. Elle était drôle, dotée de ce sens de l’autodérision qui rend immédiatement sympathique
Au bout d’une heure, je m’amusais même. Contre toute attente, je me surpris à sourire, à me détendre, à oublier tout le reste.
La soirée continua agréablement. Nous sommes allés au restaurant ; une odeur de viande grillée flottait dans l’air, mêlée à celle, plus subtile, d’un bon vin.
Nous avons pris place, et elle parcourut le menu avec une avidité palpable, les yeux brillants à la promesse de mets savoureux.
À chaque plat qu’elle ajoutait à sa commande, je sentais une légère tension monter en moi.
Entrées, plats principaux, desserts… elle ne se contentait pas de picorer ; son appétit était féroce, presque insatiable, comme si chaque bouchée représentait une petite victoire.
Sweet ?
En face de moi, elle était imposante, corpulente, une présence presque oppressante. Je ressentis un léger mouvement de recul, et faillis même faire demi-tour
Pas un rejet conscient, mais une hésitation passagère, un flottement qui m’a traversé l’esprit avant de m’asseoir. Pourtant, je m’assis, par politesse d’abord, ou peut-être par simple habitude, et nous avons entamé la conversation.
Elle me parla de son travail dans la comptabilité, de ses collègues exaspérants, de sa passion pour la cuisine, pour les films de science-fiction… et de son chien aussi.
Au fil de la conversation, je me rendis compte que son physique ne me rebutait presque plus, qu’il s’effaçait derrière sa personnalité. Elle était drôle, dotée de ce sens de l’autodérision qui rend immédiatement sympathique
Au bout d’une heure, je m’amusais même. Contre toute attente, je me surpris à sourire, à me détendre, à oublier tout le reste.
La soirée continua agréablement. Nous sommes allés au restaurant ; une odeur de viande grillée flottait dans l’air, mêlée à celle, plus subtile, d’un bon vin.
Nous avons pris place, et elle parcourut le menu avec une avidité palpable, les yeux brillants à la promesse de mets savoureux.
À chaque plat qu’elle ajoutait à sa commande, je sentais une légère tension monter en moi.
Entrées, plats principaux, desserts… elle ne se contentait pas de picorer ; son appétit était féroce, presque insatiable, comme si chaque bouchée représentait une petite victoire.
Sweet ?

Réaliste
Triglav = SaintLIDL (pour info)
il y a 8 jours
Histoire vraie ou pas ?
En tout cas sa pourrait être vrai
Triglav = SaintLIDL (pour info)
il y a 8 jours
SWEET
Je me sentais de plus en plus en retrait, le cœur alourdi à mesure que je réalisais que j’allais devoir régler l’addition.
Quand le serveur est enfin arrivé, la note à la main, je savais que c’était attendu, que c’était ma responsabilité d’homme… et pourtant, une petite voix intérieure murmurait des reproches.
Une sensation d’inadéquation me collait à la peau, amplifiée par l’idée qu’il y aurait peut-être un autre rendez-vous, une autre soirée où je devrais encore endosser le rôle du gentleman altruiste, celui qui paie sans sourciller.
Magalie, quant à elle, semblait satisfaite, heureuse d’avoir partagé ce repas avec moi.
Elle souriait, insouciante de la petite voix qui me disait que j’avais dépensé plus que prévu pour une soirée dont je ne savais pas si elle aurait une suite…
Après l’avoir raccompagnée quand elle m’a proposé de monter chez elle, j’ai accepté
Peut-être par peur de dormir sur la béquille, par ennui, ou par ce vieux réflexe masculin de ne pas laisser passer une occasion, si quelconque soit-elle.
Quand le serveur est enfin arrivé, la note à la main, je savais que c’était attendu, que c’était ma responsabilité d’homme… et pourtant, une petite voix intérieure murmurait des reproches.
Une sensation d’inadéquation me collait à la peau, amplifiée par l’idée qu’il y aurait peut-être un autre rendez-vous, une autre soirée où je devrais encore endosser le rôle du gentleman altruiste, celui qui paie sans sourciller.
Magalie, quant à elle, semblait satisfaite, heureuse d’avoir partagé ce repas avec moi.
Elle souriait, insouciante de la petite voix qui me disait que j’avais dépensé plus que prévu pour une soirée dont je ne savais pas si elle aurait une suite…
Après l’avoir raccompagnée quand elle m’a proposé de monter chez elle, j’ai accepté
Peut-être par peur de dormir sur la béquille, par ennui, ou par ce vieux réflexe masculin de ne pas laisser passer une occasion, si quelconque soit-elle.
Ôi chúa của tôi, mon Capitaine, il a cassé, n'a pas payé.
il y a 8 jours
La suite, chef. Est-ce qu’il y a une baise ? Si oui, on veut des détails !
il y a 8 jours
DeLattre
8j
Ses photos avaient flouté les formes, sans doute prises avant une rupture amoureuse, un confinement, ou cinq ans en arrière…
En face de moi, elle était imposante, corpulente, une présence presque oppressante. Je ressentis un léger mouvement de recul, et faillis même faire demi-tour
Pas un rejet conscient, mais une hésitation passagère, un flottement qui m’a traversé l’esprit avant de m’asseoir. Pourtant, je m’assis, par politesse d’abord, ou peut-être par simple habitude, et nous avons entamé la conversation.
Elle me parla de son travail dans la comptabilité, de ses collègues exaspérants, de sa passion pour la cuisine, pour les films de science-fiction… et de son chien aussi.
Au fil de la conversation, je me rendis compte que son physique ne me rebutait presque plus, qu’il s’effaçait derrière sa personnalité. Elle était drôle, dotée de ce sens de l’autodérision qui rend immédiatement sympathique
Au bout d’une heure, je m’amusais même. Contre toute attente, je me surpris à sourire, à me détendre, à oublier tout le reste.
La soirée continua agréablement. Nous sommes allés au restaurant ; une odeur de viande grillée flottait dans l’air, mêlée à celle, plus subtile, d’un bon vin.
Nous avons pris place, et elle parcourut le menu avec une avidité palpable, les yeux brillants à la promesse de mets savoureux.
À chaque plat qu’elle ajoutait à sa commande, je sentais une légère tension monter en moi.
Entrées, plats principaux, desserts… elle ne se contentait pas de picorer ; son appétit était féroce, presque insatiable, comme si chaque bouchée représentait une petite victoire.
Sweet ?
En face de moi, elle était imposante, corpulente, une présence presque oppressante. Je ressentis un léger mouvement de recul, et faillis même faire demi-tour
Pas un rejet conscient, mais une hésitation passagère, un flottement qui m’a traversé l’esprit avant de m’asseoir. Pourtant, je m’assis, par politesse d’abord, ou peut-être par simple habitude, et nous avons entamé la conversation.
Elle me parla de son travail dans la comptabilité, de ses collègues exaspérants, de sa passion pour la cuisine, pour les films de science-fiction… et de son chien aussi.
Au fil de la conversation, je me rendis compte que son physique ne me rebutait presque plus, qu’il s’effaçait derrière sa personnalité. Elle était drôle, dotée de ce sens de l’autodérision qui rend immédiatement sympathique
Au bout d’une heure, je m’amusais même. Contre toute attente, je me surpris à sourire, à me détendre, à oublier tout le reste.
La soirée continua agréablement. Nous sommes allés au restaurant ; une odeur de viande grillée flottait dans l’air, mêlée à celle, plus subtile, d’un bon vin.
Nous avons pris place, et elle parcourut le menu avec une avidité palpable, les yeux brillants à la promesse de mets savoureux.
À chaque plat qu’elle ajoutait à sa commande, je sentais une légère tension monter en moi.
Entrées, plats principaux, desserts… elle ne se contentait pas de picorer ; son appétit était féroce, presque insatiable, comme si chaque bouchée représentait une petite victoire.
Sweet ?

J’espère que t’as déjà la suite
il y a 8 jours
"En face de moi, elle était imposante, corpulente, une présence presque oppressante."
On dirait le pavé :
sss..ss.sache que
Qqqqqqqqqqqqqqqq
Je suis un homme malade
Je suis un homme méchant
Je suis un homme déplaisant !
On dirait le pavé :
sss..ss.sache que

Qqqqqqqqqqqqqqqq

Je suis un homme malade

Je suis un homme méchant

Je suis un homme déplaisant !

il y a 8 jours
@Madmax @SwampDrainer @Valium @ShimaSaito @Triglav @BudweiserVirus
La suite ici :
https://onche.org/topic/9[...]vers-la-fin-de-la-laideur
La suite ici :
Ôi chúa của tôi, mon Capitaine, il a cassé, n'a pas payé.
il y a 8 jours
Son appartement sentait l’humidité et la cuisine mal ventilée, mais je me suis laissé porter.
La nuit a été aussi peu mémorable que je l’avais imaginée, sans passion ni vrai désir. Tout semblait à ce momentlà fonctionner à l’économie.
Des gestes accomplis comme une routine, des frissons tièdes, sans intensité. Je n’étais même plus vraiment là, mon esprit voguait ailleurs, déjà loin de cette scène un peu triste.
Avec le temps, j’avais remarqué une sorte de théorème ; plus une femme est objectivement peu engageante physiquement, plus elle se donne à fond dans la fellation.
Comme si, consciente de ne pas pouvoir gagner sur le terrain de l’esthétique, elle misait tout sur la performance technique.
Le lendemain matin, je me suis réveillé dans un état d’engourdissement. Ma tête bourdonnait légèrement, mon corps semblait peser le double.
Mes couilles étaient moites, mon caleçon suintant de foutre, une sensation poisseuse qui me ramenait brutalement à la réalité.
@Madmax @SwampDrainer @Valium @ShimaSaito @Tintin2Loin @Springbok
La suite ici :
https://onche.org/topic/9[...]vers-la-fin-de-la-laideur
La nuit a été aussi peu mémorable que je l’avais imaginée, sans passion ni vrai désir. Tout semblait à ce momentlà fonctionner à l’économie.
Des gestes accomplis comme une routine, des frissons tièdes, sans intensité. Je n’étais même plus vraiment là, mon esprit voguait ailleurs, déjà loin de cette scène un peu triste.
Avec le temps, j’avais remarqué une sorte de théorème ; plus une femme est objectivement peu engageante physiquement, plus elle se donne à fond dans la fellation.
Comme si, consciente de ne pas pouvoir gagner sur le terrain de l’esthétique, elle misait tout sur la performance technique.
Le lendemain matin, je me suis réveillé dans un état d’engourdissement. Ma tête bourdonnait légèrement, mon corps semblait peser le double.
Mes couilles étaient moites, mon caleçon suintant de foutre, une sensation poisseuse qui me ramenait brutalement à la réalité.
@Madmax @SwampDrainer @Valium @ShimaSaito @Tintin2Loin @Springbok
La suite ici :
Ôi chúa của tôi, mon Capitaine, il a cassé, n'a pas payé.
il y a 8 jours