Ce sujet a été résolu
Rhinopharos
21j
Tout d'abord je tiens à m'excuser s'il y a des puceaux ici ce pavé n'est pas là pour vous vexer, mais pour vous servir de leçon
Il y a 2 ans je recontre mon premier amour, par hasard à la plage par l'intermédiaire d'amis en commun
J'avais 26 ans et elle aussi mais elle avait déjà un vécu alors que j'étais puceau
Par hasard le feeling passe bien, je plais enfin à une fille qui me plait et c'est sûrement l'occasion de franchir le cap
On enchaine les voyages
6 mois après comme on a tous les deux une bonne situation donc on décide d'acheter une maison à crédit en commun
C'était il y a un an et demi, les démarches prennent 6 mois et on s'y installe
À ce moment là j'ai commencé à remarquer des changements chez elle, elle a grossi depuis notre rencontre, sa meilleure amie d'enfance est de plus en plus collante (elles se parlent du matin au soir) alors qu'elle l'avait mise de côté
Elle traine avec moi sans être apprêtée comme au début, bouffe à tout va, fait venir son amie avec mon accord pour des soirées pyjamas entre meufs
Elle se maquille plus avant de me faire des bisous le matin, alors qu'avant elle courait se brosser les dents et se maquiller avant de me calculer
On baise moins on se parle moins je trouve qu'on vit comme des collocs
On se prend tout le temps la tête pour les tâches ménagères et la répartition des dépenses (j'insiste pour tout faire à 50/50 en argent et en travail)
Elle a arrêté le sport (ça vient de là sa prise de poids)
Et aussi elle n'hésite pas à faire croire à mes amis qu'elle est toujours partante pour faire des activités, toujours partante pour sortir, alors que c'est tout l'inverse il faut se disputer pour la faire sortir
Mes horaires sont 5h - 14h et elle 8h-20h donc on se voit que de 20h à minuit en semaine
Je pensais que c'était le but d'une vie de vivre avec sa moitié, finalement c'est d'une banalité extrême
Du coup je sors avec mes amis pour oublier
Il y a 2 ans je recontre mon premier amour, par hasard à la plage par l'intermédiaire d'amis en commun
J'avais 26 ans et elle aussi mais elle avait déjà un vécu alors que j'étais puceau
Par hasard le feeling passe bien, je plais enfin à une fille qui me plait et c'est sûrement l'occasion de franchir le cap
On enchaine les voyages
6 mois après comme on a tous les deux une bonne situation donc on décide d'acheter une maison à crédit en commun
C'était il y a un an et demi, les démarches prennent 6 mois et on s'y installe
À ce moment là j'ai commencé à remarquer des changements chez elle, elle a grossi depuis notre rencontre, sa meilleure amie d'enfance est de plus en plus collante (elles se parlent du matin au soir) alors qu'elle l'avait mise de côté
Elle traine avec moi sans être apprêtée comme au début, bouffe à tout va, fait venir son amie avec mon accord pour des soirées pyjamas entre meufs
Elle se maquille plus avant de me faire des bisous le matin, alors qu'avant elle courait se brosser les dents et se maquiller avant de me calculer
On baise moins on se parle moins je trouve qu'on vit comme des collocs
On se prend tout le temps la tête pour les tâches ménagères et la répartition des dépenses (j'insiste pour tout faire à 50/50 en argent et en travail)
Elle a arrêté le sport (ça vient de là sa prise de poids)
Et aussi elle n'hésite pas à faire croire à mes amis qu'elle est toujours partante pour faire des activités, toujours partante pour sortir, alors que c'est tout l'inverse il faut se disputer pour la faire sortir
Mes horaires sont 5h - 14h et elle 8h-20h donc on se voit que de 20h à minuit en semaine
Je pensais que c'était le but d'une vie de vivre avec sa moitié, finalement c'est d'une banalité extrême
Du coup je sors avec mes amis pour oublier
il y a 5 jours
Rien compris
J’ai juste compris que tu es piqué donc tu te mets à avoir un langage démoniaque
N’y vois là aucune confrontation, je ne te connais pas vraiment, je parle surtout de ce que j’imagine par les messages que tu envoies, donc rien de purement objectif
J’ai juste compris que tu es piqué donc tu te mets à avoir un langage démoniaque
N’y vois là aucune confrontation, je ne te connais pas vraiment, je parle surtout de ce que j’imagine par les messages que tu envoies, donc rien de purement objectif
C'est quel mot que tu comprends pas ?
Je parlais pas de toi spécifiquement pour "glandus" je visais ceux qui prônent une certaine morale dont ils s'abstiennent derrière.
Je parlais pas de toi spécifiquement pour "glandus" je visais ceux qui prônent une certaine morale dont ils s'abstiennent derrière.
il y a 5 jours
C'est quel mot que tu comprends pas ?
Je parlais pas de toi spécifiquement pour "glandus" je visais ceux qui prônent une certaine morale dont ils s'abstiennent derrière.
Je parlais pas de toi spécifiquement pour "glandus" je visais ceux qui prônent une certaine morale dont ils s'abstiennent derrière.
On ne pourra pas se comprendre
Nos chemins sont différends
Nos chemins sont différends
il y a 5 jours
29
La souffrance m’a mené a faire de la philosophie sans le savoir
Quand tout semble de travers on veut forcément comprendre pourquoi
Je pense que c’est le fait de vouloir quitter son monde qui nous sauve de l’enfer
Car qui peut savoir où il se trouve vraiment ?
J’aurais pu simplement me dire « bah c’est ça la vie, finissons-en
»
Mais la vie m’a poussé à voir plus loin, elle m’a permis de prendre plus de hauteur
Je me sens plus chanceux que fier de mon parcours
C’est comme si quelque chose m’avait sauvé
Moi qui ai couru toute ma vie à la reconnaissance de mon père, que je n’ai jamais eu donc j’ai toute ma vie eu honte de moi
A un moment quelque chose m’a libéré sans vraiment que je comprenne pourquoi et comment
Mais la sensation est immense
Je comprend un peu mieux le mot « béatitude »
La souffrance m’a mené a faire de la philosophie sans le savoir
Quand tout semble de travers on veut forcément comprendre pourquoi
Je pense que c’est le fait de vouloir quitter son monde qui nous sauve de l’enfer
Car qui peut savoir où il se trouve vraiment ?
J’aurais pu simplement me dire « bah c’est ça la vie, finissons-en
Mais la vie m’a poussé à voir plus loin, elle m’a permis de prendre plus de hauteur
Je me sens plus chanceux que fier de mon parcours
C’est comme si quelque chose m’avait sauvé
Moi qui ai couru toute ma vie à la reconnaissance de mon père, que je n’ai jamais eu donc j’ai toute ma vie eu honte de moi
A un moment quelque chose m’a libéré sans vraiment que je comprenne pourquoi et comment
Mais la sensation est immense
Je comprend un peu mieux le mot « béatitude »
C'est intéressant ce que tu me dit
Écoute, dorénavant je serais ton disciples, comme Diogène à était le disciple D'Antisthène
Apprenez moi vieille homme
Écoute, dorénavant je serais ton disciples, comme Diogène à était le disciple D'Antisthène
Apprenez moi vieille homme
🦧BEST FRIENDS FOR EVER DE @LYN 🦍
il y a 5 jours
@AmorFati j'ai lu ton post tout à l'heure mais j'étais trop occupé pour répondre. Le contenu était brutal.
Mais même pas étonnant à notre époque, au risque de sonner comme un cliché. Ca m'a fait penser à un truc que j'ai vu sur ce sujet récemment et que j'ai trouvé assez pertinent, l'analyse culturelle d'un film américain. Elle est bien faite et l'oeuvre en soi est tellement ignoble (faite par des boomers et des juifs) que ça en devient éducatif.
Si t'es à l'aise avec l'anglais :
Si t'es à l'aise avec l'anglais :
il y a 5 jours
@AmorFati j'ai lu ton post tout à l'heure mais j'étais trop occupé pour répondre. Le contenu était brutal.
Mais même pas étonnant à notre époque, au risque de sonner comme un cliché. Ca m'a fait penser à un truc que j'ai vu sur ce sujet récemment et que j'ai trouvé assez pertinent, l'analyse culturelle d'un film américain. Elle est bien faite et l'oeuvre en soi est tellement ignoble (faite par des boomers et des juifs) que ça en devient éducatif.
Si t'es à l'aise avec l'anglais :
Si t'es à l'aise avec l'anglais :
Je vais me matter ça merci khey
Mais ouais, je pense qu'il n'y a pas de hasard dans la nature, et encore moins dans la société
Ce n'est même pas la faute des gens
Mais la faute de l'Homme en lui-même
Car à qui profite le crime
Les boomers nourrissent ceux qui les ont crée
Des affamés qui se nourrissent d'autres affamés
La boucle est bouclée
Mais heureusement, au millieu de tout ça peut fleurir la plus belle des fleurs
L'Homme est quelque chose qui doit être surmonté
Mais ouais, je pense qu'il n'y a pas de hasard dans la nature, et encore moins dans la société
Ce n'est même pas la faute des gens
Mais la faute de l'Homme en lui-même
Car à qui profite le crime
Les boomers nourrissent ceux qui les ont crée
Des affamés qui se nourrissent d'autres affamés
La boucle est bouclée
Mais heureusement, au millieu de tout ça peut fleurir la plus belle des fleurs
L'Homme est quelque chose qui doit être surmonté
il y a 5 jours
Rhinopharos
21j
Tout d'abord je tiens à m'excuser s'il y a des puceaux ici ce pavé n'est pas là pour vous vexer, mais pour vous servir de leçon
Il y a 2 ans je recontre mon premier amour, par hasard à la plage par l'intermédiaire d'amis en commun
J'avais 26 ans et elle aussi mais elle avait déjà un vécu alors que j'étais puceau
Par hasard le feeling passe bien, je plais enfin à une fille qui me plait et c'est sûrement l'occasion de franchir le cap
On enchaine les voyages
6 mois après comme on a tous les deux une bonne situation donc on décide d'acheter une maison à crédit en commun
C'était il y a un an et demi, les démarches prennent 6 mois et on s'y installe
À ce moment là j'ai commencé à remarquer des changements chez elle, elle a grossi depuis notre rencontre, sa meilleure amie d'enfance est de plus en plus collante (elles se parlent du matin au soir) alors qu'elle l'avait mise de côté
Elle traine avec moi sans être apprêtée comme au début, bouffe à tout va, fait venir son amie avec mon accord pour des soirées pyjamas entre meufs
Elle se maquille plus avant de me faire des bisous le matin, alors qu'avant elle courait se brosser les dents et se maquiller avant de me calculer
On baise moins on se parle moins je trouve qu'on vit comme des collocs
On se prend tout le temps la tête pour les tâches ménagères et la répartition des dépenses (j'insiste pour tout faire à 50/50 en argent et en travail)
Elle a arrêté le sport (ça vient de là sa prise de poids)
Et aussi elle n'hésite pas à faire croire à mes amis qu'elle est toujours partante pour faire des activités, toujours partante pour sortir, alors que c'est tout l'inverse il faut se disputer pour la faire sortir
Mes horaires sont 5h - 14h et elle 8h-20h donc on se voit que de 20h à minuit en semaine
Je pensais que c'était le but d'une vie de vivre avec sa moitié, finalement c'est d'une banalité extrême
Du coup je sors avec mes amis pour oublier
Il y a 2 ans je recontre mon premier amour, par hasard à la plage par l'intermédiaire d'amis en commun
J'avais 26 ans et elle aussi mais elle avait déjà un vécu alors que j'étais puceau
Par hasard le feeling passe bien, je plais enfin à une fille qui me plait et c'est sûrement l'occasion de franchir le cap
On enchaine les voyages
6 mois après comme on a tous les deux une bonne situation donc on décide d'acheter une maison à crédit en commun
C'était il y a un an et demi, les démarches prennent 6 mois et on s'y installe
À ce moment là j'ai commencé à remarquer des changements chez elle, elle a grossi depuis notre rencontre, sa meilleure amie d'enfance est de plus en plus collante (elles se parlent du matin au soir) alors qu'elle l'avait mise de côté
Elle traine avec moi sans être apprêtée comme au début, bouffe à tout va, fait venir son amie avec mon accord pour des soirées pyjamas entre meufs
Elle se maquille plus avant de me faire des bisous le matin, alors qu'avant elle courait se brosser les dents et se maquiller avant de me calculer
On baise moins on se parle moins je trouve qu'on vit comme des collocs
On se prend tout le temps la tête pour les tâches ménagères et la répartition des dépenses (j'insiste pour tout faire à 50/50 en argent et en travail)
Elle a arrêté le sport (ça vient de là sa prise de poids)
Et aussi elle n'hésite pas à faire croire à mes amis qu'elle est toujours partante pour faire des activités, toujours partante pour sortir, alors que c'est tout l'inverse il faut se disputer pour la faire sortir
Mes horaires sont 5h - 14h et elle 8h-20h donc on se voit que de 20h à minuit en semaine
Je pensais que c'était le but d'une vie de vivre avec sa moitié, finalement c'est d'une banalité extrême
Du coup je sors avec mes amis pour oublier
Je suis puceau hors escort donc d'aucune aide par contre lui il peux t'aider
https://onche.org/topic/4[...]t-bien-dresser-sa-magalax
il y a 5 jours
Je vais me matter ça merci khey
Mais ouais, je pense qu'il n'y a pas de hasard dans la nature, et encore moins dans la société
Ce n'est même pas la faute des gens
Mais la faute de l'Homme en lui-même
Car à qui profite le crime
Les boomers nourrissent ceux qui les ont crée
Des affamés qui se nourrissent d'autres affamés
La boucle est bouclée
Mais heureusement, au millieu de tout ça peut fleurir la plus belle des fleurs
L'Homme est quelque chose qui doit être surmonté
Mais ouais, je pense qu'il n'y a pas de hasard dans la nature, et encore moins dans la société
Ce n'est même pas la faute des gens
Mais la faute de l'Homme en lui-même
Car à qui profite le crime
Les boomers nourrissent ceux qui les ont crée
Des affamés qui se nourrissent d'autres affamés
La boucle est bouclée
Mais heureusement, au millieu de tout ça peut fleurir la plus belle des fleurs
L'Homme est quelque chose qui doit être surmonté
T'es nietzschéen mais étrangement pas le genre libertaire et même sensible à l'ordre moral dont t'as vécu le vacillement à même la chair. Je pense que la majorité des nietzschéens contemporains t'accuseraient de faiblesse car ils voient le chaos du monde postmoderne comme terrain propice à la transvaluation alors que ce n'est à l'évidence qu'une excroissance dégénérée et singulièrement avilissante de la modernité classique, ce que Nietzsche n'a d'ailleurs pas eu le temps de voir de son vivant (et que visiblement on conchie tous en choeur ici). Perso, je trouve que quelque part l'histoire a donné tort à Nietzsche.
Je te conseille de découvrir (à supposer que tu ne l'aies pas déjà fait) Nicolás Gómez Dávila, plus actuel (mort en 94) et curieusement surnommé "le Nietzsche des Andes" alors même que beaucoup de choses le différenciaient de l'allemand, qu'il appréciait mais tenait aussi à distance. A mon sens ça s'explique par le fait que la pensée de Nietzsche représenterait une attitude assez épidermique (mais aussi propre à son époque charnière) face à la modernité alors que celle de Dávila serait celle de la maturité finale — il est croyant mais anticlérical, spirituel mais sensuel, humble mais aristocratique par sensibilité et aussi faut le dire par statut personnel. Même si tu dois pas être toutes ces choses sans recul, j'ai l'impression que tu résonnes davantage avec lui.
Tu dis :
Mais heureusement, au millieu de tout ça peut fleurir la plus belle des fleurs
L'Homme est quelque chose qui doit être surmonté
C'est marrant mais tu m'as rappelé ses aphorismes :
Seules fleurissent les âmes que féconde un pollen divin
Les problèmes métaphysiques ne harcèlent pas l'homme afin qu'il les résolve, mais afin qu'il les vive
Big cho
Je te conseille de découvrir (à supposer que tu ne l'aies pas déjà fait) Nicolás Gómez Dávila, plus actuel (mort en 94) et curieusement surnommé "le Nietzsche des Andes" alors même que beaucoup de choses le différenciaient de l'allemand, qu'il appréciait mais tenait aussi à distance. A mon sens ça s'explique par le fait que la pensée de Nietzsche représenterait une attitude assez épidermique (mais aussi propre à son époque charnière) face à la modernité alors que celle de Dávila serait celle de la maturité finale — il est croyant mais anticlérical, spirituel mais sensuel, humble mais aristocratique par sensibilité et aussi faut le dire par statut personnel. Même si tu dois pas être toutes ces choses sans recul, j'ai l'impression que tu résonnes davantage avec lui.
Tu dis :
Mais heureusement, au millieu de tout ça peut fleurir la plus belle des fleurs
L'Homme est quelque chose qui doit être surmonté
C'est marrant mais tu m'as rappelé ses aphorismes :
Seules fleurissent les âmes que féconde un pollen divin
Les problèmes métaphysiques ne harcèlent pas l'homme afin qu'il les résolve, mais afin qu'il les vive
Big cho
il y a 5 jours
T'es nietzschéen mais étrangement pas le genre libertaire et même sensible à l'ordre moral dont t'as vécu le vacillement à même la chair. Je pense que la majorité des nietzschéens contemporains t'accuseraient de faiblesse car ils voient le chaos du monde postmoderne comme terrain propice à la transvaluation alors que ce n'est à l'évidence qu'une excroissance dégénérée et singulièrement avilissante de la modernité classique, ce que Nietzsche n'a d'ailleurs pas eu le temps de voir de son vivant (et que visiblement on conchie tous en choeur ici). Perso, je trouve que quelque part l'histoire a donné tort à Nietzsche.
Je te conseille de découvrir (à supposer que tu ne l'aies pas déjà fait) Nicolás Gómez Dávila, plus actuel (mort en 94) et curieusement surnommé "le Nietzsche des Andes" alors même que beaucoup de choses le différenciaient de l'allemand, qu'il appréciait mais tenait aussi à distance. A mon sens ça s'explique par le fait que la pensée de Nietzsche représenterait une attitude assez épidermique (mais aussi propre à son époque charnière) face à la modernité alors que celle de Dávila serait celle de la maturité finale — il est croyant mais anticlérical, spirituel mais sensuel, humble mais aristocratique par sensibilité et aussi faut le dire par statut personnel. Même si tu dois pas être toutes ces choses sans recul, j'ai l'impression que tu résonnes davantage avec lui.
Tu dis :
Mais heureusement, au millieu de tout ça peut fleurir la plus belle des fleurs
L'Homme est quelque chose qui doit être surmonté
C'est marrant mais tu m'as rappelé ses aphorismes :
Seules fleurissent les âmes que féconde un pollen divin
Les problèmes métaphysiques ne harcèlent pas l'homme afin qu'il les résolve, mais afin qu'il les vive
Big cho
Je te conseille de découvrir (à supposer que tu ne l'aies pas déjà fait) Nicolás Gómez Dávila, plus actuel (mort en 94) et curieusement surnommé "le Nietzsche des Andes" alors même que beaucoup de choses le différenciaient de l'allemand, qu'il appréciait mais tenait aussi à distance. A mon sens ça s'explique par le fait que la pensée de Nietzsche représenterait une attitude assez épidermique (mais aussi propre à son époque charnière) face à la modernité alors que celle de Dávila serait celle de la maturité finale — il est croyant mais anticlérical, spirituel mais sensuel, humble mais aristocratique par sensibilité et aussi faut le dire par statut personnel. Même si tu dois pas être toutes ces choses sans recul, j'ai l'impression que tu résonnes davantage avec lui.
Tu dis :
Mais heureusement, au millieu de tout ça peut fleurir la plus belle des fleurs
L'Homme est quelque chose qui doit être surmonté
C'est marrant mais tu m'as rappelé ses aphorismes :
Seules fleurissent les âmes que féconde un pollen divin
Les problèmes métaphysiques ne harcèlent pas l'homme afin qu'il les résolve, mais afin qu'il les vive
Big cho
Merci je connais pas du tout Nicolás Gómez Dávila, je vais m'y intéressé
Je n'ai lu qu'Ainsi parlait Zarathoustra et c'est littéralement ma bible de chevet que je me repasse quotidiennement
D'ailleurs, si tu aimes les aphorismes, tu dois surement connaitre Khalil Gibran
Pareil, lui je me le repasse perpetuellement
C'est comme du petit lait pour l'Esprit
Je frequentais le Reddit de Nietzsche pendant un moment, et bordel ce qu'on peut y voir
Ca concerne plus le virilisme que la spiritualité
N'ont-ils jamais entendu que l'Homme doit être surmonté ?
Cet aphorisme en dit long sur la valeur de la souffrance
Je n'ai lu qu'Ainsi parlait Zarathoustra et c'est littéralement ma bible de chevet que je me repasse quotidiennement
D'ailleurs, si tu aimes les aphorismes, tu dois surement connaitre Khalil Gibran
Pareil, lui je me le repasse perpetuellement
C'est comme du petit lait pour l'Esprit
Je frequentais le Reddit de Nietzsche pendant un moment, et bordel ce qu'on peut y voir
Ca concerne plus le virilisme que la spiritualité
N'ont-ils jamais entendu que l'Homme doit être surmonté ?
Cet aphorisme en dit long sur la valeur de la souffrance
il y a 5 jours
T'es nietzschéen mais étrangement pas le genre libertaire et même sensible à l'ordre moral dont t'as vécu le vacillement à même la chair. Je pense que la majorité des nietzschéens contemporains t'accuseraient de faiblesse car ils voient le chaos du monde postmoderne comme terrain propice à la transvaluation alors que ce n'est à l'évidence qu'une excroissance dégénérée et singulièrement avilissante de la modernité classique, ce que Nietzsche n'a d'ailleurs pas eu le temps de voir de son vivant (et que visiblement on conchie tous en choeur ici). Perso, je trouve que quelque part l'histoire a donné tort à Nietzsche.
Je te conseille de découvrir (à supposer que tu ne l'aies pas déjà fait) Nicolás Gómez Dávila, plus actuel (mort en 94) et curieusement surnommé "le Nietzsche des Andes" alors même que beaucoup de choses le différenciaient de l'allemand, qu'il appréciait mais tenait aussi à distance. A mon sens ça s'explique par le fait que la pensée de Nietzsche représenterait une attitude assez épidermique (mais aussi propre à son époque charnière) face à la modernité alors que celle de Dávila serait celle de la maturité finale — il est croyant mais anticlérical, spirituel mais sensuel, humble mais aristocratique par sensibilité et aussi faut le dire par statut personnel. Même si tu dois pas être toutes ces choses sans recul, j'ai l'impression que tu résonnes davantage avec lui.
Tu dis :
Mais heureusement, au millieu de tout ça peut fleurir la plus belle des fleurs
L'Homme est quelque chose qui doit être surmonté
C'est marrant mais tu m'as rappelé ses aphorismes :
Seules fleurissent les âmes que féconde un pollen divin
Les problèmes métaphysiques ne harcèlent pas l'homme afin qu'il les résolve, mais afin qu'il les vive
Big cho
Je te conseille de découvrir (à supposer que tu ne l'aies pas déjà fait) Nicolás Gómez Dávila, plus actuel (mort en 94) et curieusement surnommé "le Nietzsche des Andes" alors même que beaucoup de choses le différenciaient de l'allemand, qu'il appréciait mais tenait aussi à distance. A mon sens ça s'explique par le fait que la pensée de Nietzsche représenterait une attitude assez épidermique (mais aussi propre à son époque charnière) face à la modernité alors que celle de Dávila serait celle de la maturité finale — il est croyant mais anticlérical, spirituel mais sensuel, humble mais aristocratique par sensibilité et aussi faut le dire par statut personnel. Même si tu dois pas être toutes ces choses sans recul, j'ai l'impression que tu résonnes davantage avec lui.
Tu dis :
Mais heureusement, au millieu de tout ça peut fleurir la plus belle des fleurs
L'Homme est quelque chose qui doit être surmonté
C'est marrant mais tu m'as rappelé ses aphorismes :
Seules fleurissent les âmes que féconde un pollen divin
Les problèmes métaphysiques ne harcèlent pas l'homme afin qu'il les résolve, mais afin qu'il les vive
Big cho
« Des catastrophes individuelles et sociales les plus graves, les victimes n'ont bien souvent pas conscience : les individus s'abêtissent et les sociétés s'avilissent inconsciemment. Pas plus l'improvisation en soi que la méditation en soi ne peuvent grand chose. En réalité, seul vaut le fruit spontané de méditations oubliées. »
C'est précisément le sujet ahi
C'est précisément le sujet ahi
il y a 5 jours