Les petits selfies torse nue pour son instagram, le petit shaker mesuré au gramme près
Bon apres regarde les like et suivi de c est mec
Puis compare les tien
Puis compare les tien
Il faut le savoir hein ! 
En réalité, ce sont des jeunes gens qui se considèrent comme des produits et qui acceptent la loi consumériste.
Ils agissent comme les pintades superficielles qui ne jurent que par la consommation de produit stéréotypés, censés les gratifier socialement, leur apporter une reconnaissance.
C'est une conduite purement féminine, qui vont les faire se comporter comme des AW typiques : ils soignent leurs apparences au-delà du ridicule, s'affichent autant qu'ils peuvent sur les réseaux, veulent se faire voir et noter, consommer de la reconnaissance sociale...
Ils sont aussi grégaires et adoptent des attitudes de consommations stéréotypées : les prot en poudre, le débardeur échancré jusqu'au bassin comme une prostituée trop vulgaire, les shakers, les poses, les discours, les vêtements, l'abonnement à la salle...
En réalité, ce sont également des victimes de la perte des repères et des valeurs nobles. Ils ne sont pas dans le travail et l'abnégation pour défendre quelque chose de précieux, comme l'avenir des enfants, la sécurité du foyer, la prospérité de la nation...
Non, ils soulèvent des masses sans réelles raisons, sinon se conformer, et devenir gaiement des produits de consommation, devenant obsédés par l'apparence, vouant un culte déplacé aux muscles saillants des autres mâles qu'ils contemplent jalousement en secret...
Leur seule ambition, c'est d'être accepté par le consommateur, souvent la femme, qui dicte sa loi, ses goûts, auxquelles ils se plient avec joie, pour espérer accéder à une chatte gâtée, avariée de trop de foutre, distendue et pendante comme une escalope flasque.
Il n'y a pas de libération par ce travail, rendu stérile par les motivations qui le sous-tend. En effet, un homme qui prend soin de son corps via un exercice pour défendre son foyer, pour encaisser les coups le temps que ses enfants prennent le relais, et pouvoir les rendre, c'est un noble idéal. Cela s'accompagne d'une libération de l'âme à mesure que le corps est façonné par le travail, transformé par la volonté et l'épreuve.
Sauf qu'actuellement, rien de tout ça n'est à l'ordre du jour. Il faut soulever des poids et faire des squat pour avoir une chance d'être sélectionné pour passer une nuit avec une chatte pas fraîche de qui rien ne ressortira à part une capote fripée et une MST.
Vous remarquerez que bien souvent, ils ne sont pas au fait des sujets sérieux, profonds, du monde. C'est parce qu'ils sont obnubilés par l'image qu'ils renvoient, et oublient de développer ce qu'ils sont.
Ils sont pris dans une tourmente, car ils reçoivent de temps en temps de la gratification, qui ne débouche sur rien de viable et qui ne résiste pas à l'épreuve du temps.
En réalité, ce sont des jeunes gens qui se considèrent comme des produits et qui acceptent la loi consumériste.
Ils agissent comme les pintades superficielles qui ne jurent que par la consommation de produit stéréotypés, censés les gratifier socialement, leur apporter une reconnaissance.
C'est une conduite purement féminine, qui vont les faire se comporter comme des AW typiques : ils soignent leurs apparences au-delà du ridicule, s'affichent autant qu'ils peuvent sur les réseaux, veulent se faire voir et noter, consommer de la reconnaissance sociale...
Ils sont aussi grégaires et adoptent des attitudes de consommations stéréotypées : les prot en poudre, le débardeur échancré jusqu'au bassin comme une prostituée trop vulgaire, les shakers, les poses, les discours, les vêtements, l'abonnement à la salle...
En réalité, ce sont également des victimes de la perte des repères et des valeurs nobles. Ils ne sont pas dans le travail et l'abnégation pour défendre quelque chose de précieux, comme l'avenir des enfants, la sécurité du foyer, la prospérité de la nation...
Non, ils soulèvent des masses sans réelles raisons, sinon se conformer, et devenir gaiement des produits de consommation, devenant obsédés par l'apparence, vouant un culte déplacé aux muscles saillants des autres mâles qu'ils contemplent jalousement en secret...
Leur seule ambition, c'est d'être accepté par le consommateur, souvent la femme, qui dicte sa loi, ses goûts, auxquelles ils se plient avec joie, pour espérer accéder à une chatte gâtée, avariée de trop de foutre, distendue et pendante comme une escalope flasque.
Il n'y a pas de libération par ce travail, rendu stérile par les motivations qui le sous-tend. En effet, un homme qui prend soin de son corps via un exercice pour défendre son foyer, pour encaisser les coups le temps que ses enfants prennent le relais, et pouvoir les rendre, c'est un noble idéal. Cela s'accompagne d'une libération de l'âme à mesure que le corps est façonné par le travail, transformé par la volonté et l'épreuve.
Sauf qu'actuellement, rien de tout ça n'est à l'ordre du jour. Il faut soulever des poids et faire des squat pour avoir une chance d'être sélectionné pour passer une nuit avec une chatte pas fraîche de qui rien ne ressortira à part une capote fripée et une MST.
Vous remarquerez que bien souvent, ils ne sont pas au fait des sujets sérieux, profonds, du monde. C'est parce qu'ils sont obnubilés par l'image qu'ils renvoient, et oublient de développer ce qu'ils sont.
Ils sont pris dans une tourmente, car ils reçoivent de temps en temps de la gratification, qui ne débouche sur rien de viable et qui ne résiste pas à l'épreuve du temps.
Il faut le savoir hein !
En réalité, ce sont des jeunes gens qui se considèrent comme des produits et qui acceptent la loi consumériste.
Ils agissent comme les pintades superficielles qui ne jurent que par la consommation de produit stéréotypés, censés les gratifier socialement, leur apporter une reconnaissance.
C'est une conduite purement féminine, qui vont les faire se comporter comme des AW typiques : ils soignent leurs apparences au-delà du ridicule, s'affichent autant qu'ils peuvent sur les réseaux, veulent se faire voir et noter, consommer de la reconnaissance sociale...
Ils sont aussi grégaires et adoptent des attitudes de consommations stéréotypées : les prot en poudre, le débardeur échancré jusqu'au bassin comme une prostituée trop vulgaire, les shakers, les poses, les discours, les vêtements, l'abonnement à la salle...
En réalité, ce sont également des victimes de la perte des repères et des valeurs nobles. Ils ne sont pas dans le travail et l'abnégation pour défendre quelque chose de précieux, comme l'avenir des enfants, la sécurité du foyer, la prospérité de la nation...
Non, ils soulèvent des masses sans réelles raisons, sinon se conformer, et devenir gaiement des produits de consommation, devenant obsédés par l'apparence, vouant un culte déplacé aux muscles saillants des autres mâles qu'ils contemplent jalousement en secret...
Leur seule ambition, c'est d'être accepté par le consommateur, souvent la femme, qui dicte sa loi, ses goûts, auxquelles ils se plient avec joie, pour espérer accéder à une chatte gâtée, avariée de trop de foutre, distendue et pendante comme une escalope flasque.
Il n'y a pas de libération par ce travail, rendu stérile par les motivations qui le sous-tend. En effet, un homme qui prend soin de son corps via un exercice pour défendre son foyer, pour encaisser les coups le temps que ses enfants prennent le relais, et pouvoir les rendre, c'est un noble idéal. Cela s'accompagne d'une libération de l'âme à mesure que le corps est façonné par le travail, transformé par la volonté et l'épreuve.
Sauf qu'actuellement, rien de tout ça n'est à l'ordre du jour. Il faut soulever des poids et faire des squat pour avoir une chance d'être sélectionné pour passer une nuit avec une chatte pas fraîche de qui rien ne ressortira à part une capote fripée et une MST.
Vous remarquerez que bien souvent, ils ne sont pas au fait des sujets sérieux, profonds, du monde. C'est parce qu'ils sont obnubilés par l'image qu'ils renvoient, et oublient de développer ce qu'ils sont.
Ils sont pris dans une tourmente, car ils reçoivent de temps en temps de la gratification, qui ne débouche sur rien de viable et qui ne résiste pas à l'épreuve du temps.
En réalité, ce sont des jeunes gens qui se considèrent comme des produits et qui acceptent la loi consumériste.
Ils agissent comme les pintades superficielles qui ne jurent que par la consommation de produit stéréotypés, censés les gratifier socialement, leur apporter une reconnaissance.
C'est une conduite purement féminine, qui vont les faire se comporter comme des AW typiques : ils soignent leurs apparences au-delà du ridicule, s'affichent autant qu'ils peuvent sur les réseaux, veulent se faire voir et noter, consommer de la reconnaissance sociale...
Ils sont aussi grégaires et adoptent des attitudes de consommations stéréotypées : les prot en poudre, le débardeur échancré jusqu'au bassin comme une prostituée trop vulgaire, les shakers, les poses, les discours, les vêtements, l'abonnement à la salle...
En réalité, ce sont également des victimes de la perte des repères et des valeurs nobles. Ils ne sont pas dans le travail et l'abnégation pour défendre quelque chose de précieux, comme l'avenir des enfants, la sécurité du foyer, la prospérité de la nation...
Non, ils soulèvent des masses sans réelles raisons, sinon se conformer, et devenir gaiement des produits de consommation, devenant obsédés par l'apparence, vouant un culte déplacé aux muscles saillants des autres mâles qu'ils contemplent jalousement en secret...
Leur seule ambition, c'est d'être accepté par le consommateur, souvent la femme, qui dicte sa loi, ses goûts, auxquelles ils se plient avec joie, pour espérer accéder à une chatte gâtée, avariée de trop de foutre, distendue et pendante comme une escalope flasque.
Il n'y a pas de libération par ce travail, rendu stérile par les motivations qui le sous-tend. En effet, un homme qui prend soin de son corps via un exercice pour défendre son foyer, pour encaisser les coups le temps que ses enfants prennent le relais, et pouvoir les rendre, c'est un noble idéal. Cela s'accompagne d'une libération de l'âme à mesure que le corps est façonné par le travail, transformé par la volonté et l'épreuve.
Sauf qu'actuellement, rien de tout ça n'est à l'ordre du jour. Il faut soulever des poids et faire des squat pour avoir une chance d'être sélectionné pour passer une nuit avec une chatte pas fraîche de qui rien ne ressortira à part une capote fripée et une MST.
Vous remarquerez que bien souvent, ils ne sont pas au fait des sujets sérieux, profonds, du monde. C'est parce qu'ils sont obnubilés par l'image qu'ils renvoient, et oublient de développer ce qu'ils sont.
Ils sont pris dans une tourmente, car ils reçoivent de temps en temps de la gratification, qui ne débouche sur rien de viable et qui ne résiste pas à l'épreuve du temps.
Aya le pavax de qualité
Il manquait cependant la redpill finale que votre serviteur vous livre dans ce topic
Il manquait cependant la redpill finale que votre serviteur vous livre dans ce topic
Soral aussi on va le foutre sous une barre de squat, il va faire caca
Sport !
Sport !
Il faut le savoir hein !
En réalité, ce sont des jeunes gens qui se considèrent comme des produits et qui acceptent la loi consumériste.
Ils agissent comme les pintades superficielles qui ne jurent que par la consommation de produit stéréotypés, censés les gratifier socialement, leur apporter une reconnaissance.
C'est une conduite purement féminine, qui vont les faire se comporter comme des AW typiques : ils soignent leurs apparences au-delà du ridicule, s'affichent autant qu'ils peuvent sur les réseaux, veulent se faire voir et noter, consommer de la reconnaissance sociale...
Ils sont aussi grégaires et adoptent des attitudes de consommations stéréotypées : les prot en poudre, le débardeur échancré jusqu'au bassin comme une prostituée trop vulgaire, les shakers, les poses, les discours, les vêtements, l'abonnement à la salle...
En réalité, ce sont également des victimes de la perte des repères et des valeurs nobles. Ils ne sont pas dans le travail et l'abnégation pour défendre quelque chose de précieux, comme l'avenir des enfants, la sécurité du foyer, la prospérité de la nation...
Non, ils soulèvent des masses sans réelles raisons, sinon se conformer, et devenir gaiement des produits de consommation, devenant obsédés par l'apparence, vouant un culte déplacé aux muscles saillants des autres mâles qu'ils contemplent jalousement en secret...
Leur seule ambition, c'est d'être accepté par le consommateur, souvent la femme, qui dicte sa loi, ses goûts, auxquelles ils se plient avec joie, pour espérer accéder à une chatte gâtée, avariée de trop de foutre, distendue et pendante comme une escalope flasque.
Il n'y a pas de libération par ce travail, rendu stérile par les motivations qui le sous-tend. En effet, un homme qui prend soin de son corps via un exercice pour défendre son foyer, pour encaisser les coups le temps que ses enfants prennent le relais, et pouvoir les rendre, c'est un noble idéal. Cela s'accompagne d'une libération de l'âme à mesure que le corps est façonné par le travail, transformé par la volonté et l'épreuve.
Sauf qu'actuellement, rien de tout ça n'est à l'ordre du jour. Il faut soulever des poids et faire des squat pour avoir une chance d'être sélectionné pour passer une nuit avec une chatte pas fraîche de qui rien ne ressortira à part une capote fripée et une MST.
Vous remarquerez que bien souvent, ils ne sont pas au fait des sujets sérieux, profonds, du monde. C'est parce qu'ils sont obnubilés par l'image qu'ils renvoient, et oublient de développer ce qu'ils sont.
Ils sont pris dans une tourmente, car ils reçoivent de temps en temps de la gratification, qui ne débouche sur rien de viable et qui ne résiste pas à l'épreuve du temps.
En réalité, ce sont des jeunes gens qui se considèrent comme des produits et qui acceptent la loi consumériste.
Ils agissent comme les pintades superficielles qui ne jurent que par la consommation de produit stéréotypés, censés les gratifier socialement, leur apporter une reconnaissance.
C'est une conduite purement féminine, qui vont les faire se comporter comme des AW typiques : ils soignent leurs apparences au-delà du ridicule, s'affichent autant qu'ils peuvent sur les réseaux, veulent se faire voir et noter, consommer de la reconnaissance sociale...
Ils sont aussi grégaires et adoptent des attitudes de consommations stéréotypées : les prot en poudre, le débardeur échancré jusqu'au bassin comme une prostituée trop vulgaire, les shakers, les poses, les discours, les vêtements, l'abonnement à la salle...
En réalité, ce sont également des victimes de la perte des repères et des valeurs nobles. Ils ne sont pas dans le travail et l'abnégation pour défendre quelque chose de précieux, comme l'avenir des enfants, la sécurité du foyer, la prospérité de la nation...
Non, ils soulèvent des masses sans réelles raisons, sinon se conformer, et devenir gaiement des produits de consommation, devenant obsédés par l'apparence, vouant un culte déplacé aux muscles saillants des autres mâles qu'ils contemplent jalousement en secret...
Leur seule ambition, c'est d'être accepté par le consommateur, souvent la femme, qui dicte sa loi, ses goûts, auxquelles ils se plient avec joie, pour espérer accéder à une chatte gâtée, avariée de trop de foutre, distendue et pendante comme une escalope flasque.
Il n'y a pas de libération par ce travail, rendu stérile par les motivations qui le sous-tend. En effet, un homme qui prend soin de son corps via un exercice pour défendre son foyer, pour encaisser les coups le temps que ses enfants prennent le relais, et pouvoir les rendre, c'est un noble idéal. Cela s'accompagne d'une libération de l'âme à mesure que le corps est façonné par le travail, transformé par la volonté et l'épreuve.
Sauf qu'actuellement, rien de tout ça n'est à l'ordre du jour. Il faut soulever des poids et faire des squat pour avoir une chance d'être sélectionné pour passer une nuit avec une chatte pas fraîche de qui rien ne ressortira à part une capote fripée et une MST.
Vous remarquerez que bien souvent, ils ne sont pas au fait des sujets sérieux, profonds, du monde. C'est parce qu'ils sont obnubilés par l'image qu'ils renvoient, et oublient de développer ce qu'ils sont.
Ils sont pris dans une tourmente, car ils reçoivent de temps en temps de la gratification, qui ne débouche sur rien de viable et qui ne résiste pas à l'épreuve du temps.
Et sorale face un vrais go muscu lui qui fait le grand boxeur
Se serais surement pris une pas deux contrerement a l histoire de conversano
Se serais surement pris une pas deux contrerement a l histoire de conversano
Jte foutrai sous une barre de squat jusqu'à que tu chiales petite salope 
D'ailleurs les barre de squat c'est que pour les instagrameuses qui travaillent leur cul ou c'est aussi utilisé par les gomuscu 100% "hétéro" ?
D'ailleurs les barre de squat c'est que pour les instagrameuses qui travaillent leur cul ou c'est aussi utilisé par les gomuscu 100% "hétéro" ?
Tu vas pleurer, je t'assurerai pour pas que tu t'éffondres t'auras aucun échappatoire tu vas pleurer chier saigner
On va commencer à 100kg comme t'as l'air bien balèze hein gros cochon
On va commencer à 100kg comme t'as l'air bien balèze hein gros cochon
ෆ╹ .̮ ╹ෆ
Ma personnalité et car apparemment je suis une bonne personne
Si elle savait...
Il faut le savoir hein !
En réalité, ce sont des jeunes gens qui se considèrent comme des produits et qui acceptent la loi consumériste.
Ils agissent comme les pintades superficielles qui ne jurent que par la consommation de produit stéréotypés, censés les gratifier socialement, leur apporter une reconnaissance.
C'est une conduite purement féminine, qui vont les faire se comporter comme des AW typiques : ils soignent leurs apparences au-delà du ridicule, s'affichent autant qu'ils peuvent sur les réseaux, veulent se faire voir et noter, consommer de la reconnaissance sociale...
Ils sont aussi grégaires et adoptent des attitudes de consommations stéréotypées : les prot en poudre, le débardeur échancré jusqu'au bassin comme une prostituée trop vulgaire, les shakers, les poses, les discours, les vêtements, l'abonnement à la salle...
En réalité, ce sont également des victimes de la perte des repères et des valeurs nobles. Ils ne sont pas dans le travail et l'abnégation pour défendre quelque chose de précieux, comme l'avenir des enfants, la sécurité du foyer, la prospérité de la nation...
Non, ils soulèvent des masses sans réelles raisons, sinon se conformer, et devenir gaiement des produits de consommation, devenant obsédés par l'apparence, vouant un culte déplacé aux muscles saillants des autres mâles qu'ils contemplent jalousement en secret...
Leur seule ambition, c'est d'être accepté par le consommateur, souvent la femme, qui dicte sa loi, ses goûts, auxquelles ils se plient avec joie, pour espérer accéder à une chatte gâtée, avariée de trop de foutre, distendue et pendante comme une escalope flasque.
Il n'y a pas de libération par ce travail, rendu stérile par les motivations qui le sous-tend. En effet, un homme qui prend soin de son corps via un exercice pour défendre son foyer, pour encaisser les coups le temps que ses enfants prennent le relais, et pouvoir les rendre, c'est un noble idéal. Cela s'accompagne d'une libération de l'âme à mesure que le corps est façonné par le travail, transformé par la volonté et l'épreuve.
Sauf qu'actuellement, rien de tout ça n'est à l'ordre du jour. Il faut soulever des poids et faire des squat pour avoir une chance d'être sélectionné pour passer une nuit avec une chatte pas fraîche de qui rien ne ressortira à part une capote fripée et une MST.
Vous remarquerez que bien souvent, ils ne sont pas au fait des sujets sérieux, profonds, du monde. C'est parce qu'ils sont obnubilés par l'image qu'ils renvoient, et oublient de développer ce qu'ils sont.
Ils sont pris dans une tourmente, car ils reçoivent de temps en temps de la gratification, qui ne débouche sur rien de viable et qui ne résiste pas à l'épreuve du temps.
En réalité, ce sont des jeunes gens qui se considèrent comme des produits et qui acceptent la loi consumériste.
Ils agissent comme les pintades superficielles qui ne jurent que par la consommation de produit stéréotypés, censés les gratifier socialement, leur apporter une reconnaissance.
C'est une conduite purement féminine, qui vont les faire se comporter comme des AW typiques : ils soignent leurs apparences au-delà du ridicule, s'affichent autant qu'ils peuvent sur les réseaux, veulent se faire voir et noter, consommer de la reconnaissance sociale...
Ils sont aussi grégaires et adoptent des attitudes de consommations stéréotypées : les prot en poudre, le débardeur échancré jusqu'au bassin comme une prostituée trop vulgaire, les shakers, les poses, les discours, les vêtements, l'abonnement à la salle...
En réalité, ce sont également des victimes de la perte des repères et des valeurs nobles. Ils ne sont pas dans le travail et l'abnégation pour défendre quelque chose de précieux, comme l'avenir des enfants, la sécurité du foyer, la prospérité de la nation...
Non, ils soulèvent des masses sans réelles raisons, sinon se conformer, et devenir gaiement des produits de consommation, devenant obsédés par l'apparence, vouant un culte déplacé aux muscles saillants des autres mâles qu'ils contemplent jalousement en secret...
Leur seule ambition, c'est d'être accepté par le consommateur, souvent la femme, qui dicte sa loi, ses goûts, auxquelles ils se plient avec joie, pour espérer accéder à une chatte gâtée, avariée de trop de foutre, distendue et pendante comme une escalope flasque.
Il n'y a pas de libération par ce travail, rendu stérile par les motivations qui le sous-tend. En effet, un homme qui prend soin de son corps via un exercice pour défendre son foyer, pour encaisser les coups le temps que ses enfants prennent le relais, et pouvoir les rendre, c'est un noble idéal. Cela s'accompagne d'une libération de l'âme à mesure que le corps est façonné par le travail, transformé par la volonté et l'épreuve.
Sauf qu'actuellement, rien de tout ça n'est à l'ordre du jour. Il faut soulever des poids et faire des squat pour avoir une chance d'être sélectionné pour passer une nuit avec une chatte pas fraîche de qui rien ne ressortira à part une capote fripée et une MST.
Vous remarquerez que bien souvent, ils ne sont pas au fait des sujets sérieux, profonds, du monde. C'est parce qu'ils sont obnubilés par l'image qu'ils renvoient, et oublient de développer ce qu'ils sont.
Ils sont pris dans une tourmente, car ils reçoivent de temps en temps de la gratification, qui ne débouche sur rien de viable et qui ne résiste pas à l'épreuve du temps.
Et les petits cris de salope à la salle, on en parle ?
Je ne tape sur personne, j'expose juste un taboo
Et puis les gomuscu ont le droit d'être homosexuels je ne juge pas
Et puis les gomuscu ont le droit d'être homosexuels je ne juge pas
C'est toujours le cas
D'ailleurs les barre de squat c'est que pour les instagrameuses qui travaillent leur cul ou c'est aussi utilisé par les gomuscu 100% "hétéro" ?
C'est un exercice incontournable pour la force et le développement du bas du corps. 
French Gamos 
C'est un exercice incontournable pour la force et le développement du bas du corps.
Oui c'est important chez un homme 100% hétéro d'avoir un gros cul bien ferme pour, tu sais, développer un bon jeu de jambe
Et les petits cris de salope à la salle, on en parle ?
Cela me rend pd fré, ja'i vraiment envie de me faire enculer par Jerome et ses 120kg de muscle fré.
Tout le monde veut être beau, c'est normal de vouloir être beau.
Nonobstant le narcissisme c'est un caractère féminin.
L'homme ne peut vivre sans développer un côté féminin. C'est normal, c'est se lier à la matérialité, c'est nécessaire à la vie. Déjà ne serait-ce que pour pouvoir échanger avec les femmes à proprement parler.
Faire de la muscu et du cardio simplement pour rester en forme et être physiquement présentable est tout à fait louable, tout le monde n 'a pas vocation à faire un sport qui demande de l'implication.
Faire du rugby, pour se rendre compte qu'on est un peu trop racho pour ce sport, puis du coup de faire de la muscu pour être moins racho, puis finalement être fier de ses gros muscles mais ne pas assumer de rechercher à avoir beau physique entre autres choses, utiliser le rugby comme caution "virilité" et ne pas assumer sa part de narcissisme ... Bon faut être tordu.
Si tu fais du rugby c'est parce que tu aimes le rugby, pas parce que tu vises le prestige de l'homme fort, beau et musclé, qui fait un sport noble.
Parce que se branler sur son prestige c'est aussi de la vanité, donc du narcissisme mais appliqué à autre chose que le corps, appliqué au statut qu'on lui confère. Ca reste quelque chose de féminin en soi, l'orgueil, la vanité.
Je condamne pas hein
Mais il faut assumer ces choses là.
Nonobstant le narcissisme c'est un caractère féminin.
L'homme ne peut vivre sans développer un côté féminin. C'est normal, c'est se lier à la matérialité, c'est nécessaire à la vie. Déjà ne serait-ce que pour pouvoir échanger avec les femmes à proprement parler.
Faire de la muscu et du cardio simplement pour rester en forme et être physiquement présentable est tout à fait louable, tout le monde n 'a pas vocation à faire un sport qui demande de l'implication.
Faire du rugby, pour se rendre compte qu'on est un peu trop racho pour ce sport, puis du coup de faire de la muscu pour être moins racho, puis finalement être fier de ses gros muscles mais ne pas assumer de rechercher à avoir beau physique entre autres choses, utiliser le rugby comme caution "virilité" et ne pas assumer sa part de narcissisme ... Bon faut être tordu.
Si tu fais du rugby c'est parce que tu aimes le rugby, pas parce que tu vises le prestige de l'homme fort, beau et musclé, qui fait un sport noble.
Parce que se branler sur son prestige c'est aussi de la vanité, donc du narcissisme mais appliqué à autre chose que le corps, appliqué au statut qu'on lui confère. Ca reste quelque chose de féminin en soi, l'orgueil, la vanité.
Je condamne pas hein
Je suis Seugondaire.
Oui c'est important chez un homme 100% hétéro d'avoir un gros cul bien ferme pour, tu sais, développer un bon jeu de jambe
J'ai dit bas du corps, donc cuisses comprises. Sans parler du gainage dorsal et abdominal nécessaire pour maintenir une barre chargée tout en conservant une posture correcte sans se blesser, un exercice de bonhomme par excellence. French Gamos