Ce sujet a été résolu
La musique que tu as choisi va parfaitement avec la lecture du texte et les émotions qui s'en découle
il y a 7 mois
miko
7 mois
La musique que tu as choisi va parfaitement avec la lecture du texte et les émotions qui s'en découle
J'affine mes sens à force de le faire
Merci
Merci
il y a 7 mois
Je m'étais inspirée de ce passage un moment je l'ai déjà lu, t'as raison
Mais quelque part j'ai aussi envie de trouver le remède par la pensée à ceux qui n'ont pas accès à ce pivot, comme réparer un moteur en regardant l'intérieur et en faisant certaines actions
Je comprend plein de trucs en regardant en moi qui me pourrissent la vie mais me font comprendre la psyché humaine
Je dois trouver un meilleur équilibre c'est clair, j'ai du boulot sur ce que tu pointes du doigt effectivement
Mais quelque part j'ai aussi envie de trouver le remède par la pensée à ceux qui n'ont pas accès à ce pivot, comme réparer un moteur en regardant l'intérieur et en faisant certaines actions
Je comprend plein de trucs en regardant en moi qui me pourrissent la vie mais me font comprendre la psyché humaine
Je dois trouver un meilleur équilibre c'est clair, j'ai du boulot sur ce que tu pointes du doigt effectivement
Tu ne fais pas erreur selon moi
Tu es au cœur d’un processus où tu dois éprouver la vie pour l’approuver et être approuvé par elle
Mais que ta souffrance ne s’arrête pas à la complainte personnelle
« L’homme est une corde tendue entre la bête et le Surhomme, – une corde sur l’abîme.
Il est dangereux de passer de l’autre côté, dangereux de rester en route, dangereux de regarder en arrière – frisson et arrêt dangereux.
Ce qu’il y a de grand dans l’homme, c’est qu’il est un pont et non un but : ce que l’on peut aimer en l’homme, c’est qu’il est un passage et un déclin.
J’aime ceux qui ne savent vivre autrement que pour disparaître, car ils passent au delà.
[…]
J’aime celui qui vit pour connaître et qui veut connaître afin qu’un jour vive le Surhomme. Car c’est ainsi qu’il veut son propre déclin.
J’aime celui qui travaille et invente, pour bâtir une demeure au Surhomme, pour préparer à sa venue la terre, les bêtes et les plantes : car c’est ainsi qu’il veut son propre déclin.
[…]
J’aime celui qui justifie ceux de l’avenir et qui délivre ceux du passé, car il veut que ceux d’aujourd’hui le fassent périr.
J’aime celui qui châtie son Dieu, parce qu’il aime son Dieu : car il faut que la colère de son Dieu le fasse périr. »
« Il faut que tu veuilles brûler dans ta propre flamme : comment voudrais-tu redevenir neuf si tu n'es pas d'abord devenu cendre ! »
Et cette transformation ne doit pas avoir lieu qu’une fois, elle doit opérer à chaque prise de conscience
Je pense que c’est notre problème commun de prendre notre élévation pour acquis
Alors qu’on est qu’au début du chemin
Ce qui a été fait doit être renouvelé de manière indéfinie
Ne t’accroche pas à ta réalité
Car cela reviendrait à dénaturer ta propre nature, petit phœnix
Tu es au cœur d’un processus où tu dois éprouver la vie pour l’approuver et être approuvé par elle
Mais que ta souffrance ne s’arrête pas à la complainte personnelle
« L’homme est une corde tendue entre la bête et le Surhomme, – une corde sur l’abîme.
Il est dangereux de passer de l’autre côté, dangereux de rester en route, dangereux de regarder en arrière – frisson et arrêt dangereux.
Ce qu’il y a de grand dans l’homme, c’est qu’il est un pont et non un but : ce que l’on peut aimer en l’homme, c’est qu’il est un passage et un déclin.
J’aime ceux qui ne savent vivre autrement que pour disparaître, car ils passent au delà.
[…]
J’aime celui qui vit pour connaître et qui veut connaître afin qu’un jour vive le Surhomme. Car c’est ainsi qu’il veut son propre déclin.
J’aime celui qui travaille et invente, pour bâtir une demeure au Surhomme, pour préparer à sa venue la terre, les bêtes et les plantes : car c’est ainsi qu’il veut son propre déclin.
[…]
J’aime celui qui justifie ceux de l’avenir et qui délivre ceux du passé, car il veut que ceux d’aujourd’hui le fassent périr.
J’aime celui qui châtie son Dieu, parce qu’il aime son Dieu : car il faut que la colère de son Dieu le fasse périr. »
« Il faut que tu veuilles brûler dans ta propre flamme : comment voudrais-tu redevenir neuf si tu n'es pas d'abord devenu cendre ! »
Et cette transformation ne doit pas avoir lieu qu’une fois, elle doit opérer à chaque prise de conscience
Je pense que c’est notre problème commun de prendre notre élévation pour acquis
Alors qu’on est qu’au début du chemin
Ce qui a été fait doit être renouvelé de manière indéfinie
Ne t’accroche pas à ta réalité
Car cela reviendrait à dénaturer ta propre nature, petit phœnix
il y a 7 mois
+ quelque chose que l’on a semble-t-il également en commun
Le fait de regarder et donner de l’attention aux autres
Même si cette attention est un mépris
Attention à bien prendre conscience de ce qu’on y perd
Jung en parle du syndrome du héros, le besoin de justice à outrance, qui semble assez parallèle à ce dont tu mentionnes sur l’enfant pharmakos
Ça ne veut pas dire que c’est une illusion ou un sentiment illusoire
Ça veut dire qu’il faut bien prendre en compte les tenants et les aboutissants
Le fait de regarder et donner de l’attention aux autres
Même si cette attention est un mépris
Attention à bien prendre conscience de ce qu’on y perd
Jung en parle du syndrome du héros, le besoin de justice à outrance, qui semble assez parallèle à ce dont tu mentionnes sur l’enfant pharmakos
Ça ne veut pas dire que c’est une illusion ou un sentiment illusoire
Ça veut dire qu’il faut bien prendre en compte les tenants et les aboutissants
il y a 7 mois
Tu ne fais pas erreur selon moi
Tu es au cœur d’un processus où tu dois éprouver la vie pour l’approuver et être approuvé par elle
Mais que ta souffrance ne s’arrête pas à la complainte personnelle
« L’homme est une corde tendue entre la bête et le Surhomme, – une corde sur l’abîme.
Il est dangereux de passer de l’autre côté, dangereux de rester en route, dangereux de regarder en arrière – frisson et arrêt dangereux.
Ce qu’il y a de grand dans l’homme, c’est qu’il est un pont et non un but : ce que l’on peut aimer en l’homme, c’est qu’il est un passage et un déclin.
J’aime ceux qui ne savent vivre autrement que pour disparaître, car ils passent au delà.
[…]
J’aime celui qui vit pour connaître et qui veut connaître afin qu’un jour vive le Surhomme. Car c’est ainsi qu’il veut son propre déclin.
J’aime celui qui travaille et invente, pour bâtir une demeure au Surhomme, pour préparer à sa venue la terre, les bêtes et les plantes : car c’est ainsi qu’il veut son propre déclin.
[…]
J’aime celui qui justifie ceux de l’avenir et qui délivre ceux du passé, car il veut que ceux d’aujourd’hui le fassent périr.
J’aime celui qui châtie son Dieu, parce qu’il aime son Dieu : car il faut que la colère de son Dieu le fasse périr. »
« Il faut que tu veuilles brûler dans ta propre flamme : comment voudrais-tu redevenir neuf si tu n'es pas d'abord devenu cendre ! »
Et cette transformation ne doit pas avoir lieu qu’une fois, elle doit opérer à chaque prise de conscience
Je pense que c’est notre problème commun de prendre notre élévation pour acquis
Alors qu’on est qu’au début du chemin
Ce qui a été fait doit être renouvelé de manière indéfinie
Ne t’accroche pas à ta réalité
Car cela reviendrait à dénaturer ta propre nature, petit phœnix
Tu es au cœur d’un processus où tu dois éprouver la vie pour l’approuver et être approuvé par elle
Mais que ta souffrance ne s’arrête pas à la complainte personnelle
« L’homme est une corde tendue entre la bête et le Surhomme, – une corde sur l’abîme.
Il est dangereux de passer de l’autre côté, dangereux de rester en route, dangereux de regarder en arrière – frisson et arrêt dangereux.
Ce qu’il y a de grand dans l’homme, c’est qu’il est un pont et non un but : ce que l’on peut aimer en l’homme, c’est qu’il est un passage et un déclin.
J’aime ceux qui ne savent vivre autrement que pour disparaître, car ils passent au delà.
[…]
J’aime celui qui vit pour connaître et qui veut connaître afin qu’un jour vive le Surhomme. Car c’est ainsi qu’il veut son propre déclin.
J’aime celui qui travaille et invente, pour bâtir une demeure au Surhomme, pour préparer à sa venue la terre, les bêtes et les plantes : car c’est ainsi qu’il veut son propre déclin.
[…]
J’aime celui qui justifie ceux de l’avenir et qui délivre ceux du passé, car il veut que ceux d’aujourd’hui le fassent périr.
J’aime celui qui châtie son Dieu, parce qu’il aime son Dieu : car il faut que la colère de son Dieu le fasse périr. »
« Il faut que tu veuilles brûler dans ta propre flamme : comment voudrais-tu redevenir neuf si tu n'es pas d'abord devenu cendre ! »
Et cette transformation ne doit pas avoir lieu qu’une fois, elle doit opérer à chaque prise de conscience
Je pense que c’est notre problème commun de prendre notre élévation pour acquis
Alors qu’on est qu’au début du chemin
Ce qui a été fait doit être renouvelé de manière indéfinie
Ne t’accroche pas à ta réalité
Car cela reviendrait à dénaturer ta propre nature, petit phœnix
Je comprend où tu veux en venir avec ça, je crois que le truc qui me retient le plus c'est d'être capable d'expliquer le chemin
Si je regarde toujours vers mon objectif sans prendre conscience de mon état et faire quelques "pauses" qui implique cette souffrance, j'ai peur d'arriver à destination et d'oublier ce qui a fait l'épreuve et comment j'y suis parvenue
Je m'accroche encore trop à l'ambition de découvrir une forme de savoir qui pourra délivrer les autres et pas seulement moi, mais c'est peut-être encore une manifestation de ce dont je parle dans le topic et c'est peut être à calciner avec le reste pour avancer dans ce même but plus efficacement ?
Je pense chercher encore la recette de ce qui vaut la peine d'être gardé, et ce que je sais pouvoir lâcher pour suivre plus librement le mouvement de l'âme, je sens quand même en lâcher de plus en plus, mais plus j'en lâche, plus de vérité émerge et les prises de conscience forcent la pause
Plus que jamais, apprendre à se dévêtir de nos attaches et désirs, avancer par la soustraction
Si je regarde toujours vers mon objectif sans prendre conscience de mon état et faire quelques "pauses" qui implique cette souffrance, j'ai peur d'arriver à destination et d'oublier ce qui a fait l'épreuve et comment j'y suis parvenue
Je m'accroche encore trop à l'ambition de découvrir une forme de savoir qui pourra délivrer les autres et pas seulement moi, mais c'est peut-être encore une manifestation de ce dont je parle dans le topic et c'est peut être à calciner avec le reste pour avancer dans ce même but plus efficacement ?
Je pense chercher encore la recette de ce qui vaut la peine d'être gardé, et ce que je sais pouvoir lâcher pour suivre plus librement le mouvement de l'âme, je sens quand même en lâcher de plus en plus, mais plus j'en lâche, plus de vérité émerge et les prises de conscience forcent la pause
Plus que jamais, apprendre à se dévêtir de nos attaches et désirs, avancer par la soustraction
il y a 7 mois
DontRevelate
7 mois
+ quelque chose que l’on a semble-t-il également en commun
Le fait de regarder et donner de l’attention aux autres
Même si cette attention est un mépris
Attention à bien prendre conscience de ce qu’on y perd
Jung en parle du syndrome du héros, le besoin de justice à outrance, qui semble assez parallèle à ce dont tu mentionnes sur l’enfant pharmakos
Ça ne veut pas dire que c’est une illusion ou un sentiment illusoire
Ça veut dire qu’il faut bien prendre en compte les tenants et les aboutissants
Le fait de regarder et donner de l’attention aux autres
Même si cette attention est un mépris
Attention à bien prendre conscience de ce qu’on y perd
Jung en parle du syndrome du héros, le besoin de justice à outrance, qui semble assez parallèle à ce dont tu mentionnes sur l’enfant pharmakos
Ça ne veut pas dire que c’est une illusion ou un sentiment illusoire
Ça veut dire qu’il faut bien prendre en compte les tenants et les aboutissants
C'est ce que j'entend aussi par héro, et paradoxalement la meilleure chose que je puisse faire pour aider les autres actuellement c'est de construire cette capacité à être solide en moi-même
Mais du coup l'intérêt est aussi de le faire pour moi
Mais du coup l'intérêt est aussi de le faire pour moi
il y a 7 mois
@josette expliques moi ce topic, onegaishimasu
Il est doux à tout âge de se laisser guider par la fantaisie.
il y a 7 mois
C'est ce que j'entend aussi par héro, et paradoxalement la meilleure chose que je puisse faire pour aider les autres actuellement c'est de construire cette capacité à être solide en moi-même
Mais du coup l'intérêt est aussi de le faire pour moi
Mais du coup l'intérêt est aussi de le faire pour moi
Surtout que ce que l'on veut construire ou voir construit chez l'autre
Il n'en aurait souvent que faire
Car par définition, s'il ne l'a pas, c'est qu'il n'est pas prêt à l'avoir
Et ça on a du mal à le comprendre quand on veut trop aider
Il faut bien prendre conscience que notre démarche peut davantage faire pire que mieux, que le contraire
Il faut laisser la nature rester nature
Autant pour nous que pour les autres
Trust the process
Il n'y a pas d'amour s'il y a attachement
L'attachement dévoile toujours une volonté autre que la vie en elle-même
Il n'en aurait souvent que faire
Car par définition, s'il ne l'a pas, c'est qu'il n'est pas prêt à l'avoir
Et ça on a du mal à le comprendre quand on veut trop aider
Il faut bien prendre conscience que notre démarche peut davantage faire pire que mieux, que le contraire
Il faut laisser la nature rester nature
Autant pour nous que pour les autres
Trust the process
Il n'y a pas d'amour s'il y a attachement
L'attachement dévoile toujours une volonté autre que la vie en elle-même
il y a 7 mois
Surtout que ce que l'on veut construire ou voir construit chez l'autre
Il n'en aurait souvent que faire
Car par définition, s'il ne l'a pas, c'est qu'il n'est pas prêt à l'avoir
Et ça on a du mal à le comprendre quand on veut trop aider
Il faut bien prendre conscience que notre démarche peut davantage faire pire que mieux, que le contraire
Il faut laisser la nature rester nature
Autant pour nous que pour les autres
Trust the process
Il n'y a pas d'amour s'il y a attachement
L'attachement dévoile toujours une volonté autre que la vie en elle-même
Il n'en aurait souvent que faire
Car par définition, s'il ne l'a pas, c'est qu'il n'est pas prêt à l'avoir
Et ça on a du mal à le comprendre quand on veut trop aider
Il faut bien prendre conscience que notre démarche peut davantage faire pire que mieux, que le contraire
Il faut laisser la nature rester nature
Autant pour nous que pour les autres
Trust the process
Il n'y a pas d'amour s'il y a attachement
L'attachement dévoile toujours une volonté autre que la vie en elle-même
C'est celui qui récemment m'a le plus aidé et retourné la tête récemment Krishnamurti
Toujours intéressant d'y revenir
Mais c'est peut-être en l'écoutant à la base que je me suis détraquée et ai envoyé à la mort mes anciennes croyances et donc provoquée une certaine part de ma souffrance
Plus ça va plus je vois quoi trust dans le process et pourquoi trust le process
Toujours intéressant d'y revenir
Mais c'est peut-être en l'écoutant à la base que je me suis détraquée et ai envoyé à la mort mes anciennes croyances et donc provoquée une certaine part de ma souffrance
Plus ça va plus je vois quoi trust dans le process et pourquoi trust le process
il y a 7 mois
C'est celui qui récemment m'a le plus aidé et retourné la tête récemment Krishnamurti
Toujours intéressant d'y revenir
Mais c'est peut-être en l'écoutant à la base que je me suis détraquée et ai envoyé à la mort mes anciennes croyances et donc provoquée une certaine part de ma souffrance
Plus ça va plus je vois quoi trust dans le process et pourquoi trust le process
Toujours intéressant d'y revenir
Mais c'est peut-être en l'écoutant à la base que je me suis détraquée et ai envoyé à la mort mes anciennes croyances et donc provoquée une certaine part de ma souffrance
Plus ça va plus je vois quoi trust dans le process et pourquoi trust le process
il y a 7 mois
Du point de vu du sculpteur c'est l'action négative d'enlever de la matière, et du point de vue de la sculpture c'est l'action du sculpteur d'avancer vers la souffrance (positif) qui permet à la forme belle d'émerger
Pourtant le sculpteur à l'air actif et la sculpture passive à première vue
Actif négatif / passif positif
C'est comme si on perfectionnait nos outils à chaque coup sur la pierre, qu'ils se créaient et modifiaient en même ,temps
"L'observateur est l'observé" m'a
Pourtant le sculpteur à l'air actif et la sculpture passive à première vue
Actif négatif / passif positif
C'est comme si on perfectionnait nos outils à chaque coup sur la pierre, qu'ils se créaient et modifiaient en même ,temps
"L'observateur est l'observé" m'a
il y a 7 mois
KJ-Anima
7 mois
toutes les choses horribles qu'on m'a mis dans la tête en grandissant parmi "eux"
Parce que eux c'est moi, mais moi j'ai fait tous les efforts que eux n'ont pas eu le courage de faire
Eux se vautrent dans le mensonge et mettent toutes leurs erreurs sur les autres pour s'en délester
Eux veulent vivre éternellement, jouir, et ne s'intéressent pas une seule seconde à la spiritualité
Font des enfants pour fuir la peur de la mort, mais prolongent le cycle de la souffrance en leur refilant tous leurs traumatismes, ceux dont ils n'ont pas pensé bon de s'occuper avant
C'est vraiment horrible à chaque découverte d'aller à contre courant vers la vérité en brisant chaque couche de déni
Je dois affronter tellement de maltraitance et de honte, je me déteste et j'ai envie de me venger
Trouver la paix et ne pas éclater la gueule au premier qui incarnera cette bêtise sera mon plus bel acte d'amour
Parce que eux c'est moi, mais moi j'ai fait tous les efforts que eux n'ont pas eu le courage de faire
Eux se vautrent dans le mensonge et mettent toutes leurs erreurs sur les autres pour s'en délester
Eux veulent vivre éternellement, jouir, et ne s'intéressent pas une seule seconde à la spiritualité
Font des enfants pour fuir la peur de la mort, mais prolongent le cycle de la souffrance en leur refilant tous leurs traumatismes, ceux dont ils n'ont pas pensé bon de s'occuper avant
C'est vraiment horrible à chaque découverte d'aller à contre courant vers la vérité en brisant chaque couche de déni
Je dois affronter tellement de maltraitance et de honte, je me déteste et j'ai envie de me venger
Trouver la paix et ne pas éclater la gueule au premier qui incarnera cette bêtise sera mon plus bel acte d'amour
Vous devez être au niveau 0 pour voir ce message.
il y a 7 mois
PLEURE PAS C'EST L'PRINTEMP PITAN DE MERDE 

Il faut pleurer toutes les larmes de son corps pour laisser à l'amour du printemps sa place
Mais printemps printemps printemps
Mais printemps printemps printemps
il y a 7 mois
Il faut pleurer toutes les larmes de son corps pour laisser à l'amour du printemps sa place
Mais printemps printemps printemps
Mais printemps printemps printemps
il y a 7 mois
Du point de vu du sculpteur c'est l'action négative d'enlever de la matière, et du point de vue de la sculpture c'est l'action du sculpteur d'avancer vers la souffrance (positif) qui permet à la forme belle d'émerger
Pourtant le sculpteur à l'air actif et la sculpture passive à première vue
Actif négatif / passif positif
C'est comme si on perfectionnait nos outils à chaque coup sur la pierre, qu'ils se créaient et modifiaient en même ,temps
"L'observateur est l'observé" m'a
Pourtant le sculpteur à l'air actif et la sculpture passive à première vue
Actif négatif / passif positif
C'est comme si on perfectionnait nos outils à chaque coup sur la pierre, qu'ils se créaient et modifiaient en même ,temps
"L'observateur est l'observé" m'a
T’es un peu garçon manqué dans la vie de tous les jours ?
Car je ne dis pas que c’est exclusif à l’homme, mais cet esprit là me paraît plus masculin que féminin dans le sens où une femme, pour moi, n’est pas autant amené à souffrir de la sorte, psychologiquement
J’ai l’impressions qu’elles peuvent toujours se raccrocher à autre chose, trouver plus facilement de l’espoir, du confort, une épaule, quelque chose qui permet de se déresponsabiliser, qui offre la possibilité d’éviter la situation, là où l’homme se retrouve plus vite tout seul, ce qui facilite le processus
J’avais vu sur YouTube le cas d’une femme qui avait également ce profil, et en effet, elle en avait bavé dans l’enfance
Mais ce qui la rendait aussi dure qu’un homme, qu’elle était donc plus masculin dans sa façon de réfléchir que tous les sous-hommes d’aujourd’hui qui ne pensent que par leur ventre
Physiquement, elle était assez coquette, mais mentalement elle avait vraiment une force de caractère brute, quelque chose de masculin
Ce qui d’ailleurs lui amène du positif et du négatif, pour une femme, elle est très froide, elle semble très vite plus raisonné que sentimental, ce qui peut être un problème pour une femme en plus d’être plus propice à la dépression, ne serait-ce que pour l’envie de procréer, pas sûr que ce soit sa priorité avec un tel état d’esprit
Ce n’est pas bon car cet état d’esprit masculin est porté sur l’aventure, ce qui casse le principe féminin de création
Enfin, ce n’est que mon point de vue, ce n’est pas forcément la réalité
Et j’imagine qu’il y a tout un tas de nuances à prendre en compte pour effectuer un vrai constat objectif
Je ne fais que spéculer
Car je ne dis pas que c’est exclusif à l’homme, mais cet esprit là me paraît plus masculin que féminin dans le sens où une femme, pour moi, n’est pas autant amené à souffrir de la sorte, psychologiquement
J’ai l’impressions qu’elles peuvent toujours se raccrocher à autre chose, trouver plus facilement de l’espoir, du confort, une épaule, quelque chose qui permet de se déresponsabiliser, qui offre la possibilité d’éviter la situation, là où l’homme se retrouve plus vite tout seul, ce qui facilite le processus
J’avais vu sur YouTube le cas d’une femme qui avait également ce profil, et en effet, elle en avait bavé dans l’enfance
Mais ce qui la rendait aussi dure qu’un homme, qu’elle était donc plus masculin dans sa façon de réfléchir que tous les sous-hommes d’aujourd’hui qui ne pensent que par leur ventre
Physiquement, elle était assez coquette, mais mentalement elle avait vraiment une force de caractère brute, quelque chose de masculin
Ce qui d’ailleurs lui amène du positif et du négatif, pour une femme, elle est très froide, elle semble très vite plus raisonné que sentimental, ce qui peut être un problème pour une femme en plus d’être plus propice à la dépression, ne serait-ce que pour l’envie de procréer, pas sûr que ce soit sa priorité avec un tel état d’esprit
Ce n’est pas bon car cet état d’esprit masculin est porté sur l’aventure, ce qui casse le principe féminin de création
Enfin, ce n’est que mon point de vue, ce n’est pas forcément la réalité
Et j’imagine qu’il y a tout un tas de nuances à prendre en compte pour effectuer un vrai constat objectif
Je ne fais que spéculer
il y a 7 mois
T’es un peu garçon manqué dans la vie de tous les jours ?
Car je ne dis pas que c’est exclusif à l’homme, mais cet esprit là me paraît plus masculin que féminin dans le sens où une femme, pour moi, n’est pas autant amené à souffrir de la sorte, psychologiquement
J’ai l’impressions qu’elles peuvent toujours se raccrocher à autre chose, trouver plus facilement de l’espoir, du confort, une épaule, quelque chose qui permet de se déresponsabiliser, qui offre la possibilité d’éviter la situation, là où l’homme se retrouve plus vite tout seul, ce qui facilite le processus
J’avais vu sur YouTube le cas d’une femme qui avait également ce profil, et en effet, elle en avait bavé dans l’enfance
Mais ce qui la rendait aussi dure qu’un homme, qu’elle était donc plus masculin dans sa façon de réfléchir que tous les sous-hommes d’aujourd’hui qui ne pensent que par leur ventre
Physiquement, elle était assez coquette, mais mentalement elle avait vraiment une force de caractère brute, quelque chose de masculin
Ce qui d’ailleurs lui amène du positif et du négatif, pour une femme, elle est très froide, elle semble très vite plus raisonné que sentimental, ce qui peut être un problème pour une femme en plus d’être plus propice à la dépression, ne serait-ce que pour l’envie de procréer, pas sûr que ce soit sa priorité avec un tel état d’esprit
Ce n’est pas bon car cet état d’esprit masculin est porté sur l’aventure, ce qui casse le principe féminin de création
Enfin, ce n’est que mon point de vue, ce n’est pas forcément la réalité
Et j’imagine qu’il y a tout un tas de nuances à prendre en compte pour effectuer un vrai constat objectif
Je ne fais que spéculer
Car je ne dis pas que c’est exclusif à l’homme, mais cet esprit là me paraît plus masculin que féminin dans le sens où une femme, pour moi, n’est pas autant amené à souffrir de la sorte, psychologiquement
J’ai l’impressions qu’elles peuvent toujours se raccrocher à autre chose, trouver plus facilement de l’espoir, du confort, une épaule, quelque chose qui permet de se déresponsabiliser, qui offre la possibilité d’éviter la situation, là où l’homme se retrouve plus vite tout seul, ce qui facilite le processus
J’avais vu sur YouTube le cas d’une femme qui avait également ce profil, et en effet, elle en avait bavé dans l’enfance
Mais ce qui la rendait aussi dure qu’un homme, qu’elle était donc plus masculin dans sa façon de réfléchir que tous les sous-hommes d’aujourd’hui qui ne pensent que par leur ventre
Physiquement, elle était assez coquette, mais mentalement elle avait vraiment une force de caractère brute, quelque chose de masculin
Ce qui d’ailleurs lui amène du positif et du négatif, pour une femme, elle est très froide, elle semble très vite plus raisonné que sentimental, ce qui peut être un problème pour une femme en plus d’être plus propice à la dépression, ne serait-ce que pour l’envie de procréer, pas sûr que ce soit sa priorité avec un tel état d’esprit
Ce n’est pas bon car cet état d’esprit masculin est porté sur l’aventure, ce qui casse le principe féminin de création
Enfin, ce n’est que mon point de vue, ce n’est pas forcément la réalité
Et j’imagine qu’il y a tout un tas de nuances à prendre en compte pour effectuer un vrai constat objectif
Je ne fais que spéculer
Oui justement à ce propos...
Je pense de manière masculine là dessus totalement, et c'est même mon seul moyen de réaliser mon âme, surtout avec les armes dont je disposais dans l'ancien paradigme
Je cherche à me délester de la souffrance, trouver de l'espoir et une source en moi pour aider les autres, donc le principe féminin se renforce et m'envahis trop pour ne voir que du masculin en moi, même si l'idée de base indique une logique d'origine masculine
C'est le truc le plus entremêlé que je dois comprendre, et c'est ce qui est à l'origine de mes recherches
Surhomme à en devenir femme
Je pense de manière masculine là dessus totalement, et c'est même mon seul moyen de réaliser mon âme, surtout avec les armes dont je disposais dans l'ancien paradigme
Je cherche à me délester de la souffrance, trouver de l'espoir et une source en moi pour aider les autres, donc le principe féminin se renforce et m'envahis trop pour ne voir que du masculin en moi, même si l'idée de base indique une logique d'origine masculine
C'est le truc le plus entremêlé que je dois comprendre, et c'est ce qui est à l'origine de mes recherches
Surhomme à en devenir femme
il y a 7 mois
Oui justement à ce propos...
Je pense de manière masculine là dessus totalement, et c'est même mon seul moyen de réaliser mon âme, surtout avec les armes dont je disposais dans l'ancien paradigme
Je cherche à me délester de la souffrance, trouver de l'espoir et une source en moi pour aider les autres, donc le principe féminin se renforce et m'envahis trop pour ne voir que du masculin en moi, même si l'idée de base indique une logique d'origine masculine
C'est le truc le plus entremêlé que je dois comprendre, et c'est ce qui est à l'origine de mes recherches
Surhomme à en devenir femme
Je pense de manière masculine là dessus totalement, et c'est même mon seul moyen de réaliser mon âme, surtout avec les armes dont je disposais dans l'ancien paradigme
Je cherche à me délester de la souffrance, trouver de l'espoir et une source en moi pour aider les autres, donc le principe féminin se renforce et m'envahis trop pour ne voir que du masculin en moi, même si l'idée de base indique une logique d'origine masculine
C'est le truc le plus entremêlé que je dois comprendre, et c'est ce qui est à l'origine de mes recherches
Surhomme à en devenir femme
Je te comprend, je pense avoir moi-même le même besoin relatif au sentiment
C’est une bonne chose car, selon moi, ceux qui vivent mal cet étape du processus restent bloqué dans leurs raisonnements, ils n’arrivent plus à rejoindre le jardin de leurs sens, ce qui peut mener au suicide physique ou spirituel
Le simple fait de le vouloir est salvateur
Eux restent bloqués dans un certain nihilisme, un hiver qui ne finit jamais
Tu m’en vois ravi si ce soleil revient dans ta contrée
C’est une bonne chose car, selon moi, ceux qui vivent mal cet étape du processus restent bloqué dans leurs raisonnements, ils n’arrivent plus à rejoindre le jardin de leurs sens, ce qui peut mener au suicide physique ou spirituel
Le simple fait de le vouloir est salvateur
Eux restent bloqués dans un certain nihilisme, un hiver qui ne finit jamais
Tu m’en vois ravi si ce soleil revient dans ta contrée
il y a 7 mois