Ce sujet a été résolu
@Detruit Le gallo, s’il est disparu dans les faits, est devenu l’instrument d’une poignée d’opportunistes déterminés à engranger les subsides publics avec l’aide des idiots utiles de la réaction régionaliste qui prétendent en faire une langue bretonne bis.
Cette politique artificielle qui ne rencontre aucune demande sociale – on serait bien en peine de trouver des parents bretons désireux de faire parler du français dégénéré à leurs enfants, la moitié des Bretons ignorent même de quoi il s’agit – n’a trouvé droit de cité au Conseil régional que par l’aide des régionalistes de gauche, les ennemis fondamentaux de la nation bretonne. Adeptes du misérabilisme et du relativisme culturel, ces réactionnaires français ont systématiquement semé la confusion en prétendant que le patois gallo était “un breton comme un autre”.
Alors que la langue bretonne, par l’action déterminée des Emsaverien, se hisse progressivement dans un rapport de symétrie nationale avec la langue française dans l’esprit du Peuple Breton, l’agitation d’une douzaine de gallomaniaques, soutenus par la gauche anti-ethnique du Conseil régional, ravale, par cette promotion odieuse, la langue bretonne à un simple patois dans l’inconscient des masses. En pratique, s’ajoute donc au latinisme institutionnel triomphant porté par l’Etat français le latinisme asymétrique porté par la secte gallomaniaque. La Bretagne la plus historiquement brittophone se retrouve exposée à un patois français mort et enterré, tandis que la langue bretonne se retrouve diluée dans une farce visuelle grotesque. Chaque centime détourné au profit du patois gallo disparu vise à priver le Peuple Breton des fonds que réclame la défense de sa langue, la langue bretonne.
Demain, selon le même principe misérabiliste, l’arabe dialectal algérien et le turc s’ajouteront sur les panneaux promus par les tenants français du relativisme culturel de gauche actuellement à la tête du Conseil régional.
L’Emsav, comme son nom l’indique, a toujours eu pour objective la régénération brittonnique, donc celtique, du Peuple Breton, acculturé par le latinisme de l’impérialisme français. Il n’a jamais eu de conception inerte de la culture, contrairement à la réaction régionaliste, faction marginale obsédée par la restauration des campagnes du 19e siècle. Promoteur d’une race bretonne forte et dominatrice, tout dans le misérabilisme régionaliste le répugne. L’objectif de l’Emsav est de reconquérir la totalité de la Bretagne du temps de sa plus grande vigueur nationale.
Dans la nuit du 22 au 23 mars 2025, des tags ont été peints sur les vitres de la permanence du député Paul Molac à Ploërmel, découverts par la police municipale le lendemain. Les inscriptions, dans le parler dit « gallo », visaient nommément ce député et conseiller « régional » issu la gauche régionaliste, membre du groupe LIOT. L’action a été revendiquée par « La Brigade Albert Poulain », un sobriquet utilisé par un individu, notoirement connu, qui se revendique du parler « gallo » et qui reproche à Paul Molac de ne pas avoir tenu ses promesses sur la généralisation d’une signalétique en parler angevin.
Paul Molac a condamné ces tags comme une « tentative d’intimidation » par un « sombre groupuscule », distinct, selon lui, des « vrais défenseurs » du parler gallo qu’il dit par ailleurs soutenir. Paul Molac réitère son engagement pour la promotion de ce créole français aujourd’hui disparu, soulignant son usage au Conseil régional. Qualifiant cet acte de « lâche » et « inacceptable », il a porté plainte à la gendarmerie et il a réaffirmé son « combat » pour la « tolérance », le grigri habituel du relativisme sociétal qui a servi en premier lieu de terreau à la farce de la promotion artificielle du parler gallo.
Ce développement ne surprendra que les naïfs du « mouvement breton », qu’on devrait renommer « mouvament berton » pour souligner la confusion qu’il opère entre deux projets, celui, national, de l’Emsav qui veut faire de Breizh un état celtique, moderne et indépendant, et l’autre, provincial, de la « région Bretagne » comme excroissance de l’État français et de sa société multiculturelle dont le patois d’oïl est une séquelle. Il est d’autant plus ironique de voir les adeptes du régionalisme de gauche, qui ont importé presque à eux seuls cette insanité dans les cercles bretons, être ciblés par les rares adeptes de la secte gallomane.
À cet égard, la promotion artificielle du parler gallo marque une double régression historique. Linguistique d’abord, car le parler gallo n’a jamais été une langue pour commencer, mais une forme de français rural mal orthographié. Par cette « promotion » arbitraire à laquelle des Bretons égarés ont prêté leur concours, ce statut usurpé permet de dévaloriser en creux la langue bretonne dans les représentations collectives. Politique ensuite, car cette promotion est l’expression du misérabilisme et du relativisme culturels issus du gauchisme français qui ont porté des Bretons, par simple complexe moral, à prêter à ce créole rural un statut politique identique à celui de la dernière langue celtique du continent européen. La langue bretonne n’est dès lors plus la langue des Bretons, mais un idiome parmi d’autres, permettant de fait au français de régner sur les divisions ainsi artificiellement créées.
Alors que les nationalistes bretons veulent depuis toujours établir un rapport d’égalité symbolique entre le breton et le français pour que la langue bretonne soit à son tour reconnue comme une langue d’état en devenir, la promotion tardive du parler gallo a contribué à la triangulation du conflit linguistique au profit de l’État français et de sa langue officielle, la langue bretonne étant prise en étau par le français et un de ses sous-produits.
Le résultat tangible de cette stupidité est la dévalorisation relative du breton face au français, car, en pratique, cela implique que la langue bretonne ne puisse prétendre à aucune avancée qui ne bénéficierait pas aussi, à égalité, au parler gallo. En somme, pas de victoire pour la langue bretonne possible sans victoire accordée à ce parler d’oïl disparu.
Les nationalistes français ne s’y sont pas trompés, puisqu’ils sont devenus les bruyants amis du parler gallo à chaque fois que la langue bretonne paraît renforcer son statut face à la langue française. De fait, le parler gallo permet de justifier la relégation budgétaire, l’invisibilisation du breton dans l’espace public, et, depuis quelques temps, des attaques en règle contre la présence du breton dans l’ensemble de la Bretagne.
Disons les choses clairement : il s’agit d’une tentative de création d’un « contre-séparatisme » français en Bretagne, sur la base du latinisme, pour empêcher la montée en puissance le la Bretagne celtique, forte de son affirmation identitaire. Ce contrefeu, s’il ne rencontre aucun écho dans la population bretonne comme l’indifférence au parler gallo le démontre, est de nature à justifier diverses oppositions politiques opportunistes contre la langue bretonne et, plus généralement, contre les revendications nationales.
À la place d’une montée en puissance de la conscience nationale bretonne, enfin unie autour de sa langue, c’est le projet d’un patchwork multiculturel post-national, post-ethnique, qui le supplanterait politiquement et médiatiquement. Selon cette conception, demain s’ajouteront le Wolof de Villejean ou le Pashtun de Saint-Brieuc à la liste des bavardages « minoritaires » légitimes à revendiquer une égale visibilité avec le breton s’il se trouve suffisamment de Sénégalais ou d’Afghans pour en faire la demande. Et ainsi, l’État français pourrait justifier à l’envi son inertie, mobilisant tel ou tel groupe « minoritaire » contre le peuple breton et ses légitimes demandes d’émancipation. Nous pouvons déjà affirmer que l’on trouverait tout ce qu’il faut de gauchistes déstructurés du « mouvament berton » pour s’en faire les avocats.
Le parler gallo a disparu et ne ressuscitera pas. Le français unifié l’a supplanté, soutenu par un État moderne disposant d’une langue de culture à laquelle le grotesque parler gallo n’a rien à opposer, et certainement pas son honteux accent de ferme. Là aussi, le plus terrible des plaidoyers contre le parler gallo est encore le gallo lui-même. Aucun parent ne voudrait que ses enfants jargonnent un tel créole de basse cour.
C’est plutôt ce que son utilisation permettrait aux ennemis de l’Emsav et des Bretons qui doit retenir l’attention. La promotion illégitime de ce parler angevin doit être une ligne rouge pour les Bretons et l’importation de ce thème dans les cercles bretons doit être très durement combattue, jusqu’à suppression complète, pour enrayer la subversion et recentrer l’Emsav sur son identité profonde : le celtisme.
Cette politique artificielle qui ne rencontre aucune demande sociale – on serait bien en peine de trouver des parents bretons désireux de faire parler du français dégénéré à leurs enfants, la moitié des Bretons ignorent même de quoi il s’agit – n’a trouvé droit de cité au Conseil régional que par l’aide des régionalistes de gauche, les ennemis fondamentaux de la nation bretonne. Adeptes du misérabilisme et du relativisme culturel, ces réactionnaires français ont systématiquement semé la confusion en prétendant que le patois gallo était “un breton comme un autre”.
Alors que la langue bretonne, par l’action déterminée des Emsaverien, se hisse progressivement dans un rapport de symétrie nationale avec la langue française dans l’esprit du Peuple Breton, l’agitation d’une douzaine de gallomaniaques, soutenus par la gauche anti-ethnique du Conseil régional, ravale, par cette promotion odieuse, la langue bretonne à un simple patois dans l’inconscient des masses. En pratique, s’ajoute donc au latinisme institutionnel triomphant porté par l’Etat français le latinisme asymétrique porté par la secte gallomaniaque. La Bretagne la plus historiquement brittophone se retrouve exposée à un patois français mort et enterré, tandis que la langue bretonne se retrouve diluée dans une farce visuelle grotesque. Chaque centime détourné au profit du patois gallo disparu vise à priver le Peuple Breton des fonds que réclame la défense de sa langue, la langue bretonne.
Demain, selon le même principe misérabiliste, l’arabe dialectal algérien et le turc s’ajouteront sur les panneaux promus par les tenants français du relativisme culturel de gauche actuellement à la tête du Conseil régional.
L’Emsav, comme son nom l’indique, a toujours eu pour objective la régénération brittonnique, donc celtique, du Peuple Breton, acculturé par le latinisme de l’impérialisme français. Il n’a jamais eu de conception inerte de la culture, contrairement à la réaction régionaliste, faction marginale obsédée par la restauration des campagnes du 19e siècle. Promoteur d’une race bretonne forte et dominatrice, tout dans le misérabilisme régionaliste le répugne. L’objectif de l’Emsav est de reconquérir la totalité de la Bretagne du temps de sa plus grande vigueur nationale.
Dans la nuit du 22 au 23 mars 2025, des tags ont été peints sur les vitres de la permanence du député Paul Molac à Ploërmel, découverts par la police municipale le lendemain. Les inscriptions, dans le parler dit « gallo », visaient nommément ce député et conseiller « régional » issu la gauche régionaliste, membre du groupe LIOT. L’action a été revendiquée par « La Brigade Albert Poulain », un sobriquet utilisé par un individu, notoirement connu, qui se revendique du parler « gallo » et qui reproche à Paul Molac de ne pas avoir tenu ses promesses sur la généralisation d’une signalétique en parler angevin.
Paul Molac a condamné ces tags comme une « tentative d’intimidation » par un « sombre groupuscule », distinct, selon lui, des « vrais défenseurs » du parler gallo qu’il dit par ailleurs soutenir. Paul Molac réitère son engagement pour la promotion de ce créole français aujourd’hui disparu, soulignant son usage au Conseil régional. Qualifiant cet acte de « lâche » et « inacceptable », il a porté plainte à la gendarmerie et il a réaffirmé son « combat » pour la « tolérance », le grigri habituel du relativisme sociétal qui a servi en premier lieu de terreau à la farce de la promotion artificielle du parler gallo.
Ce développement ne surprendra que les naïfs du « mouvement breton », qu’on devrait renommer « mouvament berton » pour souligner la confusion qu’il opère entre deux projets, celui, national, de l’Emsav qui veut faire de Breizh un état celtique, moderne et indépendant, et l’autre, provincial, de la « région Bretagne » comme excroissance de l’État français et de sa société multiculturelle dont le patois d’oïl est une séquelle. Il est d’autant plus ironique de voir les adeptes du régionalisme de gauche, qui ont importé presque à eux seuls cette insanité dans les cercles bretons, être ciblés par les rares adeptes de la secte gallomane.
À cet égard, la promotion artificielle du parler gallo marque une double régression historique. Linguistique d’abord, car le parler gallo n’a jamais été une langue pour commencer, mais une forme de français rural mal orthographié. Par cette « promotion » arbitraire à laquelle des Bretons égarés ont prêté leur concours, ce statut usurpé permet de dévaloriser en creux la langue bretonne dans les représentations collectives. Politique ensuite, car cette promotion est l’expression du misérabilisme et du relativisme culturels issus du gauchisme français qui ont porté des Bretons, par simple complexe moral, à prêter à ce créole rural un statut politique identique à celui de la dernière langue celtique du continent européen. La langue bretonne n’est dès lors plus la langue des Bretons, mais un idiome parmi d’autres, permettant de fait au français de régner sur les divisions ainsi artificiellement créées.
Alors que les nationalistes bretons veulent depuis toujours établir un rapport d’égalité symbolique entre le breton et le français pour que la langue bretonne soit à son tour reconnue comme une langue d’état en devenir, la promotion tardive du parler gallo a contribué à la triangulation du conflit linguistique au profit de l’État français et de sa langue officielle, la langue bretonne étant prise en étau par le français et un de ses sous-produits.
Le résultat tangible de cette stupidité est la dévalorisation relative du breton face au français, car, en pratique, cela implique que la langue bretonne ne puisse prétendre à aucune avancée qui ne bénéficierait pas aussi, à égalité, au parler gallo. En somme, pas de victoire pour la langue bretonne possible sans victoire accordée à ce parler d’oïl disparu.
Les nationalistes français ne s’y sont pas trompés, puisqu’ils sont devenus les bruyants amis du parler gallo à chaque fois que la langue bretonne paraît renforcer son statut face à la langue française. De fait, le parler gallo permet de justifier la relégation budgétaire, l’invisibilisation du breton dans l’espace public, et, depuis quelques temps, des attaques en règle contre la présence du breton dans l’ensemble de la Bretagne.
Disons les choses clairement : il s’agit d’une tentative de création d’un « contre-séparatisme » français en Bretagne, sur la base du latinisme, pour empêcher la montée en puissance le la Bretagne celtique, forte de son affirmation identitaire. Ce contrefeu, s’il ne rencontre aucun écho dans la population bretonne comme l’indifférence au parler gallo le démontre, est de nature à justifier diverses oppositions politiques opportunistes contre la langue bretonne et, plus généralement, contre les revendications nationales.
À la place d’une montée en puissance de la conscience nationale bretonne, enfin unie autour de sa langue, c’est le projet d’un patchwork multiculturel post-national, post-ethnique, qui le supplanterait politiquement et médiatiquement. Selon cette conception, demain s’ajouteront le Wolof de Villejean ou le Pashtun de Saint-Brieuc à la liste des bavardages « minoritaires » légitimes à revendiquer une égale visibilité avec le breton s’il se trouve suffisamment de Sénégalais ou d’Afghans pour en faire la demande. Et ainsi, l’État français pourrait justifier à l’envi son inertie, mobilisant tel ou tel groupe « minoritaire » contre le peuple breton et ses légitimes demandes d’émancipation. Nous pouvons déjà affirmer que l’on trouverait tout ce qu’il faut de gauchistes déstructurés du « mouvament berton » pour s’en faire les avocats.
Le parler gallo a disparu et ne ressuscitera pas. Le français unifié l’a supplanté, soutenu par un État moderne disposant d’une langue de culture à laquelle le grotesque parler gallo n’a rien à opposer, et certainement pas son honteux accent de ferme. Là aussi, le plus terrible des plaidoyers contre le parler gallo est encore le gallo lui-même. Aucun parent ne voudrait que ses enfants jargonnent un tel créole de basse cour.
C’est plutôt ce que son utilisation permettrait aux ennemis de l’Emsav et des Bretons qui doit retenir l’attention. La promotion illégitime de ce parler angevin doit être une ligne rouge pour les Bretons et l’importation de ce thème dans les cercles bretons doit être très durement combattue, jusqu’à suppression complète, pour enrayer la subversion et recentrer l’Emsav sur son identité profonde : le celtisme.
il y a 4 mois
Vous devez être au niveau 1 pour voir ce message.
il y a 4 mois
Parvati
4 mois
An an an
Bordel, j'ai lu kheyette aussi
@ElBouclador @BlueLadyShow @Lulu @TF6 @Jenseth @Dagoth-Ur Vous êtes de bons gars, ne changez pas.
@ElBouclador @BlueLadyShow @Lulu @TF6 @Jenseth @Dagoth-Ur Vous êtes de bons gars, ne changez pas.
il y a 4 mois
BlueLadyShow
4 mois
La plus belle @Glock
Un visage sincère et plein d'empathie est le vrai visage de la " force"
il y a 4 mois
Bordel, j'ai lu kheyette aussi
@ElBouclador @BlueLadyShow @Lulu @TF6 @Jenseth @Dagoth-Ur Vous êtes de bons gars, ne changez pas.
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Merci copain, t'es indispensable au forum, t'es un amour
il y a 4 mois
Bordel, j'ai lu kheyette aussi
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Ça c'est gentil ça
𓃫 𓃩 𓁣
il y a 4 mois
Bordel, j'ai lu kheyette aussi
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il y a 4 mois
Jouhn_Ingroum
4 mois
Je n'ai plus rien à dire à personne 

Le Roi Ultime ne s’adresse plus à la populace
il y a 4 mois
Je leur ai dédié peu ou prou 130024 messages . . . mon CACA
An an an
il y a 4 mois
Je leur ai dédié peu ou prou 130024 messages . . . mon CACA
- C'est moi ton CACA
Le seul et unique "Taré" de la Planète Fourum
il y a 4 mois