Ce sujet a été résolu
Je n'invente rien c'est littéralement le titre de leur article :
https://www.lopinion.fr/e[...]chauffement-de-la-planete
J'aime ma signature
il y a 17 jours
On le sait depuis les années 80 non ?
J'ai vu plusieurs papiers de ce genre
C'est d'ailleurs à cause d'eux que j'ai commencé à douté de la propagande réchauffiste
J'ai vu plusieurs papiers de ce genre

C'est d'ailleurs à cause d'eux que j'ai commencé à douté de la propagande réchauffiste
es spukt hier
il y a 17 jours
DarylDixon
17j
Trop bien
Vive le froid


ceci
¡Esta serpiente marina MATÓ a un Celestino! https://streamable.com/fmjgjb
il y a 17 jours
Y'a vraiment des gens qui pensent sincèrement que tout va bien et qu'on a pas d'impact négatif sur cette planète ?
il y a 17 jours
Attila
17j
Y'a vraiment des gens qui pensent sincèrement que tout va bien et qu'on a pas d'impact négatif sur cette planète ?
C'est juste que ces scientifiques ne comprennent rien à rien
J'aime ma signature
il y a 17 jours
Chaud.
Le GIEC a compilé ces dernières années un rapport faisant autorité sur l’ampleur du réchauffement climatique d’origine humaine.
Les centaines de personnes ayant travaillé sur le rapport avaient confirmé que 1998 était l’année la plus chaude jamais enregistrée. Depuis lors, les températures sont généralement restées les mêmes au moins.
Les politiciens ayant obtenu une copie divulguée du rapport tentent maintenant de dissimuler le fait que le changement climatique d'origine anthropique est une gigantesque fraude, ni plus ni moins.
L’Associated Press avait obtenu des documents divulgués à ce sujet. Or ces documents montraient que le système politique en place dans le monde occidental panique en ce qui concerne des conclusions du rapport. Certains en sont allés jusqu'à vouloir, demander à ce que des parties du rapport soient supprimées.
Imaginons que l'humanité découvre qu'en fait le réchauffement climatique anthropique soit un canular, les gouvernements risqueraient bien de se faire dessus bien comme il faut.
Les dirigeants allemands avaient d'ailleurs demandé à ce que les données contradictoires soient simplement supprimées du rapport tandis que les dirigeants hongrois craignent que la publication du rapport ne fournisse des munitions aux «négationnistes du climat» pour dire que nous vous l’avions dit.
Les dirigeants belges se sont montrés en désaccord à ce que l’année 1998 soit utilisée comme année de départ pour les statistiques car il s’agit de l’année la plus chaude jamais enregistrée. Pour que les donnés puissent correspondre à leur idéologie, ils ont souhaité que les données ne débutent qu'en 1999 voire 2000, quand les températures étaient globalement moins chaudes.
Les dirigeants américains ont pesé pour exhorter les auteurs du rapport à expliquer ce que les données montrent en utilisant «l’hypothèse principale» des climatologues selon laquelle le globe continue de se réchauffer mais que toute la chaleur supplémentaire est absorbée par l’océan.
La dernière fois que le GIEC avait publié un rapport d'évaluation à ce moment là, c’était durant l'année 2007, lorsque cette organisation avait a tort affirmé que l’Himalaya fondrait d’ici 2035. Cette controverse est surnommé par la suite le «Climategate» étant donné qu’il a été révélé plus tard que les scientifiques avaient manipulé sciemment, volontairement les données dans leur rapport afin d'imposer leur propagande et que la pilule passe mieux.
La première version du nouveau rapport avait été remise aux gouvernements en juin, Tous
Peu importe comment ils essaient de le faire tourner, le rapport expliquera probablement que le taux de réchauffement entre 1998 et 2012 n’était qu’environ la moitié du taux moyen depuis 1952. Cela est dû à des variations naturelles telles que les cycles océaniques El Niño et La Niña, ainsi que l’effet refroidissant des volcans.
Le climatologue allemand Stefan Rahmstorf avait déclaré qu’il était possible que les auteurs du rapport aient été sous pression pour faire face au ralentissement du réchauffement climatique et au «débat public» qui entoure la question.
https://climate-news.tran[...]tr_hl=fr&_x_tr_pto=sc
https://www-dailymail-co-[...]tr_hl=fr&_x_tr_pto=sc
https://www-newstarget-co[...]tr_hl=fr&_x_tr_pto=sc
«Il s’agit de l’aboutissement de quatre années de travail par des centaines de scientifiques, où les gouvernements ont la possibilité de s’assurer que le résumé destiné aux décideurs politiques est clair et concis dans un dialogue avec les scientifiques qui l’ont rédigé, et ont la possibilité de soulever tous les sujets qu’ils pensent doit être mis en évidence», a déclaré Jonathan Lynn, porte-parole du GIEC.
Certaines écoles ont recours à la peur de terroriser les élèves pour les intégrer au culte du climat.
+
La réalité

https://ourworldindata.org/co2-gdp-decoupling
Quasiment tous les pays développés réduisent leurs émissions, même en prenant en compte les importations.
Le GIEC a compilé ces dernières années un rapport faisant autorité sur l’ampleur du réchauffement climatique d’origine humaine.
Les centaines de personnes ayant travaillé sur le rapport avaient confirmé que 1998 était l’année la plus chaude jamais enregistrée. Depuis lors, les températures sont généralement restées les mêmes au moins.
Les politiciens ayant obtenu une copie divulguée du rapport tentent maintenant de dissimuler le fait que le changement climatique d'origine anthropique est une gigantesque fraude, ni plus ni moins.
L’Associated Press avait obtenu des documents divulgués à ce sujet. Or ces documents montraient que le système politique en place dans le monde occidental panique en ce qui concerne des conclusions du rapport. Certains en sont allés jusqu'à vouloir, demander à ce que des parties du rapport soient supprimées.
Imaginons que l'humanité découvre qu'en fait le réchauffement climatique anthropique soit un canular, les gouvernements risqueraient bien de se faire dessus bien comme il faut.
Les dirigeants allemands avaient d'ailleurs demandé à ce que les données contradictoires soient simplement supprimées du rapport tandis que les dirigeants hongrois craignent que la publication du rapport ne fournisse des munitions aux «négationnistes du climat» pour dire que nous vous l’avions dit.
Les dirigeants belges se sont montrés en désaccord à ce que l’année 1998 soit utilisée comme année de départ pour les statistiques car il s’agit de l’année la plus chaude jamais enregistrée. Pour que les donnés puissent correspondre à leur idéologie, ils ont souhaité que les données ne débutent qu'en 1999 voire 2000, quand les températures étaient globalement moins chaudes.
Les dirigeants américains ont pesé pour exhorter les auteurs du rapport à expliquer ce que les données montrent en utilisant «l’hypothèse principale» des climatologues selon laquelle le globe continue de se réchauffer mais que toute la chaleur supplémentaire est absorbée par l’océan.
La dernière fois que le GIEC avait publié un rapport d'évaluation à ce moment là, c’était durant l'année 2007, lorsque cette organisation avait a tort affirmé que l’Himalaya fondrait d’ici 2035. Cette controverse est surnommé par la suite le «Climategate» étant donné qu’il a été révélé plus tard que les scientifiques avaient manipulé sciemment, volontairement les données dans leur rapport afin d'imposer leur propagande et que la pilule passe mieux.
La première version du nouveau rapport avait été remise aux gouvernements en juin, Tous
Peu importe comment ils essaient de le faire tourner, le rapport expliquera probablement que le taux de réchauffement entre 1998 et 2012 n’était qu’environ la moitié du taux moyen depuis 1952. Cela est dû à des variations naturelles telles que les cycles océaniques El Niño et La Niña, ainsi que l’effet refroidissant des volcans.
Le climatologue allemand Stefan Rahmstorf avait déclaré qu’il était possible que les auteurs du rapport aient été sous pression pour faire face au ralentissement du réchauffement climatique et au «débat public» qui entoure la question.
«Il s’agit de l’aboutissement de quatre années de travail par des centaines de scientifiques, où les gouvernements ont la possibilité de s’assurer que le résumé destiné aux décideurs politiques est clair et concis dans un dialogue avec les scientifiques qui l’ont rédigé, et ont la possibilité de soulever tous les sujets qu’ils pensent doit être mis en évidence», a déclaré Jonathan Lynn, porte-parole du GIEC.
Certaines écoles ont recours à la peur de terroriser les élèves pour les intégrer au culte du climat.
+
La réalité

Quasiment tous les pays développés réduisent leurs émissions, même en prenant en compte les importations.
il y a 16 jours
Prof. Richard Lindzen, physicien de l’atmosphère, 200 articles et ouvrages scientifiques, cité encore 600 fois par an, fut auteur principal du GIEC.
“Croire que le CO2 contrôle le climat de la Terre est assez proche de la croyance en la magie.” “Déjà dans les années 1960, il était entendu que le climat était un levier politiquement utile. Je me souviens dans les années 70-80 il y avait des réunions internationales pour trouver comment faire du climat un enjeu.” “L’administration voulait du monde, il y avait de l’argent disponible. Donc, vous aviez des gens dans mon département qui travaillaient sur toutes sortes de sujets sans rapport avec le climat de la Terre, ils sont tous devenus des climatologues !” “Ces gens ne comprennent pas la science. Ils emploient un mot qui l’exact contraire de “science” qui est “La science”. Ca dit qu’il a une science et une seule dogmatique que l’on peut pas remettre en question. Au contraire “science” c’est le scepticisme.” “Après l’audition de James Hansen au Sénat en 1988, il y a eu immédiatement une couverture du magazine Newsweek montrant la Terre en feu sous le titre : “tous les scientifiques sont d’accord”. Quand on a fait un sondage à l’AMS il y avait zéro consensus.” “Les gens ne regardent pas les chiffres, vous leur parlez du prochain dixième de degré ça suffit ! Je pense pas que les gens pensent quantitativement. Si vous leur montrez que ça a monté d’un demi-degré, ils disent : ‘regarde ça monte !’” “La grande majorité des scientifiques ne sait rien du tout sur le climat et surtout, le plus important, ils ne veulent rien savoir du tout sur le climat : c’est un sujet trop dangereux.” “Personne ne soutient que le CO2 n’augmente pas. Mais tout le monde n’est pas d’accord sur le fait que c’est dû à l’activité humaine. Jusqu’à récemment un réchauffement d’un degré était considéré comme négligeable. Puis la politique s’en mêle et ça devient c’est la fin du monde.”
“Nous étions dans un PÂG et quelque chose s’est produit en 1800. De 1500 à 1800 les glaciers alpins ont progressé puis reculer vers 1800. Ce qui s’est passé av-1950 n’était pas dû au CO2. Il devrait y avoir un accord sur le fait que le changement climatique se déroule sans nous.”
“Le désaccord est en fait bien plus étendu que ce que les gens croient. Même dans le cadre du narratif du réchauffement dû à l’effet de serre, sur la sensibilité climatique. Aucun modèle de feedback n’est rigoureux, ils supposent. La rétroaction positive n’a jamais été observée.” “Doubler le CO2 donne 0,5 °C. Si vous faites un modèle simple de bilan énergétique pour correspondre aux observations historiques vous obtenez une sensibilité très faible. Si je cherche des preuves d’une forte sensibilité, en dehors des modèles qui la postulent, je n’en vois pas” Modèles climatiques : “Personne n’a jamais prouvé qu’il était possible de modéliser numériquement un fluide. Le problème supplémentaire, nous n’en savons pas assez sur les nuages pour les paramétrer correctement, ce qui laisse beaucoup de liberté pour faire des folies.” “Et si on prend le même modèle et demande si...correctes ? Non ! ça ne marche pas...si vous bricolez les paramètres pour les nuages il est facile de retrouver ce chiffre. Mais si vous regardez les vrais chiffres au niveau régional, vous verrez que les modèles ne fonctionnent pas” “Les modèles ne seront jamais bons pour des prévisions à long terme. Les prévisions météo à 2j sont fausses ~30 % du tps et celles de 7j sont presque tjs fausses. Chaque année, on entend “nous avons fait progresser les compétences..” Il semble qu’il y ait une sorte de barrière.” “Le seul intérêt des alarmistes est d’effrayer le public. Mencken disait : “L’envie de sauver l'humanité est presque toujours un faux nez, un déguisement de l’envie de diriger”. L’envie de diriger est très forte.”
“Notre vice-président va en Amérique centrale et dit : “Nous avons un problème d’immigration, quelles sont les causes profondes ? Le changement climatique !” C’est pratique pour un politicien, quoi que vous ayez mettez-le sur le dos du climat !” “Pour les universitaires, la lutte climatique est une forme de vertu : nous sommes des gens bien, pas de voiture.., nous supposons que l’électricité vient de la prise plutôt que la centrale à charbon. Tous ces faux-semblants satisfont certaines personnes.” “Ils prétendent que votre seule participation signifie que approuvez l’ensemble du texte.. Mais, il s’agit très rarement d’une véritable approbation de l’ensemble du texte. Cela n’a aucun sens, personne ne connait tous les aspects du climat.” Interviewer : “En général, on peut considérer que les scientifiques sont honnêtes.”
“Non ! Non ! Allons donc ! Les scientifiques sont des humains, ils n’ont rien de spécial quand il s’agit de la nature humaine.” “Nous savons que l’éolien et le solaire ne pourront jamais remplacer les autres sources d’énergie. Mais vous pouvez convaincre les gens que prétendre cela montre qu'ils sont à l’avant-garde, qu’ils sont progressistes.” “Ils en sont réduits à nous coller des étiquettes absurdes de négationniste.., que nous serions financés par l’industrie fossile. Ça démontre qu’ils sont incapables d’argumenter, pas sûr de leurs opinions. Au MIT, l’industrie fossile finance des gens qui approuvent le narratif.”
Autre idée reçu le réchauffement menacerait l’existence des glaciers, c’est devenu le discours officiel des alarmistes. Quand le discours est martelé, on arrive à le croire même si c’est pas vrai. Il est inutile de discuter tellement les gens sont empreints de cette certitude. Affirmer que les glaciers fondent parce que la Terre se réchauffe n’est pas un argument solide. La leçon de l’histoire est claire les glaciers peuvent avancer indépendamment des changements de température. Les fluctuations ont eu lieu bien avant les industries et émissions de CO2
L’objectif de ce thread est de résumer toutes les observations et mesures disponibles relatives au paradigme du GIEC et de remettre en question tous les aspects de l’hypothèse du réchauffement climatique anthropique (qui n’a jamais été confirmée par une seule expérience). I. Corrélation
Le GIEC utilise la corrélation entre le CO2 et la température des données de Vostok pour étayer sa théorie, mais l’examen approfondi des données montre que les changements de température précèdent ceux du CO2 de ~800 ans, non pas l’inverse.
Source :
https://www.history-of-ge[...]ion-of-the-manuscript.pdf Une règle cardinale en science est de rejeter une hypothèse qui contredit clairement les résultats expérimentaux dont elle est censée rendre compte. Comme les causes ne retardent pas les effets, le CO2 ne peut pas être à l’origine du réchauffement. Source :
https://shop.elsevier.com[...]erbrook/978-0-12-804588-6
Les implications des données de Vostok, ainsi que les récentes mesures effectuées, montrent que le CO2 est en retard sur la température et donc qu’elles ne correspondent pas au paradigme proclamé du GIEC, qui devrait, comme le veut la science, être rejeté. Source :
https://www.mdpi.com/2413-4155/2/4/83
Le concept du GIEC selon lequel l’augmentation du CO2 provoque le réchauffement est donc obsolète et incorrect. Il y a eu peu, voire aucune corrélation entre l’augmentation du CO2 et l’augmentation de la température au cours du siècle.
Source ;
https://setpublisher.com/pms/index.php/
https://setpublisher.com/[...]hp/jbas/article/view/2350
Les données relatives au CO2 montrent une augmentation continue à partir de 1958, tandis que la tendance de la température est à la baisse de 1958 à 1978 (corrélation négative). De 1998 à 2013, la tendance de la température est plate (pause sans corrélation), idem de 2015 à 2023. Source :
https://shop.elsevier.com[...]erbrook/978-0-12-804588-6
De nombreux défenseurs du changement climatique d’origine humaine, y compris GIEC, prétendent à l’aide de modèle du cycle du carbone que le CO2 anthropique durerait des siècles dans l’atmosphère. Comparons avec les observations. Source :
https://www.mdpi.com/2073-4441/13/6/849
L’étude la plus fiable sur la durée pendant laquelle les émissions humaines de CO2 peuvent s’accumuler est celle du prof. Tom Segalstad. Il conclut que les modèles sont sans validité scientifique et que le CO2 humain reste ~5 ans et qu’il est de 4% maximum
Source :
https://www.semanticschol[...]f6a62a9cc9b00b6278b72438d format pdf : http://ruby.fgcu.edu/cour[...]roPhilo/CarbonCycling.pdf
Les émissions humaines se dissolvent rapidement dans les océans froids. Ainsi, le réservoir de CO2 émis par l’homme n’est pas l’atmosphère, mais les océans. Le CO2 atmosphérique et contrôlé principalement par la température (loi de Henry).
Source :
https://www.sciencedirect[...]21818112001658?via%3Dihub
Ces études majeures, toutes basées sur les observations, confirment que Le CO2 atmosphérique est principalement d’origine océanique, contrôlé par la température et non par les combustibles fossiles. Et que la contribution du CO2 humain est insignifiante.
Source :
https://sciencepublishing[...]11648/j.earth.20190803.13 version pdf : file:///C:/Users/33601/Downloads/10.11648.j.earth.20190803.13-3.pdf
Les déclarations de temps de séjour séculaires sont dérivées de modèles du cycle carbone qui réfutent la réalité, ajustés pour s’adapter à l’hypothèse selon laquelle nos émissions sont le cause de l’augmentation du CO2 afin de construire un dogme.
Source :
https://www.sciencedirect[...]/abs/pii/0360544293900178
“Croire que le CO2 contrôle le climat de la Terre est assez proche de la croyance en la magie.” “Déjà dans les années 1960, il était entendu que le climat était un levier politiquement utile. Je me souviens dans les années 70-80 il y avait des réunions internationales pour trouver comment faire du climat un enjeu.” “L’administration voulait du monde, il y avait de l’argent disponible. Donc, vous aviez des gens dans mon département qui travaillaient sur toutes sortes de sujets sans rapport avec le climat de la Terre, ils sont tous devenus des climatologues !” “Ces gens ne comprennent pas la science. Ils emploient un mot qui l’exact contraire de “science” qui est “La science”. Ca dit qu’il a une science et une seule dogmatique que l’on peut pas remettre en question. Au contraire “science” c’est le scepticisme.” “Après l’audition de James Hansen au Sénat en 1988, il y a eu immédiatement une couverture du magazine Newsweek montrant la Terre en feu sous le titre : “tous les scientifiques sont d’accord”. Quand on a fait un sondage à l’AMS il y avait zéro consensus.” “Les gens ne regardent pas les chiffres, vous leur parlez du prochain dixième de degré ça suffit ! Je pense pas que les gens pensent quantitativement. Si vous leur montrez que ça a monté d’un demi-degré, ils disent : ‘regarde ça monte !’” “La grande majorité des scientifiques ne sait rien du tout sur le climat et surtout, le plus important, ils ne veulent rien savoir du tout sur le climat : c’est un sujet trop dangereux.” “Personne ne soutient que le CO2 n’augmente pas. Mais tout le monde n’est pas d’accord sur le fait que c’est dû à l’activité humaine. Jusqu’à récemment un réchauffement d’un degré était considéré comme négligeable. Puis la politique s’en mêle et ça devient c’est la fin du monde.”
“Nous étions dans un PÂG et quelque chose s’est produit en 1800. De 1500 à 1800 les glaciers alpins ont progressé puis reculer vers 1800. Ce qui s’est passé av-1950 n’était pas dû au CO2. Il devrait y avoir un accord sur le fait que le changement climatique se déroule sans nous.”
“Le désaccord est en fait bien plus étendu que ce que les gens croient. Même dans le cadre du narratif du réchauffement dû à l’effet de serre, sur la sensibilité climatique. Aucun modèle de feedback n’est rigoureux, ils supposent. La rétroaction positive n’a jamais été observée.” “Doubler le CO2 donne 0,5 °C. Si vous faites un modèle simple de bilan énergétique pour correspondre aux observations historiques vous obtenez une sensibilité très faible. Si je cherche des preuves d’une forte sensibilité, en dehors des modèles qui la postulent, je n’en vois pas” Modèles climatiques : “Personne n’a jamais prouvé qu’il était possible de modéliser numériquement un fluide. Le problème supplémentaire, nous n’en savons pas assez sur les nuages pour les paramétrer correctement, ce qui laisse beaucoup de liberté pour faire des folies.” “Et si on prend le même modèle et demande si...correctes ? Non ! ça ne marche pas...si vous bricolez les paramètres pour les nuages il est facile de retrouver ce chiffre. Mais si vous regardez les vrais chiffres au niveau régional, vous verrez que les modèles ne fonctionnent pas” “Les modèles ne seront jamais bons pour des prévisions à long terme. Les prévisions météo à 2j sont fausses ~30 % du tps et celles de 7j sont presque tjs fausses. Chaque année, on entend “nous avons fait progresser les compétences..” Il semble qu’il y ait une sorte de barrière.” “Le seul intérêt des alarmistes est d’effrayer le public. Mencken disait : “L’envie de sauver l'humanité est presque toujours un faux nez, un déguisement de l’envie de diriger”. L’envie de diriger est très forte.”
“Notre vice-président va en Amérique centrale et dit : “Nous avons un problème d’immigration, quelles sont les causes profondes ? Le changement climatique !” C’est pratique pour un politicien, quoi que vous ayez mettez-le sur le dos du climat !” “Pour les universitaires, la lutte climatique est une forme de vertu : nous sommes des gens bien, pas de voiture.., nous supposons que l’électricité vient de la prise plutôt que la centrale à charbon. Tous ces faux-semblants satisfont certaines personnes.” “Ils prétendent que votre seule participation signifie que approuvez l’ensemble du texte.. Mais, il s’agit très rarement d’une véritable approbation de l’ensemble du texte. Cela n’a aucun sens, personne ne connait tous les aspects du climat.” Interviewer : “En général, on peut considérer que les scientifiques sont honnêtes.”
“Non ! Non ! Allons donc ! Les scientifiques sont des humains, ils n’ont rien de spécial quand il s’agit de la nature humaine.” “Nous savons que l’éolien et le solaire ne pourront jamais remplacer les autres sources d’énergie. Mais vous pouvez convaincre les gens que prétendre cela montre qu'ils sont à l’avant-garde, qu’ils sont progressistes.” “Ils en sont réduits à nous coller des étiquettes absurdes de négationniste.., que nous serions financés par l’industrie fossile. Ça démontre qu’ils sont incapables d’argumenter, pas sûr de leurs opinions. Au MIT, l’industrie fossile finance des gens qui approuvent le narratif.”
Autre idée reçu le réchauffement menacerait l’existence des glaciers, c’est devenu le discours officiel des alarmistes. Quand le discours est martelé, on arrive à le croire même si c’est pas vrai. Il est inutile de discuter tellement les gens sont empreints de cette certitude. Affirmer que les glaciers fondent parce que la Terre se réchauffe n’est pas un argument solide. La leçon de l’histoire est claire les glaciers peuvent avancer indépendamment des changements de température. Les fluctuations ont eu lieu bien avant les industries et émissions de CO2
L’objectif de ce thread est de résumer toutes les observations et mesures disponibles relatives au paradigme du GIEC et de remettre en question tous les aspects de l’hypothèse du réchauffement climatique anthropique (qui n’a jamais été confirmée par une seule expérience). I. Corrélation
Le GIEC utilise la corrélation entre le CO2 et la température des données de Vostok pour étayer sa théorie, mais l’examen approfondi des données montre que les changements de température précèdent ceux du CO2 de ~800 ans, non pas l’inverse.
Source :
Les implications des données de Vostok, ainsi que les récentes mesures effectuées, montrent que le CO2 est en retard sur la température et donc qu’elles ne correspondent pas au paradigme proclamé du GIEC, qui devrait, comme le veut la science, être rejeté. Source :
Le concept du GIEC selon lequel l’augmentation du CO2 provoque le réchauffement est donc obsolète et incorrect. Il y a eu peu, voire aucune corrélation entre l’augmentation du CO2 et l’augmentation de la température au cours du siècle.
Source ;
Les données relatives au CO2 montrent une augmentation continue à partir de 1958, tandis que la tendance de la température est à la baisse de 1958 à 1978 (corrélation négative). De 1998 à 2013, la tendance de la température est plate (pause sans corrélation), idem de 2015 à 2023. Source :
De nombreux défenseurs du changement climatique d’origine humaine, y compris GIEC, prétendent à l’aide de modèle du cycle du carbone que le CO2 anthropique durerait des siècles dans l’atmosphère. Comparons avec les observations. Source :
L’étude la plus fiable sur la durée pendant laquelle les émissions humaines de CO2 peuvent s’accumuler est celle du prof. Tom Segalstad. Il conclut que les modèles sont sans validité scientifique et que le CO2 humain reste ~5 ans et qu’il est de 4% maximum
Source :
Les émissions humaines se dissolvent rapidement dans les océans froids. Ainsi, le réservoir de CO2 émis par l’homme n’est pas l’atmosphère, mais les océans. Le CO2 atmosphérique et contrôlé principalement par la température (loi de Henry).
Source :
Ces études majeures, toutes basées sur les observations, confirment que Le CO2 atmosphérique est principalement d’origine océanique, contrôlé par la température et non par les combustibles fossiles. Et que la contribution du CO2 humain est insignifiante.
Source :
Les déclarations de temps de séjour séculaires sont dérivées de modèles du cycle carbone qui réfutent la réalité, ajustés pour s’adapter à l’hypothèse selon laquelle nos émissions sont le cause de l’augmentation du CO2 afin de construire un dogme.
Source :
il y a 16 jours
Le climat n’a et ne sera jamais stable, l’unique règle, c’est la fluctuation. Nous ne vivons rien d’exceptionnel ~1°C en ~200 ans, c’est très peu comparativement aux variations passées de 5 à 10°C en quelques décennies, sans aucun lien avec le CO2. Sources :
https://www.whoi.edu/cms/files/li19qsr_278890.pdf Il est précisé : DO events could be en unforced oscillation of the Northern Seas coupled system + a sweet spot in the couple system set up feedbacks causing unforced oscillations.
https://www.science-clima[...]ents-repetitifs-sans-co2/
https://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.1802573115 version pdf :
https://www.pnas.org/doi/[...]f/10.1073/pnas.1802573115
https://www.em-consulte.c[...]-an-oscillation-of-the-cl Résumé traduction de ce dernier lien : Les événements de Dansgaard-Oeschger sont des périodes chaudes apparaissant et se résorbant brutalement au cours de la dernière période glaciaire. Plusieurs mécanismes ont été avancés pour expliquer ces bascules climatiques brutales, faisant appel à des oscillations forcées du système atmosphère-océan-calottes glaciaires ou aux instabilités des calottes glaciaires, de la circulation océanique ou du système couplé atmosphère-océan-calottes glaciaires. Cʼest cette dernière hypothèse que nous examinons à lʼaide du modèle climatique de complexité intermédiaire CLIMBER2.3, couplé à un modèle très simple de la calotte fennoscandinave. Pour citer cet article : M. Kageyama, D. Paillard, C. R. Geoscience 337 (2005).
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.
Keywords : Dansgaard-Oeschger events, Ocean-ice-sheet instabilities, Model
Mots-clés : Evénements de Dansgaard-Oeschger, Instabilités du système couplé climat-calottes glaciaires, Modèles
La réalité et que les forces et les mouvements dans les océans et l’atmosphère sont principalement déterminés par les éléments suivants
Cycles et mouvements de la Terre par rapport au Soleil: orbite elliptique, rotation axe polaire, inclinaison, oscillation ou précession. Sources :
https://www.fs.usda.gov/c[...]er/natural-climate-cycles
https://archive.ipcc.ch/p[...]a/ar4/wg1/en/faq-6-1.html
Variations de l’activité solaire qui influencent l’énergie rayonnante atteignant la Terre et modulent également l’activité des rayons cosmiques, ce qui influence la couverture nuageuse et la nébulosité. Sources :
https://www.thegwpf.org/c[...]/SvensmarkSolar2019-1.pdf
https://www.readkong.com/[...]in-climate-change-2453192
https://link.springer.com/book/9783030168797
La distribution de la terre et de l’eau à la surface de la Terre, qui contrôle sa distribution de température, la disponibilité de l’humidité, les effets de la mousson, les ouragans et autres trajectoires de tempête.
Mouvements des fluides dans les océans de la Terre qui déterminent la disponibilité de l’humidité et les températures de surface de l’océan (cycles El Nino et La Nina). Sources :
https://clintel.org/the-s[...]he-sun-in-climate-change/
https://judithcurry.com/2[...]is-vii-a-summary-plus-qa/
https://www.researchgate.[...]utocorrelated_Time_Series publié dans The Journal of Atmoospheric Sciences en octobre 2012.
Éruptions volcaniques qui injectent d’énormes quantités de poussière dans l’atmosphère, augmentant l’albédo de la Terre et empêchant périodiquement la lumière du soleil d’atteindre la surface de la Terre. Sources :
https://www.nature.com/articles/ngeo2929 publié par Déborah Kelley dans Nature Geosciences Autre lien concernant les mêmes travaux :
https://www.researchgate.[...]lcan_rule_beneath_the_sea et également pulié sur le site d'Harvard University :
https://ui.adsabs.harvard[...]7NatGe..10..251K/abstract dans la revue nature :
https://www.nature.com/articles/ngeo2929
Éruptions volcaniques sous-marines connues et non encore cartographiées, y compris les ‘black smokers’ récemment découverts qui crachent continuellement de l’eau surchauffée. Le fond de l’océan est moins bien connu de la science que les surfaces de la Lune et de Mars. Sources : European Geosciences Union :
https://os.copernicus.org[...]3/2009/os-5-203-2009.html Emile-Geay, J. and Madec, G.: Geothermal heating, diapycnal mixing and the abyssal circulation, Ocean Sci., 5, 203–217,
https://doi.org/10.5194/os-5-203-2009, 2009. Publié également dans Natural Environment Research Council :
https://nora.nerc.ac.uk/id/eprint/164314/ Publié dans Ocean Science Discussions également :
https://os.copernicus.org[...]1/2008/osd-5-281-2008.pdf De plus, il est à noter que le MIT (Massachusetts Institute of Technology ) a publié un article intéressant à ce sujet :
https://dspace.mit.edu/bi[...]equence=1&isAllowed=y Citation: Mashayek, A. et al. “Efficiency of Turbulent Mixing in the Abyssal Ocean Circulation.”Geophysical Research Letters 44, 12 (June 2017): 6296–6306 © 2017 American Geophysical
Union
As Published: http://dx.doi.org/10.1002/2016GL072452
Publisher: American Geophysical Union (AGU)
Persistent URL: http://hdl.handle.net/1721.1/118296 Enfin il est à souligner que les travaux de Emile-GeayJ et de Madec, G. ont été publiées sur le site d'Harvard. Autre sujet similaire sur la chaleur géothermique publié dans Annual Review of Marine Science :
https://www.annualreviews[...]urev-marine-010419-010844 Sans oublier les 19 000 volcans sous marins inconnus jusque là relevés par les données satellitaires radar :
https://phys.org/news/202[...]s-previously-unknown.html Sciences Post, Geo.fr ainsi que France Info ont évoqué ce sujet également.
Effet de serre
Il a été démontré que le transport de chaleur vers le haut via le rayonnement joue un rôle insignifiant. De plus, il a diminué depuis 1983. Il n’y a donc aucune preuve scientifique du réchauffement climatique anthropique. Sources : Des travaux de Tom Shula présentés dans cette vidéo :
A Novel Perspective on the Greenhouse Effect what a heat loss vacum gauge can teach us about energy balance in lower atmosphere file:///C:/Users/33601/Downloads/e69c101b-e8df-4067-aae3-010608fbfbff.pdf Concernant le Greenhouse Effect in the Standard Atmosphere :
https://www.mdpi.com/2673-9321/1/2/14 disponible sur le MDPI qui est une entreprise éditrice de revues scientifiques en libre accès et qui impose des frais de publication et publiés par Boris Michailovich Smirnov et Dmitri Alexandrovich Zhilyaev.
Pour rappel : ResearchGate est un site proposant un service de réseautage social pour chercheurs et scientifiques de toutes disciplines. En parlant de Research Gate on y trouve les mêmes travaux duquels les documents peuvent être téléchargés :
https://www.researchgate.[...]eef53e51e1f825c5/download puis le fichier téléchargé : file:///C:/Users/33601/Downloads/Greenhouse_Effect_in_the_Standard_Atmosphere.pdf Concernant le changement climatique avec accroissement des température :
https://climatecite.com/w[...]/globalwarmingarrived.pdf publié par C.A. Varotsos∗, M.N. Efstathiou dans Contents lists available at ScienceDirect
Journal of Atmospheric and Solar-Terrestrial Physics aussi disponible sur Semantic Scholar :
https://www.semanticschol[...]92724d19e9c0f8aa7bfa946dc et
https://www.sciencedirect[...]abs/pii/S1364682618305030 sur sciences direct.
Leur théorie du CO2 prévoit clairement une ↗︎ de la hauteur d’émission causée par l’ajout des GES, en raison du taux de déphasage. Si le réchauffement est dû à une ↗︎ du CO2, la planète émettra MOINS d’OLR ( outgoing long wave radiation ) ou en frannçais, Rayonnement sortant à grande longueur d'onde, pas PLUS. Résultat : Le CO2 est innocent. Sources : Publiées par Steven Dewitte et Nicolas Clerbaux dans le MDPI :
https://www.mdpi.com/2072-4292/10/10/1539 Un autre article intéressant à ce sujet publié dans la revue nature, une des revues scientifiques les plus généralistes mais aussi les plus anciennes et réputées au monde :
https://www.nature.com/articles/s41612-021-00205-7
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.
Keywords : Dansgaard-Oeschger events, Ocean-ice-sheet instabilities, Model
Mots-clés : Evénements de Dansgaard-Oeschger, Instabilités du système couplé climat-calottes glaciaires, Modèles
La réalité et que les forces et les mouvements dans les océans et l’atmosphère sont principalement déterminés par les éléments suivants
Cycles et mouvements de la Terre par rapport au Soleil: orbite elliptique, rotation axe polaire, inclinaison, oscillation ou précession. Sources :
Variations de l’activité solaire qui influencent l’énergie rayonnante atteignant la Terre et modulent également l’activité des rayons cosmiques, ce qui influence la couverture nuageuse et la nébulosité. Sources :
La distribution de la terre et de l’eau à la surface de la Terre, qui contrôle sa distribution de température, la disponibilité de l’humidité, les effets de la mousson, les ouragans et autres trajectoires de tempête.
Mouvements des fluides dans les océans de la Terre qui déterminent la disponibilité de l’humidité et les températures de surface de l’océan (cycles El Nino et La Nina). Sources :
Éruptions volcaniques qui injectent d’énormes quantités de poussière dans l’atmosphère, augmentant l’albédo de la Terre et empêchant périodiquement la lumière du soleil d’atteindre la surface de la Terre. Sources :
Éruptions volcaniques sous-marines connues et non encore cartographiées, y compris les ‘black smokers’ récemment découverts qui crachent continuellement de l’eau surchauffée. Le fond de l’océan est moins bien connu de la science que les surfaces de la Lune et de Mars. Sources : European Geosciences Union :
Union
As Published: http://dx.doi.org/10.1002/2016GL072452
Publisher: American Geophysical Union (AGU)
Persistent URL: http://hdl.handle.net/1721.1/118296 Enfin il est à souligner que les travaux de Emile-GeayJ et de Madec, G. ont été publiées sur le site d'Harvard. Autre sujet similaire sur la chaleur géothermique publié dans Annual Review of Marine Science :
Effet de serre
Il a été démontré que le transport de chaleur vers le haut via le rayonnement joue un rôle insignifiant. De plus, il a diminué depuis 1983. Il n’y a donc aucune preuve scientifique du réchauffement climatique anthropique. Sources : Des travaux de Tom Shula présentés dans cette vidéo :
Pour rappel : ResearchGate est un site proposant un service de réseautage social pour chercheurs et scientifiques de toutes disciplines. En parlant de Research Gate on y trouve les mêmes travaux duquels les documents peuvent être téléchargés :
Journal of Atmospheric and Solar-Terrestrial Physics aussi disponible sur Semantic Scholar :
Leur théorie du CO2 prévoit clairement une ↗︎ de la hauteur d’émission causée par l’ajout des GES, en raison du taux de déphasage. Si le réchauffement est dû à une ↗︎ du CO2, la planète émettra MOINS d’OLR ( outgoing long wave radiation ) ou en frannçais, Rayonnement sortant à grande longueur d'onde, pas PLUS. Résultat : Le CO2 est innocent. Sources : Publiées par Steven Dewitte et Nicolas Clerbaux dans le MDPI :
il y a 16 jours
Evénements extrêmes
Précipitations extrêmes, sécheresses, feux, inondations, ouragans…
Aucun indicateur ne montre une tendance positive claire. La supposée crise climatique n’est étayée par aucune donnée observationnelle.
https://link.springer.com[...]jp/s13360-021-02243-9.pdf publié dans The European Physical Journal Plus par Gianluca Alimonti, Luigi Mariani , Franco Prodi, et Renato Angelo Ricci. Il y est précisé : 112 Page 12 of 20 Eur. Phys. J. Plus (2022) 137:112
Fig. 6 Fraction of the global earth under drought conditions D0 (abnormally dry), D1 (moderate), D2 (severe),
D3 (extreme) and D4 (exceptional) [58]
The IPPC in its AR5 [6] reports on page 44 that “conclusions regarding global drought
trends increasing since the 1970s are no longer supported” and several studies indeed show
no increase in the main indices regarding global drough Traduction : 112 Page 12 sur 20 Eur. Phys. J. Plus (2022) 137:112
Fig. 6 Fraction de la terre globale dans des conditions de sécheresse D0 (anormalement sèche), D1 (modérée), D2 (sévère),
D3 (extrême) et D4 (exceptionnel) [58]
La CIPV dans son AR5 [6] rapporte à la page 44 que « les conclusions concernant la sécheresse mondiale
les tendances croissantes depuis les années 1970 ne sont plus soutenues » et plusieurs études montrent en effet
pas d'augmentation des principaux indices concernant la sécheresse mondiale ENSUITE il est précisé : Their results show that for the
entire globe, hemispheres and the main grain-producing countries (China, USA and India)
drought has not intensified and expanded during 38 year soit en traduisant : Leurs résultats montrent que pour l'ensemble du globe, les hémisphères et les principaux pays producteurs de céréales (Chine, USA et Inde) la sécheresse ne s'est pas intensifiée et étendue pendant 38 ans
VII. CO2 au profit de la Terre
Historiquement, le taux de CO2 a déjà été 10 à 17 fois plus élevés sans qu’il n’y ait eu d’augmentation de température à lui imputer. L’augmentation du CO2 ne fait rien d’autre que verdir le monde, le reste c’est politique. Sources : Publiées dans OurWorldInData relatant l'évolution entre 1961 et 2020 période durant laquelle le théorie du réchauffement climatique anthropique a émergé puis s'est développé ( à partie des années 1980 précisemment ) :
https://ourworldindata.org/grapher/key-crop-yields More CO2 benefit plants because they need less water if there is more CO2. And more C02 supress harmful photorespirations Traduction : Plus de CO2 profite aux plantes car elles ont besoin de moins d'eau s'il y a plus de CO2. Et plus de C02 supprime les photorespirations nocives. 1 000 ppm seraient l'idéal pour elles. La Terre verdit depuis les années 1980 en grande partie dû à la fertilisation du CO2 et au réchauffement. Par conséquent l'augmentation du CO2 ne devrait pas être vu comme étant une catastrophe pour l'humanité. Si l'on réfléchit de manière rationnel on y trouve un côté bénéfique au contraire.
Les preuves empiriques n’étayent ni l’affirmation que les émissions anthropiques de CO2 sont à l’origine de l’augmentation du CO2, ni que le CO2 est la cause du réchauffement climatique, ni la notion de crise climatique.
Sources : Role of atmospheric carbon dioxide in climate change publié dans Energy & Environment par Martin Hertzberg et Hans SchreuderView Martin Hertzberg [email protected] et Hans Schreuder
Volume 27, Issue 6-7
https://doi.org/10.1177/0958305X16674637
https://journals.sagepub.com/doi/abs/10.117
Précipitations extrêmes, sécheresses, feux, inondations, ouragans…
Aucun indicateur ne montre une tendance positive claire. La supposée crise climatique n’est étayée par aucune donnée observationnelle.
Fig. 6 Fraction of the global earth under drought conditions D0 (abnormally dry), D1 (moderate), D2 (severe),
D3 (extreme) and D4 (exceptional) [58]
The IPPC in its AR5 [6] reports on page 44 that “conclusions regarding global drought
trends increasing since the 1970s are no longer supported” and several studies indeed show
no increase in the main indices regarding global drough Traduction : 112 Page 12 sur 20 Eur. Phys. J. Plus (2022) 137:112
Fig. 6 Fraction de la terre globale dans des conditions de sécheresse D0 (anormalement sèche), D1 (modérée), D2 (sévère),
D3 (extrême) et D4 (exceptionnel) [58]
La CIPV dans son AR5 [6] rapporte à la page 44 que « les conclusions concernant la sécheresse mondiale
les tendances croissantes depuis les années 1970 ne sont plus soutenues » et plusieurs études montrent en effet
pas d'augmentation des principaux indices concernant la sécheresse mondiale ENSUITE il est précisé : Their results show that for the
entire globe, hemispheres and the main grain-producing countries (China, USA and India)
drought has not intensified and expanded during 38 year soit en traduisant : Leurs résultats montrent que pour l'ensemble du globe, les hémisphères et les principaux pays producteurs de céréales (Chine, USA et Inde) la sécheresse ne s'est pas intensifiée et étendue pendant 38 ans
VII. CO2 au profit de la Terre
Historiquement, le taux de CO2 a déjà été 10 à 17 fois plus élevés sans qu’il n’y ait eu d’augmentation de température à lui imputer. L’augmentation du CO2 ne fait rien d’autre que verdir le monde, le reste c’est politique. Sources : Publiées dans OurWorldInData relatant l'évolution entre 1961 et 2020 période durant laquelle le théorie du réchauffement climatique anthropique a émergé puis s'est développé ( à partie des années 1980 précisemment ) :
Les preuves empiriques n’étayent ni l’affirmation que les émissions anthropiques de CO2 sont à l’origine de l’augmentation du CO2, ni que le CO2 est la cause du réchauffement climatique, ni la notion de crise climatique.
Sources : Role of atmospheric carbon dioxide in climate change publié dans Energy & Environment par Martin Hertzberg et Hans SchreuderView Martin Hertzberg [email protected] et Hans Schreuder
Volume 27, Issue 6-7
il y a 16 jours
D’autres études récentes confirment la conclusion que l’ajout d'H2O, le principal gaz à effet de serre de la Terre, refroidit l’air de surface.
Dans les égions de l’Inde où l’irrigation a été la plus répandue, un refroidissement important de la saison de croissance s’est produit.
Sources :
https://iopscience.iop.org/article/10.108 dans Environmental Research Letters sur le sujet : Substantial decline in atmospheric aridity due to irrigation in India fait par Anukesh Krishnankutty Ambika and Vimal Mishra. Version pdf :
https://iopscience.iop.or[...]1088/1748-9326/abc8bc/pdf Un passage y est très évocateur : We found that LST has considerably (0.4–1.7 °C) declined during the growing season over the Indo-Gangetic Plain and in other parts of India (figure 1(b)). This significant cooling of 0.8 °C (P-value = 0.03) over the Indo-Gangetic Plain in satellite-based LST is associated with the irrigation expansion (Cook et al 2011, 2015, Thiery et al 2017, Ambika and Mishra 2019).
D’autres études récentes confirment la conclusion que l’ajout d'H2O, le principal GES de la Terre, refroidit l’air de surface.
Régions de l’Inde où l’irrigation a été la plus répandue, un refroidissement important de la saison de croissance s’est produit.
Sources :
https://iopscience.iop.org/article/10.108
Le même phénomène a été observé en Chine. Les scientifiques (Yang et al., 2020) se réfèrent même à l’ajout d’émissions anthropiques de vapeur d’eau dans l’atmosphère comme l’effet de refroidissement par irrigation.
Sources :
https://www.sciencedirect[...]abs/pii/S0048969719359790 Dans Science Direct sur le sujet : Irrigation cooling effect on land surface temperature across China based on satellite observations publié par Qiquan Yang, Xin Huang, Qiuhong Tang. Quelques passages intéressant de cette étude en question :. Although many studies have examined the irrigation cooling effect (ICE) based on near-surface air temperature from meteorological observations or climate model simulations, few studies have directly addressed the effect of irrigation on land surface temperature (LST), which is closely linked to the surface energy balance and near-surface air temperature Après cela il y a le passage : The results show that irrigation cools daytime LST by 1.15 K, and cools nighttime LST by 0.13 K, on average, across irrigated areas in China. Enfin : In the arid climate zone, nearly all the irrigated areas show a lower daytime LST than the adjacent non-irrigated areas, leading to a strong ICE magnitude of >6 K in the growing season.
Pendant la saison de croissance, le pompage du gaz à effet de serre le plus puissant de la Terre dans l’atmosphère entraîne un effet de refroidissement de plus de 6 000 dans les régions irriguées.
Source :
https://www.sciencedirect[...]abs/pii/S0048969722011962 pour une étude publiée dans Science Direct sur le sujet : Attribution of local land surface temperature variations response to irrigation over the North China Plain dont les auteurs sont : Zhijang Zhang, Aiwen Lin, Lin Zhao, Bingyu Zhao Cette étude comporte des passages intéressant là aussi notamment : Here we first investigated the impact of irrigation on LST during 2003–2012 over the North China Plain (NCP), which is one of the most intensively irrigated areas around the word. Ensuite, The results indicate that at annual scale, irrigation produce an overall cooling effect over the NCP, with the mean observed LST change of −0.098 K, calculated LST change of −0.096 K for DTM method and −0.165 K for IBM method, respectively. Enfin, The attribution method DTM reveals that components of albedo and emissivity has an average cooling effect of −0.012 K and −0.005 K, respectively, while incoming radiation lead to a weak warming effect of +0.01 K.
L'augmentation du CO₂ entraîne une augmentation de la surface des feuilles vertes et de la couverture des arbres, améliore l'efficacité de l'utilisation de l'eau par les plantes (atténuant les effets de la sécheresse) et réduit le nombre d'incendies ainsi que la surface brûlée. Sources :
https://www.sciencedirect[...]abs/pii/S0277379119301945 qui est une étude publiée dans Science Direct sur le sujet : Response of vegetation cover to CO2 and climate changes between Last Glacial Maximum and pre-industrial period in a dynamic global vegetation model publiée par : Weizhe Chen
China University of Geosciences
Dan Zhu
Peking University
Philippe Ciais
Laboratoire des Sciences du Climat et l'Environnement
Chunju Huang
China University of Geosciences
Vous retrouvez la même sur Research Gate ainsi que sa version téléchargée :
https://www.researchgate.[...]c_global_vegetation_model
Étude 2021 :
“Les changements dans la circulation atmosphérique (1981-2014) ont généralement été accompagnés d’une réduction globale de la couverture nuageuse sur le continent […] conduisant à une augmentation du rayonnement solaire [SW] entrant.”
Source :
https://rmets.onlinelibra[...]doi/full/10.1002/joc.6841 Publié dans Royal Meoteorological Society par Lucian Sfîcă, Christoph Beck, Andrei-Ion Nita, Mirela Voiculescu, Marius-Victor Birsan, Andreas Philipp sur le sujet : Cloud cover changes driven by atmospheric circulation in Europe during the last decades en septembre 2020.
“The Boy Who Cried Warming” documentaire majeur de 2012 qui aborde et évalue d’un point de vue scientifique un grand nombre d’idées fausses associées au réchauffement climatique. On y retrouve des pointures de la climatologie qui exposent le dogme actuel.
https://freedocumentaryfilms.com/the-boy-who-cr
Étude 2021 :
•Les molécules de CO2 ne sont pas le radiateur de l’atmosphère
•Un changement de la concentration de CO2 n’entraînerait pas de changement du flux radiatif sortant
•Sensibilité du CO2 effectuée par les modèles est erronée d’un facteur 5
Source :
https://www.mdpi.com/2673-9321/1/2/14/htm Publié dans le MDPI sur le sujet : Greenhouse Effect in the Standard Atmosphere par Boris Michailovich Smirnov
et Dmitri Alexandrovich Zhilyaev en septembre 2021.
Étude 2021 :
“[…] les nuages à faible teneur en liquide sont principalement responsables du changement dans le forçage radiatif net. Une image cohérente émerge entre variations des rayons cosmiques liées aux aérosols, aux nuages et au bilan énergétique.”
https://www.nature.com/articles/s41598-021-99033-1
Bizarrement, le GIEC et autres ne tiennent pas compte de toutes ses études.
Dans les égions de l’Inde où l’irrigation a été la plus répandue, un refroidissement important de la saison de croissance s’est produit.
Sources :
D’autres études récentes confirment la conclusion que l’ajout d'H2O, le principal GES de la Terre, refroidit l’air de surface.
Régions de l’Inde où l’irrigation a été la plus répandue, un refroidissement important de la saison de croissance s’est produit.
Sources :
Le même phénomène a été observé en Chine. Les scientifiques (Yang et al., 2020) se réfèrent même à l’ajout d’émissions anthropiques de vapeur d’eau dans l’atmosphère comme l’effet de refroidissement par irrigation.
Sources :
Pendant la saison de croissance, le pompage du gaz à effet de serre le plus puissant de la Terre dans l’atmosphère entraîne un effet de refroidissement de plus de 6 000 dans les régions irriguées.
Source :
L'augmentation du CO₂ entraîne une augmentation de la surface des feuilles vertes et de la couverture des arbres, améliore l'efficacité de l'utilisation de l'eau par les plantes (atténuant les effets de la sécheresse) et réduit le nombre d'incendies ainsi que la surface brûlée. Sources :
China University of Geosciences
Dan Zhu
Peking University
Philippe Ciais
Laboratoire des Sciences du Climat et l'Environnement
Chunju Huang
China University of Geosciences
Vous retrouvez la même sur Research Gate ainsi que sa version téléchargée :
Étude 2021 :
“Les changements dans la circulation atmosphérique (1981-2014) ont généralement été accompagnés d’une réduction globale de la couverture nuageuse sur le continent […] conduisant à une augmentation du rayonnement solaire [SW] entrant.”
Source :
“The Boy Who Cried Warming” documentaire majeur de 2012 qui aborde et évalue d’un point de vue scientifique un grand nombre d’idées fausses associées au réchauffement climatique. On y retrouve des pointures de la climatologie qui exposent le dogme actuel.
Étude 2021 :
•Les molécules de CO2 ne sont pas le radiateur de l’atmosphère
•Un changement de la concentration de CO2 n’entraînerait pas de changement du flux radiatif sortant
•Sensibilité du CO2 effectuée par les modèles est erronée d’un facteur 5
Source :
et Dmitri Alexandrovich Zhilyaev en septembre 2021.
Étude 2021 :
“[…] les nuages à faible teneur en liquide sont principalement responsables du changement dans le forçage radiatif net. Une image cohérente émerge entre variations des rayons cosmiques liées aux aérosols, aux nuages et au bilan énergétique.”
Bizarrement, le GIEC et autres ne tiennent pas compte de toutes ses études.
il y a 16 jours
D'abord le réchauffement qui va détruire le monde, ensuite on va se geler les couilles à cause du réchauffement.
La guerre c'est la paix la liberté c'est l'esclavage l'ignorance c'est la force.
Pas étonnant que les personnes qui connaissent moins le climat et l'environnement sont plus susceptibles de ressentir de l'anxiété liée au changement climatique (« Je me retrouve à pleurer à cause du changement climatique ») et de la détresse... que celles qui connaissent mieux le climat et l'environnement.
Publié en mars 2023
Source :
https://link.springer.com[...]0.1007/s10584-023-03518-z
Dans Springer link
Sur format pdf : file:///C:/Users/33601/Downloads/s10584-023-03518-z.pdf
https://osf.io/5mqjh/






Les données MXD (cernes des arbres) sont fortement corrélées (r = 0,77) avec la période 1959-2016 max. (juillet-août) temps.
En évaluant les températures de 1 720 à 2018, les données MXD montrent un refroidissement depuis 1900 (environ 1 °C de plus dans les années 1920-1930).
Ces tendances sont observées dans « plusieurs… régions du monde ».
Source :
https://link.springer.com[...]0.1007/s00484-022-02408-w
Publié dans Springer link
Publié en novembre 2022 par
Pei Li , Huiming Song , Yu Liu , Quan Zhang , Congxi Fang , Qiang Li , Qiufang Cai , Xueli Zeng 1 , Yifan Ma
Etude 2022
Egalement :
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36427083/

Les enregistrements de température instrumentaux (1900-2015) et indirects (1765-2002) concordent étroitement sur le fait que la région forestière de Tierra del Fuego – située à l’extrémité sud de l’Amérique du Sud – s’est refroidie (net) depuis 1900 et 1765, respectivement.
Source :
https://link.springer.com[...]0.1007/s00382-022-06384-0
Publié dans Springer link
sur le sujet : Summer temperature changes in Tierra del Fuego since AD 1765: atmospheric drivers and tree-ring reconstruction from the southernmost forests of the world
Publié par
Matskovsky, Vladimir ; Roig, Fidel A. ; Fuentes, Mauricio ; Korneva, Irina ; Araneo, Diego ; Linderholm, Hans W. ; Aravena, Juan Carlos
Publié sur le site d'Harvard également :
https://ui.adsabs.harvard[...]3ClDy...60.1635M/abstract
dans ResearchGate :
https://www.researchgate.[...]most_Forests_of_the_World
versino pdf : file:///C:/Users/33601/Downloads/Four_Centuries_of_Summer_Temperature_Changes_in_Ti.pdf



En 2007, le GIEC affirmait qu'en raison du réchauffement, les glaciers himalayens fondraient très probablement ou « disparaîtraient » d'ici 2035 (ou avant).
Mais une nouvelle étude reconstituant les températures Népal-Himalaya de 1733 à 2020 indique qu’il n’y a pas eu de réchauffement net ici depuis 288 ans.
Source :
https://link.springer.com[...]0.1007/s00704-023-04432-1
Spatial minimum temperature reconstruction over the last three centuries for eastern Nepal Himalaya based on tree rings of Larix griffithiana
Dans Springer link
dans ResearchGate également :
https://www.researchgate.[...]ngs_of_Larix_griffithiana



https://www.researchgate.[...]th-10years_fig6_369507188


https://www.researchgate.[...]study-with_fig7_369507188
Le sud-est du plateau tibétain (TP) était plus chaud que les dernières décennies, dans les années 1870 et 1930-1940.
Source :
https://www.mdpi.com/1999-4907/14/7/1441
Publié dans le MDPI sur le sujet : August Temperature Reconstruction Based on Tree-Ring Latewood Blue Intensity in the Southeastern Tibetan Plateau Par Teng Li et Jinbao Li.
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-032157.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-032204.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-032210.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-032216.png
Publié en juin 2023.
Le nord est du plateau tibétain ne s'est pas non plus réchauffé (net) au cours des derniers siècles, et il était de 2,89°C et 2,81°C plus chaud à l'époque romaine et médiévale.
Source :
https://www.sciencedirect[...]abs/pii/S0031018223000603
Publié dans ScienceDirect
Late Holocene temperature and precipitation variations in an alpine region of the northeastern Tibetan Plateau and their response to global climate change
version pdf : file:///C:/Users/33601/Downloads/SSRN-id4270553.pdf
Egalement publié dans le SSRN :
https://papers.ssrn.com/s[...]s.cfm?abstract_id=4270553
Publié en novembre 2022.
Publié par : Youmo Li
Lanzhou University College of Earth and Environmental Sciences
Duo Wu
Lanzhou University College of Earth and Environmental Sciences
Tao Wang
Lanzhou University College of Earth and Environmental Sciences
Lin Chen
Lanzhou University College of Earth and Environmental Sciences
Chenbin Zhang
affiliation not provided to SSRN
Shilong Guo
autre version pdf :
https://deliverypdf.ssrn.[...]mp;EXT=pdf&INDEX=TRUE
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-032310.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-032259.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-032304.png
La guerre c'est la paix la liberté c'est l'esclavage l'ignorance c'est la force.
Pas étonnant que les personnes qui connaissent moins le climat et l'environnement sont plus susceptibles de ressentir de l'anxiété liée au changement climatique (« Je me retrouve à pleurer à cause du changement climatique ») et de la détresse... que celles qui connaissent mieux le climat et l'environnement.
Publié en mars 2023
Source :
Dans Springer link
Sur format pdf : file:///C:/Users/33601/Downloads/s10584-023-03518-z.pdf






Les données MXD (cernes des arbres) sont fortement corrélées (r = 0,77) avec la période 1959-2016 max. (juillet-août) temps.
En évaluant les températures de 1 720 à 2018, les données MXD montrent un refroidissement depuis 1900 (environ 1 °C de plus dans les années 1920-1930).
Ces tendances sont observées dans « plusieurs… régions du monde ».
Source :
Publié dans Springer link
Publié en novembre 2022 par
Pei Li , Huiming Song , Yu Liu , Quan Zhang , Congxi Fang , Qiang Li , Qiufang Cai , Xueli Zeng 1 , Yifan Ma
Etude 2022
Egalement :

Les enregistrements de température instrumentaux (1900-2015) et indirects (1765-2002) concordent étroitement sur le fait que la région forestière de Tierra del Fuego – située à l’extrémité sud de l’Amérique du Sud – s’est refroidie (net) depuis 1900 et 1765, respectivement.
Source :
Publié dans Springer link
sur le sujet : Summer temperature changes in Tierra del Fuego since AD 1765: atmospheric drivers and tree-ring reconstruction from the southernmost forests of the world
Publié par
Matskovsky, Vladimir ; Roig, Fidel A. ; Fuentes, Mauricio ; Korneva, Irina ; Araneo, Diego ; Linderholm, Hans W. ; Aravena, Juan Carlos
Publié sur le site d'Harvard également :
dans ResearchGate :
versino pdf : file:///C:/Users/33601/Downloads/Four_Centuries_of_Summer_Temperature_Changes_in_Ti.pdf



En 2007, le GIEC affirmait qu'en raison du réchauffement, les glaciers himalayens fondraient très probablement ou « disparaîtraient » d'ici 2035 (ou avant).
Mais une nouvelle étude reconstituant les températures Népal-Himalaya de 1733 à 2020 indique qu’il n’y a pas eu de réchauffement net ici depuis 288 ans.
Source :
Spatial minimum temperature reconstruction over the last three centuries for eastern Nepal Himalaya based on tree rings of Larix griffithiana
Dans Springer link
dans ResearchGate également :





Le sud-est du plateau tibétain (TP) était plus chaud que les dernières décennies, dans les années 1870 et 1930-1940.
Source :
Publié dans le MDPI sur le sujet : August Temperature Reconstruction Based on Tree-Ring Latewood Blue Intensity in the Southeastern Tibetan Plateau Par Teng Li et Jinbao Li.
Publié en juin 2023.
Le nord est du plateau tibétain ne s'est pas non plus réchauffé (net) au cours des derniers siècles, et il était de 2,89°C et 2,81°C plus chaud à l'époque romaine et médiévale.
Source :
Publié dans ScienceDirect
Late Holocene temperature and precipitation variations in an alpine region of the northeastern Tibetan Plateau and their response to global climate change
version pdf : file:///C:/Users/33601/Downloads/SSRN-id4270553.pdf
Egalement publié dans le SSRN :
Publié en novembre 2022.
Publié par : Youmo Li
Lanzhou University College of Earth and Environmental Sciences
Duo Wu
Lanzhou University College of Earth and Environmental Sciences
Tao Wang
Lanzhou University College of Earth and Environmental Sciences
Lin Chen
Lanzhou University College of Earth and Environmental Sciences
Chenbin Zhang
affiliation not provided to SSRN
Shilong Guo
autre version pdf :
il y a 16 jours
Je crois au dérèglement climatique. Mais putain, j’avoue qu’ils auraient dû faire l’effort de mettre dérèglement ou changement climatique dans le titre au lieu de réchauffement, histoire que ça fasse moins con.
Essentialiste et 0 dose les shills. Mon serv Discord : https://discord.gg/2ceWppkcN6
il y a 16 jours
Changements de couverture nuageuse sur l'Europe/N. La durée d'ensoleillement de la route atlantique (SD, atténuation et éclaircissement) change, et donc le changement climatique.
Les changements dans les nuages et le SD sont « le résultat de la variabilité interne du système océan-atmosphère », et non de l'activité humaine.
Source :
https://sciendo.com/artic[...]10.14746/quageo-2023-0023
The Long-Term Course of the Annual Total Sunshine Duration in Europe and Changes in the Phases of the Thermohaline Circulation in the North Atlantic (1901–2018)






De 1902 à 2014, aucune tendance perceptible en matière de sécheresse à l’échelle mondiale n’a été observée. Et ce même en comparant la période 1902-1958 à la période 1958-2014.
En fait, la sécheresse météorologique (liée au climat) a été plus «intensifiée» entre 1902 et 1958 que entre 1958 et 2014.
Source :
https://www.sciencedirect[...]abs/pii/S0169809522004276
Publié dans ScienceDidrect
par Haiyun Shi, Zhaoqiang Zhou, Lin Liu, Suning Liu
A global perspective on propagation from meteorological drought to hydrological drought during 1902–2014


https://www.sciencedirect[...]0169809522004276/purchase
également sur ads :
https://ui.adsabs.harvard[...]2AtmRe.28006441S/abstract
et ResearchGate :
https://www.researchgate.[...]_drought_during_1902-2014

Les modèles climatiques ne peuvent pas résoudre avec précision le transfert de chaleur par convection, la physique des nuages, les cyclones, les systèmes à haute pression, les « courants océaniques… fondamentaux pour la variabilité climatique », le déséquilibre énergétique de la Terre…
Nous sommes dans le domaine de la « terra incognita ».
I
Source :
https://journals.ametsoc.[...]04/1/BAMS-D-22-0061.1.xml
Publié dans l'American Meteorological Society
Publié par Graeme Stephens
, Jan Polcher
, Xubin Zeng
, Peter van Oevelen
, Germán Poveda
, Michael Bosilovich
, Myoung-Hwan Ahn
, Gianpaolo Balsamo
, Qingyun Duan
, Gabriele Hegerl
, Christian Jakob
, Benjamin Lamptey
, Ruby Leung
, Maria Piles
, Zhongbo Su
, Paul Dirmeyer
, Kirsten L. Findell
, Anne Verhoef
, Michael Ek
, Tristan L’Ecuyer
, Rémy Roca
, Ali Nazemi
, Francina Dominguez
, Daniel Klocke
, and Sandrine Bony
En janvier 2023




Lorsque les niveaux de CO2 atteignaient un niveau « sûr » de 265 ppm (il y a 5 000 à 6 000 ans), le niveau de la mer à Singapour était 4 m plus haut qu'aujourd'hui – avant de chuter jusqu'à aujourd'hui.
Le niveau mondial de la mer a augmenté de 46 mm/an entre 14 500 et 14 000 ans, soit 30 fois le taux de 1958 à 2014 (1,5 mm/an).
Source :
https://www.nature.com/articles/s42003-023-04510-0
Publié dans la revue nature
Prehistoric human migration between Sundaland and South Asia was driven by sea-level rise
Publié par Hie Lim Kim, Tanghua Li, Namrata Kalsi, Hung Tran The Nguyen, Timothy A. Shaw, Khai C. Ang, Keith C. Cheng, Aakrosh Ratan, W. Richard Peltier, Dhrubajyoti Samanta, Mahesh Pratapneni, Stephan C. Schuster & Benjamin P. Horton
Le niveau de la mer aux Philippines était de 2,15 à 3,15 m plus élevé qu'aujourd'hui il y a 4 à 6 000 ans, et de 1,25 à 1,55 m plus haut il y a 2,8 à 1,2 000 ans (époque romaine et médiévale).
Source :
https://www.sciencedirect[...]cle/pii/S2590056023000178
Publié dans ScienceDirect
Publié par Flores, Paul Caesar M. ; Siringan, Fernando P. ; Mateo, Zenon Richard P. ; Marfito, Bryan J. ; Sarmiento, Keanu Jershon S. ; Abigania, Maria Isabel T. ; Daag, Arturo S. ; Maac-Aguilar, Yolanda
sur le sujet Shallow structures, interactions, and recurrent vertical motions of active faults in Lingayen Gulf, Philippines
en 2023


https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-033419.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-033428.png
Aujourd’hui, le taux d’élévation du niveau de la mer en mer de Chine méridionale ne dépasse pas 0,02 mm/an.
Source :
https://www.sciencedirect[...]cle/pii/S0078323422000987
Publié dans ScienceDirect sur le sujet : Relative sea-level changes induced by glacial isostatic adjustment and sediment loads in the Beibu Gulf, South China Sea par Andreas Groh et Jan Harff
" Both quantities are approximately opposite in sign, revealing the negligibility of the geoid changes caused by the changing sediment loads. Or in other words, the rise in RSL is dominated by the subsiding solid Earth. However, the present-day RSL rates do not exceed 0.02 mm/yr, "
" The largest rise in RSL can be found in the region of the collapsing peripheral bulge of the former Laurentide Ice Sheet with a maximum of 4.9 mm/yr. In the SCS, present-day RSL rates vary between −0.2 and +0.2 mm/yr, only."
Les changements dans les nuages et le SD sont « le résultat de la variabilité interne du système océan-atmosphère », et non de l'activité humaine.
Source :
The Long-Term Course of the Annual Total Sunshine Duration in Europe and Changes in the Phases of the Thermohaline Circulation in the North Atlantic (1901–2018)






De 1902 à 2014, aucune tendance perceptible en matière de sécheresse à l’échelle mondiale n’a été observée. Et ce même en comparant la période 1902-1958 à la période 1958-2014.
En fait, la sécheresse météorologique (liée au climat) a été plus «intensifiée» entre 1902 et 1958 que entre 1958 et 2014.
Source :
Publié dans ScienceDidrect
par Haiyun Shi, Zhaoqiang Zhou, Lin Liu, Suning Liu
A global perspective on propagation from meteorological drought to hydrological drought during 1902–2014


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Les modèles climatiques ne peuvent pas résoudre avec précision le transfert de chaleur par convection, la physique des nuages, les cyclones, les systèmes à haute pression, les « courants océaniques… fondamentaux pour la variabilité climatique », le déséquilibre énergétique de la Terre…
Nous sommes dans le domaine de la « terra incognita ».
I
Source :
Publié dans l'American Meteorological Society
Publié par Graeme Stephens
, Jan Polcher
, Xubin Zeng
, Peter van Oevelen
, Germán Poveda
, Michael Bosilovich
, Myoung-Hwan Ahn
, Gianpaolo Balsamo
, Qingyun Duan
, Gabriele Hegerl
, Christian Jakob
, Benjamin Lamptey
, Ruby Leung
, Maria Piles
, Zhongbo Su
, Paul Dirmeyer
, Kirsten L. Findell
, Anne Verhoef
, Michael Ek
, Tristan L’Ecuyer
, Rémy Roca
, Ali Nazemi
, Francina Dominguez
, Daniel Klocke
, and Sandrine Bony
En janvier 2023




Lorsque les niveaux de CO2 atteignaient un niveau « sûr » de 265 ppm (il y a 5 000 à 6 000 ans), le niveau de la mer à Singapour était 4 m plus haut qu'aujourd'hui – avant de chuter jusqu'à aujourd'hui.
Le niveau mondial de la mer a augmenté de 46 mm/an entre 14 500 et 14 000 ans, soit 30 fois le taux de 1958 à 2014 (1,5 mm/an).
Source :
Publié dans la revue nature
Prehistoric human migration between Sundaland and South Asia was driven by sea-level rise
Publié par Hie Lim Kim, Tanghua Li, Namrata Kalsi, Hung Tran The Nguyen, Timothy A. Shaw, Khai C. Ang, Keith C. Cheng, Aakrosh Ratan, W. Richard Peltier, Dhrubajyoti Samanta, Mahesh Pratapneni, Stephan C. Schuster & Benjamin P. Horton
Le niveau de la mer aux Philippines était de 2,15 à 3,15 m plus élevé qu'aujourd'hui il y a 4 à 6 000 ans, et de 1,25 à 1,55 m plus haut il y a 2,8 à 1,2 000 ans (époque romaine et médiévale).
Source :
Publié dans ScienceDirect
Publié par Flores, Paul Caesar M. ; Siringan, Fernando P. ; Mateo, Zenon Richard P. ; Marfito, Bryan J. ; Sarmiento, Keanu Jershon S. ; Abigania, Maria Isabel T. ; Daag, Arturo S. ; Maac-Aguilar, Yolanda
sur le sujet Shallow structures, interactions, and recurrent vertical motions of active faults in Lingayen Gulf, Philippines
en 2023


Aujourd’hui, le taux d’élévation du niveau de la mer en mer de Chine méridionale ne dépasse pas 0,02 mm/an.
Source :
Publié dans ScienceDirect sur le sujet : Relative sea-level changes induced by glacial isostatic adjustment and sediment loads in the Beibu Gulf, South China Sea par Andreas Groh et Jan Harff
" Both quantities are approximately opposite in sign, revealing the negligibility of the geoid changes caused by the changing sediment loads. Or in other words, the rise in RSL is dominated by the subsiding solid Earth. However, the present-day RSL rates do not exceed 0.02 mm/yr, "
" The largest rise in RSL can be found in the region of the collapsing peripheral bulge of the former Laurentide Ice Sheet with a maximum of 4.9 mm/yr. In the SCS, present-day RSL rates vary between −0.2 and +0.2 mm/yr, only."
il y a 16 jours
Il y a 4 000 ans, le niveau de la mer au Japon était de « 4 à 5 m d'altitude [au-dessus du niveau de la mer actuel] avant de tomber à 1,0 à 1,5 m d'altitude » il y a environ 1,5 000 à 1 000 ans.
Source :
https://www.sciencedirect[...]cle/pii/S2666033423000138
Publié dans ScienceDirect
sur le sujet : Relationship between depositional environments and preservabilities of Holocene tsunami deposits on the Hidaka coast, Hokkaido, Japan
Publié par Ryo Nakanishi, Juichiro Ashi, Yosuke Miyairi, Yusuke Yokoyama.





" The RSL in the Harutachi area at 6000 years ago is estimated to be 0.5–2.5 m asl (Okuno et al., 2014). "
The RSL change in this area is estimated from SLIPs obtained by this study considering the change in the depositional environment (Table 2, Fig. 11). The RSL change curves around the Shimokita Peninsula, where the influence of crustal deformation is small, are estimated from the GIA model and SLIPs (Yokoyama et al., 2012). "



Le niveau de la mer indonésien était de 1,0 à 1,9 m au-dessus du niveau actuel
Il y a environ 6,7 000 à 6,4 000 ans.
Source :
https://watermark.silverc[...]vmPLXLhBGV9RQHLai5mdGvkdZ Egalement publié dans l'ads :
https://ui.adsabs.harvard[...]3Geo....51..631M/abstract Ainsi que dans ResearchGate :
https://www.researchgate.[...]e_ice_sheet_disappearance Format pdf : file:///C:/Users/33601/Downloads/Fossil_Java_Sea_corals_record_Laurentide_ice_sheet.pdf
Publié dans The Geological Society of America. En mai 2023.




" The Laurentide ice sheet was the largest late Pleistocene ice mass and the largest contribu-
tor to Holocene pre-industrial sea-level rise. While glaciological dates suggest final ice sheet
melting between 8 and 6 ka, inversion of sea-level data indicates deglaciation at ca. 7 ka. Here,
we present new chronostratigraphic constraints on Laurentide ice sheet disappearance based
on Holocene relative sea-level observations from the tectonically stable north coast of Java,
Indonesia. Age-elevation data from the flat upper surfaces of 13 fossil intertidal corals (i.e.,
microatolls) indicate that the Java Sea experienced a relative sea level of 1.3 ± 0.7 m above
present between 6.9 and 5.3 ka. To determine uncaptured relative sea-level trends within the
observational uncertainties of this apparently constant highstand, we analyzed the internal
structure of three sliced microatolls from the same site to produce a high-resolution data set.
These data were used to statistically model relative sea-level rates and trends. Employing
the data with the model provided evidence for a short-lived rise of relative sea level from
1.0 ± 0.3 m above present at 6.7 ± 0.1 ka to 1.9 ± 0.3 m above present at 6.4 ± 0.1 ka. The end
of this rise likely represents the last input of meltwater from the vast Laurentide ice sheet,
which, consequently, collapsed at least 400 yr later than assumed by some widely used models
of glacial isostatic adjustment. Incorporating these new results into such predictive models
will help to better understand the geographical variability of future sea-level rise as a result
of global warming "

L’Asie centrale (AC) était 2 à 3°C plus chaude qu’aujourd’hui il y a 5 à 10 000 ans.
Les civilisations ont prospéré pendant les périodes chaudes et ont décliné pendant les périodes froides.
L'hydroclimat reconstitué de l'AC se situe aujourd'hui à mi-chemin entre la période chaude médiévale et le petit âge glaciaire.
Source :
https://www.researchgate.[...]of_Silk_Road_civilization
Publié dans RsearchGate
Publié par Guoqiang Ding
Lanzhou University
Jianhui Chen
Lanzhou University
Yanbin Lei
Feiya lv
Hunan University of Arts and Science
Precipitation variations in arid central Asia over past 2500 years: Possible effects of climate change on development of Silk Road civilization


https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-034047.png
https://www.sciencedirect[...]0921818123001157/purchase
L’anomalie du réchauffement climatique de 1900 à 2010, 0,86°C, est semée d’erreurs systématiques et d’incertitudes.
La « plage d’ignorance » est de ±1,92°C.
Définir le « taux ou l’ampleur du réchauffement climatique » est donc « impossible ».
La tendance entre 1981 et 2010 était de 0,0°C (±1,26°C).
Source :
https://www.mdpi.com/1424-8220/23/13/5976
Publié dans le MDPI
Publié par Patrick Frank sur le sujet : LiG Metrology, Correlated Error, and the Integrity of the Global Surface Air-Temperature Record
En juin 2023.
Etude 2023
version pdf : file:///C:/Users/33601/Downloads/sensors-23-05976-v3.pdf
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-034133.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-034143.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-034148.png
"Uncertainty increases after 1945 because engine-intake SSTs come to dominate the record in the second half of the 20th century. Table 9 summarizes the temperature anomaly statistics for the nine 30-year normal periods between 1901 and 2010.From Figure 19, the mean global air-temperature-record anomaly over the 20th century (1900–1999) is 0.74 ± 1.94 °C. The 2σ = ±1.94 °C uncertainty does not indicate a range of possible temperatures but, rather, the range of ignorance over which no information is available [219,220,221]. That is, the physically correct mean anomaly may be anywhere within that range."
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-034212.png
Les observations de l'expédition Wegener de 1929 à 1931 révèlent que les températures au Groenland et l'étendue des glaces étaient alors "d'une ampleur comparable" à celles des dernières décennies.
La limite des neiges de 1930 était plus haute (plus de fonte) que la moyenne de 2000 à 2020, comparable à l'année de fonte record de 2012.
Source :
https://www.nature.com/ar[...]s/s41598-023-33225-9#Fig8
Publié dans la revue nature en 2023
Sur le sujet : Learning from Alfred Wegener’s pioneering field observations in West Greenland after a century of climate change
Publié par B. Vandecrux, S. Scher, K. Löffler, F. Schalamon, A. Trügler, R. Fausto & W. Schöner et J. Abermann
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-034300.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-034246.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-034253.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-034319.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-034312.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-034325.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-034337.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-034342.png
Chaud.
Source :
Publié dans ScienceDirect
sur le sujet : Relationship between depositional environments and preservabilities of Holocene tsunami deposits on the Hidaka coast, Hokkaido, Japan
Publié par Ryo Nakanishi, Juichiro Ashi, Yosuke Miyairi, Yusuke Yokoyama.





" The RSL in the Harutachi area at 6000 years ago is estimated to be 0.5–2.5 m asl (Okuno et al., 2014). "
The RSL change in this area is estimated from SLIPs obtained by this study considering the change in the depositional environment (Table 2, Fig. 11). The RSL change curves around the Shimokita Peninsula, where the influence of crustal deformation is small, are estimated from the GIA model and SLIPs (Yokoyama et al., 2012). "



Le niveau de la mer indonésien était de 1,0 à 1,9 m au-dessus du niveau actuel
Il y a environ 6,7 000 à 6,4 000 ans.
Source :
Publié dans The Geological Society of America. En mai 2023.




" The Laurentide ice sheet was the largest late Pleistocene ice mass and the largest contribu-
tor to Holocene pre-industrial sea-level rise. While glaciological dates suggest final ice sheet
melting between 8 and 6 ka, inversion of sea-level data indicates deglaciation at ca. 7 ka. Here,
we present new chronostratigraphic constraints on Laurentide ice sheet disappearance based
on Holocene relative sea-level observations from the tectonically stable north coast of Java,
Indonesia. Age-elevation data from the flat upper surfaces of 13 fossil intertidal corals (i.e.,
microatolls) indicate that the Java Sea experienced a relative sea level of 1.3 ± 0.7 m above
present between 6.9 and 5.3 ka. To determine uncaptured relative sea-level trends within the
observational uncertainties of this apparently constant highstand, we analyzed the internal
structure of three sliced microatolls from the same site to produce a high-resolution data set.
These data were used to statistically model relative sea-level rates and trends. Employing
the data with the model provided evidence for a short-lived rise of relative sea level from
1.0 ± 0.3 m above present at 6.7 ± 0.1 ka to 1.9 ± 0.3 m above present at 6.4 ± 0.1 ka. The end
of this rise likely represents the last input of meltwater from the vast Laurentide ice sheet,
which, consequently, collapsed at least 400 yr later than assumed by some widely used models
of glacial isostatic adjustment. Incorporating these new results into such predictive models
will help to better understand the geographical variability of future sea-level rise as a result
of global warming "

L’Asie centrale (AC) était 2 à 3°C plus chaude qu’aujourd’hui il y a 5 à 10 000 ans.
Les civilisations ont prospéré pendant les périodes chaudes et ont décliné pendant les périodes froides.
L'hydroclimat reconstitué de l'AC se situe aujourd'hui à mi-chemin entre la période chaude médiévale et le petit âge glaciaire.
Source :
Publié dans RsearchGate
Publié par Guoqiang Ding
Lanzhou University
Jianhui Chen
Lanzhou University
Yanbin Lei
Feiya lv
Hunan University of Arts and Science
Precipitation variations in arid central Asia over past 2500 years: Possible effects of climate change on development of Silk Road civilization


L’anomalie du réchauffement climatique de 1900 à 2010, 0,86°C, est semée d’erreurs systématiques et d’incertitudes.
La « plage d’ignorance » est de ±1,92°C.
Définir le « taux ou l’ampleur du réchauffement climatique » est donc « impossible ».
La tendance entre 1981 et 2010 était de 0,0°C (±1,26°C).
Source :
Publié dans le MDPI
Publié par Patrick Frank sur le sujet : LiG Metrology, Correlated Error, and the Integrity of the Global Surface Air-Temperature Record
En juin 2023.
Etude 2023
version pdf : file:///C:/Users/33601/Downloads/sensors-23-05976-v3.pdf
"Uncertainty increases after 1945 because engine-intake SSTs come to dominate the record in the second half of the 20th century. Table 9 summarizes the temperature anomaly statistics for the nine 30-year normal periods between 1901 and 2010.From Figure 19, the mean global air-temperature-record anomaly over the 20th century (1900–1999) is 0.74 ± 1.94 °C. The 2σ = ±1.94 °C uncertainty does not indicate a range of possible temperatures but, rather, the range of ignorance over which no information is available [219,220,221]. That is, the physically correct mean anomaly may be anywhere within that range."
Les observations de l'expédition Wegener de 1929 à 1931 révèlent que les températures au Groenland et l'étendue des glaces étaient alors "d'une ampleur comparable" à celles des dernières décennies.
La limite des neiges de 1930 était plus haute (plus de fonte) que la moyenne de 2000 à 2020, comparable à l'année de fonte record de 2012.
Source :
Publié dans la revue nature en 2023
Sur le sujet : Learning from Alfred Wegener’s pioneering field observations in West Greenland after a century of climate change
Publié par B. Vandecrux, S. Scher, K. Löffler, F. Schalamon, A. Trügler, R. Fausto & W. Schöner et J. Abermann
Chaud.
il y a 16 jours
Les émissions humaines de CO2 représentent 5 % du flux annuel de carbone (220 contre 10 GtC/an).
Les modèles climatiques « font semblant » de décrire la physique atmosphérique, « ignorant les lois physiques », conduisant à des « erreurs ».
Le doublement du CO2 entraîne une augmentation de la température de surface de 0,6°C.
Smirnov, 2022
Source :
Dans Springer link
Publié en janvier 2022.


Les 210 derniers millions d'années [Myr] :
•Le CO2 diminue à mesure que les températures augmentent (corrélation négative, -0,76).
•Des extinctions massives se produisent 4,08 Myr après les pics de CO2.
•Le réchauffement climatique et le forçage du CO2 "n'ont pas provoqué l'extinction de la biodiversité au cours des 210 dernières années".
Source :
Publié par W. Jackson Davis1,21Division of Physical and Biological Sciences, University of California, Santa Cruz, CA, USA, 2Environmental Studies Institute, Santa Cruz, CA, USA
Dans l'AGU, Advancing Earth And Space Science






" Of the 18 extinction cycles that occurred during complete 26-Myr CO2 cycles across the most recent 210 Myr, 12 occurred on the rising phase of the 26 Myr CO2 cycle (270–360° plus 0–90° of phase angle), while six occurred during the falling phase (90–270° of phase angle; Figure 9
"This increase in global temperature was accompanied by a decrease in the concentration of CO2 in the atmosphere, from a high of 772 ppmv to a low of 291 ppmv (Figure 15)"
"
The apparent negative correlation between atmospheric CO2 concentration and global temperature (Figure 15) is confirmed by calculation of the corre-sponding Pearson correlation coefficient. To compute this correlation coef-ficient, temperature was interpolated between datapoints in the temperature curve (Figure 15) to the times of datapoints in the CO2 record. The correla-tion between atmospheric CO2 concentration and interpolated global temper-ature proxies is discernible and negative (r = −0.76, n = 8, p = 0.01). "
" Numerous previous authors have suggested a link between the concentration of atmospheric CO2 and the loss of biodiversity during individual extinction events, as summarized above. The intermediary mechanism commonly proposed is the postulated increase in global temperature that is widely believed to result from increased atmos-pheric CO2 concentration (but see W. J. Davis, 2017; W. J. Davis & Davis, 2020). A more direct measure of the global warming effect of trace gases such as CO2 is RF computed at the top of the troposphere. If long-term global warming was the cause of past extinctions, then long-term temperature and marginal RF by atmospheric CO2should both be correlated positively with biodiversity loss.As shown here, however, biodiversity loss is not correlated discernibly with marginal RF by atmospheric CO2(r = −0.001). Absence of correlation implies absence of causality, that is, changes in RF by atmospheric CO2 did not cause past collapses in biodiversity and are not a plausible kill mechanism of mass extinctions. This finding reinforces and confirms the inference that long-term global warming is at most a correlate, and not a primary cause, of mass extinctions. "


Deux figures importantes de l'étude.
Le flux de chaleur géothermique élevé (GHF) est principalement la raison pour laquelle la glace de l'Antarctique fond, et non le « forçage atmosphérique ».
Il existe "un lien direct entre... l'origine des courants de glace et les zones de flux thermique accru... permet de considérer le GHF comme un facteur important dans la dynamique des glaces".
Source :
Publié dans Advancing Earth and Space Science également
Publié par : C. Haeger1, A. G. Petrunin1, and M. K. Kaban11GFZ German Research Centre for Geosciences, Potsdam, Germany
Sur le sujet : Geothermal Heat Flow and Thermal Structure of the Antarctic Lithosphere
Egalement publié dans l'ads
Dans Semantic Scholar également :
t is common to attribute changes in the ice dynamics and subsequent ice loss to atmospheric and oceanic forcing. However, recent studies suggest a direct link between the location of the origin of ice streams and zones of increased heat flow (Petrunin et al., 2013; Rogozhina et al., 2016; Smith-Johnsen et al., 2020) that allows to consider GHF as an important factor in ice dynam-ics. Our results also show a good spatial correspondence with the map of ice mass loss between 2003 and 2019 (Figure 2c, Smith et al., 2020),
High GHF can raise the basal temperature promoting destabilization of the ice sheet (Pollard et al., 2005). If basal temperatures are high enough to cause melting, basal water can form, lubricating the ice base and thus leading to higher ice sliding velocities (e.g., Goeller et al., 2013). These complex interactions cause highly non-uniform variations of ice mass changes over Antarctica. The stronge
A similar situation can be found in Wilkes Land surrounding the Totten Glacier. This region has been shown to house not only the highest ice mass loss (Rignot et al., 2019; Smith et al., 2020) but also the fastest acceleration of mass loss within EANT (Velicogna et al., 2020). First explanations have focused on similar mechanisms as observed in the Amundsen and Bellingshausen Sea Sectors. Combined with a retrograde slope, this could explain the far-reaching ice mass loss surrounding the Glacier. This coincides with a region of elevated GHF, which can further destabilize the ice sheet and could drive unstable retreat, which underlines the importance of reliable GHF estimates in accurately modeling ice dynamics





il y a 16 jours
Les variations d'un million d'années de la couverture nuageuse modulant les rayons cosmiques (CR) sont la cause dominante des variations climatiques sur un million d'années, expliquant les 7 époques glaciaires.
Le CO2 et la luminosité solaire ne peuvent expliquer les variations climatiques passées, car ils s’annulent.
Source :
Publié dans Annals of the New York Academic Science
The Phanerozoic climate
Publiés par Nir J. Shaviv, Henrik Svensmark et Ján Veizer





" Interestingly, however, decreases in CO 2 concentration and the
increase in solar luminosity mostly cancel each other out (except for the
nonsecular variations in CO 2 ). Consequently, the dominant tempera-
ture variations observed during the Phanerozoic are those due to the
periodic passages of the solar system through the galactic spiral arms "
" There is, however, another extrinsic driver that acts on time scales
of millions of years. Although the idea has been controversial, we now
know that CR flux variations have a large effect on the climate. They
were first considered as the mechanism linking solar variations to ter-
restrial climate, 56 but later, it was realized that they can explain climate
variations over geological time scales as well. 27,57–59
"
" A comparison between the CR flux (recon-
structed over these time scales using iron meteorites) and climate
(reconstructed using either sedimentation or geochemical records)
demonstrates that the seven ice-age epochs (during which Earth
has had glaciations) over the past billion years have taken place
when the CR flux was higher, as the theory predicts. 27,57 "


Dans le sud de l’Amérique du Sud, le niveau de la mer était d’environ 6 mètres plus élevé qu’il y a 8 000 à 6 000 ans, lorsque le CO2 oscillait autour de 265 ppm, mais il faisait beaucoup plus chaud avec moins de glace.
Le niveau de la mer a ensuite progressivement baissé jusqu'à atteindre son niveau actuel, le plus bas depuis 8 000 ans.
Source :
Publié dans le Journal of Quaternary Science
Sur le sujet : LatePleistoceneandHolocenetransgressioninferredfromthesedimentsof the Gulf of San Jorge, central Patagonia, Argentina
Publié par : PIERRE‐ARNAUD DESIAGE,1,2,3,4*GUILLAUME ST‐ONGE,1,3,4MATHIEU J. DUCHESNE,5JEAN‐CARLOS MONTERO‐SERRANO1,3and MIGUEL J. HALLER6,71Institut des sciences de la mer de Rimouski, Université du Québec à Rimouski, Rimouski, QC, Canada2Geological Survey of Canada (Atlantic), Dartmouth, NS, Canada3GEOTOP Research Center, Montréal, QC, Canada4Canada Research Chair in Marine Geology, Rimouski, QC, Canada5Geological Survey of Canada (Québec), Quebec City, QC, Canada6Universidad Nacional de la Patagonia San Juan Bosco (UNPSJB), Puerto Madryn, Argentina7Instituto Patagónico de Geología y Paleontología–CCT CENPAT‐CONICET, Puerto Madryn, Argentina
Publié en 2021 pour la première fois.





Based on14C dates from piston coresretrieved over the entire shelf in the 1960s, Guilderson et al.(2000) produced a post‐LGM relative sea‐level curve for theACS, which was later updated and compiled by Violante andParker (2004; Fig. 2). This sea level curve suggests that theLGM lowstand sea level occurred at ~18 kaBPat ~105 mbelow present sea level. The onset of the marine transgressionresulted in rapid sea‐level rise in the Early Holocene, with ahighstand of ~6 m above present between 8 and 6 kaBP,followed by a progressive fall to its present position (Fig. 2;
Accord-ing to the synthesis of Schellmann and Radtke (2010), relativesea level along the middle and southern Patagonian coast(including the GSJ region) reached the modern coastline at~8.6 cal kaBP, and the Holocene transgression maximum lastedfrom 7.4 to 6.6 cal kaBP. After this period, the coast in the GSJarea experienced a progressive and discontinuous relative sea‐level fall characterized by several phases with different rates ofrelative sea‐level lowering (Zanchetta et al., 2012, 2014; Biniet al., 2017).
Publié également à l'université du Québec à Rimouski au format pdf :
Nouvelle étude :
Il y a environ 9 500 à 5 000 ans, des « variations climatiques extrêmes » ont entretenu un Sahara vert avec des arbres tropicaux, des prairies et des lacs d'une profondeur allant jusqu'à 300 m de haut.
Puis, il y a environ 5 000 ans, le Sahara est devenu brusquement (des siècles) hyperaride et sans vie.
Source :
Publié dans ScienceDirect sur le sujet : The African Holocene Humid Period in the Tibesti mountains (central Sahara, Chad): Climate reconstruction inferred from fossil diatoms and their oxygen isotope composition
Publié par Abdallah Nassour Yacoub (1) , Florence Sylvestre , Abderamane Moussa , Philipp Hoelzmann , Anne Alexandre , Michèle Dinies , Françoise Chalié , Christine Vallet-Coulomb (2) , Christine Paillès , Frank Darius , Corinne Sonzogni , Martine Couapel , Jean-Charles Mazur , Stefan Kröpelin.
Egalement publié ici :
Hal inrae est destiné au dépôt et à la consultation des travaux scientifiques.
Dans ResearchGate également :
Publié en avril 2023.
Pour avoir accès au pdf il faut une vérification par courriel :



Source :
Quaternary Science review
Il n’existe pas la moindre preuve pour étayer l’affirmation selon laquelle les ouragans ou les ouragans majeurs frappant les États-Unis sont en augmentation.
Source :
C'est un malfait classique que de cacher les données gênantes sur la glace de mer arctique avant l'année de pointe de 1979, afin de créer l'apparence d'une tendance linéaire à la baisse inexistante.
il y a 16 jours
La Californie maintenant.
La Californie il y a 150 ans.
Aucune différence.
Le niveau de malhonnêteté de la presse, du monde universitaire et des politiciens concernant la #ClimateScam est à la fois impressionnant et constant. L'étendue de la glace de mer en Antarctique n'a pas beaucoup changé depuis 37 ans.



GISS analysis of surface temperature change
J. Hansen, R. Ruedy, J. Glascoe, and M. Sato
NASA Goddard Institute for Space Studies, New York
le 12 décembre 2007 @BBCNews
a annoncé que l’Arctique serait sans glace d’ici 2013. Depuis lors, il n’y a eu aucune tendance quant à l’étendue de la glace de mer dans l’Arctique.


L'étendue de la glace de mer en Antarctique en septembre a tendance à augmenter.
Source :

Le climat de 1896 était brutal : des dizaines de millions de morts à cause de la chaleur et de la sécheresse, la pire vague de chaleur de l'histoire de l'Australie et l'année la plus violente en termes de tornades aux États-Unis. Le CO2 était inférieur à 300 PPM
Source :

New York Time
Les pires vagues de chaleur et sécheresses aux États-Unis se sont produites il y a plus de 60 ans.
Sources :


Il y a 124 ans // 3 septembre 1899
si le feu continue comme prévu, il brûlera toute la réserve... soit environ 1 000 000 d'acres
Soit 404685 hectares environ.
Il y a 124 ans // 3 septembre 1899
FEUX DE MONTAGNE – Catastrophe forestière
Un énorme incendie de forêt brûle dans le sud de la Californie
.. 750 000 acres ont été incendiés
.. De vastes dégâts causés dans la réserve de San Gabriel



Le pourcentage des États-Unis ayant atteint 35°C cette année continue d'être le 12e plus bas jamais enregistré depuis 1895, après quatre-vingt-dix ans de déclin depuis le pic de chaleur de 1931


François Gemenne

il y a 16 jours