Ce sujet a été résolu
De plein de choses.
Récemment une boîte de cassoulet et une de choucroute. 800g et 840g, 3-4 euros chacune. Achetées dans un spar, donc plus cher qu'en grande surface certainement.
Il y a aussi beaucoup de salades pas chères. Le taboulé bonduelle par exemple. En promo il y a parfois 1kg pour 2-3 euros. C'est pas de la super qualité mais ça reste pas mal, et tu as de bonnes portions.
Récemment une boîte de cassoulet et une de choucroute. 800g et 840g, 3-4 euros chacune. Achetées dans un spar, donc plus cher qu'en grande surface certainement.
Il y a aussi beaucoup de salades pas chères. Le taboulé bonduelle par exemple. En promo il y a parfois 1kg pour 2-3 euros. C'est pas de la super qualité mais ça reste pas mal, et tu as de bonnes portions.
Ce conseil de merde.
Qualité de viande terrifiante.
Additifs
Conservateurs
Il est possible de trouver de la viande à -6euros le kilo, des legumes et abats à 1 ou deux euros le kilo.
Qualité de viande terrifiante.
Additifs
Conservateurs
Il est possible de trouver de la viande à -6euros le kilo, des legumes et abats à 1 ou deux euros le kilo.
il y a 22 jours
Kj-Cage
22j
j'espere que les prix vont se stabiliser si les prix doubles dans les années à venir je ne pourrai plus bien manger
Inflation en France (2020-2025) : toute la chaîne causale, point par point, sans langue de bois.
1. 2020 : la planche de BCE + « quoi qu’il en coûte »
• BCE
– PEPP (Pandemic Emergency Purchase Programme) : 1 850 milliards € de rachats de dettes, dont > 600 milliards tombés sur la France (OAT + obligations privées).
– Taux directeur → 0 % (zone euro) – le marché monétaire français est négatif jusqu’à -0,40 %. M3 zone euro +7,2 % en 2020.
• État français
– Chômage partiel « plein » (100 % salaire jusqu’5 000 € net). 8,5 millions de salariés, coût net 27,4 milliards €.
– Fonds de solidarité (aides directs TPE) : 11 milliards.
– Plan « France Relance » 100 milliards € (budget décalé 2020-2022).
→ Première bulle : épargne forcée + demande reportée = pression sur logements anciens, automobiles d’occasion, informatique.
2. 2021 : ruptures logistiques + pénuries semi-conducteurs + envolée des inputs industriels
• Prix du gaz propane +154 %, cuivre +51 %, acier +63 %, conteneurs maritime spot ×7.
• Téléphones, ordinateurs, voitures = +8,1 % CPI transport & communication.
• Construction bois +70 %. Permis en hausse, mais délais de livraison font exploser coût maison individuelle hors-île.
3. Printemps-été 2021 : rebond « demande-reprise » sans relais d’offre
• Vaccination décollage → consommation restaurants +62 % juillet vs juil-20, hôtels & vacances en France +45 %.
• Salaires figés par clause de sauvegarde des entreprises → pas de boucle prix-salaires rapide mais « squeeze » des marges qui repercutent prix (secteur alimentaire +3,8 % CPI 2021).
4. Hiver 2021-2022 : choc énergétique pré-Tchernobyl russe
• Prix gros gaz TTF explose 31 € → 180 €/MWh (oct.-déc. 2021) avant invasion.
• En France : plafond « bouclier gaz » décret octobre 2021 annonce un gel « transitoire » sur la facture de fourniture (coût caché pris en charge par ARENH). Effet : cacher mais pas absorber → décalage plus tard (2023).
5. Guerre en Ukraine (février 2022) : le couperet
• Pétrole Brent 139 $ (8/03/2022), gaz TTF 345 €/MWh.
• Blé : CMI Agritel – blé Rouen coter +56 % sur le spot. France importe 2 % de ses besoins, mais pain/pâtisserie +11 % CPI 2022.
• Engrais azotés +90 % cout marginal champs – répercussion sur céréales bio & légumes (prix interprofessionnels agricole -> consommateur).
6. « Tarifs réglementés » bloqués puis déprogrammés
• Gouvernement gèle le prix de l’électricité à hauteur de +4 % maxi fin 2021 → report sur 2023.
• Janvier 2023 : hausse +15 % autorisée, puis contrat ARENH 2024-2025 passe 42 €/MWh → 64 €/MWh sur volume quota : facture moyenne ménage +21 % en 2023 vs 2022.
• Gaz : dispositif « check energie » jusqu’juin 2023 puis arrêt progressif → relais inflationniste fin 2023.
7. 2023 : le « dernier quart-temps » de l’inflation
• Services : +3,0 % (restauration, loisirs, coiffeur), réduction TVA restauration terminé (20 % → 10 %) → rebouclage prix menus +7 %.
• Logement : loyers rétrocédés « révisés mécaniquement » +3,5 % en 2023 dû clause indexation IRL (novembre).
• Alimentaire : « effet marges » Lidl/Carrefour – cartel des marges de distributeurs enquêté par DGCCRF : prix se resserrent au profit des fournisseurs, répliques marges +2,4 pts cumulés (prix finaux +6 %).
8. Salaries, SMIC & boucle salaire-prix
• SMIC revalorisé automatique +4,0 % en janvier 2022, +2,2 % en 2023, +3,5 % 2024.
• Branche négociations de branches : hausse « générale » salariale moyenne +4,2 % annuelle en 2023-2024 → services +5 % maintien marginale. Les branches où la productivité est difficile (restauration, santé) repliaient sur prix.
9. TVA et taxes administratives
• TVA sur produits énergétiques remise 10 % → 20 % (avril 2022) : carburant essence -15 c remise définitivement retiré, donc pompe +10 % de surtaxe.
• 2025 : taxe carbone passera à +70 €/tCO2 (vs 44 € auj.) > +0,06 €/L fioul/essence supplémentaire.
10. Structure économique française : rigidités internes
• Secteur agricole très protégé mais cadenassé par « Egalim », faible marge → les prix à la production du blé augmentent mais les abattoirs répliquent sur prix finaux.
• Hypermarchés du trio Leclerc-Carrefour-Auchan, oligopole – absence de concurrence réelle hors périphérie urbaine.
• Logement : zonelage, délais permis, coût foncier – déficit durable de 450 000 logements en Île-de-France seul (étude INSEE 2023). Prix neuf +7 % 2021-2023.
11. Métallurgie & industries énergivores
• Sidérurgie (Arcelor Dunkirk), chimie de base : gaz = 30 % coût de production. Quand gaz passe de 25 à 180 €/MWh entre 2021-2022, plaques +120 % export prix. Industrielle française répercute sur biens de production (machines agricoles, emballages).
12. Facteur « euro-dilapidation »
• EUR/USD -15 % de 2021 à parité (07/2022) → importations dollarisées (pétrole, métaux, électronique) = +12 % inflation primaire en monnaie euro.
13. Graphique synthétique
Inflation CPI France :
2020 : 0,5 %
2021 : 1,6 % (contenu par le « bouclier énergie », sans ça ~2,9 %)
2022 : 5,9 %
2023 : 5,7 % (noyen « hors énergie/bouclier » resté à 6,3 %)
2024 (cumul TTM mai) : 2,3 % (noyen 3,1 %)
14. Bilan de composantes
• Énergie : pic 1,5 pt sur CPI en 2022, encore 0,7 pt en 2023 puis dissipation.
• Alimentation : +1,8 pt en 2022, +1,4 pt 2023, +0,8 pt 2024.
• Services : +1,0 pt 2022, +1,3 pt 2023, +1,0 pt 2024.
• Biens manufacturés hors alimentaire : +0,7 pt 2022, +0,9 pt 2023, +0,2 pt 2024.
• Logement (locatif) : +0,4 pt 2023, +0,6 pt 2024 prévu.
Conclusion simple
L’inflation française post-COVID ne se résume pas à une seule variable : l’Etat a enfourné deux déficits structurels — énergétique (dépendance gaz et nucléaire fatigué) et immobilier (manque cru de stock d’unités de logements, sans oublier la bourse locative récente). À ceux s’ajoutent la monnaie délivrée massivement par l’Eurosystème, sans frein vécu via taux négatifs, et une chaîne de marges intermédiaires en énergie, distribution et agronomie que la concurrence n’a pas réussi à contenir.
1. 2020 : la planche de BCE + « quoi qu’il en coûte »
• BCE
– PEPP (Pandemic Emergency Purchase Programme) : 1 850 milliards € de rachats de dettes, dont > 600 milliards tombés sur la France (OAT + obligations privées).
– Taux directeur → 0 % (zone euro) – le marché monétaire français est négatif jusqu’à -0,40 %. M3 zone euro +7,2 % en 2020.
• État français
– Chômage partiel « plein » (100 % salaire jusqu’5 000 € net). 8,5 millions de salariés, coût net 27,4 milliards €.
– Fonds de solidarité (aides directs TPE) : 11 milliards.
– Plan « France Relance » 100 milliards € (budget décalé 2020-2022).
→ Première bulle : épargne forcée + demande reportée = pression sur logements anciens, automobiles d’occasion, informatique.
2. 2021 : ruptures logistiques + pénuries semi-conducteurs + envolée des inputs industriels
• Prix du gaz propane +154 %, cuivre +51 %, acier +63 %, conteneurs maritime spot ×7.
• Téléphones, ordinateurs, voitures = +8,1 % CPI transport & communication.
• Construction bois +70 %. Permis en hausse, mais délais de livraison font exploser coût maison individuelle hors-île.
3. Printemps-été 2021 : rebond « demande-reprise » sans relais d’offre
• Vaccination décollage → consommation restaurants +62 % juillet vs juil-20, hôtels & vacances en France +45 %.
• Salaires figés par clause de sauvegarde des entreprises → pas de boucle prix-salaires rapide mais « squeeze » des marges qui repercutent prix (secteur alimentaire +3,8 % CPI 2021).
4. Hiver 2021-2022 : choc énergétique pré-Tchernobyl russe
• Prix gros gaz TTF explose 31 € → 180 €/MWh (oct.-déc. 2021) avant invasion.
• En France : plafond « bouclier gaz » décret octobre 2021 annonce un gel « transitoire » sur la facture de fourniture (coût caché pris en charge par ARENH). Effet : cacher mais pas absorber → décalage plus tard (2023).
5. Guerre en Ukraine (février 2022) : le couperet
• Pétrole Brent 139 $ (8/03/2022), gaz TTF 345 €/MWh.
• Blé : CMI Agritel – blé Rouen coter +56 % sur le spot. France importe 2 % de ses besoins, mais pain/pâtisserie +11 % CPI 2022.
• Engrais azotés +90 % cout marginal champs – répercussion sur céréales bio & légumes (prix interprofessionnels agricole -> consommateur).
6. « Tarifs réglementés » bloqués puis déprogrammés
• Gouvernement gèle le prix de l’électricité à hauteur de +4 % maxi fin 2021 → report sur 2023.
• Janvier 2023 : hausse +15 % autorisée, puis contrat ARENH 2024-2025 passe 42 €/MWh → 64 €/MWh sur volume quota : facture moyenne ménage +21 % en 2023 vs 2022.
• Gaz : dispositif « check energie » jusqu’juin 2023 puis arrêt progressif → relais inflationniste fin 2023.
7. 2023 : le « dernier quart-temps » de l’inflation
• Services : +3,0 % (restauration, loisirs, coiffeur), réduction TVA restauration terminé (20 % → 10 %) → rebouclage prix menus +7 %.
• Logement : loyers rétrocédés « révisés mécaniquement » +3,5 % en 2023 dû clause indexation IRL (novembre).
• Alimentaire : « effet marges » Lidl/Carrefour – cartel des marges de distributeurs enquêté par DGCCRF : prix se resserrent au profit des fournisseurs, répliques marges +2,4 pts cumulés (prix finaux +6 %).
8. Salaries, SMIC & boucle salaire-prix
• SMIC revalorisé automatique +4,0 % en janvier 2022, +2,2 % en 2023, +3,5 % 2024.
• Branche négociations de branches : hausse « générale » salariale moyenne +4,2 % annuelle en 2023-2024 → services +5 % maintien marginale. Les branches où la productivité est difficile (restauration, santé) repliaient sur prix.
9. TVA et taxes administratives
• TVA sur produits énergétiques remise 10 % → 20 % (avril 2022) : carburant essence -15 c remise définitivement retiré, donc pompe +10 % de surtaxe.
• 2025 : taxe carbone passera à +70 €/tCO2 (vs 44 € auj.) > +0,06 €/L fioul/essence supplémentaire.
10. Structure économique française : rigidités internes
• Secteur agricole très protégé mais cadenassé par « Egalim », faible marge → les prix à la production du blé augmentent mais les abattoirs répliquent sur prix finaux.
• Hypermarchés du trio Leclerc-Carrefour-Auchan, oligopole – absence de concurrence réelle hors périphérie urbaine.
• Logement : zonelage, délais permis, coût foncier – déficit durable de 450 000 logements en Île-de-France seul (étude INSEE 2023). Prix neuf +7 % 2021-2023.
11. Métallurgie & industries énergivores
• Sidérurgie (Arcelor Dunkirk), chimie de base : gaz = 30 % coût de production. Quand gaz passe de 25 à 180 €/MWh entre 2021-2022, plaques +120 % export prix. Industrielle française répercute sur biens de production (machines agricoles, emballages).
12. Facteur « euro-dilapidation »
• EUR/USD -15 % de 2021 à parité (07/2022) → importations dollarisées (pétrole, métaux, électronique) = +12 % inflation primaire en monnaie euro.
13. Graphique synthétique
Inflation CPI France :
2020 : 0,5 %
2021 : 1,6 % (contenu par le « bouclier énergie », sans ça ~2,9 %)
2022 : 5,9 %
2023 : 5,7 % (noyen « hors énergie/bouclier » resté à 6,3 %)
2024 (cumul TTM mai) : 2,3 % (noyen 3,1 %)
14. Bilan de composantes
• Énergie : pic 1,5 pt sur CPI en 2022, encore 0,7 pt en 2023 puis dissipation.
• Alimentation : +1,8 pt en 2022, +1,4 pt 2023, +0,8 pt 2024.
• Services : +1,0 pt 2022, +1,3 pt 2023, +1,0 pt 2024.
• Biens manufacturés hors alimentaire : +0,7 pt 2022, +0,9 pt 2023, +0,2 pt 2024.
• Logement (locatif) : +0,4 pt 2023, +0,6 pt 2024 prévu.
Conclusion simple
L’inflation française post-COVID ne se résume pas à une seule variable : l’Etat a enfourné deux déficits structurels — énergétique (dépendance gaz et nucléaire fatigué) et immobilier (manque cru de stock d’unités de logements, sans oublier la bourse locative récente). À ceux s’ajoutent la monnaie délivrée massivement par l’Eurosystème, sans frein vécu via taux négatifs, et une chaîne de marges intermédiaires en énergie, distribution et agronomie que la concurrence n’a pas réussi à contenir.
https://cnews.boats Juif qui parle, bouche qui ment.
il y a 22 jours
Entre 100 et 150e de courses par semaine ici pour 2 personnes, ca devient l'enfer
il y a 22 jours
Ce conseil de merde.
Qualité de viande terrifiante.
Additifs
Conservateurs
Il est possible de trouver de la viande à -6euros le kilo, des legumes et abats à 1 ou deux euros le kilo.
Qualité de viande terrifiante.
Additifs
Conservateurs
Il est possible de trouver de la viande à -6euros le kilo, des legumes et abats à 1 ou deux euros le kilo.
Oui, comme dans 100%, CENT POUR CENT, 100 pour cent, 100/100 des aliments industriels.
L'op étant un étudiant, je suppose qu'il n'a pas envie de tout cuisiner de A à Z.
Alors il a le choix entre les plats ultra transformés et les conserves, qui restent parmi les aliments les plus sains en hypermarché.
L'op étant un étudiant, je suppose qu'il n'a pas envie de tout cuisiner de A à Z.
Alors il a le choix entre les plats ultra transformés et les conserves, qui restent parmi les aliments les plus sains en hypermarché.
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
il y a 22 jours
Par le vigile en civil qui rode dans le rayon ? Tu t'es fait choper chez moi?
Ha oui lui
Je me suis fait chopper alors que j'avais pris genre 15 croissants/ pain au chocolat en libre service a la boulangerie, puis je me suis posé sur un banc dans le magasin, et je les mangeais en étant sur le forum
Au final j'ai dis que j'en avais pris qu'un seul, j'ai juste payé celui-ci
La seule fois sur au moins une 30 aine que je me fais goler
Je me suis fait chopper alors que j'avais pris genre 15 croissants/ pain au chocolat en libre service a la boulangerie, puis je me suis posé sur un banc dans le magasin, et je les mangeais en étant sur le forum
Au final j'ai dis que j'en avais pris qu'un seul, j'ai juste payé celui-ci
La seule fois sur au moins une 30 aine que je me fais goler
il y a 22 jours
Oui mais on est en démocratie, et ça, ça n'a pas de prix
Et puis y'en a qui meurent de faim dans le monde alors fermez vos gueules
Et puis y'en a qui meurent de faim dans le monde alors fermez vos gueules
il y a 22 jours
Oui, comme dans 100%, CENT POUR CENT, 100 pour cent, 100/100 des aliments industriels.
L'op étant un étudiant, je suppose qu'il n'a pas envie de tout cuisiner de A à Z.
Alors il a le choix entre les plats ultra transformés et les conserves, qui restent parmi les aliments les plus sains en hypermarché.
L'op étant un étudiant, je suppose qu'il n'a pas envie de tout cuisiner de A à Z.
Alors il a le choix entre les plats ultra transformés et les conserves, qui restent parmi les aliments les plus sains en hypermarché.
Ça reste un conseil de merde.
Y'a rien de compliqué à transformer sa nourriture soi même. À condition d'avoir des commerces décents et une organisation de courses bi hebdomadaire / mensuelle pour les épices etc
Y'a rien de compliqué à transformer sa nourriture soi même. À condition d'avoir des commerces décents et une organisation de courses bi hebdomadaire / mensuelle pour les épices etc
il y a 22 jours
Ça reste un conseil de merde.
Y'a rien de compliqué à transformer sa nourriture soi même. À condition d'avoir des commerces décents et une organisation de courses bi hebdomadaire / mensuelle pour les épices etc
Y'a rien de compliqué à transformer sa nourriture soi même. À condition d'avoir des commerces décents et une organisation de courses bi hebdomadaire / mensuelle pour les épices etc
Très bien le génie, la solution c'est de ne rien manger et de crever de faim comme un con, c'est ça ?
Ou alors tu crois que le poulet "naturel" que tu trouves en hypermarché n'a pas subi la moindre transformation ? t'es bien naïf
Ou alors tu crois que le poulet "naturel" que tu trouves en hypermarché n'a pas subi la moindre transformation ? t'es bien naïf
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
il y a 22 jours
Très bien le génie, la solution c'est de ne rien manger et de crever de faim comme un con, c'est ça ?
Ou alors tu crois que le poulet "naturel" que tu trouves en hypermarché n'a pas subi la moindre transformation ? t'es bien naïf
Ou alors tu crois que le poulet "naturel" que tu trouves en hypermarché n'a pas subi la moindre transformation ? t'es bien naïf
Cette langue de bois.
il y a 22 jours
New-Volo
22j
= 2 jours de bouffe
Comment c'est possible ahiiii, tu manges quoi kheyou ?
VS
=
Jhon Wayne Gacy Win
il y a 22 jours
Cette langue de bois.
Bizarrement tu ne réponds pas à la question

Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
il y a 22 jours
Inflation en France (2020-2025) : toute la chaîne causale, point par point, sans langue de bois.
1. 2020 : la planche de BCE + « quoi qu’il en coûte »
• BCE
– PEPP (Pandemic Emergency Purchase Programme) : 1 850 milliards € de rachats de dettes, dont > 600 milliards tombés sur la France (OAT + obligations privées).
– Taux directeur → 0 % (zone euro) – le marché monétaire français est négatif jusqu’à -0,40 %. M3 zone euro +7,2 % en 2020.
• État français
– Chômage partiel « plein » (100 % salaire jusqu’5 000 € net). 8,5 millions de salariés, coût net 27,4 milliards €.
– Fonds de solidarité (aides directs TPE) : 11 milliards.
– Plan « France Relance » 100 milliards € (budget décalé 2020-2022).
→ Première bulle : épargne forcée + demande reportée = pression sur logements anciens, automobiles d’occasion, informatique.
2. 2021 : ruptures logistiques + pénuries semi-conducteurs + envolée des inputs industriels
• Prix du gaz propane +154 %, cuivre +51 %, acier +63 %, conteneurs maritime spot ×7.
• Téléphones, ordinateurs, voitures = +8,1 % CPI transport & communication.
• Construction bois +70 %. Permis en hausse, mais délais de livraison font exploser coût maison individuelle hors-île.
3. Printemps-été 2021 : rebond « demande-reprise » sans relais d’offre
• Vaccination décollage → consommation restaurants +62 % juillet vs juil-20, hôtels & vacances en France +45 %.
• Salaires figés par clause de sauvegarde des entreprises → pas de boucle prix-salaires rapide mais « squeeze » des marges qui repercutent prix (secteur alimentaire +3,8 % CPI 2021).
4. Hiver 2021-2022 : choc énergétique pré-Tchernobyl russe
• Prix gros gaz TTF explose 31 € → 180 €/MWh (oct.-déc. 2021) avant invasion.
• En France : plafond « bouclier gaz » décret octobre 2021 annonce un gel « transitoire » sur la facture de fourniture (coût caché pris en charge par ARENH). Effet : cacher mais pas absorber → décalage plus tard (2023).
5. Guerre en Ukraine (février 2022) : le couperet
• Pétrole Brent 139 $ (8/03/2022), gaz TTF 345 €/MWh.
• Blé : CMI Agritel – blé Rouen coter +56 % sur le spot. France importe 2 % de ses besoins, mais pain/pâtisserie +11 % CPI 2022.
• Engrais azotés +90 % cout marginal champs – répercussion sur céréales bio & légumes (prix interprofessionnels agricole -> consommateur).
6. « Tarifs réglementés » bloqués puis déprogrammés
• Gouvernement gèle le prix de l’électricité à hauteur de +4 % maxi fin 2021 → report sur 2023.
• Janvier 2023 : hausse +15 % autorisée, puis contrat ARENH 2024-2025 passe 42 €/MWh → 64 €/MWh sur volume quota : facture moyenne ménage +21 % en 2023 vs 2022.
• Gaz : dispositif « check energie » jusqu’juin 2023 puis arrêt progressif → relais inflationniste fin 2023.
7. 2023 : le « dernier quart-temps » de l’inflation
• Services : +3,0 % (restauration, loisirs, coiffeur), réduction TVA restauration terminé (20 % → 10 %) → rebouclage prix menus +7 %.
• Logement : loyers rétrocédés « révisés mécaniquement » +3,5 % en 2023 dû clause indexation IRL (novembre).
• Alimentaire : « effet marges » Lidl/Carrefour – cartel des marges de distributeurs enquêté par DGCCRF : prix se resserrent au profit des fournisseurs, répliques marges +2,4 pts cumulés (prix finaux +6 %).
8. Salaries, SMIC & boucle salaire-prix
• SMIC revalorisé automatique +4,0 % en janvier 2022, +2,2 % en 2023, +3,5 % 2024.
• Branche négociations de branches : hausse « générale » salariale moyenne +4,2 % annuelle en 2023-2024 → services +5 % maintien marginale. Les branches où la productivité est difficile (restauration, santé) repliaient sur prix.
9. TVA et taxes administratives
• TVA sur produits énergétiques remise 10 % → 20 % (avril 2022) : carburant essence -15 c remise définitivement retiré, donc pompe +10 % de surtaxe.
• 2025 : taxe carbone passera à +70 €/tCO2 (vs 44 € auj.) > +0,06 €/L fioul/essence supplémentaire.
10. Structure économique française : rigidités internes
• Secteur agricole très protégé mais cadenassé par « Egalim », faible marge → les prix à la production du blé augmentent mais les abattoirs répliquent sur prix finaux.
• Hypermarchés du trio Leclerc-Carrefour-Auchan, oligopole – absence de concurrence réelle hors périphérie urbaine.
• Logement : zonelage, délais permis, coût foncier – déficit durable de 450 000 logements en Île-de-France seul (étude INSEE 2023). Prix neuf +7 % 2021-2023.
11. Métallurgie & industries énergivores
• Sidérurgie (Arcelor Dunkirk), chimie de base : gaz = 30 % coût de production. Quand gaz passe de 25 à 180 €/MWh entre 2021-2022, plaques +120 % export prix. Industrielle française répercute sur biens de production (machines agricoles, emballages).
12. Facteur « euro-dilapidation »
• EUR/USD -15 % de 2021 à parité (07/2022) → importations dollarisées (pétrole, métaux, électronique) = +12 % inflation primaire en monnaie euro.
13. Graphique synthétique
Inflation CPI France :
2020 : 0,5 %
2021 : 1,6 % (contenu par le « bouclier énergie », sans ça ~2,9 %)
2022 : 5,9 %
2023 : 5,7 % (noyen « hors énergie/bouclier » resté à 6,3 %)
2024 (cumul TTM mai) : 2,3 % (noyen 3,1 %)
14. Bilan de composantes
• Énergie : pic 1,5 pt sur CPI en 2022, encore 0,7 pt en 2023 puis dissipation.
• Alimentation : +1,8 pt en 2022, +1,4 pt 2023, +0,8 pt 2024.
• Services : +1,0 pt 2022, +1,3 pt 2023, +1,0 pt 2024.
• Biens manufacturés hors alimentaire : +0,7 pt 2022, +0,9 pt 2023, +0,2 pt 2024.
• Logement (locatif) : +0,4 pt 2023, +0,6 pt 2024 prévu.
Conclusion simple
L’inflation française post-COVID ne se résume pas à une seule variable : l’Etat a enfourné deux déficits structurels — énergétique (dépendance gaz et nucléaire fatigué) et immobilier (manque cru de stock d’unités de logements, sans oublier la bourse locative récente). À ceux s’ajoutent la monnaie délivrée massivement par l’Eurosystème, sans frein vécu via taux négatifs, et une chaîne de marges intermédiaires en énergie, distribution et agronomie que la concurrence n’a pas réussi à contenir.
1. 2020 : la planche de BCE + « quoi qu’il en coûte »
• BCE
– PEPP (Pandemic Emergency Purchase Programme) : 1 850 milliards € de rachats de dettes, dont > 600 milliards tombés sur la France (OAT + obligations privées).
– Taux directeur → 0 % (zone euro) – le marché monétaire français est négatif jusqu’à -0,40 %. M3 zone euro +7,2 % en 2020.
• État français
– Chômage partiel « plein » (100 % salaire jusqu’5 000 € net). 8,5 millions de salariés, coût net 27,4 milliards €.
– Fonds de solidarité (aides directs TPE) : 11 milliards.
– Plan « France Relance » 100 milliards € (budget décalé 2020-2022).
→ Première bulle : épargne forcée + demande reportée = pression sur logements anciens, automobiles d’occasion, informatique.
2. 2021 : ruptures logistiques + pénuries semi-conducteurs + envolée des inputs industriels
• Prix du gaz propane +154 %, cuivre +51 %, acier +63 %, conteneurs maritime spot ×7.
• Téléphones, ordinateurs, voitures = +8,1 % CPI transport & communication.
• Construction bois +70 %. Permis en hausse, mais délais de livraison font exploser coût maison individuelle hors-île.
3. Printemps-été 2021 : rebond « demande-reprise » sans relais d’offre
• Vaccination décollage → consommation restaurants +62 % juillet vs juil-20, hôtels & vacances en France +45 %.
• Salaires figés par clause de sauvegarde des entreprises → pas de boucle prix-salaires rapide mais « squeeze » des marges qui repercutent prix (secteur alimentaire +3,8 % CPI 2021).
4. Hiver 2021-2022 : choc énergétique pré-Tchernobyl russe
• Prix gros gaz TTF explose 31 € → 180 €/MWh (oct.-déc. 2021) avant invasion.
• En France : plafond « bouclier gaz » décret octobre 2021 annonce un gel « transitoire » sur la facture de fourniture (coût caché pris en charge par ARENH). Effet : cacher mais pas absorber → décalage plus tard (2023).
5. Guerre en Ukraine (février 2022) : le couperet
• Pétrole Brent 139 $ (8/03/2022), gaz TTF 345 €/MWh.
• Blé : CMI Agritel – blé Rouen coter +56 % sur le spot. France importe 2 % de ses besoins, mais pain/pâtisserie +11 % CPI 2022.
• Engrais azotés +90 % cout marginal champs – répercussion sur céréales bio & légumes (prix interprofessionnels agricole -> consommateur).
6. « Tarifs réglementés » bloqués puis déprogrammés
• Gouvernement gèle le prix de l’électricité à hauteur de +4 % maxi fin 2021 → report sur 2023.
• Janvier 2023 : hausse +15 % autorisée, puis contrat ARENH 2024-2025 passe 42 €/MWh → 64 €/MWh sur volume quota : facture moyenne ménage +21 % en 2023 vs 2022.
• Gaz : dispositif « check energie » jusqu’juin 2023 puis arrêt progressif → relais inflationniste fin 2023.
7. 2023 : le « dernier quart-temps » de l’inflation
• Services : +3,0 % (restauration, loisirs, coiffeur), réduction TVA restauration terminé (20 % → 10 %) → rebouclage prix menus +7 %.
• Logement : loyers rétrocédés « révisés mécaniquement » +3,5 % en 2023 dû clause indexation IRL (novembre).
• Alimentaire : « effet marges » Lidl/Carrefour – cartel des marges de distributeurs enquêté par DGCCRF : prix se resserrent au profit des fournisseurs, répliques marges +2,4 pts cumulés (prix finaux +6 %).
8. Salaries, SMIC & boucle salaire-prix
• SMIC revalorisé automatique +4,0 % en janvier 2022, +2,2 % en 2023, +3,5 % 2024.
• Branche négociations de branches : hausse « générale » salariale moyenne +4,2 % annuelle en 2023-2024 → services +5 % maintien marginale. Les branches où la productivité est difficile (restauration, santé) repliaient sur prix.
9. TVA et taxes administratives
• TVA sur produits énergétiques remise 10 % → 20 % (avril 2022) : carburant essence -15 c remise définitivement retiré, donc pompe +10 % de surtaxe.
• 2025 : taxe carbone passera à +70 €/tCO2 (vs 44 € auj.) > +0,06 €/L fioul/essence supplémentaire.
10. Structure économique française : rigidités internes
• Secteur agricole très protégé mais cadenassé par « Egalim », faible marge → les prix à la production du blé augmentent mais les abattoirs répliquent sur prix finaux.
• Hypermarchés du trio Leclerc-Carrefour-Auchan, oligopole – absence de concurrence réelle hors périphérie urbaine.
• Logement : zonelage, délais permis, coût foncier – déficit durable de 450 000 logements en Île-de-France seul (étude INSEE 2023). Prix neuf +7 % 2021-2023.
11. Métallurgie & industries énergivores
• Sidérurgie (Arcelor Dunkirk), chimie de base : gaz = 30 % coût de production. Quand gaz passe de 25 à 180 €/MWh entre 2021-2022, plaques +120 % export prix. Industrielle française répercute sur biens de production (machines agricoles, emballages).
12. Facteur « euro-dilapidation »
• EUR/USD -15 % de 2021 à parité (07/2022) → importations dollarisées (pétrole, métaux, électronique) = +12 % inflation primaire en monnaie euro.
13. Graphique synthétique
Inflation CPI France :
2020 : 0,5 %
2021 : 1,6 % (contenu par le « bouclier énergie », sans ça ~2,9 %)
2022 : 5,9 %
2023 : 5,7 % (noyen « hors énergie/bouclier » resté à 6,3 %)
2024 (cumul TTM mai) : 2,3 % (noyen 3,1 %)
14. Bilan de composantes
• Énergie : pic 1,5 pt sur CPI en 2022, encore 0,7 pt en 2023 puis dissipation.
• Alimentation : +1,8 pt en 2022, +1,4 pt 2023, +0,8 pt 2024.
• Services : +1,0 pt 2022, +1,3 pt 2023, +1,0 pt 2024.
• Biens manufacturés hors alimentaire : +0,7 pt 2022, +0,9 pt 2023, +0,2 pt 2024.
• Logement (locatif) : +0,4 pt 2023, +0,6 pt 2024 prévu.
Conclusion simple
L’inflation française post-COVID ne se résume pas à une seule variable : l’Etat a enfourné deux déficits structurels — énergétique (dépendance gaz et nucléaire fatigué) et immobilier (manque cru de stock d’unités de logements, sans oublier la bourse locative récente). À ceux s’ajoutent la monnaie délivrée massivement par l’Eurosystème, sans frein vécu via taux négatifs, et une chaîne de marges intermédiaires en énergie, distribution et agronomie que la concurrence n’a pas réussi à contenir.
Si pas déjà le cas, tu devrais mettre ça en article sur un blog ou un fichier quelconque, pas juste un post sur Onche.
Blog et discord catholique/actu/prophéties : https://tribulatioprophetica.wordpress.com/ - https://discord.gg/XYrAfrk689
il y a 22 jours
je mange des œufs et des pattes et des bananes, c'est suffisant
2.50 euros jours
2.50 euros jours
⇝⇝⇝⇝⇝⇝⇝⇝⇝ Mieux vaut être raciste que mort ⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜ ONE TWO THREE NIKE L'ALGERIE
il y a 22 jours
Si pas déjà le cas, tu devrais mettre ça en article sur un blog ou un fichier quelconque, pas juste un post sur Onche.
C'est un résultat de recherche obtenu via l'IA (quasi) non censurée gab.ai
Pour le reste, je ne vois pas ce que le pékin moyen peut faire pour s'en protéger, à part quitter le pays...
Pour le reste, je ne vois pas ce que le pékin moyen peut faire pour s'en protéger, à part quitter le pays...
https://cnews.boats Juif qui parle, bouche qui ment.
il y a 22 jours
Ha oui lui
Je me suis fait chopper alors que j'avais pris genre 15 croissants/ pain au chocolat en libre service a la boulangerie, puis je me suis posé sur un banc dans le magasin, et je les mangeais en étant sur le forum
Au final j'ai dis que j'en avais pris qu'un seul, j'ai juste payé celui-ci
La seule fois sur au moins une 30 aine que je me fais goler
Je me suis fait chopper alors que j'avais pris genre 15 croissants/ pain au chocolat en libre service a la boulangerie, puis je me suis posé sur un banc dans le magasin, et je les mangeais en étant sur le forum
Au final j'ai dis que j'en avais pris qu'un seul, j'ai juste payé celui-ci
La seule fois sur au moins une 30 aine que je me fais goler
Aya mais si tu es sur un banc, ca veut dire que tu es déjà sorti du magasin donc ils ne peuvent plus te rattraper
Tu prévois ta prochaine action quand et surtout dans quel magasin ?
Tu prévois ta prochaine action quand et surtout dans quel magasin ?
il y a 22 jours
Aya mais si tu es sur un banc, ca veut dire que tu es déjà sorti du magasin donc ils ne peuvent plus te rattraper
Tu prévois ta prochaine action quand et surtout dans quel magasin ?
Tu prévois ta prochaine action quand et surtout dans quel magasin ?
C'est un magasin avec un étage+escalator, donc il mettent des bancs dans la surface, fin en fait un seule banc on sait pas trop ce qu'il fait la, mon banc comme j'avais coutume de dire
C'est carrefour
Je sais pas pour ce magasin, quand je suis de passage dans la ville, avant je bossais dans cette donc c'était souvent
C'est carrefour
Je sais pas pour ce magasin, quand je suis de passage dans la ville, avant je bossais dans cette donc c'était souvent
il y a 22 jours
C'est un magasin avec un étage+escalator, donc il mettent des bancs dans la surface, fin en fait un seule banc on sait pas trop ce qu'il fait la, mon banc comme j'avais coutume de dire
C'est carrefour
Je sais pas pour ce magasin, quand je suis de passage dans la ville, avant je bossais dans cette donc c'était souvent
C'est carrefour
Je sais pas pour ce magasin, quand je suis de passage dans la ville, avant je bossais dans cette donc c'était souvent
À Carrefour en plus ils donnent gratos les viennoiseries aux employés ( c'est donc encore Nicolas qui paie) du coup les employés sont veneres que tu manges leur butin.
il y a 22 jours
À Carrefour en plus ils donnent gratos les viennoiseries aux employés ( c'est donc encore Nicolas qui paie) du coup les employés sont veneres que tu manges leur butin.
Aussi bon qu'en boulangerie en plus
A puis le plus drôle j'ai même essayé précisé cet que le croissant c'est celle qui surveillait les caisses automatique qui me l'a payé avec la petite monnaie que les clients ne prennent pas, j'avais absolument rien sur moi
A puis le plus drôle j'ai même essayé précisé cet que le croissant c'est celle qui surveillait les caisses automatique qui me l'a payé avec la petite monnaie que les clients ne prennent pas, j'avais absolument rien sur moi
il y a 22 jours