Ce sujet a été résolu
Tchetchen
2 ans
Chaque année en France, près de 30% des accidents mortels sont dus à une prise excessive d'alcool. Ces décès pourraient être évités si tous les conducteurs respectaient strictement la limitation légale de l'alcoolémie au volant.
L'alcool est un cancérigène avéré (groupe 1) classé comme tel depuis 1988 par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC). Le risque de développer certains cancers augmente à partir d'un verre d'alcool quotidien quel que soit l'alcool consommé qu'il s'agisse de vin, de bière ou d'alcool fort
Les stats montrent que qu'il y a bien trop de conséquences négatives
les familles détruites par tromperie ou comportement désagréables ou dangereux liés à l'état d'ivresse
les viols liés à l'état d'ivresse
les agressions liés à l'état d'ivresse
les meurtres liés à l'ivresse
Les coûts liés à tous ces dommages sont catastrophiques
L'alcool est un cancérigène avéré (groupe 1) classé comme tel depuis 1988 par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC). Le risque de développer certains cancers augmente à partir d'un verre d'alcool quotidien quel que soit l'alcool consommé qu'il s'agisse de vin, de bière ou d'alcool fort
Les stats montrent que qu'il y a bien trop de conséquences négatives
les familles détruites par tromperie ou comportement désagréables ou dangereux liés à l'état d'ivresse
les viols liés à l'état d'ivresse
les agressions liés à l'état d'ivresse
les meurtres liés à l'ivresse
Les coûts liés à tous ces dommages sont catastrophiques
il y a 2 ans
L'abus commence par une consommation modérée l'Op
Alors pourquoi des millions de personnes boivent de l'acool sans en abuser et sans jamais être ivres ?


il y a 2 ans
Parce que les risques ne sont pas les mêmes l'OP
Quand tu vas te faire opérer ils ne te demandent pas si tu manges de la viande
Par contre ils te demandent bien si tu consommes de l'alcool
Quand tu vas te faire opérer ils ne te demandent pas si tu manges de la viande
Par contre ils te demandent bien si tu consommes de l'alcool
il y a 2 ans
Car les musulmans sont en moyenne trop con pour produire de l'alcool
Nouveau Banger de BIBI
https://www.youtube.com/watch?v=GWL1Tzl0YdY
il y a 2 ans
regarde l'OP
Même sans être un très gros consommateur ou alcoolo-dépendant, la consommation d'alcool a une influence sur le développement de nombreuses pathologies : cancers, maladies cardiovasculaires et digestives, maladies du système nerveux et troubles psychiques...
Même sans être un très gros consommateur ou alcoolo-dépendant, la consommation d'alcool a une influence sur le développement de nombreuses pathologies : cancers, maladies cardiovasculaires et digestives, maladies du système nerveux et troubles psychiques...
il y a 2 ans
Sur l'ensemble des décès attribuables à la consommation d'alcool dans le monde, 29 % étaient dus à des blessures, 21 % à des maladies digestives, 19 % à des maladies cardiovasculaires, 13 % à des maladies infectieuses et 12 % à des cancers (1).
La consommation d’alcool est au septième rang des facteurs de risque ayant le plus d’impact sur la mortalité et l’incapacité dans le monde. Elle est au premier rang chez les personnes de 15 à 49 ans, soit environ 10 % de la mortalité mondiale pour ce groupe d’âge (2).
LIS L'OP LIS
La consommation d’alcool est au septième rang des facteurs de risque ayant le plus d’impact sur la mortalité et l’incapacité dans le monde. Elle est au premier rang chez les personnes de 15 à 49 ans, soit environ 10 % de la mortalité mondiale pour ce groupe d’âge (2).
LIS L'OP LIS
il y a 2 ans
Augmentation des comportements à risque
La baisse de la vigilance est à l'origine de comportements à risque. Après un verre, le risque d'accident de la route ou de la vie courante est multiplié par trois, après trois verres, par dix. Ainsi, l'ivresse est associée à 40 % des décès de la circulation, à 25-35 % des accidents de voiture non mortels, à 64 % des incendies et de brûlures, à 48 % des hypothermies et des cas de gelures, 40 % des chutes et 50 % des homicides 2. Au volant notamment, l'alcool augmente le temps de réaction tout en diminuant les réflexes, la vigilance et la résistance à la fatigue. Vision, estimation des distances et coordination sont également perturbés ;
UN SEUL VERRE L'OP ! UN SEUL et tes risques d'accident sont multipliés par 3 ! Un VERRE L'OP
La baisse de la vigilance est à l'origine de comportements à risque. Après un verre, le risque d'accident de la route ou de la vie courante est multiplié par trois, après trois verres, par dix. Ainsi, l'ivresse est associée à 40 % des décès de la circulation, à 25-35 % des accidents de voiture non mortels, à 64 % des incendies et de brûlures, à 48 % des hypothermies et des cas de gelures, 40 % des chutes et 50 % des homicides 2. Au volant notamment, l'alcool augmente le temps de réaction tout en diminuant les réflexes, la vigilance et la résistance à la fatigue. Vision, estimation des distances et coordination sont également perturbés ;
UN SEUL VERRE L'OP ! UN SEUL et tes risques d'accident sont multipliés par 3 ! Un VERRE L'OP
il y a 2 ans
Le french paradox n’existe pas : consommer de petites quantités d’alcool n’est pas bénéfique
Contrairement à ce qui a longtemps été entendu, une faible consommation d’alcool n’est pas bénéfique pour la santé. Ainsi, la récente expertise collective de l’Inserm sur l’alcool indique que les faibles niveaux de consommation contribuent largement aux nouveaux cas de cancers détectés en France en 2015. Les effets prétendument protecteurs d’une consommation d’alcool modérée – le célèbre french paradox – ne sont que le reflet de problèmes méthodologiques dans les études qui en ont suggéré l’existence.
Contrairement à ce qui a longtemps été entendu, une faible consommation d’alcool n’est pas bénéfique pour la santé. Ainsi, la récente expertise collective de l’Inserm sur l’alcool indique que les faibles niveaux de consommation contribuent largement aux nouveaux cas de cancers détectés en France en 2015. Les effets prétendument protecteurs d’une consommation d’alcool modérée – le célèbre french paradox – ne sont que le reflet de problèmes méthodologiques dans les études qui en ont suggéré l’existence.
il y a 2 ans
Parce que les risques ne sont pas les mêmes l'OP
Quand tu vas te faire opérer ils ne te demandent pas si tu manges de la viande
Par contre ils te demandent bien si tu consommes de l'alcool
Quand tu vas te faire opérer ils ne te demandent pas si tu manges de la viande
Par contre ils te demandent bien si tu consommes de l'alcool
il y a 2 ans
regarde l'OP
Même sans être un très gros consommateur ou alcoolo-dépendant, la consommation d'alcool a une influence sur le développement de nombreuses pathologies : cancers, maladies cardiovasculaires et digestives, maladies du système nerveux et troubles psychiques...
Même sans être un très gros consommateur ou alcoolo-dépendant, la consommation d'alcool a une influence sur le développement de nombreuses pathologies : cancers, maladies cardiovasculaires et digestives, maladies du système nerveux et troubles psychiques...
il y a 2 ans
S’il n’existe pas de seuil en dessous duquel la consommation d’alcool est sans risque, les connaissances scientifiques permettent de définir des repères qui limitent les risques encourus.
il y a 2 ans
La viande a les mêmes risques cancérigènes que l'alcool l'OP ?
il y a 2 ans
S’il n’existe pas de seuil en dessous duquel la consommation d’alcool est sans risque, les connaissances scientifiques permettent de définir des repères qui limitent les risques encourus.
il y a 2 ans
Tchetchen
2 ans
Le french paradox n’existe pas : consommer de petites quantités d’alcool n’est pas bénéfique
Contrairement à ce qui a longtemps été entendu, une faible consommation d’alcool n’est pas bénéfique pour la santé. Ainsi, la récente expertise collective de l’Inserm sur l’alcool indique que les faibles niveaux de consommation contribuent largement aux nouveaux cas de cancers détectés en France en 2015. Les effets prétendument protecteurs d’une consommation d’alcool modérée – le célèbre french paradox – ne sont que le reflet de problèmes méthodologiques dans les études qui en ont suggéré l’existence.
Contrairement à ce qui a longtemps été entendu, une faible consommation d’alcool n’est pas bénéfique pour la santé. Ainsi, la récente expertise collective de l’Inserm sur l’alcool indique que les faibles niveaux de consommation contribuent largement aux nouveaux cas de cancers détectés en France en 2015. Les effets prétendument protecteurs d’une consommation d’alcool modérée – le célèbre french paradox – ne sont que le reflet de problèmes méthodologiques dans les études qui en ont suggéré l’existence.
La même source que tu as cité dit la même chose pour la viande
https://www.inserm.fr/act[...]risque-cancer-colorectal/


il y a 2 ans
La viande a les mêmes risques cancérigènes que l'alcool l'OP ?
il y a 2 ans
La consommation d’alcool contribue de façon directe ou indirecte à 11 % des décès masculins et à 4 % des décès féminins en France. Il s’agit de la deuxième cause de mortalité prématurée. Ainsi, en 2015, 41 000 décès étaient imputables à l’alcool (30 000 chez les hommes et 11 000 chez les femmes) : 16 000 décès par cancer, 9 900 dus à des maladies cardiovasculaires, 6 800 à une cirrhose, 5 400 à un accident ou un suicide, les autres à des maladies mentales, des troubles du comportement…
MAIS LIIIIIS L'OPP LIIIIIIIIIIIIIIIIIIIS !!!
MAIS LIIIIIS L'OPP LIIIIIIIIIIIIIIIIIIIS !!!
il y a 2 ans
Tchetchen
2 ans
S’il n’existe pas de seuil en dessous duquel la consommation d’alcool est sans risque, les connaissances scientifiques permettent de définir des repères qui limitent les risques encourus.
Sortir dehors c'est risqué aussi, on peut se faire écraser
il y a 2 ans
S’il n’existe pas de seuil en dessous duquel la consommation d’alcool est sans risque, les connaissances scientifiques permettent de définir des repères qui limitent les risques encourus.
il y a 2 ans
La consommation d’alcool contribue de façon directe ou indirecte à 11 % des décès masculins et à 4 % des décès féminins en France. Il s’agit de la deuxième cause de mortalité prématurée. Ainsi, en 2015, 41 000 décès étaient imputables à l’alcool (30 000 chez les hommes et 11 000 chez les femmes) : 16 000 décès par cancer, 9 900 dus à des maladies cardiovasculaires, 6 800 à une cirrhose, 5 400 à un accident ou un suicide, les autres à des maladies mentales, des troubles du comportement…
il y a 2 ans