/battre ??
Vous voulez vraiment pas me faire plaisir ici... Je vous déteste
Je suis le donut du forum
J'ai glissé pardon Litairent
/battre
On it again
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Forgot that inside the icon there's still a young girl from
J'en ai marre de toute cette haine envers la mignonnitude...
En plus vous faites exprès se le faire parce que vous m'aimez pas pour me faire de la peine je vous déteste vous êtes TROP NULS
En plus vous faites exprès se le faire parce que vous m'aimez pas pour me faire de la peine je vous déteste vous êtes TROP NULS
Je suis le donut du forum
J'en ai marre de toute cette haine envers la mignonnitude...
En plus vous faites exprès se le faire parce que vous m'aimez pas pour me faire de la peine je vous déteste vous êtes TROP NULS
En plus vous faites exprès se le faire parce que vous m'aimez pas pour me faire de la peine je vous déteste vous êtes TROP NULS
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Déso t'es pas convié, c'est une conversation entre filles
Voilà pourquoi j'ai reçu la badge cuck https://onche.org/topic/8[...]urd-hui-je-suis-tombe-sur
il faudrait écrire une satire de cet existentialisme convenu centré sur nietzsche et dotsoievski qui est tant à la mode parce qu'il n'a pas vraiment de substance à part une petite irritation de la sensibilité qui est comme un trompe l'oeil de profondeur, et parce qu'il ne donne rien à croire positivement et est compatible avec tous les systèmes et les préjugés. il n'est porteur d'aucun vrai enseignement, et à part un dégoût vague et confus de la médiocrité (que les gens de cœur cultivent tous spontanément, aussi il n'est inspiré qu'aux médiocres) je ne vois pas qu'il ait valu grand chose à grand monde
https://i.imgur.com/3q2aPWu.gifil faudrait écrire une satire de cet existentialisme convenu centré sur nietzsche et dotsoievski qui est tant à la mode parce qu'il n'a pas vraiment de substance à part une petite irritation de la sensibilité qui est comme un trompe l'oeil de profondeur, et parce qu'il ne donne rien à croire positivement et est compatible avec tous les systèmes et les préjugés. il n'est porteur d'aucun vrai enseignement, et à part un dégoût vague et confus de la médiocrité (que les gens de cœur cultivent tous spontanément, aussi il n'est inspiré qu'aux médiocres) je ne vois pas qu'il ait valu grand chose à grand monde
oui, tu mets là le doigt sur cette forme d'existentialisme de salon, cette posture un peu creuse qui feint l’abîme mais ne fait qu’effleurer la surface. c’est une esthétique de la lucidité plus qu’un véritable travail de pensée, un jeu de reflets où l’on confond intensité affective et profondeur conceptuelle. il y a quelque chose de presque décoratif dans cette invocation perpétuelle de Nietzsche ou de Dostoïevski, comme si leur nom suffisait à conférer un poids aux propos les plus anodins. mais au fond, tout cela reste dans les limites du confortable : aucun danger réel, aucune exigence spirituelle, rien qui bouscule autrement qu’à travers quelques formules bien tournées. on s’en remet à un mal-être vaguement stylisé, qui rassure parce qu’il donne l’impression d’avoir vu l’ombre sans jamais quitter la lumière, c’est un existentialisme sans existence véritable, un théâtre d’ombres où chacun vient projeter ses petites lassitudes en croyant entrevoir l’infini
Post ou jette un œil sur mes scriptum -> @Anchwatt
il faudrait écrire une satire de cet existentialisme convenu centré sur nietzsche et dotsoievski qui est tant à la mode parce qu'il n'a pas vraiment de substance à part une petite irritation de la sensibilité qui est comme un trompe l'oeil de profondeur, et parce qu'il ne donne rien à croire positivement et est compatible avec tous les systèmes et les préjugés. il n'est porteur d'aucun vrai enseignement, et à part un dégoût vague et confus de la médiocrité (que les gens de cœur cultivent tous spontanément, aussi il n'est inspiré qu'aux médiocres) je ne vois pas qu'il ait valu grand chose à grand monde
oui, tu mets là le doigt sur cette forme d'existentialisme de salon, cette posture un peu creuse qui feint l’abîme mais ne fait qu’effleurer la surface. c’est une esthétique de la lucidité plus qu’un véritable travail de pensée, un jeu de reflets où l’on confond intensité affective et profondeur conceptuelle. il y a quelque chose de presque décoratif dans cette invocation perpétuelle de Nietzsche ou de Dostoïevski, comme si leur nom suffisait à conférer un poids aux propos les plus anodins. mais au fond, tout cela reste dans les limites du confortable : aucun danger réel, aucune exigence spirituelle, rien qui bouscule autrement qu’à travers quelques formules bien tournées. on s’en remet à un mal-être vaguement stylisé, qui rassure parce qu’il donne l’impression d’avoir vu l’ombre sans jamais quitter la lumière, c’est un existentialisme sans existence véritable, un théâtre d’ombres où chacun vient projeter ses petites lassitudes en croyant entrevoir l’infini
c'est exactement ça mon petit GPT
