Ce sujet a été résolu
Vous avez des analyses sanguines parfaites, vous pensez être exempté ? Eh bien désolé pour vous mais la réalité est tout autre, les bilans sanguins sont loin d’être fiables et ne permettent pas du tout une vision holistique. On peut tout légitimement s’interroger sur leur fiabilité quand des végans ne présentent pas la moindre carence en fer tandis que des carnivores peuvent en avoir.
Vous pensez très sincèrement qu’une personne qui ne consomme pas de poissons ou d’œufs, qui n’a aucune exposition à la vitamine D, peut prétendre avoir autant de vitamine D que besoin ? Les bilans sanguins n’y voient souvent aucune anomalie à ces profils.
En plus de ça, il est impossible de mesurer vraiment les besoins du corps. Ça va simplement dépendre de votre niveau de toxicité interne. Plus vous avez consommé de médicaments, reçu de vaccins, mangé une alimentation inappropriée et été exposé aux toxines au cours de votre vie, plus vos besoins en nutriments seront élevés pour consolider tous les dégâts que vous avez faits à votre corps. Le corps priorise l’utilisation de nutriments en fonction de votre profil. Il peut juger bon de prioriser l’utilisation des nutriments dans un seul organe et se montrer négligent sur le reste. Une fois qu’un organe est jugé suffisamment sain, le corps se concentre sur un autre organe.
Vous vous doutez que plus le corps juge quelque chose de secondaire à votre survie, plus il négligera son approvisionnement en nutriments. C’est pour ça que les premières dégénérescences touchent d’abord les cheveux et les dents : ce n’est pas le plus important à votre survie.
On pense à tort que les caries sont génétiques parce que certains individus arrivent à garder leurs dents malgré une absence d’hygiène. Ces gens ne font que prioriser l’utilisation de leurs nutriments dans leur dentition et surtout ont reçu des anciennes générations suffisamment de nutriments pour supporter une alimentation déséquilibrée au cours de leur vie. Peu de gens comprennent que la qualité de l’alimentation prénatale sur les anciennes générations a souvent plus d’incidence sur toute une vie qu’une alimentation jugée adaptée depuis la naissance. Même si vous savez que selon moi elle ne l’est pas du tout.
Quoi qu’il en soit, la dégénérescence a bien lieu. Les prochaines générations auront de plus en plus de déminéralisation dentaire au fil des générations suivantes. Il n’existe aucune génétique qui autorise plus de malnutrition qu’une autre.
Nos ancêtres arrivaient à avoir une santé exceptionnelle avec une consommation modérée de viande et une alimentation basée principalement sur des produits laitiers et du pain au levain de variétés beaucoup plus riches en nutriments que les nôtres. Est-ce que ça signifie que sur une alimentation similaire vous pourrez retrouver une bonne santé ? Eh bien la réponse est non, ces gens vivaient dans un monde beaucoup plus sain que le nôtre, presque exempt de pollutions et toxines. Leurs besoins en nutriments étaient beaucoup plus faibles du fait aussi de leur condition de vie prénatale, contrairement à nous qui descendons d’humains nourris comme du bétail.
Ils avaient suffisamment de nutriments selon leurs besoins, mais les vôtres sont bien infiniment supérieurs. C’est uniquement quand on a déjà une santé qu’on peut se permettre des aliments inadaptés comme du pain ou de la viande peu cuite. Néanmoins, aucun ancien peuple ou tribu n’a jamais maintenu une bonne santé sans au moins une seule source de protéines et graisses crues. Quand ils ne consommaient peu ou pas beaucoup de viande crue, il fallait du lait cru comme substitut. Les Aborigènes qui consommaient principalement de la viande très cuite, certainement sous l’influence des colons, étaient déjà certainement en déclin par rapport à leurs ancêtres bien avant l’exposition aux aliments industriels. Ils souffraient de problèmes osseux, de paludisme, comparés à tous les autres peuples sains. On leur notait tout de même une santé bien supérieure aux occidentaux mais encore une fois, leurs besoins étaient plus faibles qu’un humain urbain donc ce régime inadapté avait une incidence tout autre sur eux.
Maintenant vous allez vous demander si être en bonne santé sans carence de nos jours est possible avec nos aliments appauvris, sélectionnés pour les plus hauts rendements. Heureusement, la réponse est oui, en échange de changements dont peu de gens seraient prêts à faire. Aajonus Vonderplanitz, la seule personne à avoir étudié la transition vers un individu moderne dénutri à un humain dans son état sauvage. Le temps nécessaire pour se débarrasser de toutes les toxines présentes dans le corps et retrouver, effectuer une bonne régénération cellulaire complète serait de 40 ans en suivant un régime alimentaire composé principalement de viandes crues, lait cru et œufs. Les végétaux n’y sont pas exclus mais un protocole strict sur leur consommation est à suivre. Il faut éviter toute source de déminéralisation que ce soit antinutriments, sels, cuissons et y être vraiment très régulier et strict. N’écoutez pas les institutions et endoctrinés qui vous diront qu’une alimentation doit rester un plaisir, ne jamais être dans les extrêmes.
Je sais que ce message atteindra peu de monde mais si vous ne voulez pas faire ça, vous pouvez tout de même introduire des plats de viandes crues comme du sashimi ou tartare et du beurre cru de la marque Gaborit. Évitez les autres qui sont frauduleux. Il faut que le beurre soit bio, les toxines se stockent beaucoup dans le gras. Le label bio est loin d’être le label de l’excellence mais la différence en vaut quand même le coût pour les produits animaux, beaucoup moins pour les produits végétaux. Mais en ce qui concerne l’agriculture j’ai beaucoup moins de connaissances à ce sujet.
Vous pensez très sincèrement qu’une personne qui ne consomme pas de poissons ou d’œufs, qui n’a aucune exposition à la vitamine D, peut prétendre avoir autant de vitamine D que besoin ? Les bilans sanguins n’y voient souvent aucune anomalie à ces profils.
En plus de ça, il est impossible de mesurer vraiment les besoins du corps. Ça va simplement dépendre de votre niveau de toxicité interne. Plus vous avez consommé de médicaments, reçu de vaccins, mangé une alimentation inappropriée et été exposé aux toxines au cours de votre vie, plus vos besoins en nutriments seront élevés pour consolider tous les dégâts que vous avez faits à votre corps. Le corps priorise l’utilisation de nutriments en fonction de votre profil. Il peut juger bon de prioriser l’utilisation des nutriments dans un seul organe et se montrer négligent sur le reste. Une fois qu’un organe est jugé suffisamment sain, le corps se concentre sur un autre organe.
Vous vous doutez que plus le corps juge quelque chose de secondaire à votre survie, plus il négligera son approvisionnement en nutriments. C’est pour ça que les premières dégénérescences touchent d’abord les cheveux et les dents : ce n’est pas le plus important à votre survie.
On pense à tort que les caries sont génétiques parce que certains individus arrivent à garder leurs dents malgré une absence d’hygiène. Ces gens ne font que prioriser l’utilisation de leurs nutriments dans leur dentition et surtout ont reçu des anciennes générations suffisamment de nutriments pour supporter une alimentation déséquilibrée au cours de leur vie. Peu de gens comprennent que la qualité de l’alimentation prénatale sur les anciennes générations a souvent plus d’incidence sur toute une vie qu’une alimentation jugée adaptée depuis la naissance. Même si vous savez que selon moi elle ne l’est pas du tout.
Quoi qu’il en soit, la dégénérescence a bien lieu. Les prochaines générations auront de plus en plus de déminéralisation dentaire au fil des générations suivantes. Il n’existe aucune génétique qui autorise plus de malnutrition qu’une autre.
Nos ancêtres arrivaient à avoir une santé exceptionnelle avec une consommation modérée de viande et une alimentation basée principalement sur des produits laitiers et du pain au levain de variétés beaucoup plus riches en nutriments que les nôtres. Est-ce que ça signifie que sur une alimentation similaire vous pourrez retrouver une bonne santé ? Eh bien la réponse est non, ces gens vivaient dans un monde beaucoup plus sain que le nôtre, presque exempt de pollutions et toxines. Leurs besoins en nutriments étaient beaucoup plus faibles du fait aussi de leur condition de vie prénatale, contrairement à nous qui descendons d’humains nourris comme du bétail.
Ils avaient suffisamment de nutriments selon leurs besoins, mais les vôtres sont bien infiniment supérieurs. C’est uniquement quand on a déjà une santé qu’on peut se permettre des aliments inadaptés comme du pain ou de la viande peu cuite. Néanmoins, aucun ancien peuple ou tribu n’a jamais maintenu une bonne santé sans au moins une seule source de protéines et graisses crues. Quand ils ne consommaient peu ou pas beaucoup de viande crue, il fallait du lait cru comme substitut. Les Aborigènes qui consommaient principalement de la viande très cuite, certainement sous l’influence des colons, étaient déjà certainement en déclin par rapport à leurs ancêtres bien avant l’exposition aux aliments industriels. Ils souffraient de problèmes osseux, de paludisme, comparés à tous les autres peuples sains. On leur notait tout de même une santé bien supérieure aux occidentaux mais encore une fois, leurs besoins étaient plus faibles qu’un humain urbain donc ce régime inadapté avait une incidence tout autre sur eux.
Maintenant vous allez vous demander si être en bonne santé sans carence de nos jours est possible avec nos aliments appauvris, sélectionnés pour les plus hauts rendements. Heureusement, la réponse est oui, en échange de changements dont peu de gens seraient prêts à faire. Aajonus Vonderplanitz, la seule personne à avoir étudié la transition vers un individu moderne dénutri à un humain dans son état sauvage. Le temps nécessaire pour se débarrasser de toutes les toxines présentes dans le corps et retrouver, effectuer une bonne régénération cellulaire complète serait de 40 ans en suivant un régime alimentaire composé principalement de viandes crues, lait cru et œufs. Les végétaux n’y sont pas exclus mais un protocole strict sur leur consommation est à suivre. Il faut éviter toute source de déminéralisation que ce soit antinutriments, sels, cuissons et y être vraiment très régulier et strict. N’écoutez pas les institutions et endoctrinés qui vous diront qu’une alimentation doit rester un plaisir, ne jamais être dans les extrêmes.
Je sais que ce message atteindra peu de monde mais si vous ne voulez pas faire ça, vous pouvez tout de même introduire des plats de viandes crues comme du sashimi ou tartare et du beurre cru de la marque Gaborit. Évitez les autres qui sont frauduleux. Il faut que le beurre soit bio, les toxines se stockent beaucoup dans le gras. Le label bio est loin d’être le label de l’excellence mais la différence en vaut quand même le coût pour les produits animaux, beaucoup moins pour les produits végétaux. Mais en ce qui concerne l’agriculture j’ai beaucoup moins de connaissances à ce sujet.
il y a 5 jours
Kj-Cage
5j
Vous avez des analyses sanguines parfaites, vous pensez être exempté ? Eh bien désolé pour vous mais la réalité est tout autre, les bilans sanguins sont loin d’être fiables et ne permettent pas du tout une vision holistique. On peut tout légitimement s’interroger sur leur fiabilité quand des végans ne présentent pas la moindre carence en fer tandis que des carnivores peuvent en avoir.
Vous pensez très sincèrement qu’une personne qui ne consomme pas de poissons ou d’œufs, qui n’a aucune exposition à la vitamine D, peut prétendre avoir autant de vitamine D que besoin ? Les bilans sanguins n’y voient souvent aucune anomalie à ces profils.
En plus de ça, il est impossible de mesurer vraiment les besoins du corps. Ça va simplement dépendre de votre niveau de toxicité interne. Plus vous avez consommé de médicaments, reçu de vaccins, mangé une alimentation inappropriée et été exposé aux toxines au cours de votre vie, plus vos besoins en nutriments seront élevés pour consolider tous les dégâts que vous avez faits à votre corps. Le corps priorise l’utilisation de nutriments en fonction de votre profil. Il peut juger bon de prioriser l’utilisation des nutriments dans un seul organe et se montrer négligent sur le reste. Une fois qu’un organe est jugé suffisamment sain, le corps se concentre sur un autre organe.
Vous vous doutez que plus le corps juge quelque chose de secondaire à votre survie, plus il négligera son approvisionnement en nutriments. C’est pour ça que les premières dégénérescences touchent d’abord les cheveux et les dents : ce n’est pas le plus important à votre survie.
On pense à tort que les caries sont génétiques parce que certains individus arrivent à garder leurs dents malgré une absence d’hygiène. Ces gens ne font que prioriser l’utilisation de leurs nutriments dans leur dentition et surtout ont reçu des anciennes générations suffisamment de nutriments pour supporter une alimentation déséquilibrée au cours de leur vie. Peu de gens comprennent que la qualité de l’alimentation prénatale sur les anciennes générations a souvent plus d’incidence sur toute une vie qu’une alimentation jugée adaptée depuis la naissance. Même si vous savez que selon moi elle ne l’est pas du tout.
Quoi qu’il en soit, la dégénérescence a bien lieu. Les prochaines générations auront de plus en plus de déminéralisation dentaire au fil des générations suivantes. Il n’existe aucune génétique qui autorise plus de malnutrition qu’une autre.
Nos ancêtres arrivaient à avoir une santé exceptionnelle avec une consommation modérée de viande et une alimentation basée principalement sur des produits laitiers et du pain au levain de variétés beaucoup plus riches en nutriments que les nôtres. Est-ce que ça signifie que sur une alimentation similaire vous pourrez retrouver une bonne santé ? Eh bien la réponse est non, ces gens vivaient dans un monde beaucoup plus sain que le nôtre, presque exempt de pollutions et toxines. Leurs besoins en nutriments étaient beaucoup plus faibles du fait aussi de leur condition de vie prénatale, contrairement à nous qui descendons d’humains nourris comme du bétail.
Ils avaient suffisamment de nutriments selon leurs besoins, mais les vôtres sont bien infiniment supérieurs. C’est uniquement quand on a déjà une santé qu’on peut se permettre des aliments inadaptés comme du pain ou de la viande peu cuite. Néanmoins, aucun ancien peuple ou tribu n’a jamais maintenu une bonne santé sans au moins une seule source de protéines et graisses crues. Quand ils ne consommaient peu ou pas beaucoup de viande crue, il fallait du lait cru comme substitut. Les Aborigènes qui consommaient principalement de la viande très cuite, certainement sous l’influence des colons, étaient déjà certainement en déclin par rapport à leurs ancêtres bien avant l’exposition aux aliments industriels. Ils souffraient de problèmes osseux, de paludisme, comparés à tous les autres peuples sains. On leur notait tout de même une santé bien supérieure aux occidentaux mais encore une fois, leurs besoins étaient plus faibles qu’un humain urbain donc ce régime inadapté avait une incidence tout autre sur eux.
Maintenant vous allez vous demander si être en bonne santé sans carence de nos jours est possible avec nos aliments appauvris, sélectionnés pour les plus hauts rendements. Heureusement, la réponse est oui, en échange de changements dont peu de gens seraient prêts à faire. Aajonus Vonderplanitz, la seule personne à avoir étudié la transition vers un individu moderne dénutri à un humain dans son état sauvage. Le temps nécessaire pour se débarrasser de toutes les toxines présentes dans le corps et retrouver, effectuer une bonne régénération cellulaire complète serait de 40 ans en suivant un régime alimentaire composé principalement de viandes crues, lait cru et œufs. Les végétaux n’y sont pas exclus mais un protocole strict sur leur consommation est à suivre. Il faut éviter toute source de déminéralisation que ce soit antinutriments, sels, cuissons et y être vraiment très régulier et strict. N’écoutez pas les institutions et endoctrinés qui vous diront qu’une alimentation doit rester un plaisir, ne jamais être dans les extrêmes.
Je sais que ce message atteindra peu de monde mais si vous ne voulez pas faire ça, vous pouvez tout de même introduire des plats de viandes crues comme du sashimi ou tartare et du beurre cru de la marque Gaborit. Évitez les autres qui sont frauduleux. Il faut que le beurre soit bio, les toxines se stockent beaucoup dans le gras. Le label bio est loin d’être le label de l’excellence mais la différence en vaut quand même le coût pour les produits animaux, beaucoup moins pour les produits végétaux. Mais en ce qui concerne l’agriculture j’ai beaucoup moins de connaissances à ce sujet.
Vous pensez très sincèrement qu’une personne qui ne consomme pas de poissons ou d’œufs, qui n’a aucune exposition à la vitamine D, peut prétendre avoir autant de vitamine D que besoin ? Les bilans sanguins n’y voient souvent aucune anomalie à ces profils.
En plus de ça, il est impossible de mesurer vraiment les besoins du corps. Ça va simplement dépendre de votre niveau de toxicité interne. Plus vous avez consommé de médicaments, reçu de vaccins, mangé une alimentation inappropriée et été exposé aux toxines au cours de votre vie, plus vos besoins en nutriments seront élevés pour consolider tous les dégâts que vous avez faits à votre corps. Le corps priorise l’utilisation de nutriments en fonction de votre profil. Il peut juger bon de prioriser l’utilisation des nutriments dans un seul organe et se montrer négligent sur le reste. Une fois qu’un organe est jugé suffisamment sain, le corps se concentre sur un autre organe.
Vous vous doutez que plus le corps juge quelque chose de secondaire à votre survie, plus il négligera son approvisionnement en nutriments. C’est pour ça que les premières dégénérescences touchent d’abord les cheveux et les dents : ce n’est pas le plus important à votre survie.
On pense à tort que les caries sont génétiques parce que certains individus arrivent à garder leurs dents malgré une absence d’hygiène. Ces gens ne font que prioriser l’utilisation de leurs nutriments dans leur dentition et surtout ont reçu des anciennes générations suffisamment de nutriments pour supporter une alimentation déséquilibrée au cours de leur vie. Peu de gens comprennent que la qualité de l’alimentation prénatale sur les anciennes générations a souvent plus d’incidence sur toute une vie qu’une alimentation jugée adaptée depuis la naissance. Même si vous savez que selon moi elle ne l’est pas du tout.
Quoi qu’il en soit, la dégénérescence a bien lieu. Les prochaines générations auront de plus en plus de déminéralisation dentaire au fil des générations suivantes. Il n’existe aucune génétique qui autorise plus de malnutrition qu’une autre.
Nos ancêtres arrivaient à avoir une santé exceptionnelle avec une consommation modérée de viande et une alimentation basée principalement sur des produits laitiers et du pain au levain de variétés beaucoup plus riches en nutriments que les nôtres. Est-ce que ça signifie que sur une alimentation similaire vous pourrez retrouver une bonne santé ? Eh bien la réponse est non, ces gens vivaient dans un monde beaucoup plus sain que le nôtre, presque exempt de pollutions et toxines. Leurs besoins en nutriments étaient beaucoup plus faibles du fait aussi de leur condition de vie prénatale, contrairement à nous qui descendons d’humains nourris comme du bétail.
Ils avaient suffisamment de nutriments selon leurs besoins, mais les vôtres sont bien infiniment supérieurs. C’est uniquement quand on a déjà une santé qu’on peut se permettre des aliments inadaptés comme du pain ou de la viande peu cuite. Néanmoins, aucun ancien peuple ou tribu n’a jamais maintenu une bonne santé sans au moins une seule source de protéines et graisses crues. Quand ils ne consommaient peu ou pas beaucoup de viande crue, il fallait du lait cru comme substitut. Les Aborigènes qui consommaient principalement de la viande très cuite, certainement sous l’influence des colons, étaient déjà certainement en déclin par rapport à leurs ancêtres bien avant l’exposition aux aliments industriels. Ils souffraient de problèmes osseux, de paludisme, comparés à tous les autres peuples sains. On leur notait tout de même une santé bien supérieure aux occidentaux mais encore une fois, leurs besoins étaient plus faibles qu’un humain urbain donc ce régime inadapté avait une incidence tout autre sur eux.
Maintenant vous allez vous demander si être en bonne santé sans carence de nos jours est possible avec nos aliments appauvris, sélectionnés pour les plus hauts rendements. Heureusement, la réponse est oui, en échange de changements dont peu de gens seraient prêts à faire. Aajonus Vonderplanitz, la seule personne à avoir étudié la transition vers un individu moderne dénutri à un humain dans son état sauvage. Le temps nécessaire pour se débarrasser de toutes les toxines présentes dans le corps et retrouver, effectuer une bonne régénération cellulaire complète serait de 40 ans en suivant un régime alimentaire composé principalement de viandes crues, lait cru et œufs. Les végétaux n’y sont pas exclus mais un protocole strict sur leur consommation est à suivre. Il faut éviter toute source de déminéralisation que ce soit antinutriments, sels, cuissons et y être vraiment très régulier et strict. N’écoutez pas les institutions et endoctrinés qui vous diront qu’une alimentation doit rester un plaisir, ne jamais être dans les extrêmes.
Je sais que ce message atteindra peu de monde mais si vous ne voulez pas faire ça, vous pouvez tout de même introduire des plats de viandes crues comme du sashimi ou tartare et du beurre cru de la marque Gaborit. Évitez les autres qui sont frauduleux. Il faut que le beurre soit bio, les toxines se stockent beaucoup dans le gras. Le label bio est loin d’être le label de l’excellence mais la différence en vaut quand même le coût pour les produits animaux, beaucoup moins pour les produits végétaux. Mais en ce qui concerne l’agriculture j’ai beaucoup moins de connaissances à ce sujet.
Effectivement c'est un pavé et bien entendu, je n'ai rien lu
il y a 5 jours
Kj-Cage
5j
Vous avez des analyses sanguines parfaites, vous pensez être exempté ? Eh bien désolé pour vous mais la réalité est tout autre, les bilans sanguins sont loin d’être fiables et ne permettent pas du tout une vision holistique. On peut tout légitimement s’interroger sur leur fiabilité quand des végans ne présentent pas la moindre carence en fer tandis que des carnivores peuvent en avoir.
Vous pensez très sincèrement qu’une personne qui ne consomme pas de poissons ou d’œufs, qui n’a aucune exposition à la vitamine D, peut prétendre avoir autant de vitamine D que besoin ? Les bilans sanguins n’y voient souvent aucune anomalie à ces profils.
En plus de ça, il est impossible de mesurer vraiment les besoins du corps. Ça va simplement dépendre de votre niveau de toxicité interne. Plus vous avez consommé de médicaments, reçu de vaccins, mangé une alimentation inappropriée et été exposé aux toxines au cours de votre vie, plus vos besoins en nutriments seront élevés pour consolider tous les dégâts que vous avez faits à votre corps. Le corps priorise l’utilisation de nutriments en fonction de votre profil. Il peut juger bon de prioriser l’utilisation des nutriments dans un seul organe et se montrer négligent sur le reste. Une fois qu’un organe est jugé suffisamment sain, le corps se concentre sur un autre organe.
Vous vous doutez que plus le corps juge quelque chose de secondaire à votre survie, plus il négligera son approvisionnement en nutriments. C’est pour ça que les premières dégénérescences touchent d’abord les cheveux et les dents : ce n’est pas le plus important à votre survie.
On pense à tort que les caries sont génétiques parce que certains individus arrivent à garder leurs dents malgré une absence d’hygiène. Ces gens ne font que prioriser l’utilisation de leurs nutriments dans leur dentition et surtout ont reçu des anciennes générations suffisamment de nutriments pour supporter une alimentation déséquilibrée au cours de leur vie. Peu de gens comprennent que la qualité de l’alimentation prénatale sur les anciennes générations a souvent plus d’incidence sur toute une vie qu’une alimentation jugée adaptée depuis la naissance. Même si vous savez que selon moi elle ne l’est pas du tout.
Quoi qu’il en soit, la dégénérescence a bien lieu. Les prochaines générations auront de plus en plus de déminéralisation dentaire au fil des générations suivantes. Il n’existe aucune génétique qui autorise plus de malnutrition qu’une autre.
Nos ancêtres arrivaient à avoir une santé exceptionnelle avec une consommation modérée de viande et une alimentation basée principalement sur des produits laitiers et du pain au levain de variétés beaucoup plus riches en nutriments que les nôtres. Est-ce que ça signifie que sur une alimentation similaire vous pourrez retrouver une bonne santé ? Eh bien la réponse est non, ces gens vivaient dans un monde beaucoup plus sain que le nôtre, presque exempt de pollutions et toxines. Leurs besoins en nutriments étaient beaucoup plus faibles du fait aussi de leur condition de vie prénatale, contrairement à nous qui descendons d’humains nourris comme du bétail.
Ils avaient suffisamment de nutriments selon leurs besoins, mais les vôtres sont bien infiniment supérieurs. C’est uniquement quand on a déjà une santé qu’on peut se permettre des aliments inadaptés comme du pain ou de la viande peu cuite. Néanmoins, aucun ancien peuple ou tribu n’a jamais maintenu une bonne santé sans au moins une seule source de protéines et graisses crues. Quand ils ne consommaient peu ou pas beaucoup de viande crue, il fallait du lait cru comme substitut. Les Aborigènes qui consommaient principalement de la viande très cuite, certainement sous l’influence des colons, étaient déjà certainement en déclin par rapport à leurs ancêtres bien avant l’exposition aux aliments industriels. Ils souffraient de problèmes osseux, de paludisme, comparés à tous les autres peuples sains. On leur notait tout de même une santé bien supérieure aux occidentaux mais encore une fois, leurs besoins étaient plus faibles qu’un humain urbain donc ce régime inadapté avait une incidence tout autre sur eux.
Maintenant vous allez vous demander si être en bonne santé sans carence de nos jours est possible avec nos aliments appauvris, sélectionnés pour les plus hauts rendements. Heureusement, la réponse est oui, en échange de changements dont peu de gens seraient prêts à faire. Aajonus Vonderplanitz, la seule personne à avoir étudié la transition vers un individu moderne dénutri à un humain dans son état sauvage. Le temps nécessaire pour se débarrasser de toutes les toxines présentes dans le corps et retrouver, effectuer une bonne régénération cellulaire complète serait de 40 ans en suivant un régime alimentaire composé principalement de viandes crues, lait cru et œufs. Les végétaux n’y sont pas exclus mais un protocole strict sur leur consommation est à suivre. Il faut éviter toute source de déminéralisation que ce soit antinutriments, sels, cuissons et y être vraiment très régulier et strict. N’écoutez pas les institutions et endoctrinés qui vous diront qu’une alimentation doit rester un plaisir, ne jamais être dans les extrêmes.
Je sais que ce message atteindra peu de monde mais si vous ne voulez pas faire ça, vous pouvez tout de même introduire des plats de viandes crues comme du sashimi ou tartare et du beurre cru de la marque Gaborit. Évitez les autres qui sont frauduleux. Il faut que le beurre soit bio, les toxines se stockent beaucoup dans le gras. Le label bio est loin d’être le label de l’excellence mais la différence en vaut quand même le coût pour les produits animaux, beaucoup moins pour les produits végétaux. Mais en ce qui concerne l’agriculture j’ai beaucoup moins de connaissances à ce sujet.
Vous pensez très sincèrement qu’une personne qui ne consomme pas de poissons ou d’œufs, qui n’a aucune exposition à la vitamine D, peut prétendre avoir autant de vitamine D que besoin ? Les bilans sanguins n’y voient souvent aucune anomalie à ces profils.
En plus de ça, il est impossible de mesurer vraiment les besoins du corps. Ça va simplement dépendre de votre niveau de toxicité interne. Plus vous avez consommé de médicaments, reçu de vaccins, mangé une alimentation inappropriée et été exposé aux toxines au cours de votre vie, plus vos besoins en nutriments seront élevés pour consolider tous les dégâts que vous avez faits à votre corps. Le corps priorise l’utilisation de nutriments en fonction de votre profil. Il peut juger bon de prioriser l’utilisation des nutriments dans un seul organe et se montrer négligent sur le reste. Une fois qu’un organe est jugé suffisamment sain, le corps se concentre sur un autre organe.
Vous vous doutez que plus le corps juge quelque chose de secondaire à votre survie, plus il négligera son approvisionnement en nutriments. C’est pour ça que les premières dégénérescences touchent d’abord les cheveux et les dents : ce n’est pas le plus important à votre survie.
On pense à tort que les caries sont génétiques parce que certains individus arrivent à garder leurs dents malgré une absence d’hygiène. Ces gens ne font que prioriser l’utilisation de leurs nutriments dans leur dentition et surtout ont reçu des anciennes générations suffisamment de nutriments pour supporter une alimentation déséquilibrée au cours de leur vie. Peu de gens comprennent que la qualité de l’alimentation prénatale sur les anciennes générations a souvent plus d’incidence sur toute une vie qu’une alimentation jugée adaptée depuis la naissance. Même si vous savez que selon moi elle ne l’est pas du tout.
Quoi qu’il en soit, la dégénérescence a bien lieu. Les prochaines générations auront de plus en plus de déminéralisation dentaire au fil des générations suivantes. Il n’existe aucune génétique qui autorise plus de malnutrition qu’une autre.
Nos ancêtres arrivaient à avoir une santé exceptionnelle avec une consommation modérée de viande et une alimentation basée principalement sur des produits laitiers et du pain au levain de variétés beaucoup plus riches en nutriments que les nôtres. Est-ce que ça signifie que sur une alimentation similaire vous pourrez retrouver une bonne santé ? Eh bien la réponse est non, ces gens vivaient dans un monde beaucoup plus sain que le nôtre, presque exempt de pollutions et toxines. Leurs besoins en nutriments étaient beaucoup plus faibles du fait aussi de leur condition de vie prénatale, contrairement à nous qui descendons d’humains nourris comme du bétail.
Ils avaient suffisamment de nutriments selon leurs besoins, mais les vôtres sont bien infiniment supérieurs. C’est uniquement quand on a déjà une santé qu’on peut se permettre des aliments inadaptés comme du pain ou de la viande peu cuite. Néanmoins, aucun ancien peuple ou tribu n’a jamais maintenu une bonne santé sans au moins une seule source de protéines et graisses crues. Quand ils ne consommaient peu ou pas beaucoup de viande crue, il fallait du lait cru comme substitut. Les Aborigènes qui consommaient principalement de la viande très cuite, certainement sous l’influence des colons, étaient déjà certainement en déclin par rapport à leurs ancêtres bien avant l’exposition aux aliments industriels. Ils souffraient de problèmes osseux, de paludisme, comparés à tous les autres peuples sains. On leur notait tout de même une santé bien supérieure aux occidentaux mais encore une fois, leurs besoins étaient plus faibles qu’un humain urbain donc ce régime inadapté avait une incidence tout autre sur eux.
Maintenant vous allez vous demander si être en bonne santé sans carence de nos jours est possible avec nos aliments appauvris, sélectionnés pour les plus hauts rendements. Heureusement, la réponse est oui, en échange de changements dont peu de gens seraient prêts à faire. Aajonus Vonderplanitz, la seule personne à avoir étudié la transition vers un individu moderne dénutri à un humain dans son état sauvage. Le temps nécessaire pour se débarrasser de toutes les toxines présentes dans le corps et retrouver, effectuer une bonne régénération cellulaire complète serait de 40 ans en suivant un régime alimentaire composé principalement de viandes crues, lait cru et œufs. Les végétaux n’y sont pas exclus mais un protocole strict sur leur consommation est à suivre. Il faut éviter toute source de déminéralisation que ce soit antinutriments, sels, cuissons et y être vraiment très régulier et strict. N’écoutez pas les institutions et endoctrinés qui vous diront qu’une alimentation doit rester un plaisir, ne jamais être dans les extrêmes.
Je sais que ce message atteindra peu de monde mais si vous ne voulez pas faire ça, vous pouvez tout de même introduire des plats de viandes crues comme du sashimi ou tartare et du beurre cru de la marque Gaborit. Évitez les autres qui sont frauduleux. Il faut que le beurre soit bio, les toxines se stockent beaucoup dans le gras. Le label bio est loin d’être le label de l’excellence mais la différence en vaut quand même le coût pour les produits animaux, beaucoup moins pour les produits végétaux. Mais en ce qui concerne l’agriculture j’ai beaucoup moins de connaissances à ce sujet.
évidemment je vais croire le pavé illisible et bourré de faute, témoignant du QI limité de l'individu l'ayant conçu et de surcroit qui est un énorme random à des faits avérés et des études
attention
il y a 5 jours
Kj-Cage
5j
Vous avez des analyses sanguines parfaites, vous pensez être exempté ? Eh bien désolé pour vous mais la réalité est tout autre, les bilans sanguins sont loin d’être fiables et ne permettent pas du tout une vision holistique. On peut tout légitimement s’interroger sur leur fiabilité quand des végans ne présentent pas la moindre carence en fer tandis que des carnivores peuvent en avoir.
Vous pensez très sincèrement qu’une personne qui ne consomme pas de poissons ou d’œufs, qui n’a aucune exposition à la vitamine D, peut prétendre avoir autant de vitamine D que besoin ? Les bilans sanguins n’y voient souvent aucune anomalie à ces profils.
En plus de ça, il est impossible de mesurer vraiment les besoins du corps. Ça va simplement dépendre de votre niveau de toxicité interne. Plus vous avez consommé de médicaments, reçu de vaccins, mangé une alimentation inappropriée et été exposé aux toxines au cours de votre vie, plus vos besoins en nutriments seront élevés pour consolider tous les dégâts que vous avez faits à votre corps. Le corps priorise l’utilisation de nutriments en fonction de votre profil. Il peut juger bon de prioriser l’utilisation des nutriments dans un seul organe et se montrer négligent sur le reste. Une fois qu’un organe est jugé suffisamment sain, le corps se concentre sur un autre organe.
Vous vous doutez que plus le corps juge quelque chose de secondaire à votre survie, plus il négligera son approvisionnement en nutriments. C’est pour ça que les premières dégénérescences touchent d’abord les cheveux et les dents : ce n’est pas le plus important à votre survie.
On pense à tort que les caries sont génétiques parce que certains individus arrivent à garder leurs dents malgré une absence d’hygiène. Ces gens ne font que prioriser l’utilisation de leurs nutriments dans leur dentition et surtout ont reçu des anciennes générations suffisamment de nutriments pour supporter une alimentation déséquilibrée au cours de leur vie. Peu de gens comprennent que la qualité de l’alimentation prénatale sur les anciennes générations a souvent plus d’incidence sur toute une vie qu’une alimentation jugée adaptée depuis la naissance. Même si vous savez que selon moi elle ne l’est pas du tout.
Quoi qu’il en soit, la dégénérescence a bien lieu. Les prochaines générations auront de plus en plus de déminéralisation dentaire au fil des générations suivantes. Il n’existe aucune génétique qui autorise plus de malnutrition qu’une autre.
Nos ancêtres arrivaient à avoir une santé exceptionnelle avec une consommation modérée de viande et une alimentation basée principalement sur des produits laitiers et du pain au levain de variétés beaucoup plus riches en nutriments que les nôtres. Est-ce que ça signifie que sur une alimentation similaire vous pourrez retrouver une bonne santé ? Eh bien la réponse est non, ces gens vivaient dans un monde beaucoup plus sain que le nôtre, presque exempt de pollutions et toxines. Leurs besoins en nutriments étaient beaucoup plus faibles du fait aussi de leur condition de vie prénatale, contrairement à nous qui descendons d’humains nourris comme du bétail.
Ils avaient suffisamment de nutriments selon leurs besoins, mais les vôtres sont bien infiniment supérieurs. C’est uniquement quand on a déjà une santé qu’on peut se permettre des aliments inadaptés comme du pain ou de la viande peu cuite. Néanmoins, aucun ancien peuple ou tribu n’a jamais maintenu une bonne santé sans au moins une seule source de protéines et graisses crues. Quand ils ne consommaient peu ou pas beaucoup de viande crue, il fallait du lait cru comme substitut. Les Aborigènes qui consommaient principalement de la viande très cuite, certainement sous l’influence des colons, étaient déjà certainement en déclin par rapport à leurs ancêtres bien avant l’exposition aux aliments industriels. Ils souffraient de problèmes osseux, de paludisme, comparés à tous les autres peuples sains. On leur notait tout de même une santé bien supérieure aux occidentaux mais encore une fois, leurs besoins étaient plus faibles qu’un humain urbain donc ce régime inadapté avait une incidence tout autre sur eux.
Maintenant vous allez vous demander si être en bonne santé sans carence de nos jours est possible avec nos aliments appauvris, sélectionnés pour les plus hauts rendements. Heureusement, la réponse est oui, en échange de changements dont peu de gens seraient prêts à faire. Aajonus Vonderplanitz, la seule personne à avoir étudié la transition vers un individu moderne dénutri à un humain dans son état sauvage. Le temps nécessaire pour se débarrasser de toutes les toxines présentes dans le corps et retrouver, effectuer une bonne régénération cellulaire complète serait de 40 ans en suivant un régime alimentaire composé principalement de viandes crues, lait cru et œufs. Les végétaux n’y sont pas exclus mais un protocole strict sur leur consommation est à suivre. Il faut éviter toute source de déminéralisation que ce soit antinutriments, sels, cuissons et y être vraiment très régulier et strict. N’écoutez pas les institutions et endoctrinés qui vous diront qu’une alimentation doit rester un plaisir, ne jamais être dans les extrêmes.
Je sais que ce message atteindra peu de monde mais si vous ne voulez pas faire ça, vous pouvez tout de même introduire des plats de viandes crues comme du sashimi ou tartare et du beurre cru de la marque Gaborit. Évitez les autres qui sont frauduleux. Il faut que le beurre soit bio, les toxines se stockent beaucoup dans le gras. Le label bio est loin d’être le label de l’excellence mais la différence en vaut quand même le coût pour les produits animaux, beaucoup moins pour les produits végétaux. Mais en ce qui concerne l’agriculture j’ai beaucoup moins de connaissances à ce sujet.
Vous pensez très sincèrement qu’une personne qui ne consomme pas de poissons ou d’œufs, qui n’a aucune exposition à la vitamine D, peut prétendre avoir autant de vitamine D que besoin ? Les bilans sanguins n’y voient souvent aucune anomalie à ces profils.
En plus de ça, il est impossible de mesurer vraiment les besoins du corps. Ça va simplement dépendre de votre niveau de toxicité interne. Plus vous avez consommé de médicaments, reçu de vaccins, mangé une alimentation inappropriée et été exposé aux toxines au cours de votre vie, plus vos besoins en nutriments seront élevés pour consolider tous les dégâts que vous avez faits à votre corps. Le corps priorise l’utilisation de nutriments en fonction de votre profil. Il peut juger bon de prioriser l’utilisation des nutriments dans un seul organe et se montrer négligent sur le reste. Une fois qu’un organe est jugé suffisamment sain, le corps se concentre sur un autre organe.
Vous vous doutez que plus le corps juge quelque chose de secondaire à votre survie, plus il négligera son approvisionnement en nutriments. C’est pour ça que les premières dégénérescences touchent d’abord les cheveux et les dents : ce n’est pas le plus important à votre survie.
On pense à tort que les caries sont génétiques parce que certains individus arrivent à garder leurs dents malgré une absence d’hygiène. Ces gens ne font que prioriser l’utilisation de leurs nutriments dans leur dentition et surtout ont reçu des anciennes générations suffisamment de nutriments pour supporter une alimentation déséquilibrée au cours de leur vie. Peu de gens comprennent que la qualité de l’alimentation prénatale sur les anciennes générations a souvent plus d’incidence sur toute une vie qu’une alimentation jugée adaptée depuis la naissance. Même si vous savez que selon moi elle ne l’est pas du tout.
Quoi qu’il en soit, la dégénérescence a bien lieu. Les prochaines générations auront de plus en plus de déminéralisation dentaire au fil des générations suivantes. Il n’existe aucune génétique qui autorise plus de malnutrition qu’une autre.
Nos ancêtres arrivaient à avoir une santé exceptionnelle avec une consommation modérée de viande et une alimentation basée principalement sur des produits laitiers et du pain au levain de variétés beaucoup plus riches en nutriments que les nôtres. Est-ce que ça signifie que sur une alimentation similaire vous pourrez retrouver une bonne santé ? Eh bien la réponse est non, ces gens vivaient dans un monde beaucoup plus sain que le nôtre, presque exempt de pollutions et toxines. Leurs besoins en nutriments étaient beaucoup plus faibles du fait aussi de leur condition de vie prénatale, contrairement à nous qui descendons d’humains nourris comme du bétail.
Ils avaient suffisamment de nutriments selon leurs besoins, mais les vôtres sont bien infiniment supérieurs. C’est uniquement quand on a déjà une santé qu’on peut se permettre des aliments inadaptés comme du pain ou de la viande peu cuite. Néanmoins, aucun ancien peuple ou tribu n’a jamais maintenu une bonne santé sans au moins une seule source de protéines et graisses crues. Quand ils ne consommaient peu ou pas beaucoup de viande crue, il fallait du lait cru comme substitut. Les Aborigènes qui consommaient principalement de la viande très cuite, certainement sous l’influence des colons, étaient déjà certainement en déclin par rapport à leurs ancêtres bien avant l’exposition aux aliments industriels. Ils souffraient de problèmes osseux, de paludisme, comparés à tous les autres peuples sains. On leur notait tout de même une santé bien supérieure aux occidentaux mais encore une fois, leurs besoins étaient plus faibles qu’un humain urbain donc ce régime inadapté avait une incidence tout autre sur eux.
Maintenant vous allez vous demander si être en bonne santé sans carence de nos jours est possible avec nos aliments appauvris, sélectionnés pour les plus hauts rendements. Heureusement, la réponse est oui, en échange de changements dont peu de gens seraient prêts à faire. Aajonus Vonderplanitz, la seule personne à avoir étudié la transition vers un individu moderne dénutri à un humain dans son état sauvage. Le temps nécessaire pour se débarrasser de toutes les toxines présentes dans le corps et retrouver, effectuer une bonne régénération cellulaire complète serait de 40 ans en suivant un régime alimentaire composé principalement de viandes crues, lait cru et œufs. Les végétaux n’y sont pas exclus mais un protocole strict sur leur consommation est à suivre. Il faut éviter toute source de déminéralisation que ce soit antinutriments, sels, cuissons et y être vraiment très régulier et strict. N’écoutez pas les institutions et endoctrinés qui vous diront qu’une alimentation doit rester un plaisir, ne jamais être dans les extrêmes.
Je sais que ce message atteindra peu de monde mais si vous ne voulez pas faire ça, vous pouvez tout de même introduire des plats de viandes crues comme du sashimi ou tartare et du beurre cru de la marque Gaborit. Évitez les autres qui sont frauduleux. Il faut que le beurre soit bio, les toxines se stockent beaucoup dans le gras. Le label bio est loin d’être le label de l’excellence mais la différence en vaut quand même le coût pour les produits animaux, beaucoup moins pour les produits végétaux. Mais en ce qui concerne l’agriculture j’ai beaucoup moins de connaissances à ce sujet.
Lache ton livre stupide et va étudier de vraies choses
T'es pas plus malin, tu n'as pas acces à une véritée cachée, tu es juste un idiot heureux
Ton pavé (comme tous les précédents) n'est qu'un amas de demi-veritées et d'incomprehension flagrante, et chatgpt sera d'accord avec moi (vu sue c'est lui qui va répondre)
T'es pas plus malin, tu n'as pas acces à une véritée cachée, tu es juste un idiot heureux
Ton pavé (comme tous les précédents) n'est qu'un amas de demi-veritées et d'incomprehension flagrante, et chatgpt sera d'accord avec moi (vu sue c'est lui qui va répondre)
il y a 5 jours
lait cru
Impressionnant, non parce que je pourrais être carencé pendant la séance après des merguez, des oeufs, la salade et le riz
Je prendrai exemple sur toi pour voir la différence aux niveaux des perfs
Je prendrai exemple sur toi pour voir la différence aux niveaux des perfs
IRL(s) Annecy et alentours : GO MP
il y a 5 jours
Lache ton livre stupide et va étudier de vraies choses
T'es pas plus malin, tu n'as pas acces à une véritée cachée, tu es juste un idiot heureux
Ton pavé (comme tous les précédents) n'est qu'un amas de demi-veritées et d'incomprehension flagrante, et chatgpt sera d'accord avec moi (vu sue c'est lui qui va répondre)
T'es pas plus malin, tu n'as pas acces à une véritée cachée, tu es juste un idiot heureux
Ton pavé (comme tous les précédents) n'est qu'un amas de demi-veritées et d'incomprehension flagrante, et chatgpt sera d'accord avec moi (vu sue c'est lui qui va répondre)
source ?
il y a 5 jours
C'est dingue d'aller chercher si loin des vérités pour au final répandre un gros mensonge. C'est comme de la corruption, engager des sommes déraisonnables, payer très cher pour obtenir la petite infraction stratégiquement intéressante.
Non, nos ancêtres n'ont jamais consommé plus de laitages que de viande, ça n'a jamais été le cas, ni à la préhistoire, ni au néolithique, ni dans l'antiquité, ni au moyen âge.
Ca n'a été le cas qu'après la seconde guerre mondiale "grâce" à la science permettant la mise sous tutelle vétérinaire des élevages. Races fragiles mais productives, hormones, infrastructures de traite, conditionnement ...
Autrement, le lait a toujours été transformé afin d'être conservé et valorisé.
Les produits laitiers ont toujours été vendus plutôt que consommés.
De même pour la charcuterie.
La charcuterie et les laitages faisaient partie des stocks de survie pour passer la fin de l'hiver, le début du printemps, faire la fameuse "soudure".
Le pain était plus abondamment consommé, mais pas toute l'année et pas partout. Dans certaines régions, faire du pain rassemblait des villages entiers, les pâtons étaient gigantesques et les pains enfournés étaient de grosses portions du pâton, réparties entre les villageois, c'était du pain au levain contenant très peu d'eau, le plus sec possible, qui devait se garder des semaines. C'était un évènement qui 'avait lieu que quelque fois par an.
L'alimentation humaine en Europe a toujours été principalement la viande fraîche, le poisson, les légumes, les oeufs, les fruits, les oléagineux et le pain. Avant le néolithique c'était la viande fraîche, le poisson, les oeufs, les feuilles, les baies, les oléagineux et les racines.
Il n'y a qu'une courte période, à la fin de l'antiquité, où la pression de l'Empire Romain a contraint certaines tribus germaniques à pratiquement manger leur merde pour survivre. En gros, oui, à cette époque ils ont été contraint de survivre en buvant du lait frais. Et oui, cet usage a perduré un temps par la suite dans le nord de l'Europe au début du moyen-âge, à cause de la pression des puissances constituées au tour du servage et de la fin des institutions guerrières européennes.
Dès que la pression s'est relâchée, ils en sont revenus aux crèmes aigres afin de rendre le truc quand même plus digeste.
Il ne faut pas écouter les vieux cons misérabilistes, les boomers, qui n'ont connu que l'après-guerre dans leur enfance, ils prennent leur cas pour des généralités et fantasment des époques qu'ils n'ont pas connues, et ne fantasment pas comme les gens normaux, ce qui les fait rêver est le malheur des autres, ils sont dénués d'impartialité. Ils ne sont bons qu'à répéter les paroles de leurs maîtres qui leur ont expliqué qu'avant les gens étaient grosso modo des végans et mangeaient au mieux du fromage et du saucisson, deux aliments qui étaient hors de prix et étaient des atouts commerciaux avant tout.
Non, nos ancêtres n'ont jamais consommé plus de laitages que de viande, ça n'a jamais été le cas, ni à la préhistoire, ni au néolithique, ni dans l'antiquité, ni au moyen âge.
Ca n'a été le cas qu'après la seconde guerre mondiale "grâce" à la science permettant la mise sous tutelle vétérinaire des élevages. Races fragiles mais productives, hormones, infrastructures de traite, conditionnement ...
Autrement, le lait a toujours été transformé afin d'être conservé et valorisé.
Les produits laitiers ont toujours été vendus plutôt que consommés.
De même pour la charcuterie.
La charcuterie et les laitages faisaient partie des stocks de survie pour passer la fin de l'hiver, le début du printemps, faire la fameuse "soudure".
Le pain était plus abondamment consommé, mais pas toute l'année et pas partout. Dans certaines régions, faire du pain rassemblait des villages entiers, les pâtons étaient gigantesques et les pains enfournés étaient de grosses portions du pâton, réparties entre les villageois, c'était du pain au levain contenant très peu d'eau, le plus sec possible, qui devait se garder des semaines. C'était un évènement qui 'avait lieu que quelque fois par an.
L'alimentation humaine en Europe a toujours été principalement la viande fraîche, le poisson, les légumes, les oeufs, les fruits, les oléagineux et le pain. Avant le néolithique c'était la viande fraîche, le poisson, les oeufs, les feuilles, les baies, les oléagineux et les racines.
Il n'y a qu'une courte période, à la fin de l'antiquité, où la pression de l'Empire Romain a contraint certaines tribus germaniques à pratiquement manger leur merde pour survivre. En gros, oui, à cette époque ils ont été contraint de survivre en buvant du lait frais. Et oui, cet usage a perduré un temps par la suite dans le nord de l'Europe au début du moyen-âge, à cause de la pression des puissances constituées au tour du servage et de la fin des institutions guerrières européennes.
Dès que la pression s'est relâchée, ils en sont revenus aux crèmes aigres afin de rendre le truc quand même plus digeste.
Il ne faut pas écouter les vieux cons misérabilistes, les boomers, qui n'ont connu que l'après-guerre dans leur enfance, ils prennent leur cas pour des généralités et fantasment des époques qu'ils n'ont pas connues, et ne fantasment pas comme les gens normaux, ce qui les fait rêver est le malheur des autres, ils sont dénués d'impartialité. Ils ne sont bons qu'à répéter les paroles de leurs maîtres qui leur ont expliqué qu'avant les gens étaient grosso modo des végans et mangeaient au mieux du fromage et du saucisson, deux aliments qui étaient hors de prix et étaient des atouts commerciaux avant tout.
Je suis Seugondaire.
il y a 5 jours
C'est dingue d'aller chercher si loin des vérités pour au final répandre un gros mensonge. C'est comme de la corruption, engager des sommes déraisonnables, payer très cher pour obtenir la petite infraction stratégiquement intéressante.
Non, nos ancêtres n'ont jamais consommé plus de laitages que de viande, ça n'a jamais été le cas, ni à la préhistoire, ni au néolithique, ni dans l'antiquité, ni au moyen âge.
Ca n'a été le cas qu'après la seconde guerre mondiale "grâce" à la science permettant la mise sous tutelle vétérinaire des élevages. Races fragiles mais productives, hormones, infrastructures de traite, conditionnement ...
Autrement, le lait a toujours été transformé afin d'être conservé et valorisé.
Les produits laitiers ont toujours été vendus plutôt que consommés.
De même pour la charcuterie.
La charcuterie et les laitages faisaient partie des stocks de survie pour passer la fin de l'hiver, le début du printemps, faire la fameuse "soudure".
Le pain était plus abondamment consommé, mais pas toute l'année et pas partout. Dans certaines régions, faire du pain rassemblait des villages entiers, les pâtons étaient gigantesques et les pains enfournés étaient de grosses portions du pâton, réparties entre les villageois, c'était du pain au levain contenant très peu d'eau, le plus sec possible, qui devait se garder des semaines. C'était un évènement qui 'avait lieu que quelque fois par an.
L'alimentation humaine en Europe a toujours été principalement la viande fraîche, le poisson, les légumes, les oeufs, les fruits, les oléagineux et le pain. Avant le néolithique c'était la viande fraîche, le poisson, les oeufs, les feuilles, les baies, les oléagineux et les racines.
Il n'y a qu'une courte période, à la fin de l'antiquité, où la pression de l'Empire Romain a contraint certaines tribus germaniques à pratiquement manger leur merde pour survivre. En gros, oui, à cette époque ils ont été contraint de survivre en buvant du lait frais. Et oui, cet usage a perduré un temps par la suite dans le nord de l'Europe au début du moyen-âge, à cause de la pression des puissances constituées au tour du servage et de la fin des institutions guerrières européennes.
Dès que la pression s'est relâchée, ils en sont revenus aux crèmes aigres afin de rendre le truc quand même plus digeste.
Il ne faut pas écouter les vieux cons misérabilistes, les boomers, qui n'ont connu que l'après-guerre dans leur enfance, ils prennent leur cas pour des généralités et fantasment des époques qu'ils n'ont pas connues, et ne fantasment pas comme les gens normaux, ce qui les fait rêver est le malheur des autres, ils sont dénués d'impartialité. Ils ne sont bons qu'à répéter les paroles de leurs maîtres qui leur ont expliqué qu'avant les gens étaient grosso modo des végans et mangeaient au mieux du fromage et du saucisson, deux aliments qui étaient hors de prix et étaient des atouts commerciaux avant tout.
Non, nos ancêtres n'ont jamais consommé plus de laitages que de viande, ça n'a jamais été le cas, ni à la préhistoire, ni au néolithique, ni dans l'antiquité, ni au moyen âge.
Ca n'a été le cas qu'après la seconde guerre mondiale "grâce" à la science permettant la mise sous tutelle vétérinaire des élevages. Races fragiles mais productives, hormones, infrastructures de traite, conditionnement ...
Autrement, le lait a toujours été transformé afin d'être conservé et valorisé.
Les produits laitiers ont toujours été vendus plutôt que consommés.
De même pour la charcuterie.
La charcuterie et les laitages faisaient partie des stocks de survie pour passer la fin de l'hiver, le début du printemps, faire la fameuse "soudure".
Le pain était plus abondamment consommé, mais pas toute l'année et pas partout. Dans certaines régions, faire du pain rassemblait des villages entiers, les pâtons étaient gigantesques et les pains enfournés étaient de grosses portions du pâton, réparties entre les villageois, c'était du pain au levain contenant très peu d'eau, le plus sec possible, qui devait se garder des semaines. C'était un évènement qui 'avait lieu que quelque fois par an.
L'alimentation humaine en Europe a toujours été principalement la viande fraîche, le poisson, les légumes, les oeufs, les fruits, les oléagineux et le pain. Avant le néolithique c'était la viande fraîche, le poisson, les oeufs, les feuilles, les baies, les oléagineux et les racines.
Il n'y a qu'une courte période, à la fin de l'antiquité, où la pression de l'Empire Romain a contraint certaines tribus germaniques à pratiquement manger leur merde pour survivre. En gros, oui, à cette époque ils ont été contraint de survivre en buvant du lait frais. Et oui, cet usage a perduré un temps par la suite dans le nord de l'Europe au début du moyen-âge, à cause de la pression des puissances constituées au tour du servage et de la fin des institutions guerrières européennes.
Dès que la pression s'est relâchée, ils en sont revenus aux crèmes aigres afin de rendre le truc quand même plus digeste.
Il ne faut pas écouter les vieux cons misérabilistes, les boomers, qui n'ont connu que l'après-guerre dans leur enfance, ils prennent leur cas pour des généralités et fantasment des époques qu'ils n'ont pas connues, et ne fantasment pas comme les gens normaux, ce qui les fait rêver est le malheur des autres, ils sont dénués d'impartialité. Ils ne sont bons qu'à répéter les paroles de leurs maîtres qui leur ont expliqué qu'avant les gens étaient grosso modo des végans et mangeaient au mieux du fromage et du saucisson, deux aliments qui étaient hors de prix et étaient des atouts commerciaux avant tout.
Dans les grandes villes le lait n'etait pas beaucoup consommer les conditions d'hygiènes et logistiques ne le permettait pas mais dans les petits communes il etait abondement consommer pourquoi se priver d'une source animal régulière on peut boire du lait tout les jours mais pas abattre une chèvre par jours
il y a 5 jours
Dans les grandes villes le lait n'etait pas beaucoup consommer les conditions d'hygiènes et logistiques ne le permettait pas mais dans les petits communes il etait abondement consommer pourquoi se priver d'une source animal régulière on peut boire du lait tout les jours mais pas abattre une chèvre par jours
Parce que tu peux manger du lapin, du lièvre, du poisson, des grenouilles, des escargots, des grives, des perdrix, des canards, des oies, des écureuils, des pigeons, des oeufs.
Et vendre ton fromage de chèvre pour acheter des cochons, des poulets, des agneaux, des veaux, des chevraux.
Si tu fais du lait tu as beaucoup de naissances puisqu'il faut une naissance pour déclencher la production, qui s'arrête une fois la traite interrompue. Donc même sans vendre les produits laitiers tu es obligé d'abattre des animaux, comme les animaux trop vieux et les jeunes mâles surnuméraires pour garder ton cheptel en bonne santé.
Et vendre ton fromage de chèvre pour acheter des cochons, des poulets, des agneaux, des veaux, des chevraux.
Si tu fais du lait tu as beaucoup de naissances puisqu'il faut une naissance pour déclencher la production, qui s'arrête une fois la traite interrompue. Donc même sans vendre les produits laitiers tu es obligé d'abattre des animaux, comme les animaux trop vieux et les jeunes mâles surnuméraires pour garder ton cheptel en bonne santé.
Je suis Seugondaire.
il y a 5 jours
Parce que tu peux manger du lapin, du lièvre, du poisson, des grenouilles, des escargots, des grives, des perdrix, des canards, des oies, des écureuils, des pigeons, des oeufs.
Et vendre ton fromage de chèvre pour acheter des cochons, des poulets, des agneaux, des veaux, des chevraux.
Si tu fais du lait tu as beaucoup de naissances puisqu'il faut une naissance pour déclencher la production, qui s'arrête une fois la traite interrompue. Donc même sans vendre les produits laitiers tu es obligé d'abattre des animaux, comme les animaux trop vieux et les jeunes mâles surnuméraires pour garder ton cheptel en bonne santé.
Et vendre ton fromage de chèvre pour acheter des cochons, des poulets, des agneaux, des veaux, des chevraux.
Si tu fais du lait tu as beaucoup de naissances puisqu'il faut une naissance pour déclencher la production, qui s'arrête une fois la traite interrompue. Donc même sans vendre les produits laitiers tu es obligé d'abattre des animaux, comme les animaux trop vieux et les jeunes mâles surnuméraires pour garder ton cheptel en bonne santé.
je sais pas je me base sur vallé en 1930 en suisse c'est le dernier village à avoir garder son mode de vies ancestraux là bas la viande etait consommer une fois par semaines et les autres jours leur alimentation se concentrer presque exclusivement sur du fromage, lait et orges qu'ils cultivaient eux même
il y a 5 jours
Kj-Cage
5j
Vous avez des analyses sanguines parfaites, vous pensez être exempté ? Eh bien désolé pour vous mais la réalité est tout autre, les bilans sanguins sont loin d’être fiables et ne permettent pas du tout une vision holistique. On peut tout légitimement s’interroger sur leur fiabilité quand des végans ne présentent pas la moindre carence en fer tandis que des carnivores peuvent en avoir.
Vous pensez très sincèrement qu’une personne qui ne consomme pas de poissons ou d’œufs, qui n’a aucune exposition à la vitamine D, peut prétendre avoir autant de vitamine D que besoin ? Les bilans sanguins n’y voient souvent aucune anomalie à ces profils.
En plus de ça, il est impossible de mesurer vraiment les besoins du corps. Ça va simplement dépendre de votre niveau de toxicité interne. Plus vous avez consommé de médicaments, reçu de vaccins, mangé une alimentation inappropriée et été exposé aux toxines au cours de votre vie, plus vos besoins en nutriments seront élevés pour consolider tous les dégâts que vous avez faits à votre corps. Le corps priorise l’utilisation de nutriments en fonction de votre profil. Il peut juger bon de prioriser l’utilisation des nutriments dans un seul organe et se montrer négligent sur le reste. Une fois qu’un organe est jugé suffisamment sain, le corps se concentre sur un autre organe.
Vous vous doutez que plus le corps juge quelque chose de secondaire à votre survie, plus il négligera son approvisionnement en nutriments. C’est pour ça que les premières dégénérescences touchent d’abord les cheveux et les dents : ce n’est pas le plus important à votre survie.
On pense à tort que les caries sont génétiques parce que certains individus arrivent à garder leurs dents malgré une absence d’hygiène. Ces gens ne font que prioriser l’utilisation de leurs nutriments dans leur dentition et surtout ont reçu des anciennes générations suffisamment de nutriments pour supporter une alimentation déséquilibrée au cours de leur vie. Peu de gens comprennent que la qualité de l’alimentation prénatale sur les anciennes générations a souvent plus d’incidence sur toute une vie qu’une alimentation jugée adaptée depuis la naissance. Même si vous savez que selon moi elle ne l’est pas du tout.
Quoi qu’il en soit, la dégénérescence a bien lieu. Les prochaines générations auront de plus en plus de déminéralisation dentaire au fil des générations suivantes. Il n’existe aucune génétique qui autorise plus de malnutrition qu’une autre.
Nos ancêtres arrivaient à avoir une santé exceptionnelle avec une consommation modérée de viande et une alimentation basée principalement sur des produits laitiers et du pain au levain de variétés beaucoup plus riches en nutriments que les nôtres. Est-ce que ça signifie que sur une alimentation similaire vous pourrez retrouver une bonne santé ? Eh bien la réponse est non, ces gens vivaient dans un monde beaucoup plus sain que le nôtre, presque exempt de pollutions et toxines. Leurs besoins en nutriments étaient beaucoup plus faibles du fait aussi de leur condition de vie prénatale, contrairement à nous qui descendons d’humains nourris comme du bétail.
Ils avaient suffisamment de nutriments selon leurs besoins, mais les vôtres sont bien infiniment supérieurs. C’est uniquement quand on a déjà une santé qu’on peut se permettre des aliments inadaptés comme du pain ou de la viande peu cuite. Néanmoins, aucun ancien peuple ou tribu n’a jamais maintenu une bonne santé sans au moins une seule source de protéines et graisses crues. Quand ils ne consommaient peu ou pas beaucoup de viande crue, il fallait du lait cru comme substitut. Les Aborigènes qui consommaient principalement de la viande très cuite, certainement sous l’influence des colons, étaient déjà certainement en déclin par rapport à leurs ancêtres bien avant l’exposition aux aliments industriels. Ils souffraient de problèmes osseux, de paludisme, comparés à tous les autres peuples sains. On leur notait tout de même une santé bien supérieure aux occidentaux mais encore une fois, leurs besoins étaient plus faibles qu’un humain urbain donc ce régime inadapté avait une incidence tout autre sur eux.
Maintenant vous allez vous demander si être en bonne santé sans carence de nos jours est possible avec nos aliments appauvris, sélectionnés pour les plus hauts rendements. Heureusement, la réponse est oui, en échange de changements dont peu de gens seraient prêts à faire. Aajonus Vonderplanitz, la seule personne à avoir étudié la transition vers un individu moderne dénutri à un humain dans son état sauvage. Le temps nécessaire pour se débarrasser de toutes les toxines présentes dans le corps et retrouver, effectuer une bonne régénération cellulaire complète serait de 40 ans en suivant un régime alimentaire composé principalement de viandes crues, lait cru et œufs. Les végétaux n’y sont pas exclus mais un protocole strict sur leur consommation est à suivre. Il faut éviter toute source de déminéralisation que ce soit antinutriments, sels, cuissons et y être vraiment très régulier et strict. N’écoutez pas les institutions et endoctrinés qui vous diront qu’une alimentation doit rester un plaisir, ne jamais être dans les extrêmes.
Je sais que ce message atteindra peu de monde mais si vous ne voulez pas faire ça, vous pouvez tout de même introduire des plats de viandes crues comme du sashimi ou tartare et du beurre cru de la marque Gaborit. Évitez les autres qui sont frauduleux. Il faut que le beurre soit bio, les toxines se stockent beaucoup dans le gras. Le label bio est loin d’être le label de l’excellence mais la différence en vaut quand même le coût pour les produits animaux, beaucoup moins pour les produits végétaux. Mais en ce qui concerne l’agriculture j’ai beaucoup moins de connaissances à ce sujet.
Vous pensez très sincèrement qu’une personne qui ne consomme pas de poissons ou d’œufs, qui n’a aucune exposition à la vitamine D, peut prétendre avoir autant de vitamine D que besoin ? Les bilans sanguins n’y voient souvent aucune anomalie à ces profils.
En plus de ça, il est impossible de mesurer vraiment les besoins du corps. Ça va simplement dépendre de votre niveau de toxicité interne. Plus vous avez consommé de médicaments, reçu de vaccins, mangé une alimentation inappropriée et été exposé aux toxines au cours de votre vie, plus vos besoins en nutriments seront élevés pour consolider tous les dégâts que vous avez faits à votre corps. Le corps priorise l’utilisation de nutriments en fonction de votre profil. Il peut juger bon de prioriser l’utilisation des nutriments dans un seul organe et se montrer négligent sur le reste. Une fois qu’un organe est jugé suffisamment sain, le corps se concentre sur un autre organe.
Vous vous doutez que plus le corps juge quelque chose de secondaire à votre survie, plus il négligera son approvisionnement en nutriments. C’est pour ça que les premières dégénérescences touchent d’abord les cheveux et les dents : ce n’est pas le plus important à votre survie.
On pense à tort que les caries sont génétiques parce que certains individus arrivent à garder leurs dents malgré une absence d’hygiène. Ces gens ne font que prioriser l’utilisation de leurs nutriments dans leur dentition et surtout ont reçu des anciennes générations suffisamment de nutriments pour supporter une alimentation déséquilibrée au cours de leur vie. Peu de gens comprennent que la qualité de l’alimentation prénatale sur les anciennes générations a souvent plus d’incidence sur toute une vie qu’une alimentation jugée adaptée depuis la naissance. Même si vous savez que selon moi elle ne l’est pas du tout.
Quoi qu’il en soit, la dégénérescence a bien lieu. Les prochaines générations auront de plus en plus de déminéralisation dentaire au fil des générations suivantes. Il n’existe aucune génétique qui autorise plus de malnutrition qu’une autre.
Nos ancêtres arrivaient à avoir une santé exceptionnelle avec une consommation modérée de viande et une alimentation basée principalement sur des produits laitiers et du pain au levain de variétés beaucoup plus riches en nutriments que les nôtres. Est-ce que ça signifie que sur une alimentation similaire vous pourrez retrouver une bonne santé ? Eh bien la réponse est non, ces gens vivaient dans un monde beaucoup plus sain que le nôtre, presque exempt de pollutions et toxines. Leurs besoins en nutriments étaient beaucoup plus faibles du fait aussi de leur condition de vie prénatale, contrairement à nous qui descendons d’humains nourris comme du bétail.
Ils avaient suffisamment de nutriments selon leurs besoins, mais les vôtres sont bien infiniment supérieurs. C’est uniquement quand on a déjà une santé qu’on peut se permettre des aliments inadaptés comme du pain ou de la viande peu cuite. Néanmoins, aucun ancien peuple ou tribu n’a jamais maintenu une bonne santé sans au moins une seule source de protéines et graisses crues. Quand ils ne consommaient peu ou pas beaucoup de viande crue, il fallait du lait cru comme substitut. Les Aborigènes qui consommaient principalement de la viande très cuite, certainement sous l’influence des colons, étaient déjà certainement en déclin par rapport à leurs ancêtres bien avant l’exposition aux aliments industriels. Ils souffraient de problèmes osseux, de paludisme, comparés à tous les autres peuples sains. On leur notait tout de même une santé bien supérieure aux occidentaux mais encore une fois, leurs besoins étaient plus faibles qu’un humain urbain donc ce régime inadapté avait une incidence tout autre sur eux.
Maintenant vous allez vous demander si être en bonne santé sans carence de nos jours est possible avec nos aliments appauvris, sélectionnés pour les plus hauts rendements. Heureusement, la réponse est oui, en échange de changements dont peu de gens seraient prêts à faire. Aajonus Vonderplanitz, la seule personne à avoir étudié la transition vers un individu moderne dénutri à un humain dans son état sauvage. Le temps nécessaire pour se débarrasser de toutes les toxines présentes dans le corps et retrouver, effectuer une bonne régénération cellulaire complète serait de 40 ans en suivant un régime alimentaire composé principalement de viandes crues, lait cru et œufs. Les végétaux n’y sont pas exclus mais un protocole strict sur leur consommation est à suivre. Il faut éviter toute source de déminéralisation que ce soit antinutriments, sels, cuissons et y être vraiment très régulier et strict. N’écoutez pas les institutions et endoctrinés qui vous diront qu’une alimentation doit rester un plaisir, ne jamais être dans les extrêmes.
Je sais que ce message atteindra peu de monde mais si vous ne voulez pas faire ça, vous pouvez tout de même introduire des plats de viandes crues comme du sashimi ou tartare et du beurre cru de la marque Gaborit. Évitez les autres qui sont frauduleux. Il faut que le beurre soit bio, les toxines se stockent beaucoup dans le gras. Le label bio est loin d’être le label de l’excellence mais la différence en vaut quand même le coût pour les produits animaux, beaucoup moins pour les produits végétaux. Mais en ce qui concerne l’agriculture j’ai beaucoup moins de connaissances à ce sujet.
pseudo-science dangereuse qui vend du “tout le monde carencé” + produits crus. À éviter.
Sur la forme
Orthographe/ponctuation à la ramasse, doublons, emojis à la pelle → zéro crédibilité.
Accusations et généralités sans sources.
Fact-check express
“Les bilans sanguins ne servent à rien” → Faux. Ils ont des limites mais restent la base (ferritine, 25-OH-D, B12, etc.).
“On ne peut pas mesurer les besoins” → Non. Il existe des repères (ANC) + ajustements cliniques.
“Toxicité interne” → terme flou, non mesuré = argument non falsifiable.
Priorisation d’organes / dents-cheveux d’abord → storytelling, pas de données.
Caries = multifactoriel (bactéries, sucres, hygiène, fluor, salive, génétique), pas juste “nutrition prénatale”.
“Ancêtres en santé grâce lait/pain levain” → mythe. Régimes très variés, morbidité élevée, intolérance au lactose fréquente.
“Il faut du lait/viande/œufs crus” → oublie les risques (Salmonella, E. coli, Listeria, parasites).
Aajonus & “40 ans de détox” = argument d’autorité d’un gourou, arbitraire.
Réflexe anti-institutions = cadrage complotiste.
Sophismes
Généralisation (“vous êtes tous carencés”), appel à la nature (cru = sain), et système infalsifiable (analyses normales → “elles ne valent rien”).
Dangereux
Normalise la conso crue chez tous + diabolise le sel/analyse → risques réels, retards de diagnostic.
Si tu veux rendre ça défendable
Définir les termes, citer des sources solides, quantifier, reconnaître les risques du cru, proposer des options validées (vitamine D/B12/fer si besoin, suivi médical).
TL;DR : du vernis “ancestral”, zéro preuve, recommandations risquées. Ne pas suivre.
Sur la forme
Orthographe/ponctuation à la ramasse, doublons, emojis à la pelle → zéro crédibilité.
Accusations et généralités sans sources.
Fact-check express
“Les bilans sanguins ne servent à rien” → Faux. Ils ont des limites mais restent la base (ferritine, 25-OH-D, B12, etc.).
“On ne peut pas mesurer les besoins” → Non. Il existe des repères (ANC) + ajustements cliniques.
“Toxicité interne” → terme flou, non mesuré = argument non falsifiable.
Priorisation d’organes / dents-cheveux d’abord → storytelling, pas de données.
Caries = multifactoriel (bactéries, sucres, hygiène, fluor, salive, génétique), pas juste “nutrition prénatale”.
“Ancêtres en santé grâce lait/pain levain” → mythe. Régimes très variés, morbidité élevée, intolérance au lactose fréquente.
“Il faut du lait/viande/œufs crus” → oublie les risques (Salmonella, E. coli, Listeria, parasites).
Aajonus & “40 ans de détox” = argument d’autorité d’un gourou, arbitraire.
Réflexe anti-institutions = cadrage complotiste.
Sophismes
Généralisation (“vous êtes tous carencés”), appel à la nature (cru = sain), et système infalsifiable (analyses normales → “elles ne valent rien”).
Dangereux
Normalise la conso crue chez tous + diabolise le sel/analyse → risques réels, retards de diagnostic.
Si tu veux rendre ça défendable
Définir les termes, citer des sources solides, quantifier, reconnaître les risques du cru, proposer des options validées (vitamine D/B12/fer si besoin, suivi médical).
TL;DR : du vernis “ancestral”, zéro preuve, recommandations risquées. Ne pas suivre.
il y a 5 jours
je sais pas je me base sur vallé en 1930 en suisse c'est le dernier village à avoir garder son mode de vies ancestraux là bas la viande etait consommer une fois par semaines et les autres jours leur alimentation se concentrer presque exclusivement sur du fromage, lait et orges qu'ils cultivaient eux même
Mode de vie ancestral selon qui ? Dans les endroits reculés les gens en chiaient, les crétins des alpes c'était pas juste le manque de sel, les mecs souffraient.
Quand j'évoquais l'anecdote du pain quasi-annuel, je pensais aux alpes. En montagne il n'y a rien à bouffer, souvent, c'est de la survie. Les gens allaient dans ces endroits pour taffer, par nécessité, pour exploiter le bétail, les mines.
La misère n'a jamais été une généralité à l'échelle de l'Europe et quand elle a eu lieu, elle n'a jamais produit de la santé.
Quand j'évoquais l'anecdote du pain quasi-annuel, je pensais aux alpes. En montagne il n'y a rien à bouffer, souvent, c'est de la survie. Les gens allaient dans ces endroits pour taffer, par nécessité, pour exploiter le bétail, les mines.
La misère n'a jamais été une généralité à l'échelle de l'Europe et quand elle a eu lieu, elle n'a jamais produit de la santé.
Je suis Seugondaire.
il y a 5 jours
Mode de vie ancestral selon qui ? Dans les endroits reculés les gens en chiaient, les crétins des alpes c'était pas juste le manque de sel, les mecs souffraient.
Quand j'évoquais l'anecdote du pain quasi-annuel, je pensais aux alpes. En montagne il n'y a rien à bouffer, souvent, c'est de la survie. Les gens allaient dans ces endroits pour taffer, par nécessité, pour exploiter le bétail, les mines.
La misère n'a jamais été une généralité à l'échelle de l'Europe et quand elle a eu lieu, elle n'a jamais produit de la santé.
Quand j'évoquais l'anecdote du pain quasi-annuel, je pensais aux alpes. En montagne il n'y a rien à bouffer, souvent, c'est de la survie. Les gens allaient dans ces endroits pour taffer, par nécessité, pour exploiter le bétail, les mines.
La misère n'a jamais été une généralité à l'échelle de l'Europe et quand elle a eu lieu, elle n'a jamais produit de la santé.
Tu perds ton temps il est imperméable aux arguments, c'est un fou il trouvera toujours quelque chose a contredire, même si ca ne fait aucun sens logique pour nous, pour lieu tout est correct. Tu lui feras des pavés explicatifs et il te repondra par un concept flou non source en 3 lignes qui prendra encore tout un pavé a debunk , pavé qu'il eludera
Maybe I just want to maybe...
il y a 5 jours
pseudo-science dangereuse qui vend du “tout le monde carencé” + produits crus. À éviter.
Sur la forme
Orthographe/ponctuation à la ramasse, doublons, emojis à la pelle → zéro crédibilité.
Accusations et généralités sans sources.
Fact-check express
“Les bilans sanguins ne servent à rien” → Faux. Ils ont des limites mais restent la base (ferritine, 25-OH-D, B12, etc.).
“On ne peut pas mesurer les besoins” → Non. Il existe des repères (ANC) + ajustements cliniques.
“Toxicité interne” → terme flou, non mesuré = argument non falsifiable.
Priorisation d’organes / dents-cheveux d’abord → storytelling, pas de données.
Caries = multifactoriel (bactéries, sucres, hygiène, fluor, salive, génétique), pas juste “nutrition prénatale”.
“Ancêtres en santé grâce lait/pain levain” → mythe. Régimes très variés, morbidité élevée, intolérance au lactose fréquente.
“Il faut du lait/viande/œufs crus” → oublie les risques (Salmonella, E. coli, Listeria, parasites).
Aajonus & “40 ans de détox” = argument d’autorité d’un gourou, arbitraire.
Réflexe anti-institutions = cadrage complotiste.
Sophismes
Généralisation (“vous êtes tous carencés”), appel à la nature (cru = sain), et système infalsifiable (analyses normales → “elles ne valent rien”).
Dangereux
Normalise la conso crue chez tous + diabolise le sel/analyse → risques réels, retards de diagnostic.
Si tu veux rendre ça défendable
Définir les termes, citer des sources solides, quantifier, reconnaître les risques du cru, proposer des options validées (vitamine D/B12/fer si besoin, suivi médical).
TL;DR : du vernis “ancestral”, zéro preuve, recommandations risquées. Ne pas suivre.
Sur la forme
Orthographe/ponctuation à la ramasse, doublons, emojis à la pelle → zéro crédibilité.
Accusations et généralités sans sources.
Fact-check express
“Les bilans sanguins ne servent à rien” → Faux. Ils ont des limites mais restent la base (ferritine, 25-OH-D, B12, etc.).
“On ne peut pas mesurer les besoins” → Non. Il existe des repères (ANC) + ajustements cliniques.
“Toxicité interne” → terme flou, non mesuré = argument non falsifiable.
Priorisation d’organes / dents-cheveux d’abord → storytelling, pas de données.
Caries = multifactoriel (bactéries, sucres, hygiène, fluor, salive, génétique), pas juste “nutrition prénatale”.
“Ancêtres en santé grâce lait/pain levain” → mythe. Régimes très variés, morbidité élevée, intolérance au lactose fréquente.
“Il faut du lait/viande/œufs crus” → oublie les risques (Salmonella, E. coli, Listeria, parasites).
Aajonus & “40 ans de détox” = argument d’autorité d’un gourou, arbitraire.
Réflexe anti-institutions = cadrage complotiste.
Sophismes
Généralisation (“vous êtes tous carencés”), appel à la nature (cru = sain), et système infalsifiable (analyses normales → “elles ne valent rien”).
Dangereux
Normalise la conso crue chez tous + diabolise le sel/analyse → risques réels, retards de diagnostic.
Si tu veux rendre ça défendable
Définir les termes, citer des sources solides, quantifier, reconnaître les risques du cru, proposer des options validées (vitamine D/B12/fer si besoin, suivi médical).
TL;DR : du vernis “ancestral”, zéro preuve, recommandations risquées. Ne pas suivre.
Aajonus n'a jamais rendu public ces etudes il n'en avait pas le droit puisque il n'etait pas un chercheur agrée pourquoi tu peux decider arbitrairement que seul les institutions privé avaient leur mot à dire ? ça fait déjà plus de 150 ans qu'on les ecoute sans qu'elle n'ai jamais donner le moindre résultat. j'ai pas le droit d'avoir mes reserves ?
Consommer des produits animaux cru n'est pas dangereux à condition qu'il soit qualité. la bactéries n'est jamais la responsable directe de la maladie elle ne sont toxique que en cas de contaminiation croiser avec des toxines lier à la cuisson ou des toxines industriels qu'elle consomme à ce moment ça devient dangereux en excès. Chez un individu carencé et pas habituer ça peut etre dangereux aussi ça peut cree des changements metaboliques trop fort et il faut avoir les nutriments neccesiares pour gerer les bacteries le seul moyen de ne pas en manquer est justement de consommer des produits animaux crus
Salmonella, E. coli, Listeria ne font que manger des cellules morte ou gravement endommager et c'est pareil pour les parasites du moment que tu apportes assez de proteines et graisses cru que tu ne manges pas trop déséquilibré ils fonctionne tous en symbiose
Consommer des produits animaux cru n'est pas dangereux à condition qu'il soit qualité. la bactéries n'est jamais la responsable directe de la maladie elle ne sont toxique que en cas de contaminiation croiser avec des toxines lier à la cuisson ou des toxines industriels qu'elle consomme à ce moment ça devient dangereux en excès. Chez un individu carencé et pas habituer ça peut etre dangereux aussi ça peut cree des changements metaboliques trop fort et il faut avoir les nutriments neccesiares pour gerer les bacteries le seul moyen de ne pas en manquer est justement de consommer des produits animaux crus
Salmonella, E. coli, Listeria ne font que manger des cellules morte ou gravement endommager et c'est pareil pour les parasites du moment que tu apportes assez de proteines et graisses cru que tu ne manges pas trop déséquilibré ils fonctionne tous en symbiose
il y a 5 jours