Ce sujet a été résolu
Non supprime le pouvoir gigantesque du président et les élections non-proportionnelles des parlementaires et on en parle
Après ça reste de la democratie bourgeoise mais c’est toujours ça
Après ça reste de la democratie bourgeoise mais c’est toujours ça
Sans les prérogatives du président on finira comme la troisième république.
il y a 3 mois
Nul, écrasé par les rouges et les américains
La Ve République est écrasée par les juifs
free lebosslelite
il y a 3 mois
Alors change ton titre + toutes les démocraties ont globalement puer la merde
Où est ton califat aujourd’hui ?
Est il dans la salle avec nous ?
Est il dans la salle avec nous ?
il y a 3 mois
La Ve République est écrasée par les juifs
il y a 3 mois
Sans les prérogatives du président on finira comme la troisième république.
Il faut que les politiciens apprennent à faire des compromis et à être des hommes d’états surtout
Parce que perso j’ai l’impression que tous les présidents français depuis ma naissance n’ont fait qu’empirer les choses
Parce que perso j’ai l’impression que tous les présidents français depuis ma naissance n’ont fait qu’empirer les choses
il y a 3 mois
Où est ton califat aujourd’hui ?
Est il dans la salle avec nous ?
Est il dans la salle avec nous ?
Bah il n'existe plus mais ce n'est pas la question
il y a 3 mois
Athènes.
Ça marche si on n’est pas plus de 50 000, impossible dans notre cas
il y a 3 mois
Bah il n'existe plus mais ce n'est pas la question
il y a 3 mois
Il faut que les politiciens apprennent à faire des compromis et à être des hommes d’états surtout
Parce que perso j’ai l’impression que tous les présidents français depuis ma naissance n’ont fait qu’empirer les choses
Parce que perso j’ai l’impression que tous les présidents français depuis ma naissance n’ont fait qu’empirer les choses
il y a 3 mois
Tentes pour voir
Le meilleur selon moi serait une monarchie possédant de nombreux avantages du centralisme ainsi que de la décentralisation.
il y a 3 mois
Le meilleur selon moi serait une monarchie possédant de nombreux avantages du centralisme ainsi que de la décentralisation.
il y a 3 mois
Ça marche si on n’est pas plus de 50 000, impossible dans notre cas
Tout-à-fait possible.
Jusqu'en 451 av. J.-C., pour être citoyen athénien, il faut être un homme libre né de père athénien, et avoir suivi l'éphébie de 18 à 20 ans, c’est-à-dire être capable de défendre la cité. L'éphébie est en effet une formation militaire et civique qui permet à la cité d'assurer sa défense sans avoir d'armée permanente ; elle prémunit aussi la ville des risques de tyrannie. En 451, Périclès modifie la loi qui désormais confère la citoyenneté au jeune adulte à la seule condition de la double filiation d'un père de statut citoyen et d'une mère, fille de citoyen, ce second critère introduisant une restriction notable.
Les esclaves et les femmes considérés respectivement comme des biens et d'éternelles mineures, ainsi que les métèques n'étaient pas inclus dans la communauté politique, comme dans la plupart des cités grecques. Cependant, si un métèque non barbare (c’est-à-dire grec) accomplissait de hauts faits pour la cité, il pouvait recevoir, à titre exceptionnel et en remerciement de ses actions, la citoyenneté athénienne, moyennant finances. Une telle décision ne pouvait être prise qu'à la suite d'un vote de l'Ecclésia réunissant 6 000 citoyens. Ces naturalisations sont donc très rares et solennelles. Par exemple, un métèque riche a fait don à la cité d'Athènes de plus de 1 000 boucliers, et il n'a jamais obtenu cette citoyenneté. La rareté de ce droit de cité accordé à des étrangers s'explique par le désir de maintenir un équilibre optimum entre le territoire et ceux qui se le partagent, et de ne point accroître inconsidérément le nombre des citoyens, c'est-à-dire des ayants droit[10].
La citoyenneté conférait un pouvoir politique, mais aussi une protection judiciaire, les citoyens ne pouvant ni être soumis à la question (torture), ni être condamnés au supplice ou à une peine corporelle. Les seules peines qui pouvaient leur être infligées étaient donc l'amende, l'atimie, l'exil, et la mort.
La citoyenneté confère aussi un privilège économique : seuls les citoyens peuvent avoir une propriété foncière. Ce privilège s'explique par l'histoire de la démocratie athénienne ; héritier d'un passé aristocratique, le régime considérait l'agriculture comme le seul travail digne d'un citoyen, et valorisa la vie de rentier.
Le citoyen athénien avait le droit de voter et d'être élu mais il avait le devoir de faire la guerre et de payer les impôts. Par ailleurs, les riches devaient financer les liturgies et les pauvres devaient être aidés financièrement pour pouvoir participer à la vie de la cité.
Jusqu'en 451 av. J.-C., pour être citoyen athénien, il faut être un homme libre né de père athénien, et avoir suivi l'éphébie de 18 à 20 ans, c’est-à-dire être capable de défendre la cité. L'éphébie est en effet une formation militaire et civique qui permet à la cité d'assurer sa défense sans avoir d'armée permanente ; elle prémunit aussi la ville des risques de tyrannie. En 451, Périclès modifie la loi qui désormais confère la citoyenneté au jeune adulte à la seule condition de la double filiation d'un père de statut citoyen et d'une mère, fille de citoyen, ce second critère introduisant une restriction notable.
Les esclaves et les femmes considérés respectivement comme des biens et d'éternelles mineures, ainsi que les métèques n'étaient pas inclus dans la communauté politique, comme dans la plupart des cités grecques. Cependant, si un métèque non barbare (c’est-à-dire grec) accomplissait de hauts faits pour la cité, il pouvait recevoir, à titre exceptionnel et en remerciement de ses actions, la citoyenneté athénienne, moyennant finances. Une telle décision ne pouvait être prise qu'à la suite d'un vote de l'Ecclésia réunissant 6 000 citoyens. Ces naturalisations sont donc très rares et solennelles. Par exemple, un métèque riche a fait don à la cité d'Athènes de plus de 1 000 boucliers, et il n'a jamais obtenu cette citoyenneté. La rareté de ce droit de cité accordé à des étrangers s'explique par le désir de maintenir un équilibre optimum entre le territoire et ceux qui se le partagent, et de ne point accroître inconsidérément le nombre des citoyens, c'est-à-dire des ayants droit[10].
La citoyenneté conférait un pouvoir politique, mais aussi une protection judiciaire, les citoyens ne pouvant ni être soumis à la question (torture), ni être condamnés au supplice ou à une peine corporelle. Les seules peines qui pouvaient leur être infligées étaient donc l'amende, l'atimie, l'exil, et la mort.
La citoyenneté confère aussi un privilège économique : seuls les citoyens peuvent avoir une propriété foncière. Ce privilège s'explique par l'histoire de la démocratie athénienne ; héritier d'un passé aristocratique, le régime considérait l'agriculture comme le seul travail digne d'un citoyen, et valorisa la vie de rentier.
Le citoyen athénien avait le droit de voter et d'être élu mais il avait le devoir de faire la guerre et de payer les impôts. Par ailleurs, les riches devaient financer les liturgies et les pauvres devaient être aidés financièrement pour pouvoir participer à la vie de la cité.
Certifié tous gaz.
il y a 3 mois
Anthony_A3
3 mois
Sinon, il y a la monarchie décentralisée.
Je pense le seul type de monarchie viable.
Je pense le seul type de monarchie viable.
il y a 3 mois
Juliette82
3 mois
Suffit de regarder comment ce sont terminées les républiques en Grèce et à Rome (guerre civile durant des décennies) pour passer à un Empire ou une Dictature.
Toujours le même schéma:
->Monarchie
puis le peuple se révolte après s'être fait laver le cerveau par la bourgeoisie et les sénateurs.
-> République
Tient 100 ans max car la corruption, la justice corrompue et le décalage elites/peuple amène à une guerre civile qui se termine avec l'arrivée d'un homme fort à qui on donne tous les pouvoirs pour retablir l'ordre
-> Dictature / Empire.
D'ailleurs la France a suivi le même chemin en 1789: monarchie -> pseudo republique -> troubles civils -> arrivée d'un homme fort -> empire.
Toujours le même schéma:
->Monarchie
puis le peuple se révolte après s'être fait laver le cerveau par la bourgeoisie et les sénateurs.
-> République
Tient 100 ans max car la corruption, la justice corrompue et le décalage elites/peuple amène à une guerre civile qui se termine avec l'arrivée d'un homme fort à qui on donne tous les pouvoirs pour retablir l'ordre
-> Dictature / Empire.
D'ailleurs la France a suivi le même chemin en 1789: monarchie -> pseudo republique -> troubles civils -> arrivée d'un homme fort -> empire.
Pour toi les USA c’est l’exception qui confirme la règle ?
il y a 3 mois-PEMT
Monarchie de droit divin dans un état-nation ethniquement et culturellement homogène.
il y a 3 mois
Tout-à-fait possible.
Jusqu'en 451 av. J.-C., pour être citoyen athénien, il faut être un homme libre né de père athénien, et avoir suivi l'éphébie de 18 à 20 ans, c’est-à-dire être capable de défendre la cité. L'éphébie est en effet une formation militaire et civique qui permet à la cité d'assurer sa défense sans avoir d'armée permanente ; elle prémunit aussi la ville des risques de tyrannie. En 451, Périclès modifie la loi qui désormais confère la citoyenneté au jeune adulte à la seule condition de la double filiation d'un père de statut citoyen et d'une mère, fille de citoyen, ce second critère introduisant une restriction notable.
Les esclaves et les femmes considérés respectivement comme des biens et d'éternelles mineures, ainsi que les métèques n'étaient pas inclus dans la communauté politique, comme dans la plupart des cités grecques. Cependant, si un métèque non barbare (c’est-à-dire grec) accomplissait de hauts faits pour la cité, il pouvait recevoir, à titre exceptionnel et en remerciement de ses actions, la citoyenneté athénienne, moyennant finances. Une telle décision ne pouvait être prise qu'à la suite d'un vote de l'Ecclésia réunissant 6 000 citoyens. Ces naturalisations sont donc très rares et solennelles. Par exemple, un métèque riche a fait don à la cité d'Athènes de plus de 1 000 boucliers, et il n'a jamais obtenu cette citoyenneté. La rareté de ce droit de cité accordé à des étrangers s'explique par le désir de maintenir un équilibre optimum entre le territoire et ceux qui se le partagent, et de ne point accroître inconsidérément le nombre des citoyens, c'est-à-dire des ayants droit[10].
La citoyenneté conférait un pouvoir politique, mais aussi une protection judiciaire, les citoyens ne pouvant ni être soumis à la question (torture), ni être condamnés au supplice ou à une peine corporelle. Les seules peines qui pouvaient leur être infligées étaient donc l'amende, l'atimie, l'exil, et la mort.
La citoyenneté confère aussi un privilège économique : seuls les citoyens peuvent avoir une propriété foncière. Ce privilège s'explique par l'histoire de la démocratie athénienne ; héritier d'un passé aristocratique, le régime considérait l'agriculture comme le seul travail digne d'un citoyen, et valorisa la vie de rentier.
Le citoyen athénien avait le droit de voter et d'être élu mais il avait le devoir de faire la guerre et de payer les impôts. Par ailleurs, les riches devaient financer les liturgies et les pauvres devaient être aidés financièrement pour pouvoir participer à la vie de la cité.
Jusqu'en 451 av. J.-C., pour être citoyen athénien, il faut être un homme libre né de père athénien, et avoir suivi l'éphébie de 18 à 20 ans, c’est-à-dire être capable de défendre la cité. L'éphébie est en effet une formation militaire et civique qui permet à la cité d'assurer sa défense sans avoir d'armée permanente ; elle prémunit aussi la ville des risques de tyrannie. En 451, Périclès modifie la loi qui désormais confère la citoyenneté au jeune adulte à la seule condition de la double filiation d'un père de statut citoyen et d'une mère, fille de citoyen, ce second critère introduisant une restriction notable.
Les esclaves et les femmes considérés respectivement comme des biens et d'éternelles mineures, ainsi que les métèques n'étaient pas inclus dans la communauté politique, comme dans la plupart des cités grecques. Cependant, si un métèque non barbare (c’est-à-dire grec) accomplissait de hauts faits pour la cité, il pouvait recevoir, à titre exceptionnel et en remerciement de ses actions, la citoyenneté athénienne, moyennant finances. Une telle décision ne pouvait être prise qu'à la suite d'un vote de l'Ecclésia réunissant 6 000 citoyens. Ces naturalisations sont donc très rares et solennelles. Par exemple, un métèque riche a fait don à la cité d'Athènes de plus de 1 000 boucliers, et il n'a jamais obtenu cette citoyenneté. La rareté de ce droit de cité accordé à des étrangers s'explique par le désir de maintenir un équilibre optimum entre le territoire et ceux qui se le partagent, et de ne point accroître inconsidérément le nombre des citoyens, c'est-à-dire des ayants droit[10].
La citoyenneté conférait un pouvoir politique, mais aussi une protection judiciaire, les citoyens ne pouvant ni être soumis à la question (torture), ni être condamnés au supplice ou à une peine corporelle. Les seules peines qui pouvaient leur être infligées étaient donc l'amende, l'atimie, l'exil, et la mort.
La citoyenneté confère aussi un privilège économique : seuls les citoyens peuvent avoir une propriété foncière. Ce privilège s'explique par l'histoire de la démocratie athénienne ; héritier d'un passé aristocratique, le régime considérait l'agriculture comme le seul travail digne d'un citoyen, et valorisa la vie de rentier.
Le citoyen athénien avait le droit de voter et d'être élu mais il avait le devoir de faire la guerre et de payer les impôts. Par ailleurs, les riches devaient financer les liturgies et les pauvres devaient être aidés financièrement pour pouvoir participer à la vie de la cité.
Ça change rien à mon affirmation, d’autant plus que ce régime fonctionnait pour une Cité-État où les esclaves étaient important pour la pérennité économique de la dite démocratie. Je t’avoue que je ne développerai pas plus, car je suis pas trop renseigné là dessus…
il y a 3 mois
D'accord le dreamer
il y a 3 mois