Ce sujet a été résolu
VIDEO - RV à 12h30 - Mike Borowski en direct sur ce sujet : "Canicule, la propagande se déchaîne ! "
https://www.youtube.com/l[...]KVO1c?si=evyt9rxM4QunoI1V
il y a 3 jours
J'espère qu'il apportera une plus value... Ses lives sont souvent vides
Oui, mais la description de cette vidéo me donne une autre impression :
"Les cartes météo saturées de rouge, les flammes numériques et les bandeaux d’alerte permanents ne sont pas de simples choix graphiques : elles participent à une mise en scène émotionnelle qui remplace l’information par le spectacle. L’alerte canicule est un outil de gestion publique précis, fondé sur des seuils et des critères mesurables, mais elle est détournée en feuilleton anxiogène qui infantilise et manipule.
Oui, il a toujours fait chaud, mais la canicule d’aujourd’hui n’est pas celle d’hier. L’été 2003 et ses milliers de morts, les épisodes extrêmes récents en Europe, l’intensité nocturne et la durée des vagues de chaleur composent une réalité nouvelle. Réduire le débat à “il a toujours fait chaud” revient à occulter l’évolution des phénomènes et la vulnérabilité accrue des populations.
Chaque crise climatique sert de tremplin pour imposer des normes qui transforment le quotidien : restrictions de circulation, surveillance automatisée, contraintes sur le logement, obligation de mise aux normes énergétiques. Ces mesures s’installent progressivement, sous couvert de santé publique et de transition écologique, mais construisent une architecture de contrôle qui conditionne l’accès aux droits et libertés.
Derrière la dramaturgie climatique se joue une partie plus vaste : ingénierie sociale, acceptabilité progressive, centralisation des décisions, normalisation technocratique. Le choc visuel sert de carburant émotionnel à un projet de gouvernance qui dépasse la météo.
Mike Borowski vous explique pourquoi, en été, il ne fait plus chaud mais… plus politique, en direct sur Géopolitique Profonde."
"Les cartes météo saturées de rouge, les flammes numériques et les bandeaux d’alerte permanents ne sont pas de simples choix graphiques : elles participent à une mise en scène émotionnelle qui remplace l’information par le spectacle. L’alerte canicule est un outil de gestion publique précis, fondé sur des seuils et des critères mesurables, mais elle est détournée en feuilleton anxiogène qui infantilise et manipule.
Oui, il a toujours fait chaud, mais la canicule d’aujourd’hui n’est pas celle d’hier. L’été 2003 et ses milliers de morts, les épisodes extrêmes récents en Europe, l’intensité nocturne et la durée des vagues de chaleur composent une réalité nouvelle. Réduire le débat à “il a toujours fait chaud” revient à occulter l’évolution des phénomènes et la vulnérabilité accrue des populations.
Chaque crise climatique sert de tremplin pour imposer des normes qui transforment le quotidien : restrictions de circulation, surveillance automatisée, contraintes sur le logement, obligation de mise aux normes énergétiques. Ces mesures s’installent progressivement, sous couvert de santé publique et de transition écologique, mais construisent une architecture de contrôle qui conditionne l’accès aux droits et libertés.
Derrière la dramaturgie climatique se joue une partie plus vaste : ingénierie sociale, acceptabilité progressive, centralisation des décisions, normalisation technocratique. Le choc visuel sert de carburant émotionnel à un projet de gouvernance qui dépasse la météo.
Mike Borowski vous explique pourquoi, en été, il ne fait plus chaud mais… plus politique, en direct sur Géopolitique Profonde."
il y a 3 jours
Oui, mais la description de cette vidéo me donne une autre impression :
"Les cartes météo saturées de rouge, les flammes numériques et les bandeaux d’alerte permanents ne sont pas de simples choix graphiques : elles participent à une mise en scène émotionnelle qui remplace l’information par le spectacle. L’alerte canicule est un outil de gestion publique précis, fondé sur des seuils et des critères mesurables, mais elle est détournée en feuilleton anxiogène qui infantilise et manipule.
Oui, il a toujours fait chaud, mais la canicule d’aujourd’hui n’est pas celle d’hier. L’été 2003 et ses milliers de morts, les épisodes extrêmes récents en Europe, l’intensité nocturne et la durée des vagues de chaleur composent une réalité nouvelle. Réduire le débat à “il a toujours fait chaud” revient à occulter l’évolution des phénomènes et la vulnérabilité accrue des populations.
Chaque crise climatique sert de tremplin pour imposer des normes qui transforment le quotidien : restrictions de circulation, surveillance automatisée, contraintes sur le logement, obligation de mise aux normes énergétiques. Ces mesures s’installent progressivement, sous couvert de santé publique et de transition écologique, mais construisent une architecture de contrôle qui conditionne l’accès aux droits et libertés.
Derrière la dramaturgie climatique se joue une partie plus vaste : ingénierie sociale, acceptabilité progressive, centralisation des décisions, normalisation technocratique. Le choc visuel sert de carburant émotionnel à un projet de gouvernance qui dépasse la météo.
Mike Borowski vous explique pourquoi, en été, il ne fait plus chaud mais… plus politique, en direct sur Géopolitique Profonde."
"Les cartes météo saturées de rouge, les flammes numériques et les bandeaux d’alerte permanents ne sont pas de simples choix graphiques : elles participent à une mise en scène émotionnelle qui remplace l’information par le spectacle. L’alerte canicule est un outil de gestion publique précis, fondé sur des seuils et des critères mesurables, mais elle est détournée en feuilleton anxiogène qui infantilise et manipule.
Oui, il a toujours fait chaud, mais la canicule d’aujourd’hui n’est pas celle d’hier. L’été 2003 et ses milliers de morts, les épisodes extrêmes récents en Europe, l’intensité nocturne et la durée des vagues de chaleur composent une réalité nouvelle. Réduire le débat à “il a toujours fait chaud” revient à occulter l’évolution des phénomènes et la vulnérabilité accrue des populations.
Chaque crise climatique sert de tremplin pour imposer des normes qui transforment le quotidien : restrictions de circulation, surveillance automatisée, contraintes sur le logement, obligation de mise aux normes énergétiques. Ces mesures s’installent progressivement, sous couvert de santé publique et de transition écologique, mais construisent une architecture de contrôle qui conditionne l’accès aux droits et libertés.
Derrière la dramaturgie climatique se joue une partie plus vaste : ingénierie sociale, acceptabilité progressive, centralisation des décisions, normalisation technocratique. Le choc visuel sert de carburant émotionnel à un projet de gouvernance qui dépasse la météo.
Mike Borowski vous explique pourquoi, en été, il ne fait plus chaud mais… plus politique, en direct sur Géopolitique Profonde."
Ok, il va meubler pendant 30 minutes en disant qu'il fait chaud, mais que la semaine dernière, il faisait frais
il y a 3 jours
On le sais tous ça, pas besoin qu'un pseudo expert m'explique un truc que je sais déjà
house music
il y a 3 jours
VIDEO - RV à 12h30 - Mike Borowski en direct sur ce sujet : "Canicule, la propagande se déchaîne ! "
https://www.youtube.com/l[...]KVO1c?si=evyt9rxM4QunoI1V
Mais plus personne hormis les boomers et les bobos regardent les infos
Vu qu'ils meurent et se reproduisent pas...
ent'
Vu qu'ils meurent et se reproduisent pas...
il y a 3 jours
J'espère qu'il apportera une plus value... Ses lives sont souvent vides
Comme beaucoup de médias ''alternatifs''
Ça boucle sur des sujets a la con
Au lieu de prendre les caméras et d'aller la où les meRdias ne vont pas
Ça boucle sur des sujets a la con
Au lieu de prendre les caméras et d'aller la où les meRdias ne vont pas
il y a 3 jours
C'est MAINTENANT !
il y a 3 jours
Ah ah, en même pas 30 secondes il m'a déjà bien fait marrer !

il y a 3 jours