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Van gogh, schizophrène, change le monde de l’art à tout jamais + le plus grand artiste de tout les temps, le plus apprécié et le plus « vendable »

Schizophrène de onche, se branler en se godant le fion, faire l’aw 24h/24, n’est jamais sortie de chez lui

:Autiste_note:
il y a 3 mois
Van gogh, schizophrène, change le monde de l’art à tout jamais + le plus grand artiste de tout les temps, le plus apprécié et le plus « vendable »

Schizophrène de onche, se branler en se godant le fion, faire l’aw 24h/24, n’est jamais sortie de chez lui

:Autiste_note:
Vs qui ?
Mogger du forum
il y a 3 mois
Van gogh, schizophrène, change le monde de l’art à tout jamais + le plus grand artiste de tout les temps, le plus apprécié et le plus « vendable »

Schizophrène de onche, se branler en se godant le fion, faire l’aw 24h/24, n’est jamais sortie de chez lui

:Autiste_note:
Van Gogh n'était pas reconnu de son vivant


Qui te dis qu'un Khey de onche ne sera pas le futur van Gogh ?
:T10:
:Pos:
:gerald:
:cheval:
:robe:
:POQ:
:T11:
il y a 3 mois
Alors, si ce que dit ChatGPT est vrai, un skyzo du forum n'a rien à envier à Van Gogh
:golemvelo:


Une enfance déjà pas funky
Né en 1853, Vincent Willem van Gogh arrive dans un monde qui lui avait déjà mis une claque avant même qu’il respire. Son frère aîné, mort-né, portait exactement le même nom que lui. Donc imagine : t’es gosse, tu vas te recueillir sur une tombe où ton nom est gravé. Sympa l’ambiance. Il grandit dans une famille protestante un peu froide, où il se sent souvent à côté de la plaque.
:Escalier:


Zéro stabilité
Il tente plein de boulots : marchand d’art, prof, pasteur, missionnaire… mais à chaque fois c’est un échec. Il se fait virer, ou bien il claque tout parce qu’il trouve ça vide de sens. Ce mec est paumé, en quête de spiritualité, d’un sens à sa vie. Il finit par se lancer à fond dans la peinture… vers 27 ans. Tard, donc, et sans un rond. Il n’aura quasiment jamais vendu un tableau de son vivant.
:Bref:


Côté sentimental : le désert
C’est pas mieux niveau cœur. Il tombe amoureux de femmes qui veulent rien savoir de lui ou qui fuient en courant. Une fois, il a tenté de vivre avec une prostituée pour la "sauver", mais ça a foiré aussi. Il cherche l’amour, la tendresse, quelqu’un pour l’aider à tenir debout, mais c’est toujours à sens unique. Il est trop intense, trop instable, trop... tout.
:mastercuck:


La misère, la vraie
Il vit dans la pauvreté la plus totale. Il dépend entièrement de son frère Theo, qui le soutient financièrement. Vincent vit dans des chambres crades, bouffe mal, fume comme un pompier, boit comme un trou (surtout de l’absinthe), et se ruine la santé. Il se laisse complètement aller, mais c’est pas de la flemme — c’est qu’il est broyé par ses démons intérieurs.
:Descolin_ahi:


Les troubles mentaux
C’est là que ça devient encore plus dur. Van Gogh souffre clairement de troubles psychiques. Crises, hallucinations, phases maniaques… À Arles, il pète un câble et se coupe l’oreille (bon, peut-être juste une partie, mais quand même). Il est interné plusieurs fois, parfois de son plein gré, parfois parce qu’il est devenu un danger pour lui-même. Il vit dans un état de détresse quasi permanent.
:risi_fou:


La fin, en solo complet
En 1890, à seulement 37 ans, il se tire une balle dans la poitrine dans un champ, seul. Il agonise deux jours avant de mourir. Son frère Theo, qui était son seul vrai soutien, meurt six mois plus tard. Van Gogh meurt pauvre, méconnu, incompris. À ce moment-là, presque personne ne se soucie de ses toiles. Il meurt en pensant qu’il a raté sa vie.
:Depression-lourde:
Khey certifié depuis 2017 - Topic de ma [FIC] : https://onche.org/topic/8[...]-o-m-e-la-mort-a-un-coeur
il y a 3 mois