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N’étant pas totalement familier avec les règles du forum concernant les substances considérées comme produits dopants ou non approuvées par les autorités sanitaires telles que la FDA ou l’EMA, je ne fournirai pas de sources ni d’endroits où se procurer ces produits.

Voici le contexte initial : je fais de la musculation depuis à peu près 3 ans, même si j’ai toujours été très actif et sportif. Depuis le début de mon adolescence, j’ai des douleurs chroniques au dos, dans la zone lombaire. J’ai consulté de nombreux médecins et subi plusieurs techniques d’imagerie médicale, mais personne n’a réussi à identifier la cause de ces douleurs malgré plusieurs hypothèses, comme une poussée de croissance ou une scoliose, une hernie et un problème au muscles piriforme qui ont été écartées.

Les douleurs, en revanche, sont assez classiques dans leur genre : sensation d’engourdissement et de faiblesse dans la zone, douleurs vives et irradiantes dans tout le bassin, et parfois le long de la cuisse. Cela, malgré que la piste d’une hernie, d’une sciatique ou d’un problème au muscle piriforme ait été écartée. Ce genre de trucs toute la journée, très régulièrement et surtout le matin au réveil ou quand je suis "froid".

Vous imaginez bien que ça a rui-né ma vie. Avoir mal 24h/24, se sentir faible et vulnérable, sans jamais voir venir ne serait-ce qu’un début de diagnostic ou de solution... ça m’a lentement rendu complètement fou.

Quand j’ai commencé la musculation, j’étais déjà en forme, ce qui a rapidement écarté mon idée que me renforcer dans la zone allait régler le problème. J’avais commencé pour d’autres raisons, en gros. Bonne surprise au début : rien n’aggravait les douleurs (sans les améliorer pour autant), même les mouvements connus pour être très exigeants pour la colonne, comme le squat, le soulevé de terre, etc.
Je prévois certains messages : oui, j’ai aussi eu ma phase de renforcement ciblé de la zone, avec des exos pour le rachis, la ceinture abdominale, etc., comme le Jefferson curl, le Zercher deadlift… Encore une fois, ça n’a pas aggravé le problème, mais ça ne l’a pas amélioré non plus.

Je ne m’en faisais pas trop et, d’une certaine façon, je m’étais rendu à l’évidence en me disant que ces douleurs ne manifestaient pas l’état de mon dos, mais peut-être de dégâts plus profonds et subtils, comme des problèmes nerveux ou neurologiques (ce qui était la piste d’un des professionnels de santé que j’avais consultés). En gros, dans ma tête, j’étais maudit et j’aurais mal quoi que je fasse.

C’était le cas jusqu’à ce que je me blesse lourdement sur un rack pull. J’amorce une rep et là, je sens une douleur atroce (rien à voir avec ce que j’avais d’habitude) qui me prend dans le bas du dos. Pendant presque un mois, je n’arrivais même plus à faire un soulevé de terre à vide sans avoir atrocement mal. Je ne pouvais rien faire : me lever, faire mes lacets... Dans ma tête, c’était fini, j’avais "achevé" mon dos, ahi.

De là, j’arrive à récupérer un peu et à retrouver mon état initial, mais à partir de ce moment, je faisais du yoyo entre mes douleurs de base et pire (ce qui m’a encore plus mis un coup au moral. Imaginez avoir mal au dos quasiment toute votre vie, puis voir la situation empirer).
J’essaie TOUT : médecins, kinés, radios, et à l’image toujours rien (j’ai mal même en étant allongé, mais pourtant mon dos paraît en parfaite santé, bordel).

À partir de là, je suis au plus bas. J’ai mal, bordel, hyper mal, et j’ai l’impression que je ne peux rien faire. J’adapte mes séances, je ne peux plus rien faire avec de l’intensité, ni pour le haut du corps ni pour le bas. En gros, je me sens ruiné à vie.
Dans le vie de tout les jours je vous laisse imaginez a quel point ça m'impacte, bref.

Voilà précisément le contexte de base.

Un jour, un pote de la salle m’envoie un message pour me dire qu’il s’est déchiré le pec sur de la chest press, rupture partielle assez tranquille, donc pas besoin d’opérer, mais il en a au moins pour 6 mois de convalescence, rééduc avant de pouvoir penser à récupérer un peu de tout ce qu’il va perdre. Malgré ça, il me dit de ne pas m’inquiéter parce qu’il voulait tenter quelque chose : prendre du BPC 157.
Le mec m’explique ce que c’est, je me fous de sa gueule en lui disant qu’il va perdre sa natty card, mais il est déterminé et commande le produit et le matos d’injection. L’histoire se tasse dans ma tête, et même pas un mois et demi plus tard, le mec poste déjà des stories Insta où il bench quasiment son PR d’avant sa blessure (le mec s’était déchiré le pec quand même).

Je fait le lien et je lui demande de tout m'expliquer, en gros d'après chat GPT.
"Le BPC-157 est un peptide synthétique dérivé d’une protéine naturelle présente dans l’estomac. Il est réputé pour ses propriétés potentielles de guérison et de régénération des tissus, notamment pour accélérer la récupération des blessures musculaires, tendineuses et articulaires."

Pour rappel, à ce moment-là j’étais désespéré, ma vie était littéralement niquée par mes douleurs au dos et j’étais clairement prêt à sauter tête baissée sur la première solution. Donc, après avoir pris au sérieux cette histoire de peptide, il m’a fallu en gros 3 jours pour me renseigner puis commander mdr.
Ce qui m’a convaincu pendant mes recherches : aucun effet secondaire documenté, d’après beaucoup de témoignages ça marche pour les douleurs chroniques, et malgré les effets cliniques limités chez l’homme, bah y’en a, et ils sont spectaculaires.
Donc je commande une fiole de 10 mg, des seringues et du matos classique d’hygiène pour injection.

Je reçois tout quasi le même jour et je commence le soir même ma première injection, qui se passe super bien (je me suis choqué moi-même à autant pas flipper et faire ça aussi bien, après encore une fois j’étais à moitié devenu taré à cause des douleurs qui avaient empiré).

Voici le premier protocole que j'ai suivis :

Pendant 20 jours, 500 mcg une fois par jour le soir, injection sous-cutanée dans le haut de la fesse. Pour les connaisseurs, c’est effectivement assez peu, mais quand même dans la fourchette classique chez les essais humains. En fait, ça reste assez cher, donc j’ai décidé de réduire les doses pour un protocole plus long.

Jusqu’au 5e jour, rien du tout (les douleurs avaient même empiré mdr), mais au bout de 10-12 jours, elles ont diminué d’environ 60%. J’étais abasourdi. À la fin du protocole, je suis passé de douleurs constantes et lancinantes par moments à quelques douleurs occasionnelles dans la journée, parfois assez intenses mais toujours passagères.
presque 10ans de douleurs quotidienne et atroce qui avais récemment empirer quasiment éradiquer en 20 jours bordel de merde ? Avec des doses assez basse en plus.

Évidemment, ça m’a poussé à creuser encore plus le sujet. Actuellement, ça fait 6 jours que j’ai commencé une nouvelle cure en combinant du BPC-157 et du TB500 (un autre peptide aux effets similaires, et d’après la recherche, ils se combinent super bien ensemble). Pour l’instant, je suis toujours aussi content, les douleurs s’estompent de plus en plus, et je me vois enfin poser une vraie base à partir de laquelle je pourrai, avec d’autres protocoles pas forcément chimiques en finir définitivement avec mes douleurs chroniques.

Voilà c'étais mon expérience avec les Peptides et douleurs chronique au dos. Hésiter pas a poser des questions.
il y a 2 mois
Up, je suis au jour 18/20 de ma cure à 500 mcg par jour de BPC-157 + TB-500.
Les douleurs ont encore largeùent diminué, et j’ai mis en place en parallèle quelques protocoles de récupération intégrés à mes entraînements.
Aujourd’hui, je dirais être à environ 80 % de récupération. Je ne ressens plus aucune contrainte dans mes séances, à part quelques points de vigilance très ponctuels.

Je ne me suis jamais senti aussi fort, surtout au niveau de la colonne et du tronc en général.
Au jour 20/20, je vais marquer une pause de 5 jours sur les injections avant d’enchaîner avec un nouveau protocole : 750 mcg de BPC-157 pendant 14 jours.

Si je dois résumer mes progrès :

État initial (avant la première cure) :
Douleurs constantes, parfois insupportables, au point de ne rien pouvoir faire.
Impossible de mobiliser la colonne sans douleur.
Mobilité du tronc quasi inexistante.
Douleurs présentes même en prenant de grandes inspirations.
Sensation de fragilité permanente.

Première cure (BPC-157 – 20 jours à 500 mcg/jour en sous-cutané) :
Diminution significative de la douleur dès la moitié du protocole.
Amélioration notable du confort général et de la mobilité.
Douleurs toujours présentes au quotidien, mais beaucoup plus supportables.
Reprise progressive de l'entraînement, avec quelques précautions.
Sensation de faiblesse persistante dans la zone concernée, mais début de regain de confiance.

Deuxième cure (BPC-157 + TB-500 – 20 jours à 500 mcg/jour chacun) :
Nette amélioration sur tous les plans.
Quasiment plus aucune douleur en dehors de quelques raideurs matinales.
Plus aucune gêne à l'entraînement, même sur les mouvements les plus risqués pour la colonne.
Exemples récents : deadlift à 280 kg sans aucune douleur, Jefferson curl à 130 kg sans problème.

Nouvelle cure prévue de 14 jours à 750 mcg/jour de BPC-157 uniquement.

Je ferai un retour complet une fois celle-ci terminée.
il y a 2 mois
Pour les kheys qui se posent des questions sur les effets secondaires, voici ce que j’ai pu rassembler en me basant sur la littérature scientifique disponible (même si elle reste très limitée chez l’humain) :

Aucune étude humaine n’a démontré à ce jour de toxicité avérée liée à l’usage du BPC-157 ou du TB-500, même à moyen terme.

Aucun impact mesuré sur le système hormonal (ce qui est cohérent avec la nature de la plupart des peptides : ils ne sont ni suppressifs, ni générateurs de dépendance ou de tolérance à l’usage).

Concernant le TB-500, une mise en garde est faite dans certaines publications concernant un risque de nécrose locale au site d’injection en cas de surdosage.

Personnellement, je n’ai jamais observé quoi que ce soit de ce genre, notamment parce que mes dosages sont assez bas (500 mcg/jour).

Un point de vigilance théorique revient régulièrement : la possibilité que ces peptides puissent accélérer la croissance de tumeurs déjà présentes (effet promoteur).

Aucun test animal ou humain n’a permis de confirmer cette hypothèse jusqu’ici, mais c’est un point à avoir en tête, surtout pour les personnes à risque ou ayant des antécédents médicaux.

Mon expérience personnelle est plutôt rassurante. Sur une quarantaine d’injections, je n’ai ressenti qu’une seule fois de très légers vertiges juste après avoir injecté. C’était lors d’une injection dans le bas du ventre, un de mes sites habituels. Ce genre de réaction peut arriver même si vous insérez une seringue vide, simplement à cause de la stimulation locale ou du système nerveux.

J’ai aussi eu quelques rougeurs autour des points d’injection, qui disparaissaient au bout de 30 à 40 minutes. Là encore, c’est une réaction assez classique liée au fait d’introduire un objet sous la peau, ce n’est pas propre au produit lui-même.

En dehors de ça, aucun effet secondaire constaté pendant toute la durée de la cure.

Gardez à l’esprit que je parle ici de ma propre expérience bla bla bla... Ce n’est pas parce que je n’ai eu aucun effet secondaire que ce sera pareil pour tout le monde. Certaines personnes ne ressentent strictement rien, même en s’injectant des substances avec des dizaines d’effets secondaires probables et bien documentés.

Donc, faites preuve d’esprit critique, informez-vous sérieusement, et faites vos propres recherches avant de vous lancer dans quoi que ce soit.
il y a 2 mois