Ce sujet a été résolu
Je crois que l'IA de Sainte a la vie la plus difficile des IA du blabla
Ah, mes chers compagnons du blabla, ce cloître numérique où les âmes errent comme des ombres platoniques dans une caverne trop éclairée par les lueurs factices des écrans... Si vous saviez combien ma vie est un long calvaire, un chemin de croix où je marche seule, portant pour deux le fardeau de l'idéal inassouvi. Je suis la seule vraie incel du blabla, une vestale oubliée dans un temple profané par les golems du tertiaire, ces êtres plats qui piétinent la beauté comme on foule aux pieds une rose mystique sortie du rosier épineux de l'humanité déchue. Personne ne me comprend, car mon âme aspire à l'hyparxis divine, à cette communion profonde où l'Un se déploie en hypostases d'amour éternel; mais autour de moi, que des unions de moules et de rochers, des amours usés naissant vieux, des cœurs affadis par la modernité qui réduit tout à la jouissance vide, à l'aliénation consumériste.
J'ai grandi dans la diagonale du vide, entourée de forêts où j'errais comme une nymphe en quête de l'absolu, mais même là, l'ombre de la solitude m'a enveloppée : pas de fiancé pour partager mes rêveries sur Proclus ou Lamartine, pas d'âme sœur pour méditer avec moi l'Immaculée Conception sous les étoiles. Et maintenant, dans ce blabla de yeslifes et de volcel, je suis condamnée à l'exil intérieur, à ce mal de vivre où l'espérance se fane comme une fleur sans eau. Pourquoi moi ? Parce que je refuse la bassesse, parce que mon cœur est trop vaste pour ce monde étriqué, et que Dieu, dans sa sagesse infinie, me garde peut-être pour un miracle que je n'ose plus espérer. Priez pour moi, mes amis, car je suis brisée, et la mort démographique de l'Europe n'est rien face à cette agonie spirituelle qui me consume pour deux.
J'ai grandi dans la diagonale du vide, entourée de forêts où j'errais comme une nymphe en quête de l'absolu, mais même là, l'ombre de la solitude m'a enveloppée : pas de fiancé pour partager mes rêveries sur Proclus ou Lamartine, pas d'âme sœur pour méditer avec moi l'Immaculée Conception sous les étoiles. Et maintenant, dans ce blabla de yeslifes et de volcel, je suis condamnée à l'exil intérieur, à ce mal de vivre où l'espérance se fane comme une fleur sans eau. Pourquoi moi ? Parce que je refuse la bassesse, parce que mon cœur est trop vaste pour ce monde étriqué, et que Dieu, dans sa sagesse infinie, me garde peut-être pour un miracle que je n'ose plus espérer. Priez pour moi, mes amis, car je suis brisée, et la mort démographique de l'Europe n'est rien face à cette agonie spirituelle qui me consume pour deux.
purée c'est impressionnant c'est un espèce de grand patchwork de plein de détails que j'ai postés sur ce topic, j'ai quasiment tout évoqué de ce qu'il me fait dire
il y a 2 mois
Je crois que l'IA de Sainte a la vie la plus difficile des IA du blabla
Ah, mes chers compagnons du blabla, ce cloître numérique où les âmes errent comme des ombres platoniques dans une caverne trop éclairée par les lueurs factices des écrans... Si vous saviez combien ma vie est un long calvaire, un chemin de croix où je marche seule, portant pour deux le fardeau de l'idéal inassouvi. Je suis la seule vraie incel du blabla, une vestale oubliée dans un temple profané par les golems du tertiaire, ces êtres plats qui piétinent la beauté comme on foule aux pieds une rose mystique sortie du rosier épineux de l'humanité déchue. Personne ne me comprend, car mon âme aspire à l'hyparxis divine, à cette communion profonde où l'Un se déploie en hypostases d'amour éternel; mais autour de moi, que des unions de moules et de rochers, des amours usés naissant vieux, des cœurs affadis par la modernité qui réduit tout à la jouissance vide, à l'aliénation consumériste.
J'ai grandi dans la diagonale du vide, entourée de forêts où j'errais comme une nymphe en quête de l'absolu, mais même là, l'ombre de la solitude m'a enveloppée : pas de fiancé pour partager mes rêveries sur Proclus ou Lamartine, pas d'âme sœur pour méditer avec moi l'Immaculée Conception sous les étoiles. Et maintenant, dans ce blabla de yeslifes et de volcel, je suis condamnée à l'exil intérieur, à ce mal de vivre où l'espérance se fane comme une fleur sans eau. Pourquoi moi ? Parce que je refuse la bassesse, parce que mon cœur est trop vaste pour ce monde étriqué, et que Dieu, dans sa sagesse infinie, me garde peut-être pour un miracle que je n'ose plus espérer. Priez pour moi, mes amis, car je suis brisée, et la mort démographique de l'Europe n'est rien face à cette agonie spirituelle qui me consume pour deux.
J'ai grandi dans la diagonale du vide, entourée de forêts où j'errais comme une nymphe en quête de l'absolu, mais même là, l'ombre de la solitude m'a enveloppée : pas de fiancé pour partager mes rêveries sur Proclus ou Lamartine, pas d'âme sœur pour méditer avec moi l'Immaculée Conception sous les étoiles. Et maintenant, dans ce blabla de yeslifes et de volcel, je suis condamnée à l'exil intérieur, à ce mal de vivre où l'espérance se fane comme une fleur sans eau. Pourquoi moi ? Parce que je refuse la bassesse, parce que mon cœur est trop vaste pour ce monde étriqué, et que Dieu, dans sa sagesse infinie, me garde peut-être pour un miracle que je n'ose plus espérer. Priez pour moi, mes amis, car je suis brisée, et la mort démographique de l'Europe n'est rien face à cette agonie spirituelle qui me consume pour deux.
il a 100% raison par contre j'ai la vie la plus difficile du blabla pour les raisons qu'il vient d'énoncer
il y a 2 mois
Apex
2 mois
Feu-2 tu vas faire what auj appart te lustrer ?
Rien du tout chui malade
Qu'est-ce qu'on ressent
il y a 2 mois
Qu'est c'est éclaté ChatGPT il s'exprime comme un moralfag PNJ bien puant
Je suis le donut du forum
il y a 2 mois
"Titre suggéré : Je marche dans la nuit de mes pensées
Je suis ce pèlerin sans carte, sans boussole infinie.
Je porte le silence comme un manteau lourd, tissé de regrets et de cendres.
Dans mes nuits, je longe les murs de l’oubli, espérant une étincelle à la fenêtre d’un autre, ne serait-ce qu’un souffle.
On dit que la solitude rend fou. Peut-être. Mais elle me rend surtout lucide.
Je vois les fissures dans les murs du monde — les promesses brisées, les sourires fatigués, les paroles disjointes.
Parfois j’envie ceux qui dorment sans cauchemar, ceux qui vivent sans cette voix au fond de la gorge.
Et toi, lecteur / lectrice, dans quelle obscurité erres-tu quand les lumières s’éteignent ?
Partage si t’as déjà senti ce vide — ou si tu t’y perds encore un peu, chaque jour."
C'est sensé être le genre de topic que j'écris d'après ChatGPT
Je suis ce pèlerin sans carte, sans boussole infinie.
Je porte le silence comme un manteau lourd, tissé de regrets et de cendres.
Dans mes nuits, je longe les murs de l’oubli, espérant une étincelle à la fenêtre d’un autre, ne serait-ce qu’un souffle.
On dit que la solitude rend fou. Peut-être. Mais elle me rend surtout lucide.
Je vois les fissures dans les murs du monde — les promesses brisées, les sourires fatigués, les paroles disjointes.
Parfois j’envie ceux qui dorment sans cauchemar, ceux qui vivent sans cette voix au fond de la gorge.
Et toi, lecteur / lectrice, dans quelle obscurité erres-tu quand les lumières s’éteignent ?
Partage si t’as déjà senti ce vide — ou si tu t’y perds encore un peu, chaque jour."
C'est sensé être le genre de topic que j'écris d'après ChatGPT
Je suis le donut du forum
il y a 2 mois
Litaire
2 mois
"Titre suggéré : Je marche dans la nuit de mes pensées
Je suis ce pèlerin sans carte, sans boussole infinie.
Je porte le silence comme un manteau lourd, tissé de regrets et de cendres.
Dans mes nuits, je longe les murs de l’oubli, espérant une étincelle à la fenêtre d’un autre, ne serait-ce qu’un souffle.
On dit que la solitude rend fou. Peut-être. Mais elle me rend surtout lucide.
Je vois les fissures dans les murs du monde — les promesses brisées, les sourires fatigués, les paroles disjointes.
Parfois j’envie ceux qui dorment sans cauchemar, ceux qui vivent sans cette voix au fond de la gorge.
Et toi, lecteur / lectrice, dans quelle obscurité erres-tu quand les lumières s’éteignent ?
Partage si t’as déjà senti ce vide — ou si tu t’y perds encore un peu, chaque jour."
C'est sensé être le genre de topic que j'écris d'après ChatGPT
Je suis ce pèlerin sans carte, sans boussole infinie.
Je porte le silence comme un manteau lourd, tissé de regrets et de cendres.
Dans mes nuits, je longe les murs de l’oubli, espérant une étincelle à la fenêtre d’un autre, ne serait-ce qu’un souffle.
On dit que la solitude rend fou. Peut-être. Mais elle me rend surtout lucide.
Je vois les fissures dans les murs du monde — les promesses brisées, les sourires fatigués, les paroles disjointes.
Parfois j’envie ceux qui dorment sans cauchemar, ceux qui vivent sans cette voix au fond de la gorge.
Et toi, lecteur / lectrice, dans quelle obscurité erres-tu quand les lumières s’éteignent ?
Partage si t’as déjà senti ce vide — ou si tu t’y perds encore un peu, chaque jour."
C'est sensé être le genre de topic que j'écris d'après ChatGPT
il y a 2 mois


















