Ce sujet a été résolu
Plus gros le fake
normalement c'est un délire d'ado qui prend fin vers 14 ans mais certaine reste bloquée car ça leur donne de l'attention
normalement c'est un délire d'ado qui prend fin vers 14 ans mais certaine reste bloquée car ça leur donne de l'attention
il y a 4 jours
Je pense que les gens qui ont cette maladie horrible ont autre chose à faire que des vidéos youtube / tiktok où ils présentent ça comme un truc drôle / fun / tendance.
A mon avis le nombre de cas de TDI a du exploser depuis l'avènement des raisons sociaux.
Le plus triste c'est que pas mal de ces personnes doivent avoir d'autres problèmes psy.
A mon avis le nombre de cas de TDI a du exploser depuis l'avènement des raisons sociaux.
Le plus triste c'est que pas mal de ces personnes doivent avoir d'autres problèmes psy.
il y a 4 jours
J'ai 22 ans aussi
Bezla
Des jeux Steam pas cher https://www.instant-gaming.com/?igr=gamer-cb611db
il y a 4 jours
Je pense que les gens qui ont cette maladie horrible ont autre chose à faire que des vidéos youtube / tiktok où ils présentent ça comme un truc drôle / fun / tendance.
A mon avis le nombre de cas de TDI a du exploser depuis l'avènement des raisons sociaux.
Le plus triste c'est que pas mal de ces personnes doivent avoir d'autres problèmes psy.
A mon avis le nombre de cas de TDI a du exploser depuis l'avènement des raisons sociaux.
Le plus triste c'est que pas mal de ces personnes doivent avoir d'autres problèmes psy.
Une nouvelle mode, comme les surdoués asperger qui se comptent maintenant par millions (en général des cancres irrécupérables).
il y a 4 jours
Putain cette grosse dinde mais foutez là dans un poulailler
Supersonic Machine
il y a 4 jours
"J'ai un alter raciste, mais mon vrai moi est sympa"
"Guillaume tu sais ce qui sépare l'homme du singe ? La Méditérranée"
Pardon c'est mon alter
Pardon c'est mon alter
il y a 4 jours
Je lisais les commentaires et lis ça
J’ai regardé uniquement les cinq premières minutes et deux séquences de transition entre les soi-disant “personnalités”. Ça suffit pour voir une accumulation de signes incompatibles avec un trouble dissociatif authentique. Voici les points factuels qui posent problème :
1. La personne prétend disposer d’une vue d’ensemble de son “système”, ce qui est impossible dans un TDI réel. Une dissociation clinique n’offre pas à l’hôte une vision panoramique de toutes les parties avec leur nom, âge et fonction.
2. La bascule vers la “personnalité enfant” se fait sur commande, de manière théâtrale, avec petit sourire, clignement d’yeux, voix aiguë, et présentation de soi ultra caricaturale (“je suis Aurore”, grand blanc pour souligner l’effet). Cela correspond à un jeu de rôle conscient, pas à une transition dissociative.
3. L’enfant prétend “choisir son âge” en direct (“j’ai cinq ans… non, six”). Ça trahit une construction narrative contrôlée. Les âges dans un TDI sont figés par des traumas spécifiques, pas modifiables à la volée.
4. La “petite fille” donne une explication rationnelle et adulte du trauma (“je n’aime pas les adultes parce qu’ils sont méchants, à cause du v**l”). Dans un TDI réel, les fragments enfantins ne théorisent pas leur traumatisme, ils le vivent ou le rejouent de manière brute, sans commentaire méta.
5. L’enfant dit qu’elle ne regarde pas de dessins animés mais des documentaires de géopolitique, ce qui montre clairement que l’adulte conserve le contrôle de la narration même en jouant l’alter enfant.
6. L’“adulte” reprend le contrôle sur demande de l’interviewer, ce qui est incompatible avec un TDI réel. Dans les cas cliniques, les transitions ne sont ni volontaires ni programmées à la carte pour répondre à une interview.
7. L’adulte dit ensuite qu’elle ne se souvient pas de ce qui vient de se passer, mais s’excuse quand même pour “le désordre causé par Aurore”. Or une personnalité dissociée sans mémoire de la scène ne pourrait pas formuler d’excuse pour ce qu’elle ne sait pas avoir fait. L’excuse trahit le plaisir de tenir le pouvoir sur la dynamique de l’interview.
8. Tout le dispositif sert une stratégie d’attention et de contrôle de l’image : la personne installe un théâtre dans lequel elle gère les paramètres à volonté, tout en se donnant le rôle de victime légitime et d’actrice du récit.
Le tableau est compatible avec un fonctionnement borderline ou histrionique avec fabulation consciente ou semi-consciente, pas avec un trouble dissociatif de l’identité. Il s’agit d’une scénarisation du trauma, avec instrumentalisation du registre “TDI” pour asseoir un contrôle narratif et émotionnel sur le spectateur.
J’ai regardé uniquement les cinq premières minutes et deux séquences de transition entre les soi-disant “personnalités”. Ça suffit pour voir une accumulation de signes incompatibles avec un trouble dissociatif authentique. Voici les points factuels qui posent problème :
1. La personne prétend disposer d’une vue d’ensemble de son “système”, ce qui est impossible dans un TDI réel. Une dissociation clinique n’offre pas à l’hôte une vision panoramique de toutes les parties avec leur nom, âge et fonction.
2. La bascule vers la “personnalité enfant” se fait sur commande, de manière théâtrale, avec petit sourire, clignement d’yeux, voix aiguë, et présentation de soi ultra caricaturale (“je suis Aurore”, grand blanc pour souligner l’effet). Cela correspond à un jeu de rôle conscient, pas à une transition dissociative.
3. L’enfant prétend “choisir son âge” en direct (“j’ai cinq ans… non, six”). Ça trahit une construction narrative contrôlée. Les âges dans un TDI sont figés par des traumas spécifiques, pas modifiables à la volée.
4. La “petite fille” donne une explication rationnelle et adulte du trauma (“je n’aime pas les adultes parce qu’ils sont méchants, à cause du v**l”). Dans un TDI réel, les fragments enfantins ne théorisent pas leur traumatisme, ils le vivent ou le rejouent de manière brute, sans commentaire méta.
5. L’enfant dit qu’elle ne regarde pas de dessins animés mais des documentaires de géopolitique, ce qui montre clairement que l’adulte conserve le contrôle de la narration même en jouant l’alter enfant.
6. L’“adulte” reprend le contrôle sur demande de l’interviewer, ce qui est incompatible avec un TDI réel. Dans les cas cliniques, les transitions ne sont ni volontaires ni programmées à la carte pour répondre à une interview.
7. L’adulte dit ensuite qu’elle ne se souvient pas de ce qui vient de se passer, mais s’excuse quand même pour “le désordre causé par Aurore”. Or une personnalité dissociée sans mémoire de la scène ne pourrait pas formuler d’excuse pour ce qu’elle ne sait pas avoir fait. L’excuse trahit le plaisir de tenir le pouvoir sur la dynamique de l’interview.
8. Tout le dispositif sert une stratégie d’attention et de contrôle de l’image : la personne installe un théâtre dans lequel elle gère les paramètres à volonté, tout en se donnant le rôle de victime légitime et d’actrice du récit.
Le tableau est compatible avec un fonctionnement borderline ou histrionique avec fabulation consciente ou semi-consciente, pas avec un trouble dissociatif de l’identité. Il s’agit d’une scénarisation du trauma, avec instrumentalisation du registre “TDI” pour asseoir un contrôle narratif et émotionnel sur le spectateur.
Pour compléter :
"Les individus machiavéliques, narcissiques et psychopathes utilisent plus souvent la victimisation pour faciliter le transfert de ressources non réciproques des autres vers eux." (...) "La fréquence d'émission d'un signal de victime prédit la volonté d'une personne à adopter et à approuver des comportements éthiquement douteux, comme mentir pour gagner un bonus, l'achat de produits contrefaits, des déclarations exagérées au sujet d'un préjudice subi".
https://psycnet.apa.org/record/2020-46166-001
"Les individus machiavéliques, narcissiques et psychopathes utilisent plus souvent la victimisation pour faciliter le transfert de ressources non réciproques des autres vers eux." (...) "La fréquence d'émission d'un signal de victime prédit la volonté d'une personne à adopter et à approuver des comportements éthiquement douteux, comme mentir pour gagner un bonus, l'achat de produits contrefaits, des déclarations exagérées au sujet d'un préjudice subi".
il y a 4 jours
Je lisais les commentaires et lis ça
J’ai regardé uniquement les cinq premières minutes et deux séquences de transition entre les soi-disant “personnalités”. Ça suffit pour voir une accumulation de signes incompatibles avec un trouble dissociatif authentique. Voici les points factuels qui posent problème :
1. La personne prétend disposer d’une vue d’ensemble de son “système”, ce qui est impossible dans un TDI réel. Une dissociation clinique n’offre pas à l’hôte une vision panoramique de toutes les parties avec leur nom, âge et fonction.
2. La bascule vers la “personnalité enfant” se fait sur commande, de manière théâtrale, avec petit sourire, clignement d’yeux, voix aiguë, et présentation de soi ultra caricaturale (“je suis Aurore”, grand blanc pour souligner l’effet). Cela correspond à un jeu de rôle conscient, pas à une transition dissociative.
3. L’enfant prétend “choisir son âge” en direct (“j’ai cinq ans… non, six”). Ça trahit une construction narrative contrôlée. Les âges dans un TDI sont figés par des traumas spécifiques, pas modifiables à la volée.
4. La “petite fille” donne une explication rationnelle et adulte du trauma (“je n’aime pas les adultes parce qu’ils sont méchants, à cause du v**l”). Dans un TDI réel, les fragments enfantins ne théorisent pas leur traumatisme, ils le vivent ou le rejouent de manière brute, sans commentaire méta.
5. L’enfant dit qu’elle ne regarde pas de dessins animés mais des documentaires de géopolitique, ce qui montre clairement que l’adulte conserve le contrôle de la narration même en jouant l’alter enfant.
6. L’“adulte” reprend le contrôle sur demande de l’interviewer, ce qui est incompatible avec un TDI réel. Dans les cas cliniques, les transitions ne sont ni volontaires ni programmées à la carte pour répondre à une interview.
7. L’adulte dit ensuite qu’elle ne se souvient pas de ce qui vient de se passer, mais s’excuse quand même pour “le désordre causé par Aurore”. Or une personnalité dissociée sans mémoire de la scène ne pourrait pas formuler d’excuse pour ce qu’elle ne sait pas avoir fait. L’excuse trahit le plaisir de tenir le pouvoir sur la dynamique de l’interview.
8. Tout le dispositif sert une stratégie d’attention et de contrôle de l’image : la personne installe un théâtre dans lequel elle gère les paramètres à volonté, tout en se donnant le rôle de victime légitime et d’actrice du récit.
Le tableau est compatible avec un fonctionnement borderline ou histrionique avec fabulation consciente ou semi-consciente, pas avec un trouble dissociatif de l’identité. Il s’agit d’une scénarisation du trauma, avec instrumentalisation du registre “TDI” pour asseoir un contrôle narratif et émotionnel sur le spectateur.
J’ai regardé uniquement les cinq premières minutes et deux séquences de transition entre les soi-disant “personnalités”. Ça suffit pour voir une accumulation de signes incompatibles avec un trouble dissociatif authentique. Voici les points factuels qui posent problème :
1. La personne prétend disposer d’une vue d’ensemble de son “système”, ce qui est impossible dans un TDI réel. Une dissociation clinique n’offre pas à l’hôte une vision panoramique de toutes les parties avec leur nom, âge et fonction.
2. La bascule vers la “personnalité enfant” se fait sur commande, de manière théâtrale, avec petit sourire, clignement d’yeux, voix aiguë, et présentation de soi ultra caricaturale (“je suis Aurore”, grand blanc pour souligner l’effet). Cela correspond à un jeu de rôle conscient, pas à une transition dissociative.
3. L’enfant prétend “choisir son âge” en direct (“j’ai cinq ans… non, six”). Ça trahit une construction narrative contrôlée. Les âges dans un TDI sont figés par des traumas spécifiques, pas modifiables à la volée.
4. La “petite fille” donne une explication rationnelle et adulte du trauma (“je n’aime pas les adultes parce qu’ils sont méchants, à cause du v**l”). Dans un TDI réel, les fragments enfantins ne théorisent pas leur traumatisme, ils le vivent ou le rejouent de manière brute, sans commentaire méta.
5. L’enfant dit qu’elle ne regarde pas de dessins animés mais des documentaires de géopolitique, ce qui montre clairement que l’adulte conserve le contrôle de la narration même en jouant l’alter enfant.
6. L’“adulte” reprend le contrôle sur demande de l’interviewer, ce qui est incompatible avec un TDI réel. Dans les cas cliniques, les transitions ne sont ni volontaires ni programmées à la carte pour répondre à une interview.
7. L’adulte dit ensuite qu’elle ne se souvient pas de ce qui vient de se passer, mais s’excuse quand même pour “le désordre causé par Aurore”. Or une personnalité dissociée sans mémoire de la scène ne pourrait pas formuler d’excuse pour ce qu’elle ne sait pas avoir fait. L’excuse trahit le plaisir de tenir le pouvoir sur la dynamique de l’interview.
8. Tout le dispositif sert une stratégie d’attention et de contrôle de l’image : la personne installe un théâtre dans lequel elle gère les paramètres à volonté, tout en se donnant le rôle de victime légitime et d’actrice du récit.
Le tableau est compatible avec un fonctionnement borderline ou histrionique avec fabulation consciente ou semi-consciente, pas avec un trouble dissociatif de l’identité. Il s’agit d’une scénarisation du trauma, avec instrumentalisation du registre “TDI” pour asseoir un contrôle narratif et émotionnel sur le spectateur.
Bon commentaire.
il y a 4 jours
"J'ai un alter raciste, mais mon vrai moi est sympa"
J'ai un alter c'est Gunter SS en 42, mais mon vrai moi est sympa
il y a 4 jours
AYYAAAAA
Mais où est l'atome ?
"Tu connais Patrick Sébastien ?"
"Même un enfant de 5 ans vous dit qu'il faut aller voter" AYAAAAAA
Mais où est l'atome ?
"Tu connais Patrick Sébastien ?"
"Même un enfant de 5 ans vous dit qu'il faut aller voter" AYAAAAAA
il y a 4 jours
obésité morbide mais ses alter oublient de manger pendant 4 jours
Mé euh c'est génétique, c'est la tyroïde
il y a 4 jours
Putain le présentateur qui se retient de se taper une barre toutes les 30 secondes en meublant
Elle a beaucoup trop d'alter pour pas assez d'haltères
Elle a beaucoup trop d'alter pour pas assez d'haltères
il y a 4 jours
Leoben
4j
T'es en plein dans sa chatte quand soudain son alter de 8 ans se manifeste
Ta reac ?
Ta reac ?
il y a 4 jours
"Selon certains auteurs, ce trouble est lié à l'expérience d'événements traumatiques avant l'âge de 7 à 9 ans [...]. Un enfant n'a pas vraiment d'identité, mais plutôt des parts qui se regroupent ensuite vers 7 ans pour former son identité. Pour une personne ayant ce TDI, cet événement se passe mal."
"Les individus diagnostiqués de TDI rapportent avoir souvent vécu des agressions physiques et sexuelles, spécialement durant la petite à la deuxième enfance[26]. "
https://fr.wikipedia.org/[...]if_de_l'identit%C3%A9
C'est super drôle en effet.
El famoso Français civilisés
"Les individus diagnostiqués de TDI rapportent avoir souvent vécu des agressions physiques et sexuelles, spécialement durant la petite à la deuxième enfance[26]. "
C'est super drôle en effet.
El famoso Français civilisés
il y a 4 jours
T'es en plein dans sa chatte quand soudain son alter de 8 ans se manifeste
Ta reac ?
Ta reac ?
Je baise pas de grosse déjà


il y a 4 jours
Je baise pas de grosse déjà
Tu as l'AW Olympe aussi
Déjà plus baisable
Ta reac ?
Déjà plus baisable
Ta reac ?
il y a 4 jours