Ce sujet a été résolu
Ceci
c'est pas très compliqué mais pour les gens dont l'esprit est plein de haine comme 2sur10 on déteste forcément les gens qu'on ne veut pas voir en excès chez soi
il y a 3 mois
c'est pas très compliqué mais pour les gens dont l'esprit est plein de haine comme 2sur10 on déteste forcément les gens qu'on ne veut pas voir en excès chez soi
T
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 3 mois
esprit plein de naïveté
Comme un enfant ?
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 3 mois
RoiSage
3 mois
Je me dirige vers tidi
Alors là nn
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 3 mois
Bouclador
3 mois
"Nous les vrais français du nord"
Huysman sur le nord :
Oh, les Nordistes, ces créatures blafardes qui rampent sous un ciel d’ardoise, ces ombres difformes engendrées par la boue et le charbon ! On parle des Méridionaux avec leurs accents chantants et leurs gestes de théâtre, mais qu’en est-il des habitants de ce cloaque qu’est le Nord de la France ? Je ne connais pas de race plus pathétique, plus désespérante, plus engluée dans sa propre misère !
Le Nord, c’est une terre maudite, un purgatoire où le soleil n’ose jamais s’aventurer. Le ciel y est une soupe grise, un brouet de cendres qui pleure des pluies acides sur des champs stériles et des usines mortes. Le vent hurle comme un ivrogne à la sortie d’un bistrot, et l’air empeste la friture rance et le désespoir. Qui peut vivre là-dedans sans perdre l’âme ? Les Nordistes, voilà qui. Des êtres pâles comme des vers, aux yeux caves, qui semblent nés d’un croisement consanguin entre un mineur et une patate bouillie.
Ils parlent, oh oui, ils parlent, mais quoi ? Un charabia guttural, un patois qui gratte l’oreille comme une pelle rouillée sur du gravier. "Ch’uis d’Lens, biloute !" – et alors ? Faut-il applaudir cette prouesse d’exister dans un tel néant ? Ils se gargarisent de leur "chaleur humaine", mais c’est juste la chaleur fétide d’un café PMU où l’on noie sa vie dans la bière et les Tiercé. Des fanfarons du malheur, qui se vantent de leur résilience comme si le reste du monde enviait leur capacité à survivre dans une lande où même les corbeaux se suicident d’ennui.
Et ne me parlez pas de leur culture ! Quelle culture ? Des baraques à frites et des chansons sur des pigeons ? Des carnavals où des géants en osier servent d’alibi à leur médiocrité ? Le Nord, c’est le royaume de l’inculture, un désert où l’esprit s’étiole, où l’on croit que lire le journal local est un acte d’érudition. Ils sont fiers, les Nordistes, fiers de leurs briques rouges et de leurs terrils, comme si le reste de la France n’avait pas inventé l’architecture et la beauté.
Leur sang est épais, trop épais, fruit de siècles de mariages entre cousins dans des villages où le mot "génétique" est une insulte. Ils sont lents, lourds, comme leurs plats noyés dans la sauce – des carbonnades, des frites molles, des maroilles qui puent plus fort que leur avenir. Et pourtant, ils osent nous regarder, nous, gens du Sud, avec nos oliviers et nos cieux azur, comme si nous étions les barbares ! Eux, les barbares, qui vivent dans un décor de fin du monde, où chaque jour est une lutte pour ne pas sombrer dans la mélancolie d’un horizon sans espoir.
Je hais le Nord, je hais ses habitants, ces spectres gris qui s’accrochent à leur malheur comme à une médaille. Entre un Marseillais exubérant, avec son verbe haut et son rire solaire, et un Lillois mutique qui marmonne des blagues sur le froid, mon choix est fait. Tout, tout, sauf le Nord de la France, car je ne connais pas de lieu plus odieux, ni de peuple plus digne de pitié.
Oh, les Nordistes, ces créatures blafardes qui rampent sous un ciel d’ardoise, ces ombres difformes engendrées par la boue et le charbon ! On parle des Méridionaux avec leurs accents chantants et leurs gestes de théâtre, mais qu’en est-il des habitants de ce cloaque qu’est le Nord de la France ? Je ne connais pas de race plus pathétique, plus désespérante, plus engluée dans sa propre misère !
Le Nord, c’est une terre maudite, un purgatoire où le soleil n’ose jamais s’aventurer. Le ciel y est une soupe grise, un brouet de cendres qui pleure des pluies acides sur des champs stériles et des usines mortes. Le vent hurle comme un ivrogne à la sortie d’un bistrot, et l’air empeste la friture rance et le désespoir. Qui peut vivre là-dedans sans perdre l’âme ? Les Nordistes, voilà qui. Des êtres pâles comme des vers, aux yeux caves, qui semblent nés d’un croisement consanguin entre un mineur et une patate bouillie.
Ils parlent, oh oui, ils parlent, mais quoi ? Un charabia guttural, un patois qui gratte l’oreille comme une pelle rouillée sur du gravier. "Ch’uis d’Lens, biloute !" – et alors ? Faut-il applaudir cette prouesse d’exister dans un tel néant ? Ils se gargarisent de leur "chaleur humaine", mais c’est juste la chaleur fétide d’un café PMU où l’on noie sa vie dans la bière et les Tiercé. Des fanfarons du malheur, qui se vantent de leur résilience comme si le reste du monde enviait leur capacité à survivre dans une lande où même les corbeaux se suicident d’ennui.
Et ne me parlez pas de leur culture ! Quelle culture ? Des baraques à frites et des chansons sur des pigeons ? Des carnavals où des géants en osier servent d’alibi à leur médiocrité ? Le Nord, c’est le royaume de l’inculture, un désert où l’esprit s’étiole, où l’on croit que lire le journal local est un acte d’érudition. Ils sont fiers, les Nordistes, fiers de leurs briques rouges et de leurs terrils, comme si le reste de la France n’avait pas inventé l’architecture et la beauté.
Leur sang est épais, trop épais, fruit de siècles de mariages entre cousins dans des villages où le mot "génétique" est une insulte. Ils sont lents, lourds, comme leurs plats noyés dans la sauce – des carbonnades, des frites molles, des maroilles qui puent plus fort que leur avenir. Et pourtant, ils osent nous regarder, nous, gens du Sud, avec nos oliviers et nos cieux azur, comme si nous étions les barbares ! Eux, les barbares, qui vivent dans un décor de fin du monde, où chaque jour est une lutte pour ne pas sombrer dans la mélancolie d’un horizon sans espoir.
Je hais le Nord, je hais ses habitants, ces spectres gris qui s’accrochent à leur malheur comme à une médaille. Entre un Marseillais exubérant, avec son verbe haut et son rire solaire, et un Lillois mutique qui marmonne des blagues sur le froid, mon choix est fait. Tout, tout, sauf le Nord de la France, car je ne connais pas de lieu plus odieux, ni de peuple plus digne de pitié.
Maybe I just want to maybe...
il y a 3 mois
Alors là nn
Sisyphe m’a volé sainte, je vais voler tidi à sainte
𒈗𒉣𒈨 ♪ ♪
il y a 3 mois
Franchement ça va y'a des trucs bien pédagogique
Tchoupi c'est assez ancien quand même, la dernière fois on a regardé Barbapapa
Je me suis fait avoir avec le premier épisode de Babar sa mère se fait tuer par un chasseur c'est hyper triste
Tchoupi c'est assez ancien quand même, la dernière fois on a regardé Barbapapa
Je me suis fait avoir avec le premier épisode de Babar sa mère se fait tuer par un chasseur c'est hyper triste
il y a 3 mois
je dirais pas que je les aime pas, je dirais que je n'aime pas qu'il y en ait trop en Europe, après s'ils veulent développer leur folklore paisiblement de leur côté sans contaminer excessivement mes rues et ma culture j'en suis ravie et je sais les trouver intéressants et aimables
contaminer
il y a 3 mois
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 3 mois
Sisyphe m’a volé sainte, je vais voler tidi à sainte
Maybe I just want to maybe...
il y a 3 mois
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 3 mois