Ce sujet a été résolu
Penses-tu que l'on doit s'adapter à l'époque et aux techniques de communication moderne pour avancer ?
Le fascisme est un mot fourre-tout pour moi, tout le monde mets ce qu'il veut dedans
Le fascisme est un mot fourre-tout pour moi, tout le monde mets ce qu'il veut dedans
"pour avancer ?" C'est à dire ? (pas envie de faire une réponse hors-sujet)
Oui malheureusement c'est un mot qui veut dire "méchant" dans la bouche des golems. Il faudrait changer le nom
Moi quand je parle du fascisme, je parle du fascisme italien, de la révolution conservatrice allemande, et de toutes les conceptions philosophiques et économiques, sociales, etc qui vont avec. C'est vaste mais quand on connaît bien le sujet, c'est simple à reconnaître.
C'est un peu comme un droitardé qui va traiter Mélenchon de communiste. Quand on s'y intéresse un peu et malgré le nombre de mouvement communistes différents, on voit très bien que c'est très très con. Beaucoup de mot sont devenus fourre-tout
Oui malheureusement c'est un mot qui veut dire "méchant" dans la bouche des golems. Il faudrait changer le nom
Moi quand je parle du fascisme, je parle du fascisme italien, de la révolution conservatrice allemande, et de toutes les conceptions philosophiques et économiques, sociales, etc qui vont avec. C'est vaste mais quand on connaît bien le sujet, c'est simple à reconnaître.
C'est un peu comme un droitardé qui va traiter Mélenchon de communiste. Quand on s'y intéresse un peu et malgré le nombre de mouvement communistes différents, on voit très bien que c'est très très con. Beaucoup de mot sont devenus fourre-tout
free lebosslelite
il y a un jour
Merci. Mais je suis un ultra monarchiste royaliste ultra deter (monarchie absolutiste ou rien, qu'elle soit de droit divin ou non).
Je te conseil ce livre quand même, on sait jamais.
https://www.amazon.fr/Fas[...]-Catholique/dp/0993399371
free lebosslelite
il y a un jour
Je te conseil ce livre quand même, on sait jamais.
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il y a un jour
La sainte union libéral-gauchiste qui l'eut cru
il y a un jour
comme le disait le H lui meme, les camps de concentration allemands ont été copié des camps anglais en afrique du sud pour y enfermer les Boers, sauf que les allemands ont interdit d'enfermer les femmes et les enfants contrairement aux anglais
ma life est un serveur PVP
il y a un jour
OH ! Intéressant. Merci du livre. Je vais jetter un oeil la dessus
Joseph Mérel c'est un putain de génie mais il faut s'y connaître en philo
free lebosslelite
il y a un jour
Joseph Mérel c'est un putain de génie mais il faut s'y connaître en philo
Toujours pas de pdf?
il y a un jour
j'espère que ce gamin a eu une belle vie pleine d'accomplissements, ça fait chaud au coeur a voir cimer pour cette vidéo
Khey INFJ sympa bien que taré, catho, anti NWO, l'hélite 100% ready. Frère de croisade de @Joshua_38
il y a un jour
Toujours pas de pdf?
Achète les livres
Il mérite largement, c'est un des seuls
https://www.amazon.fr/Com[...];text=Joseph%20M%C3%A9rel C'est seulement 20 balles
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free lebosslelite
il y a un jour
Joseph Mérel c'est un putain de génie mais il faut s'y connaître en philo
il y a un jour
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Là je suçote mes pieces de cinq centimes mais on verra je trouve les deux videos peu claires dans le sens où on a pas la théorie qui va avec, c'est comme parler des problème qu'impliquent la fétichisation de la marchandise sans connaitre la théorie
il y a un jour
Là je suçote mes pieces de cinq centimes mais on verra je trouve les deux videos peu claires dans le sens où on a pas la théorie qui va avec, c'est comme parler des problème qu'impliquent la fétichisation de la marchandise sans connaitre la théorie
Il faut connaître la métaphysique aristotélico-thomiste et la réflexion ontologique d'Hegel. C'est les concepts qu'il invoque le plus
C'est un docteur en philo je crois, on a peut d'info sur lui mais il a 140 de QI c'est sûr
Avec un peu de travail c'est accessible
C'est un docteur en philo je crois, on a peut d'info sur lui mais il a 140 de QI c'est sûr
Avec un peu de travail c'est accessible
free lebosslelite
il y a un jour
Il faut connaître la métaphysique aristotélico-thomiste et la réflexion ontologique d'Hegel. C'est les concepts qu'il invoque le plus
C'est un docteur en philo je crois, on a peut d'info sur lui mais il a 140 de QI c'est sûr
Avec un peu de travail c'est accessible
C'est un docteur en philo je crois, on a peut d'info sur lui mais il a 140 de QI c'est sûr
Avec un peu de travail c'est accessible
Oui il va falloir bosser encore et je suis nul en philo "moi je creuse"
il y a un jour
La sainte union libéral-gauchiste qui l'eut cru
C'est exactement tout l'inverse que je prouve par ce post, vous n'avez absolument rien compris au propos...
Par ailleurs, le nazisme a eu l'appui de grands financiers comme Alfred Hugenberg qui possédait des milliers de médias.
Voilà pourquoi la gauche crache sur des Musk, Stérin, Bolloré, etc
Parce qu'il y a eu de facto une alliance de fait entre la droite conservatrice et libérale au sens économique dont les libéraux autoritaires comme Carl Schmitt contre la gauche collectiviste ET cosmopolite...
Il n'y a eu aucune alliance durable entre les communistes ou la gauche libertaire et les fascistes...
Le pacte germano-soviétique était juste un stratagème pour se partager la Pologne et duper l'autre camp en se préparant à la guerre...
Alors que l'alliance avec la droite autoritaire monarchiste ou les conservateurs comme Franco ou les capitalistes dont le patronnât était solide...
Et quand Mussolini reprend une politique socialisante, c'est non seulement à la demande du patronat Italien (protectionnisme) mais aussi pour la préparation à la guerre...
Le fascisme n'est pas une doctrine de la théorie dense, psychorigide et immuable, c'est une doctrine de l'action et de l'adaptabilité selon la situation...
Mais en période de paix (hors avant-guerre), le fascisme a montré son penchant capitalistique et Mussolini honnissait le socialisme en l'ayant vu de l'intérieur après y avoir été formé...
Par ailleurs, le nazisme a eu l'appui de grands financiers comme Alfred Hugenberg qui possédait des milliers de médias.
Voilà pourquoi la gauche crache sur des Musk, Stérin, Bolloré, etc
Parce qu'il y a eu de facto une alliance de fait entre la droite conservatrice et libérale au sens économique dont les libéraux autoritaires comme Carl Schmitt contre la gauche collectiviste ET cosmopolite...
Il n'y a eu aucune alliance durable entre les communistes ou la gauche libertaire et les fascistes...
Le pacte germano-soviétique était juste un stratagème pour se partager la Pologne et duper l'autre camp en se préparant à la guerre...
Alors que l'alliance avec la droite autoritaire monarchiste ou les conservateurs comme Franco ou les capitalistes dont le patronnât était solide...
Et quand Mussolini reprend une politique socialisante, c'est non seulement à la demande du patronat Italien (protectionnisme) mais aussi pour la préparation à la guerre...
Le fascisme n'est pas une doctrine de la théorie dense, psychorigide et immuable, c'est une doctrine de l'action et de l'adaptabilité selon la situation...
Mais en période de paix (hors avant-guerre), le fascisme a montré son penchant capitalistique et Mussolini honnissait le socialisme en l'ayant vu de l'intérieur après y avoir été formé...
il y a un jour
Oui il va falloir bosser encore et je suis nul en philo "moi je creuse"
J'ai un extrait de "Comme un agneau muet...: Pourquoi notre contemporain consent à la servitude et à la mort "
"Le fascisme comme réponse au nihilisme
Il semble que l’essence du fascisme consiste, sous ce rapport, dans la réaction vitale d’un esprit saisi par le pessimisme thématisé par Schopenhauer : le vouloir-vivre, essence profonde de toute chose, échappe au principe de la raison suffisante, lequel régit le monde des phénomènes mais non celui de l’être en soi, à savoir le vouloir-vivre lui-même qui par là se révèle sans raison, c’est-à-dire absurde, et c’est pourquoi un tel pessimisme métaphysique est générateur de nihilisme mortifère dont le fasciste en puissance entend se désengluer en passant par Nietzsche qui convertit le vouloir-vivre en volonté de puissance entendue comme volonté de volonté, qui est en jubilation créatrice ; la pensée de ce dernier se révèle néanmoins spéculativement fragile parce que soutenue par un subjectivisme revendiqué se dispensant de donner les raisons de ses choix, et surtout, obnubilé par la production d’individus d’élites exaltés dans et pour leur singularité exclusive ; un subjectivisme incapable de concevoir un bien commun fondateur d’une communauté de destin ; Nietzsche considérait que la notion de bien commun est contradictoire, et expressive d’une mentalité d’esclave : rien de ce qui est commun ne saurait pour lui avoir une valeur. C’est alors que le fasciste en puissance devient fasciste en acte en dépassant Nietzsche par l’appel à la reviviscence d’un rationalisme idéaliste que l’absurdisme schopenhauerien générateur de nihilisme avait prétendu enterrer. Il reste que le passage du fasciste en puissance au fasciste en acte n’exténue pas les séquelles du nihilisme qui avait inspiré le fascisme en lui servant de terreau : la vie inspire la raison de se donner un sens, mais elle ne s’identifie pas à elle et, loin de s’en vouloir le souffle et l’instrument, elle en fait son valet, de sorte que, en dernier ressort, le fascisme se révèle comme malgré lui, telle une modalité de l’existentialisme et du subjectivisme. Ce que, en effet, le fasciste n’entend pas retourner en arrière, au temps des certitudes dogmatiques et du statisme prérévolutionnaire.
Expliquons pourquoi : La subjectivité, en se radicalisant, fait se retourner, héroïquement, le subjectivisme contre lui-même : rien n’est vrai que ce que je décrète tel, ou encore toute vérité ou toute valeur est arbitraire ; mais, s’il en est ainsi, l’acte même de tenir pour vrai que toute vérité est arbitraire est lui-même arbitraire. Et le fasciste soucieux de dépasser le nihilisme est parfaitement capable de cela, parce que, à la différence de l’homme de gauche, sa mentalité, son caractère, ses dilections esthétiques ne le font pas se complaire dans la moiteur nauséeuse et nauséabonde de l’égotisme qu’il foule aux pieds avec acharnement aussitôt qu’il trouve des raisons — fussent-elles seulement subjectives — de le faire. Mais il ne trouve pas de raison suffisante de s’en émanciper sans retour, ainsi d’adhérer à une doctrine lui enseignant que la subjectivité n’est pas première ; il ne s’en émancipe pas, non par complaisance mais parce qu’il redoute de retomber dans un dogmatisme fixiste ayant fait preuve se son incomplétude, mais aussi de son impuissance — par sa tendance à délaisser le champ de l’immanence au profit d’une intériorité toute tendue vers le ciel — à résister aux assauts de la subversion faiseuse de décadence. Il nous semble que, si ce qui précède est fondé, le fasciste est une traditionaliste d’intention qui répugne à se faire tel, qui voudrait croire au dogmatisme, qui y croit déjà peut-être à moitié, mais qui ne parvient pas à y adhérer pleinement parce qu’il sait que ce retour au passé, sans autre forme de procès, serait générateur, pas ses insuffisances, de ce nihilisme dont il entend se tirer. Le fasciste embrasse, du dogmatisme traditionnel, tout ce qui prône l’ordre et l’abnégation, tout ce qui tire le moi hors de lui-même et de sa vacuité, tout ce qui donne sens à la vie humaine en lui offrant des raisons de se sacrifier, et au reste il se réjouit de ce que maints défenseurs de l’ordre ancien, horrifiés par la profonde décadence induite par le subjectivisme, le rejoignent et s’accommodent de son esthétisme et de son volontarisme ; mais il continue à faire de la subjectivité le fondement de ce à quoi il se dévoue et qui la crucifie, parce qu’il entrevoit, dans cette subjectivité inquiète et frémissante, dans cette indétermination pure, non le néant stérile sur le fond duquel se détacherait l’être toujours absurde, mais ce néant qui est à saisir tel l’être absolu dans son être-autre, son envers en lequel il se risque et dont il se fait victorieusement provenir de toute éternité, mais qui se rend immanent à la contingence des consciences finies : “omne ens, qua ens, ex nihilo fit”, comme l’enseignera Heidegger (tout être, en tant qu’il est être, procède du néant) ; il y saisit le creuset et principe de pulsation infiniment fécond, impersonnel et divin, plus intérieur à lui-même que ne l’est sa conscience réfléchie, de renouvellement — en tant que circonscrit — à la valeur infinie qu’il est censé signifier.
Nous pouvons donc conclure ce sous-chapitre en faisant observer qu’en effet le fascisme, expression politique historiquement réalisé de la Révolution conservatrice, est une réponse au nihilisme, une tentative rationnelle de le dépasser, mais non parvenue à ses fins. Peut-être en est-il ainsi, tout simplement, parce que la réflexion théorique est autant réflexion sur l’agir qu’elle présuppose, qu’elle n’est inspiratrice de cet agir, et que l’Histoire ne lui donna pas l’occasion de développer suffisamment un tel agir, laquelle eût probablement rectifié, en les approfondissant, les raisons élémentaires qu’il s’était données dans l’urgence de les déployer.
Reste à savoir si cette réticence à embrasser — au point d’en faire la racine de sa subjectivité même — la sérénité du dogmatisme traditionnel peut se révéler, au moins par accident, être principe de renouvellement de cette tradition, en forme d’approfondissement de revitalisation de cette dernière."
C'est sur ce que c'est pas pour tout le monde
"Le fascisme comme réponse au nihilisme
Il semble que l’essence du fascisme consiste, sous ce rapport, dans la réaction vitale d’un esprit saisi par le pessimisme thématisé par Schopenhauer : le vouloir-vivre, essence profonde de toute chose, échappe au principe de la raison suffisante, lequel régit le monde des phénomènes mais non celui de l’être en soi, à savoir le vouloir-vivre lui-même qui par là se révèle sans raison, c’est-à-dire absurde, et c’est pourquoi un tel pessimisme métaphysique est générateur de nihilisme mortifère dont le fasciste en puissance entend se désengluer en passant par Nietzsche qui convertit le vouloir-vivre en volonté de puissance entendue comme volonté de volonté, qui est en jubilation créatrice ; la pensée de ce dernier se révèle néanmoins spéculativement fragile parce que soutenue par un subjectivisme revendiqué se dispensant de donner les raisons de ses choix, et surtout, obnubilé par la production d’individus d’élites exaltés dans et pour leur singularité exclusive ; un subjectivisme incapable de concevoir un bien commun fondateur d’une communauté de destin ; Nietzsche considérait que la notion de bien commun est contradictoire, et expressive d’une mentalité d’esclave : rien de ce qui est commun ne saurait pour lui avoir une valeur. C’est alors que le fasciste en puissance devient fasciste en acte en dépassant Nietzsche par l’appel à la reviviscence d’un rationalisme idéaliste que l’absurdisme schopenhauerien générateur de nihilisme avait prétendu enterrer. Il reste que le passage du fasciste en puissance au fasciste en acte n’exténue pas les séquelles du nihilisme qui avait inspiré le fascisme en lui servant de terreau : la vie inspire la raison de se donner un sens, mais elle ne s’identifie pas à elle et, loin de s’en vouloir le souffle et l’instrument, elle en fait son valet, de sorte que, en dernier ressort, le fascisme se révèle comme malgré lui, telle une modalité de l’existentialisme et du subjectivisme. Ce que, en effet, le fasciste n’entend pas retourner en arrière, au temps des certitudes dogmatiques et du statisme prérévolutionnaire.
Expliquons pourquoi : La subjectivité, en se radicalisant, fait se retourner, héroïquement, le subjectivisme contre lui-même : rien n’est vrai que ce que je décrète tel, ou encore toute vérité ou toute valeur est arbitraire ; mais, s’il en est ainsi, l’acte même de tenir pour vrai que toute vérité est arbitraire est lui-même arbitraire. Et le fasciste soucieux de dépasser le nihilisme est parfaitement capable de cela, parce que, à la différence de l’homme de gauche, sa mentalité, son caractère, ses dilections esthétiques ne le font pas se complaire dans la moiteur nauséeuse et nauséabonde de l’égotisme qu’il foule aux pieds avec acharnement aussitôt qu’il trouve des raisons — fussent-elles seulement subjectives — de le faire. Mais il ne trouve pas de raison suffisante de s’en émanciper sans retour, ainsi d’adhérer à une doctrine lui enseignant que la subjectivité n’est pas première ; il ne s’en émancipe pas, non par complaisance mais parce qu’il redoute de retomber dans un dogmatisme fixiste ayant fait preuve se son incomplétude, mais aussi de son impuissance — par sa tendance à délaisser le champ de l’immanence au profit d’une intériorité toute tendue vers le ciel — à résister aux assauts de la subversion faiseuse de décadence. Il nous semble que, si ce qui précède est fondé, le fasciste est une traditionaliste d’intention qui répugne à se faire tel, qui voudrait croire au dogmatisme, qui y croit déjà peut-être à moitié, mais qui ne parvient pas à y adhérer pleinement parce qu’il sait que ce retour au passé, sans autre forme de procès, serait générateur, pas ses insuffisances, de ce nihilisme dont il entend se tirer. Le fasciste embrasse, du dogmatisme traditionnel, tout ce qui prône l’ordre et l’abnégation, tout ce qui tire le moi hors de lui-même et de sa vacuité, tout ce qui donne sens à la vie humaine en lui offrant des raisons de se sacrifier, et au reste il se réjouit de ce que maints défenseurs de l’ordre ancien, horrifiés par la profonde décadence induite par le subjectivisme, le rejoignent et s’accommodent de son esthétisme et de son volontarisme ; mais il continue à faire de la subjectivité le fondement de ce à quoi il se dévoue et qui la crucifie, parce qu’il entrevoit, dans cette subjectivité inquiète et frémissante, dans cette indétermination pure, non le néant stérile sur le fond duquel se détacherait l’être toujours absurde, mais ce néant qui est à saisir tel l’être absolu dans son être-autre, son envers en lequel il se risque et dont il se fait victorieusement provenir de toute éternité, mais qui se rend immanent à la contingence des consciences finies : “omne ens, qua ens, ex nihilo fit”, comme l’enseignera Heidegger (tout être, en tant qu’il est être, procède du néant) ; il y saisit le creuset et principe de pulsation infiniment fécond, impersonnel et divin, plus intérieur à lui-même que ne l’est sa conscience réfléchie, de renouvellement — en tant que circonscrit — à la valeur infinie qu’il est censé signifier.
Nous pouvons donc conclure ce sous-chapitre en faisant observer qu’en effet le fascisme, expression politique historiquement réalisé de la Révolution conservatrice, est une réponse au nihilisme, une tentative rationnelle de le dépasser, mais non parvenue à ses fins. Peut-être en est-il ainsi, tout simplement, parce que la réflexion théorique est autant réflexion sur l’agir qu’elle présuppose, qu’elle n’est inspiratrice de cet agir, et que l’Histoire ne lui donna pas l’occasion de développer suffisamment un tel agir, laquelle eût probablement rectifié, en les approfondissant, les raisons élémentaires qu’il s’était données dans l’urgence de les déployer.
Reste à savoir si cette réticence à embrasser — au point d’en faire la racine de sa subjectivité même — la sérénité du dogmatisme traditionnel peut se révéler, au moins par accident, être principe de renouvellement de cette tradition, en forme d’approfondissement de revitalisation de cette dernière."
C'est sur ce que c'est pas pour tout le monde
free lebosslelite
il y a un jour
C'est exactement tout l'inverse que je prouve par ce post, vous n'avez absolument rien compris au propos...
Par ailleurs, le nazisme a eu l'appui de grands financiers comme Alfred Hugenberg qui possédait des milliers de médias.
Voilà pourquoi la gauche crache sur des Musk, Stérin, Bolloré, etc
Parce qu'il y a eu de facto une alliance de fait entre la droite conservatrice et libérale au sens économique dont les libéraux autoritaires comme Carl Schmitt contre la gauche collectiviste ET cosmopolite...
Il n'y a eu aucune alliance durable entre les communistes ou la gauche libertaire et les fascistes...
Le pacte germano-soviétique était juste un stratagème pour se partager la Pologne et duper l'autre camp en se préparant à la guerre...
Alors que l'alliance avec la droite autoritaire monarchiste ou les conservateurs comme Franco ou les capitalistes dont le patronnât était solide...
Et quand Mussolini reprend une politique socialisante, c'est non seulement à la demande du patronat Italien (protectionnisme) mais aussi pour la préparation à la guerre...
Le fascisme n'est pas une doctrine de la théorie dense, psychorigide et immuable, c'est une doctrine de l'action et de l'adaptabilité selon la situation...
Mais en période de paix (hors avant-guerre), le fascisme a montré son penchant capitalistique et Mussolini honnissait le socialisme en l'ayant vu de l'intérieur après y avoir été formé...
Par ailleurs, le nazisme a eu l'appui de grands financiers comme Alfred Hugenberg qui possédait des milliers de médias.
Voilà pourquoi la gauche crache sur des Musk, Stérin, Bolloré, etc
Parce qu'il y a eu de facto une alliance de fait entre la droite conservatrice et libérale au sens économique dont les libéraux autoritaires comme Carl Schmitt contre la gauche collectiviste ET cosmopolite...
Il n'y a eu aucune alliance durable entre les communistes ou la gauche libertaire et les fascistes...
Le pacte germano-soviétique était juste un stratagème pour se partager la Pologne et duper l'autre camp en se préparant à la guerre...
Alors que l'alliance avec la droite autoritaire monarchiste ou les conservateurs comme Franco ou les capitalistes dont le patronnât était solide...
Et quand Mussolini reprend une politique socialisante, c'est non seulement à la demande du patronat Italien (protectionnisme) mais aussi pour la préparation à la guerre...
Le fascisme n'est pas une doctrine de la théorie dense, psychorigide et immuable, c'est une doctrine de l'action et de l'adaptabilité selon la situation...
Mais en période de paix (hors avant-guerre), le fascisme a montré son penchant capitalistique et Mussolini honnissait le socialisme en l'ayant vu de l'intérieur après y avoir été formé...
"Az quotes"
free lebosslelite
il y a un jour
"Az quotes"
Et donc ? Ces citations sont fausses ? (j'ai vérifié).
il y a un jour
Ca m'étonne pas, je vais pas dire tout ce que je pense pour pas finir en prison mais les ricains ont un culte de la performance et une absence de pitié à faire passer la SS pour une oeuvre de charité.
Les nazis restaient des européens avant tout, donc des mecs à la misère sur un continent surpeuplé. Ils avaient connu la violence bourgeoise, le manque, ils n'étaient élitistes que dans la mesure où les déchets devaient être éliminés.
Les américains sont arrivés sur un continent quasi-vide, ils ont vite repris l'habitude de jouir d'une certaine richesse matérielle, de manger à leur faim, de manger plus de viande, de pouvoir faire valoir leurs droits. Donc ils ont vite perdu leurs complexes d'européens pauvres.
L'espoir étant permis, la comptition était devenue souhaitable et profitable donc ils ont développé un mental marche ou crève où faire les choses à moitié = échouer.
Tu te pointes aux USA en étant un narbo, déjà tu fais 10 cm de moins et 20 kg de moins, tu as un esprit pratique moins développé, une mentalité plus apte au compromis
je pense que direct tu te fais mépriser, et pas toujours à tort. Même sans à priori raciste tu es vite vu comme un clochard honteux, une gourde voire un idiot
Déjà en Europe du nord les gens sont moins à l'étroit, il suffit de regarder deux trois émissions sur la scandinavie, pour s'apercevoir que le français 100 % blanc et bien éduqué, mais mentalement sémitisé par la société bourgeoise, il arrive avec ses hésitations, ses pudeurs, ses complexes, ses vaines politesses, et du coup il agace, il suscite l'impatience, voire le dédain. Il se fait catégoriser branleur, empoté, et hypocrite en deux secondes. D'ailleurs les Suédois étaient je pense encore "pires" que les nazis en regard de l'eugénisme à la base
Techniquement la majorité des américains est plus ou moins allemande d'origine mais comme ils ont perdu leurs réflexes de pauvres et d'esclaves, ils sont devenus plus cyniques et intolérants et je pense plus "racistes", pas forcément par principe mais par pragmatisme, ils ont pas de temps à perdre avec les demi-bogmoule.
D'ailleurs ils intellectualisent pas .. Même le concept de "narbo" pour eux c'est superflu. Un mélange d'européen et de bogmoule? Quoi ??? Bref c'est un bogmoule quoi. Pour eux si c'est marronâtre, bistre, ils cherchent pas à savoir si c'est 25 % ou 50 % non-blanc => bogmoule. Mutt.
Les nazis restaient des européens avant tout, donc des mecs à la misère sur un continent surpeuplé. Ils avaient connu la violence bourgeoise, le manque, ils n'étaient élitistes que dans la mesure où les déchets devaient être éliminés.
Les américains sont arrivés sur un continent quasi-vide, ils ont vite repris l'habitude de jouir d'une certaine richesse matérielle, de manger à leur faim, de manger plus de viande, de pouvoir faire valoir leurs droits. Donc ils ont vite perdu leurs complexes d'européens pauvres.
L'espoir étant permis, la comptition était devenue souhaitable et profitable donc ils ont développé un mental marche ou crève où faire les choses à moitié = échouer.
Tu te pointes aux USA en étant un narbo, déjà tu fais 10 cm de moins et 20 kg de moins, tu as un esprit pratique moins développé, une mentalité plus apte au compromis


Déjà en Europe du nord les gens sont moins à l'étroit, il suffit de regarder deux trois émissions sur la scandinavie, pour s'apercevoir que le français 100 % blanc et bien éduqué, mais mentalement sémitisé par la société bourgeoise, il arrive avec ses hésitations, ses pudeurs, ses complexes, ses vaines politesses, et du coup il agace, il suscite l'impatience, voire le dédain. Il se fait catégoriser branleur, empoté, et hypocrite en deux secondes. D'ailleurs les Suédois étaient je pense encore "pires" que les nazis en regard de l'eugénisme à la base

Techniquement la majorité des américains est plus ou moins allemande d'origine mais comme ils ont perdu leurs réflexes de pauvres et d'esclaves, ils sont devenus plus cyniques et intolérants et je pense plus "racistes", pas forcément par principe mais par pragmatisme, ils ont pas de temps à perdre avec les demi-bogmoule.
D'ailleurs ils intellectualisent pas .. Même le concept de "narbo" pour eux c'est superflu. Un mélange d'européen et de bogmoule? Quoi ??? Bref c'est un bogmoule quoi. Pour eux si c'est marronâtre, bistre, ils cherchent pas à savoir si c'est 25 % ou 50 % non-blanc => bogmoule. Mutt.
Je suis Seugondaire.
il y a 21 heures
J'ai un extrait de "Comme un agneau muet...: Pourquoi notre contemporain consent à la servitude et à la mort "
"Le fascisme comme réponse au nihilisme
Il semble que l’essence du fascisme consiste, sous ce rapport, dans la réaction vitale d’un esprit saisi par le pessimisme thématisé par Schopenhauer : le vouloir-vivre, essence profonde de toute chose, échappe au principe de la raison suffisante, lequel régit le monde des phénomènes mais non celui de l’être en soi, à savoir le vouloir-vivre lui-même qui par là se révèle sans raison, c’est-à-dire absurde, et c’est pourquoi un tel pessimisme métaphysique est générateur de nihilisme mortifère dont le fasciste en puissance entend se désengluer en passant par Nietzsche qui convertit le vouloir-vivre en volonté de puissance entendue comme volonté de volonté, qui est en jubilation créatrice ; la pensée de ce dernier se révèle néanmoins spéculativement fragile parce que soutenue par un subjectivisme revendiqué se dispensant de donner les raisons de ses choix, et surtout, obnubilé par la production d’individus d’élites exaltés dans et pour leur singularité exclusive ; un subjectivisme incapable de concevoir un bien commun fondateur d’une communauté de destin ; Nietzsche considérait que la notion de bien commun est contradictoire, et expressive d’une mentalité d’esclave : rien de ce qui est commun ne saurait pour lui avoir une valeur. C’est alors que le fasciste en puissance devient fasciste en acte en dépassant Nietzsche par l’appel à la reviviscence d’un rationalisme idéaliste que l’absurdisme schopenhauerien générateur de nihilisme avait prétendu enterrer. Il reste que le passage du fasciste en puissance au fasciste en acte n’exténue pas les séquelles du nihilisme qui avait inspiré le fascisme en lui servant de terreau : la vie inspire la raison de se donner un sens, mais elle ne s’identifie pas à elle et, loin de s’en vouloir le souffle et l’instrument, elle en fait son valet, de sorte que, en dernier ressort, le fascisme se révèle comme malgré lui, telle une modalité de l’existentialisme et du subjectivisme. Ce que, en effet, le fasciste n’entend pas retourner en arrière, au temps des certitudes dogmatiques et du statisme prérévolutionnaire.
Expliquons pourquoi : La subjectivité, en se radicalisant, fait se retourner, héroïquement, le subjectivisme contre lui-même : rien n’est vrai que ce que je décrète tel, ou encore toute vérité ou toute valeur est arbitraire ; mais, s’il en est ainsi, l’acte même de tenir pour vrai que toute vérité est arbitraire est lui-même arbitraire. Et le fasciste soucieux de dépasser le nihilisme est parfaitement capable de cela, parce que, à la différence de l’homme de gauche, sa mentalité, son caractère, ses dilections esthétiques ne le font pas se complaire dans la moiteur nauséeuse et nauséabonde de l’égotisme qu’il foule aux pieds avec acharnement aussitôt qu’il trouve des raisons — fussent-elles seulement subjectives — de le faire. Mais il ne trouve pas de raison suffisante de s’en émanciper sans retour, ainsi d’adhérer à une doctrine lui enseignant que la subjectivité n’est pas première ; il ne s’en émancipe pas, non par complaisance mais parce qu’il redoute de retomber dans un dogmatisme fixiste ayant fait preuve se son incomplétude, mais aussi de son impuissance — par sa tendance à délaisser le champ de l’immanence au profit d’une intériorité toute tendue vers le ciel — à résister aux assauts de la subversion faiseuse de décadence. Il nous semble que, si ce qui précède est fondé, le fasciste est une traditionaliste d’intention qui répugne à se faire tel, qui voudrait croire au dogmatisme, qui y croit déjà peut-être à moitié, mais qui ne parvient pas à y adhérer pleinement parce qu’il sait que ce retour au passé, sans autre forme de procès, serait générateur, pas ses insuffisances, de ce nihilisme dont il entend se tirer. Le fasciste embrasse, du dogmatisme traditionnel, tout ce qui prône l’ordre et l’abnégation, tout ce qui tire le moi hors de lui-même et de sa vacuité, tout ce qui donne sens à la vie humaine en lui offrant des raisons de se sacrifier, et au reste il se réjouit de ce que maints défenseurs de l’ordre ancien, horrifiés par la profonde décadence induite par le subjectivisme, le rejoignent et s’accommodent de son esthétisme et de son volontarisme ; mais il continue à faire de la subjectivité le fondement de ce à quoi il se dévoue et qui la crucifie, parce qu’il entrevoit, dans cette subjectivité inquiète et frémissante, dans cette indétermination pure, non le néant stérile sur le fond duquel se détacherait l’être toujours absurde, mais ce néant qui est à saisir tel l’être absolu dans son être-autre, son envers en lequel il se risque et dont il se fait victorieusement provenir de toute éternité, mais qui se rend immanent à la contingence des consciences finies : “omne ens, qua ens, ex nihilo fit”, comme l’enseignera Heidegger (tout être, en tant qu’il est être, procède du néant) ; il y saisit le creuset et principe de pulsation infiniment fécond, impersonnel et divin, plus intérieur à lui-même que ne l’est sa conscience réfléchie, de renouvellement — en tant que circonscrit — à la valeur infinie qu’il est censé signifier.
Nous pouvons donc conclure ce sous-chapitre en faisant observer qu’en effet le fascisme, expression politique historiquement réalisé de la Révolution conservatrice, est une réponse au nihilisme, une tentative rationnelle de le dépasser, mais non parvenue à ses fins. Peut-être en est-il ainsi, tout simplement, parce que la réflexion théorique est autant réflexion sur l’agir qu’elle présuppose, qu’elle n’est inspiratrice de cet agir, et que l’Histoire ne lui donna pas l’occasion de développer suffisamment un tel agir, laquelle eût probablement rectifié, en les approfondissant, les raisons élémentaires qu’il s’était données dans l’urgence de les déployer.
Reste à savoir si cette réticence à embrasser — au point d’en faire la racine de sa subjectivité même — la sérénité du dogmatisme traditionnel peut se révéler, au moins par accident, être principe de renouvellement de cette tradition, en forme d’approfondissement de revitalisation de cette dernière."
C'est sur ce que c'est pas pour tout le monde
"Le fascisme comme réponse au nihilisme
Il semble que l’essence du fascisme consiste, sous ce rapport, dans la réaction vitale d’un esprit saisi par le pessimisme thématisé par Schopenhauer : le vouloir-vivre, essence profonde de toute chose, échappe au principe de la raison suffisante, lequel régit le monde des phénomènes mais non celui de l’être en soi, à savoir le vouloir-vivre lui-même qui par là se révèle sans raison, c’est-à-dire absurde, et c’est pourquoi un tel pessimisme métaphysique est générateur de nihilisme mortifère dont le fasciste en puissance entend se désengluer en passant par Nietzsche qui convertit le vouloir-vivre en volonté de puissance entendue comme volonté de volonté, qui est en jubilation créatrice ; la pensée de ce dernier se révèle néanmoins spéculativement fragile parce que soutenue par un subjectivisme revendiqué se dispensant de donner les raisons de ses choix, et surtout, obnubilé par la production d’individus d’élites exaltés dans et pour leur singularité exclusive ; un subjectivisme incapable de concevoir un bien commun fondateur d’une communauté de destin ; Nietzsche considérait que la notion de bien commun est contradictoire, et expressive d’une mentalité d’esclave : rien de ce qui est commun ne saurait pour lui avoir une valeur. C’est alors que le fasciste en puissance devient fasciste en acte en dépassant Nietzsche par l’appel à la reviviscence d’un rationalisme idéaliste que l’absurdisme schopenhauerien générateur de nihilisme avait prétendu enterrer. Il reste que le passage du fasciste en puissance au fasciste en acte n’exténue pas les séquelles du nihilisme qui avait inspiré le fascisme en lui servant de terreau : la vie inspire la raison de se donner un sens, mais elle ne s’identifie pas à elle et, loin de s’en vouloir le souffle et l’instrument, elle en fait son valet, de sorte que, en dernier ressort, le fascisme se révèle comme malgré lui, telle une modalité de l’existentialisme et du subjectivisme. Ce que, en effet, le fasciste n’entend pas retourner en arrière, au temps des certitudes dogmatiques et du statisme prérévolutionnaire.
Expliquons pourquoi : La subjectivité, en se radicalisant, fait se retourner, héroïquement, le subjectivisme contre lui-même : rien n’est vrai que ce que je décrète tel, ou encore toute vérité ou toute valeur est arbitraire ; mais, s’il en est ainsi, l’acte même de tenir pour vrai que toute vérité est arbitraire est lui-même arbitraire. Et le fasciste soucieux de dépasser le nihilisme est parfaitement capable de cela, parce que, à la différence de l’homme de gauche, sa mentalité, son caractère, ses dilections esthétiques ne le font pas se complaire dans la moiteur nauséeuse et nauséabonde de l’égotisme qu’il foule aux pieds avec acharnement aussitôt qu’il trouve des raisons — fussent-elles seulement subjectives — de le faire. Mais il ne trouve pas de raison suffisante de s’en émanciper sans retour, ainsi d’adhérer à une doctrine lui enseignant que la subjectivité n’est pas première ; il ne s’en émancipe pas, non par complaisance mais parce qu’il redoute de retomber dans un dogmatisme fixiste ayant fait preuve se son incomplétude, mais aussi de son impuissance — par sa tendance à délaisser le champ de l’immanence au profit d’une intériorité toute tendue vers le ciel — à résister aux assauts de la subversion faiseuse de décadence. Il nous semble que, si ce qui précède est fondé, le fasciste est une traditionaliste d’intention qui répugne à se faire tel, qui voudrait croire au dogmatisme, qui y croit déjà peut-être à moitié, mais qui ne parvient pas à y adhérer pleinement parce qu’il sait que ce retour au passé, sans autre forme de procès, serait générateur, pas ses insuffisances, de ce nihilisme dont il entend se tirer. Le fasciste embrasse, du dogmatisme traditionnel, tout ce qui prône l’ordre et l’abnégation, tout ce qui tire le moi hors de lui-même et de sa vacuité, tout ce qui donne sens à la vie humaine en lui offrant des raisons de se sacrifier, et au reste il se réjouit de ce que maints défenseurs de l’ordre ancien, horrifiés par la profonde décadence induite par le subjectivisme, le rejoignent et s’accommodent de son esthétisme et de son volontarisme ; mais il continue à faire de la subjectivité le fondement de ce à quoi il se dévoue et qui la crucifie, parce qu’il entrevoit, dans cette subjectivité inquiète et frémissante, dans cette indétermination pure, non le néant stérile sur le fond duquel se détacherait l’être toujours absurde, mais ce néant qui est à saisir tel l’être absolu dans son être-autre, son envers en lequel il se risque et dont il se fait victorieusement provenir de toute éternité, mais qui se rend immanent à la contingence des consciences finies : “omne ens, qua ens, ex nihilo fit”, comme l’enseignera Heidegger (tout être, en tant qu’il est être, procède du néant) ; il y saisit le creuset et principe de pulsation infiniment fécond, impersonnel et divin, plus intérieur à lui-même que ne l’est sa conscience réfléchie, de renouvellement — en tant que circonscrit — à la valeur infinie qu’il est censé signifier.
Nous pouvons donc conclure ce sous-chapitre en faisant observer qu’en effet le fascisme, expression politique historiquement réalisé de la Révolution conservatrice, est une réponse au nihilisme, une tentative rationnelle de le dépasser, mais non parvenue à ses fins. Peut-être en est-il ainsi, tout simplement, parce que la réflexion théorique est autant réflexion sur l’agir qu’elle présuppose, qu’elle n’est inspiratrice de cet agir, et que l’Histoire ne lui donna pas l’occasion de développer suffisamment un tel agir, laquelle eût probablement rectifié, en les approfondissant, les raisons élémentaires qu’il s’était données dans l’urgence de les déployer.
Reste à savoir si cette réticence à embrasser — au point d’en faire la racine de sa subjectivité même — la sérénité du dogmatisme traditionnel peut se révéler, au moins par accident, être principe de renouvellement de cette tradition, en forme d’approfondissement de revitalisation de cette dernière."
C'est sur ce que c'est pas pour tout le monde
très métaphorique tout ça tu voudrais mettre un mouvement là il y en a pas pour résuire la pensée att je suis fatiguée deux heures de débroussaillages ça pleut de sueur
il y a 21 heures
Et donc ? Ces citations sont fausses ? (j'ai vérifié).
Non mais t'y connais rien donc c'est de la merde. C'est comme tes citations AZ Quotes pour prouver qu'Hitler était anti-religion. T'as rien lu à part le chat d'un live de Conversano mais tu te permets d'ouvrir ta gueule
T'essaies de m'expliquer le fascisme ; c'est comme si tu venais expliquer à un prêtre ce qu'est vraiment le catholicisme
"Et quand Mussolini reprend une politique socialisante, c'est non seulement à la demande du patronat Italien (protectionnisme) mais aussi pour la préparation à la guerre..." La préparation à quelle guerre ? On parle des années 1920 là
Le patronat qui demande le corporatisme bordel. Demande à ChatGPT de revérifier la logique des réponses
https://onche.org/topic/9[...]tremes/3#message_18160710 Tiens un pavé sérieux qui explique pourquoi c'est pas libéral.
Le fascisme à son propre système économique, sa propre doctrine politique, sa propre religion. Les fascistes sont aussi éloignés des communistes que des libéraux. C'est dingue non ?
T'es pas fasciste, t'es un pauvre libéral mou. T'es plus proche d'un Macron que d'un Mussolini. Dans le fond on sait tous que c'est ça qui te dérange
T'essaies de m'expliquer le fascisme ; c'est comme si tu venais expliquer à un prêtre ce qu'est vraiment le catholicisme
"Et quand Mussolini reprend une politique socialisante, c'est non seulement à la demande du patronat Italien (protectionnisme) mais aussi pour la préparation à la guerre..." La préparation à quelle guerre ? On parle des années 1920 là
Le patronat qui demande le corporatisme bordel. Demande à ChatGPT de revérifier la logique des réponses
Le fascisme à son propre système économique, sa propre doctrine politique, sa propre religion. Les fascistes sont aussi éloignés des communistes que des libéraux. C'est dingue non ?
T'es pas fasciste, t'es un pauvre libéral mou. T'es plus proche d'un Macron que d'un Mussolini. Dans le fond on sait tous que c'est ça qui te dérange
free lebosslelite
il y a 21 heures