Breton d’ultra droite !! #FreePalestine
J'ai des amis la bas qui y taff
T'en a un qui est "ingénieur en informatique" , un autre qui bosse dans l'import/Export et l'autre je me rappelle plus trop, un truc de bureaucrate à la con.
Il y a l'obamacare si tu es 0 tout
À part ça les assurances santé ça a l'air d'être le bordel, le truc c'est que en plus selon ton type d'assurance tu es pas forcément remboursé à 100%, donc si tu chopes un cancer et que ça coûte 1 million de dollar pour te soigner, même si 90% est couvert, si tu dois raquer le reste ça te nique ton épargne ou si tu peux pas payer tu es baisé
À part ça les assurances santé ça a l'air d'être le bordel, le truc c'est que en plus selon ton type d'assurance tu es pas forcément remboursé à 100%, donc si tu chopes un cancer et que ça coûte 1 million de dollar pour te soigner, même si 90% est couvert, si tu dois raquer le reste ça te nique ton épargne ou si tu peux pas payer tu es baisé
Il y a l'obamacare si tu es 0 tout
À part ça les assurances santé ça a l'air d'être le bordel, le truc c'est que en plus selon ton type d'assurance tu es pas forcément remboursé à 100%, donc si tu chopes un cancer et que ça coûte 1 million de dollar pour te soigner, même si 90% est couvert, si tu dois raquer le reste ça te nique ton épargne ou si tu peux pas payer tu es baisé
À part ça les assurances santé ça a l'air d'être le bordel, le truc c'est que en plus selon ton type d'assurance tu es pas forcément remboursé à 100%, donc si tu chopes un cancer et que ça coûte 1 million de dollar pour te soigner, même si 90% est couvert, si tu dois raquer le reste ça te nique ton épargne ou si tu peux pas payer tu es baisé
Et ça c'est absolument certains.
Le droit du travail aux Etats-Unis est plus souple qu'en France. Il n'existe pas de limite du nombre d'heures travaillées par jour ou par semaine. La moyenne est de 40 heures par semaine
Ensuite , aucun congé payé garanti par la loi fédérale. Zéro. Que dalle. C’est pas une blague : les vacances, c’est un luxe que ton employeur peut t’accorder s’il est sympa. Résultat : la majorité des Américains se retrouvent avec 10 jours de vacances par an (et encore, souvent après un an d’ancienneté), alors que nous, en France, on en a 25 minimum par la loi. T’as à peine le temps de respirer qu’on t’attend déjà pour retourner à la chaîne.
Ensuite, y’a le délire des arrêts maladie. Pareil, rien n’est garanti au niveau fédéral. Si t’as pas un employeur qui a prévu ça, tu vas bosser malade, contagieux, en traînant la jambe, parce que t’as pas le luxe de perdre un jour de paie. Et les assurances santé ? Ne me lance même pas sur ce bordel.
Justement, le système de santé, parlons-en. C’est probablement la plus grosse dinguerie du pays. Là-bas, t’as pas de sécu comme nous. Une visite aux urgences peut littéralement te ruiner. Tu veux un enfant ? Prépare-toi à raquer des milliers de dollars. Et t’as intérêt à avoir une "bonne assurance santé" – souvent fournie par ton employeur – sinon t’es foutu. Ce qui veut dire que ton boulot est littéralement lié à ta survie. Tu te fais virer ? Tu perds ton assurance. Pas de chômage longue durée, pas de couverture universelle. La mort sociale.
Ajoute à ça la culture de l'hyperproductivité. Là-bas, c’est mal vu de partir à l’heure. Tu dois être "dévoué", "passionné", prêt à répondre à des mails à 23h. Le burn-out est quasiment institutionnalisé. Tu bosses 50 heures par semaine, sans syndicats solides pour te protéger, avec des pauses grignotées, des salaires pas forcément adaptés au coût de la vie (surtout dans les grandes villes comme New York ou San Francisco), et une pression constante pour "performer".
Et puis il y a l’insécurité de l’emploi. Le concept de "at-will employment" ? Ton patron peut te virer du jour au lendemain, sans raison, sans préavis, sans indemnités. Imagine tu fais ton taf, et un jour on te dit : "Merci, dégage." Pas besoin de justification. C’est légal. Tu veux contester ? Bonne chance, il te faudra un avocat, du fric, et beaucoup de chance.
Et ne parlons même pas du coût de la vie. Dans les grandes villes, un loyer décent coûte un rein. Le logement, les soins, les études (si t’as des gosses), tout est hors de prix. Et si tu cumules deux boulots ? Bah t’es juste un "working poor". Bosse encore plus fort, loser.
Enfin, socialement, le rapport au travail est malsain. Là-bas, ton job est ton identité. Si tu dis que t’es chômeur ou que t’as juste un "petit job", on te regarde comme si t’étais une merde. Tu n’as pas le droit d’échouer, sinon c’est forcément de ta faute. Pas de filet de sécurité, pas de pardon.
Les études ? Hors de prix la plupart des étudiants avec de gros diplômes passent leur VIE à rembourser leur crédit étudiant (ou à défaut les parents de l'étudiant)
Bonus petite vidéo sur l'hypocrisie sociale américaine :
C'est toujours amusant de voir des français penser que c'est juste "comme en Europe mais avec de plus gros salaire et des gens qui te donne des burgers gratuit" la vie ça va pas être enchaînement de barbecue avec Bench en lâchant des "USA" les cocos.
J'espère que vous avez suffisamment de côté pour ouvrir votre boîte et vite.
Le droit du travail aux Etats-Unis est plus souple qu'en France. Il n'existe pas de limite du nombre d'heures travaillées par jour ou par semaine. La moyenne est de 40 heures par semaine
Ensuite , aucun congé payé garanti par la loi fédérale. Zéro. Que dalle. C’est pas une blague : les vacances, c’est un luxe que ton employeur peut t’accorder s’il est sympa. Résultat : la majorité des Américains se retrouvent avec 10 jours de vacances par an (et encore, souvent après un an d’ancienneté), alors que nous, en France, on en a 25 minimum par la loi. T’as à peine le temps de respirer qu’on t’attend déjà pour retourner à la chaîne.
Ensuite, y’a le délire des arrêts maladie. Pareil, rien n’est garanti au niveau fédéral. Si t’as pas un employeur qui a prévu ça, tu vas bosser malade, contagieux, en traînant la jambe, parce que t’as pas le luxe de perdre un jour de paie. Et les assurances santé ? Ne me lance même pas sur ce bordel.
Justement, le système de santé, parlons-en. C’est probablement la plus grosse dinguerie du pays. Là-bas, t’as pas de sécu comme nous. Une visite aux urgences peut littéralement te ruiner. Tu veux un enfant ? Prépare-toi à raquer des milliers de dollars. Et t’as intérêt à avoir une "bonne assurance santé" – souvent fournie par ton employeur – sinon t’es foutu. Ce qui veut dire que ton boulot est littéralement lié à ta survie. Tu te fais virer ? Tu perds ton assurance. Pas de chômage longue durée, pas de couverture universelle. La mort sociale.
Ajoute à ça la culture de l'hyperproductivité. Là-bas, c’est mal vu de partir à l’heure. Tu dois être "dévoué", "passionné", prêt à répondre à des mails à 23h. Le burn-out est quasiment institutionnalisé. Tu bosses 50 heures par semaine, sans syndicats solides pour te protéger, avec des pauses grignotées, des salaires pas forcément adaptés au coût de la vie (surtout dans les grandes villes comme New York ou San Francisco), et une pression constante pour "performer".
Et puis il y a l’insécurité de l’emploi. Le concept de "at-will employment" ? Ton patron peut te virer du jour au lendemain, sans raison, sans préavis, sans indemnités. Imagine tu fais ton taf, et un jour on te dit : "Merci, dégage." Pas besoin de justification. C’est légal. Tu veux contester ? Bonne chance, il te faudra un avocat, du fric, et beaucoup de chance.
Et ne parlons même pas du coût de la vie. Dans les grandes villes, un loyer décent coûte un rein. Le logement, les soins, les études (si t’as des gosses), tout est hors de prix. Et si tu cumules deux boulots ? Bah t’es juste un "working poor". Bosse encore plus fort, loser.
Enfin, socialement, le rapport au travail est malsain. Là-bas, ton job est ton identité. Si tu dis que t’es chômeur ou que t’as juste un "petit job", on te regarde comme si t’étais une merde. Tu n’as pas le droit d’échouer, sinon c’est forcément de ta faute. Pas de filet de sécurité, pas de pardon.
Les études ? Hors de prix la plupart des étudiants avec de gros diplômes passent leur VIE à rembourser leur crédit étudiant (ou à défaut les parents de l'étudiant)
Bonus petite vidéo sur l'hypocrisie sociale américaine :
C'est toujours amusant de voir des français penser que c'est juste "comme en Europe mais avec de plus gros salaire et des gens qui te donne des burgers gratuit" la vie ça va pas être enchaînement de barbecue avec Bench en lâchant des "USA" les cocos.
J'espère que vous avez suffisamment de côté pour ouvrir votre boîte et vite.
ici on trouve pas de travail
l ideal serait un entre les 2
l ideal serait un entre les 2
L'auteur n'a clairement jamais mis les pieds aux Etats-Unis
Et ça c'est absolument certains.
Le droit du travail aux Etats-Unis est plus souple qu'en France. Il n'existe pas de limite du nombre d'heures travaillées par jour ou par semaine. La moyenne est de 40 heures par semaine
Ensuite , aucun congé payé garanti par la loi fédérale. Zéro. Que dalle. C’est pas une blague : les vacances, c’est un luxe que ton employeur peut t’accorder s’il est sympa. Résultat : la majorité des Américains se retrouvent avec 10 jours de vacances par an (et encore, souvent après un an d’ancienneté), alors que nous, en France, on en a 25 minimum par la loi. T’as à peine le temps de respirer qu’on t’attend déjà pour retourner à la chaîne.
Ensuite, y’a le délire des arrêts maladie. Pareil, rien n’est garanti au niveau fédéral. Si t’as pas un employeur qui a prévu ça, tu vas bosser malade, contagieux, en traînant la jambe, parce que t’as pas le luxe de perdre un jour de paie. Et les assurances santé ? Ne me lance même pas sur ce bordel.
Justement, le système de santé, parlons-en. C’est probablement la plus grosse dinguerie du pays. Là-bas, t’as pas de sécu comme nous. Une visite aux urgences peut littéralement te ruiner. Tu veux un enfant ? Prépare-toi à raquer des milliers de dollars. Et t’as intérêt à avoir une "bonne assurance santé" – souvent fournie par ton employeur – sinon t’es foutu. Ce qui veut dire que ton boulot est littéralement lié à ta survie. Tu te fais virer ? Tu perds ton assurance. Pas de chômage longue durée, pas de couverture universelle. La mort sociale.
Ajoute à ça la culture de l'hyperproductivité. Là-bas, c’est mal vu de partir à l’heure. Tu dois être "dévoué", "passionné", prêt à répondre à des mails à 23h. Le burn-out est quasiment institutionnalisé. Tu bosses 50 heures par semaine, sans syndicats solides pour te protéger, avec des pauses grignotées, des salaires pas forcément adaptés au coût de la vie (surtout dans les grandes villes comme New York ou San Francisco), et une pression constante pour "performer".
Et puis il y a l’insécurité de l’emploi. Le concept de "at-will employment" ? Ton patron peut te virer du jour au lendemain, sans raison, sans préavis, sans indemnités. Imagine tu fais ton taf, et un jour on te dit : "Merci, dégage." Pas besoin de justification. C’est légal. Tu veux contester ? Bonne chance, il te faudra un avocat, du fric, et beaucoup de chance.
Et ne parlons même pas du coût de la vie. Dans les grandes villes, un loyer décent coûte un rein. Le logement, les soins, les études (si t’as des gosses), tout est hors de prix. Et si tu cumules deux boulots ? Bah t’es juste un "working poor". Bosse encore plus fort, loser.
Enfin, socialement, le rapport au travail est malsain. Là-bas, ton job est ton identité. Si tu dis que t’es chômeur ou que t’as juste un "petit job", on te regarde comme si t’étais une merde. Tu n’as pas le droit d’échouer, sinon c’est forcément de ta faute. Pas de filet de sécurité, pas de pardon.
Les études ? Hors de prix la plupart des étudiants avec de gros diplômes passent leur VIE à rembourser leur crédit étudiant (ou à défaut les parents de l'étudiant)
Bonus petite vidéo sur l'hypocrisie sociale américaine :
C'est toujours amusant de voir des français penser que c'est juste "comme en Europe mais avec de plus gros salaire et des gens qui te donne des burgers gratuit" la vie ça va pas être enchaînement de barbecue avec Bench en lâchant des "USA" les cocos.
J'espère que vous avez suffisamment de côté pour ouvrir votre boîte et vite.
Le droit du travail aux Etats-Unis est plus souple qu'en France. Il n'existe pas de limite du nombre d'heures travaillées par jour ou par semaine. La moyenne est de 40 heures par semaine
Ensuite , aucun congé payé garanti par la loi fédérale. Zéro. Que dalle. C’est pas une blague : les vacances, c’est un luxe que ton employeur peut t’accorder s’il est sympa. Résultat : la majorité des Américains se retrouvent avec 10 jours de vacances par an (et encore, souvent après un an d’ancienneté), alors que nous, en France, on en a 25 minimum par la loi. T’as à peine le temps de respirer qu’on t’attend déjà pour retourner à la chaîne.
Ensuite, y’a le délire des arrêts maladie. Pareil, rien n’est garanti au niveau fédéral. Si t’as pas un employeur qui a prévu ça, tu vas bosser malade, contagieux, en traînant la jambe, parce que t’as pas le luxe de perdre un jour de paie. Et les assurances santé ? Ne me lance même pas sur ce bordel.
Justement, le système de santé, parlons-en. C’est probablement la plus grosse dinguerie du pays. Là-bas, t’as pas de sécu comme nous. Une visite aux urgences peut littéralement te ruiner. Tu veux un enfant ? Prépare-toi à raquer des milliers de dollars. Et t’as intérêt à avoir une "bonne assurance santé" – souvent fournie par ton employeur – sinon t’es foutu. Ce qui veut dire que ton boulot est littéralement lié à ta survie. Tu te fais virer ? Tu perds ton assurance. Pas de chômage longue durée, pas de couverture universelle. La mort sociale.
Ajoute à ça la culture de l'hyperproductivité. Là-bas, c’est mal vu de partir à l’heure. Tu dois être "dévoué", "passionné", prêt à répondre à des mails à 23h. Le burn-out est quasiment institutionnalisé. Tu bosses 50 heures par semaine, sans syndicats solides pour te protéger, avec des pauses grignotées, des salaires pas forcément adaptés au coût de la vie (surtout dans les grandes villes comme New York ou San Francisco), et une pression constante pour "performer".
Et puis il y a l’insécurité de l’emploi. Le concept de "at-will employment" ? Ton patron peut te virer du jour au lendemain, sans raison, sans préavis, sans indemnités. Imagine tu fais ton taf, et un jour on te dit : "Merci, dégage." Pas besoin de justification. C’est légal. Tu veux contester ? Bonne chance, il te faudra un avocat, du fric, et beaucoup de chance.
Et ne parlons même pas du coût de la vie. Dans les grandes villes, un loyer décent coûte un rein. Le logement, les soins, les études (si t’as des gosses), tout est hors de prix. Et si tu cumules deux boulots ? Bah t’es juste un "working poor". Bosse encore plus fort, loser.
Enfin, socialement, le rapport au travail est malsain. Là-bas, ton job est ton identité. Si tu dis que t’es chômeur ou que t’as juste un "petit job", on te regarde comme si t’étais une merde. Tu n’as pas le droit d’échouer, sinon c’est forcément de ta faute. Pas de filet de sécurité, pas de pardon.
Les études ? Hors de prix la plupart des étudiants avec de gros diplômes passent leur VIE à rembourser leur crédit étudiant (ou à défaut les parents de l'étudiant)
Bonus petite vidéo sur l'hypocrisie sociale américaine :
C'est toujours amusant de voir des français penser que c'est juste "comme en Europe mais avec de plus gros salaire et des gens qui te donne des burgers gratuit" la vie ça va pas être enchaînement de barbecue avec Bench en lâchant des "USA" les cocos.
J'espère que vous avez suffisamment de côté pour ouvrir votre boîte et vite.
C'est pour ça qu'ils s'intéressent à la finance... Qui est une énorme pyramide de ponzi en vrai, avec des situations de volatilité qui ne profitent in fine qu'à ceux qui ont le plus gros capital de départ avec des délits d'initié d'enculin, et les autorités des marchés financiers totalement corrompues comme on a pu le voir avec le dénouement de l'affaire gamestop
Les US, avec l'Inde et certains pays d'Afrique, je veux pas y aller parce qu'on y trouve des formes de misère assez poussées à côté de fortunes indécentes
Si ce pays n'avait pas les deux premiers amendements, ce serait l'ultime bastion du NWO, aka la connivence d'un État voyou et d'entreprises aux visées totalitaires
Les US, avec l'Inde et certains pays d'Afrique, je veux pas y aller parce qu'on y trouve des formes de misère assez poussées à côté de fortunes indécentes
C'est pour ça qu'ils s'intéressent à la finance... Qui est une énorme pyramide de ponzi en vrai, avec des situations de volatilité qui ne profitent in fine qu'à ceux qui ont le plus gros capital de départ avec des délits d'initié d'enculin, et les autorités des marchés financiers totalement corrompues comme on a pu le voir avec le dénouement de l'affaire gamestop
Les US, avec l'Inde et certains pays d'Afrique, je veux pas y aller parce qu'on y trouve des formes de misère assez poussées à côté de fortunes indécentes
Si ce pays n'avait pas les deux premiers amendements, ce serait l'ultime bastion du NWO, aka la connivence d'un État voyou et d'entreprises aux visées totalitaires
Les US, avec l'Inde et certains pays d'Afrique, je veux pas y aller parce qu'on y trouve des formes de misère assez poussées à côté de fortunes indécentes
Le juste millieu s'apparente à la suisse.
l'op ce golem qui ressort tous les poncifs
-"la france à un meilleur system de santé"
mais putain en france on prend la moitié de ta paye pour financer la sécu et tu crèves sur le branquard dans le couloir de l'hopital entouré de négros
-"la france à un meilleur system de santé"
mais putain en france on prend la moitié de ta paye pour financer la sécu et tu crèves sur le branquard dans le couloir de l'hopital entouré de négros
Facile à dire quand on fait ça temporairement
Sur 5 ans ?
Sur 10 ans ?
Sur 15 ans ?
Sur 5 ans ?
Sur 10 ans ?
Sur 15 ans ?
Non, je ne me fais pas ghoster aux usa.
J'ai gardé mes amis rencontré aux usa et ils m'ont déjà invité chez eux pour des vacances
Après c'est sur il faut pas avoir la mentalité française en mode :
Je critique tout
Je suis malpoli
J'ai toujours raison
Mon pays est le meilleur en absolument tout
J'ai pas de savoir vivre
Et je suis mean
Si t'es gentil, agréable et souriant les américains t'adorent.
La bas ça marchent pas la mentalité de critiquer tout ce qui bouge c'est très mal vu d'être mean
:
diagnostiqué INTJ-T au grand dam de certains
J'ai gardé mes amis rencontré aux usa et ils m'ont déjà invité chez eux pour des vacances
Après c'est sur il faut pas avoir la mentalité française en mode :
Je critique tout
Je suis malpoli
J'ai toujours raison
Mon pays est le meilleur en absolument tout
J'ai pas de savoir vivre
Et je suis mean
Si t'es gentil, agréable et souriant les américains t'adorent.
La bas ça marchent pas la mentalité de critiquer tout ce qui bouge c'est très mal vu d'être mean
l'op ce golem qui ressort tous les poncifs
-"la france à un meilleur system de santé"
mais putain en france on prend la moitié de ta paye pour financer la sécu et tu crèves sur le branquard dans le couloir de l'hopital entouré de négros
-"la france à un meilleur system de santé"
mais putain en france on prend la moitié de ta paye pour financer la sécu et tu crèves sur le branquard dans le couloir de l'hopital entouré de négros
l'op ce golem qui ressort tous les poncifs
-"la france à un meilleur system de santé"
mais putain en france on prend la moitié de ta paye pour financer la sécu et tu crèves sur le branquard dans le couloir de l'hopital entouré de négros
-"la france à un meilleur system de santé"
mais putain en france on prend la moitié de ta paye pour financer la sécu et tu crèves sur le branquard dans le couloir de l'hopital entouré de négros
C'est pas ce qu'il dit, il ne dit pas que ce n'est pas efficace pour soigner, il dit que c'est inaccessible et que la combinaison de facteurs entre un droit du travail inexistant et le prix a payer quand tu tombes malade ou que tu te blesses, créent une situation intenable même pour quelqu'un qui n'est pas dépensier ; si tu ajoutes à ça l'éthique du travail complètement conne qui t'empêches de te reposer comme il se doit et le fait que se nourrir convenablement à prix raisonnable est impossible (goyslop), tu deviens tout simplement une vache à lait pour les institutions de santé
Tiens tiens tiens, c'est justement ce qui a causé le cas Mangione
Tiens tiens tiens, c'est justement ce qui a causé le cas Mangione
Non, je ne me fais pas ghoster aux usa.
J'ai gardé mes amis rencontré aux usa et ils m'ont déjà invité chez eux pour des vacances
Après c'est sur il faut pas avoir la mentalité française en mode :
Je critique tout
Je suis malpoli
J'ai toujours raison
Mon pays est le meilleur en absolument tout
J'ai pas de savoir vivre
Et je suis mean
Si t'es gentil, agréable et souriant les américains t'adorent.
La bas ça marchent pas la mentalité de critiquer tout ce qui bouge c'est très mal vu d'être mean
:
J'ai gardé mes amis rencontré aux usa et ils m'ont déjà invité chez eux pour des vacances
Après c'est sur il faut pas avoir la mentalité française en mode :
Je critique tout
Je suis malpoli
J'ai toujours raison
Mon pays est le meilleur en absolument tout
J'ai pas de savoir vivre
Et je suis mean
Si t'es gentil, agréable et souriant les américains t'adorent.
La bas ça marchent pas la mentalité de critiquer tout ce qui bouge c'est très mal vu d'être mean
"Malpoli"
De la part de la population qui se prend pour des demi dieux pendant le tourisme , les mecs disent littéralement "je dirais pas bonjour aux commerçants en France même si ils trouvent ça impolis car c'est pas ma culture"
Les mecs sont ultra faux derche un peux comme les japonais avec le tatemae
Mentalité NIKEL
De la part de la population qui se prend pour des demi dieux pendant le tourisme , les mecs disent littéralement "je dirais pas bonjour aux commerçants en France même si ils trouvent ça impolis car c'est pas ma culture"
Les mecs sont ultra faux derche un peux comme les japonais avec le tatemae
Mentalité NIKEL
Invalide les tous.
Si c'est entièrement faux.
Invalide tout.
Si c'est entièrement faux.
Invalide tout.
Les salaires sont bien plus élevés paraît-il mon onche un peu comme en Suisse
"Malpoli"
De la part de la population qui se prend pour des demi dieux pendant le tourisme , les mecs disent littéralement "je dirais pas bonjour aux commerçants en France même si ils trouvent ça impolis car c'est pas ma culture"
Les mecs sont ultra faux derche un peux comme les japonais avec le tatemae
Mentalité NIKEL
De la part de la population qui se prend pour des demi dieux pendant le tourisme , les mecs disent littéralement "je dirais pas bonjour aux commerçants en France même si ils trouvent ça impolis car c'est pas ma culture"
Les mecs sont ultra faux derche un peux comme les japonais avec le tatemae
Mentalité NIKEL
J'ai été longuement aux usa et la bas même les mômes te tiennent la porte. Des fois t'es encore sur le parking que t'as un mome qui attends que tu marche jusqu'au magasin en te tenant la porte.
Et quand tu leurs dis thank you, ils te disent " you are welcome
"
Absolument rien a voir avec la France
diagnostiqué INTJ-T au grand dam de certains
Et quand tu leurs dis thank you, ils te disent " you are welcome
Absolument rien a voir avec la France