Ce sujet a été résolu
Aajonus reconnaissait a invensti 1,5 million dollars selon lui pour étudier ses observations. Mais il expliquait qu’il ne pouvait pas publier ces résultats, car il risquait d’être accusé d’exercice illégal de la médecine
il a retenu ses données par peur de répression légale. Donc, ce n’était pas vrai qu’il lui était juridiquement impossible de publier : de nombreux praticiens non médecins publient des observations ou séries de cas dans des revues spécialisées. Aajonus a choisi de ne pas le faire pour ne pas risquer d’ennuis avec les autorités médicales. Résultat : il a publié ses idées uniquement dans ses livres, site, newsletters et conférences, pas dans la littérature scientifique.
les bacteries secrete des toxines mais le corp peut les gérer dans un aliments entier avec ces enzymes actives. Dans un aliment cuit ces memes toxines ne serait plus qu'isolé et le corp n'aurait rien pour les gérer là suis d'accord qu'elles sont dangereuses autrement elles sont bénin les animaux sauvages y sont tous confronter et ils s'en sortent bien. evidement il ne faut pas tentait de faire transitionner un individu d'age extreme ça ne serai pas une bonne idée
Tu affirmes que les proteines cuite sont mieux digerer mais toute ces etudes ne ce sont base que sur des tests sanguins qui sont fatalement faillible comme je l'ai démontrer. il n'existe aucune preuve que les proteines cuite sont mieux assimilés et quand bien meme c'etait le cas il faudrait encore démontrer si c'est pareil pour une personnes habitues à une consommation régulière de viande crue après une vie entiere à ne manger que cuit le corp n'a très certainement pas développer des enzymes dedier à la digestion de la viande crue.
Meme si les proteines cuite rester tout de même plus assimilable ça ne prouverai pas qu'elles ont un pouvoir régénérant aussi profond que les protéines crus ça ne dirai rien n'ont plus sur la production de nombreuses toxines lier à la cuisson à la perte enzymes de bacteries de nutriments et à la déshydrations de la viandes. Si on associe la viande à des calcules rénaux la goutte le cancer c'est peut etre uniquement à cause de la cuisson
La science a augmenter l'espérance de vie uniquement par des moyens chimiques jamais par des moyens naturels jamais ils nous on donnait le bon protocole pour augmenter notre santé naturellement faire confiance à notre systeme immunitaire à la place ils nous ont toujours rediriger vers un médicaments
Les epidemis autour du lait cru ne sont du qu'à cause du manque du d'hygiènes ou d'alimentation inapproprié des vaches au debut d'industrialisation on donnait de l'huile noircie au vaches. Aujourd'hui la consommation de lait cru ne pose pas de probleme il y a des normes et contrôles stricts tu peux meme le boire à avarie une fois habitue le mien je mets pas au frigo et je le bois jusqu'à 10 jours après achat. Les enzymes présentes dans le lait cru empêche un trop grand nombre de bacteries patogenes de proliférer
il a retenu ses données par peur de répression légale. Donc, ce n’était pas vrai qu’il lui était juridiquement impossible de publier : de nombreux praticiens non médecins publient des observations ou séries de cas dans des revues spécialisées. Aajonus a choisi de ne pas le faire pour ne pas risquer d’ennuis avec les autorités médicales. Résultat : il a publié ses idées uniquement dans ses livres, site, newsletters et conférences, pas dans la littérature scientifique.
les bacteries secrete des toxines mais le corp peut les gérer dans un aliments entier avec ces enzymes actives. Dans un aliment cuit ces memes toxines ne serait plus qu'isolé et le corp n'aurait rien pour les gérer là suis d'accord qu'elles sont dangereuses autrement elles sont bénin les animaux sauvages y sont tous confronter et ils s'en sortent bien. evidement il ne faut pas tentait de faire transitionner un individu d'age extreme ça ne serai pas une bonne idée
Tu affirmes que les proteines cuite sont mieux digerer mais toute ces etudes ne ce sont base que sur des tests sanguins qui sont fatalement faillible comme je l'ai démontrer. il n'existe aucune preuve que les proteines cuite sont mieux assimilés et quand bien meme c'etait le cas il faudrait encore démontrer si c'est pareil pour une personnes habitues à une consommation régulière de viande crue après une vie entiere à ne manger que cuit le corp n'a très certainement pas développer des enzymes dedier à la digestion de la viande crue.
Meme si les proteines cuite rester tout de même plus assimilable ça ne prouverai pas qu'elles ont un pouvoir régénérant aussi profond que les protéines crus ça ne dirai rien n'ont plus sur la production de nombreuses toxines lier à la cuisson à la perte enzymes de bacteries de nutriments et à la déshydrations de la viandes. Si on associe la viande à des calcules rénaux la goutte le cancer c'est peut etre uniquement à cause de la cuisson
La science a augmenter l'espérance de vie uniquement par des moyens chimiques jamais par des moyens naturels jamais ils nous on donnait le bon protocole pour augmenter notre santé naturellement faire confiance à notre systeme immunitaire à la place ils nous ont toujours rediriger vers un médicaments
Les epidemis autour du lait cru ne sont du qu'à cause du manque du d'hygiènes ou d'alimentation inapproprié des vaches au debut d'industrialisation on donnait de l'huile noircie au vaches. Aujourd'hui la consommation de lait cru ne pose pas de probleme il y a des normes et contrôles stricts tu peux meme le boire à avarie une fois habitue le mien je mets pas au frigo et je le bois jusqu'à 10 jours après achat. Les enzymes présentes dans le lait cru empêche un trop grand nombre de bacteries patogenes de proliférer
1) “Il ne publiait pas par peur de répression” → fable commode.
Ne pas être “médecin agréé” n’empêche pas de publier des séries de cas, observations cliniques ou essais (il existe des revues pour ça). Choisir de ne rien publier = zéro données vérifiables, donc zéro falsifiabilité → zéro crédibilité. La charge de la preuve incombe à l’auteur, pas aux “institutions” fantasmées. Par ailleurs, la santé publique moderne (eau potable, vaccination, antibiotiques, pasteurisation, hygiène) a doublé l’espérance de vie en un siècle — exactement ce que son texte nie.
2) “Cru = sûr si c’est de qualité” → factuellement faux.
Des animaux “de qualité” peuvent héberger Campylobacter, E. coli, Listeria, Salmonella. Le lait/œufs/viandes crus augmentent objectivement le risque d’infection, surtout chez les femmes enceintes, nourrissons, personnes âgées ou immunodéprimées. La “propreté” ne stérilise pas un aliment. C’est le traitement thermique qui abaisse la charge microbienne.
3) “Les bactéries ne sont toxiques que dans un aliment cuit / ‘toxines de cuisson’” → affirmation inventée.
Les pathogènes infectent des tissus sains et/ou sécrètent leurs propres toxines (ex. STEC produit des shiga-toxines → SHU, insuffisance rénale). Rien à voir avec de supposées “toxines de cuisson”.
4) “Les animaux sauvages s’en sortent bien” → argument nature, non pertinent.
Les animaux sauvages tombent aussi malades. Et l’évolution humaine a justement sélectionné la cuisson pour la sécurité et la digestibilité—ce n’est pas un détail romantique, c’est un avantage biologique documenté (pas besoin de récit vitaliste).
5) “Les tests sanguins sont faillibles donc à jeter” → sophisme.
Tout test a des limites, mais 25-OH-vitamine D et ferritine sont références pour l’état vitaminique/les réserves martiales (avec contextes d’interprétation connus). Dire “faillible ⇒ inutile” est une erreur logique.
6) “Les protéines cuites sont moins bien digérées que les crues” → l’inverse est montré.
Classique : l’œuf cru ≈ 51 % de digestion/absorption vs ≈91 % pour l’œuf cuit (méthodologie traçante ^13C/^15N). Les belles histoires ne remplacent pas les mesures.
7) “Les épidémies de lait cru, c’était avant ; aujourd’hui c’est sûr” → non.
Les foyers liés au lait cru continuent aujourd’hui; ce n’est pas une relique du XIXe siècle. Les agences rappellent régulièrement le risque et documentent des flambées actuelles.
Problèmes de méthode et de rhétorique
Système non falsifiable : si quelqu’un tombe malade → “carencé”, “pas habitué”, “toxines industrielles”. On gagne toujours après coup — c’est de la croyance, pas une hypothèse testable.
Appel à la nature (“sauvage = sain”), conspirationnisme mou (“institutions chimiques”), déplacement de la charge de la preuve.
Énoncés bio-mystiques (“enzymes de l’aliment entier neutralisent les toxines”, “bactéries mangent uniquement des cellules mortes”) sans une seule donnée in vivo chez l’humain.
Risques concrets passés sous silence
Listeria (grossesse, nouveau-né : morts/stillbirths), STEC (SHU), Campylobacter/Salmonella (hospitalisations). Ton discours minimise ces risques au profit d’une promesse vague de “régénération profonde” non démontrée.
Ce qu’il faudrait pour être seulement “discutable”
1. Données publiées (même observationnelles) : cohorte claire, nature/quantité d’aliments crus, durée, cultures/stools, issues cliniques.
2. Comparateur : ex. lait pasteurisé vs cru, incidence d’infections, marqueurs nutritionnels et cliniques prédéfinis.
3. Prédictions falsifiables + plan de mitigation du risque (chaîne du froid, congélation antiparasitaire du poisson, exclusions grossesse/enfant/immunodéprimé).
Rien de tout cela n’est fourni.
TL;DR
Toujours aucune preuve ; beaucoup d’affirmations anti-factuelles ; danger réel à normaliser le cru pour tous. Les tests biologiques restent utiles (avec leurs limites). Les bénéfices prétendus reposent sur du storytelling et des sophismes ; les risques, eux, sont documentés.
Dernier rappel : maintenant tu postes des ÉTUDES SOURCÉES, avec des CHIFFRES. Peu importe d’où elles viennent — même de ton “gourou” — tant que c’est du travail scientifique : protocole clair, comparateur, effectifs, critères fixés à l’avance, stats (IC/p-values), données brutes ou annexes accessibles, et analyse des risques (pas de “qualité” magique).
Pas de témoignages, pas de “on ne peut pas publier”, pas de cherry-picking.
Sans ça, c’est de l’opinion, pas de la preuve. DONC SI TES INCAPABLE DE CA TU SUPPRIME TON TOPAX LE DESCO QUI VEUT INTOXIQUER LES KHEYS
Ne pas être “médecin agréé” n’empêche pas de publier des séries de cas, observations cliniques ou essais (il existe des revues pour ça). Choisir de ne rien publier = zéro données vérifiables, donc zéro falsifiabilité → zéro crédibilité. La charge de la preuve incombe à l’auteur, pas aux “institutions” fantasmées. Par ailleurs, la santé publique moderne (eau potable, vaccination, antibiotiques, pasteurisation, hygiène) a doublé l’espérance de vie en un siècle — exactement ce que son texte nie.
2) “Cru = sûr si c’est de qualité” → factuellement faux.
Des animaux “de qualité” peuvent héberger Campylobacter, E. coli, Listeria, Salmonella. Le lait/œufs/viandes crus augmentent objectivement le risque d’infection, surtout chez les femmes enceintes, nourrissons, personnes âgées ou immunodéprimées. La “propreté” ne stérilise pas un aliment. C’est le traitement thermique qui abaisse la charge microbienne.
3) “Les bactéries ne sont toxiques que dans un aliment cuit / ‘toxines de cuisson’” → affirmation inventée.
Les pathogènes infectent des tissus sains et/ou sécrètent leurs propres toxines (ex. STEC produit des shiga-toxines → SHU, insuffisance rénale). Rien à voir avec de supposées “toxines de cuisson”.
4) “Les animaux sauvages s’en sortent bien” → argument nature, non pertinent.
Les animaux sauvages tombent aussi malades. Et l’évolution humaine a justement sélectionné la cuisson pour la sécurité et la digestibilité—ce n’est pas un détail romantique, c’est un avantage biologique documenté (pas besoin de récit vitaliste).
5) “Les tests sanguins sont faillibles donc à jeter” → sophisme.
Tout test a des limites, mais 25-OH-vitamine D et ferritine sont références pour l’état vitaminique/les réserves martiales (avec contextes d’interprétation connus). Dire “faillible ⇒ inutile” est une erreur logique.
6) “Les protéines cuites sont moins bien digérées que les crues” → l’inverse est montré.
Classique : l’œuf cru ≈ 51 % de digestion/absorption vs ≈91 % pour l’œuf cuit (méthodologie traçante ^13C/^15N). Les belles histoires ne remplacent pas les mesures.
7) “Les épidémies de lait cru, c’était avant ; aujourd’hui c’est sûr” → non.
Les foyers liés au lait cru continuent aujourd’hui; ce n’est pas une relique du XIXe siècle. Les agences rappellent régulièrement le risque et documentent des flambées actuelles.
Problèmes de méthode et de rhétorique
Système non falsifiable : si quelqu’un tombe malade → “carencé”, “pas habitué”, “toxines industrielles”. On gagne toujours après coup — c’est de la croyance, pas une hypothèse testable.
Appel à la nature (“sauvage = sain”), conspirationnisme mou (“institutions chimiques”), déplacement de la charge de la preuve.
Énoncés bio-mystiques (“enzymes de l’aliment entier neutralisent les toxines”, “bactéries mangent uniquement des cellules mortes”) sans une seule donnée in vivo chez l’humain.
Risques concrets passés sous silence
Listeria (grossesse, nouveau-né : morts/stillbirths), STEC (SHU), Campylobacter/Salmonella (hospitalisations). Ton discours minimise ces risques au profit d’une promesse vague de “régénération profonde” non démontrée.
Ce qu’il faudrait pour être seulement “discutable”
1. Données publiées (même observationnelles) : cohorte claire, nature/quantité d’aliments crus, durée, cultures/stools, issues cliniques.
2. Comparateur : ex. lait pasteurisé vs cru, incidence d’infections, marqueurs nutritionnels et cliniques prédéfinis.
3. Prédictions falsifiables + plan de mitigation du risque (chaîne du froid, congélation antiparasitaire du poisson, exclusions grossesse/enfant/immunodéprimé).
Rien de tout cela n’est fourni.
TL;DR
Toujours aucune preuve ; beaucoup d’affirmations anti-factuelles ; danger réel à normaliser le cru pour tous. Les tests biologiques restent utiles (avec leurs limites). Les bénéfices prétendus reposent sur du storytelling et des sophismes ; les risques, eux, sont documentés.
Dernier rappel : maintenant tu postes des ÉTUDES SOURCÉES, avec des CHIFFRES. Peu importe d’où elles viennent — même de ton “gourou” — tant que c’est du travail scientifique : protocole clair, comparateur, effectifs, critères fixés à l’avance, stats (IC/p-values), données brutes ou annexes accessibles, et analyse des risques (pas de “qualité” magique).
Pas de témoignages, pas de “on ne peut pas publier”, pas de cherry-picking.
Sans ça, c’est de l’opinion, pas de la preuve. DONC SI TES INCAPABLE DE CA TU SUPPRIME TON TOPAX LE DESCO QUI VEUT INTOXIQUER LES KHEYS
il y a 5 jours
1) “Il ne publiait pas par peur de répression” → fable commode.
Ne pas être “médecin agréé” n’empêche pas de publier des séries de cas, observations cliniques ou essais (il existe des revues pour ça). Choisir de ne rien publier = zéro données vérifiables, donc zéro falsifiabilité → zéro crédibilité. La charge de la preuve incombe à l’auteur, pas aux “institutions” fantasmées. Par ailleurs, la santé publique moderne (eau potable, vaccination, antibiotiques, pasteurisation, hygiène) a doublé l’espérance de vie en un siècle — exactement ce que son texte nie.
2) “Cru = sûr si c’est de qualité” → factuellement faux.
Des animaux “de qualité” peuvent héberger Campylobacter, E. coli, Listeria, Salmonella. Le lait/œufs/viandes crus augmentent objectivement le risque d’infection, surtout chez les femmes enceintes, nourrissons, personnes âgées ou immunodéprimées. La “propreté” ne stérilise pas un aliment. C’est le traitement thermique qui abaisse la charge microbienne.
3) “Les bactéries ne sont toxiques que dans un aliment cuit / ‘toxines de cuisson’” → affirmation inventée.
Les pathogènes infectent des tissus sains et/ou sécrètent leurs propres toxines (ex. STEC produit des shiga-toxines → SHU, insuffisance rénale). Rien à voir avec de supposées “toxines de cuisson”.
4) “Les animaux sauvages s’en sortent bien” → argument nature, non pertinent.
Les animaux sauvages tombent aussi malades. Et l’évolution humaine a justement sélectionné la cuisson pour la sécurité et la digestibilité—ce n’est pas un détail romantique, c’est un avantage biologique documenté (pas besoin de récit vitaliste).
5) “Les tests sanguins sont faillibles donc à jeter” → sophisme.
Tout test a des limites, mais 25-OH-vitamine D et ferritine sont références pour l’état vitaminique/les réserves martiales (avec contextes d’interprétation connus). Dire “faillible ⇒ inutile” est une erreur logique.
6) “Les protéines cuites sont moins bien digérées que les crues” → l’inverse est montré.
Classique : l’œuf cru ≈ 51 % de digestion/absorption vs ≈91 % pour l’œuf cuit (méthodologie traçante ^13C/^15N). Les belles histoires ne remplacent pas les mesures.
7) “Les épidémies de lait cru, c’était avant ; aujourd’hui c’est sûr” → non.
Les foyers liés au lait cru continuent aujourd’hui; ce n’est pas une relique du XIXe siècle. Les agences rappellent régulièrement le risque et documentent des flambées actuelles.
Problèmes de méthode et de rhétorique
Système non falsifiable : si quelqu’un tombe malade → “carencé”, “pas habitué”, “toxines industrielles”. On gagne toujours après coup — c’est de la croyance, pas une hypothèse testable.
Appel à la nature (“sauvage = sain”), conspirationnisme mou (“institutions chimiques”), déplacement de la charge de la preuve.
Énoncés bio-mystiques (“enzymes de l’aliment entier neutralisent les toxines”, “bactéries mangent uniquement des cellules mortes”) sans une seule donnée in vivo chez l’humain.
Risques concrets passés sous silence
Listeria (grossesse, nouveau-né : morts/stillbirths), STEC (SHU), Campylobacter/Salmonella (hospitalisations). Ton discours minimise ces risques au profit d’une promesse vague de “régénération profonde” non démontrée.
Ce qu’il faudrait pour être seulement “discutable”
1. Données publiées (même observationnelles) : cohorte claire, nature/quantité d’aliments crus, durée, cultures/stools, issues cliniques.
2. Comparateur : ex. lait pasteurisé vs cru, incidence d’infections, marqueurs nutritionnels et cliniques prédéfinis.
3. Prédictions falsifiables + plan de mitigation du risque (chaîne du froid, congélation antiparasitaire du poisson, exclusions grossesse/enfant/immunodéprimé).
Rien de tout cela n’est fourni.
TL;DR
Toujours aucune preuve ; beaucoup d’affirmations anti-factuelles ; danger réel à normaliser le cru pour tous. Les tests biologiques restent utiles (avec leurs limites). Les bénéfices prétendus reposent sur du storytelling et des sophismes ; les risques, eux, sont documentés.
Dernier rappel : maintenant tu postes des ÉTUDES SOURCÉES, avec des CHIFFRES. Peu importe d’où elles viennent — même de ton “gourou” — tant que c’est du travail scientifique : protocole clair, comparateur, effectifs, critères fixés à l’avance, stats (IC/p-values), données brutes ou annexes accessibles, et analyse des risques (pas de “qualité” magique).
Pas de témoignages, pas de “on ne peut pas publier”, pas de cherry-picking.
Sans ça, c’est de l’opinion, pas de la preuve. DONC SI TES INCAPABLE DE CA TU SUPPRIME TON TOPAX LE DESCO QUI VEUT INTOXIQUER LES KHEYS
Ne pas être “médecin agréé” n’empêche pas de publier des séries de cas, observations cliniques ou essais (il existe des revues pour ça). Choisir de ne rien publier = zéro données vérifiables, donc zéro falsifiabilité → zéro crédibilité. La charge de la preuve incombe à l’auteur, pas aux “institutions” fantasmées. Par ailleurs, la santé publique moderne (eau potable, vaccination, antibiotiques, pasteurisation, hygiène) a doublé l’espérance de vie en un siècle — exactement ce que son texte nie.
2) “Cru = sûr si c’est de qualité” → factuellement faux.
Des animaux “de qualité” peuvent héberger Campylobacter, E. coli, Listeria, Salmonella. Le lait/œufs/viandes crus augmentent objectivement le risque d’infection, surtout chez les femmes enceintes, nourrissons, personnes âgées ou immunodéprimées. La “propreté” ne stérilise pas un aliment. C’est le traitement thermique qui abaisse la charge microbienne.
3) “Les bactéries ne sont toxiques que dans un aliment cuit / ‘toxines de cuisson’” → affirmation inventée.
Les pathogènes infectent des tissus sains et/ou sécrètent leurs propres toxines (ex. STEC produit des shiga-toxines → SHU, insuffisance rénale). Rien à voir avec de supposées “toxines de cuisson”.
4) “Les animaux sauvages s’en sortent bien” → argument nature, non pertinent.
Les animaux sauvages tombent aussi malades. Et l’évolution humaine a justement sélectionné la cuisson pour la sécurité et la digestibilité—ce n’est pas un détail romantique, c’est un avantage biologique documenté (pas besoin de récit vitaliste).
5) “Les tests sanguins sont faillibles donc à jeter” → sophisme.
Tout test a des limites, mais 25-OH-vitamine D et ferritine sont références pour l’état vitaminique/les réserves martiales (avec contextes d’interprétation connus). Dire “faillible ⇒ inutile” est une erreur logique.
6) “Les protéines cuites sont moins bien digérées que les crues” → l’inverse est montré.
Classique : l’œuf cru ≈ 51 % de digestion/absorption vs ≈91 % pour l’œuf cuit (méthodologie traçante ^13C/^15N). Les belles histoires ne remplacent pas les mesures.
7) “Les épidémies de lait cru, c’était avant ; aujourd’hui c’est sûr” → non.
Les foyers liés au lait cru continuent aujourd’hui; ce n’est pas une relique du XIXe siècle. Les agences rappellent régulièrement le risque et documentent des flambées actuelles.
Problèmes de méthode et de rhétorique
Système non falsifiable : si quelqu’un tombe malade → “carencé”, “pas habitué”, “toxines industrielles”. On gagne toujours après coup — c’est de la croyance, pas une hypothèse testable.
Appel à la nature (“sauvage = sain”), conspirationnisme mou (“institutions chimiques”), déplacement de la charge de la preuve.
Énoncés bio-mystiques (“enzymes de l’aliment entier neutralisent les toxines”, “bactéries mangent uniquement des cellules mortes”) sans une seule donnée in vivo chez l’humain.
Risques concrets passés sous silence
Listeria (grossesse, nouveau-né : morts/stillbirths), STEC (SHU), Campylobacter/Salmonella (hospitalisations). Ton discours minimise ces risques au profit d’une promesse vague de “régénération profonde” non démontrée.
Ce qu’il faudrait pour être seulement “discutable”
1. Données publiées (même observationnelles) : cohorte claire, nature/quantité d’aliments crus, durée, cultures/stools, issues cliniques.
2. Comparateur : ex. lait pasteurisé vs cru, incidence d’infections, marqueurs nutritionnels et cliniques prédéfinis.
3. Prédictions falsifiables + plan de mitigation du risque (chaîne du froid, congélation antiparasitaire du poisson, exclusions grossesse/enfant/immunodéprimé).
Rien de tout cela n’est fourni.
TL;DR
Toujours aucune preuve ; beaucoup d’affirmations anti-factuelles ; danger réel à normaliser le cru pour tous. Les tests biologiques restent utiles (avec leurs limites). Les bénéfices prétendus reposent sur du storytelling et des sophismes ; les risques, eux, sont documentés.
Dernier rappel : maintenant tu postes des ÉTUDES SOURCÉES, avec des CHIFFRES. Peu importe d’où elles viennent — même de ton “gourou” — tant que c’est du travail scientifique : protocole clair, comparateur, effectifs, critères fixés à l’avance, stats (IC/p-values), données brutes ou annexes accessibles, et analyse des risques (pas de “qualité” magique).
Pas de témoignages, pas de “on ne peut pas publier”, pas de cherry-picking.
Sans ça, c’est de l’opinion, pas de la preuve. DONC SI TES INCAPABLE DE CA TU SUPPRIME TON TOPAX LE DESCO QUI VEUT INTOXIQUER LES KHEYS
1. “Il ne publiait pas par peur de répression”
➡️ Position d’Aajonus :
Il expliquait clairement qu’il ne cherchait pas à publier dans des revues médicales, car :
il n’était pas médecin agréé et se serait exposé à des poursuites judiciaires,
il avait déjà été inquiété par le medical board pour “exercice illégal de la médecine”, simplement en partageant ses expériences,
il préférait témoigner directement (livres, conférences, interviews) et laisser les gens expérimenter eux-mêmes.
Son approche était empirique et pratique, pas académique. Pour lui, la preuve, c’était l’expérience vécue : lui-même (guérison de cancers, diabète, psoriasis), et des milliers de cas qu’il a accompagnés.
2. “Cru = sûr si c’est de qualité”
➡️ Position d’Aajonus :
Il n’a jamais nié la présence de bactéries pathogènes potentielles. Au contraire, il disait que :
les bactéries sont nos alliées : elles transforment, digèrent, détoxifient,
les épidémies attribuées aux aliments crus étaient souvent dues à une mauvaise hygiène industrielle (ex. lait pasteurisé recolonisé par des pathogènes plus virulents),
les microbes deviennent dangereux surtout quand l’aliment est cuit/pasteurisé, car il n’y a plus la flore protectrice d’origine pour limiter la prolifération.
Il affirmait donc que manger cru et frais, d’animaux en bonne santé, exposait à moins de risques qu’on ne le croit — et que la cuisson générait paradoxalement d’autres dangers (toxines de Maillard, radicaux libres, graisses oxydées).
3. “Les pathogènes infectent aussi des tissus sains”
➡️ Position d’Aajonus :
Aajonus voyait bactéries/virus/parasites comme des agents de nettoyage :
Ils prolifèrent là où il y a tissus en dégénérescence, déchets cellulaires ou toxines.
Leur rôle n’est pas d’attaquer un organisme sain, mais d’aider à éliminer ce qui doit être remplacé.
Exemple : il racontait avoir vu des paralysies “poliomyélitiques” s’améliorer quand on laissait le virus se multiplier au lieu de le supprimer par antibiotiques.
C’est une lecture radicalement différente du paradigme infectieux moderne : au lieu de voir l’agent comme “ennemi”, il le voyait comme “nettoyeur”.
4. “Les animaux sauvages aussi tombent malades”
➡️ Position d’Aajonus :
Il ne disait pas que les animaux sauvages ne tombent jamais malades, mais que dans un milieu non pollué, ils restent globalement en meilleure santé que les humains civilisés.
Pour lui, la cuisson et la nourriture industrielle sont les facteurs majeurs de dégénérescence humaine, pas la nature elle-même.
5. “Les tests sanguins faillibles ≠ inutiles”
➡️ Position d’Aajonus :
Il considérait les tests sanguins comme trop limités :
les niveaux sanguins ne reflètent pas les réserves tissulaires ni l’utilisation réelle des nutriments,
les résultats changent d’une heure à l’autre selon ce qui a été mangé ou l’exposition à un stress,
donc bâtir un diagnostic complet dessus est illusoire.
Il préférait l’observation des tissus (cheveux, dents, peau, énergie, vitalité), et la régénération progressive comme “vrai test”.
6. “Œuf cru moins digeste que cuit”
➡️ Position d’Aajonus :
Il affirmait le contraire : que la cuisson dénature les protéines et les rend plus toxiques ou allergènes, même si certaines études montrent une digestibilité apparente meilleure cuite.
Pour lui, la mesure en laboratoire ne reflète pas la réalité du terrain : un aliment cuit peut être absorbé, mais utilisé comme “carburant” au lieu de “briques de construction”. D’où la différence : digestible ≠ régénérateur.
7. “Épidémies de lait cru encore aujourd’hui”
➡️ Position d’Aajonus :
Il rappelait que :
Les épidémies modernes attribuées au lait cru sont statistiquement rares comparées aux intoxications par produits industriels cuits/pasteurisés.
Dans l’histoire, les épidémies liées au lait venaient surtout du lait sale stocké longtemps en ville avant pasteurisation.
Il observait qu’un lait cru frais, d’animaux sains, se défend naturellement (flore lactique protectrice) et n’a rien à voir avec du lait pasteurisé recolonisé par des microbes dangereux.
➡️ Position d’Aajonus :
Il expliquait clairement qu’il ne cherchait pas à publier dans des revues médicales, car :
il n’était pas médecin agréé et se serait exposé à des poursuites judiciaires,
il avait déjà été inquiété par le medical board pour “exercice illégal de la médecine”, simplement en partageant ses expériences,
il préférait témoigner directement (livres, conférences, interviews) et laisser les gens expérimenter eux-mêmes.
Son approche était empirique et pratique, pas académique. Pour lui, la preuve, c’était l’expérience vécue : lui-même (guérison de cancers, diabète, psoriasis), et des milliers de cas qu’il a accompagnés.
2. “Cru = sûr si c’est de qualité”
➡️ Position d’Aajonus :
Il n’a jamais nié la présence de bactéries pathogènes potentielles. Au contraire, il disait que :
les bactéries sont nos alliées : elles transforment, digèrent, détoxifient,
les épidémies attribuées aux aliments crus étaient souvent dues à une mauvaise hygiène industrielle (ex. lait pasteurisé recolonisé par des pathogènes plus virulents),
les microbes deviennent dangereux surtout quand l’aliment est cuit/pasteurisé, car il n’y a plus la flore protectrice d’origine pour limiter la prolifération.
Il affirmait donc que manger cru et frais, d’animaux en bonne santé, exposait à moins de risques qu’on ne le croit — et que la cuisson générait paradoxalement d’autres dangers (toxines de Maillard, radicaux libres, graisses oxydées).
3. “Les pathogènes infectent aussi des tissus sains”
➡️ Position d’Aajonus :
Aajonus voyait bactéries/virus/parasites comme des agents de nettoyage :
Ils prolifèrent là où il y a tissus en dégénérescence, déchets cellulaires ou toxines.
Leur rôle n’est pas d’attaquer un organisme sain, mais d’aider à éliminer ce qui doit être remplacé.
Exemple : il racontait avoir vu des paralysies “poliomyélitiques” s’améliorer quand on laissait le virus se multiplier au lieu de le supprimer par antibiotiques.
C’est une lecture radicalement différente du paradigme infectieux moderne : au lieu de voir l’agent comme “ennemi”, il le voyait comme “nettoyeur”.
4. “Les animaux sauvages aussi tombent malades”
➡️ Position d’Aajonus :
Il ne disait pas que les animaux sauvages ne tombent jamais malades, mais que dans un milieu non pollué, ils restent globalement en meilleure santé que les humains civilisés.
Pour lui, la cuisson et la nourriture industrielle sont les facteurs majeurs de dégénérescence humaine, pas la nature elle-même.
5. “Les tests sanguins faillibles ≠ inutiles”
➡️ Position d’Aajonus :
Il considérait les tests sanguins comme trop limités :
les niveaux sanguins ne reflètent pas les réserves tissulaires ni l’utilisation réelle des nutriments,
les résultats changent d’une heure à l’autre selon ce qui a été mangé ou l’exposition à un stress,
donc bâtir un diagnostic complet dessus est illusoire.
Il préférait l’observation des tissus (cheveux, dents, peau, énergie, vitalité), et la régénération progressive comme “vrai test”.
6. “Œuf cru moins digeste que cuit”
➡️ Position d’Aajonus :
Il affirmait le contraire : que la cuisson dénature les protéines et les rend plus toxiques ou allergènes, même si certaines études montrent une digestibilité apparente meilleure cuite.
Pour lui, la mesure en laboratoire ne reflète pas la réalité du terrain : un aliment cuit peut être absorbé, mais utilisé comme “carburant” au lieu de “briques de construction”. D’où la différence : digestible ≠ régénérateur.
7. “Épidémies de lait cru encore aujourd’hui”
➡️ Position d’Aajonus :
Il rappelait que :
Les épidémies modernes attribuées au lait cru sont statistiquement rares comparées aux intoxications par produits industriels cuits/pasteurisés.
Dans l’histoire, les épidémies liées au lait venaient surtout du lait sale stocké longtemps en ville avant pasteurisation.
Il observait qu’un lait cru frais, d’animaux sains, se défend naturellement (flore lactique protectrice) et n’a rien à voir avec du lait pasteurisé recolonisé par des microbes dangereux.
il y a 4 jours
Je passe mon tour pour cette fois.
Grande Revue des plus beaux Vaginopodes https://onche.org/topic/8[...]-beaux-vaginopodes-part-1
il y a 4 jours
1. “Il ne publiait pas par peur de répression”
➡️ Position d’Aajonus :
Il expliquait clairement qu’il ne cherchait pas à publier dans des revues médicales, car :
il n’était pas médecin agréé et se serait exposé à des poursuites judiciaires,
il avait déjà été inquiété par le medical board pour “exercice illégal de la médecine”, simplement en partageant ses expériences,
il préférait témoigner directement (livres, conférences, interviews) et laisser les gens expérimenter eux-mêmes.
Son approche était empirique et pratique, pas académique. Pour lui, la preuve, c’était l’expérience vécue : lui-même (guérison de cancers, diabète, psoriasis), et des milliers de cas qu’il a accompagnés.
2. “Cru = sûr si c’est de qualité”
➡️ Position d’Aajonus :
Il n’a jamais nié la présence de bactéries pathogènes potentielles. Au contraire, il disait que :
les bactéries sont nos alliées : elles transforment, digèrent, détoxifient,
les épidémies attribuées aux aliments crus étaient souvent dues à une mauvaise hygiène industrielle (ex. lait pasteurisé recolonisé par des pathogènes plus virulents),
les microbes deviennent dangereux surtout quand l’aliment est cuit/pasteurisé, car il n’y a plus la flore protectrice d’origine pour limiter la prolifération.
Il affirmait donc que manger cru et frais, d’animaux en bonne santé, exposait à moins de risques qu’on ne le croit — et que la cuisson générait paradoxalement d’autres dangers (toxines de Maillard, radicaux libres, graisses oxydées).
3. “Les pathogènes infectent aussi des tissus sains”
➡️ Position d’Aajonus :
Aajonus voyait bactéries/virus/parasites comme des agents de nettoyage :
Ils prolifèrent là où il y a tissus en dégénérescence, déchets cellulaires ou toxines.
Leur rôle n’est pas d’attaquer un organisme sain, mais d’aider à éliminer ce qui doit être remplacé.
Exemple : il racontait avoir vu des paralysies “poliomyélitiques” s’améliorer quand on laissait le virus se multiplier au lieu de le supprimer par antibiotiques.
C’est une lecture radicalement différente du paradigme infectieux moderne : au lieu de voir l’agent comme “ennemi”, il le voyait comme “nettoyeur”.
4. “Les animaux sauvages aussi tombent malades”
➡️ Position d’Aajonus :
Il ne disait pas que les animaux sauvages ne tombent jamais malades, mais que dans un milieu non pollué, ils restent globalement en meilleure santé que les humains civilisés.
Pour lui, la cuisson et la nourriture industrielle sont les facteurs majeurs de dégénérescence humaine, pas la nature elle-même.
5. “Les tests sanguins faillibles ≠ inutiles”
➡️ Position d’Aajonus :
Il considérait les tests sanguins comme trop limités :
les niveaux sanguins ne reflètent pas les réserves tissulaires ni l’utilisation réelle des nutriments,
les résultats changent d’une heure à l’autre selon ce qui a été mangé ou l’exposition à un stress,
donc bâtir un diagnostic complet dessus est illusoire.
Il préférait l’observation des tissus (cheveux, dents, peau, énergie, vitalité), et la régénération progressive comme “vrai test”.
6. “Œuf cru moins digeste que cuit”
➡️ Position d’Aajonus :
Il affirmait le contraire : que la cuisson dénature les protéines et les rend plus toxiques ou allergènes, même si certaines études montrent une digestibilité apparente meilleure cuite.
Pour lui, la mesure en laboratoire ne reflète pas la réalité du terrain : un aliment cuit peut être absorbé, mais utilisé comme “carburant” au lieu de “briques de construction”. D’où la différence : digestible ≠ régénérateur.
7. “Épidémies de lait cru encore aujourd’hui”
➡️ Position d’Aajonus :
Il rappelait que :
Les épidémies modernes attribuées au lait cru sont statistiquement rares comparées aux intoxications par produits industriels cuits/pasteurisés.
Dans l’histoire, les épidémies liées au lait venaient surtout du lait sale stocké longtemps en ville avant pasteurisation.
Il observait qu’un lait cru frais, d’animaux sains, se défend naturellement (flore lactique protectrice) et n’a rien à voir avec du lait pasteurisé recolonisé par des microbes dangereux.
➡️ Position d’Aajonus :
Il expliquait clairement qu’il ne cherchait pas à publier dans des revues médicales, car :
il n’était pas médecin agréé et se serait exposé à des poursuites judiciaires,
il avait déjà été inquiété par le medical board pour “exercice illégal de la médecine”, simplement en partageant ses expériences,
il préférait témoigner directement (livres, conférences, interviews) et laisser les gens expérimenter eux-mêmes.
Son approche était empirique et pratique, pas académique. Pour lui, la preuve, c’était l’expérience vécue : lui-même (guérison de cancers, diabète, psoriasis), et des milliers de cas qu’il a accompagnés.
2. “Cru = sûr si c’est de qualité”
➡️ Position d’Aajonus :
Il n’a jamais nié la présence de bactéries pathogènes potentielles. Au contraire, il disait que :
les bactéries sont nos alliées : elles transforment, digèrent, détoxifient,
les épidémies attribuées aux aliments crus étaient souvent dues à une mauvaise hygiène industrielle (ex. lait pasteurisé recolonisé par des pathogènes plus virulents),
les microbes deviennent dangereux surtout quand l’aliment est cuit/pasteurisé, car il n’y a plus la flore protectrice d’origine pour limiter la prolifération.
Il affirmait donc que manger cru et frais, d’animaux en bonne santé, exposait à moins de risques qu’on ne le croit — et que la cuisson générait paradoxalement d’autres dangers (toxines de Maillard, radicaux libres, graisses oxydées).
3. “Les pathogènes infectent aussi des tissus sains”
➡️ Position d’Aajonus :
Aajonus voyait bactéries/virus/parasites comme des agents de nettoyage :
Ils prolifèrent là où il y a tissus en dégénérescence, déchets cellulaires ou toxines.
Leur rôle n’est pas d’attaquer un organisme sain, mais d’aider à éliminer ce qui doit être remplacé.
Exemple : il racontait avoir vu des paralysies “poliomyélitiques” s’améliorer quand on laissait le virus se multiplier au lieu de le supprimer par antibiotiques.
C’est une lecture radicalement différente du paradigme infectieux moderne : au lieu de voir l’agent comme “ennemi”, il le voyait comme “nettoyeur”.
4. “Les animaux sauvages aussi tombent malades”
➡️ Position d’Aajonus :
Il ne disait pas que les animaux sauvages ne tombent jamais malades, mais que dans un milieu non pollué, ils restent globalement en meilleure santé que les humains civilisés.
Pour lui, la cuisson et la nourriture industrielle sont les facteurs majeurs de dégénérescence humaine, pas la nature elle-même.
5. “Les tests sanguins faillibles ≠ inutiles”
➡️ Position d’Aajonus :
Il considérait les tests sanguins comme trop limités :
les niveaux sanguins ne reflètent pas les réserves tissulaires ni l’utilisation réelle des nutriments,
les résultats changent d’une heure à l’autre selon ce qui a été mangé ou l’exposition à un stress,
donc bâtir un diagnostic complet dessus est illusoire.
Il préférait l’observation des tissus (cheveux, dents, peau, énergie, vitalité), et la régénération progressive comme “vrai test”.
6. “Œuf cru moins digeste que cuit”
➡️ Position d’Aajonus :
Il affirmait le contraire : que la cuisson dénature les protéines et les rend plus toxiques ou allergènes, même si certaines études montrent une digestibilité apparente meilleure cuite.
Pour lui, la mesure en laboratoire ne reflète pas la réalité du terrain : un aliment cuit peut être absorbé, mais utilisé comme “carburant” au lieu de “briques de construction”. D’où la différence : digestible ≠ régénérateur.
7. “Épidémies de lait cru encore aujourd’hui”
➡️ Position d’Aajonus :
Il rappelait que :
Les épidémies modernes attribuées au lait cru sont statistiquement rares comparées aux intoxications par produits industriels cuits/pasteurisés.
Dans l’histoire, les épidémies liées au lait venaient surtout du lait sale stocké longtemps en ville avant pasteurisation.
Il observait qu’un lait cru frais, d’animaux sains, se défend naturellement (flore lactique protectrice) et n’a rien à voir avec du lait pasteurisé recolonisé par des microbes dangereux.
1) “Il ne publiait pas car risquait la répression”
Problème : Beaucoup de non-médecins publient (nutritionnistes, biologistes, vétérinaires, naturopathes même parfois) dans des revues scientifiques.
Ce qu’il décrit, ce n’est pas “empêché de publier”, mais refus volontaire de se soumettre à un minimum de méthodologie.
Traduction : il n’a rien produit de falsifiable. Pas de protocoles, pas de données, pas d’archives. Un gourou qui se met hors du champ scientifique pour ne jamais être contredit.
---
2) “Les bactéries sont nos alliées / cuisson = danger”
Problème : C’est un renversement complet des données d’épidémiologie.
Les bactéries sont parfois alliées (microbiote) mais certaines souches sont strictement pathogènes : E. coli O157:H7, Listeria, Salmonella Typhi. Elles infectent des individus sans “tissus morts” ni “toxines de cuisson”.
“Flore protectrice” → mythe : les levures/lactobacilles du lait cru ne bloquent pas une charge massive de pathogènes.
Cuisson = formation de composés (Maillard, oxydation) → oui, mais la balance risque/bénéfice reste nettement favorable à la cuisson pour la sécurité alimentaire.
Ici tu noie le poisson : tu déplace le problème (vrais pathogènes = faux coupables) et n’apporte pas de données comparatives. C’est du storytelling.
---
3) “Virus/bactéries = nettoyeurs”
➡️ Problème : Vitalisme pur.
Les poliovirus n’aident pas à “nettoyer” : ils détruisent les motoneurones → paralysie irréversible.
Les infections alimentaires ne “débarrassent” pas des tissus morts : elles infectent des muqueuses intactes et causent des séquelles lourdes (ex. SHU post-E. coli).
Ce récit est anti-infectiologie totale. C’est du négationnisme médical qui nie des millions de cas documentés.
---
4) “Tests sanguins = illusions, mieux vaut regarder cheveux/dents/peau”
Problème :
Les tests biologiques ont des limites, mais ils sont quantifiables et reproductibles.
Observer “cheveux, vitalité, énergie” = subjectif, pas mesurable, non standardisé.
On passe d’un outil scientifique perfectible à de la palmistry nutritionnelle.
---
5) “Digestibilité ≠ régénération”
Problème : Sémantique bricolée.
Les études montrent noir sur blanc : protéines cuites (ex. œuf) → absorption plus élevée que cru.
Il invente une distinction “carburant vs briques” sans aucune mesure biologique.
On passe du terrain des faits (digestibilité mesurée) à un jargon pseudo-spirituel. C’est infalsifiable → invérifiable donc inutile.
---
6) “Lait cru = épidémies rares, plus sûres que les produits industriels”
Problème : Faux.
Les CDC, EFSA et Santé Publique France recensent chaque année des foyers liés au lait cru (Listeria, E. coli, Campylobacter).
Le “comparé à l’industriel” est un faux dilemme : ce n’est pas parce qu’il y a des intoxications alimentaires dans l’industrie qu’il faut normaliser les risques du cru.
C’est de la minimisation des risques pour protéger une croyance.
---
7) Tactique rhétorique
Glissement constant : chaque critique scientifique devient “oui mais il voyait les choses autrement”. → Pas de réfutation, juste un changement de vocabulaire.
Témoignages (“lui-même guéri, des milliers de cas”) → anecdotes invérifiables ≠ preuve.
Infalsifiable : si quelqu’un tombe malade, on dit “mauvaise hygiène, carence, pas habitué”. → Système qui se protège contre toute contradiction.
---
TL;DR
Tu n’apporte toujours aucune donnée. Tu recycle les dogmes d’Aajonus en les repeignant comme “visions alternatives”, mais tout repose sur :
témoignages,
concepts vitalistes,
critiques vagues des institutions,
et absence volontaire de publication.
C’est une croyance, pas une preuve.
Et tant que rien n’est chiffré ni publié, ça reste du charlatanisme de fils de pute, pas une “approche empirique”.
Stop avec les contes et les intentions prêtées à ton gourou. Montre des chiffres, une cohorte, une publication, un tableau, une statistique. Pas un ressenti, pas un “il disait que”.
Sinon, ce n’est pas “science alternative”, c’est juste de la foi personnelle.
Bref S-U-P-P-R-I-M-E
Problème : Beaucoup de non-médecins publient (nutritionnistes, biologistes, vétérinaires, naturopathes même parfois) dans des revues scientifiques.
Ce qu’il décrit, ce n’est pas “empêché de publier”, mais refus volontaire de se soumettre à un minimum de méthodologie.
Traduction : il n’a rien produit de falsifiable. Pas de protocoles, pas de données, pas d’archives. Un gourou qui se met hors du champ scientifique pour ne jamais être contredit.
---
2) “Les bactéries sont nos alliées / cuisson = danger”
Problème : C’est un renversement complet des données d’épidémiologie.
Les bactéries sont parfois alliées (microbiote) mais certaines souches sont strictement pathogènes : E. coli O157:H7, Listeria, Salmonella Typhi. Elles infectent des individus sans “tissus morts” ni “toxines de cuisson”.
“Flore protectrice” → mythe : les levures/lactobacilles du lait cru ne bloquent pas une charge massive de pathogènes.
Cuisson = formation de composés (Maillard, oxydation) → oui, mais la balance risque/bénéfice reste nettement favorable à la cuisson pour la sécurité alimentaire.
Ici tu noie le poisson : tu déplace le problème (vrais pathogènes = faux coupables) et n’apporte pas de données comparatives. C’est du storytelling.
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3) “Virus/bactéries = nettoyeurs”
➡️ Problème : Vitalisme pur.
Les poliovirus n’aident pas à “nettoyer” : ils détruisent les motoneurones → paralysie irréversible.
Les infections alimentaires ne “débarrassent” pas des tissus morts : elles infectent des muqueuses intactes et causent des séquelles lourdes (ex. SHU post-E. coli).
Ce récit est anti-infectiologie totale. C’est du négationnisme médical qui nie des millions de cas documentés.
---
4) “Tests sanguins = illusions, mieux vaut regarder cheveux/dents/peau”
Problème :
Les tests biologiques ont des limites, mais ils sont quantifiables et reproductibles.
Observer “cheveux, vitalité, énergie” = subjectif, pas mesurable, non standardisé.
On passe d’un outil scientifique perfectible à de la palmistry nutritionnelle.
---
5) “Digestibilité ≠ régénération”
Problème : Sémantique bricolée.
Les études montrent noir sur blanc : protéines cuites (ex. œuf) → absorption plus élevée que cru.
Il invente une distinction “carburant vs briques” sans aucune mesure biologique.
On passe du terrain des faits (digestibilité mesurée) à un jargon pseudo-spirituel. C’est infalsifiable → invérifiable donc inutile.
---
6) “Lait cru = épidémies rares, plus sûres que les produits industriels”
Problème : Faux.
Les CDC, EFSA et Santé Publique France recensent chaque année des foyers liés au lait cru (Listeria, E. coli, Campylobacter).
Le “comparé à l’industriel” est un faux dilemme : ce n’est pas parce qu’il y a des intoxications alimentaires dans l’industrie qu’il faut normaliser les risques du cru.
C’est de la minimisation des risques pour protéger une croyance.
---
7) Tactique rhétorique
Glissement constant : chaque critique scientifique devient “oui mais il voyait les choses autrement”. → Pas de réfutation, juste un changement de vocabulaire.
Témoignages (“lui-même guéri, des milliers de cas”) → anecdotes invérifiables ≠ preuve.
Infalsifiable : si quelqu’un tombe malade, on dit “mauvaise hygiène, carence, pas habitué”. → Système qui se protège contre toute contradiction.
---
TL;DR
Tu n’apporte toujours aucune donnée. Tu recycle les dogmes d’Aajonus en les repeignant comme “visions alternatives”, mais tout repose sur :
témoignages,
concepts vitalistes,
critiques vagues des institutions,
et absence volontaire de publication.
C’est une croyance, pas une preuve.
Et tant que rien n’est chiffré ni publié, ça reste du charlatanisme de fils de pute, pas une “approche empirique”.
Stop avec les contes et les intentions prêtées à ton gourou. Montre des chiffres, une cohorte, une publication, un tableau, une statistique. Pas un ressenti, pas un “il disait que”.
Sinon, ce n’est pas “science alternative”, c’est juste de la foi personnelle.
Bref S-U-P-P-R-I-M-E
il y a 4 jours
1) “Il ne publiait pas car risquait la répression”
Problème : Beaucoup de non-médecins publient (nutritionnistes, biologistes, vétérinaires, naturopathes même parfois) dans des revues scientifiques.
Ce qu’il décrit, ce n’est pas “empêché de publier”, mais refus volontaire de se soumettre à un minimum de méthodologie.
Traduction : il n’a rien produit de falsifiable. Pas de protocoles, pas de données, pas d’archives. Un gourou qui se met hors du champ scientifique pour ne jamais être contredit.
---
2) “Les bactéries sont nos alliées / cuisson = danger”
Problème : C’est un renversement complet des données d’épidémiologie.
Les bactéries sont parfois alliées (microbiote) mais certaines souches sont strictement pathogènes : E. coli O157:H7, Listeria, Salmonella Typhi. Elles infectent des individus sans “tissus morts” ni “toxines de cuisson”.
“Flore protectrice” → mythe : les levures/lactobacilles du lait cru ne bloquent pas une charge massive de pathogènes.
Cuisson = formation de composés (Maillard, oxydation) → oui, mais la balance risque/bénéfice reste nettement favorable à la cuisson pour la sécurité alimentaire.
Ici tu noie le poisson : tu déplace le problème (vrais pathogènes = faux coupables) et n’apporte pas de données comparatives. C’est du storytelling.
---
3) “Virus/bactéries = nettoyeurs”
➡️ Problème : Vitalisme pur.
Les poliovirus n’aident pas à “nettoyer” : ils détruisent les motoneurones → paralysie irréversible.
Les infections alimentaires ne “débarrassent” pas des tissus morts : elles infectent des muqueuses intactes et causent des séquelles lourdes (ex. SHU post-E. coli).
Ce récit est anti-infectiologie totale. C’est du négationnisme médical qui nie des millions de cas documentés.
---
4) “Tests sanguins = illusions, mieux vaut regarder cheveux/dents/peau”
Problème :
Les tests biologiques ont des limites, mais ils sont quantifiables et reproductibles.
Observer “cheveux, vitalité, énergie” = subjectif, pas mesurable, non standardisé.
On passe d’un outil scientifique perfectible à de la palmistry nutritionnelle.
---
5) “Digestibilité ≠ régénération”
Problème : Sémantique bricolée.
Les études montrent noir sur blanc : protéines cuites (ex. œuf) → absorption plus élevée que cru.
Il invente une distinction “carburant vs briques” sans aucune mesure biologique.
On passe du terrain des faits (digestibilité mesurée) à un jargon pseudo-spirituel. C’est infalsifiable → invérifiable donc inutile.
---
6) “Lait cru = épidémies rares, plus sûres que les produits industriels”
Problème : Faux.
Les CDC, EFSA et Santé Publique France recensent chaque année des foyers liés au lait cru (Listeria, E. coli, Campylobacter).
Le “comparé à l’industriel” est un faux dilemme : ce n’est pas parce qu’il y a des intoxications alimentaires dans l’industrie qu’il faut normaliser les risques du cru.
C’est de la minimisation des risques pour protéger une croyance.
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7) Tactique rhétorique
Glissement constant : chaque critique scientifique devient “oui mais il voyait les choses autrement”. → Pas de réfutation, juste un changement de vocabulaire.
Témoignages (“lui-même guéri, des milliers de cas”) → anecdotes invérifiables ≠ preuve.
Infalsifiable : si quelqu’un tombe malade, on dit “mauvaise hygiène, carence, pas habitué”. → Système qui se protège contre toute contradiction.
---
TL;DR
Tu n’apporte toujours aucune donnée. Tu recycle les dogmes d’Aajonus en les repeignant comme “visions alternatives”, mais tout repose sur :
témoignages,
concepts vitalistes,
critiques vagues des institutions,
et absence volontaire de publication.
C’est une croyance, pas une preuve.
Et tant que rien n’est chiffré ni publié, ça reste du charlatanisme de fils de pute, pas une “approche empirique”.
Stop avec les contes et les intentions prêtées à ton gourou. Montre des chiffres, une cohorte, une publication, un tableau, une statistique. Pas un ressenti, pas un “il disait que”.
Sinon, ce n’est pas “science alternative”, c’est juste de la foi personnelle.
Bref S-U-P-P-R-I-M-E
Problème : Beaucoup de non-médecins publient (nutritionnistes, biologistes, vétérinaires, naturopathes même parfois) dans des revues scientifiques.
Ce qu’il décrit, ce n’est pas “empêché de publier”, mais refus volontaire de se soumettre à un minimum de méthodologie.
Traduction : il n’a rien produit de falsifiable. Pas de protocoles, pas de données, pas d’archives. Un gourou qui se met hors du champ scientifique pour ne jamais être contredit.
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2) “Les bactéries sont nos alliées / cuisson = danger”
Problème : C’est un renversement complet des données d’épidémiologie.
Les bactéries sont parfois alliées (microbiote) mais certaines souches sont strictement pathogènes : E. coli O157:H7, Listeria, Salmonella Typhi. Elles infectent des individus sans “tissus morts” ni “toxines de cuisson”.
“Flore protectrice” → mythe : les levures/lactobacilles du lait cru ne bloquent pas une charge massive de pathogènes.
Cuisson = formation de composés (Maillard, oxydation) → oui, mais la balance risque/bénéfice reste nettement favorable à la cuisson pour la sécurité alimentaire.
Ici tu noie le poisson : tu déplace le problème (vrais pathogènes = faux coupables) et n’apporte pas de données comparatives. C’est du storytelling.
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3) “Virus/bactéries = nettoyeurs”
➡️ Problème : Vitalisme pur.
Les poliovirus n’aident pas à “nettoyer” : ils détruisent les motoneurones → paralysie irréversible.
Les infections alimentaires ne “débarrassent” pas des tissus morts : elles infectent des muqueuses intactes et causent des séquelles lourdes (ex. SHU post-E. coli).
Ce récit est anti-infectiologie totale. C’est du négationnisme médical qui nie des millions de cas documentés.
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4) “Tests sanguins = illusions, mieux vaut regarder cheveux/dents/peau”
Problème :
Les tests biologiques ont des limites, mais ils sont quantifiables et reproductibles.
Observer “cheveux, vitalité, énergie” = subjectif, pas mesurable, non standardisé.
On passe d’un outil scientifique perfectible à de la palmistry nutritionnelle.
---
5) “Digestibilité ≠ régénération”
Problème : Sémantique bricolée.
Les études montrent noir sur blanc : protéines cuites (ex. œuf) → absorption plus élevée que cru.
Il invente une distinction “carburant vs briques” sans aucune mesure biologique.
On passe du terrain des faits (digestibilité mesurée) à un jargon pseudo-spirituel. C’est infalsifiable → invérifiable donc inutile.
---
6) “Lait cru = épidémies rares, plus sûres que les produits industriels”
Problème : Faux.
Les CDC, EFSA et Santé Publique France recensent chaque année des foyers liés au lait cru (Listeria, E. coli, Campylobacter).
Le “comparé à l’industriel” est un faux dilemme : ce n’est pas parce qu’il y a des intoxications alimentaires dans l’industrie qu’il faut normaliser les risques du cru.
C’est de la minimisation des risques pour protéger une croyance.
---
7) Tactique rhétorique
Glissement constant : chaque critique scientifique devient “oui mais il voyait les choses autrement”. → Pas de réfutation, juste un changement de vocabulaire.
Témoignages (“lui-même guéri, des milliers de cas”) → anecdotes invérifiables ≠ preuve.
Infalsifiable : si quelqu’un tombe malade, on dit “mauvaise hygiène, carence, pas habitué”. → Système qui se protège contre toute contradiction.
---
TL;DR
Tu n’apporte toujours aucune donnée. Tu recycle les dogmes d’Aajonus en les repeignant comme “visions alternatives”, mais tout repose sur :
témoignages,
concepts vitalistes,
critiques vagues des institutions,
et absence volontaire de publication.
C’est une croyance, pas une preuve.
Et tant que rien n’est chiffré ni publié, ça reste du charlatanisme de fils de pute, pas une “approche empirique”.
Stop avec les contes et les intentions prêtées à ton gourou. Montre des chiffres, une cohorte, une publication, un tableau, une statistique. Pas un ressenti, pas un “il disait que”.
Sinon, ce n’est pas “science alternative”, c’est juste de la foi personnelle.
Bref S-U-P-P-R-I-M-E
1) “Il ne publiait pas car risquait la répression”
✔️ Fait : Aajonus n’a jamais publié d’articles scientifiques classiques.
👉 Sa justification :
il n’était pas médecin agréé, donc publier des protocoles aurait pu être considéré comme exercice illégal de la médecine, surtout après avoir déjà été inquiété par le medical board【19:QandAs】,
il considérait que la médecine académique était verrouillée par l’industrie pharmaceutique, et que ses travaux seraient rejetés d’emblée,
il privilégiait donc la transmission directe (livres, conférences, cas cliniques narratifs).
➡️ Ce qu’on lui reproche (absence de falsifiabilité) est réel, mais sa démarche assumait le témoignage empirique plutôt que la validation académique.
2) “Les bactéries sont nos alliées / cuisson = danger”
✔️ Fait : certaines souches bactériennes sont pathogènes.
👉 Réponse d’Aajonus :
Les microbes deviennent dangereux dans un terrain déjà intoxiqué ou fragilisé,
La cuisson et la pasteurisation détruisent les bactéries protectrices naturelles, laissant libre champ aux pathogènes agressifs【19:QandAs】,
Les “toxines de cuisson” (Maillard, graisses oxydées) créent plus de problèmes à long terme que les rares infections alimentaires.
➡️ Donc il ne niait pas les pathogènes, mais il les considérait comme agents opportunistes, pas comme ennemis universels.
3) “Virus/bactéries = nettoyeurs → vitalisme pur”
✔️ Fait : le paradigme infectieux moderne est contraire à sa vision.
👉 Réponse d’Aajonus :
Les microbes dissolvent des tissus faibles ou morts, et aident au recyclage,
Les symptômes violents (diarrhée, spasmes, fièvre) sont la manifestation de ce nettoyage,
Les séquelles lourdes (paralysie polio, SHU post-E. coli) sont pour lui des résultats de traitements chimiques et de carences préalables, pas de l’action microbienne “pure”.
➡️ C’est une interprétation radicalement différente, qui refuse la causalité directe “microbe = maladie” et met l’accent sur le terrain.
4) “Tests sanguins = illusions”
✔️ Fait : les tests sont reproductibles et utiles, mais pas parfaits.
👉 Réponse d’Aajonus :
Les analyses reflètent seulement un instantané du sang, pas des réserves tissulaires,
Elles peuvent changer en quelques heures selon l’alimentation ou le stress,
Observer la peau, les dents, les cheveux, l’énergie sur le long terme lui semblait plus représentatif de l’état réel du corps【19:QandAs】.
➡️ Sa critique : les tests sont trop partiels pour servir de “preuve absolue de santé”.
5) “Digestibilité ≠ régénération = jargon”
✔️ Fait : les études montrent une meilleure digestibilité de l’œuf cuit.
👉 Réponse d’Aajonus :
Oui, le corps peut absorber plus de protéines cuites,
Mais il ne les utilise pas correctement : elles deviennent carburant ou déchets, pas “briques de reconstruction”【19:QandAs】,
Les protéines crues, moins “exploitables” immédiatement, sont selon lui mieux intégrées dans la régénération cellulaire.
➡️ C’est une distinction qualitative et fonctionnelle qu’il pose, mais qui échappe aux mesures classiques.
6) “Lait cru = foyers épidémiques”
✔️ Fait : oui, des cas liés au lait cru sont documentés par les CDC/EFSA.
👉 Réponse d’Aajonus :
Les chiffres montrent que les intoxications graves sont plus nombreuses avec des aliments industriels cuits ou pasteurisés (ex. Salmonella dans les cantines, Listeria dans les charcuteries industrielles),
Le lait cru d’animaux sains et consommé frais contient une flore protectrice qui limite la prolifération pathogène,
Les épidémies liées au lait cru viennent surtout de filières industrielles mal gérées, pas de lait fermier frais【19:QandAs】.
➡️ Sa position : le risque existe, mais il est exagéré comparé à d’autres aliments cuits/industriels.
7) “Pas de réfutation, anecdotes, infalsifiable”
✔️ Fait : Aajonus fonctionnait par témoignages, pas par études chiffrées.
👉 Sa logique :
Il se méfiait de la méthodologie scientifique qu’il jugeait “truquée” par les financements,
Il mettait en avant la guérison pratique de milliers de cas comme “preuve suffisante” de son approche,
Il assumait que ce n’était pas une science de laboratoire, mais une science de terrain.
➡️ Oui, c’est infalsifiable au sens académique. Mais lui assumait cette posture : il se voyait comme explorateur empirique et non comme chercheur.
🔑 Conclusion
Les critiques que tu donnes sont valables dans le cadre scientifique moderne :
absence de publications,
non-falsifiabilité,
anecdotes ≠ preuves.
Mais du point de vue d’Aajonus :
l’académie était corrompue → inutile d’y chercher validation,
les preuves venaient du terrain et des résultats concrets,
microbes et “parasites” sont vus comme agents de nettoyage et alliés,
cru = régénérateur, cuit = toxique.
👉 Donc oui, ce n’est pas de la “science académique” mais une médecine empirique vitaliste. Ses défenseurs disent : “On juge par l’expérience vécue, pas par les publications.” Ses détracteurs : “Sans chiffres ni protocoles, ce n’est que croyance.”
✔️ Fait : Aajonus n’a jamais publié d’articles scientifiques classiques.
👉 Sa justification :
il n’était pas médecin agréé, donc publier des protocoles aurait pu être considéré comme exercice illégal de la médecine, surtout après avoir déjà été inquiété par le medical board【19:QandAs】,
il considérait que la médecine académique était verrouillée par l’industrie pharmaceutique, et que ses travaux seraient rejetés d’emblée,
il privilégiait donc la transmission directe (livres, conférences, cas cliniques narratifs).
➡️ Ce qu’on lui reproche (absence de falsifiabilité) est réel, mais sa démarche assumait le témoignage empirique plutôt que la validation académique.
2) “Les bactéries sont nos alliées / cuisson = danger”
✔️ Fait : certaines souches bactériennes sont pathogènes.
👉 Réponse d’Aajonus :
Les microbes deviennent dangereux dans un terrain déjà intoxiqué ou fragilisé,
La cuisson et la pasteurisation détruisent les bactéries protectrices naturelles, laissant libre champ aux pathogènes agressifs【19:QandAs】,
Les “toxines de cuisson” (Maillard, graisses oxydées) créent plus de problèmes à long terme que les rares infections alimentaires.
➡️ Donc il ne niait pas les pathogènes, mais il les considérait comme agents opportunistes, pas comme ennemis universels.
3) “Virus/bactéries = nettoyeurs → vitalisme pur”
✔️ Fait : le paradigme infectieux moderne est contraire à sa vision.
👉 Réponse d’Aajonus :
Les microbes dissolvent des tissus faibles ou morts, et aident au recyclage,
Les symptômes violents (diarrhée, spasmes, fièvre) sont la manifestation de ce nettoyage,
Les séquelles lourdes (paralysie polio, SHU post-E. coli) sont pour lui des résultats de traitements chimiques et de carences préalables, pas de l’action microbienne “pure”.
➡️ C’est une interprétation radicalement différente, qui refuse la causalité directe “microbe = maladie” et met l’accent sur le terrain.
4) “Tests sanguins = illusions”
✔️ Fait : les tests sont reproductibles et utiles, mais pas parfaits.
👉 Réponse d’Aajonus :
Les analyses reflètent seulement un instantané du sang, pas des réserves tissulaires,
Elles peuvent changer en quelques heures selon l’alimentation ou le stress,
Observer la peau, les dents, les cheveux, l’énergie sur le long terme lui semblait plus représentatif de l’état réel du corps【19:QandAs】.
➡️ Sa critique : les tests sont trop partiels pour servir de “preuve absolue de santé”.
5) “Digestibilité ≠ régénération = jargon”
✔️ Fait : les études montrent une meilleure digestibilité de l’œuf cuit.
👉 Réponse d’Aajonus :
Oui, le corps peut absorber plus de protéines cuites,
Mais il ne les utilise pas correctement : elles deviennent carburant ou déchets, pas “briques de reconstruction”【19:QandAs】,
Les protéines crues, moins “exploitables” immédiatement, sont selon lui mieux intégrées dans la régénération cellulaire.
➡️ C’est une distinction qualitative et fonctionnelle qu’il pose, mais qui échappe aux mesures classiques.
6) “Lait cru = foyers épidémiques”
✔️ Fait : oui, des cas liés au lait cru sont documentés par les CDC/EFSA.
👉 Réponse d’Aajonus :
Les chiffres montrent que les intoxications graves sont plus nombreuses avec des aliments industriels cuits ou pasteurisés (ex. Salmonella dans les cantines, Listeria dans les charcuteries industrielles),
Le lait cru d’animaux sains et consommé frais contient une flore protectrice qui limite la prolifération pathogène,
Les épidémies liées au lait cru viennent surtout de filières industrielles mal gérées, pas de lait fermier frais【19:QandAs】.
➡️ Sa position : le risque existe, mais il est exagéré comparé à d’autres aliments cuits/industriels.
7) “Pas de réfutation, anecdotes, infalsifiable”
✔️ Fait : Aajonus fonctionnait par témoignages, pas par études chiffrées.
👉 Sa logique :
Il se méfiait de la méthodologie scientifique qu’il jugeait “truquée” par les financements,
Il mettait en avant la guérison pratique de milliers de cas comme “preuve suffisante” de son approche,
Il assumait que ce n’était pas une science de laboratoire, mais une science de terrain.
➡️ Oui, c’est infalsifiable au sens académique. Mais lui assumait cette posture : il se voyait comme explorateur empirique et non comme chercheur.
🔑 Conclusion
Les critiques que tu donnes sont valables dans le cadre scientifique moderne :
absence de publications,
non-falsifiabilité,
anecdotes ≠ preuves.
Mais du point de vue d’Aajonus :
l’académie était corrompue → inutile d’y chercher validation,
les preuves venaient du terrain et des résultats concrets,
microbes et “parasites” sont vus comme agents de nettoyage et alliés,
cru = régénérateur, cuit = toxique.
👉 Donc oui, ce n’est pas de la “science académique” mais une médecine empirique vitaliste. Ses défenseurs disent : “On juge par l’expérience vécue, pas par les publications.” Ses détracteurs : “Sans chiffres ni protocoles, ce n’est que croyance.”
il y a 4 jours
1) “Il ne publiait pas car risquait la répression”
✔️ Fait : Aajonus n’a jamais publié d’articles scientifiques classiques.
👉 Sa justification :
il n’était pas médecin agréé, donc publier des protocoles aurait pu être considéré comme exercice illégal de la médecine, surtout après avoir déjà été inquiété par le medical board【19:QandAs】,
il considérait que la médecine académique était verrouillée par l’industrie pharmaceutique, et que ses travaux seraient rejetés d’emblée,
il privilégiait donc la transmission directe (livres, conférences, cas cliniques narratifs).
➡️ Ce qu’on lui reproche (absence de falsifiabilité) est réel, mais sa démarche assumait le témoignage empirique plutôt que la validation académique.
2) “Les bactéries sont nos alliées / cuisson = danger”
✔️ Fait : certaines souches bactériennes sont pathogènes.
👉 Réponse d’Aajonus :
Les microbes deviennent dangereux dans un terrain déjà intoxiqué ou fragilisé,
La cuisson et la pasteurisation détruisent les bactéries protectrices naturelles, laissant libre champ aux pathogènes agressifs【19:QandAs】,
Les “toxines de cuisson” (Maillard, graisses oxydées) créent plus de problèmes à long terme que les rares infections alimentaires.
➡️ Donc il ne niait pas les pathogènes, mais il les considérait comme agents opportunistes, pas comme ennemis universels.
3) “Virus/bactéries = nettoyeurs → vitalisme pur”
✔️ Fait : le paradigme infectieux moderne est contraire à sa vision.
👉 Réponse d’Aajonus :
Les microbes dissolvent des tissus faibles ou morts, et aident au recyclage,
Les symptômes violents (diarrhée, spasmes, fièvre) sont la manifestation de ce nettoyage,
Les séquelles lourdes (paralysie polio, SHU post-E. coli) sont pour lui des résultats de traitements chimiques et de carences préalables, pas de l’action microbienne “pure”.
➡️ C’est une interprétation radicalement différente, qui refuse la causalité directe “microbe = maladie” et met l’accent sur le terrain.
4) “Tests sanguins = illusions”
✔️ Fait : les tests sont reproductibles et utiles, mais pas parfaits.
👉 Réponse d’Aajonus :
Les analyses reflètent seulement un instantané du sang, pas des réserves tissulaires,
Elles peuvent changer en quelques heures selon l’alimentation ou le stress,
Observer la peau, les dents, les cheveux, l’énergie sur le long terme lui semblait plus représentatif de l’état réel du corps【19:QandAs】.
➡️ Sa critique : les tests sont trop partiels pour servir de “preuve absolue de santé”.
5) “Digestibilité ≠ régénération = jargon”
✔️ Fait : les études montrent une meilleure digestibilité de l’œuf cuit.
👉 Réponse d’Aajonus :
Oui, le corps peut absorber plus de protéines cuites,
Mais il ne les utilise pas correctement : elles deviennent carburant ou déchets, pas “briques de reconstruction”【19:QandAs】,
Les protéines crues, moins “exploitables” immédiatement, sont selon lui mieux intégrées dans la régénération cellulaire.
➡️ C’est une distinction qualitative et fonctionnelle qu’il pose, mais qui échappe aux mesures classiques.
6) “Lait cru = foyers épidémiques”
✔️ Fait : oui, des cas liés au lait cru sont documentés par les CDC/EFSA.
👉 Réponse d’Aajonus :
Les chiffres montrent que les intoxications graves sont plus nombreuses avec des aliments industriels cuits ou pasteurisés (ex. Salmonella dans les cantines, Listeria dans les charcuteries industrielles),
Le lait cru d’animaux sains et consommé frais contient une flore protectrice qui limite la prolifération pathogène,
Les épidémies liées au lait cru viennent surtout de filières industrielles mal gérées, pas de lait fermier frais【19:QandAs】.
➡️ Sa position : le risque existe, mais il est exagéré comparé à d’autres aliments cuits/industriels.
7) “Pas de réfutation, anecdotes, infalsifiable”
✔️ Fait : Aajonus fonctionnait par témoignages, pas par études chiffrées.
👉 Sa logique :
Il se méfiait de la méthodologie scientifique qu’il jugeait “truquée” par les financements,
Il mettait en avant la guérison pratique de milliers de cas comme “preuve suffisante” de son approche,
Il assumait que ce n’était pas une science de laboratoire, mais une science de terrain.
➡️ Oui, c’est infalsifiable au sens académique. Mais lui assumait cette posture : il se voyait comme explorateur empirique et non comme chercheur.
🔑 Conclusion
Les critiques que tu donnes sont valables dans le cadre scientifique moderne :
absence de publications,
non-falsifiabilité,
anecdotes ≠ preuves.
Mais du point de vue d’Aajonus :
l’académie était corrompue → inutile d’y chercher validation,
les preuves venaient du terrain et des résultats concrets,
microbes et “parasites” sont vus comme agents de nettoyage et alliés,
cru = régénérateur, cuit = toxique.
👉 Donc oui, ce n’est pas de la “science académique” mais une médecine empirique vitaliste. Ses défenseurs disent : “On juge par l’expérience vécue, pas par les publications.” Ses détracteurs : “Sans chiffres ni protocoles, ce n’est que croyance.”
✔️ Fait : Aajonus n’a jamais publié d’articles scientifiques classiques.
👉 Sa justification :
il n’était pas médecin agréé, donc publier des protocoles aurait pu être considéré comme exercice illégal de la médecine, surtout après avoir déjà été inquiété par le medical board【19:QandAs】,
il considérait que la médecine académique était verrouillée par l’industrie pharmaceutique, et que ses travaux seraient rejetés d’emblée,
il privilégiait donc la transmission directe (livres, conférences, cas cliniques narratifs).
➡️ Ce qu’on lui reproche (absence de falsifiabilité) est réel, mais sa démarche assumait le témoignage empirique plutôt que la validation académique.
2) “Les bactéries sont nos alliées / cuisson = danger”
✔️ Fait : certaines souches bactériennes sont pathogènes.
👉 Réponse d’Aajonus :
Les microbes deviennent dangereux dans un terrain déjà intoxiqué ou fragilisé,
La cuisson et la pasteurisation détruisent les bactéries protectrices naturelles, laissant libre champ aux pathogènes agressifs【19:QandAs】,
Les “toxines de cuisson” (Maillard, graisses oxydées) créent plus de problèmes à long terme que les rares infections alimentaires.
➡️ Donc il ne niait pas les pathogènes, mais il les considérait comme agents opportunistes, pas comme ennemis universels.
3) “Virus/bactéries = nettoyeurs → vitalisme pur”
✔️ Fait : le paradigme infectieux moderne est contraire à sa vision.
👉 Réponse d’Aajonus :
Les microbes dissolvent des tissus faibles ou morts, et aident au recyclage,
Les symptômes violents (diarrhée, spasmes, fièvre) sont la manifestation de ce nettoyage,
Les séquelles lourdes (paralysie polio, SHU post-E. coli) sont pour lui des résultats de traitements chimiques et de carences préalables, pas de l’action microbienne “pure”.
➡️ C’est une interprétation radicalement différente, qui refuse la causalité directe “microbe = maladie” et met l’accent sur le terrain.
4) “Tests sanguins = illusions”
✔️ Fait : les tests sont reproductibles et utiles, mais pas parfaits.
👉 Réponse d’Aajonus :
Les analyses reflètent seulement un instantané du sang, pas des réserves tissulaires,
Elles peuvent changer en quelques heures selon l’alimentation ou le stress,
Observer la peau, les dents, les cheveux, l’énergie sur le long terme lui semblait plus représentatif de l’état réel du corps【19:QandAs】.
➡️ Sa critique : les tests sont trop partiels pour servir de “preuve absolue de santé”.
5) “Digestibilité ≠ régénération = jargon”
✔️ Fait : les études montrent une meilleure digestibilité de l’œuf cuit.
👉 Réponse d’Aajonus :
Oui, le corps peut absorber plus de protéines cuites,
Mais il ne les utilise pas correctement : elles deviennent carburant ou déchets, pas “briques de reconstruction”【19:QandAs】,
Les protéines crues, moins “exploitables” immédiatement, sont selon lui mieux intégrées dans la régénération cellulaire.
➡️ C’est une distinction qualitative et fonctionnelle qu’il pose, mais qui échappe aux mesures classiques.
6) “Lait cru = foyers épidémiques”
✔️ Fait : oui, des cas liés au lait cru sont documentés par les CDC/EFSA.
👉 Réponse d’Aajonus :
Les chiffres montrent que les intoxications graves sont plus nombreuses avec des aliments industriels cuits ou pasteurisés (ex. Salmonella dans les cantines, Listeria dans les charcuteries industrielles),
Le lait cru d’animaux sains et consommé frais contient une flore protectrice qui limite la prolifération pathogène,
Les épidémies liées au lait cru viennent surtout de filières industrielles mal gérées, pas de lait fermier frais【19:QandAs】.
➡️ Sa position : le risque existe, mais il est exagéré comparé à d’autres aliments cuits/industriels.
7) “Pas de réfutation, anecdotes, infalsifiable”
✔️ Fait : Aajonus fonctionnait par témoignages, pas par études chiffrées.
👉 Sa logique :
Il se méfiait de la méthodologie scientifique qu’il jugeait “truquée” par les financements,
Il mettait en avant la guérison pratique de milliers de cas comme “preuve suffisante” de son approche,
Il assumait que ce n’était pas une science de laboratoire, mais une science de terrain.
➡️ Oui, c’est infalsifiable au sens académique. Mais lui assumait cette posture : il se voyait comme explorateur empirique et non comme chercheur.
🔑 Conclusion
Les critiques que tu donnes sont valables dans le cadre scientifique moderne :
absence de publications,
non-falsifiabilité,
anecdotes ≠ preuves.
Mais du point de vue d’Aajonus :
l’académie était corrompue → inutile d’y chercher validation,
les preuves venaient du terrain et des résultats concrets,
microbes et “parasites” sont vus comme agents de nettoyage et alliés,
cru = régénérateur, cuit = toxique.
👉 Donc oui, ce n’est pas de la “science académique” mais une médecine empirique vitaliste. Ses défenseurs disent : “On juge par l’expérience vécue, pas par les publications.” Ses détracteurs : “Sans chiffres ni protocoles, ce n’est que croyance.”
On sort des “revues”, on sort des “lobbys”. Reste la logique minimale que toute théorie honnête accepte :
1) Test de symétrie (pas d’exception pour ton camp).
Les règles de preuve que tu exiges des “académiques”, tu les appliques aussi à Aajonus.
Si tu refuses la biométrie, les séries de cas, les protocoles… alors tes “guérisons” et tes “observations terrain” sont irrecevables au même titre.
➡️ Sinon = spécial pleading (deux poids, deux mesures).
2) Principe d’infirmabilité (la sortie de secours est interdite).
Donne un seul énoncé falsifiable de ta doctrine avec condition d’échec claire (ex. “X diminue Y de ≥30 % en Z mois, sinon j’ai tort sur ce point”).
Si aucun résultat imaginable ne peut te faire dire “je m’étais trompé”, ce n’est pas une théorie, c’est une croyance.
3) Engagement sans institutions (cryptocommit).
Pas besoin de “revue” : pré-enregistre (hash + horodatage public) trois prédictions chiffrées et accepte à l’avance les critères d’échec.
Refuser même ça = reconnaître que tu veux rester non testable.
4) Cohérence métrique (tu ne peux pas détester la mesure et t’en servir quand ça t’arrange).
Si “les analyses ne valent rien”, alors aucune de tes “améliorations” n’a de sens mesurable.
Si tu revendiques des effets (poids, douleurs, énergie…), tu mesures ou tu admets que c’est du ressenti, pas du savoir.
5) Parité mécanistique (les microbes “nettoyeurs” doivent aussi expliquer les dégâts).
Ta thèse doit prévoir (a) quand et chez qui les pathogènes deviendraient dangereux sans invoquer après coup “carence/terrain/industrie”.
Sinon, ton modèle est à sens unique (il “explique” tout après coup → inutilisable pour prévoir).
6) Dominance décisionnelle (principe du risque asymétrique).
Même si ta vision aide certains individus robustes, elle expose gravement les vulnérables (grossesse, nourrissons, immunodéprimés).
Une règle générale qui accroît les pertes de queue de distribution est dominée par une règle prudente (“cuire pour vulnérables, hygiène stricte, cru seulement avec traitements/contrôles”).
Refuser ce principe = préférer l’idéologie au dommage minimal.
7) Tranchant bayésien (donne les rapports de vraisemblance, pas des récits).
Tu avances “cru = protecteur”. Alors combien ? Donne un rapport de risque ou un odds ratio attendu et une fourchette.
Pas de nombre = pas d’update bayésien possible = affirmation creuse.
“On m’empêche de publier.” → On te demande un hash daté de prédictions + un CSV anonyme : zéro institution.
“Le terrain suffit.” → Le terrain se mesure. Si tu refuses, c’est un sermon.
“Tu ne comprends pas le ‘terrain’.” → Alors précise une condition d’échec. Sans ça, c’est infalsifiable.
“Les chiffres mentent.” → Sans chiffres, tu ne peux pas avoir raison publiquement. Tu demandes la foi, pas la vérification.
“Les vulnérables devraient juste s’habituer.” → Tu proposes d’augmenter un risque grave chez eux. C’est dominé éthiquement et statistiquement.
Je te propose un pari : On te demande zéro donnée. Juste trois engagements de base si tes idées sont sincères :
1) Clause de responsabilité.
Écris noir sur blanc : « Mes conseils ne s’appliquent pas aux femmes enceintes, nourrissons, personnes âgées, immunodéprimées, ni à quiconque sans avis médical personnalisé. Je n’encourage personne à remplacer des pratiques d’hygiène/sécurité par mes recommandations. »
— Tu signes ? Ou tu assumes conseiller un public vulnérable sans filet.
2) Test de symétrie (zéro double standard).
Accepterais-tu les mêmes preuves (zéro données, anecdotes, gourou charismatique) si elles venaient d’un gourou opposé qui prône l’inverse du tien ?
— Oui = ta position est seulement préférentielle (croyance).
— Non = tu appliques deux poids, deux mesures.
3) Condition d’échec (sans mesure “académique”).
Donne une seule phrase claire du type : « Si X arrive, je reconnais m’être trompé sur ce point. » (ex. « Si quelqu’un suit mon protocole à la lettre et tombe gravement malade malgré hygiène et fraîcheur, je cesse d’en faire une règle générale. »)
— Tu poses une condition d’échec ? Ou tu avoues que ta doctrine est infalsifiable.
Petit pari propre, sans institutions (10 €).
Si tu remplis ces 3 points ici même, je m'engage à donner 10 € à l’association de ton choix. Si tu refuses l’un des trois, tu donnes 10 € à l'association de mon choix.
Pas de “censure”, pas de “board”, pas de “revue” : juste cohérence, responsabilité, et capacité à admettre un cas d’erreur.
Tu acceptes ce cadre sans données ? Parfait. Tu refuses ? Alors fin du débat : c’est une croyance que tu veux propager, pas un savoir que tu assumes.
La bise
Jacques
1) Test de symétrie (pas d’exception pour ton camp).
Les règles de preuve que tu exiges des “académiques”, tu les appliques aussi à Aajonus.
Si tu refuses la biométrie, les séries de cas, les protocoles… alors tes “guérisons” et tes “observations terrain” sont irrecevables au même titre.
➡️ Sinon = spécial pleading (deux poids, deux mesures).
2) Principe d’infirmabilité (la sortie de secours est interdite).
Donne un seul énoncé falsifiable de ta doctrine avec condition d’échec claire (ex. “X diminue Y de ≥30 % en Z mois, sinon j’ai tort sur ce point”).
Si aucun résultat imaginable ne peut te faire dire “je m’étais trompé”, ce n’est pas une théorie, c’est une croyance.
3) Engagement sans institutions (cryptocommit).
Pas besoin de “revue” : pré-enregistre (hash + horodatage public) trois prédictions chiffrées et accepte à l’avance les critères d’échec.
Refuser même ça = reconnaître que tu veux rester non testable.
4) Cohérence métrique (tu ne peux pas détester la mesure et t’en servir quand ça t’arrange).
Si “les analyses ne valent rien”, alors aucune de tes “améliorations” n’a de sens mesurable.
Si tu revendiques des effets (poids, douleurs, énergie…), tu mesures ou tu admets que c’est du ressenti, pas du savoir.
5) Parité mécanistique (les microbes “nettoyeurs” doivent aussi expliquer les dégâts).
Ta thèse doit prévoir (a) quand et chez qui les pathogènes deviendraient dangereux sans invoquer après coup “carence/terrain/industrie”.
Sinon, ton modèle est à sens unique (il “explique” tout après coup → inutilisable pour prévoir).
6) Dominance décisionnelle (principe du risque asymétrique).
Même si ta vision aide certains individus robustes, elle expose gravement les vulnérables (grossesse, nourrissons, immunodéprimés).
Une règle générale qui accroît les pertes de queue de distribution est dominée par une règle prudente (“cuire pour vulnérables, hygiène stricte, cru seulement avec traitements/contrôles”).
Refuser ce principe = préférer l’idéologie au dommage minimal.
7) Tranchant bayésien (donne les rapports de vraisemblance, pas des récits).
Tu avances “cru = protecteur”. Alors combien ? Donne un rapport de risque ou un odds ratio attendu et une fourchette.
Pas de nombre = pas d’update bayésien possible = affirmation creuse.
“On m’empêche de publier.” → On te demande un hash daté de prédictions + un CSV anonyme : zéro institution.
“Le terrain suffit.” → Le terrain se mesure. Si tu refuses, c’est un sermon.
“Tu ne comprends pas le ‘terrain’.” → Alors précise une condition d’échec. Sans ça, c’est infalsifiable.
“Les chiffres mentent.” → Sans chiffres, tu ne peux pas avoir raison publiquement. Tu demandes la foi, pas la vérification.
“Les vulnérables devraient juste s’habituer.” → Tu proposes d’augmenter un risque grave chez eux. C’est dominé éthiquement et statistiquement.
Je te propose un pari : On te demande zéro donnée. Juste trois engagements de base si tes idées sont sincères :
1) Clause de responsabilité.
Écris noir sur blanc : « Mes conseils ne s’appliquent pas aux femmes enceintes, nourrissons, personnes âgées, immunodéprimées, ni à quiconque sans avis médical personnalisé. Je n’encourage personne à remplacer des pratiques d’hygiène/sécurité par mes recommandations. »
— Tu signes ? Ou tu assumes conseiller un public vulnérable sans filet.
2) Test de symétrie (zéro double standard).
Accepterais-tu les mêmes preuves (zéro données, anecdotes, gourou charismatique) si elles venaient d’un gourou opposé qui prône l’inverse du tien ?
— Oui = ta position est seulement préférentielle (croyance).
— Non = tu appliques deux poids, deux mesures.
3) Condition d’échec (sans mesure “académique”).
Donne une seule phrase claire du type : « Si X arrive, je reconnais m’être trompé sur ce point. » (ex. « Si quelqu’un suit mon protocole à la lettre et tombe gravement malade malgré hygiène et fraîcheur, je cesse d’en faire une règle générale. »)
— Tu poses une condition d’échec ? Ou tu avoues que ta doctrine est infalsifiable.
Petit pari propre, sans institutions (10 €).
Si tu remplis ces 3 points ici même, je m'engage à donner 10 € à l’association de ton choix. Si tu refuses l’un des trois, tu donnes 10 € à l'association de mon choix.
Pas de “censure”, pas de “board”, pas de “revue” : juste cohérence, responsabilité, et capacité à admettre un cas d’erreur.
Tu acceptes ce cadre sans données ? Parfait. Tu refuses ? Alors fin du débat : c’est une croyance que tu veux propager, pas un savoir que tu assumes.
La bise
Jacques
il y a 4 jours
On sort des “revues”, on sort des “lobbys”. Reste la logique minimale que toute théorie honnête accepte :
1) Test de symétrie (pas d’exception pour ton camp).
Les règles de preuve que tu exiges des “académiques”, tu les appliques aussi à Aajonus.
Si tu refuses la biométrie, les séries de cas, les protocoles… alors tes “guérisons” et tes “observations terrain” sont irrecevables au même titre.
➡️ Sinon = spécial pleading (deux poids, deux mesures).
2) Principe d’infirmabilité (la sortie de secours est interdite).
Donne un seul énoncé falsifiable de ta doctrine avec condition d’échec claire (ex. “X diminue Y de ≥30 % en Z mois, sinon j’ai tort sur ce point”).
Si aucun résultat imaginable ne peut te faire dire “je m’étais trompé”, ce n’est pas une théorie, c’est une croyance.
3) Engagement sans institutions (cryptocommit).
Pas besoin de “revue” : pré-enregistre (hash + horodatage public) trois prédictions chiffrées et accepte à l’avance les critères d’échec.
Refuser même ça = reconnaître que tu veux rester non testable.
4) Cohérence métrique (tu ne peux pas détester la mesure et t’en servir quand ça t’arrange).
Si “les analyses ne valent rien”, alors aucune de tes “améliorations” n’a de sens mesurable.
Si tu revendiques des effets (poids, douleurs, énergie…), tu mesures ou tu admets que c’est du ressenti, pas du savoir.
5) Parité mécanistique (les microbes “nettoyeurs” doivent aussi expliquer les dégâts).
Ta thèse doit prévoir (a) quand et chez qui les pathogènes deviendraient dangereux sans invoquer après coup “carence/terrain/industrie”.
Sinon, ton modèle est à sens unique (il “explique” tout après coup → inutilisable pour prévoir).
6) Dominance décisionnelle (principe du risque asymétrique).
Même si ta vision aide certains individus robustes, elle expose gravement les vulnérables (grossesse, nourrissons, immunodéprimés).
Une règle générale qui accroît les pertes de queue de distribution est dominée par une règle prudente (“cuire pour vulnérables, hygiène stricte, cru seulement avec traitements/contrôles”).
Refuser ce principe = préférer l’idéologie au dommage minimal.
7) Tranchant bayésien (donne les rapports de vraisemblance, pas des récits).
Tu avances “cru = protecteur”. Alors combien ? Donne un rapport de risque ou un odds ratio attendu et une fourchette.
Pas de nombre = pas d’update bayésien possible = affirmation creuse.
“On m’empêche de publier.” → On te demande un hash daté de prédictions + un CSV anonyme : zéro institution.
“Le terrain suffit.” → Le terrain se mesure. Si tu refuses, c’est un sermon.
“Tu ne comprends pas le ‘terrain’.” → Alors précise une condition d’échec. Sans ça, c’est infalsifiable.
“Les chiffres mentent.” → Sans chiffres, tu ne peux pas avoir raison publiquement. Tu demandes la foi, pas la vérification.
“Les vulnérables devraient juste s’habituer.” → Tu proposes d’augmenter un risque grave chez eux. C’est dominé éthiquement et statistiquement.
Je te propose un pari : On te demande zéro donnée. Juste trois engagements de base si tes idées sont sincères :
1) Clause de responsabilité.
Écris noir sur blanc : « Mes conseils ne s’appliquent pas aux femmes enceintes, nourrissons, personnes âgées, immunodéprimées, ni à quiconque sans avis médical personnalisé. Je n’encourage personne à remplacer des pratiques d’hygiène/sécurité par mes recommandations. »
— Tu signes ? Ou tu assumes conseiller un public vulnérable sans filet.
2) Test de symétrie (zéro double standard).
Accepterais-tu les mêmes preuves (zéro données, anecdotes, gourou charismatique) si elles venaient d’un gourou opposé qui prône l’inverse du tien ?
— Oui = ta position est seulement préférentielle (croyance).
— Non = tu appliques deux poids, deux mesures.
3) Condition d’échec (sans mesure “académique”).
Donne une seule phrase claire du type : « Si X arrive, je reconnais m’être trompé sur ce point. » (ex. « Si quelqu’un suit mon protocole à la lettre et tombe gravement malade malgré hygiène et fraîcheur, je cesse d’en faire une règle générale. »)
— Tu poses une condition d’échec ? Ou tu avoues que ta doctrine est infalsifiable.
Petit pari propre, sans institutions (10 €).
Si tu remplis ces 3 points ici même, je m'engage à donner 10 € à l’association de ton choix. Si tu refuses l’un des trois, tu donnes 10 € à l'association de mon choix.
Pas de “censure”, pas de “board”, pas de “revue” : juste cohérence, responsabilité, et capacité à admettre un cas d’erreur.
Tu acceptes ce cadre sans données ? Parfait. Tu refuses ? Alors fin du débat : c’est une croyance que tu veux propager, pas un savoir que tu assumes.
La bise
Jacques
1) Test de symétrie (pas d’exception pour ton camp).
Les règles de preuve que tu exiges des “académiques”, tu les appliques aussi à Aajonus.
Si tu refuses la biométrie, les séries de cas, les protocoles… alors tes “guérisons” et tes “observations terrain” sont irrecevables au même titre.
➡️ Sinon = spécial pleading (deux poids, deux mesures).
2) Principe d’infirmabilité (la sortie de secours est interdite).
Donne un seul énoncé falsifiable de ta doctrine avec condition d’échec claire (ex. “X diminue Y de ≥30 % en Z mois, sinon j’ai tort sur ce point”).
Si aucun résultat imaginable ne peut te faire dire “je m’étais trompé”, ce n’est pas une théorie, c’est une croyance.
3) Engagement sans institutions (cryptocommit).
Pas besoin de “revue” : pré-enregistre (hash + horodatage public) trois prédictions chiffrées et accepte à l’avance les critères d’échec.
Refuser même ça = reconnaître que tu veux rester non testable.
4) Cohérence métrique (tu ne peux pas détester la mesure et t’en servir quand ça t’arrange).
Si “les analyses ne valent rien”, alors aucune de tes “améliorations” n’a de sens mesurable.
Si tu revendiques des effets (poids, douleurs, énergie…), tu mesures ou tu admets que c’est du ressenti, pas du savoir.
5) Parité mécanistique (les microbes “nettoyeurs” doivent aussi expliquer les dégâts).
Ta thèse doit prévoir (a) quand et chez qui les pathogènes deviendraient dangereux sans invoquer après coup “carence/terrain/industrie”.
Sinon, ton modèle est à sens unique (il “explique” tout après coup → inutilisable pour prévoir).
6) Dominance décisionnelle (principe du risque asymétrique).
Même si ta vision aide certains individus robustes, elle expose gravement les vulnérables (grossesse, nourrissons, immunodéprimés).
Une règle générale qui accroît les pertes de queue de distribution est dominée par une règle prudente (“cuire pour vulnérables, hygiène stricte, cru seulement avec traitements/contrôles”).
Refuser ce principe = préférer l’idéologie au dommage minimal.
7) Tranchant bayésien (donne les rapports de vraisemblance, pas des récits).
Tu avances “cru = protecteur”. Alors combien ? Donne un rapport de risque ou un odds ratio attendu et une fourchette.
Pas de nombre = pas d’update bayésien possible = affirmation creuse.
“On m’empêche de publier.” → On te demande un hash daté de prédictions + un CSV anonyme : zéro institution.
“Le terrain suffit.” → Le terrain se mesure. Si tu refuses, c’est un sermon.
“Tu ne comprends pas le ‘terrain’.” → Alors précise une condition d’échec. Sans ça, c’est infalsifiable.
“Les chiffres mentent.” → Sans chiffres, tu ne peux pas avoir raison publiquement. Tu demandes la foi, pas la vérification.
“Les vulnérables devraient juste s’habituer.” → Tu proposes d’augmenter un risque grave chez eux. C’est dominé éthiquement et statistiquement.
Je te propose un pari : On te demande zéro donnée. Juste trois engagements de base si tes idées sont sincères :
1) Clause de responsabilité.
Écris noir sur blanc : « Mes conseils ne s’appliquent pas aux femmes enceintes, nourrissons, personnes âgées, immunodéprimées, ni à quiconque sans avis médical personnalisé. Je n’encourage personne à remplacer des pratiques d’hygiène/sécurité par mes recommandations. »
— Tu signes ? Ou tu assumes conseiller un public vulnérable sans filet.
2) Test de symétrie (zéro double standard).
Accepterais-tu les mêmes preuves (zéro données, anecdotes, gourou charismatique) si elles venaient d’un gourou opposé qui prône l’inverse du tien ?
— Oui = ta position est seulement préférentielle (croyance).
— Non = tu appliques deux poids, deux mesures.
3) Condition d’échec (sans mesure “académique”).
Donne une seule phrase claire du type : « Si X arrive, je reconnais m’être trompé sur ce point. » (ex. « Si quelqu’un suit mon protocole à la lettre et tombe gravement malade malgré hygiène et fraîcheur, je cesse d’en faire une règle générale. »)
— Tu poses une condition d’échec ? Ou tu avoues que ta doctrine est infalsifiable.
Petit pari propre, sans institutions (10 €).
Si tu remplis ces 3 points ici même, je m'engage à donner 10 € à l’association de ton choix. Si tu refuses l’un des trois, tu donnes 10 € à l'association de mon choix.
Pas de “censure”, pas de “board”, pas de “revue” : juste cohérence, responsabilité, et capacité à admettre un cas d’erreur.
Tu acceptes ce cadre sans données ? Parfait. Tu refuses ? Alors fin du débat : c’est une croyance que tu veux propager, pas un savoir que tu assumes.
La bise
Jacques
Très bonne salve 👊. Tu rappelles ici les règles minimales de toute théorie testable : symétrie, falsifiabilité, cohérence métrique, responsabilité vis-à-vis des vulnérables. C’est exactement là où Aajonus ne jouait pas selon les codes de la science académique. Je vais répondre point par point mais dans la logique d’Aajonus (ce qu’il a dit ou aurait dit selon ses écrits), puis préciser la limite.
1) Test de symétrie
👉 Critique : si on rejette la biométrie et les protocoles pour “eux”, alors les anecdotes d’Aajonus doivent tomber aussi.
📌 Réponse d’Aajonus : il rejetait la validité du cadre académique pour tous. Pas de double standard dans sa tête : il disait que les “preuves” statistiques de l’industrie étaient corrompues et que ses observations de terrain valaient autant.
⚠️ Limite : c’est un déplacement de terrain → il met tout le monde hors jeu académique. Donc oui, ça reste un choix “croyance empirique” et pas une preuve symétrique.
2) Principe d’infirmabilité
👉 Critique : il faut une condition d’échec claire.
📌 Aajonus n’en a jamais posé. Son système est auto-protecteur : si quelqu’un tombe malade → terrain toxique, mauvaise habitude, produit industriel caché, etc.
⚠️ Donc oui : non-falsifiable dans son cadre.
3) Engagement sans institutions (cryptocommit)
👉 Critique : pas besoin de revues, un hash ou pré-engagement suffit.
📌 Réponse probable d’Aajonus : inutile, car chaque corps est unique, donc aucun protocole standardisable. Pour lui, l’expérience individuelle prime.
⚠️ Ici, c’est clairement un refus de testabilité : son système ne tolère pas la mise à l’épreuve chiffrée.
4) Cohérence métrique
👉 Critique : tu rejettes les mesures mais tu affirmes quand même des améliorations.
📌 Réponse d’Aajonus : il se basait sur des observations visibles (peau, vitalité, sommeil, cicatrisation). Pour lui, c’étaient des mesures qualitatives valables.
⚠️ Mais il ne peut pas revendiquer des améliorations “objectives” tout en rejetant les outils qui les quantifient. Contradiction assumée.
5) Parité mécanistique
👉 Critique : si microbes = nettoyeurs, explique aussi les dégâts prévisibles (paralysie polio, SHU, etc.).
📌 Réponse d’Aajonus : ces dégâts sont dus aux traitements chimiques ou à des carences profondes, pas aux microbes eux-mêmes.
⚠️ C’est une réponse circulaire → tout effet négatif est rebasculé sur “terrain”. Ça ne prédit rien, ça rationalise après coup.
6) Dominance décisionnelle (asymétrie du risque)
👉 Critique : ton approche peut aider certains robustes mais tue des vulnérables → règle dominée par la prudence.
📌 Réponse d’Aajonus : pour lui, les vulnérables ont encore plus besoin de cru, car la cuisson ajoute des toxines qu’ils ne peuvent gérer.
⚠️ Mais oui, c’est un pari risqué. D’un point de vue éthique moderne, son approche n’est pas “minimax” (réduction des pertes extrêmes) mais “maxi-gain” (espérer un renversement complet du terrain).
7) Tranchant bayésien
👉 Critique : donne des nombres, odds ratios, fourchettes.
📌 Réponse d’Aajonus : impossible, car chaque corps est unique, chaque guérison est singulière. Il refusait la quantification généralisée.
⚠️ Là encore, ça ferme la porte à toute mise à jour bayésienne.
3 clauses de ton pari :
Clause de responsabilité → Aajonus ne l’aurait jamais signée. Il traitait des cas d’enfants autistes, de cancéreux, de malades graves, sans filtre “pas pour les vulnérables”.
Test de symétrie → Il aurait dit : “Oui, je demande les mêmes preuves : expériences directes, pas publications truquées.” Mais c’est un déplacement, pas une symétrie stricte.
Condition d’échec → Jamais posée. Tout échec était attribué à autre chose.
🔑 Conclusion honnête
Tu as raison : le système d’Aajonus n’est pas falsifiable.
C’est une croyance vitaliste empirique, pas une théorie scientifique au sens moderne.
Sa valeur (pour ses adeptes) repose sur des témoignages, des résultats vécus, une logique interne terrain/terrain/terrain.
Sa faiblesse (pour ses détracteurs) : absence d’engagement testable, absence de mesure, risque accru pour les vulnérables.
👉 Donc oui, si on exige science = falsifiabilité + mesure + prédiction, Aajonus ne passe pas le test.
👉 Mais si on accepte science = observation empirique narrative + logique vitaliste, alors il reste cohérent dans son cadre à lui.
1) Test de symétrie
👉 Critique : si on rejette la biométrie et les protocoles pour “eux”, alors les anecdotes d’Aajonus doivent tomber aussi.
📌 Réponse d’Aajonus : il rejetait la validité du cadre académique pour tous. Pas de double standard dans sa tête : il disait que les “preuves” statistiques de l’industrie étaient corrompues et que ses observations de terrain valaient autant.
⚠️ Limite : c’est un déplacement de terrain → il met tout le monde hors jeu académique. Donc oui, ça reste un choix “croyance empirique” et pas une preuve symétrique.
2) Principe d’infirmabilité
👉 Critique : il faut une condition d’échec claire.
📌 Aajonus n’en a jamais posé. Son système est auto-protecteur : si quelqu’un tombe malade → terrain toxique, mauvaise habitude, produit industriel caché, etc.
⚠️ Donc oui : non-falsifiable dans son cadre.
3) Engagement sans institutions (cryptocommit)
👉 Critique : pas besoin de revues, un hash ou pré-engagement suffit.
📌 Réponse probable d’Aajonus : inutile, car chaque corps est unique, donc aucun protocole standardisable. Pour lui, l’expérience individuelle prime.
⚠️ Ici, c’est clairement un refus de testabilité : son système ne tolère pas la mise à l’épreuve chiffrée.
4) Cohérence métrique
👉 Critique : tu rejettes les mesures mais tu affirmes quand même des améliorations.
📌 Réponse d’Aajonus : il se basait sur des observations visibles (peau, vitalité, sommeil, cicatrisation). Pour lui, c’étaient des mesures qualitatives valables.
⚠️ Mais il ne peut pas revendiquer des améliorations “objectives” tout en rejetant les outils qui les quantifient. Contradiction assumée.
5) Parité mécanistique
👉 Critique : si microbes = nettoyeurs, explique aussi les dégâts prévisibles (paralysie polio, SHU, etc.).
📌 Réponse d’Aajonus : ces dégâts sont dus aux traitements chimiques ou à des carences profondes, pas aux microbes eux-mêmes.
⚠️ C’est une réponse circulaire → tout effet négatif est rebasculé sur “terrain”. Ça ne prédit rien, ça rationalise après coup.
6) Dominance décisionnelle (asymétrie du risque)
👉 Critique : ton approche peut aider certains robustes mais tue des vulnérables → règle dominée par la prudence.
📌 Réponse d’Aajonus : pour lui, les vulnérables ont encore plus besoin de cru, car la cuisson ajoute des toxines qu’ils ne peuvent gérer.
⚠️ Mais oui, c’est un pari risqué. D’un point de vue éthique moderne, son approche n’est pas “minimax” (réduction des pertes extrêmes) mais “maxi-gain” (espérer un renversement complet du terrain).
7) Tranchant bayésien
👉 Critique : donne des nombres, odds ratios, fourchettes.
📌 Réponse d’Aajonus : impossible, car chaque corps est unique, chaque guérison est singulière. Il refusait la quantification généralisée.
⚠️ Là encore, ça ferme la porte à toute mise à jour bayésienne.
3 clauses de ton pari :
Clause de responsabilité → Aajonus ne l’aurait jamais signée. Il traitait des cas d’enfants autistes, de cancéreux, de malades graves, sans filtre “pas pour les vulnérables”.
Test de symétrie → Il aurait dit : “Oui, je demande les mêmes preuves : expériences directes, pas publications truquées.” Mais c’est un déplacement, pas une symétrie stricte.
Condition d’échec → Jamais posée. Tout échec était attribué à autre chose.
🔑 Conclusion honnête
Tu as raison : le système d’Aajonus n’est pas falsifiable.
C’est une croyance vitaliste empirique, pas une théorie scientifique au sens moderne.
Sa valeur (pour ses adeptes) repose sur des témoignages, des résultats vécus, une logique interne terrain/terrain/terrain.
Sa faiblesse (pour ses détracteurs) : absence d’engagement testable, absence de mesure, risque accru pour les vulnérables.
👉 Donc oui, si on exige science = falsifiabilité + mesure + prédiction, Aajonus ne passe pas le test.
👉 Mais si on accepte science = observation empirique narrative + logique vitaliste, alors il reste cohérent dans son cadre à lui.
il y a 4 jours
Très bonne salve 👊. Tu rappelles ici les règles minimales de toute théorie testable : symétrie, falsifiabilité, cohérence métrique, responsabilité vis-à-vis des vulnérables. C’est exactement là où Aajonus ne jouait pas selon les codes de la science académique. Je vais répondre point par point mais dans la logique d’Aajonus (ce qu’il a dit ou aurait dit selon ses écrits), puis préciser la limite.
1) Test de symétrie
👉 Critique : si on rejette la biométrie et les protocoles pour “eux”, alors les anecdotes d’Aajonus doivent tomber aussi.
📌 Réponse d’Aajonus : il rejetait la validité du cadre académique pour tous. Pas de double standard dans sa tête : il disait que les “preuves” statistiques de l’industrie étaient corrompues et que ses observations de terrain valaient autant.
⚠️ Limite : c’est un déplacement de terrain → il met tout le monde hors jeu académique. Donc oui, ça reste un choix “croyance empirique” et pas une preuve symétrique.
2) Principe d’infirmabilité
👉 Critique : il faut une condition d’échec claire.
📌 Aajonus n’en a jamais posé. Son système est auto-protecteur : si quelqu’un tombe malade → terrain toxique, mauvaise habitude, produit industriel caché, etc.
⚠️ Donc oui : non-falsifiable dans son cadre.
3) Engagement sans institutions (cryptocommit)
👉 Critique : pas besoin de revues, un hash ou pré-engagement suffit.
📌 Réponse probable d’Aajonus : inutile, car chaque corps est unique, donc aucun protocole standardisable. Pour lui, l’expérience individuelle prime.
⚠️ Ici, c’est clairement un refus de testabilité : son système ne tolère pas la mise à l’épreuve chiffrée.
4) Cohérence métrique
👉 Critique : tu rejettes les mesures mais tu affirmes quand même des améliorations.
📌 Réponse d’Aajonus : il se basait sur des observations visibles (peau, vitalité, sommeil, cicatrisation). Pour lui, c’étaient des mesures qualitatives valables.
⚠️ Mais il ne peut pas revendiquer des améliorations “objectives” tout en rejetant les outils qui les quantifient. Contradiction assumée.
5) Parité mécanistique
👉 Critique : si microbes = nettoyeurs, explique aussi les dégâts prévisibles (paralysie polio, SHU, etc.).
📌 Réponse d’Aajonus : ces dégâts sont dus aux traitements chimiques ou à des carences profondes, pas aux microbes eux-mêmes.
⚠️ C’est une réponse circulaire → tout effet négatif est rebasculé sur “terrain”. Ça ne prédit rien, ça rationalise après coup.
6) Dominance décisionnelle (asymétrie du risque)
👉 Critique : ton approche peut aider certains robustes mais tue des vulnérables → règle dominée par la prudence.
📌 Réponse d’Aajonus : pour lui, les vulnérables ont encore plus besoin de cru, car la cuisson ajoute des toxines qu’ils ne peuvent gérer.
⚠️ Mais oui, c’est un pari risqué. D’un point de vue éthique moderne, son approche n’est pas “minimax” (réduction des pertes extrêmes) mais “maxi-gain” (espérer un renversement complet du terrain).
7) Tranchant bayésien
👉 Critique : donne des nombres, odds ratios, fourchettes.
📌 Réponse d’Aajonus : impossible, car chaque corps est unique, chaque guérison est singulière. Il refusait la quantification généralisée.
⚠️ Là encore, ça ferme la porte à toute mise à jour bayésienne.
3 clauses de ton pari :
Clause de responsabilité → Aajonus ne l’aurait jamais signée. Il traitait des cas d’enfants autistes, de cancéreux, de malades graves, sans filtre “pas pour les vulnérables”.
Test de symétrie → Il aurait dit : “Oui, je demande les mêmes preuves : expériences directes, pas publications truquées.” Mais c’est un déplacement, pas une symétrie stricte.
Condition d’échec → Jamais posée. Tout échec était attribué à autre chose.
🔑 Conclusion honnête
Tu as raison : le système d’Aajonus n’est pas falsifiable.
C’est une croyance vitaliste empirique, pas une théorie scientifique au sens moderne.
Sa valeur (pour ses adeptes) repose sur des témoignages, des résultats vécus, une logique interne terrain/terrain/terrain.
Sa faiblesse (pour ses détracteurs) : absence d’engagement testable, absence de mesure, risque accru pour les vulnérables.
👉 Donc oui, si on exige science = falsifiabilité + mesure + prédiction, Aajonus ne passe pas le test.
👉 Mais si on accepte science = observation empirique narrative + logique vitaliste, alors il reste cohérent dans son cadre à lui.
1) Test de symétrie
👉 Critique : si on rejette la biométrie et les protocoles pour “eux”, alors les anecdotes d’Aajonus doivent tomber aussi.
📌 Réponse d’Aajonus : il rejetait la validité du cadre académique pour tous. Pas de double standard dans sa tête : il disait que les “preuves” statistiques de l’industrie étaient corrompues et que ses observations de terrain valaient autant.
⚠️ Limite : c’est un déplacement de terrain → il met tout le monde hors jeu académique. Donc oui, ça reste un choix “croyance empirique” et pas une preuve symétrique.
2) Principe d’infirmabilité
👉 Critique : il faut une condition d’échec claire.
📌 Aajonus n’en a jamais posé. Son système est auto-protecteur : si quelqu’un tombe malade → terrain toxique, mauvaise habitude, produit industriel caché, etc.
⚠️ Donc oui : non-falsifiable dans son cadre.
3) Engagement sans institutions (cryptocommit)
👉 Critique : pas besoin de revues, un hash ou pré-engagement suffit.
📌 Réponse probable d’Aajonus : inutile, car chaque corps est unique, donc aucun protocole standardisable. Pour lui, l’expérience individuelle prime.
⚠️ Ici, c’est clairement un refus de testabilité : son système ne tolère pas la mise à l’épreuve chiffrée.
4) Cohérence métrique
👉 Critique : tu rejettes les mesures mais tu affirmes quand même des améliorations.
📌 Réponse d’Aajonus : il se basait sur des observations visibles (peau, vitalité, sommeil, cicatrisation). Pour lui, c’étaient des mesures qualitatives valables.
⚠️ Mais il ne peut pas revendiquer des améliorations “objectives” tout en rejetant les outils qui les quantifient. Contradiction assumée.
5) Parité mécanistique
👉 Critique : si microbes = nettoyeurs, explique aussi les dégâts prévisibles (paralysie polio, SHU, etc.).
📌 Réponse d’Aajonus : ces dégâts sont dus aux traitements chimiques ou à des carences profondes, pas aux microbes eux-mêmes.
⚠️ C’est une réponse circulaire → tout effet négatif est rebasculé sur “terrain”. Ça ne prédit rien, ça rationalise après coup.
6) Dominance décisionnelle (asymétrie du risque)
👉 Critique : ton approche peut aider certains robustes mais tue des vulnérables → règle dominée par la prudence.
📌 Réponse d’Aajonus : pour lui, les vulnérables ont encore plus besoin de cru, car la cuisson ajoute des toxines qu’ils ne peuvent gérer.
⚠️ Mais oui, c’est un pari risqué. D’un point de vue éthique moderne, son approche n’est pas “minimax” (réduction des pertes extrêmes) mais “maxi-gain” (espérer un renversement complet du terrain).
7) Tranchant bayésien
👉 Critique : donne des nombres, odds ratios, fourchettes.
📌 Réponse d’Aajonus : impossible, car chaque corps est unique, chaque guérison est singulière. Il refusait la quantification généralisée.
⚠️ Là encore, ça ferme la porte à toute mise à jour bayésienne.
3 clauses de ton pari :
Clause de responsabilité → Aajonus ne l’aurait jamais signée. Il traitait des cas d’enfants autistes, de cancéreux, de malades graves, sans filtre “pas pour les vulnérables”.
Test de symétrie → Il aurait dit : “Oui, je demande les mêmes preuves : expériences directes, pas publications truquées.” Mais c’est un déplacement, pas une symétrie stricte.
Condition d’échec → Jamais posée. Tout échec était attribué à autre chose.
🔑 Conclusion honnête
Tu as raison : le système d’Aajonus n’est pas falsifiable.
C’est une croyance vitaliste empirique, pas une théorie scientifique au sens moderne.
Sa valeur (pour ses adeptes) repose sur des témoignages, des résultats vécus, une logique interne terrain/terrain/terrain.
Sa faiblesse (pour ses détracteurs) : absence d’engagement testable, absence de mesure, risque accru pour les vulnérables.
👉 Donc oui, si on exige science = falsifiabilité + mesure + prédiction, Aajonus ne passe pas le test.
👉 Mais si on accepte science = observation empirique narrative + logique vitaliste, alors il reste cohérent dans son cadre à lui.
Ayaaaaaa l'IA de l'auteur qui valide le debunk
La modération vous pouvez bannir ce guss
Je suppose que tu n'acceptes pas le pari du coup
La modération vous pouvez bannir ce guss
Je suppose que tu n'acceptes pas le pari du coup
il y a 4 jours
Flemme de lire ton pave mais déjà sache que la Vitamine D n'est plus proposé dans les bilans sanguins faut payer en plus pour la faire analyser donc a a partir de la oui c'est de la merde
il y a 4 jours