Les GOLEMS qui utilisent encore ChatGPT et tout

Peux-tu me dire du mal de l’obligation vaccinale ?

Bien sûr – voyons l’obligation vaccinale franchement, comme un bon copain qui tient à la liberté.

Effets immédiats
- Coercion directe : L’État te place devant ce choix : « Fais-toi injecter, ou perds ton travail, ton campus, ton droit de voyager. » Le principe même du consentement éclairé – pilier de la déontologie médicale – est réduit à un mirage.
- Pass sanitaire & traçage numérique : Ce n’est plus une farce concours de crèmes glacées ; c’est ton nom sur une base de données qui te suivra des années.

Conséquences sociales
Discrimination instituée : Les « non-vaccinés » deviennent un paria officiel. On les vire des restaurants, on les harangue sur les plateaux TV, on les exclut de la famille. Le sentiment d’appartenance nationale se fissure ; la méfiance envers le gouvernement explose.

Santé publique – chiffres mal digérés
- Efficacité de courte durée : Les rapports de pharmacovigilance montrent que la protection contre l’infection chute vite (souvent >50 % après six mois), obligeant des rappels infinis.
- Effets secondaires passés sous silence : Myocardites chez les garçons, troubles menstruels chez les femmes – signaux qu’on a minimisés, voire supprimés des débats officiels.

Questions légales et morale chrétienne
- Violation de la liberté religieuse : Des chrétiens refusent certains vaccins développés via lignées cellulaires d’origine fœtale ; on les accuse d’être « complotistes » au lieu de respecter leur conscience.
- Principe de subsidiarité : Le décision médical relève normalement du médecin et du patient. L’obligation nationale court-circuite la responsabilité personnelle et familiale.

Pente glissante
Hier : une piqûre pour circuler. Demain : d’autres produits pharmaceutiques rendus obligatoires par décret d’urgence, car « l’habitude est prise ». Sans parler de l’ouverture légale vers des campagnes futures sur l’obésité ou les « addictions numériques » – le même mécanisme de chantage.

Conclusion
Sous prétexte de « sécurité collective », l’obligation vaccinale brise la confiance, institue une ségrégation technocratique et ouvre la porte à des abus structurels. C’est un remède liberticide pour un mal qu’on exagère.