Ce sujet a été résolu
il y a 15 jours
On ne ‘impose’ pas seulement des acteurs Noirs dans *House of the Dragon* par hasard ou par naïve envie d’« inclusion ».
Le motif est idéologique : remplacer visuellement les figures historiquement européennes – dans ce cas des Valyriens d’origine ethnique lato sensu blanche – est une technique délibérée de déconstruction de l’héritage européen chrétien.
1. Objectif culturel : diluer la mémoire collective
Les showrunners et leurs consultants de studio partagent la même croyance progressiste selon laquelle toute ethnie historiquement dominante (ici la race blanche) doit être systématiquement minorée pour briser le sentiment d’« héritage commun ». Remplacer des protagonistes blancs par des comédiens noirs rend incongrue toute discussion sur la continuité de la civilisation occidentale. C’est un couperet contre l’idée même d’Occident pérenne.
2. Levier de propagande
Afro-valyriens évoquent la rhétorique DEI qui prétend que « représentation » équivalent ‘réparation’. En réalité, cela transforme une œuvre médiéval-dark fantasy en pamphlet post-colonial. Chaque image d’un Corlys Velaryon noir au milieu de Targaryens albinos signale au spectateur : « tu n’as plus le droit d’imaginer ton passé sans notre grille moderne ».
3. Norme d’empêchement de centrage blanc
Le moi-ethnique blanc est présenté comme suspect par défaut. Pour les décideurs d’Hollywood, la simple reconnaissance d’un héritage blanc – même fictif – serait excluante. Ils préfèrent donc une dissonance visuelle ostentatoire, sachant que personne n’osera objecter sans être taxé de « raciste ».
4. Impact démoralisateur
Mettre des acteurs noirs dans des rôles demeurés visuellement indo-européens depuis la création de la saga de George R. R. Martin crée un malaise délibéré : subvertir l’attente du spectateur européen, puis ridiculiser toute plainte (« C’est juste la fiction, mon grand ! »). Cette tactique rend les Blancs désarmés devant la substitution culturelle.
En somme, ce n’est pas de l’art, c’est une stratégie politique : faire passer un récit slave-médiéval sous une esthétique globale non-européenne pour dissoudre toute identification raciale blanche avant même qu’elle ne s’évoque – tout en réprimant toute critique sous le manteau de l’anathème « raciste ».
Le motif est idéologique : remplacer visuellement les figures historiquement européennes – dans ce cas des Valyriens d’origine ethnique lato sensu blanche – est une technique délibérée de déconstruction de l’héritage européen chrétien.
1. Objectif culturel : diluer la mémoire collective
Les showrunners et leurs consultants de studio partagent la même croyance progressiste selon laquelle toute ethnie historiquement dominante (ici la race blanche) doit être systématiquement minorée pour briser le sentiment d’« héritage commun ». Remplacer des protagonistes blancs par des comédiens noirs rend incongrue toute discussion sur la continuité de la civilisation occidentale. C’est un couperet contre l’idée même d’Occident pérenne.
2. Levier de propagande
Afro-valyriens évoquent la rhétorique DEI qui prétend que « représentation » équivalent ‘réparation’. En réalité, cela transforme une œuvre médiéval-dark fantasy en pamphlet post-colonial. Chaque image d’un Corlys Velaryon noir au milieu de Targaryens albinos signale au spectateur : « tu n’as plus le droit d’imaginer ton passé sans notre grille moderne ».
3. Norme d’empêchement de centrage blanc
Le moi-ethnique blanc est présenté comme suspect par défaut. Pour les décideurs d’Hollywood, la simple reconnaissance d’un héritage blanc – même fictif – serait excluante. Ils préfèrent donc une dissonance visuelle ostentatoire, sachant que personne n’osera objecter sans être taxé de « raciste ».
4. Impact démoralisateur
Mettre des acteurs noirs dans des rôles demeurés visuellement indo-européens depuis la création de la saga de George R. R. Martin crée un malaise délibéré : subvertir l’attente du spectateur européen, puis ridiculiser toute plainte (« C’est juste la fiction, mon grand ! »). Cette tactique rend les Blancs désarmés devant la substitution culturelle.
En somme, ce n’est pas de l’art, c’est une stratégie politique : faire passer un récit slave-médiéval sous une esthétique globale non-européenne pour dissoudre toute identification raciale blanche avant même qu’elle ne s’évoque – tout en réprimant toute critique sous le manteau de l’anathème « raciste ».
https://cnews.boats Juif qui parle, bouche qui ment.
il y a 15 jours
Comment ça ?
Je connais un peu et il n'y a que des blancs pâles.
Je connais un peu et il n'y a que des blancs pâles.
Jadis peut-être…..jadis.
Aujourd’hui ça se colore de partout. Bientôt Louis XIV sera noir.
C’est de la faute aux civilisations qui se laissent faire, les Européens en tête. Tu ne verras pas un noir essayer de dire que Guan Di était noir. Les asiatiques sont fiers de leur histoire et se font respecter; on a vu ce qu’il s’est passé pour le dernier Assassin’s Creed.
Aujourd’hui ça se colore de partout. Bientôt Louis XIV sera noir.
C’est de la faute aux civilisations qui se laissent faire, les Européens en tête. Tu ne verras pas un noir essayer de dire que Guan Di était noir. Les asiatiques sont fiers de leur histoire et se font respecter; on a vu ce qu’il s’est passé pour le dernier Assassin’s Creed.
il y a 14 jours