Ce sujet a été résolu
"Bonne nuit maman, à demain"
Elle était assise sur une chaise, nue, à faire des lignes. Eric Sabatier lui demande pourquoi mais la petite ne répond pas. "Je lui met une gifle, elle se fait pipi dessus", se souvient-il.
Dans la salle de bain, le père de la fillette la plonge dans un bain froid. "Je lui donne une claque tellement forte qu'elle cogne contre la baignoire, et en cognant il y a un impact sur le bord", raconte-t-il à la barre. Lorsqu'elle entre dans la salle de bain, elle met une gifle à Marina. La mère lui met à son tour la tête sous l'eau.
Une fois le supplice du bain terminé, Marina fait caca sur le tapis de bain. Ils la lavent à nouveau, à l'eau froide. La fillette ressort du bain, glisse sur le sol et se cogne la tête à deux reprises
Virginie Darras lui donne à boire "un verre à moutarde de vinaigre", puis "une cuillère à soupe de gros sel", raconte le père. "Pour l’écœurer", ajoute la mère.
Le père pousse l'enfant. Elle se cogne la tête contre une étagère
Les sévices se poursuivent encore et encore. Virginie Darras lui donne alors "un coup de raquette sur les abdos, la petite vole jusqu'au mur", précise le père. Ils la laissent en bas "allongée, en position du foetus", et remontent
Marina lui dit qu'elle a "mal à la tête". Elle lui dit "bonne nuit maman à demain". Mais, Marina meurt dans la nuit.
https://www.europe1.fr/fa[...]uit-maman-a-demain-371476
Elle était assise sur une chaise, nue, à faire des lignes. Eric Sabatier lui demande pourquoi mais la petite ne répond pas. "Je lui met une gifle, elle se fait pipi dessus", se souvient-il.
Dans la salle de bain, le père de la fillette la plonge dans un bain froid. "Je lui donne une claque tellement forte qu'elle cogne contre la baignoire, et en cognant il y a un impact sur le bord", raconte-t-il à la barre. Lorsqu'elle entre dans la salle de bain, elle met une gifle à Marina. La mère lui met à son tour la tête sous l'eau.
Une fois le supplice du bain terminé, Marina fait caca sur le tapis de bain. Ils la lavent à nouveau, à l'eau froide. La fillette ressort du bain, glisse sur le sol et se cogne la tête à deux reprises
Virginie Darras lui donne à boire "un verre à moutarde de vinaigre", puis "une cuillère à soupe de gros sel", raconte le père. "Pour l’écœurer", ajoute la mère.
Le père pousse l'enfant. Elle se cogne la tête contre une étagère
Les sévices se poursuivent encore et encore. Virginie Darras lui donne alors "un coup de raquette sur les abdos, la petite vole jusqu'au mur", précise le père. Ils la laissent en bas "allongée, en position du foetus", et remontent
Marina lui dit qu'elle a "mal à la tête". Elle lui dit "bonne nuit maman à demain". Mais, Marina meurt dans la nuit.
il y a 2 ans
bordel j'étais pas prêt pour ce récit
Ensemble, cultivons la paix et l'harmonie.
il y a 2 ans
petitkiwipoilu
2 ans
bordel j'étais pas prêt pour ce récit
Il est terrible, une peine infinie
il y a 2 ans
J’ai lu cette histoire déchirante y’a quelque mois juste après avoir visionne le faite entrer l’accusé sur les procès d’anger pour réseaux de pedophilie et inceste …
Ça te rend pro peine de mort
Ça te rend pro peine de mort
il y a 2 ans
Wilgen
2 ans
Pourquoi ils l'ont battu à mort ?
Parce que c’était des merde humaines comme bcp de parents
il y a 2 ans
Wilgen
2 ans
Pourquoi ils l'ont battu à mort ?
Par pur sadisme, rien ne pourrait justifier ce qu'ils lui ont fait subir de toute façon
il y a 2 ans
la modération elle est ou??? bande de segpa le mec jouit de raconter la souffrance d'un enfant et vous réagissez pas si j'avais dit putain de gwer la réaction aurait été rapide bande de déchets
il y a 2 ans
Wilgen
2 ans
Pourquoi ils l'ont battu à mort ?
Des dégénérés mentaux qui devraient être 6 pieds sous terre.
il y a 2 ans
Kim__Jong__Un
2 ans
la modération elle est ou??? bande de segpa le mec jouit de raconter la souffrance d'un enfant et vous réagissez pas si j'avais dit putain de gwer la réaction aurait été rapide bande de déchets
T'es complètement malade, j'ai juste cité l'article
il y a 2 ans
Voilà pourquoi les athées ont besoin de la lumière du Christ dans leur vie. Voilà pourquoi je continue de sonner aux portes chaque semaine. Seul Dieu peut sauver leurs âmes
il y a 2 ans
SingeDeClichy
2 ans
C'est une histoire fake pour énerver les gens nan?
Junko Furuta est née à Misato, dans la préfecture de Saitama. Adolescente, elle fréquente le lycée de Yashio-Minami.
Avant son enlèvement, elle avait accepté un emploi dans un magasin d'électronique, où elle prévoyait de travailler après avoir obtenu son diplôme.
Junko Furuta est décrite comme une élève sérieuse, avec d'excellentes notes et des absences très rares. Elle travaillait à temps partiel dans une usine de moulage de plastique deux fois par semaine depuis octobre 1988 pour économiser de l'argent en prévision d'un voyage de fin d'études.
Le 25 novembre 1988, deux jeunes hommes, Hiroshi Miyano et Shinji Minato, rôdent à Misato dans le but d'enlever et de violer une jeune fille.
À 20 h 30, ils aperçoivent Junko Furuta rentrer à vélo de l'usine où elle travaille. Minato, sous les ordres de Miyano, fait tomber la jeune fille à vélo et s'enfuit, laissant son ami lui porter assistance en prétendant passer par hasard, et lui propose de la raccompagner chez elle.
Junko Furuta accepte mais Miyano la mène dans un entrepôt et la viole une première fois en lui révélant qu'il faisait partie des yakuzas.
Il l'emmène ensuite à l'hôtel, la viole une seconde fois puis téléphone à ses amis.
Vers trois heures du matin, il part au parc avec elle, où les trois autres garçons les rejoignent.
Ils cherchent dans les papiers de la jeune fille, trouvent son adresse et l'effrayent en lui disant que si elle essaye de s'échapper, ils enverront des yakuzas tuer sa famille.
Finalement, ils s'installent à Ayase, quartier d'Adachi, dans la maison des parents de Minato. Comme les parents de Junko avaient signalé la disparition de leur fille à la police, Miyano force Furuta à les appeler et à leur faire croire à une fugue, prétendant qu'elle était avec un « ami » et qu'elle était en sécurité, ce qui provoque l'abandon des recherches.
Furuta essaya de s'échapper à plusieurs reprises, suppliant les parents de Minato de l'aider, mais ni ceux-ci, terrorisés par Miyano et leur propre fils, ni le frère de Minato, ne prévinrent la police.
Furuta est séquestrée dans la résidence des Minato pendant 40 jours, période durant laquelle elle est violée et torturée par les quatre garçons et de nombreuses autres personnes, parmi lesquelles des relations yakuzas de Miyano.
Durant sa séquestration, les quatre garçons la battent, l'affament, la suspendent au plafond et l'utilisent comme « sac de frappe », la forcent à manger des cafards vivants et à boire sa propre urine, à se masturber devant eux et à danser et à chanter des chansons tout en étant battue.
Ils lui insèrent également des objets étrangers, dont une ampoule allumée et un feu d'artifice, dans le vagin et l'anus.
Ils lui brûlent le vagin et le clitoris avec des cigarettes et des briquets, lui arrachent le mamelon gauche avec des pinces et lui percent ses seins avec des aiguilles à coudre.
Lorsque Furuta s'évanouit à cause de la douleur, il lui plongent la tête dans un seau d'eau afin de lui faire reprendre conscience et de continuer à la torturer.
Avant son enlèvement, elle avait accepté un emploi dans un magasin d'électronique, où elle prévoyait de travailler après avoir obtenu son diplôme.
Junko Furuta est décrite comme une élève sérieuse, avec d'excellentes notes et des absences très rares. Elle travaillait à temps partiel dans une usine de moulage de plastique deux fois par semaine depuis octobre 1988 pour économiser de l'argent en prévision d'un voyage de fin d'études.
Le 25 novembre 1988, deux jeunes hommes, Hiroshi Miyano et Shinji Minato, rôdent à Misato dans le but d'enlever et de violer une jeune fille.
À 20 h 30, ils aperçoivent Junko Furuta rentrer à vélo de l'usine où elle travaille. Minato, sous les ordres de Miyano, fait tomber la jeune fille à vélo et s'enfuit, laissant son ami lui porter assistance en prétendant passer par hasard, et lui propose de la raccompagner chez elle.
Junko Furuta accepte mais Miyano la mène dans un entrepôt et la viole une première fois en lui révélant qu'il faisait partie des yakuzas.
Il l'emmène ensuite à l'hôtel, la viole une seconde fois puis téléphone à ses amis.
Vers trois heures du matin, il part au parc avec elle, où les trois autres garçons les rejoignent.
Ils cherchent dans les papiers de la jeune fille, trouvent son adresse et l'effrayent en lui disant que si elle essaye de s'échapper, ils enverront des yakuzas tuer sa famille.
Finalement, ils s'installent à Ayase, quartier d'Adachi, dans la maison des parents de Minato. Comme les parents de Junko avaient signalé la disparition de leur fille à la police, Miyano force Furuta à les appeler et à leur faire croire à une fugue, prétendant qu'elle était avec un « ami » et qu'elle était en sécurité, ce qui provoque l'abandon des recherches.
Furuta essaya de s'échapper à plusieurs reprises, suppliant les parents de Minato de l'aider, mais ni ceux-ci, terrorisés par Miyano et leur propre fils, ni le frère de Minato, ne prévinrent la police.
Furuta est séquestrée dans la résidence des Minato pendant 40 jours, période durant laquelle elle est violée et torturée par les quatre garçons et de nombreuses autres personnes, parmi lesquelles des relations yakuzas de Miyano.
Durant sa séquestration, les quatre garçons la battent, l'affament, la suspendent au plafond et l'utilisent comme « sac de frappe », la forcent à manger des cafards vivants et à boire sa propre urine, à se masturber devant eux et à danser et à chanter des chansons tout en étant battue.
Ils lui insèrent également des objets étrangers, dont une ampoule allumée et un feu d'artifice, dans le vagin et l'anus.
Ils lui brûlent le vagin et le clitoris avec des cigarettes et des briquets, lui arrachent le mamelon gauche avec des pinces et lui percent ses seins avec des aiguilles à coudre.
Lorsque Furuta s'évanouit à cause de la douleur, il lui plongent la tête dans un seau d'eau afin de lui faire reprendre conscience et de continuer à la torturer.
Maybe I just want to maybe...
il y a 2 ans
Certains des complices sont officiellement identifiés, dont Tetsuo Nakamura et Koichi Ihara, qui sont accusés de viol après que leur ADN a été retrouvé sur et à l'intérieur du corps de la victime.
Ihara aurait été victime d'intimidation pour violer Furuta. Après avoir quitté la maison des Minato, celui-ci raconte l'incident à son frère qui informe leurs parents.
Ces derniers contactent la police qui se rend chez les Minato ; cependant, ils déclinent l'invitation d'entrer dans la maison, estimant que la proposition à elle seule était une preuve suffisante qu'il ne s'y passait rien de répréhensible.
Les deux officiers sont renvoyés pour ne pas avoir suivi la procédure.
En décembre, Furuta parvient à contacter la police au téléphone mais Miyano prétexte une erreur lorsque celle-ci rappelle.
Les tortures s'intensifient alors et les ravisseurs aspergent les pieds et les jambes de Furuta d'essence à briquet avant d'y mettre le feu.
Ils introduisent également une grande bouteille dans son anus, provoquant de graves saignements.
Ils l'incendient de nouveau après qu'elle soit prise de convulsions en pensant qu'elle simulait ces crises.
Furuta les supplie à plusieurs reprises de mettre fin à ses souffrances, ce que les garçons refusent.
Ils la forcent à dormir dehors sur le balcon pendant l'hiver et l'enferment dans un congélateur.
L'un des ravisseurs déclare au tribunal que ses mains et ses jambes étaient si gravement endommagées qu'il lui fallait plus d'une heure pour se traîner en bas jusqu'aux toilettes.
En raison de la gravité de ses blessures, elle perd finalement le contrôle de sa vessie et de ses intestins et vomit l'eau ou la nourriture qu'elle tente d'absorber, ce qui donne lieu à de nouvelles tortures.
Après ces traitements, Junko devient totalement méconnaissable, son nez éclaté tellement empli de sang qu'elle ne peut respirer que par la bouche, et ses plaies infectées étaient purulentes et sentaient la pourriture.
Les garçons perdent alors tout intérêt sexuel pour elle et kidnappent une jeune fille de 19 ans qu'ils violent et laissent repartir.
Le 4 janvier 1989, après avoir perdu une partie de mah-jong, les quatre garçons la battent pendant près de deux heures avec une barre de fer et brûlent ses paupières avec de la cire chaude.
Ils la font se tenir debout et lui frappent les pieds avec un bâton, ce qui la fait chuter sur une chaîne stéréo et tomber dans une crise de convulsions.
Comme elle saigne abondamment et que du pus s'échappe de ses brûlures infectées, les quatre garçons se couvrent les mains de sacs en plastique et continuent de la battre.
Ils laissent tomber des haltères sur son ventre puis recouvrent son corps d'un liquide combustible avant de l'enflammer.
Elle trouve la mort plus tard dans la journée.
Moins de vingt-quatre heures après, le frère de Nobuharu Minato appelle ce dernier pour lui dire que Furuta semble morte.
Craignant d'être arrêté pour meurtre, le groupe enveloppe son corps dans des couvertures et le transporte dans un sac de voyage. Ils le cachent ensuite dans un bidon qu'ils remplissent de béton. Vers 20 h, ils enterrent le container dans un trou recouvert de terre à Kōtō.
Le 23 janvier 1989, Hiroshi Miyano et Jō Ogura sont arrêtés pour le viol collectif de la femme de 19 ans qu'ils avaient enlevée en décembre.
Le 29 mars, deux policiers se présentent pour les interroger, des sous-vêtements de femmes ayant été retrouvés à leur adresse. Lors de l'interrogatoire, l'un des policiers fait croire à Miyano que la police est au courant qu'il a commis un meurtre.
Pensant que Jō Ogura avait avoué les crimes contre Furuta, Miyano dit à la police où trouver le corps de Furuta.
La police a d'abord été intriguée par les aveux, car elle faisait référence au meurtre d'une autre femme et de son fils de sept ans survenu neuf jours avant l'enlèvement de Furuta.
Cette affaire reste non résolue à ce jour.
La police trouve le baril contenant le corps de Furuta, identifié par ses empreintes, le jour suivant. Le 1er avril 1989, Jō Ogura est arrêté pour une autre agression sexuelle, puis arrêté à nouveau pour le meurtre de Furuta, suivi par l'arrestation de Yasushi Watanabe, Nobuharu Minato et le frère de Minato.
Ihara aurait été victime d'intimidation pour violer Furuta. Après avoir quitté la maison des Minato, celui-ci raconte l'incident à son frère qui informe leurs parents.
Ces derniers contactent la police qui se rend chez les Minato ; cependant, ils déclinent l'invitation d'entrer dans la maison, estimant que la proposition à elle seule était une preuve suffisante qu'il ne s'y passait rien de répréhensible.
Les deux officiers sont renvoyés pour ne pas avoir suivi la procédure.
En décembre, Furuta parvient à contacter la police au téléphone mais Miyano prétexte une erreur lorsque celle-ci rappelle.
Les tortures s'intensifient alors et les ravisseurs aspergent les pieds et les jambes de Furuta d'essence à briquet avant d'y mettre le feu.
Ils introduisent également une grande bouteille dans son anus, provoquant de graves saignements.
Ils l'incendient de nouveau après qu'elle soit prise de convulsions en pensant qu'elle simulait ces crises.
Furuta les supplie à plusieurs reprises de mettre fin à ses souffrances, ce que les garçons refusent.
Ils la forcent à dormir dehors sur le balcon pendant l'hiver et l'enferment dans un congélateur.
L'un des ravisseurs déclare au tribunal que ses mains et ses jambes étaient si gravement endommagées qu'il lui fallait plus d'une heure pour se traîner en bas jusqu'aux toilettes.
En raison de la gravité de ses blessures, elle perd finalement le contrôle de sa vessie et de ses intestins et vomit l'eau ou la nourriture qu'elle tente d'absorber, ce qui donne lieu à de nouvelles tortures.
Après ces traitements, Junko devient totalement méconnaissable, son nez éclaté tellement empli de sang qu'elle ne peut respirer que par la bouche, et ses plaies infectées étaient purulentes et sentaient la pourriture.
Les garçons perdent alors tout intérêt sexuel pour elle et kidnappent une jeune fille de 19 ans qu'ils violent et laissent repartir.
Le 4 janvier 1989, après avoir perdu une partie de mah-jong, les quatre garçons la battent pendant près de deux heures avec une barre de fer et brûlent ses paupières avec de la cire chaude.
Ils la font se tenir debout et lui frappent les pieds avec un bâton, ce qui la fait chuter sur une chaîne stéréo et tomber dans une crise de convulsions.
Comme elle saigne abondamment et que du pus s'échappe de ses brûlures infectées, les quatre garçons se couvrent les mains de sacs en plastique et continuent de la battre.
Ils laissent tomber des haltères sur son ventre puis recouvrent son corps d'un liquide combustible avant de l'enflammer.
Elle trouve la mort plus tard dans la journée.
Moins de vingt-quatre heures après, le frère de Nobuharu Minato appelle ce dernier pour lui dire que Furuta semble morte.
Craignant d'être arrêté pour meurtre, le groupe enveloppe son corps dans des couvertures et le transporte dans un sac de voyage. Ils le cachent ensuite dans un bidon qu'ils remplissent de béton. Vers 20 h, ils enterrent le container dans un trou recouvert de terre à Kōtō.
Le 23 janvier 1989, Hiroshi Miyano et Jō Ogura sont arrêtés pour le viol collectif de la femme de 19 ans qu'ils avaient enlevée en décembre.
Le 29 mars, deux policiers se présentent pour les interroger, des sous-vêtements de femmes ayant été retrouvés à leur adresse. Lors de l'interrogatoire, l'un des policiers fait croire à Miyano que la police est au courant qu'il a commis un meurtre.
Pensant que Jō Ogura avait avoué les crimes contre Furuta, Miyano dit à la police où trouver le corps de Furuta.
La police a d'abord été intriguée par les aveux, car elle faisait référence au meurtre d'une autre femme et de son fils de sept ans survenu neuf jours avant l'enlèvement de Furuta.
Cette affaire reste non résolue à ce jour.
La police trouve le baril contenant le corps de Furuta, identifié par ses empreintes, le jour suivant. Le 1er avril 1989, Jō Ogura est arrêté pour une autre agression sexuelle, puis arrêté à nouveau pour le meurtre de Furuta, suivi par l'arrestation de Yasushi Watanabe, Nobuharu Minato et le frère de Minato.
Maybe I just want to maybe...
il y a 2 ans