Ce n'est pas le monde en soit le problème, mais bien l'humanité.

bah de toutes les parties de poker où tu nous as enquiquiné à prendre un siège pour ne jamais jouer et que l'on ait dû t'attendre 30 sec à chaque fois que ce fût ton tour de jouer pardi !

et qu'après tu nous disais "oups j'étais dans ma cuisine" pdt 3 plombes

en + t'as déjà été au goulag pour ça, tu as déjà oublié ?

En fait il y a humain et humain.

La plupart des humains actuellement n'en est pas vraiment, en fait d'un point de vue évolutif, c'est des branches de l'humanité qui sont en cours de spéciation.

Car oui au cas où vous saviez pas, les animaux descendent des humains, évolutivement. Des humains et des reptiliens. D'ailleurs les animaux domestiques n'ont jamais été domestiqués, ils sont proches de nous de par leur chemin évolutif, leur séparation "récente" de l'humanité par le biais de la spéciation. Mais pas par une action de l'homme.

Bref, les humains qui sont esclaves sont en réalité déjà des animaux. Soit le destin les supprimera, soit ils évolueront vers le singe, puis le mammifère quelconque.

Le problème de notre époque est l'absence de fermeté à leur égard. Et l'égalitarisme. On force les humains réduits en esclavage (= les blancs prolétaires non-golems) à subir les esclaves en cours de transition vers l'anmalité (les blancs golems et les non-blancs).

Les vrais humains doivent être en tout 30 % de la population blanche mondiale, soit moins de 500 millions de personnessur les théoriques 8 milliards "d'humains".

Le reste c'est techniquement pas vraiment des humains, pour ceux dont les lignées survivront aux heurts des cycles civilisationnels et des décroissances, des crises naturelles, dans même pas 10 000 ans ce seront des quasi-primates assignés à l'entretien de la terre-jardin, au mieux. Mais il est possible qu'ils disparaissent quasi-tous.