Ce sujet a été résolu
J'ai justement dis que j'ai posté hier mais que comme le forum s'est fait ddos j'ai reposté le topic, calme-toi
il y a 2 ans
SingeDeClichy
2 ans
C'est une histoire fake pour énerver les gens nan?
Réel malheureusement
Le genre d'affaire qui me donne envie de passer 15 minutes en tête à tête avec les parents dans une pièce fermée et de déchaîner les enfers sur ces sous merdes
Le genre d'affaire qui me donne envie de passer 15 minutes en tête à tête avec les parents dans une pièce fermée et de déchaîner les enfers sur ces sous merdes
il y a 2 ans
Putain les parents alcooliques violents et la gamine qui dit "bonne nuit"
Son âge n'est pas préciser.

Son âge n'est pas préciser.
il y a 2 ans
StarAcIsLife
2 ans
Ne transformez pas ce forum en jvc svp...
ici c'est pas jvc. donc tu lis, et tu me remercie de te faire blackpill sur la réalité du monde dans lequel on vis
et si tu connaissais déjà, ça permet de te rafraichir la mémoire sur le fait que ces horreurs ça peut arriver a tout le monde
et si tu connaissais déjà, ça permet de te rafraichir la mémoire sur le fait que ces horreurs ça peut arriver a tout le monde
Maybe I just want to maybe...
il y a 2 ans
Bordel.
Y'en a qui méritent vraiment qu'on leur fasse du sale.
Typiquement pour ce genre de truc que je respecte ceux qui font le taf de flic, imagine tu vois des trucs comme ça à longueur de journée.
Y'en a qui méritent vraiment qu'on leur fasse du sale.
Typiquement pour ce genre de truc que je respecte ceux qui font le taf de flic, imagine tu vois des trucs comme ça à longueur de journée.
il y a 2 ans
Junko Furuta est née à Misato, dans la préfecture de Saitama. Adolescente, elle fréquente le lycée de Yashio-Minami.
Avant son enlèvement, elle avait accepté un emploi dans un magasin d'électronique, où elle prévoyait de travailler après avoir obtenu son diplôme.
Junko Furuta est décrite comme une élève sérieuse, avec d'excellentes notes et des absences très rares. Elle travaillait à temps partiel dans une usine de moulage de plastique deux fois par semaine depuis octobre 1988 pour économiser de l'argent en prévision d'un voyage de fin d'études.
Le 25 novembre 1988, deux jeunes hommes, Hiroshi Miyano et Shinji Minato, rôdent à Misato dans le but d'enlever et de violer une jeune fille.
À 20 h 30, ils aperçoivent Junko Furuta rentrer à vélo de l'usine où elle travaille. Minato, sous les ordres de Miyano, fait tomber la jeune fille à vélo et s'enfuit, laissant son ami lui porter assistance en prétendant passer par hasard, et lui propose de la raccompagner chez elle.
Junko Furuta accepte mais Miyano la mène dans un entrepôt et la viole une première fois en lui révélant qu'il faisait partie des yakuzas.
Il l'emmène ensuite à l'hôtel, la viole une seconde fois puis téléphone à ses amis.
Vers trois heures du matin, il part au parc avec elle, où les trois autres garçons les rejoignent.
Ils cherchent dans les papiers de la jeune fille, trouvent son adresse et l'effrayent en lui disant que si elle essaye de s'échapper, ils enverront des yakuzas tuer sa famille.
Finalement, ils s'installent à Ayase, quartier d'Adachi, dans la maison des parents de Minato. Comme les parents de Junko avaient signalé la disparition de leur fille à la police, Miyano force Furuta à les appeler et à leur faire croire à une fugue, prétendant qu'elle était avec un « ami » et qu'elle était en sécurité, ce qui provoque l'abandon des recherches.
Furuta essaya de s'échapper à plusieurs reprises, suppliant les parents de Minato de l'aider, mais ni ceux-ci, terrorisés par Miyano et leur propre fils, ni le frère de Minato, ne prévinrent la police.
Furuta est séquestrée dans la résidence des Minato pendant 40 jours, période durant laquelle elle est violée et torturée par les quatre garçons et de nombreuses autres personnes, parmi lesquelles des relations yakuzas de Miyano.
Durant sa séquestration, les quatre garçons la battent, l'affament, la suspendent au plafond et l'utilisent comme « sac de frappe », la forcent à manger des cafards vivants et à boire sa propre urine, à se masturber devant eux et à danser et à chanter des chansons tout en étant battue.
Ils lui insèrent également des objets étrangers, dont une ampoule allumée et un feu d'artifice, dans le vagin et l'anus.
Ils lui brûlent le vagin et le clitoris avec des cigarettes et des briquets, lui arrachent le mamelon gauche avec des pinces et lui percent ses seins avec des aiguilles à coudre.
Lorsque Furuta s'évanouit à cause de la douleur, il lui plongent la tête dans un seau d'eau afin de lui faire reprendre conscience et de continuer à la torturer.
Avant son enlèvement, elle avait accepté un emploi dans un magasin d'électronique, où elle prévoyait de travailler après avoir obtenu son diplôme.
Junko Furuta est décrite comme une élève sérieuse, avec d'excellentes notes et des absences très rares. Elle travaillait à temps partiel dans une usine de moulage de plastique deux fois par semaine depuis octobre 1988 pour économiser de l'argent en prévision d'un voyage de fin d'études.
Le 25 novembre 1988, deux jeunes hommes, Hiroshi Miyano et Shinji Minato, rôdent à Misato dans le but d'enlever et de violer une jeune fille.
À 20 h 30, ils aperçoivent Junko Furuta rentrer à vélo de l'usine où elle travaille. Minato, sous les ordres de Miyano, fait tomber la jeune fille à vélo et s'enfuit, laissant son ami lui porter assistance en prétendant passer par hasard, et lui propose de la raccompagner chez elle.
Junko Furuta accepte mais Miyano la mène dans un entrepôt et la viole une première fois en lui révélant qu'il faisait partie des yakuzas.
Il l'emmène ensuite à l'hôtel, la viole une seconde fois puis téléphone à ses amis.
Vers trois heures du matin, il part au parc avec elle, où les trois autres garçons les rejoignent.
Ils cherchent dans les papiers de la jeune fille, trouvent son adresse et l'effrayent en lui disant que si elle essaye de s'échapper, ils enverront des yakuzas tuer sa famille.
Finalement, ils s'installent à Ayase, quartier d'Adachi, dans la maison des parents de Minato. Comme les parents de Junko avaient signalé la disparition de leur fille à la police, Miyano force Furuta à les appeler et à leur faire croire à une fugue, prétendant qu'elle était avec un « ami » et qu'elle était en sécurité, ce qui provoque l'abandon des recherches.
Furuta essaya de s'échapper à plusieurs reprises, suppliant les parents de Minato de l'aider, mais ni ceux-ci, terrorisés par Miyano et leur propre fils, ni le frère de Minato, ne prévinrent la police.
Furuta est séquestrée dans la résidence des Minato pendant 40 jours, période durant laquelle elle est violée et torturée par les quatre garçons et de nombreuses autres personnes, parmi lesquelles des relations yakuzas de Miyano.
Durant sa séquestration, les quatre garçons la battent, l'affament, la suspendent au plafond et l'utilisent comme « sac de frappe », la forcent à manger des cafards vivants et à boire sa propre urine, à se masturber devant eux et à danser et à chanter des chansons tout en étant battue.
Ils lui insèrent également des objets étrangers, dont une ampoule allumée et un feu d'artifice, dans le vagin et l'anus.
Ils lui brûlent le vagin et le clitoris avec des cigarettes et des briquets, lui arrachent le mamelon gauche avec des pinces et lui percent ses seins avec des aiguilles à coudre.
Lorsque Furuta s'évanouit à cause de la douleur, il lui plongent la tête dans un seau d'eau afin de lui faire reprendre conscience et de continuer à la torturer.
Je connaissais aussi cette histoire, c'est horrible mais celle de Marina est plus triste avec le "bonne nuit maman a demain" ça me brise le coeur a chaque fois que je la vois
il y a 2 ans
Je crois qu'ils avaient deux autres gamins qui ne subissaient aucun abus. Marina était le souffre-douleur exclusif
il y a 2 ans
Serbedetergent
2 ans
J’ai lu cette histoire déchirante y’a quelque mois juste après avoir visionne le faite entrer l’accusé sur les procès d’anger pour réseaux de pedophilie et inceste …
Ça te rend pro peine de mort
Ça te rend pro peine de mort
Parce que t'étais pas pour la peine de mort avant ?

il y a 2 ans
Yamato
2 ans
"Bonne nuit maman, à demain"
Elle était assise sur une chaise, nue, à faire des lignes. Eric Sabatier lui demande pourquoi mais la petite ne répond pas. "Je lui met une gifle, elle se fait pipi dessus", se souvient-il.
Dans la salle de bain, le père de la fillette la plonge dans un bain froid. "Je lui donne une claque tellement forte qu'elle cogne contre la baignoire, et en cognant il y a un impact sur le bord", raconte-t-il à la barre. Lorsqu'elle entre dans la salle de bain, elle met une gifle à Marina. La mère lui met à son tour la tête sous l'eau.
Une fois le supplice du bain terminé, Marina fait caca sur le tapis de bain. Ils la lavent à nouveau, à l'eau froide. La fillette ressort du bain, glisse sur le sol et se cogne la tête à deux reprises
Virginie Darras lui donne à boire "un verre à moutarde de vinaigre", puis "une cuillère à soupe de gros sel", raconte le père. "Pour l’écœurer", ajoute la mère.
Le père pousse l'enfant. Elle se cogne la tête contre une étagère
Les sévices se poursuivent encore et encore. Virginie Darras lui donne alors "un coup de raquette sur les abdos, la petite vole jusqu'au mur", précise le père. Ils la laissent en bas "allongée, en position du foetus", et remontent
Marina lui dit qu'elle a "mal à la tête". Elle lui dit "bonne nuit maman à demain". Mais, Marina meurt dans la nuit.
https://www.europe1.fr/fa[...]uit-maman-a-demain-371476
Elle était assise sur une chaise, nue, à faire des lignes. Eric Sabatier lui demande pourquoi mais la petite ne répond pas. "Je lui met une gifle, elle se fait pipi dessus", se souvient-il.
Dans la salle de bain, le père de la fillette la plonge dans un bain froid. "Je lui donne une claque tellement forte qu'elle cogne contre la baignoire, et en cognant il y a un impact sur le bord", raconte-t-il à la barre. Lorsqu'elle entre dans la salle de bain, elle met une gifle à Marina. La mère lui met à son tour la tête sous l'eau.
Une fois le supplice du bain terminé, Marina fait caca sur le tapis de bain. Ils la lavent à nouveau, à l'eau froide. La fillette ressort du bain, glisse sur le sol et se cogne la tête à deux reprises
Virginie Darras lui donne à boire "un verre à moutarde de vinaigre", puis "une cuillère à soupe de gros sel", raconte le père. "Pour l’écœurer", ajoute la mère.
Le père pousse l'enfant. Elle se cogne la tête contre une étagère
Les sévices se poursuivent encore et encore. Virginie Darras lui donne alors "un coup de raquette sur les abdos, la petite vole jusqu'au mur", précise le père. Ils la laissent en bas "allongée, en position du foetus", et remontent
Marina lui dit qu'elle a "mal à la tête". Elle lui dit "bonne nuit maman à demain". Mais, Marina meurt dans la nuit.
Peine de mort
il y a 2 ans
Rappel : si vous dites que ces gens méritent la pdm, ou pire, les judoka-maçons très moraux comme Badinter vont vous traiter de vilains goyim fachos !
il y a 2 ans