Ce sujet a été résolu
Voilà c'est ce que je dis, ils ont pas attendu les RS, ils croient tous qu'ils sont importants
Depuis genre l'enfance ils sont comme ça, avant même de songer à produire quelque chose ils sont déjà persuadés d'avoir compris quelque chose que les autres n'ont pas compris, qu'ils portaient en eux une vision novatrice et percutante, et qu'ils étaient pas n'importe qui.
Ils sont tous pareils, de génération en génération. Limite je trouve que les RS ont la vertu de les mettre face à leur insignifiance, pour les rares qui arrivent à connecter ...
"moi, moi, moi, moi"
Et les hommes c'est les pires, ce qui est d'autant plus impardonnable qu'un homme doit être égoïste pour s'accomplir, mais surtout pas égocentrique, il doit être tourné vers l'extérieur. Nourir son "soi" par la réalisation dans le monde.

Depuis genre l'enfance ils sont comme ça, avant même de songer à produire quelque chose ils sont déjà persuadés d'avoir compris quelque chose que les autres n'ont pas compris, qu'ils portaient en eux une vision novatrice et percutante, et qu'ils étaient pas n'importe qui.
Ils sont tous pareils, de génération en génération. Limite je trouve que les RS ont la vertu de les mettre face à leur insignifiance, pour les rares qui arrivent à connecter ...
"moi, moi, moi, moi"
Et les hommes c'est les pires, ce qui est d'autant plus impardonnable qu'un homme doit être égoïste pour s'accomplir, mais surtout pas égocentrique, il doit être tourné vers l'extérieur. Nourir son "soi" par la réalisation dans le monde.
Ça date vraiment de la génération des boomix, mes grands parents n’étaient pas comme ça
Avant, on grandissait en intégrant des obligations vis-à-vis de sa famille, de son pays, de Dieu, de ses enfants à venir
Aujourd’hui, on a explosé tout ça. Le mariage est devenu un caprice temporaire, les enfants une option lifestyle, la patrie un gros mot. Résultat ? Il ne reste plus que le moi, moi, moi. Le culte de l’individu nu, sans responsabilité, sans ancrage
Les boomers ont ouvert la voie avec leur “émancipation”. Ils se sont crus brillants, libérés des codes anciens. En réalité, ils ont juste cassé les digues. Et derrière eux, chaque génération a répété la même pièce, persuadée d’avoir une “vision”, une “vérité”, une “mission” que personne d’autre ne pourrait comprendre
Le plus ironique, c’est qu’à force de se croire exceptionnels, ils sont devenus interchangeables. Toujours les mêmes postures, les mêmes phrases creuses , les mêmes échecs affectifs, les mêmes revendications existentielles mal digérées
Car évidemment ll’idée de devoir s’effacer un peu pour construire quelque chose dépassant leur personne leur était insupportable
Avant, on grandissait en intégrant des obligations vis-à-vis de sa famille, de son pays, de Dieu, de ses enfants à venir
Aujourd’hui, on a explosé tout ça. Le mariage est devenu un caprice temporaire, les enfants une option lifestyle, la patrie un gros mot. Résultat ? Il ne reste plus que le moi, moi, moi. Le culte de l’individu nu, sans responsabilité, sans ancrage
Les boomers ont ouvert la voie avec leur “émancipation”. Ils se sont crus brillants, libérés des codes anciens. En réalité, ils ont juste cassé les digues. Et derrière eux, chaque génération a répété la même pièce, persuadée d’avoir une “vision”, une “vérité”, une “mission” que personne d’autre ne pourrait comprendre
Le plus ironique, c’est qu’à force de se croire exceptionnels, ils sont devenus interchangeables. Toujours les mêmes postures, les mêmes phrases creuses , les mêmes échecs affectifs, les mêmes revendications existentielles mal digérées
Car évidemment ll’idée de devoir s’effacer un peu pour construire quelque chose dépassant leur personne leur était insupportable
il y a 3 mois
Ça date vraiment de la génération des boomix, mes grands parents n’étaient pas comme ça
Avant, on grandissait en intégrant des obligations vis-à-vis de sa famille, de son pays, de Dieu, de ses enfants à venir
Aujourd’hui, on a explosé tout ça. Le mariage est devenu un caprice temporaire, les enfants une option lifestyle, la patrie un gros mot. Résultat ? Il ne reste plus que le moi, moi, moi. Le culte de l’individu nu, sans responsabilité, sans ancrage
Les boomers ont ouvert la voie avec leur “émancipation”. Ils se sont crus brillants, libérés des codes anciens. En réalité, ils ont juste cassé les digues. Et derrière eux, chaque génération a répété la même pièce, persuadée d’avoir une “vision”, une “vérité”, une “mission” que personne d’autre ne pourrait comprendre
Le plus ironique, c’est qu’à force de se croire exceptionnels, ils sont devenus interchangeables. Toujours les mêmes postures, les mêmes phrases creuses , les mêmes échecs affectifs, les mêmes revendications existentielles mal digérées
Car évidemment ll’idée de devoir s’effacer un peu pour construire quelque chose dépassant leur personne leur était insupportable
Avant, on grandissait en intégrant des obligations vis-à-vis de sa famille, de son pays, de Dieu, de ses enfants à venir
Aujourd’hui, on a explosé tout ça. Le mariage est devenu un caprice temporaire, les enfants une option lifestyle, la patrie un gros mot. Résultat ? Il ne reste plus que le moi, moi, moi. Le culte de l’individu nu, sans responsabilité, sans ancrage
Les boomers ont ouvert la voie avec leur “émancipation”. Ils se sont crus brillants, libérés des codes anciens. En réalité, ils ont juste cassé les digues. Et derrière eux, chaque génération a répété la même pièce, persuadée d’avoir une “vision”, une “vérité”, une “mission” que personne d’autre ne pourrait comprendre
Le plus ironique, c’est qu’à force de se croire exceptionnels, ils sont devenus interchangeables. Toujours les mêmes postures, les mêmes phrases creuses , les mêmes échecs affectifs, les mêmes revendications existentielles mal digérées
Car évidemment ll’idée de devoir s’effacer un peu pour construire quelque chose dépassant leur personne leur était insupportable
L'altruisme est donc ce qui distingue véritablement l'humain du golem ?
Petit, laid
il y a 3 mois
PatrickSebasti1
3 mois
J’ai découvert ce concept sur Onche, mais je trouve qu’il est excellent.
C'est un concept de psycho assez connu, quand tu te crois seul au monde et que tout le monde te regarde , que tu es le centre du monde et cetera
Beaucoup de gens sont atteints de ça, d'ailleurs souvent les personnes anxieuses et cetera qui font de l'anxiété sociale c'est parce qu'ils ont ce syndrome
Beaucoup de gens sont atteints de ça, d'ailleurs souvent les personnes anxieuses et cetera qui font de l'anxiété sociale c'est parce qu'ils ont ce syndrome
il y a 3 mois
L'altruisme est donc ce qui distingue véritablement l'humain du golem ?
Tant qu’on parle pas d’un altruisme universel abstrait oui
Aimer tout le monde sans raison c’est de l’indifférence maquillée, il faut aimer les siens
Aimer tout le monde sans raison c’est de l’indifférence maquillée, il faut aimer les siens
il y a 3 mois
je suis comme l'agent Smith maintenant je pense qu'à moi osef de la famille , les gens
J'ai le BUG ONCHE

il y a 3 mois
Ça date vraiment de la génération des boomix, mes grands parents n’étaient pas comme ça
Avant, on grandissait en intégrant des obligations vis-à-vis de sa famille, de son pays, de Dieu, de ses enfants à venir
Aujourd’hui, on a explosé tout ça. Le mariage est devenu un caprice temporaire, les enfants une option lifestyle, la patrie un gros mot. Résultat ? Il ne reste plus que le moi, moi, moi. Le culte de l’individu nu, sans responsabilité, sans ancrage
Les boomers ont ouvert la voie avec leur “émancipation”. Ils se sont crus brillants, libérés des codes anciens. En réalité, ils ont juste cassé les digues. Et derrière eux, chaque génération a répété la même pièce, persuadée d’avoir une “vision”, une “vérité”, une “mission” que personne d’autre ne pourrait comprendre
Le plus ironique, c’est qu’à force de se croire exceptionnels, ils sont devenus interchangeables. Toujours les mêmes postures, les mêmes phrases creuses , les mêmes échecs affectifs, les mêmes revendications existentielles mal digérées
Car évidemment ll’idée de devoir s’effacer un peu pour construire quelque chose dépassant leur personne leur était insupportable
Avant, on grandissait en intégrant des obligations vis-à-vis de sa famille, de son pays, de Dieu, de ses enfants à venir
Aujourd’hui, on a explosé tout ça. Le mariage est devenu un caprice temporaire, les enfants une option lifestyle, la patrie un gros mot. Résultat ? Il ne reste plus que le moi, moi, moi. Le culte de l’individu nu, sans responsabilité, sans ancrage
Les boomers ont ouvert la voie avec leur “émancipation”. Ils se sont crus brillants, libérés des codes anciens. En réalité, ils ont juste cassé les digues. Et derrière eux, chaque génération a répété la même pièce, persuadée d’avoir une “vision”, une “vérité”, une “mission” que personne d’autre ne pourrait comprendre
Le plus ironique, c’est qu’à force de se croire exceptionnels, ils sont devenus interchangeables. Toujours les mêmes postures, les mêmes phrases creuses , les mêmes échecs affectifs, les mêmes revendications existentielles mal digérées
Car évidemment ll’idée de devoir s’effacer un peu pour construire quelque chose dépassant leur personne leur était insupportable
Eh oui, et c'est parce qu'en réalité, de base, ils SONT interchangeables, et ça fait partie de leur programme de série de se sentir exceptionnels, afin qu'ils rentrent en concurrence sur les tâches de larbins et offrent pléthore de bras et de petites têtes pour travailler

Je suis Seugondaire.
il y a 3 mois
A haut niveau, tu n'as aucune besoin de confiance en toi : tu fais le nécessaire, quelque soit la discipline. Tu es meilleur, tu gagnes, tu es moins bon, tu perds.
La confiance en soi est une idée qui date des années 80 au plus tôt, pour enferme les masses dans la pensée magique et le raisonnement infantile, et prendre au piège les âmes plus lucides.
A aucun moment le doute, même de soi, n'est un poison. Il s'agit uniquement d'une affaire de concentration et de maîtrise de ses émotions.
Une personne lucide et adulte ne prend pas de pari.
La confiance en soi est une idée qui date des années 80 au plus tôt, pour enferme les masses dans la pensée magique et le raisonnement infantile, et prendre au piège les âmes plus lucides.
A aucun moment le doute, même de soi, n'est un poison. Il s'agit uniquement d'une affaire de concentration et de maîtrise de ses émotions.
Une personne lucide et adulte ne prend pas de pari.
Je suis Seugondaire.
il y a 3 mois
Je me suis un peu calmé depuis mon procès.
J'ai toujours du mal à croire que tu te sois tapé un procès pour du troll
On est plusieurs ici à être plus ou moins N-S et à troller les juifs mais on n'est pas inquiétés par la justice, on n'est pas pris au sérieux cela dit
On est plusieurs ici à être plus ou moins N-S et à troller les juifs mais on n'est pas inquiétés par la justice, on n'est pas pris au sérieux cela dit
"Vivre c'est combattre et combattre c'est vivre"
il y a 3 mois
Tant qu’on parle pas d’un altruisme universel abstrait oui
Aimer tout le monde sans raison c’est de l’indifférence maquillée, il faut aimer les siens
Aimer tout le monde sans raison c’est de l’indifférence maquillée, il faut aimer les siens
De l'altruisme raciste quoi
Mais aimer tout le monde sans raison n'est pas de l'indifférence, être indifférent envers tout le monde sans raison c'est de l'indifférence
L'altruisme même s'il est universel se doit d'intégrer un pragmatisme pour être efficace en pratique, ce qui se traduit finalement par prioriser sa sphère la plus proche, puis l'autre... Successivement.
Mais l'entre-soi motivé par le rejet ou l'indifférence de l'autre suit le même principe que l'individualisme moi je dont tu parles dans ton poste, simplement c'est à l'échelle d'une population plutôt que d'un individu
Mais aimer tout le monde sans raison n'est pas de l'indifférence, être indifférent envers tout le monde sans raison c'est de l'indifférence
L'altruisme même s'il est universel se doit d'intégrer un pragmatisme pour être efficace en pratique, ce qui se traduit finalement par prioriser sa sphère la plus proche, puis l'autre... Successivement.
Mais l'entre-soi motivé par le rejet ou l'indifférence de l'autre suit le même principe que l'individualisme moi je dont tu parles dans ton poste, simplement c'est à l'échelle d'une population plutôt que d'un individu
Petit, laid
il y a 3 mois
On rigole mais avec la montée en flèche de l'individualisme c'est réellement un problème, c'est pas anodin de croiser des gars ou des meufs qui sont persuadés d'être dans un film, d'où les comportements complètement débiles pour se mettre en valeur.
il y a 3 mois