Ce sujet a été résolu
En gros ils sont totalement impuissant sauf si vous telechargez vous-meme un logiciel malveillant qu'ils ont dev ayao
"Chaque fois que nous voyons un Google Pixel, nous pensons que c'est peut-être un trafiquant de drogue." C'est le téléphone parfait pour le crime pour une raison.
Paroles fortes d'un responsable de la lutte antidrogue de la police catalane.
Le Pixel dispose de GrapheneOS comme alternative à Android, axée sur la confidentialité.
C'est pourquoi les délinquants modifient le matériel et le logiciel pour éviter d'être attrapés.
Les Google Pixel sont les principaux représentants d'Android, avec Samsung. C'est pourquoi ils séduisent les utilisateurs enthousiastes du système d'exploitation, également parce qu'ils succèdent aux défunts Nexus de la firme du moteur de recherche. Nous les avons recommandés pour leur vaste politique de mises à jour et leur application photo, entre autres raisons, mais ils sont aussi le dispositif parfait pour un autre type d'utilisateurs : ceux qui participent au crime organisé.
C'est aussi surprenant que ça en a l'air. Cette phrase, aussi percutante qu'étonnante, vient d'un responsable de la lutte antidrogue des Mossos d'Esquadra en Catalogne. Loin d'être un problème de Google (il manquerait plus que ça !), la raison pour laquelle leurs téléphones sont devenus populaires parmi les bandes criminelles est, paradoxalement, l'une de leurs plus grandes vertus pour les passionnés d'Android : leur liberté. Une liberté qui, combinée à l'installation d'un système d'exploitation alternatif, en fait un outil de communication presque infaillible.
Quand un Google Pixel est utilisé à des fins criminelles
Selon la police et les experts en cybersécurité, le Google Pixel est l'un des appareils préférés du crime organisé pour une raison essentielle : il permet "d'installer librement n'importe quel système d'exploitation", comme l'affirme René Serral, expert en cybersécurité de l'InLab FIB.
Le système d'exploitation "fantôme" n'est autre qu'une ROM bien connue dans le milieu Android : GrapheneOS. C'est le logiciel installé par les groupes criminels, une version d'Android axée sur une confidentialité maximale qui ne nécessite pas les "Google Apps". Cela fournit un système de communication chiffrée, exploité par les bandes criminelles.
De plus, ces téléphones sont configurés pour s'effacer complètement si le code PIN est entré de manière incorrecte plusieurs fois ou si une tentative de réinitialisation à distance est effectuée. Et comme si cela ne suffisait pas, la police a détecté qu'ils se rendent dans des magasins spécialisés locaux pour faire supprimer des composants tels que le microphone, le GPS ou la caméra.
Selon les informations du Diari ARA, les forces de sécurité admettent que les écoutes téléphoniques traditionnelles ne sont plus utiles pour enquêter sur ces groupes. Ils communiquent désormais exclusivement via des applications chiffrées. Ce changement de stratégie a provoqué une escalade dans la bataille technologique entre la police et les délinquants.
La solution de la police
La solution n'est autre qu'un cheval de Troie. Face à l'impossibilité de casser le chiffrement, ils infectent les téléphones des trafiquants avec un logiciel malveillant, après autorisation judiciaire. De cette manière, ils obtiennent un accès total à l'appareil : applications, images, documents et conversations. Évidemment, GrapheneOS n'est pas capable de se protéger (comme n'importe quel Android) contre ce logiciel malveillant.
"Pour poursuivre le crime organisé, si vous n'introduisez pas de chevaux de Troie, vous êtes mort." C'est une méthode certes controversée, mais validée. Cette tactique, contestée par certains avocats pour un possible manque de limites dans l'ingérence à la vie privée, a un précédent à grande échelle en Europe : le "cas Encrochat" de 2020, où la police française a utilisé un cheval de Troie pour effectuer plus de 6 500 arrestations et la saisie de tonnes de drogue sur le vieux continent.
https://www.xatakandroid.[...]ara-crimen-sencilla-razon
En gros si vous utilisez GrapheneOS et que vous installez que des apps de confiance (pas comme Encrochat par exemple qui etait une appli dev par les autorités) bah vous craignez rien
"Chaque fois que nous voyons un Google Pixel, nous pensons que c'est peut-être un trafiquant de drogue." C'est le téléphone parfait pour le crime pour une raison.



Les Google Pixel sont les principaux représentants d'Android, avec Samsung. C'est pourquoi ils séduisent les utilisateurs enthousiastes du système d'exploitation, également parce qu'ils succèdent aux défunts Nexus de la firme du moteur de recherche. Nous les avons recommandés pour leur vaste politique de mises à jour et leur application photo, entre autres raisons, mais ils sont aussi le dispositif parfait pour un autre type d'utilisateurs : ceux qui participent au crime organisé.
C'est aussi surprenant que ça en a l'air. Cette phrase, aussi percutante qu'étonnante, vient d'un responsable de la lutte antidrogue des Mossos d'Esquadra en Catalogne. Loin d'être un problème de Google (il manquerait plus que ça !), la raison pour laquelle leurs téléphones sont devenus populaires parmi les bandes criminelles est, paradoxalement, l'une de leurs plus grandes vertus pour les passionnés d'Android : leur liberté. Une liberté qui, combinée à l'installation d'un système d'exploitation alternatif, en fait un outil de communication presque infaillible.
Quand un Google Pixel est utilisé à des fins criminelles
Selon la police et les experts en cybersécurité, le Google Pixel est l'un des appareils préférés du crime organisé pour une raison essentielle : il permet "d'installer librement n'importe quel système d'exploitation", comme l'affirme René Serral, expert en cybersécurité de l'InLab FIB.
Le système d'exploitation "fantôme" n'est autre qu'une ROM bien connue dans le milieu Android : GrapheneOS. C'est le logiciel installé par les groupes criminels, une version d'Android axée sur une confidentialité maximale qui ne nécessite pas les "Google Apps". Cela fournit un système de communication chiffrée, exploité par les bandes criminelles.
De plus, ces téléphones sont configurés pour s'effacer complètement si le code PIN est entré de manière incorrecte plusieurs fois ou si une tentative de réinitialisation à distance est effectuée. Et comme si cela ne suffisait pas, la police a détecté qu'ils se rendent dans des magasins spécialisés locaux pour faire supprimer des composants tels que le microphone, le GPS ou la caméra.
Selon les informations du Diari ARA, les forces de sécurité admettent que les écoutes téléphoniques traditionnelles ne sont plus utiles pour enquêter sur ces groupes. Ils communiquent désormais exclusivement via des applications chiffrées. Ce changement de stratégie a provoqué une escalade dans la bataille technologique entre la police et les délinquants.
La solution de la police
La solution n'est autre qu'un cheval de Troie. Face à l'impossibilité de casser le chiffrement, ils infectent les téléphones des trafiquants avec un logiciel malveillant, après autorisation judiciaire. De cette manière, ils obtiennent un accès total à l'appareil : applications, images, documents et conversations. Évidemment, GrapheneOS n'est pas capable de se protéger (comme n'importe quel Android) contre ce logiciel malveillant.
"Pour poursuivre le crime organisé, si vous n'introduisez pas de chevaux de Troie, vous êtes mort." C'est une méthode certes controversée, mais validée. Cette tactique, contestée par certains avocats pour un possible manque de limites dans l'ingérence à la vie privée, a un précédent à grande échelle en Europe : le "cas Encrochat" de 2020, où la police française a utilisé un cheval de Troie pour effectuer plus de 6 500 arrestations et la saisie de tonnes de drogue sur le vieux continent.
En gros si vous utilisez GrapheneOS et que vous installez que des apps de confiance (pas comme Encrochat par exemple qui etait une appli dev par les autorités) bah vous craignez rien
il y a 3 mois
Ça coûte combien au minimum un google pixel que l'on peut passer sous graphene os et qui reste compatible avec les dernières versions ? J'y connais rien, mais ça pourrait être intéressant pour un ami.
il y a 3 mois
Scar
3 mois
cash dans le google pixel quand mon samsung sera mort
Perso GrapheneOS depuis plus de 3 ans, jamais de ma vie je pourrai retourner sur iOS ou Android Vanilla
C'est l'OS ultime bordel tout le monde devrait l'utiliser
C'est l'OS ultime bordel tout le monde devrait l'utiliser
il y a 3 mois
Siyo222
3 mois
En gros ils sont totalement impuissant sauf si vous telechargez vous-meme un logiciel malveillant qu'ils ont dev ayao
"Chaque fois que nous voyons un Google Pixel, nous pensons que c'est peut-être un trafiquant de drogue." C'est le téléphone parfait pour le crime pour une raison.
Paroles fortes d'un responsable de la lutte antidrogue de la police catalane.
Le Pixel dispose de GrapheneOS comme alternative à Android, axée sur la confidentialité.
C'est pourquoi les délinquants modifient le matériel et le logiciel pour éviter d'être attrapés.
Les Google Pixel sont les principaux représentants d'Android, avec Samsung. C'est pourquoi ils séduisent les utilisateurs enthousiastes du système d'exploitation, également parce qu'ils succèdent aux défunts Nexus de la firme du moteur de recherche. Nous les avons recommandés pour leur vaste politique de mises à jour et leur application photo, entre autres raisons, mais ils sont aussi le dispositif parfait pour un autre type d'utilisateurs : ceux qui participent au crime organisé.
C'est aussi surprenant que ça en a l'air. Cette phrase, aussi percutante qu'étonnante, vient d'un responsable de la lutte antidrogue des Mossos d'Esquadra en Catalogne. Loin d'être un problème de Google (il manquerait plus que ça !), la raison pour laquelle leurs téléphones sont devenus populaires parmi les bandes criminelles est, paradoxalement, l'une de leurs plus grandes vertus pour les passionnés d'Android : leur liberté. Une liberté qui, combinée à l'installation d'un système d'exploitation alternatif, en fait un outil de communication presque infaillible.
Quand un Google Pixel est utilisé à des fins criminelles
Selon la police et les experts en cybersécurité, le Google Pixel est l'un des appareils préférés du crime organisé pour une raison essentielle : il permet "d'installer librement n'importe quel système d'exploitation", comme l'affirme René Serral, expert en cybersécurité de l'InLab FIB.
Le système d'exploitation "fantôme" n'est autre qu'une ROM bien connue dans le milieu Android : GrapheneOS. C'est le logiciel installé par les groupes criminels, une version d'Android axée sur une confidentialité maximale qui ne nécessite pas les "Google Apps". Cela fournit un système de communication chiffrée, exploité par les bandes criminelles.
De plus, ces téléphones sont configurés pour s'effacer complètement si le code PIN est entré de manière incorrecte plusieurs fois ou si une tentative de réinitialisation à distance est effectuée. Et comme si cela ne suffisait pas, la police a détecté qu'ils se rendent dans des magasins spécialisés locaux pour faire supprimer des composants tels que le microphone, le GPS ou la caméra.
Selon les informations du Diari ARA, les forces de sécurité admettent que les écoutes téléphoniques traditionnelles ne sont plus utiles pour enquêter sur ces groupes. Ils communiquent désormais exclusivement via des applications chiffrées. Ce changement de stratégie a provoqué une escalade dans la bataille technologique entre la police et les délinquants.
La solution de la police
La solution n'est autre qu'un cheval de Troie. Face à l'impossibilité de casser le chiffrement, ils infectent les téléphones des trafiquants avec un logiciel malveillant, après autorisation judiciaire. De cette manière, ils obtiennent un accès total à l'appareil : applications, images, documents et conversations. Évidemment, GrapheneOS n'est pas capable de se protéger (comme n'importe quel Android) contre ce logiciel malveillant.
"Pour poursuivre le crime organisé, si vous n'introduisez pas de chevaux de Troie, vous êtes mort." C'est une méthode certes controversée, mais validée. Cette tactique, contestée par certains avocats pour un possible manque de limites dans l'ingérence à la vie privée, a un précédent à grande échelle en Europe : le "cas Encrochat" de 2020, où la police française a utilisé un cheval de Troie pour effectuer plus de 6 500 arrestations et la saisie de tonnes de drogue sur le vieux continent.
https://www.xatakandroid.[...]ara-crimen-sencilla-razon
En gros si vous utilisez GrapheneOS et que vous installez que des apps de confiance (pas comme Encrochat par exemple qui etait une appli dev par les autorités) bah vous craignez rien
"Chaque fois que nous voyons un Google Pixel, nous pensons que c'est peut-être un trafiquant de drogue." C'est le téléphone parfait pour le crime pour une raison.



Les Google Pixel sont les principaux représentants d'Android, avec Samsung. C'est pourquoi ils séduisent les utilisateurs enthousiastes du système d'exploitation, également parce qu'ils succèdent aux défunts Nexus de la firme du moteur de recherche. Nous les avons recommandés pour leur vaste politique de mises à jour et leur application photo, entre autres raisons, mais ils sont aussi le dispositif parfait pour un autre type d'utilisateurs : ceux qui participent au crime organisé.
C'est aussi surprenant que ça en a l'air. Cette phrase, aussi percutante qu'étonnante, vient d'un responsable de la lutte antidrogue des Mossos d'Esquadra en Catalogne. Loin d'être un problème de Google (il manquerait plus que ça !), la raison pour laquelle leurs téléphones sont devenus populaires parmi les bandes criminelles est, paradoxalement, l'une de leurs plus grandes vertus pour les passionnés d'Android : leur liberté. Une liberté qui, combinée à l'installation d'un système d'exploitation alternatif, en fait un outil de communication presque infaillible.
Quand un Google Pixel est utilisé à des fins criminelles
Selon la police et les experts en cybersécurité, le Google Pixel est l'un des appareils préférés du crime organisé pour une raison essentielle : il permet "d'installer librement n'importe quel système d'exploitation", comme l'affirme René Serral, expert en cybersécurité de l'InLab FIB.
Le système d'exploitation "fantôme" n'est autre qu'une ROM bien connue dans le milieu Android : GrapheneOS. C'est le logiciel installé par les groupes criminels, une version d'Android axée sur une confidentialité maximale qui ne nécessite pas les "Google Apps". Cela fournit un système de communication chiffrée, exploité par les bandes criminelles.
De plus, ces téléphones sont configurés pour s'effacer complètement si le code PIN est entré de manière incorrecte plusieurs fois ou si une tentative de réinitialisation à distance est effectuée. Et comme si cela ne suffisait pas, la police a détecté qu'ils se rendent dans des magasins spécialisés locaux pour faire supprimer des composants tels que le microphone, le GPS ou la caméra.
Selon les informations du Diari ARA, les forces de sécurité admettent que les écoutes téléphoniques traditionnelles ne sont plus utiles pour enquêter sur ces groupes. Ils communiquent désormais exclusivement via des applications chiffrées. Ce changement de stratégie a provoqué une escalade dans la bataille technologique entre la police et les délinquants.
La solution de la police
La solution n'est autre qu'un cheval de Troie. Face à l'impossibilité de casser le chiffrement, ils infectent les téléphones des trafiquants avec un logiciel malveillant, après autorisation judiciaire. De cette manière, ils obtiennent un accès total à l'appareil : applications, images, documents et conversations. Évidemment, GrapheneOS n'est pas capable de se protéger (comme n'importe quel Android) contre ce logiciel malveillant.
"Pour poursuivre le crime organisé, si vous n'introduisez pas de chevaux de Troie, vous êtes mort." C'est une méthode certes controversée, mais validée. Cette tactique, contestée par certains avocats pour un possible manque de limites dans l'ingérence à la vie privée, a un précédent à grande échelle en Europe : le "cas Encrochat" de 2020, où la police française a utilisé un cheval de Troie pour effectuer plus de 6 500 arrestations et la saisie de tonnes de drogue sur le vieux continent.
En gros si vous utilisez GrapheneOS et que vous installez que des apps de confiance (pas comme Encrochat par exemple qui etait une appli dev par les autorités) bah vous craignez rien
On comprends pourquoi Google arrète de produire les Pixel et ferme les sources d'Android
Mon propos est imaginaire et fictif, il n'implique donc aucun fait ou élément réel et toute ressemblance serait fortuite
il y a 3 mois
Les flics qui vont prendre une pilule de viagra dès qu'ils voient un smartphone google

il y a 3 mois
Frieren
3 mois
Ça coûte combien au minimum un google pixel que l'on peut passer sous graphene os et qui reste compatible avec les dernières versions ? J'y connais rien, mais ça pourrait être intéressant pour un ami.
Un Pixel 8 ça se trouve dans les 200/250 je pense et tu as encore bien 5 ans de maj a venir
il y a 3 mois
Frieren
3 mois
Ça coûte combien au minimum un google pixel que l'on peut passer sous graphene os et qui reste compatible avec les dernières versions ? J'y connais rien, mais ça pourrait être intéressant pour un ami.
Sinon tu as les Pixel "A" genre le 9a qui est sorti il y a quelque mois
il y a 3 mois
Sinon tu as les Pixel "A" genre le 9a qui est sorti il y a quelque mois
Merci mon bon clef. Je vais orienter mon ami vers ces deux modèles. Il a un budget limité et a encore un téléphone à clapet.
il y a 3 mois
Perso GrapheneOS depuis plus de 3 ans, jamais de ma vie je pourrai retourner sur iOS ou Android Vanilla
C'est l'OS ultime bordel tout le monde devrait l'utiliser
C'est l'OS ultime bordel tout le monde devrait l'utiliser
il est utilisable quand meme ou c'est comme unbuntu
il y a 3 mois
C etait pas toi le khey qui avait fait un tutoriel pour être totalement anonyme avec un google pixel y a genre 2 ans?
Ca m énervé j avais pas fav le topax je le retrouve pas
Ca m énervé j avais pas fav le topax je le retrouve pas
Monkey see Monkey do
il y a 3 mois
il est utilisable quand meme ou c'est comme unbuntu
C'est simple (c'est l'interface Android lambda quoi) et compatible avec tout, 99,9% de tes applis Android actuelle fonctionneront sous GrapheneOS
il y a 3 mois
Scar
3 mois
cash dans le google pixel quand mon samsung sera mort
Tu peux utiliser graphene OS avec n'importe quel téléphone
Le journaliste n'y connais rien
Le journaliste n'y connais rien
il y a 3 mois
Tu peux utiliser graphene OS avec n'importe quel téléphone
Le journaliste n'y connais rien
Le journaliste n'y connais rien
Non, GrapheneOS ne fonctionne qu'avec les Google Pixel pour le moment
https://grapheneos.org/faq#supported-devices
il y a 3 mois
On comprends pourquoi Google arrète de produire les Pixel et ferme les sources d'Android
Ils n'arrêtent pas du tout de produire les Pixels

il y a 3 mois
Frieren
3 mois
Ça coûte combien au minimum un google pixel que l'on peut passer sous graphene os et qui reste compatible avec les dernières versions ? J'y connais rien, mais ça pourrait être intéressant pour un ami.
J'ai payé le mien 300€ en promo
il y a 3 mois
Siyo222
3 mois
En gros ils sont totalement impuissant sauf si vous telechargez vous-meme un logiciel malveillant qu'ils ont dev ayao
"Chaque fois que nous voyons un Google Pixel, nous pensons que c'est peut-être un trafiquant de drogue." C'est le téléphone parfait pour le crime pour une raison.
Paroles fortes d'un responsable de la lutte antidrogue de la police catalane.
Le Pixel dispose de GrapheneOS comme alternative à Android, axée sur la confidentialité.
C'est pourquoi les délinquants modifient le matériel et le logiciel pour éviter d'être attrapés.
Les Google Pixel sont les principaux représentants d'Android, avec Samsung. C'est pourquoi ils séduisent les utilisateurs enthousiastes du système d'exploitation, également parce qu'ils succèdent aux défunts Nexus de la firme du moteur de recherche. Nous les avons recommandés pour leur vaste politique de mises à jour et leur application photo, entre autres raisons, mais ils sont aussi le dispositif parfait pour un autre type d'utilisateurs : ceux qui participent au crime organisé.
C'est aussi surprenant que ça en a l'air. Cette phrase, aussi percutante qu'étonnante, vient d'un responsable de la lutte antidrogue des Mossos d'Esquadra en Catalogne. Loin d'être un problème de Google (il manquerait plus que ça !), la raison pour laquelle leurs téléphones sont devenus populaires parmi les bandes criminelles est, paradoxalement, l'une de leurs plus grandes vertus pour les passionnés d'Android : leur liberté. Une liberté qui, combinée à l'installation d'un système d'exploitation alternatif, en fait un outil de communication presque infaillible.
Quand un Google Pixel est utilisé à des fins criminelles
Selon la police et les experts en cybersécurité, le Google Pixel est l'un des appareils préférés du crime organisé pour une raison essentielle : il permet "d'installer librement n'importe quel système d'exploitation", comme l'affirme René Serral, expert en cybersécurité de l'InLab FIB.
Le système d'exploitation "fantôme" n'est autre qu'une ROM bien connue dans le milieu Android : GrapheneOS. C'est le logiciel installé par les groupes criminels, une version d'Android axée sur une confidentialité maximale qui ne nécessite pas les "Google Apps". Cela fournit un système de communication chiffrée, exploité par les bandes criminelles.
De plus, ces téléphones sont configurés pour s'effacer complètement si le code PIN est entré de manière incorrecte plusieurs fois ou si une tentative de réinitialisation à distance est effectuée. Et comme si cela ne suffisait pas, la police a détecté qu'ils se rendent dans des magasins spécialisés locaux pour faire supprimer des composants tels que le microphone, le GPS ou la caméra.
Selon les informations du Diari ARA, les forces de sécurité admettent que les écoutes téléphoniques traditionnelles ne sont plus utiles pour enquêter sur ces groupes. Ils communiquent désormais exclusivement via des applications chiffrées. Ce changement de stratégie a provoqué une escalade dans la bataille technologique entre la police et les délinquants.
La solution de la police
La solution n'est autre qu'un cheval de Troie. Face à l'impossibilité de casser le chiffrement, ils infectent les téléphones des trafiquants avec un logiciel malveillant, après autorisation judiciaire. De cette manière, ils obtiennent un accès total à l'appareil : applications, images, documents et conversations. Évidemment, GrapheneOS n'est pas capable de se protéger (comme n'importe quel Android) contre ce logiciel malveillant.
"Pour poursuivre le crime organisé, si vous n'introduisez pas de chevaux de Troie, vous êtes mort." C'est une méthode certes controversée, mais validée. Cette tactique, contestée par certains avocats pour un possible manque de limites dans l'ingérence à la vie privée, a un précédent à grande échelle en Europe : le "cas Encrochat" de 2020, où la police française a utilisé un cheval de Troie pour effectuer plus de 6 500 arrestations et la saisie de tonnes de drogue sur le vieux continent.
https://www.xatakandroid.[...]ara-crimen-sencilla-razon
En gros si vous utilisez GrapheneOS et que vous installez que des apps de confiance (pas comme Encrochat par exemple qui etait une appli dev par les autorités) bah vous craignez rien
"Chaque fois que nous voyons un Google Pixel, nous pensons que c'est peut-être un trafiquant de drogue." C'est le téléphone parfait pour le crime pour une raison.



Les Google Pixel sont les principaux représentants d'Android, avec Samsung. C'est pourquoi ils séduisent les utilisateurs enthousiastes du système d'exploitation, également parce qu'ils succèdent aux défunts Nexus de la firme du moteur de recherche. Nous les avons recommandés pour leur vaste politique de mises à jour et leur application photo, entre autres raisons, mais ils sont aussi le dispositif parfait pour un autre type d'utilisateurs : ceux qui participent au crime organisé.
C'est aussi surprenant que ça en a l'air. Cette phrase, aussi percutante qu'étonnante, vient d'un responsable de la lutte antidrogue des Mossos d'Esquadra en Catalogne. Loin d'être un problème de Google (il manquerait plus que ça !), la raison pour laquelle leurs téléphones sont devenus populaires parmi les bandes criminelles est, paradoxalement, l'une de leurs plus grandes vertus pour les passionnés d'Android : leur liberté. Une liberté qui, combinée à l'installation d'un système d'exploitation alternatif, en fait un outil de communication presque infaillible.
Quand un Google Pixel est utilisé à des fins criminelles
Selon la police et les experts en cybersécurité, le Google Pixel est l'un des appareils préférés du crime organisé pour une raison essentielle : il permet "d'installer librement n'importe quel système d'exploitation", comme l'affirme René Serral, expert en cybersécurité de l'InLab FIB.
Le système d'exploitation "fantôme" n'est autre qu'une ROM bien connue dans le milieu Android : GrapheneOS. C'est le logiciel installé par les groupes criminels, une version d'Android axée sur une confidentialité maximale qui ne nécessite pas les "Google Apps". Cela fournit un système de communication chiffrée, exploité par les bandes criminelles.
De plus, ces téléphones sont configurés pour s'effacer complètement si le code PIN est entré de manière incorrecte plusieurs fois ou si une tentative de réinitialisation à distance est effectuée. Et comme si cela ne suffisait pas, la police a détecté qu'ils se rendent dans des magasins spécialisés locaux pour faire supprimer des composants tels que le microphone, le GPS ou la caméra.
Selon les informations du Diari ARA, les forces de sécurité admettent que les écoutes téléphoniques traditionnelles ne sont plus utiles pour enquêter sur ces groupes. Ils communiquent désormais exclusivement via des applications chiffrées. Ce changement de stratégie a provoqué une escalade dans la bataille technologique entre la police et les délinquants.
La solution de la police
La solution n'est autre qu'un cheval de Troie. Face à l'impossibilité de casser le chiffrement, ils infectent les téléphones des trafiquants avec un logiciel malveillant, après autorisation judiciaire. De cette manière, ils obtiennent un accès total à l'appareil : applications, images, documents et conversations. Évidemment, GrapheneOS n'est pas capable de se protéger (comme n'importe quel Android) contre ce logiciel malveillant.
"Pour poursuivre le crime organisé, si vous n'introduisez pas de chevaux de Troie, vous êtes mort." C'est une méthode certes controversée, mais validée. Cette tactique, contestée par certains avocats pour un possible manque de limites dans l'ingérence à la vie privée, a un précédent à grande échelle en Europe : le "cas Encrochat" de 2020, où la police française a utilisé un cheval de Troie pour effectuer plus de 6 500 arrestations et la saisie de tonnes de drogue sur le vieux continent.
En gros si vous utilisez GrapheneOS et que vous installez que des apps de confiance (pas comme Encrochat par exemple qui etait une appli dev par les autorités) bah vous craignez rien
Malheureusement Google va foutre un gros stop à GrapheneOS sur les Pixels, mais heureusement on aura (peut-être) des téléphones sous GrapheneOS mais venant de grosses marques
Et non Xiaomerde ou autre n'est pas inclus, ils vont faire appel à de BONNES marques, donc on aura bientôt des Samsung, Motorola et Nothing utilisant l'OS
Et non Xiaomerde ou autre n'est pas inclus, ils vont faire appel à de BONNES marques, donc on aura bientôt des Samsung, Motorola et Nothing utilisant l'OS
il y a 3 mois
il est utilisable quand meme ou c'est comme unbuntu
Simple, mais t'as pas les service de google
Donc en gros waze ne marche pas, mais y'as d'autre applis qui marche
Discord t'as pas les notifs ce genre de truc
Donc en gros waze ne marche pas, mais y'as d'autre applis qui marche
Discord t'as pas les notifs ce genre de truc
il y a 3 mois
Frieren
3 mois
Ça coûte combien au minimum un google pixel que l'on peut passer sous graphene os et qui reste compatible avec les dernières versions ? J'y connais rien, mais ça pourrait être intéressant pour un ami.
il y a 3 mois