Ce sujet a été résolu
Mon père m'a sorti :
- "On choisit ce qui nous impacte" (vis à vis des traumas) (en gros c'est ma faute il n'est pas responsable)
- "J'espère que ton grand-père va mourir avant qu'il ne se rende compte de ta transition"
- "Tu ne peux pas plus me blesser qu'en me disant ça" (juste être moi-même, vis à vis de la transition)
- "Je devrais être suicidé depuis longtemps avec tout ce que tu m'as dit" (ensuite détails sur comment il ferait)
Pas facile tous les jours, je comprend pourquoi je suis comme ça aujourd'hui
Je sais que beaucoup pensent comme ça ici, voilà comment on réagit concrètement à votre pire cauchemar, mnt vous savez
Vous savez ce dit un père qui élève son fils "avec amour" et le voit se transformer en dépressif sans pouvoir rien faire, puis en salope de sissy qui transitionne en femme
Quel échec, quel deuil difficile, quel déshonneur
On dirait que je me déteste quand j'écris, mais paradoxalement non, plus je prend conscience des choses et le dis, plus je m'en libère
Je ne pense plus avec leurs mots aussi sales qu'eux
Parce qu'avant je me détestais sans savoir pourquoi
Je suis la conséquence du traitement que j'ai subi, j'ai compris très vite que je ne serai jamais acceptée dans certains yeux, et ai intériorisé un climat plus global de non acceptation de ce que je peux être ou ressentir
Je cherchais à être reconnue, à prouver qu'il ont tort, ils s'en rendraient bien compte en me voyant comme je suis, après m'être développée suffisamment pour pouvoir leur expliquer avec finesse et efficacité ce que je ressens
Sauf que non, je viens de comprendre que ça n'arriverait jamais, il en est incapable, et certainement que beaucoup d'autres le sont aussi
On ne se rend pas compte à quel point l'existence est solitaire, même entouré on est jamais réellement vu pour ce qu'on est vraiment
La seule fois où j'ai arrêté de me sentir seule, c'était en étant chez moi dans un état de conscience où j'étais connectée à l'univers, le reste du temps j'étais face à des personnes incapable de me comprendre et m'écouter, m'accepter
Je parle énormément de projection parce que j'ai envie d'être comprise, parce qu'avec les trauma c'est tout ce qui compte, correspondre dans leur esprit, par leur yeux
Parce qu'on sait que le trauma brouille le sens de soi, et empêche de se voir, d'aller à sa rencontre (sans voir d'horreurs)
Je ne serai jamais comprise comme j'ai toujours voulu l'être, j'accepte cette solitude inévitable, et de garder sous silence certaines parties invisibles à leurs yeux
Je veux casser le cycle, je ne prendrai jamais mes traumas comme une fatalité, et ça impactera chacune de mes actions jusqu'à me comprendre en moi-même et en sortir
On est le produit de son environnement, de son conditionnement, répétant en boucle nos erreurs jusqu'à ce qu'on en prenne conscience et s'en libère
Dans la douleur et le feu il faut passer, sentir ses repères fondre et se voir tel qu'on est vraiment
Je suis la seule responsable de mon malheur désormais, et je l'accepte
Je me détestais depuis toutes ces années, mais maintenant ça va mieux, grâce à cette voie
paroles
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il y a un mois
Voir son fils s'enfoncer dans son délire de se prendre pour une femme sans pouvoir rien faire
Ça doit rendre tarax
Ça doit rendre tarax
il y a un mois
KJ-Anima
1 mois
Mon père m'a sorti :
- "On choisit ce qui nous impacte" (vis à vis des traumas) (en gros c'est ma faute il n'est pas responsable)
- "J'espère que ton grand-père va mourir avant qu'il ne se rende compte de ta transition"
- "Tu ne peux pas plus me blesser qu'en me disant ça" (juste être moi-même, vis à vis de la transition)
- "Je devrais être suicidé depuis longtemps avec tout ce que tu m'as dit" (ensuite détails sur comment il ferait)
Pas facile tous les jours, je comprend pourquoi je suis comme ça aujourd'hui
Je sais que beaucoup pensent comme ça ici, voilà comment on réagit concrètement à votre pire cauchemar, mnt vous savez
Vous savez ce dit un père qui élève son fils "avec amour" et le voit se transformer en dépressif sans pouvoir rien faire, puis en salope de sissy qui transitionne en femme
Quel échec, quel deuil difficile, quel déshonneur
On dirait que je me déteste quand j'écris, mais paradoxalement non, plus je prend conscience des choses et le dis, plus je m'en libère
Je ne pense plus avec leurs mots aussi sales qu'eux
Parce qu'avant je me détestais sans savoir pourquoi
Je suis la conséquence du traitement que j'ai subi, j'ai compris très vite que je ne serai jamais acceptée dans certains yeux, et ai intériorisé un climat plus global de non acceptation de ce que je peux être ou ressentir
Je cherchais à être reconnue, à prouver qu'il ont tort, ils s'en rendraient bien compte en me voyant comme je suis, après m'être développée suffisamment pour pouvoir leur expliquer avec finesse et efficacité ce que je ressens
Sauf que non, je viens de comprendre que ça n'arriverait jamais, il en est incapable, et certainement que beaucoup d'autres le sont aussi
On ne se rend pas compte à quel point l'existence est solitaire, même entouré on est jamais réellement vu pour ce qu'on est vraiment
La seule fois où j'ai arrêté de me sentir seule, c'était en étant chez moi dans un état de conscience où j'étais connectée à l'univers, le reste du temps j'étais face à des personnes incapable de me comprendre et m'écouter, m'accepter
Je parle énormément de projection parce que j'ai envie d'être comprise, parce qu'avec les trauma c'est tout ce qui compte, correspondre dans leur esprit, par leur yeux
Parce qu'on sait que le trauma brouille le sens de soi, et empêche de se voir, d'aller à sa rencontre (sans voir d'horreurs)
Je ne serai jamais comprise comme j'ai toujours voulu l'être, j'accepte cette solitude inévitable, et de garder sous silence certaines parties invisibles à leurs yeux
Je veux casser le cycle, je ne prendrai jamais mes traumas comme une fatalité, et ça impactera chacune de mes actions jusqu'à me comprendre en moi-même et en sortir
On est le produit de son environnement, de son conditionnement, répétant en boucle nos erreurs jusqu'à ce qu'on en prenne conscience et s'en libère
Dans la douleur et le feu il faut passer, sentir ses repères fondre et se voir tel qu'on est vraiment
Je suis la seule responsable de mon malheur désormais, et je l'accepte
Je me détestais depuis toutes ces années, mais maintenant ça va mieux, grâce à cette voie
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Faut faire dodo ma petite chancla
Chaque rejet me rend plus fort
il y a un mois
Faut faire dodo ma petite chancla
Mais je suis décalée
Je rentre du footing là en plus
あそびたい~つ !
Je rentre du footing là en plus
il y a un mois
KJ-Anima
1 mois
Mon père m'a sorti :
- "On choisit ce qui nous impacte" (vis à vis des traumas) (en gros c'est ma faute il n'est pas responsable)
- "J'espère que ton grand-père va mourir avant qu'il ne se rende compte de ta transition"
- "Tu ne peux pas plus me blesser qu'en me disant ça" (juste être moi-même, vis à vis de la transition)
- "Je devrais être suicidé depuis longtemps avec tout ce que tu m'as dit" (ensuite détails sur comment il ferait)
Pas facile tous les jours, je comprend pourquoi je suis comme ça aujourd'hui
Je sais que beaucoup pensent comme ça ici, voilà comment on réagit concrètement à votre pire cauchemar, mnt vous savez
Vous savez ce dit un père qui élève son fils "avec amour" et le voit se transformer en dépressif sans pouvoir rien faire, puis en salope de sissy qui transitionne en femme
Quel échec, quel deuil difficile, quel déshonneur
On dirait que je me déteste quand j'écris, mais paradoxalement non, plus je prend conscience des choses et le dis, plus je m'en libère
Je ne pense plus avec leurs mots aussi sales qu'eux
Parce qu'avant je me détestais sans savoir pourquoi
Je suis la conséquence du traitement que j'ai subi, j'ai compris très vite que je ne serai jamais acceptée dans certains yeux, et ai intériorisé un climat plus global de non acceptation de ce que je peux être ou ressentir
Je cherchais à être reconnue, à prouver qu'il ont tort, ils s'en rendraient bien compte en me voyant comme je suis, après m'être développée suffisamment pour pouvoir leur expliquer avec finesse et efficacité ce que je ressens
Sauf que non, je viens de comprendre que ça n'arriverait jamais, il en est incapable, et certainement que beaucoup d'autres le sont aussi
On ne se rend pas compte à quel point l'existence est solitaire, même entouré on est jamais réellement vu pour ce qu'on est vraiment
La seule fois où j'ai arrêté de me sentir seule, c'était en étant chez moi dans un état de conscience où j'étais connectée à l'univers, le reste du temps j'étais face à des personnes incapable de me comprendre et m'écouter, m'accepter
Je parle énormément de projection parce que j'ai envie d'être comprise, parce qu'avec les trauma c'est tout ce qui compte, correspondre dans leur esprit, par leur yeux
Parce qu'on sait que le trauma brouille le sens de soi, et empêche de se voir, d'aller à sa rencontre (sans voir d'horreurs)
Je ne serai jamais comprise comme j'ai toujours voulu l'être, j'accepte cette solitude inévitable, et de garder sous silence certaines parties invisibles à leurs yeux
Je veux casser le cycle, je ne prendrai jamais mes traumas comme une fatalité, et ça impactera chacune de mes actions jusqu'à me comprendre en moi-même et en sortir
On est le produit de son environnement, de son conditionnement, répétant en boucle nos erreurs jusqu'à ce qu'on en prenne conscience et s'en libère
Dans la douleur et le feu il faut passer, sentir ses repères fondre et se voir tel qu'on est vraiment
Je suis la seule responsable de mon malheur désormais, et je l'accepte
Je me détestais depuis toutes ces années, mais maintenant ça va mieux, grâce à cette voie
paroles
Vous devez être au niveau 0 pour voir ce message.
Maintenant que j'ai lu je réponds sur le fond :
Nul n'est prophète en son pays.
Si ton environnement t'a formé, si tu as subi certains traumas, c'est que cet environnement ne te voyais pas. Et c'est probable qu'il ne puisse jamais te voir PUISQUE justement il ne t'a pas vu et c'est lui qui a été le moule de ta forme.
C'est en réaction à ces traumas que tu as développé certaines réponses pour survivre dans ton identité.
Donc effectivement, n'attends pas d'être reconnu par ta famille. Par contre, tu peux être reconnu par les autres. Tu ferais bien de changer d'environnement pour te sentir libre d'exister comme tu le ressens et de souffler. Comme si tu allais fonder un nouveau comptoir phénicien sur la Méditerranée.
Bien évidemment que ton père te juges. Mais il ne comprends pas qu'il est la cause d'une négation de ton enfant intérieur. Et que c'est par lui que tu as été obligé d'opérer un refoulement puis une expression bien moins fluide de ton intériorité, de ta féminité, de ton X.
Là où tu pouvais intégrer ton X en homme fluidement, voilà que tu dois le réinsérer à postériori pour ressentir à nouveau une part comprimée de toi. Bon bah ça se fait pas sans dommage, si je puis dire, sachant que tu es formé, donc tu n'est plus aussi "formable" qu'avant, il y a déjà eu une certaine cristallisation. L'incorporation ne peut plus se faire aussi facilement qu'avant.
Bref tu m'auras compris. L'expression de soi peut prendre énormément de forme. Une répression dans l'enfance d'une part de soi peut par la suite prendre de fait énormément de formes différentes. Celle qui semble le plus coller à l'imaginaire de l'individu je suppose.
En tout cas, si ton père a un problème avec toi, c'est qu'il a du mal à se regarder dans le miroir. Ce qu'il voit en toi le fait souffrir lui. Dans son référentiel, dans son imaginaire. De ses propres traumas. Ceux qu'il a récupéré également de son environnement enfant. Psychogénéalogie.
Nul n'est prophète en son pays.
Si ton environnement t'a formé, si tu as subi certains traumas, c'est que cet environnement ne te voyais pas. Et c'est probable qu'il ne puisse jamais te voir PUISQUE justement il ne t'a pas vu et c'est lui qui a été le moule de ta forme.
C'est en réaction à ces traumas que tu as développé certaines réponses pour survivre dans ton identité.
Donc effectivement, n'attends pas d'être reconnu par ta famille. Par contre, tu peux être reconnu par les autres. Tu ferais bien de changer d'environnement pour te sentir libre d'exister comme tu le ressens et de souffler. Comme si tu allais fonder un nouveau comptoir phénicien sur la Méditerranée.
Bien évidemment que ton père te juges. Mais il ne comprends pas qu'il est la cause d'une négation de ton enfant intérieur. Et que c'est par lui que tu as été obligé d'opérer un refoulement puis une expression bien moins fluide de ton intériorité, de ta féminité, de ton X.
Là où tu pouvais intégrer ton X en homme fluidement, voilà que tu dois le réinsérer à postériori pour ressentir à nouveau une part comprimée de toi. Bon bah ça se fait pas sans dommage, si je puis dire, sachant que tu es formé, donc tu n'est plus aussi "formable" qu'avant, il y a déjà eu une certaine cristallisation. L'incorporation ne peut plus se faire aussi facilement qu'avant.
Bref tu m'auras compris. L'expression de soi peut prendre énormément de forme. Une répression dans l'enfance d'une part de soi peut par la suite prendre de fait énormément de formes différentes. Celle qui semble le plus coller à l'imaginaire de l'individu je suppose.
En tout cas, si ton père a un problème avec toi, c'est qu'il a du mal à se regarder dans le miroir. Ce qu'il voit en toi le fait souffrir lui. Dans son référentiel, dans son imaginaire. De ses propres traumas. Ceux qu'il a récupéré également de son environnement enfant. Psychogénéalogie.
Chaque rejet me rend plus fort
il y a un mois
Mais je suis décalée
Je rentre du footing là en plus
Je rentre du footing là en plus
Eh bien pour compenser les mauvaises ondes du padre je te condamne à faire un bon dodo cette nuit quand tes petits yeux se fermeront tout seuls
Chaque rejet me rend plus fort
il y a un mois
KJ-Anima
1 mois
Mon père m'a sorti :
- "On choisit ce qui nous impacte" (vis à vis des traumas) (en gros c'est ma faute il n'est pas responsable)
- "J'espère que ton grand-père va mourir avant qu'il ne se rende compte de ta transition"
- "Tu ne peux pas plus me blesser qu'en me disant ça" (juste être moi-même, vis à vis de la transition)
- "Je devrais être suicidé depuis longtemps avec tout ce que tu m'as dit" (ensuite détails sur comment il ferait)
Pas facile tous les jours, je comprend pourquoi je suis comme ça aujourd'hui
Je sais que beaucoup pensent comme ça ici, voilà comment on réagit concrètement à votre pire cauchemar, mnt vous savez
Vous savez ce dit un père qui élève son fils "avec amour" et le voit se transformer en dépressif sans pouvoir rien faire, puis en salope de sissy qui transitionne en femme
Quel échec, quel deuil difficile, quel déshonneur
On dirait que je me déteste quand j'écris, mais paradoxalement non, plus je prend conscience des choses et le dis, plus je m'en libère
Je ne pense plus avec leurs mots aussi sales qu'eux
Parce qu'avant je me détestais sans savoir pourquoi
Je suis la conséquence du traitement que j'ai subi, j'ai compris très vite que je ne serai jamais acceptée dans certains yeux, et ai intériorisé un climat plus global de non acceptation de ce que je peux être ou ressentir
Je cherchais à être reconnue, à prouver qu'il ont tort, ils s'en rendraient bien compte en me voyant comme je suis, après m'être développée suffisamment pour pouvoir leur expliquer avec finesse et efficacité ce que je ressens
Sauf que non, je viens de comprendre que ça n'arriverait jamais, il en est incapable, et certainement que beaucoup d'autres le sont aussi
On ne se rend pas compte à quel point l'existence est solitaire, même entouré on est jamais réellement vu pour ce qu'on est vraiment
La seule fois où j'ai arrêté de me sentir seule, c'était en étant chez moi dans un état de conscience où j'étais connectée à l'univers, le reste du temps j'étais face à des personnes incapable de me comprendre et m'écouter, m'accepter
Je parle énormément de projection parce que j'ai envie d'être comprise, parce qu'avec les trauma c'est tout ce qui compte, correspondre dans leur esprit, par leur yeux
Parce qu'on sait que le trauma brouille le sens de soi, et empêche de se voir, d'aller à sa rencontre (sans voir d'horreurs)
Je ne serai jamais comprise comme j'ai toujours voulu l'être, j'accepte cette solitude inévitable, et de garder sous silence certaines parties invisibles à leurs yeux
Je veux casser le cycle, je ne prendrai jamais mes traumas comme une fatalité, et ça impactera chacune de mes actions jusqu'à me comprendre en moi-même et en sortir
On est le produit de son environnement, de son conditionnement, répétant en boucle nos erreurs jusqu'à ce qu'on en prenne conscience et s'en libère
Dans la douleur et le feu il faut passer, sentir ses repères fondre et se voir tel qu'on est vraiment
Je suis la seule responsable de mon malheur désormais, et je l'accepte
Je me détestais depuis toutes ces années, mais maintenant ça va mieux, grâce à cette voie
paroles
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Ha mais t'es un transexuel alors
il y a un mois
Tu veux mon zizi
J’ai été méprisé, humilié, traqué comme un chien. Et pourtant, je continue d’écrire, parce que c’est ma façon de hurler.
il y a un mois
Maintenant que j'ai lu je réponds sur le fond :
Nul n'est prophète en son pays.
Si ton environnement t'a formé, si tu as subi certains traumas, c'est que cet environnement ne te voyais pas. Et c'est probable qu'il ne puisse jamais te voir PUISQUE justement il ne t'a pas vu et c'est lui qui a été le moule de ta forme.
C'est en réaction à ces traumas que tu as développé certaines réponses pour survivre dans ton identité.
Donc effectivement, n'attends pas d'être reconnu par ta famille. Par contre, tu peux être reconnu par les autres. Tu ferais bien de changer d'environnement pour te sentir libre d'exister comme tu le ressens et de souffler. Comme si tu allais fonder un nouveau comptoir phénicien sur la Méditerranée.
Bien évidemment que ton père te juges. Mais il ne comprends pas qu'il est la cause d'une négation de ton enfant intérieur. Et que c'est par lui que tu as été obligé d'opérer un refoulement puis une expression bien moins fluide de ton intériorité, de ta féminité, de ton X.
Là où tu pouvais intégrer ton X en homme fluidement, voilà que tu dois le réinsérer à postériori pour ressentir à nouveau une part comprimée de toi. Bon bah ça se fait pas sans dommage, si je puis dire, sachant que tu es formé, donc tu n'est plus aussi "formable" qu'avant, il y a déjà eu une certaine cristallisation. L'incorporation ne peut plus se faire aussi facilement qu'avant.
Bref tu m'auras compris. L'expression de soi peut prendre énormément de forme. Une répression dans l'enfance d'une part de soi peut par la suite prendre de fait énormément de formes différentes. Celle qui semble le plus coller à l'imaginaire de l'individu je suppose.
En tout cas, si ton père a un problème avec toi, c'est qu'il a du mal à se regarder dans le miroir. Ce qu'il voit en toi le fait souffrir lui. Dans son référentiel, dans son imaginaire. De ses propres traumas. Ceux qu'il a récupéré également de son environnement enfant. Psychogénéalogie.
Nul n'est prophète en son pays.
Si ton environnement t'a formé, si tu as subi certains traumas, c'est que cet environnement ne te voyais pas. Et c'est probable qu'il ne puisse jamais te voir PUISQUE justement il ne t'a pas vu et c'est lui qui a été le moule de ta forme.
C'est en réaction à ces traumas que tu as développé certaines réponses pour survivre dans ton identité.
Donc effectivement, n'attends pas d'être reconnu par ta famille. Par contre, tu peux être reconnu par les autres. Tu ferais bien de changer d'environnement pour te sentir libre d'exister comme tu le ressens et de souffler. Comme si tu allais fonder un nouveau comptoir phénicien sur la Méditerranée.
Bien évidemment que ton père te juges. Mais il ne comprends pas qu'il est la cause d'une négation de ton enfant intérieur. Et que c'est par lui que tu as été obligé d'opérer un refoulement puis une expression bien moins fluide de ton intériorité, de ta féminité, de ton X.
Là où tu pouvais intégrer ton X en homme fluidement, voilà que tu dois le réinsérer à postériori pour ressentir à nouveau une part comprimée de toi. Bon bah ça se fait pas sans dommage, si je puis dire, sachant que tu es formé, donc tu n'est plus aussi "formable" qu'avant, il y a déjà eu une certaine cristallisation. L'incorporation ne peut plus se faire aussi facilement qu'avant.
Bref tu m'auras compris. L'expression de soi peut prendre énormément de forme. Une répression dans l'enfance d'une part de soi peut par la suite prendre de fait énormément de formes différentes. Celle qui semble le plus coller à l'imaginaire de l'individu je suppose.
En tout cas, si ton père a un problème avec toi, c'est qu'il a du mal à se regarder dans le miroir. Ce qu'il voit en toi le fait souffrir lui. Dans son référentiel, dans son imaginaire. De ses propres traumas. Ceux qu'il a récupéré également de son environnement enfant. Psychogénéalogie.
C'est très bien résumé, je cherche à créer quelque chose de solide maintenant à partir de ce que j'ai compris de moi, et ensuite me faire un nouveau cercle qui me verra
J'ai essayé longtemps de lui expliquer tout ça, il semblait comprendre, mais à l'appel suivant il re formulait des réflexions absurdes qui me négligeaient profondément
Je dois faire le deuil de cet Œdipe tourné vers le père, cherchant sa reconnaissance perpétuellement, parce que c'est peine perdue
あそびたい~つ !
J'ai essayé longtemps de lui expliquer tout ça, il semblait comprendre, mais à l'appel suivant il re formulait des réflexions absurdes qui me négligeaient profondément
Je dois faire le deuil de cet Œdipe tourné vers le père, cherchant sa reconnaissance perpétuellement, parce que c'est peine perdue
il y a un mois
Eh bien pour compenser les mauvaises ondes du padre je te condamne à faire un bon dodo cette nuit quand tes petits yeux se fermeront tout seuls
Merci kheyou
あそびたい~つ !
il y a un mois
KJ-Anima
1 mois
Enfin un topic, il y a un autre KJ qui poste sans arrêt des vieux topics et chaque fois je crois que c'est toi et je suis déçu
il y a un mois
Enfin un topic, il y a un autre KJ qui poste sans arrêt des vieux topics et chaque fois je crois que c'est toi et je suis déçu
C'est la famille
あそびたい~つ !
il y a un mois