Et ça c'est absolument certains.
Le droit du travail aux Etats-Unis est plus souple qu'en France. Il n'existe pas de limite du nombre d'heures travaillées par jour ou par semaine. La moyenne est de 40 heures par semaine
Ensuite , aucun congé payé garanti par la loi fédérale. Zéro. Que dalle. C’est pas une blague : les vacances, c’est un luxe que ton employeur peut t’accorder s’il est sympa. Résultat : la majorité des Américains se retrouvent avec 10 jours de vacances par an (et encore, souvent après un an d’ancienneté), alors que nous, en France, on en a 25 minimum par la loi. T’as à peine le temps de respirer qu’on t’attend déjà pour retourner à la chaîne.
Ensuite, y’a le délire des arrêts maladie. Pareil, rien n’est garanti au niveau fédéral. Si t’as pas un employeur qui a prévu ça, tu vas bosser malade, contagieux, en traînant la jambe, parce que t’as pas le luxe de perdre un jour de paie. Et les assurances santé ? Ne me lance même pas sur ce bordel.
Justement, le système de santé, parlons-en. C’est probablement la plus grosse dinguerie du pays. Là-bas, t’as pas de sécu comme nous. Une visite aux urgences peut littéralement te ruiner. Tu veux un enfant ? Prépare-toi à raquer des milliers de dollars. Et t’as intérêt à avoir une "bonne assurance santé" – souvent fournie par ton employeur – sinon t’es foutu. Ce qui veut dire que ton boulot est littéralement lié à ta survie. Tu te fais virer ? Tu perds ton assurance. Pas de chômage longue durée, pas de couverture universelle. La mort sociale.
Ajoute à ça la culture de l'hyperproductivité. Là-bas, c’est mal vu de partir à l’heure. Tu dois être "dévoué", "passionné", prêt à répondre à des mails à 23h. Le burn-out est quasiment institutionnalisé. Tu bosses 50 heures par semaine, sans syndicats solides pour te protéger, avec des pauses grignotées, des salaires pas forcément adaptés au coût de la vie (surtout dans les grandes villes comme New York ou San Francisco), et une pression constante pour "performer".
Et puis il y a l’insécurité de l’emploi. Le concept de "at-will employment" ? Ton patron peut te virer du jour au lendemain, sans raison, sans préavis, sans indemnités. Imagine tu fais ton taf, et un jour on te dit : "Merci, dégage." Pas besoin de justification. C’est légal. Tu veux contester ? Bonne chance, il te faudra un avocat, du fric, et beaucoup de chance.
Et ne parlons même pas du coût de la vie. Dans les grandes villes, un loyer décent coûte un rein. Le logement, les soins, les études (si t’as des gosses), tout est hors de prix. Et si tu cumules deux boulots ? Bah t’es juste un "working poor". Bosse encore plus fort, loser.
Enfin, socialement, le rapport au travail est malsain. Là-bas, ton job est ton identité. Si tu dis que t’es chômeur ou que t’as juste un "petit job", on te regarde comme si t’étais une merde. Tu n’as pas le droit d’échouer, sinon c’est forcément de ta faute. Pas de filet de sécurité, pas de pardon.
Les études ? Hors de prix la plupart des étudiants avec de gros diplômes passent leur VIE à rembourser leur crédit étudiant (ou à défaut les parents de l'étudiant)
Bonus petite vidéo sur l'hypocrisie sociale américaine :
C'est toujours amusant de voir des français penser que c'est juste "comme en Europe mais avec de plus gros salaire et des gens qui te donne des burgers gratuit" la vie ça va pas être enchaînement de barbecue avec Bench en lâchant des "USA" les cocos.
J'espère que vous avez suffisamment de côté pour ouvrir votre boîte et vite.
Le droit du travail aux Etats-Unis est plus souple qu'en France. Il n'existe pas de limite du nombre d'heures travaillées par jour ou par semaine. La moyenne est de 40 heures par semaine
Ensuite , aucun congé payé garanti par la loi fédérale. Zéro. Que dalle. C’est pas une blague : les vacances, c’est un luxe que ton employeur peut t’accorder s’il est sympa. Résultat : la majorité des Américains se retrouvent avec 10 jours de vacances par an (et encore, souvent après un an d’ancienneté), alors que nous, en France, on en a 25 minimum par la loi. T’as à peine le temps de respirer qu’on t’attend déjà pour retourner à la chaîne.
Ensuite, y’a le délire des arrêts maladie. Pareil, rien n’est garanti au niveau fédéral. Si t’as pas un employeur qui a prévu ça, tu vas bosser malade, contagieux, en traînant la jambe, parce que t’as pas le luxe de perdre un jour de paie. Et les assurances santé ? Ne me lance même pas sur ce bordel.
Justement, le système de santé, parlons-en. C’est probablement la plus grosse dinguerie du pays. Là-bas, t’as pas de sécu comme nous. Une visite aux urgences peut littéralement te ruiner. Tu veux un enfant ? Prépare-toi à raquer des milliers de dollars. Et t’as intérêt à avoir une "bonne assurance santé" – souvent fournie par ton employeur – sinon t’es foutu. Ce qui veut dire que ton boulot est littéralement lié à ta survie. Tu te fais virer ? Tu perds ton assurance. Pas de chômage longue durée, pas de couverture universelle. La mort sociale.
Ajoute à ça la culture de l'hyperproductivité. Là-bas, c’est mal vu de partir à l’heure. Tu dois être "dévoué", "passionné", prêt à répondre à des mails à 23h. Le burn-out est quasiment institutionnalisé. Tu bosses 50 heures par semaine, sans syndicats solides pour te protéger, avec des pauses grignotées, des salaires pas forcément adaptés au coût de la vie (surtout dans les grandes villes comme New York ou San Francisco), et une pression constante pour "performer".
Et puis il y a l’insécurité de l’emploi. Le concept de "at-will employment" ? Ton patron peut te virer du jour au lendemain, sans raison, sans préavis, sans indemnités. Imagine tu fais ton taf, et un jour on te dit : "Merci, dégage." Pas besoin de justification. C’est légal. Tu veux contester ? Bonne chance, il te faudra un avocat, du fric, et beaucoup de chance.
Et ne parlons même pas du coût de la vie. Dans les grandes villes, un loyer décent coûte un rein. Le logement, les soins, les études (si t’as des gosses), tout est hors de prix. Et si tu cumules deux boulots ? Bah t’es juste un "working poor". Bosse encore plus fort, loser.
Enfin, socialement, le rapport au travail est malsain. Là-bas, ton job est ton identité. Si tu dis que t’es chômeur ou que t’as juste un "petit job", on te regarde comme si t’étais une merde. Tu n’as pas le droit d’échouer, sinon c’est forcément de ta faute. Pas de filet de sécurité, pas de pardon.
Les études ? Hors de prix la plupart des étudiants avec de gros diplômes passent leur VIE à rembourser leur crédit étudiant (ou à défaut les parents de l'étudiant)
Bonus petite vidéo sur l'hypocrisie sociale américaine :
C'est toujours amusant de voir des français penser que c'est juste "comme en Europe mais avec de plus gros salaire et des gens qui te donne des burgers gratuit" la vie ça va pas être enchaînement de barbecue avec Bench en lâchant des "USA" les cocos.
J'espère que vous avez suffisamment de côté pour ouvrir votre boîte et vite.
l'op :
Tu y as vécu j’imagine?
Fondée en 1915, 890 milliards d'eurodollars de valeur monétaire, 600 000 membres. Et toi?
ils ont pas la carte vitale
La bah ya 2 fois moins de chômage pour des salaires 2/3 fois meilleur c'est ça la différence
Le droit du travail aux Etats-Unis est plus souple qu'en France. Il n'existe pas de limite du nombre d'heures travaillées par jour ou par semaine. La moyenne est de 40 heures par semaine
Ensuite , aucun congé payé garanti par la loi fédérale. Zéro. Que dalle. C’est pas une blague : les vacances, c’est un luxe que ton employeur peut t’accorder s’il est sympa. Résultat : la majorité des Américains se retrouvent avec 10 jours de vacances par an (et encore, souvent après un an d’ancienneté), alors que nous, en France, on en a 25 minimum par la loi. T’as à peine le temps de respirer qu’on t’attend déjà pour retourner à la chaîne.
Ensuite, y’a le délire des arrêts maladie. Pareil, rien n’est garanti au niveau fédéral. Si t’as pas un employeur qui a prévu ça, tu vas bosser malade, contagieux, en traînant la jambe, parce que t’as pas le luxe de perdre un jour de paie. Et les assurances santé ? Ne me lance même pas sur ce bordel.
Justement, le système de santé, parlons-en. C’est probablement la plus grosse dinguerie du pays. Là-bas, t’as pas de sécu comme nous. Une visite aux urgences peut littéralement te ruiner. Tu veux un enfant ? Prépare-toi à raquer des milliers de dollars. Et t’as intérêt à avoir une "bonne assurance santé" – souvent fournie par ton employeur – sinon t’es foutu. Ce qui veut dire que ton boulot est littéralement lié à ta survie. Tu te fais virer ? Tu perds ton assurance. Pas de chômage longue durée, pas de couverture universelle. La mort sociale.
Ajoute à ça la culture de l'hyperproductivité. Là-bas, c’est mal vu de partir à l’heure. Tu dois être "dévoué", "passionné", prêt à répondre à des mails à 23h. Le burn-out est quasiment institutionnalisé. Tu bosses 50 heures par semaine, sans syndicats solides pour te protéger, avec des pauses grignotées, des salaires pas forcément adaptés au coût de la vie (surtout dans les grandes villes comme New York ou San Francisco), et une pression constante pour "performer".
Et puis il y a l’insécurité de l’emploi. Le concept de "at-will employment" ? Ton patron peut te virer du jour au lendemain, sans raison, sans préavis, sans indemnités. Imagine tu fais ton taf, et un jour on te dit : "Merci, dégage." Pas besoin de justification. C’est légal. Tu veux contester ? Bonne chance, il te faudra un avocat, du fric, et beaucoup de chance.
Et ne parlons même pas du coût de la vie. Dans les grandes villes, un loyer décent coûte un rein. Le logement, les soins, les études (si t’as des gosses), tout est hors de prix. Et si tu cumules deux boulots ? Bah t’es juste un "working poor". Bosse encore plus fort, loser.
Enfin, socialement, le rapport au travail est malsain. Là-bas, ton job est ton identité. Si tu dis que t’es chômeur ou que t’as juste un "petit job", on te regarde comme si t’étais une merde. Tu n’as pas le droit d’échouer, sinon c’est forcément de ta faute. Pas de filet de sécurité, pas de pardon.
Les études ? Hors de prix la plupart des étudiants avec de gros diplômes passent leur VIE à rembourser leur crédit étudiant (ou à défaut les parents de l'étudiant)
C'est toujours amusant de voir des français penser que c'est juste "comme en Europe mais avec de plus gros salaire et des gens qui te donne des burgers gratuit" la vie ça va pas être enchaînement de barbecue avec Bench les cocos.
Ensuite , aucun congé payé garanti par la loi fédérale. Zéro. Que dalle. C’est pas une blague : les vacances, c’est un luxe que ton employeur peut t’accorder s’il est sympa. Résultat : la majorité des Américains se retrouvent avec 10 jours de vacances par an (et encore, souvent après un an d’ancienneté), alors que nous, en France, on en a 25 minimum par la loi. T’as à peine le temps de respirer qu’on t’attend déjà pour retourner à la chaîne.
Ensuite, y’a le délire des arrêts maladie. Pareil, rien n’est garanti au niveau fédéral. Si t’as pas un employeur qui a prévu ça, tu vas bosser malade, contagieux, en traînant la jambe, parce que t’as pas le luxe de perdre un jour de paie. Et les assurances santé ? Ne me lance même pas sur ce bordel.
Justement, le système de santé, parlons-en. C’est probablement la plus grosse dinguerie du pays. Là-bas, t’as pas de sécu comme nous. Une visite aux urgences peut littéralement te ruiner. Tu veux un enfant ? Prépare-toi à raquer des milliers de dollars. Et t’as intérêt à avoir une "bonne assurance santé" – souvent fournie par ton employeur – sinon t’es foutu. Ce qui veut dire que ton boulot est littéralement lié à ta survie. Tu te fais virer ? Tu perds ton assurance. Pas de chômage longue durée, pas de couverture universelle. La mort sociale.
Ajoute à ça la culture de l'hyperproductivité. Là-bas, c’est mal vu de partir à l’heure. Tu dois être "dévoué", "passionné", prêt à répondre à des mails à 23h. Le burn-out est quasiment institutionnalisé. Tu bosses 50 heures par semaine, sans syndicats solides pour te protéger, avec des pauses grignotées, des salaires pas forcément adaptés au coût de la vie (surtout dans les grandes villes comme New York ou San Francisco), et une pression constante pour "performer".
Et puis il y a l’insécurité de l’emploi. Le concept de "at-will employment" ? Ton patron peut te virer du jour au lendemain, sans raison, sans préavis, sans indemnités. Imagine tu fais ton taf, et un jour on te dit : "Merci, dégage." Pas besoin de justification. C’est légal. Tu veux contester ? Bonne chance, il te faudra un avocat, du fric, et beaucoup de chance.
Et ne parlons même pas du coût de la vie. Dans les grandes villes, un loyer décent coûte un rein. Le logement, les soins, les études (si t’as des gosses), tout est hors de prix. Et si tu cumules deux boulots ? Bah t’es juste un "working poor". Bosse encore plus fort, loser.
Enfin, socialement, le rapport au travail est malsain. Là-bas, ton job est ton identité. Si tu dis que t’es chômeur ou que t’as juste un "petit job", on te regarde comme si t’étais une merde. Tu n’as pas le droit d’échouer, sinon c’est forcément de ta faute. Pas de filet de sécurité, pas de pardon.
Les études ? Hors de prix la plupart des étudiants avec de gros diplômes passent leur VIE à rembourser leur crédit étudiant (ou à défaut les parents de l'étudiant)
C'est toujours amusant de voir des français penser que c'est juste "comme en Europe mais avec de plus gros salaire et des gens qui te donne des burgers gratuit" la vie ça va pas être enchaînement de barbecue avec Bench les cocos.
Le droit du travail aux Etats-Unis est plus souple qu'en France. Il n'existe pas de limite du nombre d'heures travaillées par jour ou par semaine. La moyenne est de 40 heures par semaine
Ensuite , aucun congé payé garanti par la loi fédérale. Zéro. Que dalle. C’est pas une blague : les vacances, c’est un luxe que ton employeur peut t’accorder s’il est sympa. Résultat : la majorité des Américains se retrouvent avec 10 jours de vacances par an (et encore, souvent après un an d’ancienneté), alors que nous, en France, on en a 25 minimum par la loi. T’as à peine le temps de respirer qu’on t’attend déjà pour retourner à la chaîne.
Ensuite, y’a le délire des arrêts maladie. Pareil, rien n’est garanti au niveau fédéral. Si t’as pas un employeur qui a prévu ça, tu vas bosser malade, contagieux, en traînant la jambe, parce que t’as pas le luxe de perdre un jour de paie. Et les assurances santé ? Ne me lance même pas sur ce bordel.
Justement, le système de santé, parlons-en. C’est probablement la plus grosse dinguerie du pays. Là-bas, t’as pas de sécu comme nous. Une visite aux urgences peut littéralement te ruiner. Tu veux un enfant ? Prépare-toi à raquer des milliers de dollars. Et t’as intérêt à avoir une "bonne assurance santé" – souvent fournie par ton employeur – sinon t’es foutu. Ce qui veut dire que ton boulot est littéralement lié à ta survie. Tu te fais virer ? Tu perds ton assurance. Pas de chômage longue durée, pas de couverture universelle. La mort sociale.
Ajoute à ça la culture de l'hyperproductivité. Là-bas, c’est mal vu de partir à l’heure. Tu dois être "dévoué", "passionné", prêt à répondre à des mails à 23h. Le burn-out est quasiment institutionnalisé. Tu bosses 50 heures par semaine, sans syndicats solides pour te protéger, avec des pauses grignotées, des salaires pas forcément adaptés au coût de la vie (surtout dans les grandes villes comme New York ou San Francisco), et une pression constante pour "performer".
Et puis il y a l’insécurité de l’emploi. Le concept de "at-will employment" ? Ton patron peut te virer du jour au lendemain, sans raison, sans préavis, sans indemnités. Imagine tu fais ton taf, et un jour on te dit : "Merci, dégage." Pas besoin de justification. C’est légal. Tu veux contester ? Bonne chance, il te faudra un avocat, du fric, et beaucoup de chance.
Et ne parlons même pas du coût de la vie. Dans les grandes villes, un loyer décent coûte un rein. Le logement, les soins, les études (si t’as des gosses), tout est hors de prix. Et si tu cumules deux boulots ? Bah t’es juste un "working poor". Bosse encore plus fort, loser.
Enfin, socialement, le rapport au travail est malsain. Là-bas, ton job est ton identité. Si tu dis que t’es chômeur ou que t’as juste un "petit job", on te regarde comme si t’étais une merde. Tu n’as pas le droit d’échouer, sinon c’est forcément de ta faute. Pas de filet de sécurité, pas de pardon.
Les études ? Hors de prix la plupart des étudiants avec de gros diplômes passent leur VIE à rembourser leur crédit étudiant (ou à défaut les parents de l'étudiant)
C'est toujours amusant de voir des français penser que c'est juste "comme en Europe mais avec de plus gros salaire et des gens qui te donne des burgers gratuit" la vie ça va pas être enchaînement de barbecue avec Bench les cocos.
Ensuite , aucun congé payé garanti par la loi fédérale. Zéro. Que dalle. C’est pas une blague : les vacances, c’est un luxe que ton employeur peut t’accorder s’il est sympa. Résultat : la majorité des Américains se retrouvent avec 10 jours de vacances par an (et encore, souvent après un an d’ancienneté), alors que nous, en France, on en a 25 minimum par la loi. T’as à peine le temps de respirer qu’on t’attend déjà pour retourner à la chaîne.
Ensuite, y’a le délire des arrêts maladie. Pareil, rien n’est garanti au niveau fédéral. Si t’as pas un employeur qui a prévu ça, tu vas bosser malade, contagieux, en traînant la jambe, parce que t’as pas le luxe de perdre un jour de paie. Et les assurances santé ? Ne me lance même pas sur ce bordel.
Justement, le système de santé, parlons-en. C’est probablement la plus grosse dinguerie du pays. Là-bas, t’as pas de sécu comme nous. Une visite aux urgences peut littéralement te ruiner. Tu veux un enfant ? Prépare-toi à raquer des milliers de dollars. Et t’as intérêt à avoir une "bonne assurance santé" – souvent fournie par ton employeur – sinon t’es foutu. Ce qui veut dire que ton boulot est littéralement lié à ta survie. Tu te fais virer ? Tu perds ton assurance. Pas de chômage longue durée, pas de couverture universelle. La mort sociale.
Ajoute à ça la culture de l'hyperproductivité. Là-bas, c’est mal vu de partir à l’heure. Tu dois être "dévoué", "passionné", prêt à répondre à des mails à 23h. Le burn-out est quasiment institutionnalisé. Tu bosses 50 heures par semaine, sans syndicats solides pour te protéger, avec des pauses grignotées, des salaires pas forcément adaptés au coût de la vie (surtout dans les grandes villes comme New York ou San Francisco), et une pression constante pour "performer".
Et puis il y a l’insécurité de l’emploi. Le concept de "at-will employment" ? Ton patron peut te virer du jour au lendemain, sans raison, sans préavis, sans indemnités. Imagine tu fais ton taf, et un jour on te dit : "Merci, dégage." Pas besoin de justification. C’est légal. Tu veux contester ? Bonne chance, il te faudra un avocat, du fric, et beaucoup de chance.
Et ne parlons même pas du coût de la vie. Dans les grandes villes, un loyer décent coûte un rein. Le logement, les soins, les études (si t’as des gosses), tout est hors de prix. Et si tu cumules deux boulots ? Bah t’es juste un "working poor". Bosse encore plus fort, loser.
Enfin, socialement, le rapport au travail est malsain. Là-bas, ton job est ton identité. Si tu dis que t’es chômeur ou que t’as juste un "petit job", on te regarde comme si t’étais une merde. Tu n’as pas le droit d’échouer, sinon c’est forcément de ta faute. Pas de filet de sécurité, pas de pardon.
Les études ? Hors de prix la plupart des étudiants avec de gros diplômes passent leur VIE à rembourser leur crédit étudiant (ou à défaut les parents de l'étudiant)
C'est toujours amusant de voir des français penser que c'est juste "comme en Europe mais avec de plus gros salaire et des gens qui te donne des burgers gratuit" la vie ça va pas être enchaînement de barbecue avec Bench les cocos.
Le dream
KWAK ???
Le droit du travail aux Etats-Unis est plus souple qu'en France. Il n'existe pas de limite du nombre d'heures travaillées par jour ou par semaine. La moyenne est de 40 heures par semaine
Ensuite , aucun congé payé garanti par la loi fédérale. Zéro. Que dalle. C’est pas une blague : les vacances, c’est un luxe que ton employeur peut t’accorder s’il est sympa. Résultat : la majorité des Américains se retrouvent avec 10 jours de vacances par an (et encore, souvent après un an d’ancienneté), alors que nous, en France, on en a 25 minimum par la loi. T’as à peine le temps de respirer qu’on t’attend déjà pour retourner à la chaîne.
Ensuite, y’a le délire des arrêts maladie. Pareil, rien n’est garanti au niveau fédéral. Si t’as pas un employeur qui a prévu ça, tu vas bosser malade, contagieux, en traînant la jambe, parce que t’as pas le luxe de perdre un jour de paie. Et les assurances santé ? Ne me lance même pas sur ce bordel.
Justement, le système de santé, parlons-en. C’est probablement la plus grosse dinguerie du pays. Là-bas, t’as pas de sécu comme nous. Une visite aux urgences peut littéralement te ruiner. Tu veux un enfant ? Prépare-toi à raquer des milliers de dollars. Et t’as intérêt à avoir une "bonne assurance santé" – souvent fournie par ton employeur – sinon t’es foutu. Ce qui veut dire que ton boulot est littéralement lié à ta survie. Tu te fais virer ? Tu perds ton assurance. Pas de chômage longue durée, pas de couverture universelle. La mort sociale.
Ajoute à ça la culture de l'hyperproductivité. Là-bas, c’est mal vu de partir à l’heure. Tu dois être "dévoué", "passionné", prêt à répondre à des mails à 23h. Le burn-out est quasiment institutionnalisé. Tu bosses 50 heures par semaine, sans syndicats solides pour te protéger, avec des pauses grignotées, des salaires pas forcément adaptés au coût de la vie (surtout dans les grandes villes comme New York ou San Francisco), et une pression constante pour "performer".
Et puis il y a l’insécurité de l’emploi. Le concept de "at-will employment" ? Ton patron peut te virer du jour au lendemain, sans raison, sans préavis, sans indemnités. Imagine tu fais ton taf, et un jour on te dit : "Merci, dégage." Pas besoin de justification. C’est légal. Tu veux contester ? Bonne chance, il te faudra un avocat, du fric, et beaucoup de chance.
Et ne parlons même pas du coût de la vie. Dans les grandes villes, un loyer décent coûte un rein. Le logement, les soins, les études (si t’as des gosses), tout est hors de prix. Et si tu cumules deux boulots ? Bah t’es juste un "working poor". Bosse encore plus fort, loser.
Enfin, socialement, le rapport au travail est malsain. Là-bas, ton job est ton identité. Si tu dis que t’es chômeur ou que t’as juste un "petit job", on te regarde comme si t’étais une merde. Tu n’as pas le droit d’échouer, sinon c’est forcément de ta faute. Pas de filet de sécurité, pas de pardon.
Les études ? Hors de prix la plupart des étudiants avec de gros diplômes passent leur VIE à rembourser leur crédit étudiant (ou à défaut les parents de l'étudiant)
C'est toujours amusant de voir des français penser que c'est juste "comme en Europe mais avec de plus gros salaire et des gens qui te donne des burgers gratuit" la vie ça va pas être enchaînement de barbecue avec Bench les cocos.
Ensuite , aucun congé payé garanti par la loi fédérale. Zéro. Que dalle. C’est pas une blague : les vacances, c’est un luxe que ton employeur peut t’accorder s’il est sympa. Résultat : la majorité des Américains se retrouvent avec 10 jours de vacances par an (et encore, souvent après un an d’ancienneté), alors que nous, en France, on en a 25 minimum par la loi. T’as à peine le temps de respirer qu’on t’attend déjà pour retourner à la chaîne.
Ensuite, y’a le délire des arrêts maladie. Pareil, rien n’est garanti au niveau fédéral. Si t’as pas un employeur qui a prévu ça, tu vas bosser malade, contagieux, en traînant la jambe, parce que t’as pas le luxe de perdre un jour de paie. Et les assurances santé ? Ne me lance même pas sur ce bordel.
Justement, le système de santé, parlons-en. C’est probablement la plus grosse dinguerie du pays. Là-bas, t’as pas de sécu comme nous. Une visite aux urgences peut littéralement te ruiner. Tu veux un enfant ? Prépare-toi à raquer des milliers de dollars. Et t’as intérêt à avoir une "bonne assurance santé" – souvent fournie par ton employeur – sinon t’es foutu. Ce qui veut dire que ton boulot est littéralement lié à ta survie. Tu te fais virer ? Tu perds ton assurance. Pas de chômage longue durée, pas de couverture universelle. La mort sociale.
Ajoute à ça la culture de l'hyperproductivité. Là-bas, c’est mal vu de partir à l’heure. Tu dois être "dévoué", "passionné", prêt à répondre à des mails à 23h. Le burn-out est quasiment institutionnalisé. Tu bosses 50 heures par semaine, sans syndicats solides pour te protéger, avec des pauses grignotées, des salaires pas forcément adaptés au coût de la vie (surtout dans les grandes villes comme New York ou San Francisco), et une pression constante pour "performer".
Et puis il y a l’insécurité de l’emploi. Le concept de "at-will employment" ? Ton patron peut te virer du jour au lendemain, sans raison, sans préavis, sans indemnités. Imagine tu fais ton taf, et un jour on te dit : "Merci, dégage." Pas besoin de justification. C’est légal. Tu veux contester ? Bonne chance, il te faudra un avocat, du fric, et beaucoup de chance.
Et ne parlons même pas du coût de la vie. Dans les grandes villes, un loyer décent coûte un rein. Le logement, les soins, les études (si t’as des gosses), tout est hors de prix. Et si tu cumules deux boulots ? Bah t’es juste un "working poor". Bosse encore plus fort, loser.
Enfin, socialement, le rapport au travail est malsain. Là-bas, ton job est ton identité. Si tu dis que t’es chômeur ou que t’as juste un "petit job", on te regarde comme si t’étais une merde. Tu n’as pas le droit d’échouer, sinon c’est forcément de ta faute. Pas de filet de sécurité, pas de pardon.
Les études ? Hors de prix la plupart des étudiants avec de gros diplômes passent leur VIE à rembourser leur crédit étudiant (ou à défaut les parents de l'étudiant)
C'est toujours amusant de voir des français penser que c'est juste "comme en Europe mais avec de plus gros salaire et des gens qui te donne des burgers gratuit" la vie ça va pas être enchaînement de barbecue avec Bench les cocos.
J'ai déjà fait du 48h /semaine, du moment que tout est payé ça va
Même la , salarié de grand groupe mais à quel poste ? Pour quel type d'emploi ? Combien de personne y ont accès ? Car pas les memes avantages + les congés sans soldes peuvent être refusés.
La majorité des Américains douille SEC
99% des gens ici ne sont pas des cadres à gros diplômes
La majorité des Américains douille SEC
99% des gens ici ne sont pas des cadres à gros diplômes
J'ai déjà fait du 48h /semaine, du moment que tout est payé ça va
Facile à dire quand on fait ça temporairement
Sur 5 ans ?
Sur 10 ans ?
Sur 15 ans ?
Sur 5 ans ?
Sur 10 ans ?
Sur 15 ans ?
J'ai des amis la bas qui y taff
Petit complément :
à part les paysages, le pays me fait peur
es spukt hier
à part les paysages, le pays me fait peur
Très beau paysage il est vrai.