Ce sujet a été résolu
Triss
5 mois
J'ai voulu aller le voir au cinéma mais une milice armée d'ultra droite empêchait d'acheter les tickets pour ce film
perso j'avait déjà acheté les tiqkets à l'avance mais au checkpoint mis en place en face du cinéma ils m'ont fouillé et quand ils ont trouvé le ticket il l'ont déchiré devant mes yeux avant de me voler mon téléphone et mon porte-feuille
il y a 5 mois
HessPetCulAir
5 mois
il y a 5 mois
Pourtant ça bouclait sur le forum. t'étais ou?
Ça a pas du boucler tant que ça, j’ai du voir passer 3 topics
Gods bless you with mountains of silver and gold.
il y a 5 mois
Venez les kheys ont monte une société de production, on va pouvoir faire des bons gros films de merde et en plus on sera financé par le cnc
il y a 5 mois
Je sais pas déjà si ils arrêtaient de faire des films de merde et si les acteurs racisés arrêtaient de chier avec le sourire sur ceux qui paient les subventions alors qu'ils ne veulent pas de ces merdes, peut être qu'il y aurait eu plus de places de vendues
Nonobstant ils s'en tapent complet, ils auront encore des subventions et savent très bien qu'ils ne vont pas faire du chiffre avec les places vendues
Nonobstant ils s'en tapent complet, ils auront encore des subventions et savent très bien qu'ils ne vont pas faire du chiffre avec les places vendues
Des jeux Steam pas cher https://www.instant-gaming.com/?igr=gamer-cb611db
il y a 5 mois
Je cite
Le parisien 3/5
ce film qui ressemble à un sketch d’une heure 36. Sur le fond, on est souvent dans la grosse potacherie. Les codes de la virilité prennent cher. Quand les mousquetaires font essayer un faux sexe en tissu à Sara, elles lui lancent : « Tu sens ? Avec une bite, on a moins peur ! », avant de jouer à agiter leur appareil génital. Plus tard, le trio enseigne l’art de faire pipi debout : « Force-toi à diriger ton jet », indiquent-elles, hilares.
Le rythme faiblit en cours de route et les péripéties avec la reine n’ont aucun intérêt — en dehors d’une séquence de coït assez drôle avec le roi.
https://www.leparisien.fr[...]WEBONDTHAQUC4XMEVK3FY.php
Libération 2/5
Quatre femmes travesties en hommes, la poitrine enserrée dans du tissu, des poils de fausse barbe collée sur le visage et jusqu’à une fausse bite pour un niveau de vraisemblance maximum (même si probablement inconfortable à cheval…).
se double d’un enjeu de dissimulation tactique de leur identité de genre dans un monde massivement macho et ponctué de coup bas et bastons.
Projet féministe et inclusif qui cherche à renouveler ou bousculer les critères de ce que peut être une fiction d’aventure
https://www.liberation.fr[...]AJRKLKJVBFNCVE74ZR7ZLILU/
Le Figaro 0/4
Le film patauge, ne sait pas sur quel pied danser, hésite entre western spaghetti et pamphlet vaguement féministe, enchaîne séquences montées à la va-comme-je-te-pousse et morceaux qui se voudraient de bravoure, le tout saupoudré de chansons anglo-saxonnes qui arrivent là comme des cheveux sur la soupe. Le suspense se résume à ceci : seront-elles découvertes ? Elles risquent la pendaison. Mille précautions s’imposent.
La réalisatrice n’en fait pas grand-chose, comme embarrassée par l’ampleur de la tâche. Le scénario pèche par sa faiblesse. Cela part dans tous les sens, multiplie les dialogues gravés dans le marbre. On passe sans raison valable du noir et blanc à la couleur. On comble les vides par des ralentis. Les intermèdes comiques ne sont pas drôles. Les duels sont cafouilleux. Les héroïnes font pipi debout. Elles trouvent ça tordant. Elles sont les seules. À un moment, elles apprennent à un nobliau à pleurer devant son épouse.
Une reine, plus gourde que jamais et pas exactement aidée par son interprète, rêve de retourner à Madrid (on la comprend), fume de l’opium, danse le flamenco dans un camp de Gitans. Ah ça, on revisite. La pauvre d’Artagnan, grimée, ressemble à Cyril Hanouna. Bref, cette manie de la relecture tombe à plat.
https://www.lefigaro.fr/c[...]me-a-gros-sabots-20250121
Je ne comprends pas pourquoi le film à foirer
Vance 2028
Le parisien 3/5
ce film qui ressemble à un sketch d’une heure 36. Sur le fond, on est souvent dans la grosse potacherie. Les codes de la virilité prennent cher. Quand les mousquetaires font essayer un faux sexe en tissu à Sara, elles lui lancent : « Tu sens ? Avec une bite, on a moins peur ! », avant de jouer à agiter leur appareil génital. Plus tard, le trio enseigne l’art de faire pipi debout : « Force-toi à diriger ton jet », indiquent-elles, hilares.
Le rythme faiblit en cours de route et les péripéties avec la reine n’ont aucun intérêt — en dehors d’une séquence de coït assez drôle avec le roi.
Libération 2/5
Quatre femmes travesties en hommes, la poitrine enserrée dans du tissu, des poils de fausse barbe collée sur le visage et jusqu’à une fausse bite pour un niveau de vraisemblance maximum (même si probablement inconfortable à cheval…).
se double d’un enjeu de dissimulation tactique de leur identité de genre dans un monde massivement macho et ponctué de coup bas et bastons.
Projet féministe et inclusif qui cherche à renouveler ou bousculer les critères de ce que peut être une fiction d’aventure
Le Figaro 0/4
Le film patauge, ne sait pas sur quel pied danser, hésite entre western spaghetti et pamphlet vaguement féministe, enchaîne séquences montées à la va-comme-je-te-pousse et morceaux qui se voudraient de bravoure, le tout saupoudré de chansons anglo-saxonnes qui arrivent là comme des cheveux sur la soupe. Le suspense se résume à ceci : seront-elles découvertes ? Elles risquent la pendaison. Mille précautions s’imposent.
La réalisatrice n’en fait pas grand-chose, comme embarrassée par l’ampleur de la tâche. Le scénario pèche par sa faiblesse. Cela part dans tous les sens, multiplie les dialogues gravés dans le marbre. On passe sans raison valable du noir et blanc à la couleur. On comble les vides par des ralentis. Les intermèdes comiques ne sont pas drôles. Les duels sont cafouilleux. Les héroïnes font pipi debout. Elles trouvent ça tordant. Elles sont les seules. À un moment, elles apprennent à un nobliau à pleurer devant son épouse.
Une reine, plus gourde que jamais et pas exactement aidée par son interprète, rêve de retourner à Madrid (on la comprend), fume de l’opium, danse le flamenco dans un camp de Gitans. Ah ça, on revisite. La pauvre d’Artagnan, grimée, ressemble à Cyril Hanouna. Bref, cette manie de la relecture tombe à plat.
Je ne comprends pas pourquoi le film à foirer
il y a 5 mois
HessPetCulAir
5 mois
Il y a trois sortes d'hommes, les vivant, les morts et ceux qui sont sur la mer
il y a 5 mois
sailfishos
5 mois
Je cite
Le parisien 3/5
ce film qui ressemble à un sketch d’une heure 36. Sur le fond, on est souvent dans la grosse potacherie. Les codes de la virilité prennent cher. Quand les mousquetaires font essayer un faux sexe en tissu à Sara, elles lui lancent : « Tu sens ? Avec une bite, on a moins peur ! », avant de jouer à agiter leur appareil génital. Plus tard, le trio enseigne l’art de faire pipi debout : « Force-toi à diriger ton jet », indiquent-elles, hilares.
Le rythme faiblit en cours de route et les péripéties avec la reine n’ont aucun intérêt — en dehors d’une séquence de coït assez drôle avec le roi.
https://www.leparisien.fr[...]WEBONDTHAQUC4XMEVK3FY.php
Libération 2/5
Quatre femmes travesties en hommes, la poitrine enserrée dans du tissu, des poils de fausse barbe collée sur le visage et jusqu’à une fausse bite pour un niveau de vraisemblance maximum (même si probablement inconfortable à cheval…).
se double d’un enjeu de dissimulation tactique de leur identité de genre dans un monde massivement macho et ponctué de coup bas et bastons.
Projet féministe et inclusif qui cherche à renouveler ou bousculer les critères de ce que peut être une fiction d’aventure
https://www.liberation.fr[...]AJRKLKJVBFNCVE74ZR7ZLILU/
Le Figaro 0/4
Le film patauge, ne sait pas sur quel pied danser, hésite entre western spaghetti et pamphlet vaguement féministe, enchaîne séquences montées à la va-comme-je-te-pousse et morceaux qui se voudraient de bravoure, le tout saupoudré de chansons anglo-saxonnes qui arrivent là comme des cheveux sur la soupe. Le suspense se résume à ceci : seront-elles découvertes ? Elles risquent la pendaison. Mille précautions s’imposent.
La réalisatrice n’en fait pas grand-chose, comme embarrassée par l’ampleur de la tâche. Le scénario pèche par sa faiblesse. Cela part dans tous les sens, multiplie les dialogues gravés dans le marbre. On passe sans raison valable du noir et blanc à la couleur. On comble les vides par des ralentis. Les intermèdes comiques ne sont pas drôles. Les duels sont cafouilleux. Les héroïnes font pipi debout. Elles trouvent ça tordant. Elles sont les seules. À un moment, elles apprennent à un nobliau à pleurer devant son épouse.
Une reine, plus gourde que jamais et pas exactement aidée par son interprète, rêve de retourner à Madrid (on la comprend), fume de l’opium, danse le flamenco dans un camp de Gitans. Ah ça, on revisite. La pauvre d’Artagnan, grimée, ressemble à Cyril Hanouna. Bref, cette manie de la relecture tombe à plat.
https://www.lefigaro.fr/c[...]me-a-gros-sabots-20250121
Je ne comprends pas pourquoi le film à foirer
Le parisien 3/5
ce film qui ressemble à un sketch d’une heure 36. Sur le fond, on est souvent dans la grosse potacherie. Les codes de la virilité prennent cher. Quand les mousquetaires font essayer un faux sexe en tissu à Sara, elles lui lancent : « Tu sens ? Avec une bite, on a moins peur ! », avant de jouer à agiter leur appareil génital. Plus tard, le trio enseigne l’art de faire pipi debout : « Force-toi à diriger ton jet », indiquent-elles, hilares.
Le rythme faiblit en cours de route et les péripéties avec la reine n’ont aucun intérêt — en dehors d’une séquence de coït assez drôle avec le roi.
Libération 2/5
Quatre femmes travesties en hommes, la poitrine enserrée dans du tissu, des poils de fausse barbe collée sur le visage et jusqu’à une fausse bite pour un niveau de vraisemblance maximum (même si probablement inconfortable à cheval…).
se double d’un enjeu de dissimulation tactique de leur identité de genre dans un monde massivement macho et ponctué de coup bas et bastons.
Projet féministe et inclusif qui cherche à renouveler ou bousculer les critères de ce que peut être une fiction d’aventure
Le Figaro 0/4
Le film patauge, ne sait pas sur quel pied danser, hésite entre western spaghetti et pamphlet vaguement féministe, enchaîne séquences montées à la va-comme-je-te-pousse et morceaux qui se voudraient de bravoure, le tout saupoudré de chansons anglo-saxonnes qui arrivent là comme des cheveux sur la soupe. Le suspense se résume à ceci : seront-elles découvertes ? Elles risquent la pendaison. Mille précautions s’imposent.
La réalisatrice n’en fait pas grand-chose, comme embarrassée par l’ampleur de la tâche. Le scénario pèche par sa faiblesse. Cela part dans tous les sens, multiplie les dialogues gravés dans le marbre. On passe sans raison valable du noir et blanc à la couleur. On comble les vides par des ralentis. Les intermèdes comiques ne sont pas drôles. Les duels sont cafouilleux. Les héroïnes font pipi debout. Elles trouvent ça tordant. Elles sont les seules. À un moment, elles apprennent à un nobliau à pleurer devant son épouse.
Une reine, plus gourde que jamais et pas exactement aidée par son interprète, rêve de retourner à Madrid (on la comprend), fume de l’opium, danse le flamenco dans un camp de Gitans. Ah ça, on revisite. La pauvre d’Artagnan, grimée, ressemble à Cyril Hanouna. Bref, cette manie de la relecture tombe à plat.
Je ne comprends pas pourquoi le film à foirer
il y a 5 mois
Sofia coppola fait de très bons fils l incel attardax
T'es une merde
il y a 5 mois